| | Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l' Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite. |
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| I'll follow you my friend to the very end (samuel) | |
| | Auteur | Message |
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Woody Rutkowski MESSAGE : 4133 ICI DEPUIS : 03/10/2014 COMPTES : jackson & isaiah & concho & elmo & oskár & reyansh CRÉDITS : urochrome (a) & yourdailykitsch (g) & beloved (s)
STATUT : ⋄ oh, I wish you were right there to fight off the nightmares. you were the night light on a dark night like the stars. | Sujet: I'll follow you my friend to the very end (samuel) Sam 31 Déc 2022 - 0:39 | |
| 21 novembre 2022 tw : décès d'un parent, deuil
Quatre jours, quatre jours que Woody était à l’hôpital. On lui donnerait bientôt son congé, on le lui avait dit, il ne restait que quelques résultats de tests à analyser mais si tout était beau, il serait good to go. Mais avait-il réellement envie de partir, Woody ? Ici il n’avait pas trop besoin de vivre, pas trop besoin d’exister. Il pouvait juste être là. Sans rien dire. Sans rien promettre à qui que ce soit. Les médecins, les infirmiers ou les infirmières, les préposés et les préposées, n’avaient aucune attente envers lui. Hormis l’attente qu’il prenne du mieux et qu’il parte d’ici. Mais on ne s’attendait pas à ce qu’il se confie, à ce qu’il déverse ses larmes ou sa haine, à ce qu’il sourit un peu plus de jour en jour. On ne s’attendait à rien de ça lui, contrairement aux quelques visiteurs qui passaient dans sa chambre, de temps en temps. Ses frères, sa soeur. Son père. Ses amis qui se comptaient sur les doigts d’une main. Freja. Charlie. Charlie, celle qu’il avait déçu le plus sans doute, en se fermant à elle. Ils devaient se marier et pourtant il était encore incapable de vivre sa souffrance devant elle. Cela n’annonçait rien de fort, aucune base solide sur laquelle s’ériger. Woody était tout simplement incapable de vivre les émotions trop intenses, trop dures, qui tempêtaient en lui. Sa mère était morte. Partie de ce monde. Et c’était entièrement de sa faute. S’il n’avait pas été là, s’il avait été moins con, elle serait toujours parmi eux. Mais elle n’était plus là. Elle était là-haut, ou nulle part. Il ne voulait même pas se poser la question, ça l’effrayait trop.
Il tourna la tête vers la porte lorsque Samuel entra. Son ami d’enfance était déjà passé le voir à la première journée, mais à sa première visite il dormait, et à sa seconde, Woody l’avait envoyé balader, pas prêt à parler à qui que ce soit. Son ami savait mieux que quiconque qu’il fallait laisser à l’aîné des Rutkowski, du temps et de l’espace. Des jours et des kilomètres carrés pour s’en remettre. Il soupira en regardant son meilleur ami. « T’en as mis du temps, cette fois. J’dois vraiment avoir été virulent dans mes propos quand j’t’ai envoyé chier. » La vérité était qu’il ne s’en souvenait plus vraiment, Woody. Ses souvenirs des derniers jours s’emmêlaient, se confondaient, s’effaçaient. C’était la douleur qui gouvernait tout ce qui se passait dans son corps, dans sa tête. Pas la douleur physique, non. La douleur émotionnelle.
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| | | Invité | Sujet: Re: I'll follow you my friend to the very end (samuel) Sam 31 Déc 2022 - 3:05 | |
| tw : décès d'un parent, deuil, mention illusoire de violence domestique
L’horreur s’était affichée sur ton visage en apprenant le terrible accident de ton meilleur ami… Encore plus lorsque tu appris le décès de celle que tu nommais ma tante sans qu’elle ne soit reliée par le sang… Tu es resté sous le choc même. Le pire c’est que tu as essayé d’imaginer comment se sentait ton meilleur ami dans tout ça. Pourtant, quand tu étais passé, il dormait… Il n’était pas dans le meilleur des états, mais il se reposait. Le lendemain, quand t’es venu le voir… Et bien il t’a tout simplement envoyé promener. Dans le fond, tu n’attendais pas non plus à ce qu’il t’invite à rester. Tu le connais, tu sais comment il est. Ça t’a quand même blessé. Ça n’aurait pas dû puisque t’avais l’habitude. Mais cette fois, l’habitude était restée chez toi, au côté d’ton mari qui t’avais fait une scène puisque tu allais passer du temps avec un autre homme que lui. Il le connaît, non ? Il sait que c’est ton meilleur ami, ton frère… Le triplet qui complète le duo. C’est comme ton jumeau quoi ! Mais pas d’la même famille. Donc ouais, ça t’a blessé plus que tu ne voulais puisque cette fois-ci tu l’as pris sur toi. T’as absorbé ses conneries comme une éponge dans l’eau. Avec tout ça… Quand t’es rentré chez toi, bah, ton conjoint ta fait une crise de jalousie… Même si tu ne comprenais pas pourquoi. Le lendemain t’es pas allé parce que tu ne te sentais pas bien… Sinon t’aurais été, hein, Sammy. T’aurais passé la journée avec ton meilleur ami pour le consoler, pour l’épauler… Mais c’était à peine si tu pouvais seulement bouger tellement ton corps était fatigué. Le travail, la maison et toute cette inquiétude pour Clara et maintenant ton ami. Tu avais saturé.
Mais aujourd’hui, tu es de retour. Deux jours après, tu es là, entrant dans la chambre de ton ami avec deux cafés en main. Qu’il puisse ou pas, tu t’en fichais, tu te disais que ça peut peut-être le réconforter. T’avais des cernes qui paraissent. Des cernes qui démontrent la fatigue… Surement parce que t’as pleuré presque toute la nuit, fatiguer. Après tout, tu es en deuil toi aussi. Moins profond que celui qu’éprouve ton meilleur ami, mais d’entendre tes mères pleurées, leur meilleure amie. Ce fut assez déchirant pour ton cœur. Quelques maquillages ici et là pour essayer de cacher se manque de sommeil ainsi que ce nouveau bleu qui marque ta peau de ton beau visage d’ange. « Oh, tu sais… Ce n’était pas contre toi hein, je me suis dit que t’avais p't’être besoin de je te laisse digérer les mots que tu ma dit. » Mens-tu pour ne pas éveiller les soupçons. « Tiens… Ça peut peut-être te remonter, un brin, le moral. » Que tu dis en posant le café. Tu sais, y a rien qui peut monter le moral dans une situation comme celle-ci. Rien du tout. Mais tu seras là, même si tu étais le punching bag de ton ami, tu seras là, peu importe ce qu’il va te dire, te crier… T’insulter… Parce que t’es capable d’encaisser, Samuel. Il le sait et tu sais qu’il sait.
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Woody Rutkowski MESSAGE : 4133 ICI DEPUIS : 03/10/2014 COMPTES : jackson & isaiah & concho & elmo & oskár & reyansh CRÉDITS : urochrome (a) & yourdailykitsch (g) & beloved (s)
STATUT : ⋄ oh, I wish you were right there to fight off the nightmares. you were the night light on a dark night like the stars. | Sujet: Re: I'll follow you my friend to the very end (samuel) Sam 31 Déc 2022 - 18:41 | |
| Il était injuste, Woody, de chasser aussi cruellement son meilleur ami, pour ensuite lui reprocher à demi-mot d’avoir mis trop de temps avant de revenir. D’autant plus que le trentenaire ne savait même pas, au fond, s’il se réjouissait vraiment de la présence de Samuel. En tout cas, s’il était réjoui, clairement il fallait qu’il passe le message à sa tête et à son attitude. Il aurait préféré être seul, c’est certain, mais d’entre toutes les personnes qui auraient pu se pointer à sa chambre aujourd’hui, Samuel était l’une des présences les moins lourdes. Pourtant, Sam aussi avait perdu quelqu’un de cher dans cet accident. La mère des Rutkowski avait aussi joué un rôle important dans la vie des jumeaux, une tante sans en être une officiellement. Les deux familles s’étaient choisies. Le deuil était vécu par tout ce monde-là. Et encore une fois, Woody rejetait la faute sur lui-même, ce qui rendait la tâche si compliquée puisqu’il avait bien trop d’âmes à qui s’excuser. Mais s’excuser, il en était incapable, parce que cela impliquait de demander le pardon, à quelque part. Et le pardon, Woody ne le méritait pas. Pas cette fois. Le physiothérapeute détourna la tête au commentaire de son ami. Il n’avait pas osé repenser à son refus de recevoir Samuel dans sa chambre il y a deux jours. Ce n’était pas des souvenirs qu’il souhaitait revisiter. Il y avait peu de souvenirs qu’il voulait revoir, dernièrement. Chacune des visites de ses proches à l’hôpital se soldait par une dispute ou par des pleurs. « J’avais surtout besoin de temps, d’espace. De vide. » Parce que s’il n’y avait que lui qui se sentait vide et que le monde continuait de tourner autour de lui, c’était souffrant. Il préférait paralyser le monde en entier. Dans sa tête et dans son coeur, du moins. Samuel lui tendit finalement un café qu’il avait apporté pour lui, pour lui remonter un peu le moral. « Thanks. Ça fera changement du café qui goûte l’eau avec le petit-déjeuner. » Il tendit son bras gauche, l’autre étant hypothéqué, pour attraper la tasse en carton. « J’imagine que t’as raconté un peu à Clara dans quel état j’étais et qu’elle s’est dit qu’elle préférait éviter ça. Elle est la seule personne sensée d’mon entourage. » Lâcha-t-il sans même esquisser un sourire amusé, parce que amusé, il ne l’était pas.
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| | | Invité | Sujet: Re: I'll follow you my friend to the very end (samuel) Mar 3 Jan 2023 - 6:36 | |
| « Hmm » que tu lâches en avalant ta gorgée d’café. « Parce que tu crois que Clara aurait été capable de rester chez elle en sachant que t’es à l’hôpital ? J’t’en prie… Si tu penses ça, tu n’la connais plus. » Non, tu ne veux pas être amer… Mais la fatigue ne te rend pas très gentil. Tu grimaces en t’assoyant, tirant les traits de ton visage sans que tu puisses rester discret. Puis tu soupires avant de t’excuser, puisque c’n’était pas fair pour Woody d’avoir une telle attitude à son égard. « Désolé… Je n’ai pas été fair. » Trouvant maintenant une position confortable, tu regardes ton gobelet de café à la recherche du saint Graal… Tu penses, t’essayes de trouver les mots, mais t’arrives pas à le faire. C’est comme si ton cerveau était à off… Pourtant, t’as besoin d’être ici. De souffler, même si l’ambiance est aussi lourde que chez toi… Et Clara ? Pas question que tu la déranges, elle a assez souffert comme ça. « Et la seule personne sensée ? Tu n’es pas un peu de mauvaise foi ? » Que tu demandes cette fois en le regardant. « J’sais que ça ne va pas… Je… J’peux reconnaître ta souffrance, mais ne repousse pas les gens qui veulent t’aider. Enfin… Ceux qui veulent être là pour toi, même si c’est dans le silence et que tu préfères regarder le plafond. » Est-ce que tu devrais te taire, Sam ? Peut-être. Mais c’est dur pour toi… Tu parles trop normalement de toute façon, ton ami te connaît aussi.
Soudain, tu sens ton cellulaire vivré et tu regardes qui avait envoyé un message. Ton mari… Tu soupires en tapant un truc pour lui dire que tu étais avec ton meilleur ami, qu’il a besoin de toi. Sa réponse te fit froncer les sourcils. Mais tu ne réponds rien, plutôt, tu l’éteins et tu le mets dans tes poches, sans rien dire avant de reprendre ton café… T’aimes pas les hôpitaux. Tu détestes… T’as toujours ce sentiment que quelqu’un te suit en mangeant toute ton énergie. L’odeur stérile te pique le nez, réveille des souvenirs que t’aimerais oublier, ceux du début de ton enfer… « Tu as pu te reposer un peu aujourd’hui ? » |
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Woody Rutkowski MESSAGE : 4133 ICI DEPUIS : 03/10/2014 COMPTES : jackson & isaiah & concho & elmo & oskár & reyansh CRÉDITS : urochrome (a) & yourdailykitsch (g) & beloved (s)
STATUT : ⋄ oh, I wish you were right there to fight off the nightmares. you were the night light on a dark night like the stars. | Sujet: Re: I'll follow you my friend to the very end (samuel) Dim 8 Jan 2023 - 4:04 | |
| À travers les mots de Samuel, Woody comprit que Clara était sans doute passée à l’hôpital, sûrement à des moments durant lesquels il s’était assoupi. Dormir, c’était à peu près tout ce qu’il faisait ici, Woody. Pour reprendre des forces. Mais surtout pour oublier, pour que le temps passe sans qu’il ait conscience de son passage sans que sa mère soit de ce monde. « J’sais pas. C’est ce que vous auriez tous dû faire, après tout. » Lâcha Woody. « T’excuses pas. Y’a rien de fair de toute façon. » Dans tout. Dans rien. Le trentenaire commençait réellement à douter que cette vie puisse un jour lui apporter quoi que ce soit de bien sur le long terme. Charlie, sa fiancée, serait sans doute brisée de connaître les pensées qui l’habitaient. Elle avait été sa lumière dans les dernières années, mais cette lumière ne suffisait plus. Le trou noir en-dedans de l’aîné des Rutkowski avalait tout, même le plus beau. « J’ai toujours été de mauvaise foi, t’apprends vraiment quelque chose aujourd’hui ? » Woody il arriva même à esquisser un faible sourire, sur ce coup-ci, en détournant le regard et en secouant la tête lentement, de gauche à droite. « Les gens ont du mal à garder le silence. » Le physiothérapeute planta son regard dans celui de son ami d’enfance. Ça s’adressait autant à lui qu’à ses proches qui avaient voulu meubler le silence dans lequel il était pourtant confortable. Parler pour rien dire, dans des circonstances pareilles, très peu pour lui. Il regarda Samuel alors que ce dernier consultait son téléphone, peut-être pour finalement s’occuper à autre chose qu’à essayer de parler au mur que Woody était. Il remarqua le froncement de sourcils de son ami et continua à l’observer, sans relever pour l’instant, jusqu’à ce que Sam lui repose une question. Au lieu d’y répondre, il demanda : « C’était qui ? Y’a un problème ? » Il était peut-être centré sur lui-même, Woody, mais il connaissait assez bien son ami d’enfance pour déceler son trouble. __________________________
‾ ‾ ‾ ‾ ‾ ‾ ‾ ‾ ‾ ‾ ‾ ‾ ‾If we'd go again all the way from the start, I would try to change things that killed our love. Your pride has built a wall, so strong that I can't get through. Is there really no chance to start once again ? I'm still loving you ... ☾☾ |
| | | Invité | Sujet: Re: I'll follow you my friend to the very end (samuel) Ven 27 Jan 2023 - 1:23 | |
| Tu lèves le sourcil lorsqu’il te dit qu’il était toujours de mauvaise foi… Puis tu souris, ayant décelé le sien, même s’il était petit. Il te dit ensuite que les gens ont du mal à garder l’silence, te regarde droit dans les yeux avant qu’tu fuies son regard. — Mouais, peut-être. Que tu réponds en apportant ton gobelet de café à tes lèvres. Tu sais qu’il te pointe toi, plus que les autres… Puisque t’es une vraie girouette quand tu t’y mets. Même que t’as pas vraiment besoin de t’y mettre, c’est ton naturel, ton côté hyperactif qui t’a suivi tout le long de ta vie. Ta tête n’arrête jamais et parfois ça te fatigue tellement puisque t’aimerais être autrement. C’est aussi comme ça que les gens savent qu’si t’es silencieux, qu’un truc ne va pas. Comme lorsque tu prends ton cellulaire au moment qu’ta senti sa vibration. Ton mari qui t’envoie un énième texte pour savoir ce que tu fais… Quand tu lui a clairement mentionné un million de fois qu’tu venais rendre visite à Woody ce matin. T’as même froncé les sourcils à c’qu’il t’a répondu, ayant senti sa jalousie excessive, même à travers son texto. Tu sais que tu vas en entendre parler quand tu retourneras chez toi. Puis l’beau Woody ignore ta question pour focuser sur le texte que tu as reçu. — Tant fait pas, c’n’est rien. Que tu lui dis en reprenant ton café pour en boire une sip. Tu le regardes maintenant droit dans les yeux, changeant le focusse pour éviter de parler de tes problèmes. — Mais toi, t’as pas répondu à ma question, t’as réussi à te reposer aujourd’hui ? |
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Woody Rutkowski MESSAGE : 4133 ICI DEPUIS : 03/10/2014 COMPTES : jackson & isaiah & concho & elmo & oskár & reyansh CRÉDITS : urochrome (a) & yourdailykitsch (g) & beloved (s)
STATUT : ⋄ oh, I wish you were right there to fight off the nightmares. you were the night light on a dark night like the stars. | Sujet: Re: I'll follow you my friend to the very end (samuel) Dim 5 Fév 2023 - 1:09 | |
| Trois seuls mots pour répondre à cette remarque sur le silence, c’était déjà une bonne réussite. Samuel faisait du progrès, et avait peut-être compris le message plus ou moins voilé de Woody. Ce dernier reposa sa tête sur son oreiller, ne refermant pas pour autant ses yeux. C’aurait été quand même pas mal irrespectueux d’aller jusqu’à se bloquer complètement de la présence de Samuel. Il apprécia cependant ce court hiatus entre eux deux, jusqu’à ce que son ami consulte l’écran de son téléphone, visiblement dérangé par ce qu’il y lisait. Pour s’en détourner sans doute, Samuel brisa le pourtant précieux silence de son meilleur ami, en lui posant une question à laquelle Woody ne répondit pas. À la place, il le replongea dans ce qu’il avait vu sur son téléphone. « Ça n’a pas l’air d’être rien. » Répondit le trentenaire, qui cherchait une ouverture pour parler d’autre chose que de sa mère morte, que de ce foutu accident qui venait de bouleverser bien trop de vies en même temps, par sa faute. Il ne se réjouissait aucunement du malheur possible de Samuel, mais se tourner vers la misère d’un autre, ça lui donnerait au moins une petite pause dans sa tête. Ils étaient tous les deux têtus, cependant, et Samuel n’hésita pas à en revenir à sa question initiale, à savoir s’il avait réussi à se reposer aujourd’hui. Woody soupira. Lui aussi pouvait se montrer borné. « Tu crois vraiment que j’peux me reposer ici et dans ces circonstances ? Toi non plus, tu réponds pas à ma question, allez. Me dis pas que y’a rien parce que ta tête dit tout le contraire. » S’il insistait ce n’était maintenant pas juste pour que l’attention soit ailleurs que sur lui. Il s’inquiétait vraiment de voir son ami se défiler ainsi. __________________________
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