souvenirs tendres. (R)

La matinée de charlie passa rapidement ouverture à 6h30, elle servit les clients jusqu’à l’arrivée de ses serveurs à 8h. Et puis alla en cuisine faire quelques gâteaux, elle en mit de cotés pour ses employés parce qu’elle sait qu’ils adoraient manger des pâtisseries encore chaude mais surtout parce que charlie n’était pas non plus pour l’esclavagisme elle voulait être une patronne gentille et non tyrannique. Et elle prit le temps de rendre visite à son cher voisin, et puis rentra à son appartement pour manger. Malheureusement Ernesto dormait toujours et pas seul vu les vêtements qu’il y avait sur le plancher, elle avait plier les vêtements de son colocataire pour les mettre sur un meubles, pour bien lui montrer qu’elle était de retour. Elle mangea rapidement, très peu à vrai dire, mais elle ressortit de son appartement en vitesse, et sans faire de bruit parce qu’elle avait quelques courses à faire.
Elle alla en ville, sur la place déjà pour voir si son fournisseur officiel de légume et fruit était là mais elle se fit bousculer, la personne s’excusa (ce qui était rare de nos jours), et quand charlie regarda le visage de la jeune femme elle fut aussi stupéfiait que son interlocutrice. « Baliwe… » De bons souvenirs réapparus à sa mémoire, mais de mauvais aussi. Pour une fois charlie n’avait pas été celle qui abandonné les gens qu’elle connaissait ici, elle avait été l’abandonné, et puis Charlie se rappelle d’une forte amitié avec elle, mais quand elle partit B, ne voulait plus revoir Charlie et cela la blessa beaucoup surtout sachant que charlie n’est pas le genre de fille à donner sa confiance rapidement. Et malheureusement Baliwe lui avait montré que peut être elle devrait encore moins donné sa confiance aux gens . «  Et bien… ca fait longtemps. Qu’est ce que tu fais à Bowen, je croyais que t’étais aux USA. » Elle ne savait pas trop quoi dire, malgré tout elle n’est pas trop rancunière mais toute cette histoire avait été dure à encaisser pour charlie. Alors la voir ici, lui rappelle tout ça. Mais qui sais peut être qu’elles retrouveront leurs anciennes amitiés mais cela ne risque pas d’être simple.

Apparemment Baliwe était là depuis deux ans, pourtant Charlie été venue quelques fois avant de s'installer, et ne l'avait jamais vu avant aujourd'hui, charlie cependant  ce qu'était une opportunité au niveau du travail puisqu'elle avait cherché pour partir d’Angleterre et ouvrir une petite boutique et voilà qu'elle la trouva ici à Bowen. Ensuite B, lui demanda si elle comptait resté un peu ? C'était vrai que habituellement charlie reste six mois maximum dans un endroit, mais là elle avait réalisé son projet, son rêve et elle ne comptait pas abandonné si rapidement, sans oublier qu'il y avait des gens vraiment géniaux ici, d'autre moins, mais il faut de tout pour faire un monde, et puis elle aimait bien être à bowen c'était un petit havre de paix, un endroit calme c'était peut etre ce dont elle avait besoin au final. Elle regarda Baliwe avant de lui dire. " Non je reste... J'ai ma boutique, donc c'est une bonne raison de rester. Charlie's factory, si tu connais c'est à moi. " Charlie avait adoré cuisiner et encore plus quand il s'agissait de pâtisserie, cela avait été aussi une motivation pour voyager, et apprendre les coutumes et les recettes phare des pays, et cela se voyait dans la boutique on pouvait trouver des donuts, des cupcakes, des croissants, des forets noires. On trouver beaucoup de choses dans la pâtisserie, café de charlie et c'était pour ces raisons qu'elle avait tant de succès, en plus d'avoir des serveurs géniaux, des produits de bonne qualités et des gâteaux originaux aussi. Elle regarda Baliwe elle avait envie de lui dire qu'elle lui avait manqué, qu'elle aurait voulu qu'elles gardent le contact mais aucun mot ne sortirait de sa bouche. "Tu n'as pas changé n'empêches, toujours la même bouille." ajouta-elle souriant légèrement. Charlie non plus n'avait pas trop changé, elle était déjà grande à l'époque, et puis elle a toujours eut les cheveux roux, mais ils étaient beaucoup plus court à l'époque. Ses cheveux roux étaient sa fierté, ce qui la rendaient unique, car en Australie il n'y a pas beaucoup de roux, ni en Afrique à vrai dire.