| | Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l' Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite. |
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| déménagement et moment mère/fils | |
| | Auteur | Message |
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Invité | Sujet: déménagement et moment mère/fils Mer 17 Aoû 2016 - 21:52 | |
| Voilà 3 mois que nous avions tous déménagé en Australie. Cela avait était difficile de quitté Pasadena, de laisser notre maison remplie de souvenirs, une maison où nous avons créer un cocon familiale, ou on y a vu grandir nos enfants. On à tout nos souvenirs là-bas... Je n'avais pas spécialement envie de quitter cette endroit, cette ville mais Elena avait besoin d'un nouveau départ après cette épreuve qu'elle venait de vivre. Alors, par amour j'ai accepté de déménagé dans cette ville de Bowen où elle était désormais directrice d'une université, c'était son rêve. Cela fait du bien de la voir si heureuse ces derniers temps, retrouver son sourire comme avant. Les enfants n'ont pas rechigné à venir avec nous. Lily était même plutôt heureuse car son petit amis venait de la quitter pour une autre fille et lui avait brisé le coeur. Sa première vrai peine de coeur, c'était dur pour elle. Emy quand à elle avait eu du mal à quitter ses amies, mais voir sa maman si heureuse, la rendait heureuse aussi, elle avait beaucoup souffert du cancer d'Elena. Léo, n'avait qu'une seule peur : que son grand frère Nikola ne vienne pas, et je dois l'avouer c'était ma peur aussi. Il est adulte maintenant, il à sa vie, il aurait pu refuser de venir avec nous. Rien que de penser à la possibilité d'être si loin de mon fils, me déchirait le coeur. Fort heureusement, après quelques temps de réflexion, il décide de partir avec nous, pour mon plus grand bonheur et celui de Léo. La séparation la plus dur fut avec ma mère, elle est agée désormais et cela me fait mal de la laisser seule. Je vais tenté de trouver un moyen pour la faire venir ici. Elena à également eu aussi du mal à quitter ses parents dont elle est très proche. ils vont manqué aux enfants également.
Je suis seul à la maison, l'école à repris en australie alors Lily, Emy et Léo sont au lycée et collège et Elena à l'université. Elle travaille beaucoup plus qu'en tant que principale de lycée. Je sais qu'elle ne veut pas décevoir, mais je pense qu'elle en fait trop, elle ramène même des dossiers à la maison. Mais c'est le début c'est normal et puis moi aussi je travaille beaucoup. J'ai eu une promotion et je suis désormais Capitaine de police, par contre je ne suis plus sur le terrain malheureusement et ça me manque. Je sais que cela rassure Elena de me savoir dans des bureau, mais je dois avouer que je m'ennuie un peu. Mais je m'y ferais j'en suis sûre. Comme je suis en repos aujourd'hui, j'ai décidé de ranger les derniers cartons dans cette nouvelle maison, plus grande car nos deux salaires qui ont chacune doublé, nous le permettent. Les enfants ont désormais chacun leurs chambres plus une chambre d'amis.
J'avais demandé à Nikola si il pouvait venir m'aider à déballer certain cartons très lourd qui était resté dans le garage. C'est vers 14h que je le voit arrivé, alors que j'étais déjà dans le garage, qui était grand ouvert. Je pose le carton que j'avais entre les mains pour aller à sa rencontre et l'embrasse sur la joue. - Bonjour mon bébé, ça va ? Je sais qu'il n'aime pas que je l'appelle "mon bébé" mais c 'est plus fort que moi. Il restera toujours mon bébé, même si il à bientôt 28 ans. - Je suis tellement heureuse que tu nous ai suivi en Australie. Rien n'aurait était pareil sans lui, je pense que j'aurais pu même finir par en vouloir à Elena... Je l'aime mais je ne pourrais jamais me séparer de mon fils et même si entre nous il y à quelques conflits c'est parce qu'il me ressemble, il à mon caractère, mais on s'aime quand même. Une mère aimera toujours son fils, quoi qu'il arrive, surtout moi qui est une grande tendance à être une mère poule ultra protectrice. - Et merci de venir m'aider. dis-je en souriant puis je me dirige vers le garage à nouveau.
Dernière édition par Hannah Carter-Spencer le Lun 22 Aoû 2016 - 14:36, édité 1 fois |
| | | Invité | Sujet: Re: déménagement et moment mère/fils Sam 20 Aoû 2016 - 12:18 | |
| Trois mois… C’est aussi long que court dans ma tête. Oui, cette période m’a permis de faire de nouvelle connaissance, surtout via le boulot et les choses que je suis obligé de faire de façon régulière, comme aller voir un psychologue par exemple. Bon, ce n’est peut-être plus nécessaire pour moi cette étape mais je préfère poursuivre, on ne sait jamais. Mais cette période m’a fait aussi m’éloigné de la femme que j’aime et c’est sans doute ce qui est le plus dur pour moi. Oh, je ne manque pas de personnes qui sont intéressées par mon physique pour aller un peu plus loin mais je ne veux pas de ça, je ne veux plus de ça. Je suis sérieux maintenant, c’est finit l’amusement avec les personnes qui viennent. Je ne sais pas encore comment la vie va tourner pour moi. Je ne sais pas si je dois être positif ou négatif. Pour le moment je suis surtout blasé. J’essaie de faire avec et de vivre comme si de rien était mais ce n’est pas facile. Surtout après avoir perdu mon meilleur ami en plus de ça. Enfin, j’ai laissé bien des choses derrière moi et ça me fait mal au cœur dans un sens. Mais je n’ai pas le temps de penser à mes conditions de vies, je dois aller chez mes parents pour pouvoir aider ma mère avec les derniers cartons qu’elle n’a pas encore réussir à défaire. C’est avec plaisir que je le fais de toute manière, puis je n’ai rien de mieux. Sauf le boulot un peu plus tard dans la journée mais on peut dire que ça n’est pas si passionnant. Je ne m’y suis pas encore fait en réalité. Mais j’y arriverai probablement un jour ou l’autre, les collègues sont sympas avec moi. J’ai pris une douche assez rapidement histoire de sentir bon et d’être bien toute la journée. J’ai terminé de me préparer ensuite, mettant les premiers vêtements qui me venaient, je ne me prends pas spécialement la tête. Faire des cartons ça nécessite pas spécialement d’être beau. Je regarde l’heure de temps en temps pour ne pas être en retard. Je profite des quelques minutes qui me restent pour pouvoir caresser ma chienne. Elle est la seule à m’avoir accompagné dans la ville. Elle est toujours là et je l’aime très fortement. Dès 13h30, je démarre pour être certain de ne pas être en retard. Je monte dans la voiture, je règle la musique, la température puis je démarre. Je n’ai pas loin à aller mais j’aime bien avoir l’impression qu’il y a quelque chose avec moi. Je fais attention sur la route, même si c’est moins peuplé que Pasadena. J’arrive quelques minutes après me gardant devant la maison. Je sors en laissant mes affaires dans la voiture, je n’en aurai sans doute pas besoin. J’avance vers le garage que je vois ouvert et souris à ma mère malgré son surnom que je n’apprécie plus maintenant que je suis un vieux. « - Mh. Oui ça va et toi ? » Dis-je doucement en haussant les épaules. Je n’ai jamais parlé de Zara à ma mère avant le déménagement et pas après non plus du coup. Notre relation est tellement compliquée que je n’ai pas eu envie de m’avancer à dire des choses qui finalement ne seraient pas spécialement concrète. Lily sait mais je lui ai demandé de rien dire, ce qu’elle a fait, je peux toujours lui faire confiance et je le sais. « - Je n’allais pas vous laissez sans moi. » Dis-je doucement. Je sais que Léo n’aurait pas été très bien. Il n’est déjà pas bien comme ça. Donc je préfère être près de ma famille et savoir que ça va bien pour eux plutôt que d’être loin et être inquiet tout le temps. L’Australie n’est pas si mal de toute manière. Première fois que je sors de la Californie en plus. « - C’est normal. » Je la suis ensuite. Je viens prendre les cartons en hauteurs pour pouvoir les descendre tranquillement de là. Ce sera déjà une bonne chose de faire. « - Qu’est-ce qu’il y a dans ces cartons que c’est si lourd ? » Demandais-je directement en continuant de faire ce pourquoi je suis là. Ce qui est naturel. « - Comment tu vas ? Et maman ? Et les enfants ? » Demandais-je calmement. Je sais qu’ils n’aiment pas quand je les appels les enfants mais bon, c’est l’habitude puis notre différences d’âge fait que j’agis comme ça avec eux. Un peu comme un père même si je ne pourrai pas l’être dans la logique des choses. Enfin, j’ai envie de savoir comment ça se passe. Je me demande comment ils prennent le déménagement en tout cas.
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| | | Invité | Sujet: Re: déménagement et moment mère/fils Lun 22 Aoû 2016 - 14:35 | |
| Lorsque mon fils répondit à ma question, j'entendit un petit "oui" ce n'était pas la plus grande des formes. Je fronce les sourcils en mère inquiète. - Oh... ça c'est un petit oui. Qu'est ce qui ne va pas mon grand ? dis-je en le regardant un peu inquiète, mais je me doutais que lui aussi avait du laisser des amis derrière lui et que ce changement de pays, de vie n'était pas forcement facile.
Tout en parlant on commence à descendre les cartons. Nikola se charge des plus lourds et des plus en hauteurs. Il me demanda alors qu'est ce qu'il y avait dans ses cartons pour que ça soit si lourd. Je sourie. - Des souvenirs surtout... des affaires de vous quand vous étiez petit. des vêtements des jouets.... Je sais que j'aurais du me séparer de tout ça durant le déménagement car ce n'était pas utile et plus encombrant qu'autre choses, mais je ne pouvais pas m'y résoudre. Il y à au moins trois cartons pleins par enfants. Enfin... il n'y avait pas que ça non plus dans certain cartons, il y avait des affaire de mon père décédé dont j'avais hérité. Je n'ai jamais ouvert ces cartons, je ne sais même pas ce qu'il y à dedans et je m'en fiche éperdument mais là encore je ne peut pas me résoudre à tout jeter... Parce que malgré tout il reste mon père et durant les 16 première année de ma vie j'ai eu de bon souvenirs avec lui. Je l'admirais même quand j'étais petite et c'est lui qui m'à donner envie de devenir flic en partit. Par la suite mon fils me demanda si j'allais bien, car il est vrai que je ne lui avait pas répondue la première fois. Il voulait également des nouvelles d'Elena et des enfants. - Elena va très bien, elle est heureuse de son nouveau boulot, je crois qu'elle est encore sur son petit nuage. Ça fait du bien de la voir comme ça. dis-je en souriant. Cette année avait était tellement dur pour elle, que je ferais tout pour la rendre heureuse, même si cela doit passer par tout quitter et changer de vie. Du moment qu'on reste en famille. - Les enfants vont bien aussi. Lily est un peu triste à cause de sa rupture mais ça va aller et puis Emy essaie de lui changer les idées. Quand à moi.... ça va. Dis-je dans un sourire un peu faux. Mais je ne voulais pas inquiéter Nikola, il n'à pas froncement besoin de savoir mes problèmes. Il est mon fils et je me dois aussi de le protéger de tout ça.
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| | | Invité | Sujet: Re: déménagement et moment mère/fils Lun 29 Aoû 2016 - 11:31 | |
| J’hésite un instant. Après tout peut-être que ça lui paraîtra complètement ridicule. Sans doute que ma manière de voir les choses est idiote mais pour moi ça ne l’est pas. J’ai beaucoup de difficulté à me dire que j’ai fait les bons choix. Surtout quand ces choix font mal. Mais je ne pouvais pas me permettre d’être loin de personne que j’aime. Même si je n’en aime pas moi Zara et sa fille. Elles sont importantes à mes yeux également. Mais la famille passe avant, ça a toujours été comme ça. Je n’en serai pas là si je n’avais pas eu de famille. Je hausse les épaules. « - Il y a juste… Enfin mon départ à fait quelques dégât au niveau de ma vie personnelle. J’ai laissé des personnes à qui je tiens énormément. En réalité, j’ai pensé l’espace d’un mois que les choses seraient enfin positives et de manière définitive. Mais je me suis trompé. Quand tu as la poisse dans la vie, j’imagine que ça te poursuis jusqu’à la fin. » Dis-je en soupirant un petit peu. C’est vraiment l’impression que j’ai. J’ai l’impression que la vie n’a pas envie que je puisse être heureux avec quelqu’un. C’est énervant mais je fais avec. Ca n’est pas comme si j’avais le choix non plus. Mais je ne dois pas y penser de trop. Ca m’énerve et je n’ai pas envie de m’énerver, ça ne servirait à rien du tout. J’espère juste que Zara me pardonnera un jour. Et qu’on arrête de se disputer sans cesse. La distance c’est tellement compliqué. Mais elle a ses projets et je ne peux pas lui empêcher de poursuivre ce qu’elle a toujours voulu faire, ça serait égoïste de ma part.
Je continue de m’occuper des caisses, les descendants toutes. Après tout c’est ce qui a de plus difficile, les descendre. Je fais attention, si jamais il y a des objets qui cassent je ne voudrai pas les abîmer. Je hausse un sourcil en tournant le regard en direction de ma mère. « - Je vois. J’imagine que c’est sentimental. Sinon je t’aurai proposé de les donner pour les enfants pauvres. Mais je comprends que tu n’en as pas envie. Je me demande si je serai comme toi plus tard. Enfin si j’ai des enfants un jour. Après tout j’ai déjà 28 ans. » Les années sont passées rapidement. Mais je suis pessimiste pour tous en ce moment. J’aime les enfants et j’en veux mais si je n’ai pas le temps pour ça et bien ça sera ainsi, je ne pourrai pas faire autrement. Une fois les caisses toutes en bas, je descends de l’échelle calmement. « - Tu veux les mettre où ? Déballer à la maison ou dans le garage ? Enfin dis-moi ce que tu veux que je fasse. » Dis-je en souriant directement. Je frotte légèrement mes mains en attendant qu’elle me dise quoi. Mais j’en profite pour avoir des nouvelles de tout le monde. Il n’y a personne donc je ne peux pas le voir de mes propres yeux malheureusement. Je remonte les yeux en sa direction. « - Tant mieux, s’ils se plaisent c’est le principal. J’espère que Léo se fera moins embêter dans sa nouvelle école. » C’est peut-être positif pour lui d’ailleurs. Les élèves qui l’embêtaient en Californie ne sont plus là. Il y a sans doute encore des enfants un peu… Débiles mais bon. J’en serai plus avec le temps. « - Vraiment ? Je ne sais pas pourquoi mais je n’y crois pas. Après tout, nous avions l’habitude d’avoir grand-mère proche de chez-nous. Nous avions nos habitudes, nos amis… La seule chose qu’il me reste de mon côté c’est ma chienne. » Je soupire un petit peu puis hausse les épaules. « - Mais je vais pouvoir réfléchir à être mon propre patron c’est déjà ça. J’ai vraiment envie d’avoir un bar musical. »
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| | | Invité | Sujet: Re: déménagement et moment mère/fils Jeu 1 Sep 2016 - 0:20 | |
| Quand mon fils m'explique qu'il est triste d'avoir laisser des personnes qu'il aime aux usa, qu'il pense qu'il à la poisse et ne sera jamais heureux, cela me fait mal. J'ai l'impression que c'est de ma faute si il est malheureux. j'avais l'impression désormais que je lui avais forcé la main pour nous suivre ici. Quand je lui avait dit qu'on déménagé, je lui avait directement proposé de venir en pensant qu'il refuserais. Mais, mes larmes parce qu'il allait terriblement me manqué l'avait surement poussé à nous suivre. Cela me brise le coeur de voir mon fils comme ça. je pose alors le cartons et le prend dans mes bras quelques instants. avant de le regarder et poser ma main sur sa joue. - Mon bébé... je suis tellement désolé... je me sent coupable, c'est de notre faute, de ma faute si tu est malheureux, je ne voulais pas te forcer la main pour nous suivre. Je ne veut pas que tu pense comme ça, tu n'a pas la poisse comme tu dit et je veut que tu soit heureux, même si pour cela tu doit retourner aux états-unis. Et même si pour cela je dois être malheureuse car je ne me vois pas vivre sans mon fils prés de moi. Mais ça, cette fois je le garde pour moi. Si il veut rentrer aux états-unis, je le laisserais faire. Je me doutais qu'il avait une peine de coeur, je connais bien Nikola, c'est mon fils tout de même. - C'est à propos d'une fille ? ou d'un garçon... oui car après tout même si je me doute qu'il est amoureux, je ne sais pas si c'est d'une fille ou d'un garçon.
Nous continuons de descendre les cartons en hauteurs. je sourie à ses mots. - C'est très sentimental oui. Tu comprendra en effet quand tu aura des enfants. Quelques chose me dit qu'il y à de forte chance que tu soit comme moi. Tu à mon caractère. dis-je en souriant, même si physiquement il n'avait malheureusement pas grand chose de moi, il ressemble à son géniteur... car oui ce n'est pas son père... heureusement pour lui, il à mon caractère, c'est pour ça qu'on entre souvent en conflit. Mais peu importe le nombre de conflits qu'on peut avoir, on reste très proche l'un de l'autre. Je l'aime infiniment, c'est mon fils, mon bébé. - Oh, crois moi tu as le temps pour les enfants... Je ne suis pas pressé d'être grand-mère, je ne suis pas si vieille que ça ! Nous venions de finir des descendre tout les cartons lorsqu'il me demande ou je veut les mettres, je reflechie quelques secondes. - Certain sont à mettre au grenier, d'autre je dois ranger tout ça dans de belle boite de rangements et les mettres dans les chambres. Si tu peut juste m'aider à mettre ceux qui doivent allez au grenier ? Le grenier se trouve dans le couloir d'entré de la maison, on y accède par une petite echelle. - Il n'y à que 3 cartons à monter.
Lorsque je dit à Nikola que tout va bien, tout le monde va bien, il à du mal à me croire me concernant. Il me connaît trop bien... et lorsqu'il parle de ma mère, une larme coule, je l'essuie aussitôt. - C'est vrai... ça me fait mal d'avoir laisser ta grand-mère toute seule, elle est âgée maintenant et la savoir seule, alors qu'elle à toujours était là pour moi....Enfin... presque toujours, mais peu importe elle s'est rattrapé et si je ne l'avais pas eu, mon fils serait surement mort d'une grippe non soigné quand il avait à peine 1 an. Je ne serai jamais devenue flic sans elle, je n'aurais jamais eu la vie aujourd'hui sans ma mère. Elle est très importante pour moi. Je sais qu'elle est très triste de plus revoir ses petits-enfants aussi souvent qu'elle le veut. Elle a 71 ans désormais... Je cherche un moyen de la faire venir en Australie, mais je dois encore en parler avec Elena On a une chambre d'amis désormais, j'aimerais qu'elle vienne habiter à la maison, mais je ne sais pas si la cohabitation sera possible entre ma mère et Elena... depuis qu'elle m'à tromper, ma mère se montre vraiment désagréable avec ma femme. Elle ne supporte pas qu'on me fasse du mal et même si moi j'ai pardonné à Elena, ma mère n'arrive pas à le faire.Je regarde mon fils. - Et puis franchement... je déteste ce pays, cette ville, ce quartier, mon boulot.... je déteste tout ici... je n'avais pas vraiment envie de venir à la base... mais garde ça pour toi, je ne veut pas qu'Elena le sache, je ne veut pas lui gâcher son bonheur et je ne veut pas inquiéter les enfants... d'ailleurs je n 'aurais pas du te le dire. mais c'était trop tard, j'avais vider mon sac et ça fait du bien. Je ne suis pas heureuse en Australie et je pense que je ne le serrais jamais complètement. En tout cas, c'est ce que je pense pour le moment.
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| | | Invité | Sujet: Re: déménagement et moment mère/fils Ven 2 Sep 2016 - 10:42 | |
| Je lui rends son étreinte mais comme elle doit sans douter, je ne suis pas d’accord avec ses mots. Et je me sens con de parler ainsi et lui faire croire que c’est de sa faute alors que je ne pense pas ça du tout. De toute manière, je ne pouvais pas rester sans me taire et je ne pouvais pas la laisser se sentir coupable de quelque chose alors qu’elle n’a rien avoir dans l’histoire. « - Non, ce n’est pas de ta faute maman. Je serai venu de toute manière. Je ne peux pas vivre à des milliers de kilomètre de vous, ce n’est pas possible. Ça aurait été mon choix quoi qu’il arrive. Puis Léo a besoin de moi. C’est juste difficile mais ça va aller. Et je ne te tiens pas responsable de tout ça d’accord. » Je lui adresse un sourire, essayant de la rassurer. Elle n’a jamais été coupable. Ma seconde mère a eu une promotion et c’est une chose qui la rend heureuse. Après toutes les épreuves qu’elle a vécues, elle a bien le droit d’avoir une chose positive dans sa vie. Même si c’est un changement qui est vraiment très difficile. « - Et ne t’en fait pas, je ne vais pas faire de bêtise. Je vois un nouveau psy. Ca va. » Dis-je directement en voulant une fois de plus qu’elle soit rassurée. Je ne veux pas qu’elle me pense fragile. Je fais beaucoup plus attention à moi maintenant. Enfin, je ne suis plus un adolescent et je ne risque plus de faire des choses stupides. Malgré les épreuves j’ai envie de vivre et je vivrai tant que je pourrai le faire. « - C’est une fille. Mais ma filleule aussi me manque. » De toute manière, elles forment un tout, toutes les deux. Elles sont importantes. Même si maintenant, je ne sais plus ce qu’il en est de notre histoire. La tension est plus présente qu’autre chose et ça me rend des plus tristes encore.
Mais je n’ai pas le temps de poursuivre mes pensées à propos de ça, autant continuer de bosser et de descendre les cartons jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus en hauteur. Au moins, le rangement sera parfait. Je souris doucement à ses mots. « - Probablement. » Enfin, c’est sans doute ça. Je pense que je serais plus un papa gâteau qu’autre chose. Déjà, je le suis avec Isis, donc bon, je ne me vois pas l’être autrement avec mes propres enfants. Si j’en ai un jour. « - J’ai le temps oui. » Je fais une grimace légèrement. Mais le temps passe tellement rapidement. J’ai peur de ne plus avoir le temps rapidement. Enfin soit, encore une fois c’est l’un des sujets sensibles du moment et je n’ai pas spécialement envie d’en parler. C’est… De trop encore. Je frotte doucement mes mains écoutant ensuite les instructions. « - D’accord, je les monte dans le grenier sans soucis. » Dis-je en prenant l’une des caisses qu’elle m’a montrées. J’avance pour aller vers la maison. Puis je fais ce qu’elle me demande, essayant de mettre les cartons correctement pour qu’ils ne soient pas dans les pieds quand on monte. Bien que ça n’est qu’un grenier. Quand j’étais petit j’en avais peur. Maintenant, je suis certain qu’il n’y a pas de monstre qui s’y cache, c’est beaucoup plus rassurant.
J’écoutais en même temps ce qu’elle me disait, c’est important. Surtout que c’est moi qui lui ait demandé. Et je constate qu’elle n’est pas plus bien que moi ici. Du coup je m’en veux d’avoir parlé de moi alors que je ne suis pas le seul concerné et qu’on s’en fiche de mes histoires de cœur. Je pose mon regard vers elle, venant lui faire un câlin. « - Grand-mère va bien aller ne t’en fait pas. C’est aussi une femme forte. Puis je l’appellerais de temps en temps pour avoir des nouvelles. » Après tout, elle a été présente quand j’étais enfant. Certes, pas de suite mais elle a quand même été présente et c’est le plus important. J’espère qu’elle va bien quand même. « - Courage. Je suis certain qu’on va s’y faire. Il faut juste… Qu’on s’habitue, qu’on se fasse de nouvelles connaissances. Enfin qu’on prenne nos marques. C’est sans doute encore trop nouveau. Puis on a pas vraiment le choix. » Dis-je en faisant une petite grimace. Enfin nous pourrions retourner en Californie mais Elena à son boulot et les enfants ça va. Donc c’est bien plus compliqué.
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| | | Invité | Sujet: Re: déménagement et moment mère/fils Dim 4 Sep 2016 - 18:43 | |
| Je me doutais un peu que Nikola essaierais de me persuadé que ce n'est pas de ma faute, mais je continue de penser le contraire. Cependant je le crois quand il me dit qu'il n'aurais pas voulue vivre à des milliers de kilomètre de nous, pas forcément pour moi et Elena, mais pour les enfants. Il à toujours était très attaché a ses petites soeurs et son petit frère. Je lui sourie légèrement. - Tu es adorable, mais je ne veut pas que Léo te retienne dans ta vie, il doit aussi apprendre à vivre sans toi. Ne te sent pas obliger de resté à cause de Léo, si tu n'en a pas envie. Tu me le promet ? Tu dois vivre ta propre vie, même si cela peut nous éloigner. Que ça soit moi ou Léo, on tiendra le coup, ça sera dur mais on tiendra. Dis-je dans un nouveau sourire pour le rassurer. Il n'hésite pas à ajouter par la suite qu'il ne fera pas de bêtise et qu'il voit un psy. - Je sais mon grand, tu a grandit, tu n'est plus un adolescent, tu à mûrit également et je suis très fière de toi. Oh ça oui je suis fière de lui, fière de l'adulte qu'il est devenue, c'est un garçon bien, il à pas eu une enfance et une adolsecence facile et pourtant il est devenue un jeune adulte bien dans ses basket et même si il n'à pas un travail dont un parent pourrait rêver pour son enfant, moi je m'en fiche du moment qu'il est heureux comme ça. - D'ailleurs je ne t'ai pas féliciter pour ton envie de devenir patron, je suis sûre que tu va y arriver et à nouveau je suis fière de toi Nikola, tu ne lâche rien et tu arrive à avoir ce dont tu as envie. Si tu a besoin d'aide que ça soit financière ou autres, n'hésite pas, je suis là, on est tous là pour toi, pour t'aider dans tes projets. En effet maintenant qu'on a de très bon salaire, on peut l'aider financièrement, si il en a besoin.
Lorsque Nikola me dit alors qu'il est amoureux, mais que sa filleul lui manque aussi, je commence à faire le rapprochement... Je sais que la mère de sa filleul est son amie Zara qu'il m'avait déjà demander de conseiller à propos de sa fille, car elle avait quelques questions auquel je pouvait prépondre, étant donné que j'ai était une mère célibataire durant les 4 premières année de la vie de Nikola. - Attend... C'est Zara ? Tu est amoureux de Zara, la mère de ta filleul ? C'est une fille bien, je suis très heureuse pour toi. Si tu pense que tu est vraiment amoureux, qu'elle est la bonne personne pour toi, alors fonce Nikola, ne la laisse pas s'échapper, rentre à Pasadena, ne t'inquiète pas pour nous. Je lui sourie pour le rassurer. Si il était vraiment amoureux, si il sentait vraiment que c'est la femme de sa vie alors il ne doit pas s'occuper de nous et tout faire pour la retrouver. Je sais ce que c'est d'être éloigné de la personne qu'on aime. Lors de nos jeunes années ensemble, Elena devait faire un stage pratique de 6 mois dans une école qu'on lui avait imposé. Elle avait du se rendre à Miami, à l'opposé du pays, j'étais déjà flics, je ne pouvait pas la suivre et puis j'avais Nikola, je ne pouvais pas imposer à mon fils de 4 ans, de bouleverser ses habitudes pour une femme que je connaissais que très peu à ce moment là. Alors nous avions uniquement communiquer par téléphone et par courrier. Ces 6 mois avait était très dur pour moi, l'éloignement avait était compliquer à gérer. Nous étions ensemble depuis quelques mois et je l'aimais déjà plus que tout, je savais que c'était la femme de ma vie. Notre couple à faillie ne pas durer à cause de l'éloignement, heureusement on a finit par se retrouver après ses 6 mois. Je sais trop bien ce que c'est pour laisser mon fils vivre ça alors qu'il peut retrouver la femme qu'il aime.
Nikola part mettre les cartons au grenier, puis je lui vide mon sac, par rapport à mes angoisses, suite à sa questions. Il a raison, ma mère est une femme forte et pas du genre à se laisser aller mais elle est âgé, c'est différent désormais et elle est couper de toute sa famille et ça je sais que ça la rend triste. - C'est gentils mon grand, mais je vais tout faire pour qu'elle viennent habiter à la maison, au moins pour quelques temps le temps de lui trouver un appartement pas loin. Il me dit alors un câlin, ce qui me fait plaisir car il en fait très peu de lui même. Je le serre un petit moment contre moi. puis l'embrasse sur la joue et lui fit un léger sourire. - Je ne suis pas certaine que je m'y ferais un jour, mais comme tu dit on a pas le choix, il faudra faire avec. Mais je n'aurais pas du te raconter ça. ne parlons plus de moi, ce n'est pas bien grave. Tu est bien plus important à mes yeux. Promet-moi que tu ne reste pas ici pour moi ou pour Léo ? Promet-moi de toujours vivre ta vie comme tu l'entend et non en fonction de la famille. C'est ton bonheur qui compte pour moi. C'est le plus important. Je ne voulais pas qu'il regrette d'avoir fait certain choix a cause de nous. Il doit être un peu plus égoïste et penser à lui, il en a le droit.
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| | | Invité | Sujet: Re: déménagement et moment mère/fils Mar 6 Sep 2016 - 16:12 | |
| « - Ne t’en fait pas, je le fais aussi pour moi, j’en ai besoin. Je ne pouvais pas rester seul à Pasadena. Au moins, le côté positif c’est qu’ici je suis loin de mon père et loin de tous les problèmes que j’ai eu dans l’adolescence. Et en plus, je peux être là pour Léo, Lily et Emy et c’est important pour moi. J’en ai besoin aussi. Ne t’en fait pas pour moi, ça se passera bien. Il faut juste un peu plus de temps pour le moment. Mais, ça ira. » Dis-je doucement en lui adressant un sourire. Je n’ai pas l’intention de repartir, je ne veux pas les laisser, peu importe ce qu’elle peut me dire, je ne le ferai pas. C’est bien trop important la famille que pour vivre à des milliers de kilomètre d’elle. Et puis c’est trop tard maintenant. Ce que j’avais à Pasadena n’est plus. J’ai ma chienne ici, j’ai un appartement, j’ai un boulot et quelques nouveaux amis, enfin des clients mais ça peut devenir des amis par la suite, je ne doute pas de ça. Donc je ne vais pas partir. Peut-être qu’une petite ville pourra me faire du bien qui sait et puis c’est peut-être plus facile pour le côté professionnel. « - Merci c’est gentil. Je retiens, mais je vais essayer de faire ça moi-même et voir si ça fonctionne. Pour le moment, je ne suis encore certain de rien. Je veux être certain que ça fonctionne avant de me lancer. Enfin, faire un petit sondage puis voir ensuite quoi. Bref. Merci beaucoup ça me fait plaisir. » Dis-je doucement. C’est vrai que ça me plait d’entendre ces mots. Mais je ne vais pas lui prendre son argent. On ne sait jamais ce qui peut se passer. Il vaut mieux garder de l’argent sur le côté, afin de ne pas prendre de risque. De toute façon, comme j’ai dit pour le moment je ne sais pas. Ca dépendra de ce qui se passe à l’avenir.
Je me mords ensuite la lèvre en l’entendant dire. Je ne pensais pas que je me ferais prendre aussi vite pour Zara. Enfin, je ne pensais pas qu’elle aurait pu faire le rapprochement entre Isis et Zara en réalité. Mais visiblement si. J’aurai dû m’en rendre compte et réfléchir un peu plus avant de parler. C’est un peu tard maintenant. Je pense un peu à la jeune femme avant de prendre. « - En réalité, nous sommes… En couple. Enfin… Je pense c’est tellement compliqué en ce moment. Je n’ai jamais vraiment eu le temps de te le dire avant. Puis j’avais peur que tu n’approuves pas spécialement vu qu’elle a déjà un enfant tu vois. Mais quand on y réfléchit, tu m’avais déjà quand tu as rencontré maman donc c’est un peu la même situation. » Bon ok, ça c’est Lily qui m’a permis de m’en rendre compte mais ma petite sœur a raison, c’est bien le cas. Enfin, je suis soulagé quand je l’entends parler positivement de ma petite amie. C’est quelque chose que j’apprécie, bien que je ne l’aurais pas laissé malgré tout puisque oui je pense que je suis amoureux. C’est bizarre de le dire comme ça, je ne pense pas l’avoir dit à voix haute un jour. « - Je… Je ne peux pas retourner à Pasadena, elle le sait bien. Pour le moment, en tout cas, c’est ainsi. Je ne l’abandonne pas, j’espère pouvoir la retrouver. Et puis je garde contacte. Mais je ne peux simplement pas repartir. Et c’est moi, pas vous, c’est uniquement moi. » Dis-je directement en voulant une fois de plus la rassurer sur ça. C’est ma décision en même temps et j’assume. Peut-être que je vais être perçu comme un gros bébé à dire des choses comme ça, mais je m’en fiche. Je ne peux pas faire autrement de toute façon. Donc c’est ainsi c’est tout.
Je continue avec les cartons, au moins m’occuper, me permet de pouvoir penser à des choses différentes et c’est plaisant. Bien que nous revenons quand même sur le déménagement. Je vois bien qu’elle aussi n’est pas vraiment pour. C’est logique un petit peu. « - D’accord, tu me diras quand elle sera là alors. Que je vienne lui dire bonjour. » Je ne peux pas l’en empêcher, si ma mère décide quelque chose, généralement elle le fait. Puis avoir grand-mère ici, je ne dis pas non. Je pourrai au moins passer du temps avec elle aussi. Je lui dois quand même beaucoup. « - Si. Dis-toi que tu es ici avec les gens que tu aimes. Je sais que les amis et tous ce qu’on avait là, n’est plus ici. Mais peut-être qu’on peut se faire de nouvelles connaissances ? Tu peux jouer au psy en tant que flic, moi je joue au psy en tant que barman. Ca sert un petit peu au moins. » Dis-je en souriant légèrement. C’est vrai, nos métiers ne sont pas si mal pour pouvoir trouver des contacts, des gens. Après ça dépend un peu des personnes mais on s’y fait assez vite je pense. « - Promis, c’est pour moi que je le fais. » Dis-je en continuant avec les cartons. Maintenant qu’ils sont tous en haut, c’est tranquille. Je frotte un petit peu mes mains en respirant doucement. Il faut vraiment que je retourne faire du sport un peu plus souvent à la salle.
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| | | Invité | Sujet: Re: déménagement et moment mère/fils Mer 7 Sep 2016 - 0:17 | |
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Je fronce les sourcils lorsque Nikola dit "son père". Je n'aime pas ce terme, pour moi il n'est rien d'autre qu'un géniteur, il n'à absolument pas le droit d'être son père. - Ne l'appelle pas comme ça , ce n'est pas ton père, ce n'est rien d'autre qu'un géniteur. Mais tu a raison, au moins ça c'est une bonne chose. Maintenant qu'il est sortit de prison, j'avais toujours peur qu'il prenne contact avec toi. Je sourie par contre à ce qu'il dit à propos de ses soeurs et de son frère.. - Tu est un super grand frère pour eux. J’espère cependant que tu sera à nouveau aussi heureux que tu l'était à Pasadena. Mais je dois avouer que je suis soulagé qu'il n'est pas envie de partir. J'en serais vraiment malheureuse. J'ai besoin d'avoir mes enfants près de moi, même si Nikola est grand désormais. Le fait de l'avoir élever toute seule durant 4 ans, d'avoir vécue dans la rue avec lui, fait que nous sommes très proche. Sans Nikola, à 16 ans j'aurais surement tenter le pire lorsque j'étais à la rue mais je me suis battue pour lui, pour lui offrir une belle vie et même si cela n'à pas toujours était simple je pense que j'ai réussie. Je suis fière de nous.
Il me dit alors qu'il préfère y arriver par lui même et refuse pour le moment mon aide financière pour son projet. Il m'explique alors qu'il souhaite faire un sondage pour voir si son projet est viable. Il à la tête sur les épaules c'est bien. Je lui sourie. - C'est tout a ton honneurs, tu a raison. Mais, n'hésite pas si tu a besoin, je suis là pour toi mon grand. Je l'embrasse sur la joue et lui sourie. Mon bébé devient vraiment un homme et non plus un jeune homme. Il approche de la trentaine c'est normal. Ca ne me rajeunit pas tout ça à vrai dire... Heureusement que Léo est encore loin de cet âge là. Puis mon fils me confie qu'il est bien en couple avec Zara, que je pensais être son amie jusqu'à aujourd'hui. Il ne me l'avait pas dit avant car il avait peur de ma réaction. - Je ne voit pas pourquoi je serais contre, c'est une fille bien et tu est assez mature pour savoir ce que tu fait. Si tu te sent capable d'assumer un enfant, il n'y à aucun problème. J'étais même plus jeune quand j'ai rencontré ta mère. J'avais 21 ans, tu avait 4 ans et elle en avait 19 ans. Ses parents n'était pas très heureux de notre relation au début tu sais... mais ils ont finit par accepter car ils ont vu qu'Elena était assez mature pour savoir ce qu'elle faisait et on s'aimait déjà énormément. Le coup de foudre ça ne se commande pas. Et puis ... comme pour toi et Isis, Elena t'à aimer dès les premières secondes où elle t'a rencontrer. En quelques minute tu l'avait déjà accepter comme une maman. Je me souviens que cela m'avait rendue heureuse et en même temps j'avais peur. Peur que mon fils s'attache trop à elle.... nous étions qu'au début de notre histoire et je n'avais pas envie que mon fils soit malheureux si on se séparer. Mais heureusement notre histoire dure toujours après des années ensemble.
Je sourie lorsqu'il me parle de venir dire bonjour à sa grand-mère quand elle sera là. - Attend, attend, faut d'abord que j'en parle à Elena, ce n'est pas encore fait. Tu sais très bien que l'entente entre elles ce n'est pas vraiment ça.... de la faute à ta grand-mère d'ailleurs, elle est têtue comme une mule. je me mit à rire. C'est vrai que ma mère à la tête dur. Il y à peu de chance pour qu'elle porte Elena dans son coeur un jour, mais j'espère quand même qu'elle fera un effort. J'aime Elena et je lui ai pardonner pour son erreur, qu'elle le veuille ou non. Puis mon fils me rassure quand à notre avenir ici à Bowen. Je ne suis pas très convaincue. Je fais une petite moue. - On verra... l'avenir nous le dira... Je vois mon fils souffler après avoir mis les cartons au grenier. - Ca va ? tu veut un verre d'eau ou autre chose ? Merci de m'avoir aider en tout cas. Dis-je un peu inquiète pour lui.
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| | | Invité | Sujet: Re: déménagement et moment mère/fils Jeu 8 Sep 2016 - 15:18 | |
| « - Désolé. » Dis-je calmement lorsque j’entends ses mots. C’est vrai que mon géniteur, je ne peux pas le désigné comme un père, c’est plutôt un gros… Enfin, je ne vais pas dire tous les mots auxquels je pense, ça ne serait pas vraiment joli. Mais je n’ai aucun intérêt pour cet homme de toute manière. Peu importe où il est aujourd’hui. Je sais maintenant qu’il est loin, sans doute toujours en Californie. De toute manière, ses conditions sont sans doute de ne pas quitter le territoire pour le moment, donc jamais il ne pourra venir ici. Puis je hausse les épaules lorsqu’elle me parle de mon comportement envers mes sœurs et mon frère. C’est tout à fait normal pour moi. Quand on fait d’être heureux. Je ne sais pas vraiment, je ne le serai sans doute pas maintenant de toute manière. C’est bien trop tôt encore, je ne suis pas encore remis, même si trois mois ça peut être long pour certain. Pour moi ça ne l’est pas. Mais je n’ai pas envie de penser à ça pour le moment. Je vis plutôt au jour le jour et jusqu’ici je m’en sors encore bien contrairement à d’autres dans le monde qui sont beaucoup plus mal que moi. Je n’ai pas le droit de me plaindre de ma vie alors que certains vivent pires.
Je n’ai pas envie de parler plus que ça de mon idée, de mon projet. Je ne sais pas encore ce que ça donnera et je ne peux pas vraiment le deviner non plus… Donc je ne sais pas, je préfère ne pas m’avancer au risque d’être déçu ou de décevoir des personnes qui n’ont pas spécialement envie de l’être. Puis elle me rassure un peu sur Zara et je ne peux que sourire un peu plus. Pour une fois elle est un peu moins protectrice et je dois dire que ça me plait. Qu’elle me considère comme un adulte et non plus comme un enfant. « - Je sais ce que je fais oui. Je tiens beaucoup à elle de toute façon. Puis je ne suis pas nulle avec les enfants. Peut-être un peu trop gentils parfois mais pas nulle tout de même. Je me sens bien avec Zara. Maintenant, il ne reste plus qu’à voir comment ça se passera. » Dis-je en haussant les épaules. J’espère du positif, encore et toujours. Je ne veux que du positif mais je ne peux pas faire les choses, je ne peux pas non plus voir dans l’avenir. Je sais que je veux qu’elles fassent partie de ma vie et pourquoi pas avoir une famille à moi. Mais autant ne pas y réfléchir de trop encore une fois. En ce moment, je ne veux réfléchir à rien du tout, juste prendre la vie au jour le jour. « - Mais je suis content que maman et toi ayez une bonne relation. Et que je n’ai pas été un objet de conflit en quelques sortes. » Dis-je en réfléchissant à ce que je dis. J’aurai pu être un obstacle en tout cas, mais je ne l’ai pas été donc ce n’est que plus positif encore. Ma mère est heureuse en mariage. Dommage qu’elle ne le soit pas dans cette ville.
« - Je sais mais bon. Tiens moi au courant quand même. » Dis-je en souriant directement. Comme ça je saurai quoi faire. De toute façon, que ça soit une décision où l’autre ça me va, si ça va à tout le monde. Mais je comprends un peu grand-mère dans tous les cas. Quand on trompe une fois on est capable de le faire à nouveau. Enfin, je n’ai pas spécialement confiance comme ça de mon côté, donc je pense un peu différemment mais je ne dis rien. Ca semble bien se passer, donc je ne vais pas foutre la merde. Tant que de mauvaises choses ne se reproduisent pas, ça me va entièrement. Je la regarde et lui souris un petit peu ensuite. Je ne vois pas pourquoi les choses se passeraient mal de mon côté. Enfin, j’imagine que ma mère va aller mieux et je l’espère. Je frotte encore un peu mes mains puis hoche la tête. « - Ca va. Faut juste que je recommence à faire du sport un peu plus souvent. Mais je veux bien un verre d’eau. » Dis-je calmement. Ca me fera le plus grand bien de pouvoir boire un petit peu. Je regarde autour de moi rapidement avant de reposer les yeux sur ma mère pour lui sourire et la rassurer un petit peu plus.
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| | | Invité | Sujet: Re: déménagement et moment mère/fils Ven 9 Sep 2016 - 17:14 | |
| Cela me fait plaisir de voir mon fils devenir un adulte. Il y à encore quelques mois je l'aurais surement mal vécue, c'est difficile de voir son bébé s'éloigner de soi petit à petit en grandissant. Mais, j'avoue commencer à comprendre que Nikola est désormais un adulte et je n'ai plus à interféré dans sa vie. Bien, que je reste sa mère et je serais toujours là pour lui, pour l'aider, le conseiller, le soutenir si il me le demande ou si je vois qu'il en à besoin. Je sourie à sa phrase concernant les enfants. - Non tu n'est pas nul au contraire et puis il me semble qu'être gentils n'ai pas un défaut... On est jamais trop gentil avec un enfant. Que isis soit ta fille ou non, si Zara t'accepte en tant que père alors tout ce dont cette petite aura besoin est que tu l'aime très fort peut importe ce qu'elle fera dans sa vie. Même si parfois c'est dur de comprendre les choix de ses enfants. J'en était presque émue de lui dire tout ça, c'était mes premier conseils de maman concernant mon enfant qui deviendra papa très vite, même si ce n'est pas avec Isis. Cela prouvait aussi que j'accepter le fait que Nikola soit désormais un adulte. Je fut surprise cependant sur ses propos concernant ma relation avec Elena. - Tu n'à jamais était et tu ne sera jamais une source de conflit entre nous. Tu sais, je t'en ai jamais parler car tu était petit, mais avant ta mère j'ai eu quelques relations qui ont plus ou moins durer longtemps pour moi à l'époque. Dont une qui avait compter pour moi, mais à chaque fois que je disait que j'avais un fils, soit elle me fuyait soit elle me proposer clairement de te laisser à temps-plein à ta grand-mère.... J'ai même pensé pendant un certain temps que je trouverais jamais l'âme soeur. Mais, il était pour moi hors de question, que la femme que j'aime ne t'accepte pas. Tu fais partit de ma vie, tu est mon fils et je t'aime. Si elle ne pouvait pas comprendre ça alors c'est qu'elles n'étaient pas pour moi. Mais ta mère n'à jamais était comme ça. Elle était même heureuse que j'ai un fils, elle avait hâte de te rencontrer. J'ai mis quelques temps avant de te la présenter car je voulais être sûre que cela marche entre nous. dis-je en souriant. c'est vrai que j'ai eu pas mal de peine de coeur durant cette période là.
Je le voyait souffler un peu alors je m'inquiète un peu, mais Nikola me rassure rapidement et me dit qu'il à juste besoin d'un peu de sport. Je lui donne alors un grand verre d'eau. Puis je lui tend un paquet de gateau au chocolat, ses préférés. - Tient, j'en ai toujours à la maison pour toi. Bon le plus souvent c'est Léo qui les manges, mais profite-en t'en que tu est là, tu peut en prendre quelques un pour chez toi. D'ailleurs Elena à fait un poulet au curry hier et il en reste. Tu en veut un peu ? Je lui propose car je sais qu'il ne mange pas grand chose d'autre que des pizza ou des pâtes. Ca serait l'occasion pour lui de manger de la bonne viande. - Si tu te fatigue vite, ce n'est pas que le manque de sport mon grand, tu mange pas assez sainement. Les pizza, les pates, c'est bien mais un peu de viandes et de légumes c'est mieux. Oui bon je fais un peu la mère poule là, mais même si c'est un adulte, c'est un homme et les hommes et la cuisine ça ne fait pas bon ménage en général. |
| | | Invité | Sujet: Re: déménagement et moment mère/fils Lun 12 Sep 2016 - 15:48 | |
| Un sourire se forme sur mes lèvres automatiquement quand j’entends ses mots. C’est plaisant à entendre en tout cas. Pour le moment, je pense être vraiment sympas avec Isis, enfin je fais en sorte qu’elle puisse se sentir bien, je la gâte sans doute un peu trop mais je suis son parrain en même temps et j’ai envie de lui apporter beaucoup dans sa vie. C’est vrai qu’avec la relation que j’ai avec Zara, peut-être que ça deviendra différent, je sais que je ne suis pas réellement son père mais je suis prêt à l’accepter comme étant ma fille. « - Isis sera toujours importante dans ma vie. Cette petite est vraiment trop mignonne. Puis j’accepterai toujours ses choix, peu importe si ça me plait ou pas. Sans abus non plus, je ne voudrais pas qu’elle devienne une délinquante. » Dis-je sur le tond de la plaisanterie, bien que je le pense quand même. Il faut quand même faire attention. Mais il ne faut pas mettre trop de barrière non plus sinon ça risque de ne pas ben se passer. Je pense qu’il fait trouver le juste milieu, ma mère a su le faire avec Elena et j’ai un très bon model dans la tête, même si je n’ai pas vraiment de modèle paternelle. Je l’écoute ensuite attentivement à nouveau. « - Merci de ne m’avoir jamais abandonné. » Dis-je calmement. D’autres dans la même situation l’aurait fait. Car ce n’est pas facile pour une mère d’élevé seul son enfant. Ce n’est pas facile pour les relations, ce n’est pas facile pour la vie non plus. Surtout que ma mère ma mit au monde très jeune. C’est sans doute encore pire. Mais je suis là dans cette famille, donc il n’y a pas de problème qui se pose. Et je sais qu’Elena n’a jamais été contraire avec moi, sinon elle ne serait plus dans nos vies. Je respire doucement en restant tranquille pour le moment. J’attends juste avant de sourire quand je vois des gâteaux au chocolat. « - Merci. Je vais en profiter. » Dis-je directement profitant réellement. J’en pris un pour le manger calmement en m’asseyant quelques instants. Puis je l’écoute avant de me mordre doucement la lèvre. « - Je veux bien oui. Au moins je n’aurais pas besoin de me faire à manger comme ça. » Je hausse les épaules avant de passer la main dans mes cheveux. Je continue de manger un petit peu tout en écoutant ce qu’elle dit avant de hausser les épaules. « - Peut-être. Mais tu sais, c’est plus facile, ça va plus vite puis comme je suis tout seul ça passe. Si Zara vient vivre avec moi ça sera sans doute différent. Mais me faire à manger pour moi tout seul ça n’est pas amusant. Surtout que je sais faire que des pâtes, du riz et des œufs. » Je ne suis pas vraiment un cuisinier, je me débrouille avec ce que je sais en fait. Pour ce qui est du reste… Je ne sais pas trop. Mais si Zara ne sait pas, j’apprendrai simplement. Ce n’est pas ce qui me dérange le plus.
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| | | Invité | Sujet: Re: déménagement et moment mère/fils Sam 17 Sep 2016 - 20:02 | |
| je sourie aux mots de mon fils, il se comporte déjà comme un père avec sa filleule et cela me fait plaisir. - Ne t'inquiète pas, tu fera un bon père, j'en suis certaine. Il faut simplement trouver le juste milieu, ne pas être trop cool et pas trop ferme non plus. C'est pas toujours évident, parfois tu fera des erreurs même, mais ce n'est pas grave du moment que tu t'en rend compte, que tu te remet en question.... tout ira bien. C'est pas toujours simple d'être un bon parent, on fait parfois des erreurs, on s'emporte pour un rien à cause de la fatigue ou autres, mais l'important et d'aimer son enfant et de le lui montrer. Si on fait ça, l'enfant nous aimera toujours en retour. Puis je fut surprise par ses mots, cela me touche énormément. Je suis vraiment très émue par ce qu'il me dit, alors je le prend dans mes bras quelques secondes et l'embrasse sur la joue. - Tu n'à pas à me remercier, tu est mon fils, mon bébé, c'est normal que je sois là pour toi. Jamais je ne t'aurais abandonner.
Nikola ne dit pas non à ma proposition de gâteau et de lui donner une part des restes du frigo, il m'avoue ne rien manger d'autres que des pâtes, du riz et des œufs, il n'est pas très doué pour la cuisine. Je rigole. - T'est bien le fils de ta mère toi ! Quand tu était petit si je n'avais pas eu ta grand-mère, je crois que tu aurais manger que des pâtes tout les jours. Heureusement que nous avons Elena maintenant pour nous préparer de bon petit plat. C'est une perle pour ça ! Enfin, c'est une perle pour tout. dis-je dans un sourire. Oui quand je pense à Elena j'ai toujours le sourire, c'est normal c'est ma femme et je suis infiniment amoureuse d'elle. - Espérons pour Isis, que Zara sache cuisiner. Dis-je en riant légèrement. - En attendant, si tu en à besoin, viens à la maison, il y aura toujours un petit plats pour toi. |
| | | Invité | Sujet: Re: déménagement et moment mère/fils Ven 23 Sep 2016 - 11:54 | |
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Isis est importante pour moi, elle est un peu comme ma fille. Enfin pour l’instant je la considère comme tel et jamais je ne la laisserai tomber même si elle est loin. Maintenant, je n’ai pas envie de me faire de faux espoir, car je sais que si jamais les choses ne fonctionnent pas, je vais me retrouver seul et mal aussi. Plus les jours passent et plus j’ai l’impression d’en perdre un petit peu plus. Mais je n’ai pas envie de faire trop vite, je n’ai pas envie d’être mal alors je continue de vivre quoi qu’il arrive. En tout cas, je suis content de la réaction de ma mère, de ses réponses et de ses mots. Ca me fait vraiment plaisir et je suis touché par ce qu’elle peut me dire. « - Merci encore. » On ne remercie jamais une maman pour tout ce qu’elle fait pour nous et pourtant on devrait le faire. Car quand on y pense, c’est la seule personne qui ne t’abandonnera jamais. La famille passe avant tout et je ne regrette pas de m’être déplacé jusqu’ici pour pouvoir rester auprès des personnes que j’aime le plus dans le monde. Même si c’est difficile. « - Je le sais bien. » Non elle ne m’a jamais abandonné et elle ne l’aurait jamais fait. Elle me l’a toujours fait comprendre. Je n’ai jamais eu de crainte en réalité. Que ça soit enfant ou maintenant. Bien entendu, j’ai déjà eu peur, comme tout enfant, que ma mère ne viennent pas me chercher à l’école après les cours, qu’elle m’oublie mais ça n’est jamais arrivé. J’écoute ses mots attentivement avant de sourire amusé quand j’entends ce qu’elle dit. « - Ca ne m’aurait pas dérangé de ne manger que des pâtes. J’aime bien. » Après ouais, sans doute que j’en aurai eu marre au bout d’un moment mais j’en mange toujours beaucoup et ça ne me dérange pas. C’est tellement facile à faire et à manger. Il en existe toutes sortes en plus De toute manière, quand je ne sais pas faire à manger et que je n’ai pas envie de manger comme d’habitude, je commande c’est facile. Je continue de manger tout doucement en profitant de ce gâteau que je trouve plus que parfait pour le moment. « - Ne t’en fait pas. Je sais que je trouve toujours de tout ici. » Je termine la part me levant moi-même pour pouvoir mettre mes affaires salle dans l’évier. Après je suppose que Zara sait faire à manger, nous n’en avons pas parlé ensemble mais bon. Après si elle ne sait pas, on se débrouillera comme on peut. Je ne la verrai pas de manière négative pour tout ça. « - Il était très bon le gâteau. » Dis-je calmement avant de m’asseoir à nouveau buvant un peu de mon verre, ce qui me fait beaucoup de bien.
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