(léo. f.) a good day w/ you.

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léopoldine fawkes ; lucrézia kâtib

a good day w/ you.

Lucrézia était en pleine concentration, son appareil photo en main, elle prenait son temps pour immortaliser cet instant. Se mordillant la lèvre, elle appuya sur le bouton et sourit, fière d’elle. Elle avait hâte de développer celle-ci afin de voir si l’image était aussi vivante que dans la réalité. Elle avait eu de la chance de découvrir ce petit coin isolé de la plage. Du moins pour elle, il l’était, sans doute d’autres personnes s’y étaient rendues mais pour l’instant elle était seule. Peut-être plus pour longtemps ne put-elle s’empêcher de penser lorsqu’une idée vint germer dans son esprit. Luc’ se passa une main dans les cheveux puis sortit son téléphone de sa poche, son doigt s’arrêta sur l’un des contacts. « Hey ! Une petite baignade, ça te dit ? » se dépêcha-t-elle d’écrire rajouter un léger smiley pervers avant de l’envoyer. Elle espérait que celle-ci soit libre parce que sinon profiter d’une plage toute seule, certes c’était bien mais guère amusant. Elle attendit une réponse qui se fit attendre et qui ne vint jamais.

Soupirant doucement, elle commença à enlever ses vêtements. La jeune brune allait tout de même se baigner. Luc’ retira son haut puis fit glisser son short. Néanmoins, avant de se décourager, elle tenta une autre approche. Luc’ se prit en photo, prenant une légère pose sexy et fixant l’objectif comme si Léo était devant elle. Puis, après quelques essais, elle fut assez satisfaite de l’une d’elle et l’envoya à son amie avec pour message. « Tu veux vraiment me laisser toute seule ? :c » Elle espérait vraiment que cela marche et qu’elle verrait la jolie blonde débarquer. Puis, elle laissa tomber son téléphone sur le tas de vêtement à ses pieds et commença à entrer dans l’eau. C’était agréable avec ce soleil et elle n’eut aucune difficulté à plonger dans la mer. Bien que son regard ne pouvait s’empêcher de scruter les côtes en espérant y voir une silhouette humaine.

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t'es dehors, il fait chaud, il fait beau, ton cahier de dessin dans les mains, tu dessines, seule dans un coin, isolée du monde comme toujours. tu dessines ce qui te vient, un visage qui te revient, un pays imaginaire, une vue, comme toujours, tu ne manque pas d'idées et rapidement, sans t'en rendre compte, tu as dessiné plusieurs pages. ton téléphone vibre une fois, tu ne le regarde même pas, t'es plongé dans tes dessins, tu es dans ta bulle surtout, tout le monde le sait, lorsque tu dessines, c'est comme si le monde n'était plus là. t'as oublié que ton téléphone avait vibré et il vibre à nouveau, tu te décide alors à regarder, c'est elle, lucrézia kâtib, la brune qui te rend molle et bête, tu souris, sa photo est très belle, et ça te perturbe déjà, c'est fou l'effet qu'elle peut te faire, tu l'aimes, c'est certain, mais est-ce qu'elle t'aime elle ? est-ce qu'elle pense à toi comme tu penses à elle ? est-ce qu'elle osera te tenir la main à nouveau dans la rue et ce tout les jours ? t'en sais rien, alors, dans le doute et parce que c'est pas ton genre d'entreprendre, tu ne fais rien, tu ne lui parle pas, tu ne lui montre rien, tu joues la copine, stupide léo, stupide amour qui te bloque. " le temps d'arriver et je suis là ! " tu lui répond, au passage tu regardes une nouvelle fois la photo, tu peux pas t'en empêcher, tu ranges ton cahier, tes crayons, et tu pars, presque en courant, heureusement t'es pas loin et en presque quinze minutes tu rejoins son endroit isolé, endroit que ut connais déjà, te voila sur le sable, robe au vent, cheveux au vent, sourire aux lèvres, tu la voit dans l'eau et tu sens ton coeur qui fait boum boum, t'es à cinq mètres d'elle et déjà tu perds tout tes moyens. tu lui fait signe de la main, pour qu'elle te voit, mais elle t'as vu arriver à des kilomètres, toi, la fille pâle au cheveux clairs, yeux clairs, bouche rose.

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léopoldine fawkes ; lucrézia kâtib

a good day w/ you.

Lucré’ se passa une main dans ses cheveux, maintenant légèrement mouillés. Lorsqu’elle se trouvait dans l’eau, elle pouvait laisser son esprit vagabonder sur différents sujets. Certains plus complexes que d’autres et auxquels elle n’avait pas de réponse. Ou si mais qu’elle continuait de nier pour le bien de tous et surtout du sien. La brune se laissa tomber en arrière, se retrouvant sur l’eau et se laissant glisser avec le peu de vagues qu’il y avait. La mer était calme et elle devait plisser les yeux pour éviter que le soleil ne l’éblouisse un peu trop. Mais une silhouette attire son attention, elle ne connaissait que trop bien celle-ci et un grand sourire vint naître sur ses lèvres. Il n’y avait pas de doutes, cela ne pouvait qu’être Léo et son signe de main ne put que le confirmer. Son regard glisse sur elle comme pour mieux la détailler alors qu’elle se dirige vers la plage afin de l’accueillir. Sortant de l’eau, elle affiche un sourire et se rapproche d’elle. « Je pensais que tu ne viendrais pas. » dit-elle tout simplement, déposant un léger baiser sur sa joue, bien que tout près de ses lèvres. Peut-être que son idée de photo avait été l’élément qui l’avait poussé à venir ? Ou qu’elle aurait du être encore un peu plus joueuse que ça ? Après tout, là elle portait tout de même ses sous vêtements. Un peu de décence tout de même bien que cela ne l’aurait pas dérangé de tout enlever. Elle n’était guère du genre pudique, il n’y avait aucune honte à avoir. « Allez, viens, elle est bonne. » Elle attrape sa main pour l’entraîner vers l’eau puis une fois, ses pieds dans l’eau, s’arrête un petit sourire aux lèvres. « Tu devrais enlever ta robe... » Se mordillant la lèvre, elle relâche sa main et se recule pour se retrouver dans l’eau, attendant que l’autre jeune femme la rejoigne. Luc’ se passa la langue sur la lèvre, son regard ne la quitte pas un seul instant. Quand elle se trouva à ses côtés, Luc’ ne pouvait que de la regarder, un véritable aimant pour ses yeux.

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c'est elle ta kryptonite, celle qui te rend plus forte mais aussi très faible, celle qui te fait mal mais qui te fait tellement de bien aussi, lucre elle est ce tout qui te rend dingue, t'as envie de l'avoir que pour toi mais tu ne compte pas faire en sorte que cela t'arrive, parce que t'es comme ça toi, idiote et pas assez courageuse pour tout assumer, pourtant, ça ce voit bien que tu craques pour elle, il suffit que tu parles d'elle, que tu la regarde pour le comprendre, tu rougis, tu bégaies parfois, et le pire, c'est que tu te tait devant elle, alors que d'habitude, tu parles à une vitesse folle sans même respirer. elle est là, dans l'eau, en sous vêtements, comme sur la photo que tu as vu, avec ou sans photo tu serais venu la rejoindre, avec ou sans jambe tu serais venu pour elle de toute façon. elle vient vers toi, t'embrasse au coin des lèvres, tu souris, tu rougis, tu la fixe tendrement. " j'étais en train de dessiner pas loin, j'ai pas vu tes messages tout de suite, tu me connais, le portable en mode vibreur quand je dessine... " elle le sait mais tu lui rappelle, qu'elle ne croit pas que tu la snobe ou que tu la filtre, c'est pas ton genre, mais quand tu dessines, le monde entier peut exploser, tu t'en fiche, t'as besoin de tes moments à toi, pour ton boulot. " seulement ma robe ? ça m'étonne de toi ! " tu souris, t'arrêtant avant elle et la regardant entrer dans l'eau, qu'elle est jolie, parfaite, tu la fixe tout comme elle te fixe, et la encore, tu te rend pas compte que son regard est comme le tien, t'es aveugle, tu vois pas. tu défait une bretelle, puis deux, ta robe tombe à tes pieds, dévoilant ton corps presque nu, t'es en sous vêtements toi aussi. " t'es venu prendre des photos je parie, la vue est belle ici ! " tu marches doucement vers elle, un pied après l'autre dans l'eau, pour les mollets, les cuisses, tu vas doucement, sans la quitter du regard, elle et son corps si parfait.

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léopoldine fawkes ; lucrézia kâtib

a good day w/ you.

Rien qu’en la regardant, Lucre ne peut s’empêcher de sourire. C’est plus fort qu’elle, dès qu’elle la voit, une agréable chaleur se diffuse en elle. Elle ne peut guère lutter contre ça mais en a-t-elle réellement envie ? La réponse serait sans doute négative si quelqu’un osait la poser. Elle aimait cette sensation lorsqu’elle se trouvait en sa présence, si cela ne tenait qu’à elle, elle garderait la jeune femme tout le temps à ses côtés. Un petit sourire apparaît sur le coin de ses lèvres lorsqu’elle lui raconta ce qu’elle était entrain de faire. Elle ne peut que comprendre son attitude. Quand la jeune brune prend des photos, elle aime être au calme. Pouvoir immortaliser l’instant présent sans devoir prêter attention à ce qui l’entoure. Elle est comme dans une bulle dans ces moments-là et seul son objectif a de l’importance à ses yeux. « Ne t’en fais pas, le plus important, c’est que tu sois là, maintenant. » dit-elle avec un grand sourire avant de l’entraîner près de l’eau. Un petit rire s’échappe de ses lèvres face à son léger sous-entendus et Luc’ ne peut que se mordiller la lèvre une nouvelle fois. « Je préfère t’enlever le reste moi-même voyons. » Elle secoua les épaules comme si c’était la chose la plus normale à dire avant de lui tirer la langue. Son regard glisse sur ses gestes et suit les mouvements de sa robe qui finit sur le sable. Toujours aussi magnifique ne peut-elle que penser alors qu’elle la détaille. « Oui, je ne connaissais pas cet endroit. Je pense que je reviendrais prendre d’autres photos, plus tard. Peut-être quand le soleil se couchera, ça pourra faire une plus belle vue. Même si, celle que j’ai actuellement, elle n’est pas mal non plus. » dit-elle en riant tout en la laissant la rejoindre dans l’eau. Avant de s’éloigner pour que ses pieds ne touchent plus le sol. C’est plus agréable de nager puis être un peu à l’écart du rivage ne peut qu’avoir des avantages. Ses yeux ne peuvent se détacher de la jolie blonde qui se dirige vers elle, elle n’a qu’une envie c’est de la prendre dans ses bras et oublier tout ce qui peut bien les entourer. Un petit sourire en coin naquit sur ses lèvres, signe qu’une idée venait de germer dans son esprit, et elle disparut sous l’eau.

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on t'a toujours dit que c'était normal, les artistes sont comme ça, différents et décalés, et tu n'y échappe pas léo, si tu dessines, il faut pas te déranger, pas te parler, pas te voir non plus, t'aimes pas qu'on voit tes dessins, car dans ce petit cahier que tu traînes partout, il y a de tout, des idées, des moments, des émotions, et même des envies, c'est comme un journal en fait, principalement des croquis se trouvent dedans, heureusement, tout ceux qui te connaissent le savent, on ne touche pas à tes cahiers. et puis y'a rien sur lucre dedans, t'es pas stupide, tu vas pas te trahir si facilement, même si tout le monde est au courant de tes sentiments pour elle, sauf elle. " c'est pas faux, comment j'ai pu oublier... " tu rigoles doucement, lucre elle est comme ça, tu le sais que trop bien, et ça te dérange pas, parce que toi léo, t'es tout l'inverse, alors, elle te complète, car elle ose tout ce que tu n'oseras pas, et surtout, même si elle est parfois brute etc, la tenir dans tes bras reste ce que tu préfères. " je serais habillé d'un sac à patates tu dirais pareil... " tu es dans l'eau, elle est bonne, ni chaude ni froide, juste entre les deux, tu nages, t'as plus pieds non plus et lucre disparaît sous l'eau, tu souris, t'imaginant qu'elle veut te faire peur, venir t'attraper une jambe ou encore aller se cacher et te faire chercher. " ha ha, très drôle... t'es où ? " tu la cherche du regard, nageant sur place, te demandant ce qu'elle comptait faire.

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léopoldine fawkes ; lucrézia kâtib

a good day w/ you.

Elle secoue les épaules face à ses mots et finit par répondre. « Oui on se demande, à croire qu’il faut que je te fasse une légère démo pour que tu t’en souviennes.. » Elle sourit doucement même si pour le moment, elle se contente juste de la regarder se dévêtir sans bouger. Qui sait, peut-être que dans l’eau, les choses se dérouleront autrement. Quand Luc’ photographiait, elle était comme protégée. Comme si tous ses problèmes disparaissaient et si elle avait la force de l’admettre, Léo avait le même effet bénéfique sur sa personne. Elle est plutôt contente d’avoir mis de côté son appareil pour profiter de l’eau, elle savoure cette sensation de plénitude qui règne dans ce coin tranquille. Elle pourrait très bien restée en étoile de mer sur l’eau et regarder le ciel. Elle finirait sans doute par s’éloigner du rivage pour ne plus pouvoir rentrer par la suite, l’insouciance encore présente chez elle. « Peut-être, je ne t’ai jamais vu habillé comme ça. Tu serais capable d’en porter un juste pour que je me fasse mon propre avis ? » Bien sûr qu’elle serait toujours belle, elle était parfaite quoi qu’elle porte, Lucre en était certaine. Puis, elle disparut dans l’eau, retrouvant l’âge mental d’un enfant qui se retrouvait dans la mer. S’éloignant d’elle, elle commença à nager afin de la contourner. Lucrézia surgit derrière elle, ses bras entourant la taille de la jeune blonde, criant comme pour l’effrayer avant de se mettre à rire. Adieu la maturité. « Même pas inquiète… je suis déçue. » dit-elle en faisant une légère moue boudeuse, posant son menton sur l’épaule de Léo. « Il va falloir que je trouve une autre méthode.. » Elle se mordilla la lèvre, son corps collé toujours au sien.

Invité

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oublier, tu peux pas, tu te souviens de votre premier baiser même si ça n'avait rien de romantique ni de sentimental, et pourtant, tu te souviens très bien de la sensation que tu as ressenti ce jour la, sentir ses lèvres contre les tiennes te fit comprendre que c'était elle, elle que t'attendais dans ta vie. et pourtant, vous voila pratiquement un an plus tard, toujours amies, qu'est-ce qui c'est passé ? pourquoi vous êtes toujours amies, t'aimerais tellement être sa petite amie, mais c'est pas toi qui le dira, t'y peux rien, parler de sentiment c'est vraiment pas ton truc, et puis, tu sais pas ce qu'elle ressent, pourtant, t'as juste à ouvrir les yeux pour le savoir, mais tu restes aveugle, convaincue que t'es la seule à ressentir tout ça. " t'allais le faire de toute façon, sinon on serrait pas dans un coin isolé, nan ? " tu lui tire la langue, tu la connait, tu sais qu'elle va pas résister à un bain de minuit en pleine après midi, d'ailleurs, t'y a pensé tout de suite mais comme toujours avec elle, t'oses rien, et ça la dérange pas, elle est l'entreprenante et toi la soumise, ça t'arrange, ça te plait, au moins, de temps en temps, t'as l'impression d'être désiré par lucre. " bien sur que j'en suis cap, pour toi, je suis capable de tout... " tu te sens rougir d'un coup, ta phrase sonne dans ta tête, un aveu révélateur, t'espères qu'elle va pas le comprendre comme tu l'a pensé, tu souris, tu fais bonne figure, quant à la douce lucre, elle plonge, et toi, tu la cherche, mais en même temps, tu t'attends à ce qu'elle surgisse quelque part, et quand ça arrive, tu n'as pas peur, tu rigoles aussi, appréciant ses bras autour de ta taille, son menton sur ton épaule, tu resterais bien là un moment, juste comme ça. " c'est bien comme ça, juste toi et moi, toi contre moi... " tu plisses les yeux, tu te dis 'ta gueule' intérieurement, qu'est-ce qui t'arrive, pourquoi tu la joue guimauve comme ça, t'es bien dans ses bras, mais tu sort que des conneries qui vont la faire fuir, alors, comme d'hab, tu joues la parade, et la, tu te défait d'elle et nage un peu, revenant près de la plage, pas pour partir, mais parce que avoir pied c'est plus rassurant, t'es sur la pointe des pieds, tournée vers elle, la fixant, l'admirant, les yeux pleins d'étoiles, le coeur qui fait boum, qu'elle est belle, parfaite.

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léopoldine fawkes ; lucrézia kâtib

a good day w/ you.

La jeune femme serait bien incapable de mettre un nom sur la relation qu’elle entretenait avec la jolie blonde. Elle aimait passer du temps en sa compagnie, elle était toujours de bonne humeur quand cela arrivait. Après si elle devait réellement être franche envers elle-même, elle ne pouvait nier l’attraction qu’elle ressentait lorsque son regard se posait sur elle. Elle agissait comme un aimant, elle pouvait être dans une foule, Lucre était certaine de pouvoir la trouver. Aucune des deux n’avaient jamais parlé franchement de ce que les liait, Lucre aurait aimé pouvoir ouvrir la bouche pour lui poser directement la question. Mais qui sait, comment aurait réagi la jeune femme. Avec Léo, elle avait l’impression que tout était compliqué dans sa tête alors elle profitait juste de l’instant présent. Et pour le moment, cela marchait bien et il semblerait qu’elle la connaisse suffisamment bien pour deviner ses pensées actuellement. Un rire s’échappa de ses lèvres avant de prendre un léger air angélique. Mais qui n’allait pas du tout avec le sourire en coin qui était apparu sur ses lèvres. « Je suis si prévisible que ça ? » Après tout, peut-être. Néanmoins, ce n’était pas de sa faute si en sa présence, elle n’avait que cette idée en tête. « Oh.. Je vais garder ça dans un coin de ma tête, je suis sûre que ça nous sera utile plus tard. » dit-elle avec un sourire avant qu’elle ne disparaisse sous l’eau. Elle n’allait sans doute pas oublier cette phrase de sitôt ni la sensation de chaleur qui lui avait parcouru le corps face à son esprit un peu trop échauffé. Finissant par ressentir, Luc’ se colle à elle, voulant juste profiter de cette proximité et un sourire naît sur ses lèvres face à ses paroles. Elle se retint de dire que c’est la même chose pour elle et lorsqu’elle s’écarte de ses bras, elle ne peut que froncer les sourcils. Avant de le regarder s’éloigner. Elle la laisse partir avant de le rejoindre, son bras entourant sa taille pour la rapprocher d’elle. « Tu as déjà l’intention de partir ? » Ce n’était pas du tout dans ses projets et comme pour le montrer, sa main non occupée vint se loger dans ses cheveux. « Je peux peut-être te donner une bonne raison de rester, qu’en penses-tu ? » dit-elle en souriant. Si elle comptait réellement partir, Luc’ allait faire de son mieux pour la faire changer d’avis. Et ce qu’elle avait juste à faire, c’était d’envoyer promener sa raison et de laisser son attraction pour la blonde prendre le dessus. Elle sourit avant qu’elle ne rapproche son visage du sien et que ses lèvres se posent sur les siennes.

Invité

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prévisible, peut-être, mais pas tant que ça, lucrézia n'est pas comme toi léo, elle n'est pas du genre à suivre ni même à faire comme les autres, à côté d'elle, la plus prévisible c'est bien toi, toi et ta faiblesse, tu sais pas dire non, et le problème avec lucrézia, c'est que tu veux pas dire non, t'es déjà faible en temps normal, mais avec elle c'est pire. " oui et non, ça semble logique c'est tout " tu souris, elle t'amuse, elle te fascine et te rend molle, tu la regarde, elle joue avec toi, tu joues avec elle, mais votre jeu n'est pas le même, toi tu es dans la drague, sans le savoir, ton corps montre ce que tu refuses de montrer, quant à elle, elle est dans son jeu, elle te tourne autour comme un requin sur sa proie, alors, parce que tu la sent venir et parce que tu le veut surtout, tu reviens vers la plage, sans quitter l'eau, juste assez pour avoir à peu près pied, t'es sur la pointe des pieds, et elle revient, ce qui te fait sourire de plus belle. " je pense que j'allais rester de toute façon... " elle t'embrasse, et la, tu fonds, littéralement, tu acceptes son baiser, tu l’enlaces doucement et tu y met la langue, ton corps contre le sien, tes mains caressent son dos, tu veux que ce moment dur, tu veux pas que ça s'arrête, pourtant, il te faut respirer, tu rompt le baiser, la fixant les yeux, souriant, les yeux pétillants, décidément, elle est vraiment pas prévisible cette douce lucrezia. " je vais faire semblant de partir plus souvent, si je gagne un baiser à chaque fois... " tu souris, feignant de voir en tout cela un jeu de sa part, mais plus t'y pense et plus tu te dit qu'elle t'aime comme tu l'aimes, pourtant, t'attends toujours, tu veux en être sure, tu veux qu'elle l'avoue, parce que toi, tu l'avoueras jamais.

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léopoldine fawkes ; lucrézia kâtib

a good day w/ you.

Lucre, il est facile de deviner ce qu’elle pense en réalité. Son visage peut être un véritable livre ouvert quand elle le veut. Il suffit juste de la regarder et son sourire peut facilement être déchiffrable. Et en même temps, elle veut l’être. Elle voudrait faire comprendre à Léo que lorsque ses yeux se posent sur elle, plus rien ne compte. Mais elle n’y arrive tout simplement pas alors elle profite juste de la relation qui les unit déjà. Et ça lui suffit. Du moins, c’est ce qu’elle veut se persuader. La jeune brune ne peut s’empêcher de laisser échapper un petit face à ses mots. En effet, elle n’a pas tout à fait tord. Si elle avait voulu juste se baigner, elle serait sans doute retournée dans un coin où il y avait un peu plus de monde. « Peut-être que je souhaitais juste profiter du fait d’avoir une plage à nous toutes seules ? » dit-elle avec un petit sourire. Certes, c’était toujours agréable d’en avoir une sans être bousculée par les autres nageurs. Mais si cela pouvait leur permettre d’avoir un moment d’intimité, Lucre’ ne pouvait guère refuser cela. « Dommage, j’aurais pu faire en sorte de te convaincre de rester. » Elle se mordilla la lèvre avant de déposer ses lèvres sur les siennes. Ses mains vinrent se poser sur ses hanches qu’elle caresse du pouce. Elle aime la douceur de ses lèvres, sa langue jouant la sienne. « Tu n’as pas besoin de faire semblant, tu peux en avoir un quand tu veux. » Lucre sourit doucement avant qu’une de ses mains glisse jusqu’à sa nuque, ses lèvres frôlant juste les siennes. Elle peut sentir le souffle de sa respiration sur ses lèvres. « Il suffit juste de me le demander. Genre, Lucre’ embrasse-moi. Tu crois que tu peux y arriver ? » dit-elle alors que ses lèvres se posent sur sa mâchoire et les laisse glisser jusqu’à son oreille pour lui murmurer cette question. Faire en sorte que cela paraisse un jeu est tellement plus facile que de dire la vérité. Sa main quitte sa nuque pour glisser jusqu’à son dos et elle commence à retirer son agrafe. « Je pense que tu n’as pas besoin de ça.. » Elle sourit avant de lui enlever, ses doigts frôlant sa peau.

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