that girl has always been half goddess half hell (hunter) (warning, caliente)

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Tu le vois douter, naviguer sur ces vagues de l’incertitude. Tu voyais son regard apeuré quand tu lui dis que ça prend une heure, tu secoues la tête négativement. « Ça va bien se passer. » Que tu lui dis avec un doux sourire. Tu voulais qu’il te fasse confiance, Hunter. Tu apprenais qu’il n’aimait pas parler. « Pourquoi? » Que tu lui demandes, curieuse. T’aimes parler, mais t’aimes aussi écouter. T’aimes découvrir quand c’est pertinent, t’aimes découvrir quand c’est positif. Ton agneau prend une grande inspiration. Il faisait des travaux communautaires et la première image que tu avais en tête, c’était celle avec l’habit orange qu’il dépeignait quelques secondes plus tard. Tu esquisses un sourire. « Promets-moi que tu garderas cet ensemble orange pour moi lorsque t’auras terminé tes travaux. » Sourire en coin, tu l’avais. Petit fantasme, Mademoiselle Parrilla Caleruega? Clairement avoué. Tu comprenais maintenant qu’il s’était retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment. Tu le comprends mieux que quiconque, c’est l’histoire de ta vie. Tu l’écoutes se faire accuser d’une histoire pour quelque chose qu’il n’avait pas fait. Tu le regardais pleine d’empathie. « Tu ne mérites pas ça. » Que tu lui avoues doucement. T’allais tout faire pour le sortir de cette histoire. Il n’était pas un criminel, t’en étais persuadée. Tu remontes son menton d’un doigt et tu l’embrasses avec douceur. « Merci pour ton honnêteté. » Lui disais-tu, tes iris bruns plongés dans ses bleus.

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Je me sens fondre quand elle me sourit de la sorte. J’ai envie de la croire, de me dire que ça va bien aller, je veux juste que mon cerveau cesse de fonctionner pour un moment. Que les questionnements cessent et que je puisse profiter du moment. « Je n’ai jamais aimé le faire, je ne sais pas pourquoi. » Mais je vais le faire quand même, j’ai l’impression d’être spécial sous son regard. Je souris un peu plus franchement quand elle me demande de garder l’habit. « Des plans pour que je paye pour après… » J’essaye de voir ce qu’elle peut trouver sexy dans cet habit orange. « Je peux essayer de le garder. » Je sais que je ne devrais pas faire des travaux, mais mon frère non plus, surtout qu’il avait simplement voulu rendre service à quelqu’un. Mais sa réputation compte énormément, s’il veut pouvoir percer dans le théâtre. J’ai baissé le regard, mais elle ne me laisse pas faire. Je me sens déjà un peu mieux, j’ai même l’impression d’être récompensé par son baiser. « C'est normal je crois, je ne mens que lorsque je n’ai pas le choix… » Je me sens de plus en plus léger. Ma main s’aventure doucement vers son visage, caressant doucement sa mâchoire avant que mes doigts ne se perde dans ses cheveux.

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Tu savais que son cerveau allait se reposer quelques instants, tu savais qu’il se concentrerait sur quelques trucs qui auraient de l’importance au moment précis et rien d’autre. « Ah non? Parce que t’as l’impression qu’on t’ignore? » que tu lui demandes gentiment, les yeux brillants et attentifs. L’homme te dit qu’il va se retrouver à le payer, tu pouffes de rire alors qu’il allait essayer de le garder. Tu hoches la tête. « Je te le rembourserai, t’en fais pas. » Que tu lui dis en le tirant vers toi. Tu apprends que c’était normal, qu’il ne mentait que lorsqu’il n’avait pas le choix. « Et si je te demandais de me mentir, tu me dirais quoi? » Tu le regardes s’alléger doucement, tu le regardes prendre de l’assurance sur ton visage. Tu sentais sa main s’aventurer dans tes cheveux et toi, t’avais qu’une envie : l’embrasser sans arrêt. Ton cœur battait fort et il battait vite. Comme si t’avais été avec lui depuis de nombreuses années, tu te sentais précieuse, délicate même. Tu prends sa main libre et tu la glisses contre ton cœur qu’il devait sentir aussi vivant que toi. « Tu te sens vivant, Hunter? » Que tu lui demandes en le regardant droit dans les yeux, cherchant à percer tous ses secrets.

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Comment décrire la raison pourquoi je n’aime pas parler, que je n’aime pas être au centre de l’attention. J’aimerais que ce soit simplement parce que j’ai l’impression qu’on m’ignore. « Je me sens comme un imposteur, que je ne mérite pas cette attention. Je ne me sens pas assez intéressant pour ça ! » Je n’ai jamais eu une personnalité explosive. J’ai eu souvent l’impression qu’il était mieux pour moi d’être discret ! Ce que je ne suis pas quand je porte l’uniforme orange. « Dans ce cas je ne pense pas que je risque grand chose alors ! » Si ça peut lui faire plaisir et qu’en plus elle le paye. Si je lui mentais ? « Probablement que tu vas finir par être folle de moi a cause de ma personnalité exceptionnelle ? » De l’autodérision, oui, parce que c’est clair que cette fille ne pourras jamais vraiment tombé amoureuse de moi. Peu importe ce qui se passe, c’est simplement l’effet de la drogue, je me sens de plus en plus à l’aise et j’apprécie qu’on se rapproche encore, qu’elle veuille être encore plus en contact avec moi. Mes doigts s’enroulent maintenant dans ses cheveux et elle prend ma main et la pose contre son coeur qui bat vite. J’ai aussi conscience de sa poitrine qui monte et descend au rythme de sa respiration. « oui. » Je souffle doucement pendant que ma main qui avait contre son coeur descend vers un de ses seins que j’effleure doucement, n’osant pas la caresser directement.

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Il se sentait comme un imposteur, comme s’il ne méritait pas cette attention. Tu fronçais les sourcils. « Et si je t’assurais que tu la mérites, cette attention? » Que tu lui demandes gentiment. C’était bien les personnes discrètes, tu aimais les découvrir. Tu te plaisais à dénaturer Hunter un peu dans le contexte. L’homme te confessait qu’il ne risquait pas grand-chose et à son oreille, tu allais lui murmurer tout ce que tu ferais après lui avoir retiré cet habit orange. Il te mentait par la suite, tu souriais malgré toi. « Prends le pas mal du tout, mais je ne suis jamais tombée amoureuse. Ça relèverait du miracle à ce moment-là, parce que visiblement, j'ai un coeur de pierre. » Que tu ris doucement. Pourtant, tu n’as aucun mal à croire qu’Hunter pourrait te charmer. Tu poursuivais ta pensée : « Je pense par contre, que tu as effectivement une personnalité exceptionnelle. » Et ça, tu le pensais réellement.

Il se rapprochait de toi, ses doigts enroulaient des mèches de tes cheveux. Il se sentait vivant, il te l’avait dit. Tu regardes sa main qui semble timide au fil que ta poitrine monte puis descende. « Tu peux. » Que tu lui disais pour le mettre en confiance et non pas pour le forcer. « Tu peux tout faire, Hunter. » que tu lui disais. Tu le lui permettais. Tu te sentais vivante, même s’il ne te touchait pas ou à peine. Tu déglutissais avec difficulté et tu réalisais à quel point t’avais envie de lui, ce désir inhumain. Tes lèvres allaient chercher les siennes et tu espérais qu’il franchisse cette ligne imaginaire qui vous privaient l’un de l’autre.

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Ouf, pourquoi est ce qu’elle est si gentille avec moi et qu’elle me donne cette envie de la croire. J’aurais envie d’être important à ses yeux. Même si elle essaye de me faire croire que je le suis, elle ne me connaît pas, elle va finir par se rendre compte qu’elle s’est trompé, que je n’ai rien de passionnant à lui offrir. « Je ne pourrais pas mal le prendre puisque je te mentais. Je me doute bien que quelqu’un comme toi ne puisse pas tomber amoureuse de moi… » pourtant, c’est quand même moi qui suis couché dans son lit avec elle, c’est avec moi qu’elle parle, je me sens rougir sous le compliment. Rare les fois où j’ai eu ce sentiment, rare les fois où j’ai eu l’impression qu’une fille me voyait vraiment. « Merci. Je ne sais pas quoi dire ! »

Maintenant on est si proche, je sens presque son souffle contre mon visage, ma main descend lentement sur sa poitrine sans oser la toucher. Je lève les yeux vers elle quand elle me dit que je peux. Je me mord la lèvre et je pose timidement ma main sur son sein que je me mets à tâter doucement. Je me sens devenir plus dur au niveau de mon entre jambe. J’écarte le bonnet pour pouvoir sentir sa peau avec la pulpe de mes doigts. Wow, elle est parfaite, sa peau est si douce et chaude. On s’embrasse de nouveau et la main qui était dans ses cheveux se pose sur sa nuque pour pouvoir prolonger encore le baiser, j’ai envie de sentir son corps tout entier sur le mien. Ma main qui est sur sa poitrine agrippe plus fermement son sein. « Tu es tellement belle et douce… » Je me relève un peu pour essayer de détacher son soutien gorge. Pour voir ses seins bouger sans cet attirail.

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Il ne pourrait pas mal le prendre qu’il te disait, il te mentait. Tu secouais la tête négativement. « Je ne te connais pas assez, mais je suis persuadée que tu saurais me faire chavirer. » Que tu lui dis. Après tout, ton cœur bat si fort à ses côtés, tu ne saurais faire autrement. Il te remerciait pour le compliment et tu hochais la tête avec un sourire. « Quand tu veux, bel homme. »

Si proches, si frêle. Il relevait son regard dans la tien et finalement, il pose sa main sur ton sein. Il semble prendre en assurance et doucement, tu l’embrasses. Tu décides que c’est toi qui lui mordille la lèvre, pas lui. Tu remarques une bosse au niveau de ton bassin et tu esquisses un sourire. Tu le sens avoir envie du baiser davantage et l’intensifier. À son compliment, tu rougis. T’es pas habituée de recevoir des compliments dans ce contexte... T’as plus l’impression que tu fais l’amour que t’es réellement en train de baiser… mais t’as jamais fait ça, Cleo. Tu te prêtes au jeu et tu frissonnes en sentant sa main sur son attache, tu viens l’aider en douceur puis tu t’attaques à son jean que tu détaches pour le libérer un peu. « Je suis contente que tu sois là. » Que tu parviens à lui dire entre deux baisers passionnés, deux baisers bien réels. Ton cœur bat à tout rompre. T’avais besoin de lui, tu ne savais pas comment, tu ne savais pas pourquoi, mais t’avais besoin de lui. Peut-être ce que t’avais consommé précédemment t’aidait dans tout ça… Doucement, tu caresses sa mâchoire, ses lèvres, son cou… Tu le regardes. « Tu me fais fondre. » que tu lui admets. Toi, t’as jamais ressenti ça avant, c’est spécial avec Hunter, c’est différent de tout ce que t’as connu.

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Je roule les yeux, non elle ne sait pas de quoi elle parle et elle ne sait pas à quel point je peux être ennuyant. Je ne suis qu’un simple comptable, qui passe des heures derrières un écran à créer des tableaux Excel. Je me contente de sourire sans rien ajouter, si elle peut bien avoir l’image qu’elle veut de moi, c’est flatteur un peu et c’est rare que je laisse ce genre de traces. Encore une fois je rougis sous le compliment. Je ne me considère pas comme beau, ni comme spécial, mais elle… elle pourrait facilement être sur des affiches tellement elle est belle. Sa peau doré, ses opales noir qui me donnent envie de me perdre. Je me pince, pourtant je ne rêve pas.

Je me sens planer doucement, le moment est doux et je me sens léger, peu à peu mes tourments me quittent et je peux me concentrer sur elle et uniquement sur elle. Mentalement, je me fais quand même la comparaison avec Mary, jamais ça n’a été comme ça, jamais je n’avais été embrassé comme Cleo le fait actuellement. Je me permets de découvrir la sensation de sa peau contre la mienne, de presser son sein dans la main. Je ne me tannerais pas de la toucher. Son contact me fait frissonner et je sens mon désir qui monte en crescendo. Elle m’aide à retirer son soutien-gorge. Je souris… « Je suis content aussi… » maintenant je retire ma chemise qui était déjà déboutonner. Nos lèvres se détachent rarement l’une de l’autre et pourtant j'ai envie de goûter sa peau, voir si elle est aussi délicieuse qu’elle est douce. Mon jeans est détaché et mon érection est encore plus visible. Je ne sais pas quoi lui répondre, mais ma bouche va embrasser son cou et je descends tranquillement vers sa poitrine. « Je n’ai jamais ressenti rien de tel… » Que je dis après avoir lâcher son sein, mes doigts jouent doucement avec son autre mamelon. Je crois que j'ai de quoi faire pour un moment encore. Elle est si précieuse…

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Il rougit de nouveau et tu commences à apprécier le fait de le rendre timide. Ça t’amuse un peu. Tu le vois planer, t’es persuadée qu’il plane, lui aussi. T’en as besoin. T’es si bien comme ça. Il admettait qu’il était content lui aussi d’être avec toi. Tu le vois retirer sa chemise et tes mains passent sur son torse, sur ses abdos, dans son dos… Tu n’as qu’une envie : le toucher dans son entièreté. Tu frissonnes juste à l’idée de le découvrir comme personne ne l’a jamais fait. Tu lui fais tomber son pantalon sur le sol avec tes pieds. Tu vois son érection et t’es allumée, t’es persuadée que t’es déjà toute mouillée. Doucement, tu passes ta main par-dessus son membre toujours camouflé sous le tissu. « Waouh. » Que tu souffles, tu le découvres si bien membré. T’avais déjà envie de lui et pourtant, tu savais que chaque étape préliminaire méritait d’être savourée. Tu le laisses s’emparer de ton cou, de ta poitrine. « Moi non plus… » Que tu lui souffles alors que tu le laisses découvrir ton corps. Tu redécouvres le tiens comme si c’était la première fois. « Ne pars pas. » Le suppliais-tu quelques instants. Tu reprends le contact avec ses lèvres un moment. « J’ai envie de toi. » Que tu lui souffles alors que tes mains s’aventurent vers son boxer. Tu joues avec l’élastique pour ensuite le faire descendre, le cœur battant à tout rompre. Tu ne t’attaques pas à son entre jambe immédiatement, tu caresses ses fesses, ses hanches, son V. T’avais l’impression de redevenir pucelle.

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Son contact me fait frissonner, c’est agréable de se sentir désiré de la sorte. J’ai l’impression que tous les deux on a besoin de ce contact, comme si c’était la chose la plus importante en ce moment, comme si c’était une urgence capitale. Peu de temps après qu’elle ait enlevé son soutien-gorge et moi ma chemise, mon pantalon rejoint le sol. Le souffle me manque quand sa main touche ma virilité, mon dieu, il y a si longtemps que personne d’autre que moi n’avait posé sa main dessus. Son exclamation me surprend, elle a dû en voir bien d'autres avant, non ? Je lève les yeux vers elle, puis ma bouche reprend la sienne avant de partir à la conquête de ses courbes. « Tu es tellement femme, tellement belle ! » Je désire plus que jamais lui apporter du plaisir. En un instant je suis devenu un animal, qui a envie d’elle, jamais je n’ai désiré autant une femme avant. « Pourquoi je partirais maintenant ? » Ai-je l’air de vouloir partir ? Ses mains s'aventurent sur moi, je laisse échapper un soupir de désir. J’ai une de mes mains qui va agripper son postérieur, le pétrissant. J’ai envie qu’elle me touche, j’ai envie de la sentir, de me sentir à l’intérieur d’elle et là posséder. Je me redresse pour lui retirer sa petite culotte, puis je me place au-dessus d’elle, les mains chaque côté de sa tête pour l’embrasser.

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C’était ce dont tu avais besoin, c’était ce que tu voulais. Ce besoin inhumain, animal, bestial, essentiel même. Son regard remonte vers le tiens et tu rougis à son énième compliment, t’étais pas préparée pour ça. « Et toi, tellement beau dans ton entièreté. » Que tu confessais en te promettant d’en profiter au maximum. Il te demandait pourquoi il partirait maintenant et tu secouais la tête négativement, tu ne voulais pas t’imaginer aucune raison qui puisse le faire partir. Lui aussi découvre tes fesses et toi, tu t’avances vers son intimité que tu caresses avec douceur. Tu réalises sa raideur et tu réalises aussi à quel point t’as envie de lui. Il se redressait et retirait ton dernier rempart, t’offrant à lui. Tu sentais ses lèvres retrouver les tiennes et tu en profitais pleinement. Tu écartais tes jambes et tu l’entourais de celles-ci. Il te coupe le souffle, tu ne tardes pas à le sentir te pénétrer et tu laisses échapper un gémissement de plaisir et de bonheur. T’en avais envie, mais même besoin, c’était viscéral. Tu caresses sa peau et tu ondules le bassin pour mieux le sentir en toi.

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Tu le voyais rougir et toi, ça te faisait sourire. Tu le caressais doucement, ses lèvres rejoignaient les tiennes et ses mains te découvraient peu à peu. Il retire ton dernier rempart et il ne tarde plus à quitter le sien. Il te coupe le souffle d’un coup et le mouvement de va-et-vient te fait soupirer et t’arraches quelques gémissements au passage. Ses lèvres dans ton cou te faisaient flancher et tu te cambrais pour profiter de tout ce qu’il t’apportait. Tes jambes se retrouvaient contre son torse, chaque côté de sa tête. Tu soulevais ton bassin et tu gémissais chaque fois qu’il te pénétrait profondément. Tu le laissais prendre son pied un moment pour à la suite, descendre tes jambes et rouler par-dessus lui où tu lui offrais un girl on top mémorable avec tes hanches en cascades et une vue toute offerte sur ton corps.

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Cette pilule me donnait les ailes et la facilité d’agir, oubliant mes craintes. Profitant des frissons que nos caresses déclenchent en moi. Nos corps se répondent mutuellement, bougeant pour profiter de la proximité de l’autre, parce que ce désir est plus puissant que tout. Je continue de la découvrir, de la goûter, la plaçant différemment, laissant sortir de mes lèvres des gémissements de plaisir. Je me retrouve ensuite sous elle alors qu’elle me chevauche. Je ne peux détacher mon regard de son corps, de ses seins qui rebondissent au même rythme qu’elle descend sur moi. Je soulève mon bassin pour aller à sa rencontre. Mes mains se posent de nouveau sur ses fesses. Je me redresse pour me retrouver assis et ralentir la cadence pour faire durer encore le moment, me sentant sur le bord de l’explosion. Après l’avoir regarder dans les yeux, je pose une main sur sa nuque pour rapprocher son visage du mien et l’embrasser pendant que son corps ondule encore.

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T’étais plus facile quand t’avais ta came dans le corps. T’étais plus douce, plus légère et plus rien ne semblait te préoccuper. L’homme semblait en bénéficier également, vous étiez deux êtes occupés à planer l’un avec l’autre, l’un sur le corps de l’autre. Il continue de te connaître, de te découvrir. Il dénudait ton âme avec ses baisers, ses caresses et tu ne l’empêchais pas de le faire, bien au contraire, tu l’encourageais. Tu le chevauchais pour mieux reprendre le contrôle, t’étais bien installée à califourchon pour qu’il te découvre d’un autre angle. Il sait bouger ses hanches pour que tu le sentes bien et t’arraches quelques autres gémissements au passage. Ton corps bouge contre le sien et tu l’embrasses, encore. Tu planes, encore. Tu te liquéfies doucement à son contact ultime et tu soupires de plénitude. Tu t’allonges finalement à ses côtés, ta tête sur son épaule et ta main contre son torse. « T’es un amant merveilleux. » que tu lui confiais doucement en te promettant de le rappeler si tu ne trouvais personne à sa hauteur en Australie. Ce n’était pas peu dire parce que tu ne recouchais que très rarement avec les mêmes personnes. « Tu crois que lorsque tu partiras, je pourrai te rappeler? »

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