{KALISKA} No need to run and hide. It's a wonderful life.

Invité

Evan & Kaliska

No need to run and hide. It's a wonderful life.

Il était certain que j’aurais pu hurler, faire la gueule, dire à Evan de ne jamais revoir ma sœur, et vu l’air limite apeuré qu’il avait au visage lorsqu’il avait fait sa confession, je serais limite prête à parier qu’il aurait accepté mes conditions les plus débiles, mais je ne l’avais pas fait. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’à mes yeux, Evan n’était pas un mec que Lela avait choisi ainsi, aléatoirement, en le croisant dans un bar complètement bourré. Enfin, c’était un peu ce qui était arrivé selon ce qu’elle m’avait raconté, mais je le connaissais déjà, ironiquement depuis longtemps que Lela le connaissait, et je savais qu’il n’était pas nécessairement une mauvaise personne. Enfin, avec moi, jamais il n’avait eu de geste ou parole déplacée, ce qui expliquait le fait que je le tenais en estime et, par conséquent, que je ne lui pétais pas une crise comme dans les films.

Cependant, cela ne voulait pas dire que je savais exactement quoi lui dire, ou bien que je prendrais la nouvelle joyeusement, que je lui sauterais dans les bras en l’appelant « Beau-frère ». C’était trop délicat, trop étrange pour que je fasse une chose pareille, surtout que quelque chose continuait à me chicoter, à savoir le fait que je refusais de voir ma petite sœur souffrir de nouveau. J’avais récemment appris tout ce qui avait pu se passer pendant les deux années où j’avais que très peu parlé à ma sœur, et ayant un instinct protecteur envers elle, parce que malgré les tensions, je l’aimais, elle était ma famille, je ne voulais pas qu’elle ait de nouveau mal de quelconque façon. De ce fait, je ne voulais pas que cette histoire soit une relation banale professeur – élève qui risquait de mal finir. Voilà pourquoi j’avais demandé la vérité à Evan, et à mon grand soulagement, je l’entendis me dire qu’il ne serait pas capable de lui faire une chose pareille, m’avouant être amoureux et heureux avec elle. Demeurant impassible pendant un instant, je le regardai dans les yeux, tentant de voir s’il était sincère ou non. Peut-être étais-je naïve à cet instant précis, peut-être il bluffait tellement que je ne saurais pas distinguer la vérité du mensonge, mais vu son comportement qui ne lui ressemblait pas, qui manquait de son assurance habituelle, je me doutais bien que s’il n’était pas sincère, il serait un peu plus sûr de ses mots, comme si c’était là un discours bien répété au cas où je venais à découvrir la vérité. Il fallait bien s’en attendre; ma sœur vivait chez moi, on ne pouvait pas se cacher des secrets éternellement, après tout. À la fin de ses propos, je pinçai les lèvres, réfléchissant encore une fois à ce que j’allais dire, ce que j’allais faire. La balle était dans mon camp, il fallait absolument que je trouve quelque chose, il était tout simplement impensable que je reste ainsi, sans rien dire. Puis, au bout du compte, je poussai un soupir, et je regardai le jeune homme, affirmant : « C’est pas bizarre… Crois-moi, j’ai eu mon lot de bizarre niveau amoureux… Je ne veux juste pas que ma sœur souffre, tu vois ? Et si elle est heureuse avec toi, alors qu’il en soit ainsi. Je veux juste la protéger, tu me comprends ? »

(c) Mayiie

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Kaliska & Evan

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Maintenant que le secret était dévoilé et que tout était enfin sortie, Evan fut soulager d’un poids et pouvait à nouveau respirer normalement. La tension redescendait doucement alors qu’il gigotait dans tous les sens il y a encore quelques minutes, tandis qu’il essayait de garder sa bouche fermer. Mais face à Kaliska et à son envie de savoir la vérité depuis son arrivée, il ne lui fallut pas longtemps pour qu’il arrête de résister. Après tout elle était son amie et la sœur de Lela, elle serait surement l’une des personnes les plus aptes à comprendre la situation. Et si elle lui jetait la pierre, alors ce n’était même pas la peine d’essayer d’officialiser leur relation un jour. Heureusement, sa réaction fut bien moins excessive que tout ce à quoi il c’était attendus et réussi à se détendre par la suite, même s’il savait que tout n’était pas encore gagner. Elle avait des questions et le besoin de savoir que le professeur ne se foutait pas de la petite blonde, qu’il était sincère dans ses sentiments et qu’elle n’était pas seulement une énième élèves de plus. Il ne lui en voulait certainement pas de demander ça et comprenait même qu’elle puisse avoir quelques doutes, concernant le don qu’avait Lela à choisir ses petits amis, comme le prouvait son passé. Les relations amoureuses n’étaient jamais simples en générale, mais quand celle-ci sortait de l’ordinaire, il y avait encore plus de quoi se poser des questions. Il ne s’en montra donc pas offusqué et lui répondit sincèrement, se mettant même à sourire bêtement en pensant à Lela. Il devait avoir l’air d’un parfait amoureux, que l’on pourrait même qualifier de légèrement idiot et il espérait que cela finirait de la convaincre. Aussi surprenant que cela puisse être, il aimait profondément la jeune femme et ne se sentait vraiment pas de la perdre maintenant. Il sentait réellement que quelque chose de beau pouvait se passer avec elle et il souhaitait avoir l’accord de la blonde en face de lui, pour le découvrir. Attendant timidement sa réponse, il scruta son visage à l’affut d’un quelconque signe qui laisserait apercevoir ce qu’elle pensait et donc sa réaction. Son soupire ne laissa pas présager de colère et il en était soulager, il se redressa alors et retint son souffle tandis qu’elle reprenait la parole. Cette fois, il sentait vraiment que la tempête était passé et un sourire réussi à se former sur son visage, comme il n’était pas arrivé depuis de nombreuses minutes. Il était ravi qu’elle puisse comprendre, comme elle venait de dire qu’elle avait également connu des choses bizarres niveaux amours, même si elle ne pensait pas que leurs amours puissent être si bizarres. Il était rassuré et appréciait qu’elle le voit de cette façon, plutôt que comme un psychopathe dérangé. Elle expliqua ensuite que tout ce qu’elle voulait c’était le bonheur de sa sœur et qu’elle ne souffre pas à cause de lui. Ce qu’il concevait totalement et il lui fit un signe de tête affirmatif pour lui dire qu’il avait bien compris, avant d’ajouter. Je sais. Et je te promets que je ferais mon possible pour ne pas lui faire de mal. Je ne fais pas dans petites jeunes habituellement. Je ne pensais même pas que je tomberais amoureux comme ça et pourtant c’est le cas. Il rit doucement. Avec elle c’est différent et je ferais tout ce qu’il faut pour qu’elle soit heureuse. Je ne veux vraiment pas la perdre. Finalement, gêner d’avoir déballé tous ses sentiments aussi sincèrement, il baissa les yeux, légèrement rougissant. Sa petite amie était devenue la personne la plus importante pour lui en si peu de temps, que cela pouvait sembler surréaliste. Et pourtant, il ressentait le besoin de la voir, de la prendre dans ses bras, de l’embrasser dès qu’il le pouvait. Il avait encore lui-même du mal à y croire et cela ne serait pas étonnant si Kaliska avait aussi besoin de temps pour s’y habituer. Il releva ensuite timidement son regard vers elle et lui fit un mince sourire. Merci… De ne pas m’en vouloir. On pourra rester amis alors ?

BY .TITANIUMWAY

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Evan & Kaliska

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Evan semblait comprendre le fait que tout ce que je voulais, ce n’était pas jouer la grande sœur hystérique qui voulait limite choisir elle-même le prétendant de sa cadette, mais plutôt m’assurer que Lela ne souffre pas comme cela lui était déjà arrivé dans le passé. N’importe qui aurait très bien pu se braquer à mes questions, à mes demandes de faire des promesses qui pouvaient limite sembler absurdes, surtout dans une relation à sens unique, ou même qui ne faisait aucun sens. Généralement, c’était l’image qu’on se faisait des relations entre un professeur et une étudiante, puisque c’était si cliché qu’on ne pouvait pas croire que ça pouvait marcher éventuellement. Pourtant, j’étais là, à tenter de me convaincre que peut-être n’était-ce pas un cliché, que peut-être il y avait vraiment quelque chose entre les deux. C’était tout ce que je voulais savoir, pour tout avouer. Je voulais savoir s’il y avait une certaine sincérité dans ce couple, ou bien si ça menait à rien, ce qui me pousserait fort probablement à me montrer un peu plus protectrice envers ma petite sœur, même si je ne pouvais pas tout contrôler dans sa relation, dans ce qu’elle ressentait, quand même. En revanche, Evan me montra bien, par la suite, que ce n’était pas du pipeau; il parla comme un véritable amoureux transi, me faisant limite penser à moi quand j’évoquais Alexis, ce que je n’avais jamais pu faire ouvertement avant tout récemment. À l’entendre, à voir l’air un peu béat qu’il abordait tandis qu’il me faisait part de ses sentiments pour Lela, je ne pus faire autre chose que sourire, sachant à cet instant précis que mes craintes, que mes doutes pouvaient maintenant se dissiper lentement. Cela ne voulait pas dire que je n’allais pas garder un œil sur la chose, me tenir au courant de temps à autre en demandant à ma sœur bien banalement comment ça allait et tout ce qui venait avec, mais au moins, je n’avais plus ces craintes qui m’habitaient lorsque j’étais arrivée dans ce bureau. Plus que cela même, je me permis de dire, même si c’était à voix plus basse que mes propos précédents : « J’espère que vous serez heureux alors… », laissant ensuite mon sourire s’élargir un peu plus afin de montrer que malgré mon ton de voix diminué, je demeurais malgré tout sincère envers Evan. J’avais même fait exprès de parler d’eux deux, et non pas juste de Lela, parce que mine de rien, Evan était mon ami depuis un bon moment maintenant, et il était normal que je veuille son bonheur, quand même. Je n’allais certainement pas commencer à le renier pour cette histoire, d’autant plus que je serais probablement appelée à le fréquenter davantage si jamais Lela décidait de se présenter ouvertement en couple avec lui. D’ailleurs, c’est ce qui expliqua pourquoi je n’hésitai pas bien longtemps lorsqu’Evan me demanda si nous pouvions toujours rester amis. Avec un petit air amusé dans le regard, je lui dis, en m’efforçant de ne pas rire, ne serait-ce que tout doucement : « Bien sûr ! », trouvant cela mignon, mine de rien, qu’il me demande une telle chose alors que visiblement, je ne lui en voulais pas de sortir avec ma petite sœur. Je serais bien dégueulasse de lui en empêcher, surtout si leur amour était réel, alors que moi-même j’étais bien loin d’être un modèle, me demandant même parfois comment avais-je pu faire pour avoir autant de chance, pour être maintenant heureuse avec Alexis. Puis, ultimement, j’eus un petit haussement d’épaules, puis je me permis d’ajouter, sur un ton qui se voulait volontairement un peu plus moqueur : « Enfin, plus que ça même. Tu es mon beau-frère après tout, maintenant. » regardant Evan sans ajouter quoi que ce soit d’autre. Il était certain que j’aurais pu déballer d’autres railleries, l’embêter sur plusieurs plans, mais je ne le fis pas, pas pour le moment. Pourquoi ? Parce que je n’étais pas encore totalement certaine que l’atmosphère était parfaitement détendue pour faire ce genre de blague pour le moment. Je supposais que je saurais si je pouvais me permettre d’en ajouter une couche lorsque je verrais la réaction du jeune homme en face de moi.

(c) Mayiie

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Kaliska & Evan

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Malgré les promesses qu’avait fait faire Evan à sa petite amie, pour garder leur relation cacher au maximum, voilà qu’il les brisait lui-même en révélant leur secret à Kaliska. Il n’était pas un très bon menteur, ce qui expliquait qu’il n’ait pas put tenir sa langue plus longtemps. D’autant plus qu’elle était son amie et qu’il n’était pas du genre à mentir à ses proches, surtout qu’il venait de découvrir qu’elle était sa belle-sœur et par conséquent, il serait mal venu de mentir à un membre de la famille dans laquelle il ferait peut-être partie un jour. Il se doutait aussi que Lela ne lui en voudrait pas, peut-être même qu’elle serait heureuse de pouvoir en parler à sa sœur. Il s’en montrait d’ailleurs légèrement content pour cette raison également, cela ferait une personne au courant, à qui il pourrait parler de sa relation en cas de besoin, ou simplement pour faire partager son bonheur. Cette partie n’était pas à négliger et au fond, il était vraiment soulager de ne pas avoir été obligé de poursuivre la supercherie. Surtout qu’elle l’avait bien prit et qu’après avoir vérifié l’authenticité des sentiments du professeur, elle relâcha sa garde pour leur souhaiter du bonheur ensemble. Cette remarqua lui alla droit au cœur et il en était ravi. Les gens pouvaient parfois juger rapidement, surtout dans ce genre de situation et pourtant la jeune femme se trouvaient derrière eux, prête à les soutenir et ça, il lui en serait toujours reconnaissant. C’est ce qu’il essaya de montrer du mieux possible, avec un large sourire en répondant. Merci. Pour ne pas aller trop vite en besogne, il se sentit tout de même obligé de lui demander s’ils pouvaient rester amis, parce que si elle acceptait leur couple, cela ne voulait pas dire qu’elle voulait toujours faire ami-ami avec le nouveau petit copain de sa cadette. Il ne voulait pas perdre son amitié et la regarda, légèrement nerveux, mais surtout impatient de connaître sa réponse. Ses mots sonnèrent ensuite comme une évidence et un sourire revint illuminé le visage d'Evan, lorsque qu’elle affirma que cela resterait tel quel de ce côté-là. Pour lui, cela ne semblait pas gagner d’avance et elle n’y voyait pas d’inconvénient, ce qu’il n’allait certainement pas contredire. Seulement, quand elle reprit la parole, il se crispa quelques secondes, de peur qu'elle ait changée d'avis, avant de finalement se redétendre lorsqu’elle se moqua gentiment, constatant qu’ils étaient maintenant beau-frère et belle-sœur. Il rit doucement en secouant la tête. Exact. On est pratiquement de la même famille ! Il s’en donnait à cœur joie maintenant que tout était régler et pouvait même en plaisanter. Cependant, il restait un dernier aspect qu’il devait aborder et c’est timidement qu’il reprit la parole. Par contre, ça doit rester entre nous hein ? Son ton se faisait doux, ne voulant nullement la blesser en disant ça, car ce n’était pas contre elle, il lui faisait confiance, mais pas au reste du monde. C’était simplement que si ça venait à se savoir, il risquait gros et il ne voulait pas perdre son travail ou encore moins sa petite amie, sans qui il se voyait mal vivre. Ce qui pouvait sembler d’ailleurs ironique pour un couple qui se connaissait depuis si peu de temps, et pourtant, il en était intimement convaincu.

BY .TITANIUMWAY

Invité

Evan & Kaliska

No need to run and hide. It's a wonderful life.

Voir Evan rire à ma remarque, puis finalement affirmer à son tour que nous étions à présent presque de la même famille, me fit sourire et me fit comprendre par la même occasion qu’il ne l’avait pas mal pris, bien au contraire. Je lui fis alors un sourire, et je lui dis : « En effet ! », même si je savais bien qu’un tel commentaire était parfaitement inutile en ce moment. Je m’en moquais quelque peu, surtout qu’en ce moment, j’étais préoccupée par le fait que je venais tout juste de réaliser qu’à partir de ce moment, je pourrais effectivement considérer Evan comme mon beau-frère. Ça me ferait étrange, pour tout dire, parce que j’avais toujours considéré le jeune homme comme un ami avant tout, limite un grand frère. Enfin bon, sur ce point de vue, ça ne changerait peut-être pas grand-chose, ou ça paraitrait un peu dégoûtant, tout dépendant du point de vue, mais quoiqu’il en soit, cela impliquerait peut-être, si tout allait bien avec ma petite sœur, que je me rapprocherais de lui, et j’en étais particulièrement heureuse, puisque je l’appréciais bien, et même si le temps, nos métiers, nos occupations avaient fait en sorte qu’on se voyait moins souvent, maintenant, peut-être que les occasions allaient être un peu plus nombreuses. Enfin, c’était ce que je croyais jusqu’à ce que tout à coup, plus sérieusement, Evan me demanda que cette histoire reste, pour le moment, entre nous. Mon sourire diminua alors un peu, non pas parce que j’étais déçue – quoique, je l’étais un peu, même si je me disais bien que je n’allais pas le crier sous tous les toits, déjà que Lela n’était pas au courant que j’étais venue jusqu’ici – mais plutôt parce que je voulais m’assurer qu’il me prenne au sérieux alors que je lui répondais : « Oui, ne t’en fais pas pour ça. » J’étais bien capable de respecter cela, après tout. Je savais parfaitement que si jamais la rumeur s’ébruitait, Evan pourrait avoir des problèmes, Lela aussi, et je ne voulais certainement pas qu’aucun des deux ait des problèmes parce que j’aurais trop parlé. Après, peut-être que je le dirais à Lela, que je connaissais déjà Evan, et qu’elle avait ma bénédiction concernant leur relation, ce qui ferait peut-être en sorte qu’elle ne m’en voudrait pas trop d’avoir mis mon nez dans ce qui ne me regardait pas, ou du moins, pas directement. Ensuite, je souris, sachant pertinemment qu’un silence était progressivement en train de s’installer dans la conversation. Au cours de ce silence, je me permis de regarder l’heure sur l’horloge installée dans le bureau, me rendant compte que cette conversation avait pris pas mal plus de temps que je ne l’aurais cru, et que je me devrais éventuellement de retourner à l’école pour accueillir mes élèves pour l’après-midi. Je dis alors, poliment : « Il va falloir que je te laisse par contre, je dois retourner à l’école. » Sans attendre plus longtemps, parce que je savais que je serais en retard si jamais je trainais ne serait-ce que quelques minutes de plus, je me levai, et je replaçai mon sac sur mon épaule. Cependant, je n’allais pas partir sans un mot, c’était hors de question. Je regardai alors Evan, et je lui dis : « Merci d’avoir été honnête avec moi. On se voit bientôt, je l’espère. » avant de finalement quitter la pièce suite à un dernier salut à mon ami, maintenant contente d’avoir mis au clair cette affaire, comme j’avais pour objectif de le faire en arrivant ici au départ.

(c) Mayiie

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