You've got the love (Perscar) hot.

Étrangement, il est nerveux. Ce n'est clairement pas la première fois qu'il va voir Percy seule à seul et pourtant, Oscar ne peut s'empêcher de se sentir comme un gamin avant le bal de promo. Il a longtemps hésité entre lui prendre un petit quelque ou pas, et voilà finalement qu'un bouquet de tulipes violettes attend sagement d'être offert sur le siège passager de sa voiture. Pendant le trajet, il écoute ses playlists préférées afin d'évacuer ce stress qui ne devrait même pas avoir lieu d'être. Ses doigts tapotent sur le volant, et ses yeux fixent la route en essayant d'éviter de regarder le plus possible le bouquet. À chaque fois qu'il ose porter son attention sur lui, il a l'impression que les fleurs sont de plus en plus fanées ou que la couleur est soudainement devenue atrocement laide. Il finit par se garer au lieu qu'elle lui avait indiqué lorsqu'ils se sont vus entre leurs deux cours, sort du véhicule, prend les fleurs, et marche jusqu'à l'entrée. Vêtu d'une simple chemise blanche qui met en valeur le violet des tulipes qu'il tient dans ses mains, il appuie sur le bouton de la sonnette et attend en se balançant d'un pied à l'autre. À sa plus grande surprise, c'est une fille bien plus jeune que lui et Perséphone qui lui ouvre la porte. « Oh, hum, je me suis peut-être trompé de maison. Désolé. » Sauf que rapidement, un gamin d'à peine quelques années débarque dans l'entrée et se stoppe en le voyant, lui et son bouquet. Inconsciemment, Oscar se met à sourire au petit garçon dans son peignoir Buzz L'Eclair. La voix de Percy ne tarde pas à se faire entendre, et il lève les yeux pour la découvrir trempée de la tête aux pieds. Il se retient de rire mais ne peut empêcher un sourire qui lui tire les coins des lèvres jusqu'à en avoir mal aux joues. « Salut, » répond-il en la regardant d'un air mi-amusé, mi-attendri. « Bonjour vous deux, » dit-il en s’accroupissant à la hauteur de Dean, le regardant lui puis son frère. « J'adore vos peignoirs, vous croyez qu'ils en font à ma taille ? » Oscar et les enfants, ça a toujours été une grande histoire d'amour. Il se redresse pour faire à nouveau face à Percy. « Je t'ai apporté des fleurs,  » dit-il en lui tendant le bouquet, oubliant un peu sur le moment qu'elle est trempée et se focalisant sur la couleur de ces fichues tulipes. « Vu que je suis pas un expert dans le domaine, j'ai dû demander conseil à la vendeuse et sérieux, tu savais qu'il existait un type de fleur pour à peu près n'importe quel événement ? C'est dingue, » ajoute-t-il en inculte qu'il était.

Oscar s'est souvenu pour la cicatrice du petit, il ne l'a en réalité même jamais oubliée. Mais plutôt que de se focaliser sur ce signe qui ne distinct que trop bien les deux jumeaux entre eux, il a préféré agir avec Dean comme il l'aurait fait avec n'importe quel autre petit garçon de son âge. Le signe de main de son frère, posté dans les bras de Percy, suffit à lui tirer un immense sourire qu'il n'a que lorsqu'il se trouve devant un enfant. Un sourire niais, un peu abruti, presque autant que celui qu'il a quand il tombe amoureux. Sa remarque fait rire Perséphone et Oscar lève les yeux vers elle avant de hausser les épaules, comme si sa question était pour lui plus que pertinente. La réponse des deux petits le fait rire à son tour et une fois partis avec la fameuse Constance, il se permet de lui offrir ses fleurs. « C'est presque rien, » se défend-il, sans mentionner qu'il a passer des minutes interminables chez cette fleuriste, à respirer les odeurs toutes mélangées de cette végétation qui l'entourait là-bas. Le regard d'Oscar passe sur la jeune fille et sa serviette puis, suite à l'invitation de Perséphone à entrer, il fait quelques pas dans la maison et se permet de regarder la déco tout autour de lui. Beaucoup de photos des petits accrochées un peu partout, ce qui ne l'étonne pas vraiment. Sa maison est pareille, pleine de clichés de Luce. Quand il la voit retirer son chemisier, il a le réflexe de dévier le regard et se concentre à nouveau sur autre chose qu'elle, comme ses ustensiles de cuisine. Il ne peut cependant pas regarder ailleurs bien longtemps, Percy s'approche de lui et vient déposer un baiser sur sa joue avec autant de douceur que si il était fait de verre. Un sourire vient étirer ses lèvres. « Avec plaisir. » Il reste quelques secondes à la regarder, focalisé sur ses yeux qui le fixent, puis se rappelle qu'elle est mouillée et que ça ne doit pas être un état bien confortable pour elle. « Tu devrais peut-être te changer, non ? Pas que ça me dérange que tu sois trempée, mais faudrait pas que tu tombes malade dans ta propre maison. » Il se passe maladroitement une main dans les cheveux. « Je t'attends ici, ou dans la pièce à coté. Je m'auto-ferai une visite guidée. »

Il n'était sûr ni pour les fleurs, ni pour la couleur, mais heureusement pour lui elle semble plutôt bien les apprécier vu qu'elles ne mettent pas longtemps avant de trôner fièrement dans un vase, dans la cuisine. Ou bien Percy fait semblant, elle les met là tant qu'il est présent dans la maison, puis s'empressera de les jeter une fois qu'il sera parti. Alors qu'il regarde ailleurs, la réflexion qu'elle lui lâche le prend de court et le fait rire impulsivement. « Jamais. » Il ne sait pas trop ce qu'il était censé répondre à cette question. Dire que oui l'aurait fait passer pour un puceau, mais ce simple mot qu'il a prononcé pourrait presque sous-entendre qu'il en vu passer par centaines alors que c'est totalement faux. Au final, Oscar n'a pas eu tant de petites amies que ça. La plupart pendant ses années de fac, puis un creux quand il est devenu parent. Lui qui a toujours vu dans les films que les filles étaient attirées par un homme avec une poussette, il s'est avéré que la réalité est en fait totalement différente. Vu sa remarque, Oscar ne dévie plus le regard d'elle à un seul instant. Il est attentif à ses gestes, aux traits de son visage, curieux de savoir ce qu'elle a prévu ce soir et ce qu'il se passera maintenant qu'une bande de gamins ne sera plus là pour leur tenir compagnie. Il entend la porte claquer et, la seconde suivante, Percy retire son pantalon pour son plus grand étonnement. Ses yeux s'ouvrent plus grands, mais son sourire s'étire un peu plus bien qu'il essaie de le contrôler en se mordant la lèvre inférieure. Il la regarde s'asseoir, ne pouvant s'empêcher de porter un instant son attention sur ses jambes qui se trouvent à présent devant lui. Elle est belle Perséphone, tellement belle qu'elle arrive à lui nouer le ventre rien qu'en retirant un bout de tissu. Oscar prend le verre qu'elle lui tend avant de relever les yeux vers son visage. « Ça dépend la quelle.  » Puis il ajoute « Mais là ça va, je me sens pas trop mal. » Il semblerait qu'il n'y aie pas que sa façon de jouer qui soit changée chez Percy. Elle est bien loin de la petite fleur fragile à protéger, loin de cette fille timide qui osait à peine croiser son regard plus de quelques secondes à l'époque de leurs vingts ans. Oscar entre-choque son verre avec celui de Perséphone avant d'en boire une gorgée puis s'approche d'elle sans pour autant la toucher, une main appuyée sur le bord du plan de travail. « Y a une chose que je voulais te dire l'autre fois, mais que j'ai pas osé lâcher, » dit-il en plongeant son regard dans le sien.

Jamais il n'aurait pensé qu'un jour, il aie envie de se rapprocher de Perséphone au point de vouloir l'embrasser. À l'époque, l'idée lui aurait parue suicidaire vu le contexte, vu qu'elle avait Ezekiel et que lui, il avait encore Nevaeh dans la tête. Et pourtant, malgré toutes ces années de silence, l'idée lui a parue comme une évidence lorsqu'ils se sont retrouvés face à face à coté du piano. Il ne sait pas si c'est la musique qui lui a fait cet effet là, ou l'euphorie de retrouver Percy dans une situation semblable. Ou aucun des deux. En réalité, il y a un quelque chose chez elle qui l'attire. Un il ne sait quoi, qui l'a percuté quand il la entendue jouer, et quand il la vue de l'autre coté de la porte. Un quelque chose qui l'a poussé à acheter ces fleurs, et qui lui a fait oublier le temps qui passe en l'écoutant parler. C'est elle la cause, pas le contexte ou leur passé en commun. Elle pour qui il a accepté de venir, et non la fille qu'il a connue sept ans plus tôt. À sa question, Oscar se contente de hausser les épaules avant d'ajouter ces quelques mots qui la font sourire un peu plus. Il s'approche d'elle, et la voir décroiser les jambes afin de lui permettre d'être encore plus près ne le laisse clairement pas indifférent. Ça lui fait bizarre, cette sensation de ventre qui se noue. Il a l'impression d'être un gamin, un ado boutonneux qui s'apprête à toucher une fille pour la première fois. La main de Perséphone qui parcourt sa nuque lui fait ressentir des frissons à cet endroit, et il ne sait pas trop pourquoi il a lâché les mots qu'il vient de prononcer sans y réfléchir. Évidemment qu'elle l'écoute. Elle aurait très bien pu ne pas l'entendre, ou lui demander de se taire et profiter de sa coupe de vin. Et d'elle, en petite tenue devant lui. Pour se donner du courage, il boit une plus longue gorgée. « Et bien... » Il hésite, a le regard fuyant, et un sourire un peu maladroit accroché aux lèvres. Mais lorsqu'il relève les yeux vers son visage, lorsqu'il croise ce regard si intense et qu'il sent ses doigts glisser contre sa nuque, un élan de confiance le regagne jusqu'à l'en faire perdre la tête. « Déjà à l'époque, tu m'intriguais, un peu. Enfin je te trouvais intéressante, mais j'avais jamais pris le temps d'entièrement te connaître. » Sa main se rapproche de sa jambe, glissant le long du plan de travail jusqu'à toucher sa peau. « Puis je t'ai revue, là devant l'auditoire. Et je me suis dit que j'aurais peut-être dû m'intéresser un peu plus. » Un rire léger, court, s'échappe d'entre ses lèvres avant que son air plus sérieux ne reprenne place sur son visage. Ses doigts montent le long de sa jambe, appuient sur sa cuisse, tandis que son regard ne quitte plus le sien à un seul instant.

Ces cinq dernières années, la vie amoureuse d'Oscar a été plus que tumultueuse. Il a rencontré quelques filles, a été à des rendez-vous, mais jamais il ne s'est engagé dans une relation sérieuse au point de pouvoir leur présenter sa fille. Non pas qu'il ne voulait plus rien de concret, mais il lui arrivait parfois d'oublier d'en rappeler une à cause de tout le boulot qu'il accumulait, ou d'annuler un rendez-vous parce que Luce débarquait à l'improviste le soir même. À force, il a fini par arrêter de chercher. Voilà déjà un an qu'il ne se passe plus rien de bien palpitant dans sa vie et qu'il s'est entièrement consacré à sa passion et à sa famille. Enfin, famille qui ne résume plus qu'à Luce vu que tout le reste se trouve en Angleterre. Il ne l'a encore jamais présentée à ses parents, bien qu'il sache pertinemment qu'ils l'adoreront. Puis la voilà qui sort de nul part, Percy avec son talent, Percy avec ses grands yeux brillants. Il lui a suffi d'un jour, un seul pour qu'elle réussisse à lui chambouler les idées au point qu'il n'arrivait plus à se concentrer plus d'une heure sur son boulot sans penser à elle, et à ce qui aurait pu se passer sur cette scène. Et même si l'idée d'être possiblement attiré par une fille l'a au début rendu quelque peu sceptique, Oscar n'a aujourd'hui plus envie de refouler ce qu'il ressent. Il ne reculera plus, quitte à se ridiculiser totalement devant elle avec un stupide discours qu'il sort d'il ne sait où, et qui sonne un peu plus mauvais à mesure qu'il parle. Elle ne dit rien, ne l'interrompt pas, même si il aurait voulu qu'elle dise quelque chose ou lui montre que ce qu'il racontait n'était pas si stupide que ce qu'il pensait. Puis il se tait, la fixe pendant d'interminables secondes, et ces deux mots qu'elle lâche sonne comme un tout et un rien à la fois. Les lèvres de Perséphone posées sur les siennes arrivent à lui faire ressentir une explosion d'envie pour elle, à tel point que sa main plus tôt posée sur sa cuisse remonte jusqu'au bas de son dos. Il en oublie son verre qu'il pose automatiquement sur le coté, de toute façon déjà presque vide. Elle s'écarte, rompant trop tôt ce baiser qui a un goût de pas assez. Un sourire amusé vient étirer les lèvres du dramaturge en l'entendant s'excuser. « J'aime que tu sois impulsive, » réplique-t-il en fixant cette lèvre qu'elle se mordille. Sans lui laisser le temps de répondre, il glisse sa main libre dans la nuque de Percy et l'embrasse une nouvelle fois, avec une fougue qui trahit l'envie pour elle qui sommeille en lui depuis déjà quelques jours.

Au fond, il ne sait pas vraiment ce à quoi il s'attendait en venant ici. Il n'a pas envie de n'être de passage que pour un soir, de tirer son coup et de s'en aller. Non, Oscar n'a de toute façon jamais été comme ça. Il veut mettre les choses à plat, ne plus avoir à tourner autour du pot plus longtemps comme deux ados trop timides pour dire ce qu'ils ressentent. La proposition avait été rapidement suggérée, et rapidement acceptée. Sûrement parce qu'au fond, l'un comme l'autre a eu ce sentiment commun que leur dernier moment juste à deux s'est peut-être un peu trop vite écourté. Ça a été totalement sans arrière-pensée qu'il a sonné à sa porte, le ventre noué d'excitation et l'esprit encombré de toute ses pensées mélangées. Il s'est dit pourquoi pas, il s'est dit qu'ils ne perdraient rien à voir où tout ça les mène. Dans sa cuisine visiblement, elle en petite tenue et lui devant à nouveau gérer des sensations qu'il n'a plus ressenties depuis un moment. Percy, assise sur le plan de travail, elle lui fait presque tourner la tête. Il tente de se laisser aller dans son verre de vin pour ne plus y penser, sauf que c'est justement l'effet inverse qui se produit. Ses jambes dénudées, et sa main dans ses cheveux. Oscar n'a pas envie de se fermer à elle, tout comme il n'a pas envie de la brusquer en allant trop vite. Et pourtant, ce baiser qu'ils échangent ne laisse clairement pas sous-entendre qu'il a envie de faire les chose une à la fois. Il l'embrasse comme il n'a plus embrassé une fille depuis longtemps, la touche comme il n'en avait plus l'habitude. Et pourtant, tous ses gestes sont naturels et trahissent sont attirance pour elle. Elle l'attire contre lui, et il prie intérieurement pour que la bosse dans son pantalon ne se fasse pas trop tôt, et surtout trop voyante. Sauf que Perséphone finit par rompre ce baiser pour prononcer des mots qui, au lieu de le frustrer, lui font hocher la tête. « T'es pas un coup d'un soir. Tu sais, on peut ne rien faire si tu veux, y aller doucement. » Il peut la comprendre, et puis lui non plus ne songeait pas vraiment à ce genre de tournure d'événements. Enfin, c'était jusqu'à ce que Percy se retrouve en petite tenue devant lui. Alors qu'elle l'emprisonne entre ses jambes, un sourire vient étirer ses lèvres avant qu'il ne morde l'une d'elles. « Tu m'aides pas vraiment à être patient Percy. » Il sent son coeur battre plus vite, plus fort. Oscar regarde son corps, le détaille entièrement de bas en haut avant de s'arrêter sur son visage. Elle est belle, belle et sexy. « On peut juste traîner sur le canapé, » Il lui prend les mains, la fait descendre du plan de travail, la guide jusqu'au canapé pour qu'elle y prenne place avant de se placer au-dessus d'elle. « discuter, » Il se penche vers son cou, l'embrasse. « être sages, » ajoute-t-il pendant que sa main caresse son flanc avant de prendre place sur sa hanche.

Il y a tellement de questions qui pourraient lui traverser l'esprit sur le moment. Des questions comme : pourquoi maintenant, et pas avant ? Qu'adviendra-t-il si ils dérapent réellement, elle et lui ? Serait-ce quelque chose de sérieux ou juste l'histoire d'un soir, Perséphone lui disant qu'elle ne serait pas prête pour ce genre de relation à cause de son ex ? Pourtant, au lieu de s'encombrer avec tous ces questionnements, Oscar agit sans réfléchir et sans se demander de si c'est bien ou mal ce qu'ils font. Ses gestes se font naturels, doux, sans pour autant cacher l'envie qu'il a pour elle. Ce doit être son regard qui le trahit, ses iris qui brûlent rien qu'en la regardant, et sa peau qui se réchauffe rien qu'en la touchant. Il essaie de se convaincre lui-même qu'ils pourraient y aller doucement, sans brûler les étapes, pourtant même lui a envie de rire à ses propres paroles. Si elle le repoussait là, maintenant, il sait très bien qu'il en sortirait frustré et qu'il n'arriverait pas à discuter normalement avec elle avant une bonne dizaine de minutes. Les trois mots qu'elle lui murmure à l'oreille créé en lui un frisson qui le parcourt des pieds à la tête et il ne peut retenir plus longtemps un sourire qu'il tente d'emprisonner en se mordant la lèvre. La table n'étant pas le lieu le plus pratique pour ce genre de rapprochement physique, Oscar guide Perséphone jusqu'à son propre canapé et sent les battements de son coeur s'intensifier à chaque centimètre en moins pour les séparer. Il embrasse son cou, encouragé par les caresses de ses doigts contre sa nuque. Son corps vient se placer contre celui de la jeune femme après qu'elle le lui en aie offert la possibilité, sa main caressant toujours son corps sans aller plus loin que son ventre et son dos. Alors qu'elle se redresse, il relève les yeux vers son visage et la regarde d'un air faussement innocent lorsqu'elle lui dit que lui, en particulier, n'est pas du genre à être sage. « En effet, ça ne fait pas partie de mes qualités, » souffle-t-il à proximité de son visage avec à nouveau ce sourire amusé qui vient étirer le coin de ses lèvres. Un nouveau baiser pendant que les doigts de Percy s'emparent de la chemise d'Oscar, la faisant tomber sur le sol comme elle l'a plus tôt fait avec ses propres vêtements. Ce qu'elle lui dit ensuite suffit à faire grimper en lui son envie pour elle que, cette fois, il aurait beaucoup plus de mal à contrôler. Ça lui prend le ventre, le noue dans une sensation plutôt agréable, ça réveille son bas-ventre et lui fait pousser un soupir envieux. Alors qu'elle caresse à son tour son cou de ses lèvres, Oscar n'a plus envie de garder en lui ce qu'il ressent pour elle actuellement. Une de ses mains se glisse dans sa nuque, l'autre remonte le long de son dos pour retirer ce top humide qu'elle a et qui l'empêche de ne se trouver qu'en sous-vêtements. Il se débarrasse du bout de tissu sans faire attention à où il l'envoie avant de glisser ses doigts dans la chevelure blonde de Perséphone, embrassant ses lèvres avant de descendre jusqu'à hauteur de sa poitrine.