oh dear we are in trouble (fede)

Une grande annonce, de l’alcool et deux meilleurs potes. Il n’en fallait pas plus pour que la soirée dégénère. Sur le papier ça ne partait pas très bien déjà puisqu’ils s’étaient plus ou moins dit que leur soirée ne serait pas toute tranquille. Perry ayant quelques trucs à oublier, il a un peu plus forcé que d’habitude sur l’alcool, histoire de se mettre bien dans l’ambiance avec son meilleur ami. C’est ainsi que, complètement bourrés tous les deux, ils ont eu la brillante idée, enfin Perry surtout puisque quand il s’agit d’avoir une idée de merde on peut compter sur lui, d’immortaliser cette soirée à l’aide d’un tatouage. Et les voilà rendus tous les deux au salon de Fede, puisqu’aller voir un tatoueur non bourré n’était pas assez aventureux pour eux. Encore jamais tatoué, c’est le jour qu’a décidé Perry pour se lancer, les fesses à l’air sur la table de son meilleur ami. Parce que quitte à se faire tatouer bourré, autant le faire sur les fesses pour rester dans le bon cliché, et parce qu’il ne résiste pas à l’envie, surtout en ayant bu, de s’exhiber un peu. « Ah !!!!! » crie-t-il à peine le tatouage commencé. « Ça fait putain de trop mal ! » Il n’a pas encore assez bu pour que la douleur soit totalement passée. « Nan mais….un demi tatouage c’est bien. » Déjà qu’il n’avait pas de grandes ambitions pour ce tatouage mais là, il va juste se retrouver avec un vieux truc pas fini et sans doute pas très bien fait, malgré le talent de son meilleur ami.

la mise en image de ce moment :
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C’était une soirée bien arrosée que vous aviez passé avec ton meilleur ami. Mais en même temps, il fallait fêter le fait que tu allais bientôt être père. Et tu savais que des soirées comme ça, tu n’en referai pas de si tôt. Leti n’avait pas trop eu envie que tu sortes ce soir, mais elle comprenait que tu avais besoin de voir tes potes et que tu voulais surtout passer un bon moment avec Perry. C’était tellement une soirée what the fuck, que vous aviez fini à ton salon de tatouage et tu étais entrain de tatouer ton meilleur ami. Quelle idée ? Celle de deux hommes complètement bourrés qui ne savent pas trop réfléchir à ce moment. Tu as les mains sur les fesses de ton meilleur ami, ta machine à tatouage sur sa peau, tout va bien ! « Chochotte va ! » dis-tu avec un gros rire bien gras. Tu n’allais pas le laisser avec un demi-tatouage comme il te le suggérait, c’était trop facile. « Mec, on fait la connerie jusqu’au bout ! Tu te défiles pas » dis-tu en reprenant de l’encre sur ton aiguille. Tu n’allais pas le laisser s’enfuir avec deux traits sur ses fesses, sinon c’est pas marrant.

Pour une fois Perry aurait sans doute apprécié que son meilleur ami soit plus responsable que lui et dise non à ses conneries, sauf qu’il ne l’a pas fait. Ils regretteront sans doute tous les deux ce moment le lendemain, surtout celui qui se retrouvera avec un dessin abstrait sur la fesse. Trop peu courageux malgré l’alcool ingurgité, Perry ne tient pas en place et finit par demander à son ami d’arrêter le supplice même s’il vient seulement de commencer. Fede ne compte pas s’arrêter là et il veut bien finir ce tatouage qui part déjà très mal. « Mais oui j’ai aucun courage j’admets ! » crie-t-il presque, se disant que ça l’aidera sans doute à le sortir de cette situation. Son ego n’aime pas franchement ça mais quiconque le connaît sait que le courage ne fait pas vraiment parti de ses qualités. « J’adore que tu m’touches les fesses mais franchement ça n’en vaut pas la peine ! » ajoute-t-il à l’attention de son bourreau du soir. Il continue à se tortiller puis se retourne sur le côté pour que sa fesse ne soit plus accessible à l’aiguille de Fede. « T’façon qui le verra ? On s’en fout s’il est pas fini ! » Techniquement il risque d’y avoir des gens qui le verront, déjà Jackson qui risque bien de se foutre de lui en le voyant et éventuellement d’autres personnes s’il ne finit pas sa vie avec son petit-ami actuel, ce qui le connaissant risque bien d’arriver. Au pire il existe le laser, non ?

Ça te faisait rire de voir ton meilleur ami se tordre sous tous les angles quand l’aiguille approchait de sa peau. Tu faisais de ton mieux pour faire quelque chose de joli, même si on va pas se le cacher mais tu étais complètement saoul. C’était pas l’idée du siècle que vous avez eu là, tous les deux. « T’es plus fort que ça, dude » dis-tu dans un rire en remettant de l’encre sur ton aiguille, en cherchant un peu le pot. C’était vraiment pas une bonne idée. Mais bon, tu étais un artiste accompli, tu pouvais bien tatouer quelqu’un avec un petit degrés d’alcool dans le sang, non ? Tu reposais l’aiguille sur la fesse de Perry mais il ne semblait pas du même avis que toi, puisqu’il se tournait et faisait en sorte que tu ne puisses pas accéder au tatouage que tu avais commencé. « Mais si, mec ! Ça en vaut laaaargement la peine » dis-tu avec un rire. Peut-être pas. Tu restais fixe en le regardant, lui faisant presque un regard accusateur alors qu’il te disait qu’on s’en foutait si c’était pas fini. « Ton mec le verra, non ? Alors, on continue ! » dis-tu en attrapant sa fesse et en le faisant rouler sur le côté. Tu réessayais de le tatouer mais il se débattait et tu posais la machine sur la table. « Okay, j’abandonne mais c’est pas ma faute si t’as une demi-part de pizza sur le cul » soufflas-tu avec toujours un léger rire.

Fede doit bien savoir que non, même avec de l’alcool dans le sang, il n’est pas plus fort qu’une aiguille. S’il n’a pas trouvé l’idée si débile quand ils ont commencé à l’évoquer en buvant, une fois les fesses à l’air et l’aiguille sur sa peau, il a bien regretté cette idée. S’il a pu tenir quelques secondes pour avoir quelques traits sur la fesse, le reste est insoutenable pour lui. Il ne risque pas de finir tatoué comme son meilleur ami, c’est certain. Celui-ci essayait de le rassurer pour qu’il puisse terminer son tatouage à la qualité approximative due à la fois à l’agitation de Perry et à leur taux d’alcool dans le sang. Le jeune homme tenta de dire que de toute façon personne ne le verrait, sauf qu’il a bien trop tendance à s’exhiber pour que ce tatouage passe inaperçu, fini ou non. « Il va s’foutre de moi dans tous les cas ! » argumenta-t-il. Jackson ne risque pas de manquer une occasion de se foutre de lui. Heureusement qu’il ne connaît pas ses amis, sinon Perry est presque certain qu’il en profiterait bien pour leur raconter cette petite histoire. Enfin, il risque bien de la raconter à ses proches, il n’a pas peur d’avoir l’air con devant eux, il ne parlerait pas beaucoup sinon. Fede tenta une nouvelle fois de poser l’aiguille sur la fesse de Perry, mais celui-ci se tortilla encore en poussant des cris. Les voisins vont finir par se demander ce qu’il se passe. « On n’avait pas dit un mojito ? Nan mais une demi-part c’est bien. » se justifia-t-il. « Ça va m’faire mal encore combien de temps ? » Il n’a pas franchement pensé aux conséquences, évidemment, comme la protection après le tatouage ou ce genre de choses. Il n’y connaît rien de toute façon.

Vous en aviez fait des conneries tous les deux, mais là, c’était bien une des pires que vous pouviez faire. Tu étais tout de même concentré, même si la téquila prenait le dessus sur tout à ce moment même. Mais quand il s’agit de tatouer, tu étais toujours focus au maximum. T’avais juste la vue un peu plus embuée. « Autant qu’il se moque de toi mais que tu ai un truc propre sur les fesses » dis-tu en essayant de reposer l’aiguille sur la peau de ton meilleur ami. Il se débattait comme il pouvait et puis tu n’avais pas la force de l’arrêter. C’était peine perdue mais tu voulais quand même aller jusqu’au bout. Quand Perry te demanda si tu n’avais pas plutôt fait un mojito, tu faisais une mine de désolé. Tu t’étais totalement trompé dans le dessin. « Un mojito, une pizza, c’est quand même quelque chose que tu aimes, right ? » dis-tu avec un grand sourire. Tu avais réussi à reposer l’aiguille sur ton ami, et tu continuais ton dessin. « En vrai, si je fais que les traits ça prends encore 15 minutes, paaaaas plus ! » dis-tu en levant l’aiguille. Tu faisais attention à ne pas déborder, vu qu’il n’arrêtait pas de gigoter dans tous les sens. « Pour la douleur, tu vas avoir moins mal quand j’aurai fini puisqu’on a pas mal picoler avant, mais demain quand tu vas t’assoir, ça risque de piquer… Et pendant quelques jours après » répondis-tu en reprenant ta concentration.

C’était vraiment une idée pourrie qu’ils avaient eu là. Enfin surtout Perry, il aurait dû savoir que ça lui ferait trop mal et que jamais il ne tiendrait. Mais avec l’alcool il a dû penser qu’il serait suffisamment courageux pour supporter une aiguille dans ses fesses pendant plusieurs minutes, au final il n’a pas tenu plus de quelques secondes. A présent il négocie pour que Fede arrête de massacrer sa fesse, en tout cas c’est ce qu’il ressent, il a l’impression de se faire charcuter. « Non autant que ça se voit pas beaucoup ! » rétorque-t-il, se disant, dans un élan de lucidité, que quelques petits traits seront plus simples à faire effacer qu’un tatouage complet, même s’il n’est pas bien énorme. Le mojito s’est finalement transformé en pizza mais Fede n’a pas tord, Perry aime les deux alors ce n’est pas si catastrophique. Celui-ci accepte quelques secondes de douleur à nouveau avant d’arrêter son meilleur ami quand il lui dit qu’il en a pour quinze minutes à peine. « Quoi ?! Non mais c’est mort ! » dit-il en secouant la tête, aucunement prêt à céder à nouveau ses fesses à son ami. « J’ai déjà eu mal au cul des lendemains de soirée mais au moins sur le moment c’était agréable, pas comme là ! » Il se plaint comme un enfant mais venant de Perry il ne fallait pas en attendre davantage. Il se retourne pour être sûr de ne plus avoir à subir l’aiguille de son ami. « Franchement pourquoi les gens s’infligent des trucs pareil ? »

Perry semblait avoir un moment de lucidité alors que l’aiguille était entrain de lui charcuter les fesses. C’était peut-être le temps d’arrêter ? Non, vu ton perfectionnisme, même en étant alcoolisé, tu ne pouvais pas arrêter en si bon chemin. Même bourré, tu voulais lui faire un tatouage digne de ce nom pour que vous vous rappeliez de cette soirée où vous aviez fait beaucoup trop de conneries. « Chochotte va » soufflas-tu avec un léger rire. Tu voyais qu’il supportait mal la douleur mais ça te faisait marrer d’un côté. Tu sais même pas comment vous en étiez arrivé là, mais c’était bien la première fois que tu tatouais sous l’effet de l’alcool. Et tu sais que tu recommencera surement pas à le faire. C’est pas très responsable et ça risque de se voir sur tes traits. « Perry, c’est rien, j’te jure j’ai bientôt fini ! » dis-tu en levant les yeux au ciel avec un sourire en coin. Tu le voyais essayer de se mettre dos à l’aiguille ou plutôt fesses à l’opposé de cette dernière. Tu riais en essayant de le remettre dans le bon sens. « Mec, tu peux pas me demander un tatouage et l’arrêter en plein milieu ! » ajoutas-tu avec un rire. « Les gens s’infligent ça parce que j’suis le meilleur tatoueur de Bowen et que je ne fais que des oeuvres d’art » dis-tu avec un regard de champion, assez fier de toi. C’était bien sûr de l’auto-dérision, tu ne le pensais pas mais l’alcool te donnait un peu des ailes.

Si sur certaines choses l’ego de Perry est plutôt surdimensionné, notamment en ce qui concerne la drague et sa capacité à mettre qui il veut dans son lit, sur d’autres choses il sait rester un peu plus humble. Il sait qu’il a relativement peu de courage et qu’il résiste assez mal à la douleur. S’il avait été un peu plus lucide et qu’il n’avait pas bu bien trop de mojitos pour fêter la future paternité de son ami, jamais il n’aurait accepté de se faire un tatouage. Heureusement, il a choisi quelque chose de plutôt petit mais pas assez à son goût pour que ça dure peu de temps. Les secondes lui semblent durer une éternité et il trouve tous les prétextes pour ne pas continuer. Seulement Fede, gardant son professionnalisme malgré les verres avalés, veut terminer le tatouage même si ça ne sera certainement pas son meilleur. « Mais oui ! » répond Perry en criant presque, se fichant bien de passer pour un froussard. Le tatoueur tente de le rassurer, lui disant qu’il a bientôt fini et que de toute façon il ne peut pas arrêter un tatouage en plein milieu. « Et pourquoi ? Je sais même pas pourquoi j’ai eu cette idée ! » se plaint-il avant que Fede ne lui explique que les gens se font tatouer parce qu’il ne fait que des œuvres d’art. « Un tatouage malabar ça aurait été très bien. » affirma-t-il avant de se lever de la table, les fesses à l’air en tenant maladroitement son pantalon pour ne pas tomber dessus. Il s’enfuit à l’autre bout de la pièce. « Nan mais promis j’te mettrais pas un avis pourri, pas besoin de continuer ! »

Tu ne voulais pas t’avouer vaincu malgré les réticences de ton meilleur ami sur son tatouage que vous étiez entrain de faire. Non, tu voulais le terminer. C’est le perfectionniste en toi qui ressort et tu n’allais pas te laisser faire. Après plusieurs tentatives à le retourner pour lui flanquer l’aiguille sur la peau, tu abandonnais en sortant ta frontale et en posant la machine. « Bon d’accord, t’as gagné » soufflas-tu en t’avouant vaincu, les mains en l’air. Mais tu voulais quand même faire quelque chose de propre. « Laisses-moi juste mettre de la crème dessus et nettoyer. Sinon, tu risque d’avoir une infection, et ça, ton mec va encore plus le remarquer » dis-tu avec un sourire en coin. Tu prenais dans ta déserte à côté de toi tout le nécessaire pour pouvoir désinfecter le tatouage à moitié terminé et que ça cicatrise comme il faut. Quitte à ce qu’à une prochaine soirée, vous puissiez le continuer. Tu y arrivera, à force d’insister. « Voilà, m’sieur la chochotte, c’est fini. La prochaine fois on fera un malabar » dis-tu avec un rire en enlevant tes gants.

En général les idées à la con de Perry se résument à tenter de faire autre chose qu’un mojito comme cocktail, mélanger un peu tout ce qui passe et arriver à un résultat aussi immonde visuellement que gustativement, vaut mieux rester dans ce qu’on sait faire parfois, ça vaut surtout pour lui. Pour avoir l’idée débile de se faire faire un tatouage, il a vraiment fallu qu’il boive beaucoup trop, ce qui ne lui était pas arrivé depuis un moment. Il passe beaucoup moins de soirées à finir complètement bourré depuis quelques années. Le fait d’avoir des enfants et un boulot l’a un peu forcé à se responsabiliser. Et comme il n’aime pas non plus particulièrement passer une journée au lit avec un mal de tête, il essaie de boire pas mal d’eau et d’alterner alcool et sans alcool. Bon ce soir il a un peu oublié donc la journée du lendemain risque d’être assez mauvaise. Fede abandonne finalement, Perry étant sans doute la pire personne qu’il ait eu à tatouer. « Oui vas-y, tu peux mettre autant de crème que tu veux sur mes fesses. » dit-il en souriant même si son meilleur ami ne pouvait pas le voir. Autant se faire tatouer la fesse était horrible pour lui mais voir son meilleur ami lui mettre de la crème sur la fesse l’était beaucoup moins. Au moins un truc de positif ! « Et puis avec un malabar on peut changer d’avis c’est pratique. » approuva-t-il. « J’crois que ça m’a bien fait désaouler de sentir une aiguille me traverser la peau. Quelle idée de merde franchement ! » ajouta-t-il en remontant son pantalon.

Même si tu n’aimais pas l’idée de laisser ce tatouage comme ça, tu ne pouvais plus lutter contre ton meilleur ami qui n’en pouvait plus de l’aiguille qui traversait la peau de ses fesses. T’avais capitulé, parce qu’il ne t’avait pas laissé le choix. Mais c’était quand même une belle idée de merde que vous aviez eu là, à vouloir tatouer alors que vous aviez deux grammes dans chaque bras. Vu que tu voulais quand même faire ça dans les règles de l’art, tu lui demandas si tu pouvais au moins finir les soins pour pas qu’il ait le cul infecté par des conneries. Et évidemment, il te laissait étaler la crème sur ses fesses avant d’y déposer un petit morceau de cellophane scotché sur son derrière. « Je sais que tu kiffes ce moment » dis-tu avec un rire en collant le dernier morceau de sparadrap sur sa fesse. « C’est vrai, mais là t’as ma trace à vie sur ton derrière, et ça c’est la classe » répondis-tu avec un rire. Il avait raison, cette connerie l’avait fait dessoulé mais toi aussi, vu que tu avais du pas mal te concentrer pour faire ça. « Moi aussi, j’suis lessivé » soufflas-tu simplement. « Je pense qu’on aura plus jamais ce genre d’idée stupide, n’est-ce pas ? » demandas-tu presque de façon rhétorique à ton meilleur ami.

Perry se sent soulagé de ne plus sentir l’aiguille lui traverser la peau, même si la douleur reste encore présente. Il espère que ça passera et qu’il n’aura pas mal trop longtemps. Quelle idée aussi ! « En vrai j’irais pas jusqu’à dire que ça valait le coup d’avoir méga mal avant, mais ouais c’est plutôt agréable de sentir tes mains sur mes fesses. » dit-il avec un sourire même si Fede ne peut pas le voir. S’il faut ça pour que son meilleur ami le tripote, bon, il s’en contentera. Heureusement qu’il a un petit-ami sur lequel il peut compter pour lui tripoter les fesses sans avoir besoin de se faire torturer avec une aiguille avant. « Ouais mais j’pense pas que mon tatouage te fasse une super pub. » répond-il en riant, sachant bien que les quelques traits qui ornent à présent sa fesse pour toujours ne représentent à absolument pas le talent de Fede. Cet événement les ayant bien réveillé, l’alcool se fait moins sentir et la stupidité de cette idée, ressort d’autant plus. « Ouais nan j’pense que là c’est bon, j’suis calmé. » dit-il en remettant son pantalon. Enfin, le connaissant il serait bien capable de retenter l’expérience dans quelques années, toujours un peu trop alcoolisé, en se disant que ça ne devait pas faire si mal et qu’il a sans doute exagéré. « Genre toi ça t’fait pas mal ? » demande-t-il, se demandant soudain comment les gens font pour ne pas hurler à la mort durant un tatouage.