that girl has always been half goddess half hell (hunter) (warning, caliente)

Non, il n’avait pas de copine et ça, ça t’arrachait un sourire. Après avoir vu ses yeux, tu t’étais promis que t’allais le mettre dans ton lit éventuellement. Il disait qu’avoir sa famille le comblait et qu’il n’avait besoin de rien. Tu lui adressais un sourire triste. T’aurais aimé que ce soit ta réalité à toi aussi, avec tes deux mamans, l’argent, le bonheur, le succès… Mais toi, tu râlais parce que t’avais pas de père. T’en avais besoin d’un père. Il t’expliquait que sa maman était décédée lorsqu’il était petit et tu lui adressais un sourire triste, tu attrapais sa main. « Je suis désolée, Hunter. » que tu lui disais en toute sincérité. Son père avait eu plusieurs compagnes que tu comprenais… Puis, il parlait d’un Elliott, que tu ne tarderais sans doute plus à rencontrer. Elle a fini par partir et tu fronçais les sourcils. « Sin Elliott? » que tu demandais un peu le cœur meurtri par cette nouvelle. Il avait deux frères et il était donc l’enfant du milieu. « L’enfant qu’on oublie trop souvent. » que tu dis avec douceur. Sa main touchait la tienne, sa peau était chaude. Tu haussais les épaules et tu prenais l’un des comprimés pour l’avaler d’un coup, sans eau. Tu commençais à avoir l’habitude. Tu remettais l’autre à sa place. « Tu ne sais pas ce que tu rates, Hunter. » Puis, tu te calais davantage contre le siège en cuir et tu penchais la tête vers l’arrière, le temps que ça fasse effet. Tu te détends et tu sais que t’en as pour au moins une heure avant de sentir l’effet dans ton corps. Instinctivement, ta main se pose sur celle d’Hunter. « Et quand on sera chez moi, on fait quoi? » Que tu lui demandes naïvement.

 

Il t’observait, son regard te transperçait avec force sans même qu’il le veule. Il admettait ne pas avoir de souvenirs et tu vois son sourire gêné. « Je suis désolée que tu n’aies pas connu le bonheur d’avoir des mamans. Elles sont merveilleuses. » Que tu confies doucement. Il te regardait encore avec ses yeux bleus et toi tu répétais calmement : « Sans Elliott. » que tu lui dis doucement. Il n’aimait pas être celui qu’on remarque et tu constates la même chose avec le sourire : « Je sais, j’ai remarqué. » que tu admets. Il repousse ta main, toi tu prends un des cachets. Tu la lui tends de nouveau. « T’es certain? Ça pourrait te faire du bien. » Que tu lui dis avec douceur. Il te retourne la question. « J’ai besoin d’aide pour les valises. Si tu sais cuisiner, c’est un atout. Et heum, il faut préparer l’appartement. » que tu calcules sur tes doigts. Tu t’attends à tomber sur des tonnes de boîtes de trucs que tu as fait parvenir en Australie, dans cette nouvelle demeure. « M’aider à faire de chez moi, un chez moi. » que tu lui dis avec tes grands yeux. « Puis, on peut faire ça tranquillement, avec une bonne bouteille de vin… blanc ou rouge? » Que tu lui demandes. Tu ressens déjà les effets de la première capsule et tu te rapproches volontairement d’Hunter, une main toujours contre la sienne et l’autre que tu posais sur sa cuisse avec douceur et délicatesse.

 

Il t’expliquait qu’il n’avait voulu s’attacher à aucune des autres femmes qui étaient de passage. Tu comprenais un peu, mais tu réalisais à quel point t’étais chanceuse d’être avec tes deux mères en tout temps. Au moins, Elliott avait été adopté et il avait une famille. Tu souriais, le cœur plus léger. Parce qu’ils n’étaient pas seuls. Toi, t’étais toute seule… Tu ressentais cette solitude. « Certain, certain? J’te promets que ça ne te fera aucun mal, juste te détendre. » Que tu lui disais un sourire léger. Il disait qu’il n’était pas certain d’être le mieux placé pour ça, tu le regardais avec tes grands yeux. « Je t’en priiiie. J’ai pas envie d’être toute seule. » Que tu lui expliquais. Tu apprenais qu’il préférait le blanc, tu hochais la tête. « On boira du blanc tous les deux alors. » Du blanc, du rouge, du rosé… tu ne discriminais aucunement. Ta main contre la sienne, tu la caressais avec douceur. « Je suis désolée que t’aies eu à subir tout ça. » Que tu lui dis doucement et ton autre main restait sur sa cuisse, elle restait chaste pour le moment. Il te pose la question et tu ris doucement. « Oui, c’est un diminutif et c’est parfait comme ça, Querido. » La voiture se retrouve dans les travaux et tu te retrouves à califourchon sur Hunter. Tu ris doucement à ce qui se produit. « J’suis désolée, vraiment mais pas tant que ça en fait. » Que tu lui dis alors que ta petite pilule commençait à faire effet. Tu te penchais vers lui et tu l’embrassais. Tu savais pas si t’étais prise des effets de l’ecstasy, simplement folle ou si t’étais prise de l’envie soudaine, mais t’avais pas envie de t’arrêter. T’avais qu’une envie : l’embrasser encore et encore. Tu t’arrêtes un court moment pour reprendre son souffle et tu le vois bien qu’il allait parler, tu glisses ton index sur ses lèvres. « Chut, gâche pas le moment. » que tu lui disais alors que tu l’embrassais peu de temps après. Bordel qu’il embrassait bien!
 

Tu ris doucement alors qu’il dit que t’insistes. « C’est toujours plaisant de planer à deux. » Que tu lui confies. « T’es dans une autre dimension ou je ne sais quoi et tu ressens ce que l’autre veut te dire. Ta peau supplie de toucher la sienne et tout, c’est magique, je te le dis. » T’es si bien sous influence. Lui, il restait tranquille, calme même. Il disait que c’était bon et que tu n’avais plus à te tracasser, pourtant, ta peau réclamait la sienne. « Ouais mais les grands garçons peuvent avoir de la peine et avoir mal aussi. » Que tu lui confies. Peu de temps après, tu te retrouves sur ses genoux et t’y es bien. Ses mains retrouvent ta taille et cette fois, c’est parfait. Alors que tu t’arrêtes doucement, tu l’entends dire merci. « Merci? » Que tu demandes sans comprendre, les sourcils froncés, le sourire légèrement amusé. Tu le réembrasses avec douceur sur les lèvres, sur sa mâchoire puis dans son cou où tu baisses sa chemise. Tu t’arrêtes pour mieux t’attaquer à la déboutonner aisément, sans même lui demander son avis. Visiblement, t'avais d'autres plans avant de t'occuper de l'appartement.

« Tu perds pas pied, tu planes. C’est tout, c’est différent. » T’aurais pu lui promettre de pas abuser de lui, mais t’allais le faire de toute façon… Que ce soit par son aide ou dans un contexte sexuel. « Je t’assure qu’il n’y a aucun mal à planer et j’aimerais vraiment planer avec toi, Hunter. » Que tu lui dis en glissant tes lèvres encore dans son cou. Tu apprenais tout de même que chez lui, les grands garçons ne pouvaient pas avoir d’émotions. « Je comprends. Mais avec moi, t’as le droit d’être toi. » Que tu lui dis en caressant sa mâchoire avec douceur. « T’as pas à te cacher, t’as pas à te réprimer. » T’es légère, Cleo. T’as pas envie de te faire chier. Tu sens son corps réagir et ça t’arrache un sourire, c’est exactement ce que tu veux. « Pourquoi pas? » Que tu lui demandes en gardant tes mains sur son torse. Tu les détaches un court instant pour faire glisser ses mains sur tes fesses, sans la moindre honte. « De toute façon, on arrive… » que tu lui souffles à l’oreille. La voiture s’arrêtait quelques instants plus tard et tu sortais du véhicule, tu tendais la main à Hunter et tu t’engageais joyeusement vers cette nouvelle bâtisse. Tu savais que le gros des meubles étaient dans la place, est-ce que ça allait te plaire? Aucune idée, mais tu savais que tu serais seule avec Hunter et ça, ça te plaisait bien. Tu l’entraînais avec toi dans différentes pièces avant de trouver la chambre. Tu le pousses sur le lit et tu t’installes de nouveau à califourchon sur lui. « Maintenant qu’on est seuls, tous les deux… » Et ton sourire pervers apparaît. Tu embrasses son cou, tu détaches chaque bouton de sa chemise lentement. « J’ai vraiment envie de planer avec toi. » que tu lui admets.

Tu ris doucement à ses questions. « Tu délaisses surtout tes soucis, tes tracas du quotidien. » Entre temps, tu apprenais qu’il ne savait pas qui il était réellement… qu’il était déjà lui et que ça semblait suffisant. Tu lui adresses un regard rempli d’empathie. « Si tu le dis. » que tu lui dis en caressant son visage. Tu sens ses mains sur tes fesses et ça te fait du bien de te sentir un peu désirée, même si tu ne connais pas sa réalité. Tu lui dis que t’as envie de planer avec lui alors qu’il te demande pourquoi. « I can feel your vibe. Je te sens toi et personne d’autre. J’ai envie de vivre ça avec toi. » Puis, il acceptait. Un fin sourire tirait tes lèvres, tu te levais quelques instants pour aller chercher une nouvelle pilule que tu mettais entre tes dents. « Come and get it. » Que tu lui dis alors que t’as follement envie de l’embrasser. Il le prend et tu l’embrasses comme t’as jamais embrassé personne : avec envie, passion, désir, compassion. T’avais envie de découvrir son être tout entier, son corps aussi. Tu te remets à l’ouvrage en déboutonnant sa chemise, tu caresses son torse en entier. « T’es sexy. » que tu lui dis, tu le découvres pudique mais t’as envie de le découvrir davantage. Tu retires ton t-shirt, lui permettant de découvrir ton soutien-gorge en dentelle et tu commences à détacher ta jupe que tu laisses glisser sur le sol. T’es à moitié nue sous ses yeux. « Tu veux qu’on attente que tu planes toi aussi? » que tu lui demandes gentiment en t’allongeant sur le côté, près de lui.

Il pensait, il doutait de choses dont il ne devrait pas douter. Il t’embrasse finalement et tu profites de ses lèvres, encore. Tu remarques son regard te détailler. Il te demande combien de temps ça prend. « Environ une heure. » que tu lui dis avec douceur. Tu en profites pour caresser sa joue du bout des doigts. « On fait ce que tu veux pendant ce temps… » Que tu lui dis avec un fin sourire. Tu pouvais bien te contenter de préliminaires pendant une heure, tu pouvais l’inviter à manger pendant une heure… boire du vin aussi. Puis, il te venait en tête cette idée : « Dis-moi quelque chose que t’as jamais dit à qui que ce soit. » T’étais avide de confession. Ta main cherchait son visage pour le caresser encore et encore. T’étais déjà en train de planer depuis un moment maintenant. « Fais-moi confiance. » Lui dis-tu en le regardant droit dans les yeux, comme s’il avait besoin de se faire rassurer.