Laisse moi me faire pardonner (Elmo)

tw : relations sexuelles

C’est vrai qu’à une époque, pas si lointaine que ça, Elmo s’était dit que Maxine était une sainte nitouche, une fille qui n’avait pas ou peu d’expérience, qui ne devait même pas aimer le sexe plus que ça. Il se basait sur pas grand chose pour penser ça, Elmo. Rien que le fait qu’elle n’ait jamais voulu quoi que ce soit de lui (jusqu’à aujourd’hui), lui avait fait penser ça. Elle était en train de lui prouver tout le contraire, et ce n’était pas pour lui déplaire. Elmo profitait de chaque seconde du côté control freak mais sexy de son ancienne collègue de travail. « Ouais, quand tu prends le lead comme ça, tu peux être bossy autant que tu veux. » Admit-il avec un sourire satisfait. Si au travail, il détestait qu’elle lui donne des ordres et s’arrangeait souvent pour faire tout le contraire de ce qu’elle lui demandait, là, il était complètement docile et soumis. Elmo aimait être en charge par moments, mais il aimait aussi quand la fille prenait les devants. Leur moment intense fut interrompu par la fucking pizza dont il n’avait même plus envie, là. « Ouais attends moi j’le suis pas ! » Et par chance il était rapide, parce que Maxine avait déjà ouvert la porte, se fichant bien qu’il ait la graine à l’air ou non. Elmo eut à peine le temps de croiser le regard du livreur, de toute façon, puisque Maxine lui avait rapidement refermé la porte dessus après s’être emparée de la pizza. Heureusement que maintenant, c’était simple de payer d’avance via l’app. Ça simplifiait ce genre de moment. « On peut la garder au chaud au four … J’sens qu’on en aura p’t’être envie, après, pour reprendre des forces … » Et sur ce, il enleva de nouveau ses caleçons, puisqu’ils étaient de retour dans leur intimité. Un sourire malicieux au visage, il s’avança vers Maxine, rétrécissant la distance entre eux deux. Il lui prit la boîte de pizza des mains et l’embrassa langoureusement au passage, avant d’aller mettre la pizza au four et d’allumer ce dernier à basse température. Il se tourna vers Maxine. « Bon … on en était où ? »