Un diné, un film, une belle soirée ...

Il ne faut pas regretter, même s'il est plus simple de le dire que le de faire. Mais comme tu le dis, c'est par tout cela qu'il t'a fallu passer pour devenir la femme merveilleuse avec qui j'ai le plaisir de soirée très agréable.
En effet Zéphyr passe une bonne soirée, malgré des révélations coud de poing qu'il prendra le temps d'analyser plus tard. Il apprécie Cameron, dès leur première rencontre d'ailleurs, elle a toujours répondu à ses nombreuses questions et ceux malgré le fait qu'il ne consomme que des cocas. Malgré aussi la gaffe qu'il avait faite une fois avec l'histoire du numéro de téléphone. Quand il y repense il se traite de débile, d'idiot, comment refuser le numéro d'une telle fille ? Elle est belle et mot ne lui rend pas justice, elle a un côté très naturel qui lui plaît énorme et lors de leurs premiers rendez-vous il a vu aussi une femme classe qui se ce mettre en valeur et ce soir, que dire de ce soir elle est parfaite, douce, amusante, sincère, héritière ou pas, il l’apprécie. Il se pose trop de questions souvent là il n'en a pas envie, la peur n'aidera pas qu'il c'en préoccupe ou pas elle sera là. Il doit faire comme dans les histoires qu'il créer vivre l'instant intensément, car ce présent qui se déroule il ne reviendra pas autant profité. Zéphyr en profite il la rejoint la prise tout contre lui le coeur battant, légèrement intimidé beaucoup même et maladroit. C'est un baiser tendre et assez passionnel, c'est un baiser limpide comme l'eau claire, et fort comme le torrent et naturel comme respiré, son petits corps contre le sien le fait frissonné, ses mains sur son visage son regard et ses mots. Il grimace et lève les yeux au ciel ( dédicace ^^)
Si je te plais c'est le plus important, du moins pour l'instant. Les personnages de mes romans sont idylliques, moi je suis humain et malheureusement je dois vivre avec pas mal d'handicap, mais qui sait avec toi j'arriverais peut-être à en gommé certain.
Il ne dit rien sur les " accessoires " il n'est pas à l'aise avec l'argent, il en a manqué trop souvent pour le qualifier d'accessoires, mais il n'est pas temps d'en parler, il n'en sera peut-être jamais question. Pour l'heure il tient se bout de femme contre lui ses mains sont moites, son coeur continue son rythme soutenu, surtout a ses mots qui lui donnent une bouffée de chaleur incroyable.
Je ne crois pas que ça sois mal. Puis un plat ça se réchauffe et moi je mange toujours froid alors...
Et puis là ce n'est pas à mon estomac que je pense... J'aime bien te tenir tout contre moi Cameron ou t'embrasser...
Dit-il avec un de ces regards directs, il fait passer une mèche de cheveux derrière son oreille avant de la faire glisser autour de son doigt et de tir doucement dessus en retrouvant ses lèvres, sa main au creux de ses reins il la maintient tout contre lui, quelle sensation affolante, divine comme cette femme dont il s'éprend lentement mais avec certitude.

Quand elle l'entend elle l'écoute avec une telle attention, sa voix est belle et ses paroles vont avec, et il arrive toujours à glisser un compliment, elle va finir par devenir rouge comme une tomate, elle est une humaine, elle a encore pas mal de défauts, et il trouve la soirée agréable malgré ses petites révélations et elle lui sourit gentillement, ça la rassure elle avait eu envie de faire simple, une petite soirée tranquille, rien qu'eux deux, en tête à tête. Elle n'a pas envie de le décevoir, bien sur elle espère aussi avoir d'autre soirée avec lui, dans le même style ou plus sophistiquée elle veux tout vivre avec lui, comme il en a envie tant que c'est avec lui, elle est sur de passer une bonne soirée, et apparemment il a toujours envie de la voir, et c'est juste ce qu'elle lui demande, qu'il l'accepte tel qu'elle est, et qu'il est toujours envie de sortir avec elle, qu'il lui donne une chance après ce qu'elle lui a révélé ce soir sur qui elle est et son passé.
Elle se retrouve dans ses bras pour l'embrasser, quand elle est dans ses bras elle oublie tout, il pourrait avoir le téléphone ou la sonnette qui sonne elle s'en fiche, elle est bien dans ses bras. Elle le regarde alors qu'il grimace et lève les yeux au ciel après ces paroles.

Déjà monsieur lever les yeux au ciel est mal poli ! (dédicaces mdr) et ensuite oui tu me plais, plus que tu ne peux l'imaginer et pourquoi le plus important POUR L'INSTANT ? il y aura autre chose de plus important après ? Et je ne veux pas que tu gomme tes défauts c'est aussi pour cela que tu me plais ! et tu ne l'as peut-être pas remarquer mais je suis aussi humaine et j'ai aussi mes défauts !

Elle le regarde, elle veut aussi qu'il sache qu'elle a aussi ses défauts, il ne les a peut-être pas encore remarquer mais il les verra vite, et elle espère qu'ils ne le feront pas fuir ! En tout cas elle, elle aime les siens, sa timidité, quand il rougit, sa maladresse, bref ... Elle est en train de tomber amoureuse de lui, c'est la conclusion qu'elle tire de ses sentiments. Mais elle ne veut pas y penser pour l'instant, elle veut profiter de ses bras, et elle n'a pas envie de le lâcher, elle pose sa joue sur son épaule, elle respire un peu plus vite qu'à la normale, cet homme, la rend toute chose, il fait naitre en elle des sentiments nouveaux, et elle n'a pas envie que ça se termine elle veut rester là dans ses bras. Mais le repas lui n'attend pas, enfin en tant normal, mais lui s'en fiche et elle ben elle n'a pas envie de quitter ses bras. Elle relève le regard sur lui alors qu'il lui parle, et elle sourit, un sourire timide, et elle en est certaine, elle a du rougir en même temps. Elle frissonne sous ses doigts penchant sa tête pour suivre son contact et le prolonger et elle se laisse aller à ses lèvres, les retrouvant, elle en lâche un petit bruit de plaisir passant ses mains sur ses joues et puis dans ses cheveux, elle adore passer ses mains dans ses cheveux, les tirer, caresser sa tête, le serrer plus fort contre elle. Elle monte sur la pointe des pieds, l'attirant doucement vers le sofa un peu plus loin, elle ne veux pas rompre leur baiser, elle pourrait rapidement se laisser aller elle a envie de plus, envie de lui, mais elle se retient, elle s'installe sur le sofa avec lui obliger de lâcher ses lèvres temporairement, elle ôte ses talons et glisse ses jambes sous ses fesses et le regarde. Elle est à sa hauteur là, mais elle n'ose pas rompre ce silence intense, elle le fixe seulement du regard, avec toujours ce petit sourire, elle caresse sa main de la sienne, jouant avec ses doigts.

Zéphyr sourit à sa remarque sur le fait qu'il lève les yeux au ciel, il la regarde avec un je ne sais quoi qui dirait et toi aussi ! ( MDR) le reste de ses mots le touche profondément, il sent le rouge lui monter aux joues alors qu'il la regarde droit dans les yeux. Elle ne se rend pas compte, ses défauts, son métier sa façon de vivre, c'est lourd à porter, là elle ne peut se rendre compte. Ça le terrifie réellement, mais il n'en dira pas plus ce soir, il ne veut pas plomber l'ambiance comme cela a failli le faire il n'y a pas une demi-heure. Il caresse sa joue du dos de sa main penchant la tête sur son épaule. L'avenir nous dira s'il y a plus important après.... j'espère que je te plairais toujours autant que tu me plais Cameron.

Ces mots sonnent comme une promesse d'un avenir où il veut marcher à ses côtés. Peut-être est-ce fou de se lancer dans cette histoire, mais la solitude le ronge un peu plus, il s'enfonce dans son roman a un point tel qu'il en perd tout repères, il a déjà vécu cela, ça lui a coûté son ex, et un stage forcé à l’hôpital et un suivit par un spécialiste il n'aime pas cette période de sa vie, il lutte pour ne pas retomber dedans heureusement il a des amis, peu, mais sur qui il peut compter. Et puis il y a Cameron il a envie de la voire d'être près d'elle comme en cet instant très fort où leurs corps se sont rapproché, il y a un feu qui vient de naître au creux de lui. Une main au creux de ses reins il la sert tout contre lui, il la sent se hisser et son corps se fait plus présent contre lui, son coeur s'emballe au petit son qu'elle émet, a ses mains dans sa chevelure, qui créer une chaleur qui se répand en lui, leurs bouches se font plus pressante, comme si Zéphyr était assoiffé, affamé et qu'il trouvait la coupe du Graal. Elle crée une impulsion et il la suit, mais quelque part en lui, une alarme se déclenche arrivé au sofa elle lâche ses lèvres il a le souffle court et il s'assoie en la fixant autant qu'elle le fait, elle a posé ses talons sur le sol et elle est assise sur ses talons. Il y a un silence entre eux, leurs yeux se fixent, son coeur bat plus fort. Comme dans ses romans, ou dans les films il a la sensation d'avoir à droite le petit ange blond qui luit d'être raisonnable que cela va trop vite... et sur la gauche le petit démon brun qui lui souffle, elle en a envie toi aussi laisse toi aller. Il déglutit et lève sa main pour la poser sur sa joue, du pouce il vient dessiner la courbe de sa lèvre inférieure.
Tu es si belle ..
La sincérité est totale et sa voix est à peine audible ce qui rend sa phrase plus forte encore. Il se penche en avant frôlent ses lèvres tout d'abord avant de l’embrasser vraiment, un baiser tendre et surprenant, il aspire sa lèvre et la relâche en ouvrant les yeux pour croiser les siens. Est-ce qu'il ne se pose pas trop de questions ? Il est aussi un peu nerveux, elle compte à ses yeux et lui faire l'amour à un sens pour lui, ce n'est pas juste du sexe, il fait cela avec le coeur avec son âme, c'est une façon de dire je tiens à toi et où je t'aime, mais ils n'en sont pas là, il a cette envie d'elle, dans tous les sens du terme qui enfle en lui, elle lui plaît, elle est souvent dans ses pensées et là il a simplement envie de le lui dire. Il glisse à nouveau sa main dans ses cheveux jusqu’à sa nuque et la fait se rapprocher de lui s'emparant de sa bouche il l'entoure de ses bras pour qu'elle soit au plus près de lui. Il vient caresser sa langue de la sienne avec un feu grandissant, ses mains glissent sur son dos, ses doigts frôlent le bas du pull et frôlent sa peau nue, ce qui a un effet intense et il prend son visage en coupe et l'embrasse plus encore. Il lâche ses lèvres et il pose ses lèvres juste en dessous de son oreille qu'il embrasse et mordille avant de descendre le long de son cou pour y déposer des baisers brulant il revient à ses lèvres et il saisit sa taille et la soulève comme si elle ne pèse rien pour qu'elle s'installe sur ses genoux, il la fixe intensément il se rapproche pour l'embrasser et ce stop
Merde je sais pas si j'ai des préservatifs.
Il réalise ses mots qu'elle manque de romantisme il pique un fard monumentale et il la fixe mais un sourire fleurit sur ses lèvres.
Désolé, je suis nul excuse-moi bébé.

Cam sait qu'elle lève les yeux au ciel, elle aussi, tout comme beaucoup de monde, mais elle veut juste le taquiné un peu, c'est sa nature mais avec lui elle aime particulièrement, il joue aussi, il ne prend pas mal ce qu'elle lui dit, il rigole et la taquine aussi de temps en temps. Mais ce qui est plus important c'est ce qu'elle lui avoue après, et encore elle n'en dit pas plus, elle ne veux pas, ne peux pas tout lui dire sur ce qu'elle ressent, c'est pour elle, encore trop tôt ! Mais elle veux lui faire comprendre qu'il compte pour elle, et que même si il pense qu'elle a eu beaucoup d'aventure ou peut-être qu'elle est pas une fille sérieuse, et bien que ce n'est pas le cas, qu'elle prend au sérieux leur relation, et qu'elle commence vraiment à s'accrocher à lui et que si il partait, et bien ça lui briserait le cœur ! Bien sur elle sait qu'il n'est pas un homme parfait, qu'il a ses défauts qu'elle n'a probablement pas tout vu tout comme lui, mais elle est sure de pouvoir passer au dessus, tout ce qu'elle demande pour l'instant c'est du temps pour apprendre à le connaitre vraiment, et puis un peu de temps avec lui, elle a son travail et lui son livre, et elle est fasciné par son talent, elle aimerais lire ce qu'il écrit, et elle espère avoir cette chance un jour, elle aimerait le voir à l’œuvre, du temps et son affection, son amour, voilà ce qu'elle veut. Elle lui sourit quand il dit ses espoirs, elle est certaine qu'il lui plaira autant et même plus encore.

Sache que je suis certaine que tu me plais plus que je ne te plais, c'est ...

Elle ne trouve pas les mots pour lui faire comprendre ce qu'elle ressent et à quelle point c'est fort. Mais elle a compris aussi qu'il veut qu'elle reste et que ce qu'il ressent lui aussi est fort, du moins il espère qu'entre eux cela continuera, elle lui a avouer son passé et elle lui plait toujours, elle est certaine qu'elle ne découvrira rien sur lui qui la fera fuir, rien de pire que ce qu'elle a déjà pu faire dans le passé, ou de défaut qui la gênerais, enfin tant qu'il est fidèle, et pas violent envers elle, il y a quand même des choses qu'elle ne peut pas pardonner, mais elle ne crois pas Zéphyr capable de cela, elle sait que c'est pas dans sa nature ! Elle est tellement bien dans ses bras assise sur le sofa, elle le regarde de ses grands yeux bleus, elle a le cœur qui bat, le souffle court, elle ne peut quitter du regard son visage, elle a envie de lui, elle penche sa tête pour suivre le chemin que trace sa main sur sa joue, ouvrant légèrement sa bouche quand son doigts lisse sa lèvre inférieur, mais le plus intense sont ses mots, elle sait que d'autre filles sont plus jolies qu'elle mais elle sait aussi qu'elle est jolie quand même, même si elle n'a pas la taille mannequin par exemple ou une trop grosse poitrine, mais quand il le dit, elle y crois, elle en frissonne, elle ne répond rien, mais quand il se penche pour reprendre le baiser, doucement avant d'approfondir, de croiser son regard alors qu'il mordille sa lèvre, elle n'a jamais penser que ce soir deviendrait si intense, qu'il en serait là, assis sur le sofa à se dévorer des yeux, de la bouche, comme leur baiser qui reprend, leur corps qui se colle, ses mains qui le serre contre elle, qui passe ses doigts dans ses cheveux, leur langue dansant ensemble. Elle sent ses mains qui glisse au bas de son pull frôlant sa peau, laissant une marque brulante. Elle soupir quand il quitte ses lèvres pour les glisser sous son oreille, mordillant et descendant le long de son cou, la laissant ivre de désir, avant de revenir s'attaquer à ses lèvres, dans un baiser intense, elle se retrouve sur lui, sur ses genoux en quelques secondes, elle le regarde, elle est brulante, elle le désir, elle a envie de lui, mais avant même qu'il reprenne leur baiser il se stop. Et se retrouve stopper dans son élan par ce qu'il lui dit, elle sait pas trop quoi répondre, elle sait même pas si elle en a, enfin si elle en a, mais elle sait pas si ils sont encore valable, elle n'a pas eu l'occasion de vérifier depuis longtemps. Mais quand il rougit en se rendant compte de ce qu'il a dit, elle sourit avant de le bugguer sur le petit nom qu'il vient de lui attribuer.

Bébé ?

Elle lui sourit et se penche pour de nouveau l'embrasser intensément, puis de nouveaux de se stopper, de poser son front contre le sien et de respirer comme pour se reprendre. elle a besoin de retrouver ses esprits même si être aussi proche de lui, limite vraiment le fait de pouvoir se concentrer, elle ferme les yeux avant de les rouvrir sur lui, mais c'est encore pire quand elle pose son regard sur lui et qu'elle croise ses yeux. Elle a les mains poser sur nuque alors que ses jambes sont de chaque coté de lui.

Je ne sais pas si c'est raisonnable .... mais j'en ai envie. ..

Elle le fixe du regard, elle a envie de reprendre leur baiser, d'être avec lui, dans ses bras, de passer la nuit dans ses bras.

Et c'est peut-être pas romantique, mais c'est une question importante, mais si tu cherche des préservatifs, je dois en avoir faut juste vérifier qu'ils soient encore valable, j'ai pas eu l'occasion de m'en servir depuis longtemps ...

Elle ne lui en veux pas d'avoir parler de cela, faut avouer qu'elle n'aurais pas coucher avec lui sans se protéger, elle a déjà été assez imprudente comme cela dans sa vie, mais avec cela elle a toujours été sérieuse, la question est trop importante, et même si cela n'a pas été abordé de façon très classe la question a au moins été poser. elle est toujours sur lui, elle le fixe du regard, ses doigts caressant doucement sa nuque, sa respiration est toujours aussi intense, et son envie toujours aussi forte, son regard passant de ses yeux à sa bouche qu'elle a envie de posséder de nouveau. Elle se penche pour déposer doucement ses lèvres sur les siennes dans un baiser lent, doux, mais très intense.

Zéphyr pique un fard alors qu'elle l’interroge sur le surnom qu'il vient de lui attribuer, c'est venue tout seul, sans réfléchir... Est-ce trop tôt pour çà ? Certainement oui.? La précipitation n'apporte rien de bon en général. Pourtant c'est le chemin qu'ils sont en train de prendre en ce moment même, ils ont délaissé leurs repas pour s'installer sur le sofa et il la fait grimper sur ses genoux, ses lèvres l'ont embrassé avec fièvre avant qu'il ne se ridiculise entre son histoire de préservatif et le surnom. Il n'est vraiment pas doué, il c'en veux de manquer de tac à ce point et même si c'est tôt il aurait tout de même s'assurer qu'il en a sur lui. Il la regarde écoutant ses mots, ses mains posées sur sa taille, ses doigts jouant sur le tissu créant une caresse délicate... Elle est visiblement comme lui... Depuis son ex il n'y a eu personne, il n'avait pas le temps, pas l'envie... enfin si... Mais il n'est pas du genre à coucher avec la première venue pour satisfaire des besoins, il faut des sentiments, il faut une relation il faut la fille. Il remonte sa main pour caresser sa joue et glisser une mèche de cheveux derrière son oreille.
C'est clair que ce n'est pas raisonnable du tout, c'est notre second rendez-vous... Mais tu me plais et si ce n'est pas ce soir ça sera demain ou après-demain... C'est maintenant que je te tiens dans mes bras, c'est tout de suite que j'ai envie de t'embrasser...
Il l'attire à nouveau à lui pour un baiser passionnel, il passe le barrage de ses lèvres qui s'ouvre, il vient chercher sa langue de la sienne, passant son bras autour de sa taille pour la serrer davantage tout contre lui. La seconde suivante il lâche ses lèvres et il se lève sans la poser, la maintenant contre lui, il ne fait pas du sport pour rien, il sourit aux petits cris qu'elle a émis, il l'embrasse et au passage il se saisit de sa veste et farfouille et renverse le contenu de son portefeuille, il lâche ses lèvres un sourire sur ses lèvres et il glisse dans sa poche arrière le petit carré argenté. Avant de lui faire traverser le salon il s'arrête tout idiot. Heu mince... Elle est ou ta chambre .
Il est cramoisi, plus nul que lui tu meurs il la pose sur le sol mais il la garde près de lui il n'a pas envie qu'elle s'éloigne il adore la sensation de son corps proche du sien. Avec tout ça il se sent un peu idiot.
Désoler, je foire tout, je dois avoir l'air d'un ado a l'aude de sa première fois ! Il encadre son visage de ses mains et se penche pour venir l'embrasser tendrement et entre deux baisers il lui susurre. " c'est aussi vrai nous sommes a l'aube de notre histoire, elle commence juste ..bébé et je veux qu'elle aille loin "

Zeph ne répond pas quand elle lui demande pour son surnom qu'il vient de lui attribuer elle en est étonnée mais pas du tout offusqué à vrai dire elle doit l'avouer elle a même apprécier voir aimer ce petit nom, elle en a penser des tonne pour lui, mais elle n'a pas encore osé en sortir un seul de sa bouche ou pas devant lui quoi surtout. Enfin la suite serait disons à mourir de rire si on nous voyait tous les deux, un vrai sketch, non mais franchement de vrai gamin qui sont maladroit comme des ado devant leur première fois, elle est assise sur ses genoux et elle sent ses mains jouer avec ses vêtements tout comme elle joue avec son t-shirt du bout des doigts alors qu'ils se regardent dans les yeux elle l'écoute et se retrouve rapidement dans un nouveau baiser intense, dans un ballet langoureux, une danse sensuelle entre leur bouche, leur corps qui vibre ensemble, elle se colle contre lui comme si son corps était fait pour être là contre le sien. Elle se retrouve contre lui alors qu'il se lève sans la lâcher et elle s'agrippe serrant ses jambes autour de sa taille et ses bras autour de son cou en gloussant un peu, mais ce qui l'a fait rire c'est de le voir se dépatouiller avec sa veste, elle lui sourit avant de poser ses lèvres dans son cou pour déposer des petits baisers délicats. Puis elle le regarde alors qu'il parle de sa chambre et elle rit.

On doit vraiment avoir l'air d'idiot, mais je m'en fiche !

Franchement c'est probablement la scène la plus comique et en même temps la plus intense qu'elle a vécu de toute sa vie, elle se met sur la pointe des pieds caressant sa joue doucement avant de déposer ses lèvres sur les siennes délicatement et de reposer ses pieds sur le sol.

Tu es l'homme le plus merveilleux qui soit même si ce soir on a l'air de deux ado totalement maladroit ! Et moi aussi je veux aller loin avec toi, le plus loin possible et imaginable !

Elle lui attrape la main doucement et le tire vers le couloir et l'entraine vers la deuxième porte à droite, elle se tourne vers lui et l'ouvre entrant à reculons dans sa chambre en lui souriant avant de se tourner vers la pièce et de bloquer, elle avait complètement oublier, des vêtements trainés sur le lit, des robes, des t-shirt, qu'elle avait essayer et abandonner pour cette soirée, elle avait été nerveuse au point d'essayer pas mal de chose avant de se décider pour la tenue qu'elle porte, elle se tourne vers Zeph et lui sourit en haussant les épaules.

Désole pour le bazar !

Elle s'avance vers son lit et ramasse tout ce qu'elle peut pour les virer sur le fauteuil dans l'angle elle se dit que de toute façon il y a de grande chance pour que de toute façon il n'est même plus envie de la toucher maintenant, après tous les petits imprévus, ça coupe tout élan de spontanéité, la prochaine fois elle fera en sorte que rien ne vienne tout gâcher.

Il n'y a personne pour le dire et toi comme moi je crois qu'on c'en moque un peu, puis j'ai l’habitude de  dire que le ridicule ne tue pas et ça m'arrange  !

Il est tellement maladroit et tête en l'air mais en cet instant il c'en moque véritablement, elle ne se moque pas de lui, elle n'a pas ce rire qui dit tes mignons mais tes un peu bête ! Ça lui plaît tellement, ce soir c'est une scène atypique qui se joue dans son salon et elle garde ce sourire qui le fait tant craquer et qui lui fait perdre tous ses moyens ! Les bras autour de son corps délicat il la garde tout près de lui, de crainte que le mirage ne s’efface qu'elle s'évanouisse dans un songe qu'il rêve chaque nuit, même s'il est terrifié... Il n'écrit pas sur l'amour s'il n'y croyait pas, s'il ne le désirait pas. Cameron pourrait- elle être cette personne-là ? Il sourit à ses mots faisans écho aux siens.
J'aime bien être un ado avec toi.. enfin je veut dire la sensation du nouveau, de l'extraordinaire enfin bref tu m'as compris, j'ai 15 ans !
Il rit doucement, il a vraiment 15 ans mais quand son regard se pose sur le sien il est loin d'avoir 15 ans, son regard est intense vibrant au son de l'envie d'elle, de ce sentiment qui grandit en lui et qu'il retient encore en cage au fond de son être. Il n'a rien à rajouter à ses mots, loin oui ...le plus possible jusqu’à l'inimaginable ? Cela lui fout carrément la trouille mais il laissera ce sentiment l’envahir plus tard. Un autre sentiment prend le pas sur la raison. Il la suit dans le couloir jusqu'à une porte qu'elle ouvre sans le quitter des yeux avant de se retourner et de s'excuser du " bazar " sans réfléchir il répond du tac au tac.
Tu devrai voir ma chambre, la tienne parait incroyablement rangé !
Il hausse les épaules et la regarde virer tout ce qu'il y a sur le lit, cela le fait sourire, normalement c'est lui qui fait ça, tout cacher dans un coin, sous le lit ou dans son armoire qui ressemble à un magasin de friperies. Il lui saisit le poignet lui retirant le vêtement qu'elle vient de ramasser et le balance dans la pièce, il l'attire tout contre lui, il penche la tête de côté, il voit bien qu'elle est tracassée par tous ces incidents il lui sourit tendrement.
il n'y a pas d'instant parfait, il n'y en aura jamais, c'est nous qui créons cette perfection, tous ses détails qui sur l'instant nous bousillent la vit, après coup nous nous rendront compte que c'est le sel de notre histoire, les petits riens, qui la rendent plus forte, plus vraie plus merveilleuse. Chaque seconde passé avec toi me remplie de joie.
Il rejoint ses lèvres, collant davantage son corps contre le sien, rien ne viendra gâcher cet instant, ce baiser, la douceur de ses lèvres sur les siennes, les goûts frais de sa langue jouant avec la sienne, la tension dans son corps qui se tend vers elle. Il la soulève doucement pour faire deux pas et sentir le lit contre ses jambes il la dépose délicatement et pose un genou dessus pour se pencher au-dessus d'elle, quelle vision magnifique, ses cheveux étaler sur le drap, ses yeux brillant sa bouche rouge de leurs baisers, elle est si belle, si désirable... Il ne réalise pas l'étendue de la chance qu'il a mais il en a parfaitement conscience. Il plie le bras et rejoint à nouveau sa bouche pour un instant avant d'embrasser sa joue, pour la courbe délicatement de sa mâchoire et ce point sous l'oreille d'ordinaire si sensible avant de poser un chapelet de baiser brûlant le long de son cou. Ses mains sont parties à l'exploration de son corps, il a longé ses flans et glissé sous le pull savourant sa peau, il remonte entraînant le vêtement il cherche son accord dans son regard avant de le lui retirer et le laisser choir plus loin, sa poitrine se gonfle et ses yeux la découvrent, son coeur bat plus fort, son être vibre devant la splendeur. Il pose un baiser sur son nombril et remonte en ligne droite jusqu'à revenir à sa bouche...
C'est le début d'un instant magique, le début d'une histoire, le début d'une romance qu'il n'aurait jamais cru...

Elle pousse un soupir de soulagement en même temps qu'il dit qu'il n'y a personne, heureusement sinon elle aurait subit des moqueries mais comme il le dit aussi elle est certaine qu'elle s'en moquerait de toute façon car rien ne compte à part lui et le moment présent, mais elle lui sourit surtout car elle sait qu'il a des petits défauts, des défauts qu'elle trouve mignon et qu'elle adore mais qui sont probablement parfois victime de moquerie, et bien sur elle, parfois aussi, risque de le taquiner un peu, en tout cas, elle ne veut surtout pas que ça le tue et elle aime la façon dont il prend la chose, elle aime beaucoup de chose de sa part et pour l'instant elle n'a rien à lui reprocher. Et elle sourit encore plus quand il dit qu'il veut bien être un ado avec elle, et qu'il essaye de s'expliquer elle pouffe un peu de rire avec lui, franchement elle le comprend vraiment, elle ressent la même chose, de la nouveauté, de l'intensité, des sentiments forts, elle a aussi 15 ans avec lui, et elle espère que cela sera toujours comme ça, ou encore bien mieux; mais ils n'ont pas 15 ans, enfin si et en même temps non, ils sont plus mature, ils sont grands, ils sont intenses ceux soir tous les deux, et tout est plus vrai et elle l'entraine jusque dans sa chambre, mais elle avait oublier l'état dans laquelle elle l'avait laisser, ce qui montre bien qu'elle n'avait pas du tout prévu que la soirée finirait comme cela, et que rien n'est planifié mais voilà l'avenir n'est jamais prédéfinie et la prochaine fois elle pensera à ranger sa chambre au cas où, en tout cas là, elle est un peu gênée par le bazar elle se demande ce qu'il va penser d'elle après. Elle le regarde et lui sourit quand il sous-entend que la sienne est pire, elle ne sais pas si c'est vrai mais elle ne serait pas étonnée non plus, c'est un artiste après tout, les clichés sont peut-être vrai.

Elle s'était retournée pour ramassée tout ce qui trainait même si avec tous les petits trucs qui les avaient coupés dans leurs élans rien ne se passerait entre eux ce soir. Elle se retrouve stopper dans son rangement quand il attrape son poignet pour lui enlever le jean qu'elle tenait et le balancer plus loin, elle le fixe étonnée, alors qu'elle se retrouve coller à lui, contre son torse ses mains sur son t-shirt. Elle l'écoute attentivement en souriant de plus en plus à ce qu'il lui dit, elle est totalement éprise de lui, c'est certain, il est parfait. Elle pose tâte son torse et fronce les sourcils.

C'est pas possible que tu soit réel ! tu es l'homme le plus merveilleux que je connaisse, tu sais ...

Elle avait envie de lui dire tellement de chose aussi, qu'elle attendait ses appels, ses messages ou leurs rencontres tout le temps, qu'elle pense à lui souvent voir même très souvent, mais elle ne pu rien dire de plus puisqu'il l'embrassa, la collant davantage contre lui, elle répond à son baiser avec autant d'intensité que lui, elle aime sa façon d'embrasser, il pourrait la faire exploser de plaisir rien qu'avec ses baisers. Elle se laisse faire complètement, se laissant installer sur son lit, alors qu'elle a les jambes qui sont au bord du lit et sa tête reposant sur sa couette, elle le regarde alors qu'il s'installe au dessus d'elle. Elle lui sourit, laissant son regard dévier sur son corps, avant de remonter sur son visage qui s'approche de nouveau pour que leurs lèvres jouent encore ce ballet qu'elles savent si bien faire, mais pour si peu de temps car il quitte ses lèvres pour se promener sur sa joue et sa peau, elle soupir de plaisir laissant ses mains aller jouer dans ses cheveux elle aime temps passer ses mains dans ces derniers, ils sont si doux, soyeux, elle aime tirer un peu dessus pour pour lui demander d'intensifier ce qu'il fait. Elle gémit quand il trouve ce petit point juste sous son oreille qui la fait frissonner de plaisir et de désir, son corps est totalement destiné à ses lèvres, ses mains, elle se laisse aller, lui donnant son accord pour la déshabiller, d'abord le pull lui dévoilant son sous-vêtement, un simple petit soutient gorge en dentelle blanche. Elle l'observe alors qu'il la regarde, elle aime voir tout son visage, ses expressions, elle sait qu'elle n'est pas une mannequin, mais elle aime son corps quand même bon comme toute fille, elle aimerait quand même changer des petits trucs mais bon, et elle pourrait mais elle ne le fera pas, elle fera avec ce qu'on lui a donné, par contre lui ... c'est le plus bel homme qu'elle a jamais vu, et elle est certaine qu'elle ne sera pas déçu, elle retrouve ses lèvres rapidement, et l'embrasse, elle se laisse aller dans ses bras.
Ses mains à elles se font à leur tour plus exploratrices, plus sure d'elles, glissant elles aussi sous son t-shirt, elle le caresse, sans rompre leur baiser, caressant ses abdos, mais aussi son dos chaud, elle passe ses jambes autour de sa taille pour le serrer encore plus contre elle, elle a envie d'aller plus loin, de se laisse aller avec lui, elle sait que ce n'est que le début de la nuit, de leur histoire, et elle a envie de savourer chaque instant dans ses bras.

Zéphyr la regarde sous le choc, oui un choc, ses paroles... "ce n'est pas possible que tu sois réelle plus merveilleux que je connaisse" des mots qui le touchent au tréfonds de lui, ce n'est pas vrai et il espère qu'elle ne sera pas déçue, mais il n'a pas la force de la contredire, cela fait tellement de bien d'entendre cela. Il vivait en Hermite, son livre, son chat, aller courir, manger des trucs froid sans saveur, don... Sa vie était un désert où il se perdait un peu plus chaque jour et la voilà qui entre dans sa vie et lui flanque un coup au coeur et secoue la poussière de son coeur. Il y a des moments dans une vie où il a tant à dire qu'aucun mot, phrase ne se formule, même pour lui créer de belle phrase qui fait rêver les lecteurs. Mais il ne s'agit pas d'un roman, de personnages fictifs il s'agit de lui de ceux qu'il ressent, d'elle de cette femme aux yeux si bleus qu'il perd ses mots juste à les voir se poser sur les siens. Alors les belles paroles viendront il n'en doute pas, mais il les garde encore en lui, derrière une porte nommé peur... Pour ce soir s'est pensé sont plus folles, plus voluptueuses, elle est tout contre lui, son corps prêt du sien sa bouche collée a la sienne, ses mains sur lui, il la désire tellement il en est presque effrayé... son envie d'elle surpasse tout, c'est plus que physique. Elle est là magnifique couchée sur le lit tel un cadeau au matin de Noël... un présent précieux dont -il veut prendre grand soin... Le reste est beau, fort, intense vibrant, un moment intime ou il ne connecte pas l'un avec l'autre, ou il se découvre l'un l'autre. Un instant où il s'abandonne, elle lui fait confiance lui offrant son corps, leur regard se cherche sans cesse, il a besoin de cette connexion où il se livre ou il ne peut cacher les émotions qui le traversent, parfois ses yeux se ferment pour vibrer plus intensément ressentir les sensations oh plus fort de leurs intensités. La serrer, l'embrasser, la goûter, vibrer. Deux souffles qui se mêlent dans un fouillé de draps froissés, deux corps qui s’emboîtent et ne font plus qu'un, une osmose délicate qui trouve son chemin avec aisance et un naturel fragile. Zéphyr ne calcule rien, il n'essaie pas de faire bien, de faire fort, non il est comme un adolescent découvrant des sensations incroyables, savourant la chaleur d'un corps de rêve qu'il ne pense qu'imaginé en fantasme... Il est lui entier sans demi-mesure, il se donne à elle intimement avec ce je en sais quoi infinité...
Le coeur battant la peau moite, le souffle en désordre, il la tient tout contre lui sa main longe ce corps sublime qui la fait monter vers les sommets, les yeux clos il est épuisé avec un sourire aux lèvres avec une légèreté dans le coeur. Un tel mot maladroit échangeait un petit rire échangé, une bouteille d'eau partagée, un drap posé sur eux deux et la question qui est là entre eux, doit-il rester ou partir, il n'en a aucune envie et elle ne fait pas mine de le vouloir aussi, il caresse sa joue lentement, son regard posé sur le sien, il se penche et frôle sa bouche d'un baiser. Elle se blottit contre lui, sa joue sur son torse, il ne veut pas réfléchir même si son cerveau ne lui demande pas son avis... Il ferme les yeux la serrant tendrement tout contre lui, tendant le bras il éteint la lumière, il sent son sourire et son fait naître le sien...

Cam le regardait elle ne pouvais pas croire qu'un homme comme lui pouvait exister, faut avouer qu'elle n'a pas eu beaucoup d'expérience en terme de relation et les mecs qu'elle avait pu croiser, ne lui ressemblait pas du tout, ils n'étaient pas du tout du genre relation, douceur, attention, bref ils pensaient plus souvent à eux qu'à elle, et puis lui, Zéphyr, elle ne sais pas mais il la fait tellement craquer. Elle le regardait avec de grand yeux plein d'adoration car oui elle l'adore, elle est presque sur d'être en train de tomber amoureuse de lui, mais elle n'est pas encore prête à le lui avouer, ni à se l'avouer à elle même. Elle profite juste ce soir, de ses bras, de son corps, de lui, elle n'a surtout pas envie d'être déranger, elle veut être avec lui rien que lui.
Ce soir, son cerveau s'est fait la mâle, elle n'est plus que sensations, désirs et plaisirs, elle ne réfléchie plus, elle ressent, dans ses bras elle oublie tout sauf lui. Son corps est collé au sien, dans son lit, il est au dessus d'elle et leurs bouches dansent un ballet qu'elles seules ne connaissent, leurs corps, eux, se dévoilent, se découvrent, se connectent, comme si cela était tout simplement naturel, comme si c'était ce qu'ils étaient censé faire depuis toujours. Ils s'offrent mutuellement, l'un à l'autre, c'est tellement intense qu'elle a l'impression que son cœur va s’arrêter de battre, et qu'elle flotte dans les airs, son regard encré dans le sien, comme si elle ne pouvait cesser de le regarder sinon elle perdrait tout, il est son attache, son ancre sinon elle pourrait s'envoler loin trop loin de lui. Elle le regarde, le découvre, alors que le plaisir déforme ses traits de façon sublime, elle le sait qu'elle doit avoir la même expression que lui sur le sien, cette connexion qu'il y a entre eux semble s'être décuplé ...

Elle se retrouve dans ses bras, leur osmose est parfaite, son cœur bat fort dans sa poitrine, elle est contre lui, sa tête posé sur son épaule, elle est bien, reposé, en sécurité, contre lui, sa main sur son torse, son doigt dessinant des motifs inventé sur sa peau, elle ne sais pas quoi dire, elle n'ose rien dire, elle ne veut pas briser ce moment, elle est trop bien, et elle ne veux surtout pas qu'il parte, elle veut rester là dans ses bras là pour toujours. Elle tire sur le drap pour le remonter encore un peu, elle sourit et il les met dans le noir, le diner pas finit, mais elle s'en fiche, elle ne veut surtout pas penser à quoi que se soit sauf à lui, elle se redresse un peu et l'embrasse sur la bouche un baiser tendre mais qui veut dire tellement. Elle n'a pas besoin de lui dire qu'elle veut qu'il reste, elle sait qu'il le sait, et elle espère surtout le voir demain matin, elle ferme les yeux et s'endort dans ses bras, coller contre lui, les jambes emmêler dans les siennes, elle pourrait s'y habituer.

Complètement décalé dans ses heures de sommeil Zéphyr a ouvert les yeux au coeur de la nuit ou le jour n'est pas encore là, il y a eu une seconde ou il fut perdu, ne sachant pas ou il était, juste une sensation de chaleur intense, puis tout bascule, les souvenirs reviennent à la vitesse grand V le dîner, la confession de Cameron, leurs baisers, leurs pas menant à la chambre à la peau de Cameron à son gout exquis à ce moment parfait entre eux, la découverte de sa peau de son corps divin sous ses doigts et sa bouche, un moment fort et intense, une union, un commencement... Le début d'une aventure qui l'effraie et lui gonfle le coeur. Il tourne son visage et la découvre dans la pénombre recroquevillée sur elle-même un bras autour de lui, ses cheveux sombres étaler sur l’oreille une mèche lui tombant dans le cou, elle est a coupé le souffle dans son sommeil. Il n'ose pas bouger de peur de la réveiller mais une envie urgente va l'obliger à sortir du lit. Avec délicatesse il se dégage d'elle, il caresse la courbe de son épaule elle frissonne doucement il en sourit en remontant les draps sur elle, il retrouve son boxeur le passe et cherche les toilettes il est accueilli par le molosse de Cameron qui le fixe de ses yeux noirs et le chaton lui sans crainte vient se coller à lui, il se penche caresse la boule de poils, il en a un lui aussi il aime les chats, il relève les yeux et le molosse penche la tête il fait de même en souriant, il avance vers lui, il le laisse faire, il le renifle et hop un petit coup de langue, il vient de se faire un pote ! Il se redresse et trouve les wcs et ses nouveaux compagnons l'attendent sa le fait sourire. Sans bruit il rejoint à nouveau la chambre elle a changé de position, il se glisse dans le lis et il passe un bras autour d'elle, Cameron bouge. " Chut bébé je suis là dors " Il devine plus qu'il ne voit son sourire.
Cette fois il sait qu'il ne dormira plus il se lève sans bruit hésité avec l'envie d'une douche mais il craint de la réveiller, il tente, il prend une douche et grimace au parfum des gels douches, il va sentir la femme. Il se rhabille, ce coiffe comme il peut sans son gel et il récupère son portefeuille et remet tous ceux qu'il avait fait tomber pour trouver le préservatif. Il ouvre la porte et son nouvel ami agite la queue " Allez vient" Il fait le tour du quartier et trouve une boulangerie, il prend un assortiment de viennoiseries et repart vers l'appartement quand il entre et referme la porte il découvre Cameron qui visiblement se lève elle a dans le regard quand elle le voit un soulagement... Il lui sourit et lève le sachet
" Petit déjeuner "

Cameron s'était lentement endormie dans les bras de Zéphyr, elle est paisible, et puis entre son boulot et le reste, ben elle a un peu besoin de repos. Elle dors calmement et avoir Zéphyr à coté d'elle ne la dérange pas au contraire il aurait plutôt un coté apaisant, elle dormait profondément et ne s'est pas rendu compte que Zéphyr s'était réveiller et même sortie du lit, elle ne se souvient même pas avoir faillit se réveiller, en tout cas ce qu'elle sait ce matin c'est qu'elle est reposer et qu'elle est bien. Mais en tendant le bras, cherchant Zéphyr à coté d'elle, elle ne trouve qu'un lit froid sauf là ou elle dort, elle ouvre les yeux et personne, elle fronce les sourcils, laissant ses yeux s'habituer à la pénombre que les volets et rideaux font dans sa chambre, mais il y a personne, et elle ne voit pas les affaires de Zéphyr qui trainent, elle soupir laissant sa tête retomber sur le lit, elle est persuader qu'il est partit avant son réveil mais elle a encore un petit espoir de le trouver dans la cuisine avec une tasse de café chaud dans la main, et une pour elle de prête, car bon même si elle a peur qu'il soit partit comme beaucoup d'homme le ferait, elle se lève après s'être retourner dans le lit plusieurs fois, et elle ramasse le drap qu'elle enroule autour de son corps. Quand elle ouvre la porte de sa chambre elle est étonné de ne voir que Snow qui l'attend mais pas Harlem alors que d'habitude il est là à l'attendre et veux qu'une chose aller faire sa petite sortie, mais là que la boule de poil qu'elle prend dans ses petits bras et marche vers la cuisine.

Quand elle arrive dans la cuisine avec ce petit espoir, elle soupir, personne, pas de café chaud, pas de Zéphyr et pas de Harlem, et ca commence à l'inquiété de pas voir son chien, jamais il serait sortit seul et encore moins avec un inconnu, il devrait être là, et Zéphyr aussi mais bon avec les humains il y a souvent moins de certitude, et elle doute qu'il revienne après avoir ramassé ses affaires et être partit. Elle allait prendre son portable qui traine sur la table basse quand elle entend sa porte d'entrée s'ouvrir, elle se retourne et prend un petit temps pour réaliser qu'il est là avec un sourire, beau comme un dieu, et avec le petit déjeuné dans les mains, sans compter Harlem qui a l'air ravi et en confiance avec Zéphyr, ce qui est une première. Elle lui sourit avec du soulagement et de l'adoration dans le regard, elle est totalement éprise de Zéphyr mais avant de lui courir dans les bras pour l'embrasser, elle se rappelle qu'elle est enrouler dans un drap, nue dessous, et qu'elle a probablement une tête de déterrée les cheveux dans un état lamentable, bref pas du tout présentable, elle grimace.

Tu es l'homme parfait, et moi je suis Cruella !

Elle lui sourit et serre encore plus son drap autour de son corps, elle a envie de l'embrasser mais bon pas les dents brossées, pas habillée, pas coiffée, pas belle quoi !

Je vais aller prendre ma douche et me préparer pour le petit déjeuné ?

elle lui montre le drap en souriant.

Zéphyr est un peu penaud, sur le pas de la porte avec son sachet de viennoiseries. Puis la vision de Cameron enrouler dans le drap est juste éblouissante, il n'y a rien de plus sexy et charmeur que cela. Il avance vers elle la détaillant du regard et rougissant légèrement, ce n'est pas gagné pour qu'il n'est plus cet effet en sa présence ! Je suis loin de l'homme parfait, quel homme laisserai une telle merveille dans un grand lit froid ! Et tu es la plus divine des cruella !
Il  attrape le drap et la rapproche de lui tout sourire et lui vole un baiser. Va vite prendre ta douche je suis capable de faire exploser ta cuisine en voulant faire du café.  Il grimace, car c'est la vérité, il est une catastrophe ambulante, irrécupérable, bon à jeter à la poubelle. Il la regarde aller vers la salle de bain et il rejoint la cuisine, vue qu'il est nul pour faire quoi que ce soit il va faire ceux qu'il peut déjà débarrasser la table d'hier laissé en plan... Il ne regrette pas de ne pas avoir goûté la suite du repas ! Il faudrait être fou pour le regretter d'ailleurs, il range donc tout nettoie la table et trouve tasse cuillère beurre et biscotte et confiture qu'il dépose sur la table de la cuisine. Il sort ensuite son portable consultant ses mails il a deux adresses une pour les fans qui lui écrivent via son site internet et son personnel sans surprise un message de son éditrice ! Il lui manque un chapitre il avait pensé le finir dans la nuit... Raté Il regarde l'heure, il n'a pas envie de partir, mais une fois cela bouclé il pourrait s'accorder un peu de répits avant d’entamer le troisième et derniers volumes de sa saga ! Elle revient divinement belle avec ses cheveux humides son visage pétillant, il sent déjà qu'elle va lui manquer et il entend la voix dans sa tête qui lui dit " bravo elle va occuper tes pensées et ton chapitre piouff page blanche ! "
Tu es..Vraiment très jolie !
et je m'excuse d'avance ne pas savoir faire fonctionné une simple machine a café, la tienne est trop high tech pour moi !

Cameron était envelopper dans ses draps, elle avait eu peur qu'il soit partit, même si cela l'aurait étonné de la part de Zéphyr, mais bon les mecs aussi elle en a vue et en générale, ben elle est pas tomber sur de super mec, mais Zéph, ben il est d'un genre différent, elle craque complètement pour lui, et là devant sa porte avec Harlem à coté de lui qui est calme et heureux au vu de sa queue qui fouette et Zéphyr avec son paquet de viennoiserie. Elle le regarde entrer dans son salon, s'avancer avec ce visage, et son petit coté timide avec ses petites rougeurs qu'elle adore, mais ses paroles la font rougir aussi, elle est sur d'être horrible, maquillage qui a couler sous les yeux, cheveux en bataille, sans maquillage, bref, pas du tout sexy et vraiment Cruella, mais apparemment ça le dérange pas, et elle se laisse faire en gloussant un peu, avant de lui rendre son baiser. Elle ne lui répond pas, avant de rire et de se diriger vers le couloir, sa chambre et sa salle de bain, tout en jetant un regard coquin vers lui par dessus son épaule et de se glisser rapidement dans sa chambre et de filer sous la douche, quand elle regarde sa tête dans le miroir, elle grimace avant de se laisser rapidement glisser sous l'eau. Jamais elle n'a pris une douche aussi rapide, pas qu'elle n'a pas confiance en Zéphyr et au fait qu'il peut tout faire exploser mais plutôt que le savoir à coté, lui donne qu'une envie aller le rejoindre le plus rapidement possible !

Elle ressort de la salle de bain et se retrouve dans sa chambre, elle ne sait pas quoi mettre pour s'habiller mais aujourd'hui elle travail pas, alors elle risque de sortir avec Harlem se promener, elle opte pour une tenue plutôt décontracté, bottines noires, pantalon beige et débardeur noir, elle retourne vite dans la salle de bain, pour coiffer ses cheveux rapidement et se maquillé légèrement, histoire d'être joli mais naturelle au maximum. elle ressort et s'avance vers la cuisine, alors qu'il a presque tout préparer et qu'il check sont téléphone, elle l'observe et lui souris, en avançant dans la pièce.

non c'est toi le plus beau et regarde en plus tu as tout préparer.

Elle le regarde avec une moue suspicieuse.

Tu ne peux pas être humain ! serais-tu un extraterrestre ?

Elle lui sourit et s'approche de lui, pour le prendre dans ses bras et maintenant elle peut l'embrasser avec passion après être passer dans la salle de bain et avoir brosser ses dents, plus d’haleine de poney ! Elle le relâche mais garde sa main dans la sienne pour l'entrainer vers la cafetière elle sort deux capsule et lui montre comment faire.

Regarde tu ne peux pas te tromper, tu glisse la capsule dans le petit tiroir tu peux pas te tromper, ça rentre que dans ce sens, tu referme le tiroir, tu pose ta tasse dessous et tu appuis sur le bouton, ça marche tout seul, faut juste penser à mettre de l'eau dans le réservoir, et comme ça, pas de risque !

Elle lui en fait un aussi pour lui, et elle sure qu'avec cette cafetière il n'aura aucun risque ! elle prend les deux tasse et les pose sur la table, en souriant avec gourmandise à ce petit déjeuné grandiose.

J'ai faim, de tout ce qu'il y a sur cette table et à coté aussi

Elle lui dit cela en le regardant.

Alors aujourd'hui tu as quelque chose de prévu ?

Tout préparé ? Ouais en soi est un exploit, il n'est pas trop du genre maniaque c'est plutôt tout le contraire chez lui. Mais là il n'est pas chez lui et il voulait s'occuper le temps qu'elle prenne sa douche, car il est déstabilisant d'être chez quelqu'un alors au lieu de rester là planter comme un débile à attendre qu'elle fasse tout pour lui en mode gros macho, il a rangé comme il a pu. Il cligne la tête a sa remarque et se gratte le menton.
Malheureusement je suis humain, pas de tour dans le cosmos pour vous très chère !
Dit-il en lui souriant. Elle se glisse dans ses bras et ses un pur bonheur de la sentir tout contre lui, il l'entoure de ses bras et lui rend son baiser enflammer, heureux d'être un fou de chewing-gum car sa brosse à dents elle est dans son pot dans sa salle de bain, chez lui, ou il a surement dû encore une fois oublier d'éteindre la lumière. Après ce tendre baiser elle l’entraîne vers la machine à café et comme à un simple d'esprit elle lui explique comment faire.
Tu sais avec moi c'est compliqué, je ne suis pas technologie je galère avec mon portable... Pardon ...smartphone ! Alors une machine à café...
C'est un peu pathétique, il faut l'avouer, il ne s'est pas cuisiné, il ne sait pas se servir d'un grille-pain sans foutre le feu à la pièce, ne lui laisser jamais entre les mains de la vaisselle fragile, ou trouve la meilleure colle glu au monde !
Il sourit à sa remarque et ses joues s'empourprent un peu, ce n'est pas demain qu'elle ne lui fera plus cet effet ! Il boit une gorgée de café qui est divin, aucune comparaison avec le jus de chaussette en sachet qu'il avale tout au long de la journée et ou de la nuit.
ne te gêne pas ...
Il réalise l'étendue de ses paroles et il rougit encore plus reprenant une gorgée de café et son regard se pose sur elle, pour ne plus la lâcher, un regard instance qui en dit long. Il repose la tasse a sa question qui le distrait de l'envie qui prenait place en lui. Retour à la réalité.
Je dois absolument finir mon chapitre... C'est le dernier et j'aurai fini ce tome-là !
Il a hâte même si cela signifie aussi qu'il va devoir ensuite se soumettre aux interviews etc.
Et Toi Tu travail ?
Il aurait bien voulu passer la journée avec elle, mais il doit vraiment finir il a pris beaucoup de retard, il ne peut se permettre d'en perdre plus! son éditeur attend et ses fans aussi. Son portable vibre, tiens quand on parle du loup, il ignore l'appel, sachant qu'il va re-essayer d'ici quelques minutes, regret il repousse sa chaise et se lève.
Je suis navré mais il me faut vraiment y aller. Merci pour cette moitié de dîner, pour cette nuit, pour ce petit déjeuner et du cours sur la machine à café... Les mots je sais m'en servir, mais tu me déstabilises tant que je n'en trouve aucun qui puisse qualifier ce qu'il y a là...
Il pose ses doigts sur son torse en lui souriant, il tend la main pour saisir la sienne et la rapprocher de lui, un doigt sous son menton et il retrouve ses lèvres si douces, il aime vraiment l'embrasser.
Peut-être que je pourrais t’appeler quand j'aurai fini ?!