Non part ! Je veux pas d'un homophobe ! ♦ Balthasar & Kaliope

Trois jours que je suis dans cette hôpital. Je reste une semaine complète ici et franchement sa ne me fait pas vraiment plaisir. Mes poignées me font un mal mais pas possible et sa de plus en plus. Je dors, mon amoureuse est rentré chez elle pour la journée et la nuit, elle a besoin de voir sa famille. Je vais même être sa femme alors c'est vraiment merveilleux. Mes bras qui me font mal ne m'empêche aps de dormir et sa ne me fait pas plus mal qu'autre chose...

Balthasar venait de garer sa moto sur le parking de l'hôpital et il demanda ensuite une fois à l'intérieur où se trouver la chambre de Kaliope Stendort et on lui renseigna, malgré le fait qu'il la haïsse il avait tout de même fait l’effort de venir la voir, bon sûrement pour venir l'embêter encore un peu, mais de toute manière il était né pour faire chier son monde. La porte était entrouverte, le brunet passa la tête dans la chambre et lança un petit « Bonjour » de façon narquoise et narcissique. Il fit quelques pas, et vint poser ses fesses sur le fauteuil à côté du lit, sa cousine dormait, alors il attendrait qu'elle se réveille.

depuis que je suis à l'hôpital, c'es bien la première nuit que j'arrive à faire complète. Je me tourne, tourne au niveau de mon cousin mais je ressens comme une mauvaise présence se qui me fait réveiller. Je le vois, la, assis sur cette chaise. Comment ose-t-il venir me voir. Non ! Laisse moi ! PART ! Je cache mes poignées sous les drapts, a quoi bon qu'ils les voient, après tout c'est sa faute et celle d'eLliot aussi

Lorsqu'elle se réveilla enfin un sourire s'afficha sur les lèvres de Balthasar, bon il aurait préféré qu'elle ne se réveille pas mais il ne fallait pas trop en demander déjà que la voir sur un lit d'hôpital totalement anéantie était quelque chose de parfait. Le brunet la regarda de ses yeux noirs puis lui dit se fichant pas mal de ce qu'elle pouvait bien hurler « Si tu voulais mettre fin à tes jours il fallait me demander plutôt ! » il lâcha un rictus narquois puis repris « Franchement qu'est ce qui t'as pris de vouloir faire ça ? » D'ailleurs la jeune brunette devait se demander comme il était courant, c'était Eliott qui lui avait dit et d'ailleurs le MacCoghlan était certain d'être le seul de la famille à rendre visite à la Stendort.

Mon réveil n'est absolument pas celui que je m'attendais ! Je voulais me réveillé avec mon ange a mes côtés, qui me glisserai des mots doux. Non à la place 'jai mon cousin et je le détest au point qu'il me fait terriblement peur ! T'en révais que je meurs ! C'est tout se que tu souhaitais ! Je lui lance un regard noir m'asseyent sur le lit. Comment tu le sais hein ?Je le regarde, puis je reprends lui disent clairement. Tu crois pas que j'en ai marre ? Je ne supporte plus d'être rejeté par ma famille, au moment ou j'en ai le plus besoin ! A part Alexie j'ai personne alors en plus ? Qu'est-ce que sa peut bien te foutre ?!

Il lâcha un sourire à la réplique de sa cousine ne prenant pas la peine d'y répondre ouvrant plutôt ses oreilles quant au discours de la brunette. « Je sais tout ! » lui lança t-il alors pétant plus haut que ses fesses. Il soupira, puis l'écouta, il se fichait vraiment du bonheur ou du malheur de Kaliope de ce fait il répondit « Il fallait pas être lesbienne dans ce cas, tu n'aurais pas eu toutes ses dépressions. Franchement je pense qu'il faut se battre dans la vie et pas passer les bras à chaque coup dur, ça ne sert à rien il faut se relever et être plus fort » Il avait parlé avec son coeur, se remémorant son ancienne petite amie qu'il avait tué. « Mais ne sois pas trop satisfaite de ce que je te dis et ne vois pas en moi quelqu'un de gentil, je suis le mal incarné ne l'oublie pas. » Puis il se leva, marcha vers la fenêtre qu'il ouvrit et alluma une cigarette.

Je me rallonge posent ma tête sur l'oreiller en ferment les yeux et en me serent les poignées.Aie Se mot sort totu seul de ma bouche, e repose mon regard sur mon cousin. Si moi, j'avais une arme, mon frère et lui seraient mort. Tiens, mon couisin me aple sans sortir de mot vulgaire dans la bouche ! Veut-il une médaille ? C'est pas mon cerveau qui a décidé de se que je suis c'est mon coeur, et je refuserai jamais se que dit mon coeur. Coup dur ? Me faire frapper par mon cousin et mon frère tuu crois que je peux faire quoi moi ? J'avais plus que vous deux, et vous m'avez poignardez dans mon dos, exactement comme papa et maman Balthasar... Je laisse une larme me coulaient. Mais je reste sensible et Balthasar e sait. Quand nous étions proche ... Je lâche un soupire, puis il allume une cigarette Pas le droit de fumé dans les chambres ! Tu le sais ?

Une fois de plus il l'écouta se plaindre, comme toujours à croire qu'elle ne savait faire que ça. Il posa sa cigarette sur le rebord de la fenêtre et s'approcha d'elle, tenant son visage qui sentait le tabac à quelques centimètres du siens « Et alors ? Tu dois être bien plus forte que ça Kaliope, te laisse pas marcher sur les pieds putain ! Bouge toi le cul merde ! Moi je me bouge le cul et j'ai trouvé l'échappatoire à la douleur.. Tu crois quoi que la vie c'est le pays de bisounours redescends sur terre cinq minutes, la vie c'est une vraie merde mais moi j'y trouve un plaisir à vivre, entre les femmes, tuer et les drogues. Et toi visiblement tu as Alexie alors t'es pas seule rattache toi à elle et arrête de geindre ! » Il haussa des épaules, puis repartit vers la fenêtre arqua un sourcil aux mots de la belle et répondit « Je suis à la fenêtre ! »

Qu'est-ce qu'il croit ? Je me bats, je me bats plus que se qu'il pense mais à la fin,on craque. Certains craquent en pleurent, d'autre en tombent dans les pommes, moi je me suis tailler les veines. C'est tout à fait normal oui Kaliope! Il rapproche son visage du miens, je lâche une grimaçe Tu parles, quand tu te feras chopper par la police tu diras plus rien, et là je vivrai dans le monde des bisounours. Bordel niveau famille je suis seule sa tu piges pas ! Je le regarde puis il retourne fumé, je lance un soupire ne disent rien d'autre. DCette journée est un vrai cauchemar...

Balthasar était toujours à la fenêtre il écoutait alors sa cousine qui se plaignait encore, à croire qu'elle ne savait faire que ça celle là. Cigarette terminée, il la jeta par la fenêtre et vint poser ses fesses sur le canapé, et posa pour la suite ses pieds sur le lit d'hôpital de la jeune femme. Soupirant il lui demanda « Tu sais que je l'ai tuée ? » Kaliope allait parfaitement comprendre de qu'il parlait, il parlait bel et bien de Primrose.

Je regarde mon cousin qui pose ses fesses et ne s'emêche guerre de posé ses pieds sur mon lit blanc. Je redresse mon dos et je le regarde. Il me parle, et pour une fois, j'arrive à l'écouter en posent une simple question Mais tu l'aimais non ? Pourquoi ? Je reste calme, à quoi bon s'énervé ?

Balthasar se sentait terriblement idiot de se confier à sa cousine qui était bien la dernière personne avec qui il pouvait parler, il avait tellement honte en vue de son attirance pour les femmes. Il avait envie que d'une chose, se droguer, prendre du shit. « Ouais je l'aimais.. » Il lâcha un soupire, puis se remémora son visage, ses dernières paroles qui étaient « Attention Balthasar ! » et sans s'en rendre compte il les avait prononcé tout haut. Faisant la grimace il continua « C'étaient ses dernières paroles, elle est morte sur le coup et tu le sais je suis resté dans le comas. » La brunette voulu répondre, mais une infirmière se pointa, c'était l'heure du changement des pansements. Le MacCoghlan se leva et dit d'un ton assez calme « Bon je te laisse, prends soin de toi quand même.. Salut »

Tiens, pour une première fois, mon cousin se confie à moi et pour une fois, il ne m'insulte pas. Félicitation Bakthasar ! Tu as osé fire cela quand même ... ? Je le regarde, oui le regarde. Puis disent les derniers mots de son ex petite amie morte. Je ne réponds rien, c'est vr&ai que je ne connaissais pas vraiment l'histoire de lui et de son ex conquète. Je lui dit donc a la fin quand l'infirmière arrive. Balthasar...Merci !

Balthasar entendit alors le merci de sa cousine, il fit mine de rien, puisqu'il avait beau avoir montré un signe de compassion rien n'y changerait, il la détestait. Une fois dehors, il sentit l'air frais fouetter son visage, fouillant sa poche pour fumer une cigarette il se rendit compte qu'il ne les avait plus. Il les avait oublié sur le rebord de la fenêtre de la chambre de Kaliope. Il lâcha un soupir, et rebroussa chemin. Il traversa de nouveau le couloir, et une fois devant la chambre de sa cousine, frappa, il attendait une réponse, au cas où l’infirmière était toujours là.

[strikee]J'avais totalement oublier l'histoire des cgarettes [/strike] L'infirmiière prends mes poignée, elle enlève mon bandage et sesplutôt désagréable à voir.Les cicatrices se font ien voir et on voit du sang séché. L'infirmière menétoie ls poignées puis elle me refait un bandage. Ellesort, eton venait de frapper. Elle autorise ell mêm de faie entré et je revois mon cousin. Je reste assez surprise.[color=salmon]T'a oublier un truc?[.color]