One hot night spent with a stranger, you wanted was somebody to hold on to passion

Au début, j'étais seulement blessé et vexé face à certaines des attaques de Kataryna. Mais plus le temps passait et plus je m'agaçais, voir m'énervais. Ne pas m'énerver pour de bon et tous les remettre à leur place, me demandait énormément d'énergie et de maîtrise de moi. C'était très compliqué. Tout ça me faisait d'autant plus mal, que je ne parvenais pas à oublier les sentiments que j'avais pour elle. C'était idiot et maso. Mais je ne contrôlais vraiment pas tout ça. C'était plus fort que moi. je fantasmais littéralement sur elle. Même si je ne regardais plus dans sa direction. Jamais. Quand mes yeux se posaient sur elle, c'était parce qu'elle était encore en train de s'en prendre à moi. Au début je baissais les yeux à chaque fois. Maintenant, je crispai les mâchoires et regardais l'ensemble du groupe avec agacement. Je savais que si je soutenais leurs regards, je risquais surtout d'empirer les choses. Mais baisser les yeux devenait de plus en plus difficile. J'avais l'impression qu'ils s'en prenaient davantage à moi, qu'avant. Ou c'était juste une impression parce que ça me faisait nettement plus d'effet. J'en avais marre. Vraiment. Mais qu'est-ce que je pouvais faire, hein ? Rien du tout, bien sûr. Juste la fermer et encaisser en silence.

Malheureusement pour moi, il fallut qu'ils choisissent le bar dans lequel je bossais, pour une petite soirée. C'était vraiment pas ma veine ça. Et putain, je ne pouvais pas m'empêcher de mater Kataryna. Elle était vachement sexy. Ce qui n'était pas très surprenant en soit. Mais elle l'était quand même nettement plus encore qu'elle ne l'était à la fac. Moi même je faisais plus d'efforts quand je n'étais pas à l'université. Je ne portais pas un jean délavé et un tee shirt. Mais un jean noir et une chemise tout aussi sombre aux manches retroussées jusqu'aux coudes et aux trois premiers boutons ouverts. Je n'étais pas plus sûr de moi que je ne l'étais à l'université. Mais je me sentais quand même nettement plus à l'aise, sans tous ces fils à papa qui me rappelaient sans cesse que je ne valais rien à côté d'eux. Ces foutus fils à papa qui se trouvaient ici, maintenant. Occupé à servir derrière le bar, je prenais vraiment sur moi pour ne pas regarder dans leur direction. Mais c'était difficile vu que Kataryna attirait grandement mon regard. Bientôt, je fus forcé de passer devant leur table pour apporter les verres de ceux qui étaient installés à la table à côté. je faisais aussi vite que possible pour ne surtout pas m'attarder dans les parages.

realised by morphine.

J'avais beau m'être préparé à ce retour difficile de son vieux comportement très détestable, j'étais quand même toujours plus blessé à chaque nouvelle attaque de sa part. La seule chose qui pouvait expliquer ça, c'était le fait que j'étais amoureux d'elle. Et ça, forcément, ça ne pouvait pas m'aider à avoir encore les idées claires. J'encaissais avec grande difficulté, me contentant d'espérer qu'elle allait arrêter ces conneries pour me snober. Ca ne serait pas mal ça déjà. Mais pour le moment, ce n'était pas du tout ce qu'elle faisait, et ça m'emmerdait pas mal. Ce soir là, ça m'énervait même pas mal. A la fac, je prenais sur moi. Mais dans le cadre du travail, je n'étais vraiment pas certain d'avoir autant de patience. Quand elle vint me demander une bière au bar, je ne lui accordai qu'un bref regard avant de me détourner pour lui en faire couler une. Mais je fus un peu perturbé par les échanges qu'elle eut avec son mec. C'était plus fort que moi, je tendais l'oreille. J'essayais de ne pas écouter, vraiment. Mais c'était plus fort que moi. Apparemment, il avait envie de la sauter. Mais ce n'était pas une envie partagée. En même temps, je doutais que qui que ce soit dans ce bar, n'ait pas envie de la sauter. Elle était sacrément bandante. Oh bon sang ... C'était vraiment moi qui étais en train de penser de la sorte ? Oui, apparemment oui. Parce que ce soir, j'avais bien envie de lui clouer le bec d'un baiser fiévreux et de la coller contre un mur pour la ... Bref ... Je devais arrêter de penser aussi stupidement. De toute façon, elle me rappela bien vite à l'ordre en me gueulant dessus. Mâchoires crispées, je claquai son verre de bière sur le comptoir devant elle, avant de me détourner ... Pour tomber nez à nez avec mon patron. Qui me passa évidemment un sacré savon. Je du faire profil bas. Ce qui avait le don de me foutre pas mal les boules ...

La soirée se poursuivit ainsi. Je devais répondre aux ordres de ses foutus amis qui faisaient grimper la rancoeur en moi, de cran en cran. J'étais à deux doigts de leur balancer leurs verres à la gueule. Si je n'avais pas eus peur de perdre mon boulot, sans doute que je me serais laissé aller à cette envie. Mais je prenais sur moi. Encore et toujours. Je leur apportai leurs verres, mâchoires crispées et lançai un regard noir à Kataryna quand je me détournai pour m'éloigner d'eux. Derrière le bar, alors que je pensais être tranquille par rapport à eux, il fallut qu'elle débarque pour me remettre bien à ma place. Ses paroles me firent mal au coeur et m'énervèrent en même temps. En cet instant, je la détestais vraiment. Putain ce que je pouvais la détester. Pourtant, je pris sur moi et ne soufflai mot. Je ne baissai pas les yeux pour autant. Je me contentais de la regarder froidement. Quand elle balança sa bière au sol, non loin de moi, je n'affichai aucune expression. Je me contentais de la regarder et de serrer les poings. Non, je n'avais pas envie de la cogner -quoi que ...-. Juste de me défouler sur quelque chose. Ou quelqu'un. L'occasion se présenta un moment plus tard quand il y eut du remue ménage à une table. Des coups commençaient à pleuvoir. Je ne voulais pas intervenir sans l'autorisation de mon patron alors je lui lançai un regard interrogateur. Je fus presque soulagé qu'il me fasse signe d'intervenir. Je fonçai littéralement sur les fauteurs de trouble. En voulant les séparer, je reçu un coup de poing dans la pommette. Comme si je n'étais pas assez énervé comme ça, tiens !

Je m'emportai pour de bon et lui rendis le coup. Ce qui eut au moins le don de le calmer. Je lui lâchai froidement qu'il fallait qu'il quitte le bar s'il ne voulait pas avoir des ennuis avec les flics et l'escortai, main sur le col de son vêtement, au dehors. J'étais presque déçu qu'il n'ait pas offert plus de résistance. Je me serais bien battu pour de vrai ! Histoire de me défouler un peu quoi ! L'affaire fut donc trop rapidement réglée et je retournai à la table des fauteurs de trouble pour calmer le jeux pour de bon. Alors que je passais devant la table de Kataryna, je vis son regard sur moi. Elle était en train de réfléchir à une nouvelle vacherie peut-être ? Un problème ? Une autre bouteille à me balancer dessus peut-être ? Demandai-je avec une haine certaine, avant d'interroger tous les autres du regard. C'était la première fois que je me sentais le courage de les affronter directement. mais je n'attendis pas de réponse, bien sûr. Question purement rhétorique. Je me détournai pour rejoindre le bar. Au dernier moment, je bifurquai pour me réfugier plutôt dans la réserve. Juste le temps que je me ressaisisse et calme la colère qui bouillonnait sévèrement en moi.

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J'avais déjà beaucoup de mal à supporter leurs attaques à répétition, à la fac. Mais en plus, maintenant, je devais les supporter en dehors ? Là, non, vraiment je ne pouvais pas. Surtout dans le cadre du boulot. Je ne voulais pas le perdre à cause de ces crétins. Mais n'empêche que c'était super compliqué de rester calme. A tel point, que lorsque la colère commença à éclater plus ouvertement, je ne pu m'empêcher de tous les défier de me faire chier maintenant. Mais aucun ne le fit. C'est ce qu'il me semblait. Tous des lâches. Tous, sans exception. Mâchoires et poings crispés, je me détournai pour aller me réfugier dans la réserve. C'était juste le temps de me calmer. Pas une façon de les fuir ni rien. J'étais vraiment énervé pour le coup et j'aurais presque apprécié que ce foutu Jason s'en prenne à moi tiens. Histoire que je puisse bien me défouler. Mais il était le genre de type à secouer plus facilement une nana, qu'un mec. Exemple même de la lâcheté ce type là. Ca me dégoûtait. Tous, ils me dégoûtait ! Me retrouver seul dans la réserve, me fit le plus grand bien. Mains fermées autour d'une étagère, je fermais fort les yeux et prenais de lentes et longues inspirations. Il fallait vraiment que je me calme avant de remonter. Mais j'entendis la porte s'ouvrir et se refermer dans mon dos. Je me figeai, prêt à me faire engueuler par mon employeur. Mais ce n'était pas lui finalement.

Pourquoi est-ce qu'elle m'avait suivit putain ? Elle ne pouvait pas se contenter de la fermer et de rester tranquillement dans son coin comme tous les autres ? Non, apparemment non. Elle voulait juste me faire chier jusqu'au bout. Je pivotai quand elle m'y força, plantant un regard ombrageux dans le sien. Je retirai sèchement mon bras pour ne plus avoir aucun contact physique avec elle. Parce que, putain, ça me faisait quelque chose. Ca me mettait dans tous mes états. Pourquoi être énervé contre elle et la voir dans le même état que moi, ça m'excitait autant ? Depuis quand la colère et le désir étaient-ils liés ? Sérieusement, je ne comprenais plus rien à rien. Ca ne m'était jamais arrivé; Je n'avais jamais autant désiré une nana de toute ma vie. J'avais envie de la prendre. Là. Tout de suite. Qu'est-ce que tu me veux encore ? Demandai-je d'une voix claquante. Regard planté dans le sien, j'étais impressionné de constater que nous faisions la même taille. Elle était même un poil plus grande avec ses talons hauts. Je trouvais ça super excitants aussi. En fait, tout m'excitait chez elle en cet instant. Même sa voix délicieusement grave. Même son ton sec et froid. Et ses lèvres. Putain ses lèvres. Légèrement entrouvertes en cet instant. J'avais envie de les mordre, sans déconner. T'en as pas assez de me faire chier à la fac, faut aussi que tu le fasses ici ? Toi qui te vantes d'être la reine, tu peux pas juste m'ignorer et leur dire de faire pareil ? Tonnai-je avec une colère évidente. Et pourquoi perdre ton temps à me suivre jusqu'ici ?

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Elle jouait tellement bien son rôle de la garce depuis notre retour, que je ne savais plus trop qui elle était finalement. Je voulais croire que la fille que j'avais rencontré pendant les vacances, était la vraie Kataryna. Mais elle s'y prenait vachement bien pour dire de sacrés horreurs. Elle était horriblement méchante. Vraiment méchante. Monstrueuse la plupart du temps. J'étais blessé la plupart du temps. Ca faisait vraiment un mal de chien sérieusement. Et quand tu m'as parlé comme à un chien pour une foutue bière ? Et quand t'es revenue me balancer toutes ces horreurs ? Et me balancer ta bière ? C'est pas toi peut-être ? Putain dans ce cas t'as un sacré sosie là haut. Arrête un peu de te victimiser alors que tu passes ton temps à jouer la garce. Pour sûr que j'étais énervé. Et pourtant, je ne cessais de remarquer des petits détails super excitants sur elle. Je pouvais presque voir le sang qui devait palpiter sérieusement sous ses tempes. Et les mouvements de sa poitrine quand elle prenait de profondes inspirations, à cause de la colère. Mon Dieu elle était tellement détestable quand elle prenait ses grands airs et avait réellement l'air de croire qu'elle valait mieux que tout le monde, mais surtout que moi. Si tu m'avais pas emmerdé au bar comme tu l'as fais, je t'aurais ignoré. Mais non, tu peux pas t'en empêcher. T'aimes tellement ça, me "recadrer". Lâchai-je avec ironie et yeux levés au ciel.

Un sourire ironique s'étala sur mon visage quand elle fit un pas vers moi en me disant de me calmer et que je ne savais pas de quoi elle était capable. Putain, parce qu'elle pensait qu'elle était en train de me faire peur là ? Elle pensait que j'étais effrayé par les choses qu'elle pourrait me faire ? Raté ! Oh oui ? Dis moi un peu de quoi t'es capable alors ? De me faire renvoyer de ce bar ? De faire en sorte que plus personne ne veuille m'embaucher ? Mais vas-y je t'en prie, amuse-toi à ça ! Elle n'irait pas jusque là. J'avais du mal à y croire; Je me trompais peut-être. Mais tant pis, je prenais le risque. Enfin dans l'immédiat, si je prenais tous ces risques, c'était uniquement parce que j'étais beaucoup trop énervé pour pouvoir réfléchir de la façon la plus rationnelle et normale qui soit. J'approchai mon visage du sien pour la défier plus encore du regard. Parce que tu crois que moi j'ai peur de toi ? Demandai-je froidement et avec détachement. Je n'avais pas peur. par contre, j'étais super énervé, super excité et super troublé par son parfum qui me chatouillait les narines et son souffle chaud qui rencontrait le mien vu comme nous étions près. Va te faire foutre. Tu sais faire ça, non ? Soufflai-je avec détachement et ironie, en reprenant plus ou moins ses termes.

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Quelle connasse quand même. Elle faisait mine de n'être responsable de rien du tout. Alors qu'il était évident que tout ça, c'était entièrement de sa faute. Si elle ne m'avait pas encore et toujours si mal parlé, je ne serais pas en train de me rebeller, comme elle le disait si bien. Je détestais la mauvaise fois. Et elle, elle savait en faire preuve ! J'avais vraiment envie de la remettre à sa place pour une fois ! Défoule toi sur quelqu'un d'autre à l'avenir. J'en ai ras le cul que tu t'en prennes tout le temps à moi. Répliquai-je froidement. Je grinçai des dents quand elle fit mine de critiquer le fait que je ne faisais soit disant pas bien mon boulot. Je le faisais très correctement. T'avais juste envie de te défouler sur quelqu'un. Encore ! Et c'était évidemment sur moi que c'était tombé. Comme toujours. J'en avais marre, c'était évident. Elle me ridiculisait bien assez à la fac, sans en plus me ridiculiser ici, sur mon lieu de travail. J'étais un être humain bon sang. Ok, je ne valais sans doute pas grand chose et je ne méritais pas non plus qu'on s'intéresse à moi. Mais quand même. J'étais un être humain et je méritais un peu de respect, quoi qu'elle en dise et en pense ! Je ne pouvais pas laisser passer tout ça. Du moins, pas ici. A l'université, j'acceptais encore de faire profil bas. Mais là aussi, pour combien de temps ? Ma patience était en train d'atteindre ses limites.

Elle assura qu'elle pouvait aussi me faire virer de la fac. Là encore, je n'étais pas du tout en état de réfléchir et penser clairement à ces risques. J'étais beaucoup trop énervé pour ça, ça faisait court circuit avec mon cerveau. Je regretterais peut-être ce coup d'éclat une fois de retour chez moi, tranquillement. Et j'allais m'en vouloir et peut-être même lui demander pardon. Mais pour l'instant, c'était hors de question ! De ses mains sur mon torse, elle me poussa jusqu'à me plaquer contre le mur. Putain. Ne me touche pas ! Grognai-je en repoussant encore une fois son bras. Parce que tu crois que t'as le droit de me parler comme ça toi ? Sous prétexte que t'as de l'argent, tu vaux plus que moi ? Redescend un peu sur terre. Mais elle continuait de me pousser. De me donner des petits coups, comme par pure provocation. Pour me pousser à bout. Est-ce qu'elle pensait vraiment que j'allais la cogner ? Que j'étais ce genre d'homme ? Je préférais encore flanquer mon poing dans le mur et me briser les doigts, plutôt que de la cogner elle. Que de cogner une nana, plus largement ! Tu me prends pour l'un de tes lâches amis ? Incapables de répondre à un type énervé mais capables de frapper une nana ? Je la poussai quand même un peu pour qu'elle s'éloigne de moi. Mais j'avais surtout envie d'attraper son visage pour l'embrasser et la plaquer à son tour contre le mur. J'étais presque certain que mon envie d'elle devait se voir. Pas uniquement au sud de mon corps. Mais aussi et surtout dans mon regard.

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Plus ça allait et plus j'étais énervé. Et je voyais bien que c'était pareil pour elle. Elle était en train de grimper. On pétait tous les deux les plombs et j'ignorais jusqu'où ça allait aller mais il était évident que ça n'allait pas bien se terminer. Ou si. En fait j'en savais rien. Ca craignait. On allait trop loin. Je l'insultais avec presque naturel. Mais j'étais trop énervé pour réfléchir et me sentir mal de faire tout ça. D'un côté, je me disais qu'elle le méritait sacrément quand même. Elle me cherchait depuis trop longtemps. Alors forcément, quand ça pétait, ça pétait sévèrement. Et si ça lui plaisait pas, c'était pareil. je m'en foutais. Pour le moment tout du moins ! Elle me traitait de lâche. C'était stupide. Un lâche l'aurait frappé comme elle en faisait presque la demande. Ou se serait juste barré. Moi j'étais encore là, à soutenir son regard froid et énervé. Et emplit de désir. J'étais certain qu'elle avait autant envie de moi, que moi j'avais envie d'elle. Putain, comment je faisais pour ne pas craquer et lui sauter dessus comme un animal ? Parce que ouais, j'avais envie de la prendre comme une bête ... C'était insensé, totalement.

Largement ! Me surpris-je à lui répondre, sur un ton plein d'assurance. Ce n'était pas du tout mon genre ça. Mais dans ce coup de colère, je me surprenais à être ... Plus sûr de moi.A ucun doute que c'était temporaire. Je n'étais pas en train de changer du tout au tout, évidemment. Je me retrouvai ensuite planté là, droit comme un i, mâchoires crispées, poings fermés et regard planté dans le sien. Des regards emplit de désir et de défis silencieux. L'air était chargé en électricité, le calme retombé entre nous. Et finalement, le pas de trop. Ou enfin. Je ne savais pas. A un moment on se défiait du regard. Le moment d'après, ma bouche était sur la sienne. Ou la sienne sur la mienne. Aucune idée ! Mais on s'embrassait. Et pas gentiment. C'était bestial, passionné, presque violent. Mes dents s'en prenaient à ses lèvres, les siennes aux miennes. Ma langue dans sa bouche ou la sienne dans la mienne. Bref, c'était un baiser des plus puissants qui me mettaient dans tous mes états. Et cette fois, je la faisais sèchement reculer et percuter assez brusquement l'étagère dans son dos. Mes mains s'agrippèrent à ses hanches alors que j'attirais son bassin au mien avec fermeté.

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