Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Il se rapproche de toi, susurre à ton oreille. Ta main reprend sa place sur sa bite ainsi que son va et vient, mais tes yeux sont rivés sur les siens. « T’as tous les droits sauf ça, » tu rétorques. Pas pour ce soir en tout cas, l’autre vieux t’as déjà fait assez mal au cul, t’as pas envie de tester un nouveau truc. Ses lèvres viennent se perdre dans ton cou, et tu fermes les yeux un instant, tandis que vos vêtement vous quittent définitivement pour rejoindre le sol. « Et puis, faut bien que je te dépucelle, » tu ajoutes avec un sourire. Ouais, faut qu’il perde la virginité de son cul, et tu comptes bien l’y aider. Remarque, c’est pour ça qu’il s’est jeté sur toi. T’as une pensée pour Lily et te dit que non, décidément, elle détesterait tomber sur vous deux en train de copuler. Tu la vois assez mal vous rejoindre à vrai dire. Mieux vaut vous planquer dans la chambre. Tu lui fais signe de te suivre, l’embarque dans la pièce, claque la porte derrière lui. Bon, maintenant vous êtes safe. Tu le plaques contre ladite porte, un sourire aux lèvres. « Il me semble que c’est sous mon lit, à côté des godes et des magazines, » tu lâches, le regard salace. Laisses tes doigts glisser sur son corps d’Apollon, tes lèvres sur sa peau brûlante.
« T’as tous les droits sauf ça. » J’souris un peu parce qu’il me met quand même une limite et j’aime pas trop ça. Mais en même temps, j’me sentais un peu comme un ornithorynque, vous savez le mammifère qui pond des œufs en voie de disparition... Ouais, c’était ça la bonne explication pour mon Prince Albert. J’étais un animal un peu différent en voie d’extinction... Enfin, j’étais pas le dernier hétéro à l’avoir entre les fesses. « Et puis, faut bien que je te dépucelle. » je souris malgré moi parce que Zach est infernal avec toutes ses idées. J’le suivais rapidement en trainant au moins mon sous-vêtement, ça fait moins mal de sortir si jamais y’a quoi que ce soit. Le reste, j’m’en fous. Alors qu’on rentrait dans sa chambre, il referme la porte derrière moi. Un colocataire? Visiblement. Il me plaque contre la porte et j’souris, un peu tendu quand même alors qu’il me dit qu’il a tout ce qu’il faut sous son lit et j’sors même un gode avec l’idée de peut-être m’amuser avec lui un peu plus tard. J’bouge vers son lit et j’sors le lubrifiant pour le lui tendre avec un condom que j’avais trouvé dans sa réserve, question qu’on s’amuse un peu attendant les prochaines directives de mon dominant presque trop sagement.