Confusion ft Joey

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Il fait beau aujourd'hui, j'aimerais en profiter mais j'ai mal. Mes côtes son parfois encore douloureuse depuis mon accident de moto. Heureusement pour moi quand j'étais en italie je n'ai pas abusé des drogues contre ma douleur, mais là j'en ai besoin, je veux retrouver ma vie d'avant. Ma douleur disparait rapidement, je décide alors d'aller prendre une marche pendant que je le peux. Vêtu de ma veste de cuir habituelle, petit short, sac à main, je marche, le vent me fais du bien. Je prend de grande bouffé d'air quand tout à coup je ne me sans pas bien, je vais aller m'assoire. Les yeux embrouillés, du mal à parler, à bouger, ça ne vas pas, ma pillule et trop forte. Un homme s'approche me demande si je vais bien, oui oui ça va, un petit coup de chaleur ça va passer. Mensonge, mais je vais pas demander de l'aide à un inconnue, alors j'essais d'envoyer un sms à une amie, j'y arrive pas. Il es insistant, il ne me lâche pas, il essaye de me faire me lever pour le suivre, je ne veux pas. Non je vais bien lâche moi, je dis, presque en criant. Malheureusement pour moi, il y a pas beaucoup de monde autours de moi pour venir à mon aide. Je commence à paniquer un peu, mes forces me perd. Il réussi à me prendre dans ses bras, quand un autre homme intervient, heureusement. Je ne sais pas il vient de où, mais je m'en fiche, j'ai juste besoin d'aide, espérons qu'il le pourra.

@Joey Davis

Invité

Confusion

Cela faisait deux jours maintenant que j’étais arrivé à Bowen, et mon … « enquête » sur Joe Davis n’avait pas progressé d’un pouce. Je pouvais rejeter la faute sur tout un tas de choses – le décalage horaire qui m’épuisait encore, ma méconnaissance de la ville, mon changement complet d’environnement ; mais ce n’était pas mon genre de me trouver des excuses. Non, la faute était totalement mienne. Je prenais mon temps comme si j’en avais, peut-être bien que je me disais que ce serait facile – après tout, trouver une personne dans une petite ville qui n’en comptait que sept mille, c’était une tâche relativement simple, n’est-ce pas ? J’avais l’impression d’avoir déjà fait le plus difficile. Alors je restais dans ma chambre d’hôtel à la limite de l’insalubrité en m’occupant comme je pouvais.

Je finis par avoir envie de sortir un peu, de prendre l’air. Même moi qui étais plutôt du genre casanier, je finirais par devenir fou à force de rester enfermé. Je me levai alors péniblement de ce vieux fauteuil et saisis les clés de ma voiture de location. Je n’avais aucune idée d’où je voulais aller, je voulais simplement me balader un peu et explorer la ville. Je ne mis guère de temps à rejoindre le … « centre-ville », si l’on pouvait l’appeler ainsi. J’avais encore un peu de mal à considérer Bowen comme étant une « ville », trop habitué que j’étais aux grandes villes américaines. Alors que je ne venais pas moi-même d’une si grande ville que cela. Allez comprendre. Bref.

Je garai ma voiture quelque part et commençai à errer un peu au hasard. J’arrivai rapidement sur la place principale de la ville, quasiment déserte alors qu’on était en pleine journée – mais cela ne me déplaisait pas, c’était dépaysant, me changeait un peu de la foule et de l’agitation de Jacksonville. Je m’assis sur un banc proche et pus enfin me détendre un peu.

Jusqu’à ce j’entende … une dispute ? C’est qu’il me sembla, en tout cas. Une voix d’homme. Une voix de femme paniquée – bon sang. Je tournai rapidement la tête en leur direction. Un type se montrait … insistant envers une jeune femme qui n’avait visiblement pas envie d’avoir à faire quoi que ce soit avec lui. Hélas, je ne connaissais que trop bien ce genre de situations – et aussi ce qu’il se passait après si personne n’intervenait. Alors je ne réfléchis pas, me relevai d’un bond et courus vers eux.

« Non je vais bien lâche-moi », j’entendis dire la jeune femme alors que je parvins à leur hauteur. Le type n’en avait visiblement rien à faire ; il la prit dans ses bras, se collant dangereusement à elle. « Elle t’a dit de la lâcher », tonnai-je. L’homme se retourna et me regarda de haut en bas, comme s’il évaluait à quel point je pourrais être une cible facile ou non pour lui. « T’es qui toi ? Mêles-toi de tes affaires », gronda-t-il. « Non », que je lui répondis simplement en le regardant droit dans les yeux.

Je connaissais bien ce genre de types. Ceux qui attaquent plus faible qu’eux mais qui prennent leurs jambes à leur cou dès que quelqu’un montre un peu de résistance ou ne se révèle pas aussi faible qu’ils le pensaient au début. N’empêche, celui-ci avait de la chance, je me montrais relativement patient avec lui – si ça s’était passé dans ma ville et qu’il était tombé sur quelqu’un d’autre que moi il aurait peut-être déjà un flingue à bout portant. Je ne pouvais pas me le permettre – je n’avais aucun pouvoir ici et dans tous les cas j’avais laissé le mien dans la boîte à gants.

Mais ça, il n’avait aucun moyen de le savoir, alors j’en profitai : « Je ne pense pas que t’aies envie d’emmerder un flic », je repris toujours en fixant l’homme. « Je … Excusez-moi de vous avoir dérangée mademoiselle », fit-il soudain en se reculant, après l’avoir lâchée. Il lui adressa un regard désolé et partit dans la direction opposée.

Je poussai un soupir de soulagement. Je m’était attendu à ce qu’il n’en ait rien à faire et décide de me casser la gueule. Heureusement pour moi, et pour lui aussi d’ailleurs, il n’était pas bête à ce point.
Cet … incident … réglé, je détournai la tête en direction de la jeune femme. « Vous allez bien, mademoiselle ? Il ne vous a pas fait de mal ? », m’enquis-je. Quelle question stupide, maintenant que j’y pense – ça se voyait, qu’elle n’allait pas très bien.

code par drake.

Hope & Joey

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Je marche, j'ai la tête qui tourne, ma vue se brouille, ma pillule me frappe de plein fouet. Merde quesqui ma pris aussi de la prendre au complet, mon corps n'est plus autant habitué qu'au début. J'essais de me reprendre, demander de l'aide à une amie par sms mais je suis intérompu. J'ai du mal à me concentrer, j'ai les yeux qui se ferme sans que je le veux. Je me débat et lui dis de me ficher la paix, ça ne fonctionne pas, la peur me prend, je ne veux pas me faire violer ou quoi que ce sois d'autre dans le genre. Un autre homme interviens juste à temps, car une minute de plus il aurait été trop tard. J'entend le mot flic, je suis sauvé, mais pas moin dans la merde, il va surment m'arrêter vue mon état. L'insistant me repose et s'excuse, pourtant je ne le regarde pas, frustré et légèrement appeuré. Il me regarde, et me pose une question. Hope, oui merci, vous êtes tombé au bon moment, j'avais peur de la suite. Aller vous m'arrêter ? J'espère que non, mais bon sais ma faute aussi, qu'elle imbécile. Mon anti-douleur ma frapper un peu plus que prévue, j'ai des côtes de cassés depuis mon accident de moto il y a quelques mois. J'ai un peu mentie sur ma substance, il vienne d'un dealer, il sont plus forte que ceux prescrit par les médecins. J'aime pas mentir, mais je ne crois pas que mon frère m'apprécie si en plus je me fais arrêter, je lui ai donner asser de souffrance comme ça. Je le regarde, il es plutôt mignon, finalement ça ne m'embêterais pas trop s'il me passais les menottes. Je n'ai pas trop envie de vous demandez ça, mais pouvez vous aller au dépaneur en face me prendre de l'eau s'il vous plait, ça m'aiderais, voici un peu d'argent. Je lui souris, comme je peux vue mon état un peu confuse. À moin que vous soyez en service, je ne voudrais pas vous embêter ? J'essais de me relever chancelante, mais je tombe finalement dans ses bras.

Invité

Confusion

Cette fille avait de la chance que je fusse dans les parages. Si ce n’avait pas été le cas … mieux vaut ne pas y penser. Mon travail était déjà suffisamment difficile comme ça. C’est terrible en un sens, mais quand on est flic il faut apprendre à … prendre un peu de distance avec les choses. Parce qu’on voit, on entend des choses terribles. On rencontre des sales types, on entend les récits parfois atroces de victimes, et nous ne devons rien laisser paraître. Rester fort – en apparence tout au moins - parce que c’est ce que les gens attendent de nous. Tout le monde … n’est pas capable de ça. Ce qu’il faut faire, c’est se concentrer sur le positif. Par exemple, dans notre situation présente, la demoiselle était saine et sauve. Même si … elle ne donnait clairement pas non plus l’impression de passer le meilleur moment de sa vie. Et je ne parle pas que de l’agression que nous venions d’éviter.

Hope, comme elle se présenta, me demanda si j’allais l’arrêter. Je levai un sourcil, un peu surpris. Pourquoi le ferais-je ? Elle était la victime de cette histoire, et … oh. Je ne tardai pas à comprendre à quoi elle faisait allusion. Elle mentionna que ses … « antidouleurs » lui avaient fait plus d’effet que ce à quoi elle s’attendait. Hum. Bien sûr … Je compris tout de suite ce qu’elle voulait dire entre les lignes. Je n’étais pas né de la dernière pluie, je savais très bien reconnaître une personne droguée. « Je pense savoir de quels « antidouleurs » vous voulez parler … Mais ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous embarquer pour ça. » Et même si j’avais voulu le faire, je n’aurais pas pu – je n’avais aucun pouvoir ici. Mais elle l’ignorait sans doute, devait penser que j’étais un flic d’ici. « Ce qui vous est arrivé, ou … ce qui a failli vous arriver est un peu plus important », je repris. Avec un sourire, pour essayer de la réconforter comme je le pouvais. Cela peut faire tellement de bien, parfois, un bête sourire. Peut-être pour la charmer un peu aussi, parce que je devais bien avouer qu’elle était plutôt jolie – mais ce serait inapproprié dans de telles circonstances. J’aurais l’impression d’abuser de sa vulnérabilité, de jouer de mon image de « sauveur » auprès d’elle pour … vous comprenez ce que je veux dire ? C’était aussi pour ça que je maintenais une certaine distance avec elle ; pour qu’elle ne sente pas une nouvelle fois agressée, qu’elle ait un peu de place pour respirer.

« Je n'ai pas trop envie de vous demander ça », commença Hope « mais pouvez-vous aller au dépanneur en face me prendre de l'eau s'il vous plait, ça m'aiderais, voici un peu d'argent. » Elle poursuivit avec un sourire : « À moins que vous soyez en service, je ne voudrais pas vous embêter ? » Je fis « non » de la tête. « Gardez votre argent, je m’en occupe. Et j’ai— oh là ! » La jeune femme avait essayé de se lever et ses jambes l’avaient trahie. Je la rattrapai de justesse, manquant moi aussi de glisser et de me retrouver par terre comme un con. « Ça va ? Vous devriez peut-être vous rasseoir », dis-je à la jeune femme en riant un peu. « Vous avez pris votre antidouleur il y a combien de temps ? Je devrais peut-être rester avec vous le temps que les effets secondaires disparaissent, on ne sait jamais. »

Hope et moi nous étions beaucoup rapprochés. Physiquement, je veux dire. Elle m’était littéralement tombée dans les bras, on aurait pu se croire dans un film. Je … j’avoue que cela me gênait un peu. Cela faisait pas mal de temps que je n’avais pas approché une femme d’aussi près. Même si, euh, les circonstances étaient bien différentes, bien sûr ! je n’avais aucune idée derrière la tête. Ce ne serait pas bien ; mais pourtant, je ne me détachai pas d’elle. « Je ne suis pas en service, alors j’ai tout mon temps pour vous. Euh … si ça ne vous gêne pas, bien sûr. » Je comprendrais si elle me disait qu’elle avait besoin d’être seule. Je trouverais que ce n’est pas très prudent, mais je ne protesterai pas.

« Ah, mais, vous m’aviez demandé quelque chose je crois », je repris soudain. Elle voulait un peu d’eau. « Asseyez-vous quelque part, je reviens tout de suite. »

code par drake.

Hope & Joey

Invité

Je prend de grande respiration, mes anti-douleurs semblent se stabiliser un peu. Merde, il a compris mon mensonge, mais ne fera rien, je soupire soulagé. J'avale difficilement, j'apprécie votre compréhension. Vous êtes sympa comme flic. Ce n'est pas tout les policiers qui aurais fais comme lui, mal en point ou non il m'aurait arrêter sans discuter. Je l'apprécie de plus en plus, je sans que je peux lui faire confiance. Un peu bizzare à dire après seulement quelques minutes à parler avec lui. Je lui demande un peu d'aide sans vraiment savoir s'il pouvait le faire, alors je tente de me lever, je n'aurais pas du. À peine qu'il me répondait que je lui tombe dessu. Oui oui, je suis navré.. je suis un peu gêné de ma maladresse. Moi timide loin de mon habitude, mais je ne fais pas non plus exprès pour lui tomber dessu, je ne veux pas qu'il croit que j'essais de le manipuler d'une manière pour pas qu'il m'amène au poste. Question qu'il me pose, ca me laisse un peu sans voix. Humm.. je regarde mon portable. Il y a environs 30-45 minutes, je crois. Je n'ai pas vraiment regardé l'heure exact je voulais juste me soulager de ma douleur. Si attentionné, clairement je ne crois pas qu'il fait ça à tous, ou peut-être que si ? Le temps de le connaitre me le dira, pour le moment je souris. Il a tous son temps, absolument pas, je me sentirais plus en sécuriter près de vous, le temps que ça ce calme. Il peut aussi me raccompagner chez moi, sinon rester ici encore un petit moment. Le policier ce souvient de ce que j'ai demandé et se lève. Ne t'inquiète pas, je ne bouge pas, je crois que c'est mieu, dis-je en riant. Même si ça ne me déplairait pas d'être de nouveau dans ses bras, hope quesqui te prend calme toi, ce sont probablement les pillules qui me font penser ainsi. Je me secou un peu la tête, me mord la lèvre avant de reprendre mes esprits, pendant qu'il ne soit pas là. Je ne comprend pas pourquoi il es aussi gentil, surment parce que j'ai l'air fragile, qu'il s'inquiète d'une certaine façon. Il ne veut probablement pas retrouver mon corps dans un ravin ou quoi que ce sois de ce genre. Il revient, merci beaucoup monsieur..? Je ne vous es pas demandez votre nom, je suis impolie. Il serait pratique de savoir son nom si je veux le remercier ou le contacter si j'ai besoin. Je prend une gorgée, pendant qu'il me dit ce qu'il a envie de me dire ou le droit vue que c'est un policier. Je ne connais pas trop les procédures, je n'ai jamais connu quelqu'un comme lui.

Invité

Confusion

On l’oublie souvent, mais le travail de policier ce n’est pas que d’arrêter les criminels, mettre des amendes et (parfois) mourir prématurément, c’était aussi et surtout rendre service à ceux qui avaient besoin. Et cette fille, cette « Hope » … eh bien elle en avait eu besoin. Je n’allais tout de même pas faire comme si de rien n’était, détourner la tête et peut-être la laisser se faire … vous voyez. C’était inacceptable en tant que flic, même en vacances et hors de sa circonscription, et en tant qu’homme normal aussi. Je veux dire … n’allez pas croire que j’ai aidé cette fille pour de mauvaises raisons ! je ne me le serais jamais permis. Ce que je veux dire, c’est que je n’ai fait que ce chacun aurait fait. Enfin, dans l’idéal. La plupart des gens hélas ne s’occupent d’un problème ou d’une … situation de ce genre que lorsqu’ils sont directement concernés. C’est comme ça, l’humain moyen ne pense qu’à lui.

Le danger était écarté et c’était tout ce qui comptait. Maintenant, il fallait attendre que la médication de la jeune femme – et surtout ses effets secondaires, cessent de faire effet. Le problème, c’est que cela pouvait parfois durer plusieurs heures. J’en avais fait l’expérience moi-même. Lorsque je me suis pris une balle il y a six ans j’ai dû avaler pas mal de ce genre d’antidouleurs ; mais les vrais, pas ceux de contrebande ou coupés avec diverses drogues qui sont plus concentrés et durent un peu moins longtemps. Mais un peu moins longtemps, cela signifiait quand même une ou deux heures et je nous voyais mal rester assis à ne rien faire tout ce temps. Même si, comme je lui dit par la suite, j’avais tout mon temps pour elle – si cela ne la gênait pas que je reste à ses côtés. « Absolument pas, je me sentirais plus en sécurité près de vous, le temps que ça ce calme », répondit-elle. Je souris une nouvelle fois. Je … moi non plus, ça me déplairait pas de rester un peu plus longtemps avec elle. Enfin je veux dire … euh … pour la protéger. C’était strictement professionnel. Je venais tout juste de la rencontrer, après tout. Même s’il me venait l’idée de … euh, mais qu’est-ce que je raconte, en fait ?!

Je chassai ces idées parasites de ma tête et me souvins que Hope m’avait demandé quelque chose avant qu’elle ne me tombe dans les bras (ce qui je dois bien l’avouer ne fut pas une expérience désagréable malgré le contexte … hum, pardon). Je me relevai. « Ne t'inquiète pas, je ne bouge pas, je crois que c'est mieux », dit la jeune femme en riant un peu, ce qui du coup me fis rire aussi. Eh bien, elle avait l’air de se remettre un peu de l’agression. Tant mieux. « En effet, je ne serai pas là pour vous rattraper cette fois », répliquai-je avec un sourire. Bon. Je n’allais plus pouvoir la garder à l’œil pendant ce temps-là, mais je n’en aurais que pour une minute à peine. Inutile de s’inquiéter.

Je revins et lui tendis la bouteille d’eau. « Merci beaucoup monsieur…? Je ne vous ai pas demandé votre nom, je suis impolie », demanda Hope. « Non, c’est moi, je ne me suis pas présenté », je répondis en la regardant dans les yeux. « Inspecteur Joey Davis, de la police de Jacksonville, Floride. Je suis en vacances ici pour quelques temps. Enfin, officiellement … » Ouais, officiellement … mais je n’allais pas l’embêter avec cette histoire. Joe Davis pouvait bien aller se faire voir quelques temps. Euh … sans vouloir lui manquer de respect bien sûr.

« Et vous, c’est Hope, c’est ça ? C’est un joli prénom », dis-je avant d’aussitôt le regretter. Elle risquait de croire que je la draguais … et même pas d’une façon un peu recherchée. C’était quoi la suite, ce que j’allais dire encore comme banalités, que « Hope c’est un joli prénom mais pas autant que celle qui le porte », ou je ne sais quoi ? Bon sang … je valais mieux que ça. Et elle aussi. Mais de toute façon, je n’étais pas là pour lui faire du charme. Même si elle ne semblait pas y être indifférente – ou bien c’est ce que je croyais voir parce que c’est que je voulais, en un sens ? Nan, nan, pas moyen. Du calme, Joey. Cette fille certes jolie et sympathique n’est qu’une passante que tu as aidé dans la rue, c’est tout, ne va pas t’imaginer des choses …

« Vous … » je changeai de sujet pour penser à autre chose. « Vous alliez quelque part ou bien je peux vous raccompagner chez vous ? Je veux dire … ce genre de médicaments peut faire effet pendant des heures et la rue n’est peut-être pas le meilleur endroit pour attendre. »

code par drake.

Hope & Joey

Invité

Ma confiance en moi et mon assurance en avais pris un coup, au point que je me sans timide envers lui, j'y comprend rien. Je serais en sécuriter au près de lui pour un moment, du moin le temps que ma pillule ne face plus effect. Il va au dépaneur chercher de l'eau et lui dis que je ne bouge pas, je ne sais pas pourquoi j'ai dis ça. Je me sans un peu "nouille" et sa réponse me fais rougir légèrement. Il quitte pour à peine 2 ou 3 minutes, par le même fais je réalise que je ne connais pas son nom. Joey, je peux mêttre un nom sur le policier qui ma démerdé d'une situation pas joyeuse. Je reste un peu bloqué sur les mots floride, vacance et officiellement et même si ma curiosité veut en savoir plus, je sais qu'il ne pourra pas en dire davantage. J'ai eu la chance que vous soyez dans les parages, dans ce cas, dis-je souriante de nouveau. Oui c'est bien ça, merci, je suis enchanté de faire votre connaissance. Je prend une gorgée de ma bouteille d'eau, ça fais du bien. Je semble parler un peu plus naturellement aussi. Il es mignon et charmant, ce n'est pas pour me déplaire. Volontairement ou non, ce n'est pas encore évident déceller ce genre de truc après quoi 10-15 minutes à lui parler. Même s'il flirterait avec moi, je ne dirais rien, ça serais agréable même, je vais avoir l'air d'une prétentieuse en manque d'attention, c'est super ironiquement. Il recommence à parler, non nul part, juste prendre un peu d'air. Ce que visiblement je n'aurais pas dû, mais si ça n'aurais pas été le cas je ne l'aurais pas rencontré non plus. Je suis à environs 30 minutes à pied d'ici. Tu prefère qu'on marche un peu ou en voiture, car je présume que tu as une voiture ? Idiote je suis, pourquoi je l'ai dis tout haut. Je comprend et je suis d'accord avec votre jugement, il serait préférable pour moi d'être chez moi le temps que ça ce dissipe. Il s'emble être un peu inquièt même s'il essait de le cacher, du moin je crois. Direction chez moi, un peu trop cours à mon avie, j'aime bien sa compagnie. Me voilà devant ma porte, je ne sais plus trop quoi dire, même si dans ma tête tout ce bouscule. Est-ce que je lui demande de rentrer quelques minutes? Ou est-ce que ça serais trop demandé ? De discuter encore un peu ici dans ma cours pour le remercier ? Je lui dis finalement merci et m'approche pour lui faire la bise sur la joue, mais oups ce n'est pas sa joue que j'embrasse, mais ses lèvres. Mains sur la bouche je dis, oh mon dieu, je suis navré je ne voulais pas. Quesqui me prend, je suis jamais aussi maladroite d'habitude, il me fait un truc que je ne peux expliquer. Tu veux rester un peu ou tu as peut-être d'autre chose à faire, sinon je comprends pas de soucis. On se recroissera peut-être un jour?, ce que j'espère. Je dis pour changer le malaise qui plane. On peu laisser tomber les vous aussi maintenant, si tu veux ?

Invité

Confusion

Je savais que c’était prématuré, mais j’avais l’impression que … que quelque chose se passait. Je ne pouvais pas dire exactement quoi, mais … je le sentais. Mon envie de rester avec Hope un peu plus longtemps n’était pas simplement due au fait de vouloir la protéger, à mes réflexes de flic. Non, j’avais la sensation qu’il y avait autre chose. Quelque chose que je n’arrivais pas à comprendre, ou peut-être que je ne voulais pas comprendre. Parce que je me disais que ce ne serait pas bien, que je la connaissais à peine, que ce serait profiter de la situation … alors je décidai de faire comme si de rien n’était, comme si j’étais simplement un flic qui se préoccupait du bien-être de quelqu’un qu’il venait de sauver d’un sort peu enviable. C’est ce que j’étais, après tout. Au moins en partie.

Je me présentai à la jeune femme. Je sentis qu’elle était un peu intriguée. Pourquoi donc aurais-je choisi ce coin perdu d’Australie pour mes vacances, devait-elle sans doute s’interroger entre autres questions. Bien heureusement, elle ne chercha pas à en savoir plus ; tant mieux. Je n’avais aucune envie de parler de Joe Davis, de mon enquête, de toutes ces … conneries qui étaient à l’heure actuelle le cadet de mes soucis. C’était …. bizarre, d’ailleurs. Je n’avais pas pour habitude de me laisser distraire, de penser à autre chose qu’à mon boulot – ce qui m’avait causé bien des problèmes au sein de ma vie personnelle, d’ailleurs.

Mais à ça non plus, je n’avais pas envie d’y penser.

Bref. Je me concentrai à nouveau sur Hope. Je lui demandai si elle allait quelque part ou si je pouvais la raccompagner chez elle. Sans la moindre idée derrière la tête de ma part, bien évidemment. C’était encore … hors de question. Par principe. Elle me plaisait bien pourtant, du peu que je ne connaissais encore d’elle ; mais ce n’était pas mon genre d’agir ainsi. « Non nul part, juste prendre un peu l'air », répondit-elle. Ce qui s’était révélé ne pas être une bonne idée – même si ce n’était pas de sa faute, bien évidemment. Le coupable dans une agression, c’est l’agresseur, tout simplement. « Je suis à environs 30 minutes à pied d'ici. Tu préfères qu'on marche un peu ou en voiture, car je présume que tu as une voiture ? » poursuivit Hope. Je fis un signe de tête. « Allons-y en voiture, c’est plus sûr. Je ne suis pas garé loin. » Elle était d’accord pour que je la raccompagne chez elle. Elle y serait plus en sécurité, pourrait se remettre calmement de ses émotions et des effets des pilules.

Je ne parlai pas beaucoup dans la voiture, je me sentais un peu gêné, intimidé presque. Je n’avais pas ressenti ce genre d’émotions depuis quelques temps, cela me faisait me sentir … vulnérable, presque. Heureusement, le trajet fut de courte durée. Hope n’habitait pas très loin.

Bon, euh … c’était quoi la suite maintenant ? Hope et moi nous tenions devant sa porte d’entrée. J’imaginais que c’était le moment où l’on se disait au revoir. « Merci », fit-elle. Eh bien, pas de quoi. Je m’apprêtais à lui répondre lorsque je la vis se rapprocher de moi. Oh. Elle cherchait sans doute à me faire la bise pour me dire au revoir, cela se faisait sans doute dans ce pays. Sauf que … non, c’est ma bouche qu’elle embrassa. Je … quoi ? Elle recula presque aussitôt, si rapidement que je crus que ça ne s’était jamais passé, que je me l’étais juste imaginé. Mais la sensation certes furtive de ses lèvres sur les miennes, de son parfum était encore présente. Cela s’était vraiment passé.

« Ben merde alors », laissai-je échapper. Oh, je venais de jurer ! C’était rare. Généralement, je ne le faisais qu’en cas de situation critique. Et là, ben … c’en était clairement une. « Oh mon dieu, je suis navrée je ne voulais pas », s’écria Hope, visiblement choquée de son geste. « Je … c’est pas grave », répondis-je en secouant la tête. Franchement, cela n’avait pas été désagréable, pour le peu de temps que cela avait duré. Un peu plus et j’aurais eu envie que cela recommence.

Hope me demanda si je voulais rester un peu. Euh … ça dépend ce qu’elle entendait par là. Si j’étais juste pour prendre un verre ou un café, pourquoi pas. Pour autre chose … ce serait trop tôt. Pas que ça me déplairait, hein ! surtout avec cet avant-goût (même si court), mais je trouverais cela précipité. Enfin, n’allez pas croire qu’il ne m’était jamais arrivé de coucher avec une fille que je ne connaissais qu’à peine, hein. Ça m’arrivait de temps en temps. Quand j’avais … des besoins à satisfaire, vous voyez ce que je veux dire ?

« Merci, mais, je crois que je vais te laisser », finis-je par répondre. « Tu as sans doute envie de te reposer un peu et d’être un peu seule. » Mais … dans le même temps je trouvais dommage que l’on en reste là, alors je sortis mon téléphone et lui proposai : « On pourrait peut-être se revoir ? Enfin … je ne connais personne dans cette ville et je ne suis là que pour quelques semaines, mais si tu en as envie … Tu n’auras qu’à m’appeler, si tu as besoin de moi, ou … ou pour autre chose. »

Pour autre chose, oui. Ce qui voulais tout et rien dire à la fois.

code par drake.

Hope & Joey

Invité

Il me propose de me raccompagner chez moi, je trouve que c'est une bonne idée, je ne voudrais pas que ma mésaventure ce répète. Même si avoir resté ici encore un moment n'aurais pas été désagréable avec la jolie journée qui fais, mais restons sécuritaire. On prend sa voiture pour ce diriger vers chez moi, heureusement ce n'est pas loin car il planait un léger malaise en route. Je n'osais pas non plus briser ce silence, même si je n'ai pas non plus eu énorme de temps à penser. À peine arrivé qu'on se retrouve devant ma porte, qu'il me raccompagne c'est charman, un peu de gallanterie ne fais pas de mal. Question qui ce bouscule que je ne réfléchie pas à mon prochain geste ou peut-être que si mais vraiment maladroit. Son merde me fais réaliser concrètement ce que j'avais ressentie, sa bouche et non sa joue. Je voulais vraiment te remercier d'une bise sur la joue et pas comme ça.. je suis pas une femme de ce genre, que je tente de rectifier. J'aime pas précipiter les choses a se point à moin de vraiment vouloir que du charnel et que ça sois clair, même si les ones nights je n'en raffole aucunement. Je suis plus du style flirty, prendre un bon verre, faire le party et on verra après si ça clique. Je veux détendre l'atmosphère alors je lui demande s'il veut rester un peu, réponse négative de sa part. Je ne veux pas qu'il croit que je l'invite pour l'apporter dans mon lit, mais je n'ai pas envie non plus d'avoir un plus gros malaise, alors je ne dis rien. J'ai passé des mois tout seul alors plus vraiment maintenant, mais oui me reposer, on aurais pu prendre un café et discuter encore un peu mais une prochaine fois me vas très bien. Que quelques semaines c'est dommage et si j'ai besoin de toi après c'est semaine là, je vais faire quoi ? Je rigole en mon fort intérieur, façon polie et comique de lui dire je ne veux pas qu'il parte. Sa phrase d'invitation à le revoir, si j'ai besoin de lui ou pour autre chose, me laisse curieuse j'ai envie dans savoir plus, mais on verra une prochaine fois. Rendez-vous peut-être .? Une sortie des plus platonique, je n'en sais rien. Seul le temps pourra le dire, je vais clairement lui envoyer des sms. J'apprécie grandement ta générosité et j'en prend bien nôte, crois moi, tu ne tardera pas à connaitre mon vrai moi. Mon moi sans effect de drogue, de timidité et de maladresse, ouin finalement il va peut-être moin aimer ? Je suis a prendre ou a laisser, sinon il rate quelque chose. Je ne te retiens plus, on se revois bientôt et on s'écrit entre temps, dis-je en brandisant mon cellulaire. J'ouvris ma porte et y rentre, le regard dans ma fenêtre je le vois partir, un peu déçu, mais pas moin contente car je vais le revoir.

Invité

Confusion

Hope et moi ne nous connaissions que depuis quelques minutes, mais je savais déjà que je voudrais bien la revoir … un jour. Le baiser que nous échangeâmes, certes furtivement, qu’elle me vola plutôt, fut une confirmation. En plus d’une sacrée surprise. Je ne m’étais pas attendu à … à ce que cela arrive si vite. Bon sang, je ne m’étais pas attendu à ce que cela arrive tout court ! Il était bien trop tôt pour que je m’imagine que quoi que ce soit puisse se passer. Certes, ce baiser était … un incident, une maladresse de la part de Hope comme elle me l’avoua une seconde plus tard, mais … ça voulait bien dire quelque chose quand même, non ? Ou bien, je m’imaginais juste des choses. Ouais, ouais c’était forcément cela.

Elle me demanda ensuite si je voulais rester un peu. Je déclinai sa proposition. J’estimais qu’il fallait qu’elle se repose un peu, qu’elle avait sans doute envie de rester un peu seule aussi. Et puis … je ne souhaitais pas qu’une autre … maladresse se déroule. Enfin … ce n’était nullement dans mes intentions encore une fois, mais nous n’étions pas à l’abri d’un éventuel dérapage. Et je n’avais pas envie de ça. Non, je voulais … Mince, c’était difficile à expliquer ! disons que je n’avais pas envie de brûler les étapes. Si quelque chose devait se passer avec Hope, je ne voulais pas tout gâcher en allant trop vite. Même si … imaginer qu’il puisse se passer quelque chose avec elle, c’était déjà aller trop vite, n’est-ce pas ? « J'ai passé des mois toute seule alors plus vraiment maintenant, mais oui me reposer, on aurait pu prendre un café et discuter encore un peu mais une prochaine fois me vas très bien. Que quelques semaines c'est dommage et si j'ai besoin de toi après ces semaines-là, je vais faire quoi ? », demanda Hope. Je souris. « Je pourrais toujours faire changer la date de mon billet retour », plaisantai-je. Mais … oui, ma présence temporaire ici constituait une raison de plus de ne pas espérer quoi que ce soit.

Mais en même temps … en même temps bordel ce que j’en avais envie.
Alors je décidai de donner mon numéro à Hope. Histoire qu’on puisse se revoir à l’occasion. Si elle en avait envie. Elle déclara que je ne tarderais pas à découvrir son « vrai elle » - je n’était pas certain de ce que cela voulait dire ; mais j’avais la confirmation qu’elle aussi voulait bien me revoir.

« Je ne te retiens plus, on se revoit bientôt et on s'écrit entre temps », conclus Hope. Je hochai vivement la tête. « Ça marche ! A la prochaine fois, Hope. »

Puis je m’éloignai, le sourire aux lèvres.

code par drake.

Hope & Joey

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» Une sortie et bain de minuit ft Joey
» L'Univers est un quiproquo absolu, une ineptie constitutive ft Joey Davis