| | Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l' Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite. |
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| (#38) please don't leave me. II. | |
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Auteur | Message |
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Invité | Sujet: Re: (#38) please don't leave me. II. Dim 4 Aoû 2013 - 16:11 | |
| Ils se regardèrent dans les yeux lorsque le baiser fut terminé. Il avait peur que Rae l’envoie bouler et s’en aille parce qu’il n’avait pas répondu qu’il l’aimait lui aussi, mais elle le comprenait et il l’aimait pour ça. Elle ne le blâmait pas de ne pas être le petit copain idéal qui je t’aime au bon moment et qui est parfait. Il n’est pas parfait, il est loin de l’être, surtout sur le plan amoureux où il a à peu près autant d’expérience qu’un geek pré-pubère. « moi aussi je veux que ça marche. » répondit-il lorsqu’elle lui dit qu’elle voulait que ça fonctionne entre eux. Après lui avoir dit cela elle déposa un baiser sur ses lèvres avant de dire qu’elle se fichait qu’il ne parlait pas beaucoup, et qu’elle parlait pour deux. « voilà, on est un couple équilibré. » dit-il en souriant avant de l’embrasser à nouveau. « du coup t’as encore des trucs à me dire ou…on peut passer à autre chose ? » d’un coup il avait bien envie de célébrer leur amour par autre chose que par des mots ou des baisers… |
| | | Invité | Sujet: Re: (#38) please don't leave me. II. Dim 4 Aoû 2013 - 16:32 | |
| C’était tant mieux si les deux voulaient que ça marche, parce qu’il fallait faire des efforts des deux côtés pour satisfaire le couple. Ils étaient un couple équilibré car ils se complétaient, elle parlait lui non, il cuisiner, elle non. Un couple parfait, et puis il lui demanda si elle avait encore un truc à lui dire ou s’ils pouvaient passés à autre chose c’est-à-dire dans la tête de kip, du sexe. Elle le regarda, se mordilla la lèvre. « Bah… Y a de forte chance que mon autre ex vient en ville puis que sa fiancée est là…. Mais bon même les deux réunis ils ne sont pas autant sexy, attirant que… toi. » Elle l’embrassa entre le que, et le toi, et ensuite elle l’embrassa de nouveau, elle lui prit la main et lui sourit avant de le tirer vers le canapé elle s’asseye. « On va rien faire aujourd’hui, parce que déjà tu dois te reposer t’as l’air fatigué, et ensuite j’ai un rendez-vous ce soir.. » ajouta-elle en regardant Kip, elle voulait prendre soin de lui un peu, elle voulait aussi le voir reposé. Elle avait ajouté un petit suspense elle avait dit un rendez-vous, mais avec qui. « Avec mon ordinateur, je dois finir mon livre ce soir pour l’envoyer demain à l’éditeur. » |
| | | Invité | Sujet: Re: (#38) please don't leave me. II. Dim 4 Aoû 2013 - 17:31 | |
| En fait Rae n’avait pas tout dit, Kip avait bien fait de poser la question. Elle lui avoua que son autre ex risquerait d’arriver également à Bowen puisque sa fiancée s’y trouve. Mais comme pour sauver la mise et pour ne pas que Kip crève de jalousie, elle lui dit que tous les deux réunis ils n’étaient pas aussi sexy et attirants que Kip. La flatterie, ça marche toujours. Il sourit à cette réflexion. Rae lui attrapa la main et l’entraina jusqu’au canapé, ils s’assirent tous les deux. Elle lui dit ensuite qu’il ne ferait rien ce soir car elle avait bien vu qu’il était fatigué. Il se dit qu’elle n’avait pas tort. Mais la dernière fois qu’ils s’étaient dit ça, ils avaient quand même finit par le faire. La demoiselle dit également qu’elle avait un rendez-vous sans préciser avec qui. Kip lui lança un regard suspicieux et remplit de jalousie. Elle finit par dire que c’était avec son ordinateur car elle devait finir son livre pour l’envoyer à son éditeur. « est-ce qu’en temps que petit copain j’ai le droit à une petite avant-première du livre ? » demanda-t-il en souriant. Il avait lu tous les livres de la demoiselle et avait hâte de voir ce qu’elle allait écrire cette fois. |
| | | Invité | Sujet: Re: (#38) please don't leave me. II. Dim 4 Aoû 2013 - 18:11 | |
| Elle était loin de s’attendre à ce que Kip lui demande de lire un extrait de son livre, elle le regarda en souriant. « Peut etre … On verra. » ajouta-elle en souriant, et puis elle eut une idée, et si elle venait écrire ici ce soir, comme ça elle pourrait surveiller kip, voir s’il se repose correctement et alors elle pourra lui lire des extraits. Elle se leva d’un coup l’embrassa et parti presque en courant en dehors de l’appartement, elle revint une vingtaine de minutes plus tard, son ordinateur sous le bras. « voilààà. » elle s’installa sur le canapé, alluma son ordinateur. « Tu sais ce livre, c’est un livre pleins d’émotions, il me reste un chapitre à écrire…et j’ai versé des litres et des litres de larmes en écrivant ça. J’espère que je ne dérange pas enfaite, en plus j’avais rien à manger donc double excuse. » Ajouta-elle en souriant. Elle vint le voir et l’embrassa de nouveau.
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| | | Invité | Sujet: Re: (#38) please don't leave me. II. Dim 4 Aoû 2013 - 18:37 | |
| Lorsqu’elle lui dit qu’elle allait peut-être lui faire lire son bouquin avant qu’il sorte, il fit une tête de chien battue tout en rigolant parce qu’il ne pouvait s’en empêcher. Puis elle l’embrassa avant de partir presque comme une voleuse. Il fut étonné, mais sur qu’elle reviendrait, elle ne la laisserait quand même pas ici sans lui dire au revoir. Il était sûr qu’elle avait une idée derrière la tête. Vingt minutes plus tard, elle revint, son ordinateur sous le bras. Il en avait profité pour préparer à manger, un petit gratin de pommes de terre et courgettes. Il était en train de cuire au four, et une odeur commençait déjà à se répandre dans l’appartement, ce qui a de quoi donner faim. Elle s’installa sur le canapé et alluma son ordinateur. Elle lui expliqua qu’elle avait beaucoup pleuré en écrivant ce livre et cela fit un peu de peine à Kip. Elle lui demanda ensuite si elle ne dérangeait pas à venir ici. Et qu’elle n’avait plus rien à manger. « nan, tu connais maintenant, tu fais comme chez toi. » en en revenant au sujet du livre il dit « donc c’est pas le même genre que certains que j’ai pu lire alors. » il parlait bien sûr de ses romans érotiques. |
| | | Invité | Sujet: Re: (#38) please don't leave me. II. Dim 4 Aoû 2013 - 19:02 | |
| Elle finissait par faire vraiment comme chez elle, mais bon c’était pareil pour kip dans son appartement donc bon c’était pas un drame, et puis être dans l’appartement de l’autre c’était aussi partager du temps ensemble, rien qu’eux deux faire ce qu’ils veulent. Elle avait donc fait un aller-retour chez kip pour prendre son ordi, et puis revint, elle lui parla de son livre, et il lui demanda si ce n’était pas du même type que les autres, elle le regarda en souriant. « Non. Je fais plusieurs types de livres, à vrai dire quand j’étais mannequin j’avais un blog d’écriture, c’était pour Ado, mais celui-là je pense que c’est pour tout le monde. » son ordinateur allumé, elle ouvrit ensuite word, et passa les quelques 150 pages, pour arriver à la fin, elle regarda et soupira. « Bon… Je verrais ça après manger, MAIS je vais te lire des citations des trucs qui sont tout au long du livre. Donc enfaite c’est l’histoire d’adolescents mourrants, oui c’est glauque mais pas que. » ajouta-elle en souriant, alors elle commença à lui lire certaines citations, certaines parlant de la douleur, des maladies, un sujet qu’elle avait connu après l’année passée avec sa mère, et puis aussi des sentiments amoureux, c’était un livre qui allait faire réfléchir les gens sur le sens de la vie, et des raisons pourquoi on s’attache.
- Spoiler:
« Tant qu’on ne l’allume pas, la cigarette ne tue pas, a-t-il déclaré. Et je n’en ai jamais allumé une seule de ma vie. C’est une sorte de métaphore. Tu glisses le truc qui tue entre tes lèvres, mais tu ne lui donnes pas le pouvoir de te tuer. »
"La seule chose qui craint plus que crever d’un cancer à seize ans, c’est d’avoir un gosse qui crève d’un cancer."
« Augustus s’est approché de lui. - Ça va mieux ? A-t-il demandé ? - Non, a marmonné Isaac, hors d’haleine. - C’est le truc avec la douleur, elle exige d’être ressentie, a acquiescé Augustus en me regardant. »
« - J’ai l’impression d’être une grenade, maman. Je suis une grenade dégoupillée et, à un moment donné, je vais exploser. Alors j’aimerais autant limiter le nombre de victimes ! Mon père a penché la tête de côté, comme un chiot qu’on vient de gronder. - Je suis une grenade, ai-je répété. Je ne veux pas voir de gens. Je veux lire des livres, réfléchir et être avec vous, parce que vous, je ne peux pas faire autrement que de vous faire du mal, vous êtes déjà dedans jusqu’au cou. Alors laissez-moi faire ce que je veux. Je ne fais pas une dépression. Je n’ai pas besoin de sortir. Et je ne peux pas être une ado normale parce que je suis une grenade. (…) En fait, ce n’était pas étonnant que je me sois crispée quand Augustus m’avait touchée. Être avec lui, c’était lui faire du mal, forcément. L’impression que j’avais eue lorsqu’il avait tendu la main vers moi, c’était de commettre un acte de violence, car c’est ce que je faisais. (…) Je voulais m’endormir avec mes écouteurs sur les oreilles, mais, quelques instants plus tard, mes parents sont entrés dans la chambre. Ma mère a pris Bleu sur l’étagère et l’a serré sur son ventre, mon père s’est assis sur ma chaise de bureau. - Tu n’es pas une grenade, a-t-il dit sans pleurer. Pas pour nous. Penser que tu vas mourir nous rend triste, Hazel, mais tu n’es pas une grenade. Tu es incroyable. Tu ne peux pas savoir, ma puce, parce que tu n’as jamais eu un bébé qui est devenu une jeune lectrice avisée, malgré son penchant pour les émissions télés épouvantables, mais la joie que tu nous procure est dix fois supérieure à la tristesse que nous ressentons face à ta maladie. »
« - Je suis amoureux de toi, a-t-il dit à mi-voix. - Augustus. - C’est vrai, a-t-il dit en me regardant, et j’ai vu ses yeux se plisser. Je suis amoureux de toi et je ne suis pas du genre à me refuser le plaisir de dire des choses vraies. Je suis amoureux de toi et je sais que l’amour n’est qu’un cri dans le vide, que l’oubli est inévitable, que nous sommes tous condamnés, qu’un jour viendra où tout ce qu’on fait retournera à la poussière. Je sais aussi que le soleil avalera la seule terre que nous aurons jamais et je suis amoureux de toi. »
« Je suis tombée amoureuse pendant qu’il lisait, comme on s’endort : d’abord doucement et puis tout d’un coup. »
Augustus : « Je ne t’en voudrais pas, Hazel Grace. Ce serait un privilège d’avoir le cœur brisé par toi. »
« - Augustus Waters, ai-je murmuré, les yeux levés vers lui. Je me suis dit qu’on ne pouvait pas embrasser quelqu’un dans la maison d’Anne Frank, puis j’ai pensé qu’après tout Anne Frank elle-même avait embrassé quelqu’un dans sa maison et qu’elle aurait sans doute été ravie que celle-ci abrite un jour l’amour de deux jeunes éclopés pour la vie. Et c’est là qu’on s’est embrassés. J’ai lâché mon chariot pour glisser ma main derrière la nuque d’Augustus. Il m’a soulevée par la taille et je me suis retrouvée sur la pointe des pieds, tandis que ses lèvres venaient à la rencontre des miennes, j’ai senti le souffle me manquer d’une façon à la fois nouvelle et fascinante. L’espace autour de nous s’est évaporé et, pendant un étrange instant, j’ai vraiment aimé mon corps ; ce corps détruit par le cancer que j’avais passé des années à trimbaler partout me semblait soudain valoir la peine de me battre pour lui, valoir la peine que je supporte les tubes dans ma poitrine, les cathéters et les trahisons incessantes des tumeurs. »
Augustus : « - Si tu vas au Rijksmuseum, ce que j’aurais adoré faire – mais qu’est-ce que je raconte ? Aucun de nous deux n’est capable de visiter un musée. Mais bref, j’ai regardé la collection du Rijksmuseum sur Internet avant de partir. Si jamais tu y vas, et avec un peu de chance, tu iras un jour, tu verras des tas de tableaux qui représentent des morts : Jesus sur la croix ; des types qui se font poignarder dans le cou ; d’autres qui meurent en mer ou sur un champ de bataille et une flopée de martyrs. Mais pas un seul enfant victime d’un cancer, pas un seul type qui meurt de la peste, de la variole, de la fièvre jaune ou d’un autre truc, parce qu’il n’y a pas de gloire à être malade, pas de sens à la maladie. On en retire aucun honneur à mourir de maladie. »
« Plus tard, après qu’on m’avait donné des médicaments, l’infirmière était entrée dans ma chambre pour prendre ma tension et elle m’avait dit en me caressant la main : - Tu sais comment je sais que tu es une battante ? Tu dis neuf quand c’est dix. (pour évaluer sa douleur) Mais ce n’était pas tout à fait vrai. J’avais dit neuf parce que je gardais le dix en réserve. Et voilà qu’il était là, cet énorme dix, qui me giflait à tour de bras tandis que j’étais allongée sur mon lit à regarder le plafond, les vagues de douleur me projetant contre les rochers, puis me tirant en arrière vers le large pour mieux me rejeter contre la paroi déchiquetée de la falaise, me laissant flotter à la surface, le visage tourné vers l’eau, sans me noyer. »
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| | | Invité | Sujet: Re: (#38) please don't leave me. II. Dim 4 Aoû 2013 - 19:36 | |
| Rae lui expliqua qu’elle avait écrit plusieurs types d’histoires au cours de sa vie. Kip se demandait de quoi parlait son dernier livre pour qu’il l’ait autant bouleversé. Il vint s’asseoir à côté d’elle tandis qu’elle lui expliquait de quoi il s’agissait. Des adolescents mourants, il est d’accord, c’est un peu glauque, mais il trouve tout de même que c’est une bonne idée de départ qui donne à réfléchir sur le sens de la vie (qui comme tout le monde le sait est 42). Elle commença à lui lire quelques passages de son livre qui semblaient refléter l’ensemble de l’œuvre. Tandis qu’il écoutait, il lui caressait les cheveux et déposait des bisous dans ceux-ci de temps à autres. Lorsqu’elle eut fini sa lecture, il ne put nier que son cœur ne s’était pas serré par moment, mais Kip est un dur. Il n’est pas insensible mais disons qu’il n’a pas de souvenirs où il a pleuré, donc ce n’est pas aujourd’hui qu’il va en avoir un. « c’est beau. Je suis sûr que ça va fonctionner. » dit-il en souriant légèrement. Changeant de sujet parce qu’il est sûr qu’ils y reviendront plus tard, mais aussi parce qu’il commençait à sentir que l’odeur de son plat changeait un peu, il dit « t’as faim ? » puis il se leva en allant vers la cuisine. |
| | | Invité | Sujet: Re: (#38) please don't leave me. II. Dim 4 Aoû 2013 - 21:11 | |
| Pendant qu’elle lisait, elle sentait que kip lui caressait les cheveux et les embrasser par moment ce qui lui fit plaisir c’était agréable, au cours de sa lecture elle ne fit aucune erreur dans le sens ou elle mit le ton sans non plus se mettre à pleurer ou autre, parce que c’était une histoire tragique. Elle était contente quand il lui dit que cela allait marché, elle espérait cela de tout cœur, parce qu’elle avait mis tellement de temps à trouver l’idée alors qu’au final elle avait été devant elle, oui elle avait inspiré quelques faits de sa propre vie. Il partit vers la cuisine et lui demanda si elle avait faim, elle rangea son ordi, et le rejoint. « Un peu, tu fais ça et ensuite tu te reposes hein. J’en ai pour quoi 1h30 max… et ensuite on peut regarder un film tous les deux ou je peux te laisser dormir tranquillement. » Elle voulait qu’il se repose aussi un peu, elle savait bien que son job n’était pas de tout repos donc une pause à rien faire ça ne pouvait pas lui faire de mal, et puis un moment calme entre les deux pouvait aussi être bien surtout après leur dispute. |
| | | Invité | Sujet: Re: (#38) please don't leave me. II. Dim 4 Aoû 2013 - 23:00 | |
| Rae rangea son ordinateur avant de le rejoindre. Elle lui dit qu’elle avait un peu faim. Elle rajouta que pendant qu’elle écrirait la fin de son bouquin il se reposerait. Elle prenait soin de lui, et elle avait vu qu’il était fatigué. Faut dire que sa journée à courir après les « méchants » n’avait pas été de tout repos. Enfin bref. Il sortit le gratin du four et le posa sur le plan de travail qui ne risquait rien. « c’est très chaud. » dit-il comme-ci il parlait à une enfant. Oui par moment il était peut-être un peu trop protecteur avec elle. Pour revenir ensuite à leur programme de la soirée, il répondit simplement « on verra. » avant de lui déposer un baiser sur les lèvres. En un tour de main il avait sorti deux assiettes, des couverts, et deux verres. « un peu de vin ? » demanda-t-il ensuite. Quitte à cuisiner français autant boire français aussi. Parce que oui attention, c’est du vin importé de France, et ouais ! |
| | | Invité | Sujet: Re: (#38) please don't leave me. II. Dim 4 Aoû 2013 - 23:23 | |
| Elle le suivit dans la cuisine et lui expliqua qu’elle voulait qu’il se repose, il était en même temps en train de sortir un plat du four et lui dit que c’était chaud, elle se recula et la seule réponse au sujet d’avant été on verra, Kip n’était pas au bout de ses surprises, Rae allait faire qu’il se repose il n’y avait pas de doute à ça, il installa la table en deux mouvements, et il demanda si elle voulait du vin, elle lui sourit. « Oui pourquoi pas. » Elle s’installa et regarda la bouteille spécialement venue de France, elle le regarde. « T’es déjà allé en France ? » Elle voulait savoir un peu plus sur Kip, il savait presque tout d’elle, mais pas trop l’inverse. Elle gouta au plat qu’avait fait kip, en faisant bien attention à souffler un peu dessus avant parce qu’effectivement c’était chaud. Elle mangea une bouché et c’était bon, il cuisinait très bien, et heureusement pour elle à vrai dire. « Tu cuisines bien. Et mon dieu regarde… On est un vrai couple. » ajouta elle riant, oui diner tous les deux avec du vin à discuter c’était différent des soirées télés qu’elle avait eut avant. |
| | | Invité | Sujet: Re: (#38) please don't leave me. II. Lun 5 Aoû 2013 - 0:04 | |
| Elle lui répondit pourquoi pas lorsqu’il lui demanda si elle voulait du vin. Il sortit alors une bouteille du frigo, à moitié pleine (ou moitié vide si on est pessimiste). Ce n’était pas un grand cru français à deux cents euros la bouteille, mais pas non plus du jus de pied quoi. Elle lui demanda alors s’il était déjà allé en France. « non, jamais, mais j’aimerais beaucoup. Mes grands-parents ont vécu là-bas et mes parents sont nés là-bas, mais ils en parlent pas vraiment. » ils avaient souvent éludé les questions de Kip lorsqu’il était petit, sur ses origines, estimant qu’il était trop jeune et sensible pour comprendre. Par ailleurs, ses parents se considèrent comme polonais avant tout, et non français. Ils goutèrent ensuite le plat de Kip, qui bien qu’il ne soit pas complexe, n’était pas mauvais. Elle lui dit qu’il cuisine bien. Et qu’ils sont aussi un vrai couple. « oui c’est vrai. Je fais la cuisine, tu fais des livres. Faudrait qu’on fasse un livre de cuisine un jour ! » |
| | | Invité | Sujet: Re: (#38) please don't leave me. II. Lun 5 Aoû 2013 - 0:17 | |
| Il lui expliqua alors que ses grands-parents ont vécus là-bas que ses parents sont aussi nés là-bas mais n’en parlent pas vraiment, elle hocha la tête. « Mais ton nom c’est genre… Polonais ? » ajouta-elle en souriant légèrement, elle se rappelait de son nom, elle l’avait appelé juste par ça pendant un moment parce qu’elle savait que pas beaucoup de monde devait réussir à dire son nom correctement c’était comme une challenge intérieur pour elle. Il lui versa du vin, et lui parla du fait qu’ils étaient un couple et parla d’un livre de cuisine. « Rêves ! Par contre, imaginons, je dis bien imaginons, si mon livre marche bien, peut etre qu’il sera exportant en France, et donc faudrait que j’y aille… Tu vois ou je veux en venir ? »ajouta-elle avec un grand sourire avant de reprendre une bouchée, souvenir de NY, oui. Avec une meilleur fin cela serait de préférence mais encore une fois encore fallait-il que son livre se vende bien. |
| | | Invité | Sujet: Re: (#38) please don't leave me. II. Lun 5 Aoû 2013 - 0:49 | |
| Elle lui demanda ensuite, l’air étonné, si son nom était bien polonais. Il répondit simplement avec hochement de tête. Katarolzka ça ne sonne pas très anglais quand même. Bon après c’est vrai qu’entre tous les pays de l’est on peut avoir un doute. Il est vrai qu’il ne lui a jamais vraiment parlé de ses origines, il n’en parle pas souvent de toute manière. Ses grands-parents ont été cachés durant la seconde guerre mondiale vers Aix-en-Provence mais Kip n’en sait pas vraiment plus à leur sujet. Elle lui dit qu’il pouvait toujours rêver pour le livre de cuisine. Mais elle lui dit que si son livre marchait, il serait vendu en France et il faudrait qu’elle y aille pour faire la promo’. Elle proposait donc à Kip d’aller avec lui. Espérons que ça ne finisse pas comme New-York. Enfin ils ont le temps de voir arriver le voyage ! « oui. En plus je pourrais être ton interprète. Par contre je préfère te dire tout de suite que j’ai un accent mi-polonais mi-anglais quand je parler et à en croire les femmes c’est le truc le plus sexy qu’elle ait entendu de leur vie. » on dirait qu’il devient bavard. Il faut dire que la France est une chose qui lui délie la langue. Lorsqu’il était à l’école il a eu une dispute avec ses parents car il voulait apprendre le français mais eux ne voulaient pas. Finalement ils acceptèrent et l’aidèrent même à progresser. |
| | | Invité | Sujet: Re: (#38) please don't leave me. II. Lun 5 Aoû 2013 - 10:37 | |
| Et voilà qu’ils commençaient tous les deux à délirer sur un voyage à paris qui était loin d’être prévu, il lui parla d’être son interprète et autre « J’ai hâte d’entendre ça, même si tu as pas besoin de parler français pour que tu sois sexy. » ajouta-elle en souriant, elle continua de manger. « Mais bon avant de faire des fantasmes faudrait que je finisse mon livre, donc je vais vite manger, ensuite vite finir et ensuite je m’occupe de toi. » ajouta-elle avec un petite, cela pouvait dire pas mal de chose lorsqu’elle disait s’occuper de lui, genre faire attention à lui, l’embrasser le caresser ou même coucher avec lui, même si cela n’arrivera pas aujourd’hui, et malgré le fait que Rae ne soit pas hyper grande elle sait se défendre, donc elle trouverait bien un moyen de le garder calme. Elle finit de manger assez rapidement, débarrassa ses affaires pour ensuite allumer son ordi, et commença à se concentrer pour finir son nouveau bébé. |
| | | Invité | Sujet: Re: (#38) please don't leave me. II. Lun 5 Aoû 2013 - 11:19 | |
| Elle lui dit qu’il n’avait pas besoin de parler français pour être sexy et cela le fit sourire de plus belle. Elle flattait, trop à son goût, il trouvait ça suspect. Mais il se dit qu’il faudrait qu’il arrête de de se méfier de tout ce que dit ou fait la demoiselle. Ils continuèrent de manger puis Rae dit qu’avant de parler de la France et tout ça il faudrait qu’elle termine son livre. Kip approuva de la tête. Après tout il avait envie de voir comment ça allait se finir. Elle lui dit qu’elle allait vite finir pour pouvoir prendre soin de lui ensuite. Par la suite elle débarrassa son assiette et alla sur son ordinateur. Il en fit de même, mettant tout cela dans l’évier se disant qu’il ferait la vaisselle plus tard. Il s’approcha de la demoiselle avant de lui faire un bisou sur la bouche puis il ajouta « prends ton temps » Rae étant dans le fauteuil, Kip avait donc la place pour s’allonger sur le canapé, ce qu’il fit. Dans un premier temps il observa la demoiselle, un demi-sourire accroché aux lèvres, puis il sentit ensuite que ses paupières commençaient à se fermer. |
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