Cliffana ∞ C'est pas toi.

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Qu'est-ce ça changeait ? C'est vrai, Cliff ! Pour toi ça changeait forcément tout. La symbolique des choses avaient forcément son importance, même si les dommages collatéraux étaient importants. Ce n'était pas rien. Ce mec n'avait rien demandé et s'était retrouvé entre vous. Tout. Ça change tout ! Tu voyais bien qu'elle tentait de maintenir ton regard sans y arriver. Tu étais doué à ce jeu-là, toi. Tu raffolais de ses yeux, elle le savait. Le peu de temps qu'avait duré votre idylle il y a trois ans avait suffit à ce que tu le lui fasses comprendre. Elle avait des yeux magnifiques, et ils étaient encore plus beaux quand il n'y avait pas toute cette amertume en eux. On ne l'a pas fait par pure pulsion ou pour lui faire du mal. Ça n'avait même rien à voir avec lui ! Elle avait tellement tournée autour du pot que tu ne pensais pas qu'elle te lâcherait la vérité sous peu. Ta main se frotta contre ta barbe de quelques jours, parfaitement taillée et tu as fini par dire en regardant face à toi. J'avais raison, alors.. Tu croyais bien trop au destin pour penser que c'était le fruit du hasard.

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Il savait très bien ce que je ressentais pour lui et que rien avait changé, c'était peut être même pire et c'était pour ça que j'étais en colère contre lui, je lui en voulais de m'avoir fait tombé amoureuse de lui à ce point là, je ne voulais pas être faible et pourtant face à lui j'ai toujours été cette femme faible, auparavant j'avais aimé ça mais depuis peu j'avais du mal à y faire face surtout aujourd'hui. Je n'arrivais pas à soutenir son regard parce que malgré tout je voyais l'homme dont j'étais amoureuse et pour qui j'avais enfouie tout ça, j'enterrais tout en moi et je ne laissais ressortir que le négatif et pourtant il restait l'homme que j'aimais. "Oui mais on aurait pas dû, tu aurais dû te décider avant." Je regrettais que les choses ce soit passer comme ça, je me pinçais les lèvres quand il apprit la vérité, c'était brutal mais en même temps je ne voyais pas comment lui annoncer. "Ouais tu avais raison et je me doute que tu n'aura pas laisser tomber tant que tu ne l'aurait pas entendu." Il fallait bien qu'il le sache à un moment donner, il ne m'aurait pas laisser tomber, lui cacher était une chose mais lui mentir en était une autre.

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Ce n'était pas un acte hors de conséquence c'était certain mais tu avais essayé de prendre la température et tu avais fini convaincu qu'elle ne t'avait pas oublié. Dès que tu avais compris que tout n'était pas fini entre vous, plus rien n'avait pu t'arrêter. Coucher ensemble c'était qu'un caprice. Tout ce que tu avais voulu c'était lui prouver que rien était fini entre vous. Peut-être mais je ne regrette rien. Cela avait le mérite d'être clair ! Et si c'était à refaire ? Tu l'aurais refait forcément. Non pas pour briser son couple ou blesser son ex mais simplement pour vous, votre histoire, vos sentiments. Elle venait de t'apprendre que tu étais le père. Toi tu espérais qu'elle reconnaitrait qu'il y avait des chances mais finalement c'était bien plus que tout ça. Il était prêt à assumer cet enfant ? Je veux dire si il avait été le sien.. ? Tu t'es relevé. Comme digérer la nouvelle. Ce n'était pas une mauvaise nouvelle. Mais ce n'était pas rien. Y'a quelques mois tu espérais une nouvelle chance avec Tiana, aujourd'hui vous aviez un fils ensemble ! Sacré destin !

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Je ne savais ps ce qu'il attendait toujours de moi aujourd'hui mais j'étais sûr d'une chose c'est que cette connerie n'avait rien amener de bien entre lui et moi, si encore on serait ensemble mais là même pas je me retrouvais seule avec mon fils parce qu'il n'avait pas fait les choses dans les règles avec moi. "Et ben moi si parce que cela n'a rien amené de bien." J'étais vraiment sérieuse quand je disais ceci, on était pas en train de pédaler dans le bon sens là et au final je me demandais à quoi cela avait servit à part me rendre plus amoureuse et malheureuse qu'avant. Je savais que lui annoncer comme ça allait être brutal mais combien de temps encore j'arriverais à mentir et puis c'était pas juste de priver Kenzo de son père alors qu'il n'avait rien demander. "Oui en principe mais ce n'était pas le cas." La confiance n'était jamais revenu et je crois que l'espoir que cet enfant soit le sien avait retenu mon ex jusqu'à qu'il apprenne la nouvelle.

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Tu ne pouvais que la comprendre si toutefois tu te décidais à être neutre. Tu avais contribué au départ de son ex indirectement, elle l'avait trompé avec toi et elle avait un enfant maintenant. Vous aviez un enfant ! Tu ne doutais aucunement de cette nouvelle. Tu as tellement galéré pour qu'elle reconnaisse qu'il y avait des chances pour que tu sois impliqué là-dedans, tu savais que ce n'était pas pour rien. Pas même ton fils ? Oui c'est vrai, au fond tu n'avais même pas pu savoir ce qu'elle pensait véritablement de cette grossesse. Etre mère c'était pas toujours simple surtout quand on ne l'a pas prévu. Debout, tu la regardais et égoïstement tu réalisais que si cet enfant n'avait pas été le tien, Titia' t'aura échappé définitivement. Former c'était pas la même chose qu'être un simple couple. Te dire que j'en ai rien à cirer ce serait mentir, mais j'en fais pas une maladie non plus. Si ça avait été lui, je t'aurais définitivement perdu. Autant dire que ça te prenait beaucoup de reconnaître tout ça, mais tu le pensais.

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C'était difficile de parler avec lui comme j'étais en train de faire, il y avait de ça quelques minutes je lui en voulais terriblement, je le détestais presque et là on parlait calmement presque comme avant et je lui avouais la vérité même si je continuais dans mes reproches mais il ne fallait pas trop m'en demander non plus. "Il est la meilleur chose qui me soit arrivé mais je ne m'imaginais pas jeune maman comme ça seule et sans le père. Je voulais ma petite famille." Je n'aurais jamais imaginer être maman dans ce genre de circonstances, je préférais quand tout était planifier et là au final rien ne l'était et je n'avais rien contrôler, la seule chose c'est que je désirais cet enfant une fois qu'il était là. Si mon ex aurait été le père tout aurait été plus facile parce qu'il était prêt à assumer ses responsabilités et s'engager avec moi et au final tout c'était casser la gueule. "Tu m'as déjà perdue." Je ne savais pas si je pensais ce que je disais où si j'essayais de m'y persuader, je me redressais du sofa pour m'approcher de la fenêtre de façon à regarder dehors, j'avais besoin de le fuir et ne plus l'avoir dans mon champs de vision parce que c'était dur.

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Elle venait de t'annoncer que tu étais le père de son fils. Tu étais tenté mais affreusement de lui demander de te laisser le voir. Partagé entre cette curiosité de voir votre fils et le besoin de tenir cette conversation. Ça faisait tellement longtemps qu'elle ne t'avait pas accordé autant de temps autour d'une conversation sérieuse, même si tout n'était pas très positif. Je suis sur qu'on peut le faire, ça. Lueur d'espoir. Tu espérais vraiment qu'elle prendrait cette remarque sérieusement. Parce que oui tu étais sérieux. Ça ne te semblait pas impossible et pourtant quelques secondes plus tard, la sentence tombait. Elle avait écrasé tout espoir ou presque. C'était vite dit, bien dit. Elle était dure avec toi, mais tu le savais si tu n'étais pas endurant tu gagnerais rien. Tu la regardé se diriger vers la fenêtre et te tourner le dos. Ça fait longtemps que tu dis ça.. ça nous a pas empêché d'avoir un fils ensemble. Tu ne voulais pas croire qu'elle t'avait oublié ou qu'il n'y avait pas d'espoir.

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Dans mes souvenirs je me voyais la mère de ces enfants mais pas comme ça, j'avais toujours espérer avoir ma petite famille avec lui parce que j'ai longtemps été amoureuse de lui mais il avait anéanti tout mes espoirs quand il ne se sentait pas prêt à être entièrement avec moi dans cette relation et aujourd'hui une part de ce que j'ai toujours rêver était réel mais dans des situations très différente. Quand j'entendis sa remarque je me mis à rire, c'était surement une mauvaise blague. "Oui bien sûr c'est tout ce que tu a toujours refuser avec moi et tu pense qu'on pourrait former une famille simplement parce que tu te sent piéger avec un enfant." J'avais l'impression qu'il me prenait en pitié par rapport à notre fils et qu'il espérait une vie de famille rien que pour ça. Je le fuyais en allant près de la fenêtre, je regardais les gens passer sur le trottoir sans rien lâcher de cette discussion et il avait toujours les mots pour me reprendre, comme s'il était sûr de lui. "Comment tu peut être sûr de ce que je ressens envers toi? Comment tu peut douter du fait que je ne veuille plus être avec toi?" Il avait raison il me déstabilisait toujours mais j'avais besoin qu'il croit le contraire.

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D'un point de vue extérieur, elle marquait des points. Tu pouvais comprendre qu'elle croit dur comme fer à ce qu'elle raconte. Pourtant tu pensais ce que tu racontais. Ce n'était pas ton intention de lui vendre du rêve. Tu étais sincère, mais la désillusion arrivait bien vite. Je me sens pas piégé Tiana. Avec ou sans enfant, mon discours est le même. C'était compliqué pour toi. Il y a trois ans tu t'étais défilé, un peu par peur de revivre un échec comme tu as pu en connaître. Elle ne te regardait plus, et c'était tant mieux. Oui, peut-être que tu doutais un peu. Elle te mettait le doute d'un coup d'un seul. Mais il ne fallait pas que tu le montres. « Parce que si j'avais su te retenir il y a trois ans, tu n'aurais jamais été avec ce type. » Oui, autant être honnête. Tu as toujours eu des sentiments pour elle, et très vite, trop vite ça s'était amplifié et tu avais pris peur. Elle a rencontré quelqu'un d'autre, et ça avait duré trop longtemps pour toi.

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Pour moi c'était clair, il me proposait une famille simplement parce que j'étais la mère de son fils et qu'il voulait être présent pour lui, c'était encore plus blessant parce que je me rendais compte que j'avais toujours autant de sentiments à son égard, malgré que j'ai voulu les effacés, les oubliés, je n'y arrivais clairement pas. "Arrête avant cet enfant tu n'a jamais porter tes couilles pour venir me dire ça, tu le dit simplement maintenant parce que tu viens d'apprendre que c'est ton enfant." Je en savais pas comment cela allait finir et j'avais trop de mal à être face à lui, à lui faire face, il restait l'homme que j'aime malgré la déception et mon dieu qu'il était beau, je n'arrivais pas à soutenir son regard tellement il me déstabilisait et ses lèvres avait été toujours mon point faible chez lui, je le fuyais du regard en lui répondant. "Mais sa c'est passer autrement."

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C'était difficile de la convaincre. Non pas qu'elle était têtue et blessée. Enfin si, elle était têtue et blessée mais tu avais des faits contre toi et ce n'était pas évident. Pourtant elle le savais que avais attendu cette rupture, elle l'avait dit elle-même. Tu avais d'autres chats à fouetter que de souhaiter la fin de certains couples. Mais Tiana c'était différent. Tu l'avais voulu à nouveau pour toi. Tu avais voulu lui prouver que tu pouvais être à la hauteur malgré tout. Arrête, c'est pas vrai. Ca faisait longtemps que j'espérais votre rupture. C'est cru à dire mais tu me pousses à le dire. J'attendais que ça. J'ai peut-être pas porté mes couilles y'a trois ans mais ça fait déjà une petite année que j'attends ce moment. Non pas la paternité, mais son célibat. Tu voulais lui prouver que tu étais capable de lui donner tout ce qu'elle voulait et bien plus encore. Elle t'obsédait. C'était viral. Tu t'es approché sans en avoir conscience, de plus en plus au point tu sentais son parfum. Elle était dos à toi ce qui rendait les choses plus simples. Tu devinait son regard déçu et sans prévenir des pleurs se firent entendre. Ton fils.

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Je savais qu'il avait voulu ma rupture mais pas au point de former cette famille avec moi, pas au point de m'avoir avouer ces sentiments avant que j'entame une relation avec mon ex et aujourd'hui tout était compliqué, j'avais porté son fils et aujourd'hui il venait d'apprendre qu'il était papa donc bien sûr que pour moi il ne souhaitait qu'une chose c'était formé une famille avec moi seulement parce qu'il y avait un enfant en jeu, il n'avait pas voulu de moi avant ça. "Et tu pensait qu'une fois que je ne serais plus avec lui toi et moi on pourrait reprendre là où on c'était arrêté comme s'il ne s'était rien passer durant ces dernières années." C'est ce que je souhaitait au fond mais je ne l'avouerais pas, j'avais besoin de lui mais je ne pourrais jamais l'avouer, j'avais senti son souffle dans mon dos qui me fit frissonner, je tournais légèrement la tête pour le sentir derrière moi, j'avais qu'une envie c'était lui sauter au cou et retrouver ses lèvres mais je me faisais violence pour ne pas craquer jusqu'à que mon fils me sauve en pleurant, je sortis de mes pensées pour aller le récupérer dans sa chambre, il était peut être temps que Clifford le rencontre. Je pris mon fils contre moi pour lui donner son biberon tout en avançant vers le salon pour rejoindre le jeune homme. "J'ai l'impression qu'après son biberon tu devrais faire la rencontre de Kenzo." Je me plongeais dans les yeux de mon fils avant de regarder Clifford. "Kenzo Emrick junior."

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Ce qui était certain c'était qu'une fois qu'elle était tombée enceinte, tout ça était devenu une obsession pour toi. Tu n'aurais pas pu supporter qu'elle soit encore avec son ex, qu'il élève ensemble ton enfant et que leur histoire dure. Tu avais eu peur de ça, mais en même temps égoistement sa grossesse avait été pour toi quitte ou double. Soit un enfant n'était pas le sien et tu la perdrais définitivement, soit il était le tien et tu pouvais espérer gagner le gros lot. Je l'espérais.. je l'espère toujours. Autant être honnête ! Mentir ne t'apportera rien de bon. Ton front semblait attirer par le sommeil de son crâne. Tu avais été à deux doigts de plaquer son front à sa tête, et les pleurs se firent entendre. Tu t'es braqué, elle est partie et tu te sentais pas très bien. Anxieux, certainement. Tu semblais surpris de la voir revenir avec un bébé dans les bras. Comme si tout n'était qu'un rêve. Ton cœur battait la chamade. Tu t'apprêtais à lui répondre juste avant qu'elle ne prononce les deux prénoms de ce beau bébé. Tu l'as appelé Emríck ? Et voilà tu fondais littéralement. Cette nana avait un effet sur toi qui était fou. Tu étais touchée malgré la complexité de votre histoire, et ça se voyait. Tu as plissé les sourcils, surpris, et tu souriais. Il est parfait. Oui, il était brun, comme vous.

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Je ne pouvais pas oublier ce qui était passé et lui sauter dans les bras parce qu'il c'était rendu compte que j'étais la femme qui lui fallait, j'avais été déçue quand il n'avait pas été prêt pour s'engager avec moi et je ne voulais pas lui faciliter la tâche parce qu'il avait décidé que c'était le bon moment. "Je ne pense pas que cela soit possible." J'avais senti sa proximité avec moi et j'avais eu peur de craquer mais heureusement mon fils avait pleurer, il réclamait son biberon et d'un côté cela m'arrangeait, je n'étais pas prête à lui présenter son fils mais maintenant qu'il était là et qu'il savait la vérité, puis je n'allais pas rester dans la chambre et le laisser seul au salon. Kenzo était dans mes bras en train de boire son biberon et j'en profitais pour le présenter à Clifford. "Oui je me disais qu'à défaut de ne pas connaitre son père il pourrait au moins porter un de ces prénoms." Je souris en regardant mon fils quand il me dit qu'il était parfait, je le pensais aussi mais en tant que maman je me disais que c'était normal, je me pinçais les lèvres en secouant la tête pour affirmer ces dires.

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Elle t'avait laissé sur cette phrase. Elle avait peut-être raison ce n'était peut-être pas possible de reprendre où vous vous étiez arrêté. Tu la suivis du regard quand elle quitta la pièce. Une part de toi pensait que s'il ne vous était pas possible de reprendre là vous vous étiez arrêté, vous pourriez écrire une nouvelle histoire ensemble. C'était peut-être utopique mais ça restait l'idéal pour toi. Seulement tu savais que sa rancune ruinait tout espoir. Elle était revenue mais l'idée de relancer cette conversation était juste impossible. Ton regard les fixait tous les deux : Titia et votre fils. Il était si petit. Tu as caressé timidement sa main sans être sur de réaliser tout ça. Tu comptais m'en parler ?! Rassure moi.. Oui tu voulais savoir. C'était affreux de se dire qu'elle avait imaginé pouvoir combler ta présence par un prénom sous prétexte que tu n'étais pas là. Vous n'aviez jamais parlé de tout ça mais tu avais l'impression qu'elle avait fait des choix à ta place.

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