| | Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l' Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite. |
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| excuse me, were you saying something ? no, you can't tell us nothing (cj/felix/aisling) | |
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Auteur | Message |
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Invité | Sujet: Re: excuse me, were you saying something ? no, you can't tell us nothing (cj/felix/aisling) Jeu 3 Aoû 2017 - 22:49 | |
| L'étudiant se moquait bien de ce que Aisling pouvait répondre à présent, elle ne faisait qu'en rajouter une couche et le temps n'était pas aux discussions. Il était inutile de lancer un débat avec les deux frères sur qui était réellement le fautif et qui était la victime, pour eux tout était très clair, il n'y avait pas lieu d'en discuter. CJ avait trompé Nevaeh, sa fiancée, point. Il lui avait brisé le cœur et c'était pas la première fois. Elle avait tout fait pour lui, et voilà ce qu'elle se prenait dans la gueule en retour. Bah aujourd'hui, c'était à CJ de se prendre quelque chose dans la gueule. Et à Aisling si elle continuait à agresser son frère et à défendre l'autre connard comme si c'était un pauvre chaton sans défense. Il n'aurait sans doute pas dû l'agresser elle aussi, mais il était déjà dans un état de rage avancé avant qu'elle n'arrive, et elle n'avait rien arrangé en débarquant ainsi en distribuant des leçons de morale sans rien connaître de l'histoire. Elle n'avait d'ailleurs pas envie de calmer les choses, semblait-il, car elle le défia du regard après le coup qu'il lui avait envoyé, crachant son venin en même temps. Si Woody n'avait pas été là, le blond aurait sûrement répliqué. Mais son frère avait le nez en sang, et il avait raison, ça n'en valait pas la peine. Aisling n'avait rien à voir dans toute cette histoire au final, rien ne servait d'envenimer les choses, ça ne serait qu'un cercle sans fin. Il fusilla une dernière fois Aisling du regard, pas calmé pour un sou, avant de se tourner vers Woody et de hocher la tête silencieusement, mâchoires toujours serrées de colère.
« T'as raison. »
Finit-il par siffler entre ses dents, avant d'emboîter le pas à son frère et d'enfin sortir d'ici. Et puis, il s'inquiétait un peu pour son nez, espérant que l'autre catcheuse ne lui ait pas cassé. De toute façon, elle avait déjà eu la monnaie de sa pièce. Ils n'avaient en effet plus rien à faire ici, et il fallait vraiment que Felix se calme.
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Woody Rutkowski MESSAGE : 4133 ICI DEPUIS : 03/10/2014 COMPTES : jackson & isaiah & concho & elmo & oskár & reyansh CRÉDITS : urochrome (a) & yourdailykitsch (g) & beloved (s)
STATUT : ⋄ oh, I wish you were right there to fight off the nightmares. you were the night light on a dark night like the stars. | Sujet: Re: excuse me, were you saying something ? no, you can't tell us nothing (cj/felix/aisling) Lun 7 Aoû 2017 - 21:57 | |
| La blonde semblait vouloir mettre de l’huile sur le feu, prête à tout pour mettre Felix hors de lui, plus qu’il ne l’était déjà. Elle venait à peine de se prendre un coup de poing dans la gueule que, déjà, elle sortait une réplique qui aurait certainement ravivé la colère de Woody, s’il avait été à la place de son frère. Sauf que là, Woody avait le nez en sang, avait du mal à voir clair devant lui, et il ne désirait pas voir Felix glisser encore plus loin dans ce comportement qui ne lui ressemblait pas. Et puis, cette fille n’avait rien à voir avec cette histoire, et même s’il avait toujours été pour le fait de répliquer à la violence par la violence, là, ce soir, ils avaient atteint la limite. Le jeune homme releva donc le fait qu’elle n’en valait pas la peine, la blonde, et qu’ils feraient mieux de foutre le camp. Qui sait quand quelqu’un se pointerait dans la salle et appellerait les flics en voyant l’état de CJ. Woody avait bien envie de terminer la croisière selon le bon horaire, et ne pas écourter leur séjour en devant passer la nuit en prison à Sydney, en plus. Heureusement, donc, Felix acquiesça à ses paroles. Il emboita le pas à Woody, qui le suivit jusqu’à l’extérieur. Avant de sortir de la pièce, le physiothérapeute tourna la tête vers la blonde, puis vers le corps immobile de CJ, et cracha au sol, sans grande classe. Il reprit sa marche derrière son frère et, une fois en train de regagner le bateau par les rues, il dit : « Faudra aller à ta chambre nettoyer ce que cette conne m’a fait. Si Annushka me voit comme ça, elle va flipper, et j’ai pas trop envie de m’expliquer. » Pas parce qu’il avait honte, mais parce qu’il savait qu’Annushka allait regretter de partager sa chambre avec lui, si elle savait ce qu’il avait fait ce soir. __________________________
‾ ‾ ‾ ‾ ‾ ‾ ‾ ‾ ‾ ‾ ‾ ‾ ‾If we'd go again all the way from the start, I would try to change things that killed our love. Your pride has built a wall, so strong that I can't get through. Is there really no chance to start once again ? I'm still loving you ... ☾☾ |
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Aisling M. Callaghan MESSAGE : 2506 ICI DEPUIS : 14/08/2015 COMPTES : Noam Goldsmid CRÉDITS : lesamourslunaires
STATUT : The only one | Sujet: Re: excuse me, were you saying something ? no, you can't tell us nothing (cj/felix/aisling) Lun 14 Aoû 2017 - 9:01 | |
| Le petit blond pouvait bien la regarder de travers, ça ne lui donnait que plus envie d'aller lui coller son poing dans le nez, à lui aussi. Elle n'avait aucune envie de calmer les choses. Ils étaient stupides, tous les deux, et elle tenait à ce qu'ils le comprennent. Et Aisling faisait rarement dans la subtilité, malheureusement. Le grand frère répliqua qu'elle n'en valait pas la peine et le petit frère sembla suivre. Ouais, mieux valait qu'ils se cassent parce que sinon les choses pourraient bien mal tourner. En en voyant un cracher, Aisling arqua un sourcil. Mais comment pouvait-on descendre aussi bas ? L'espèce humaine la décevait chaque jour un peu plus. Elle se contenta de lever son majeur comme toute réponse. Elle revint alors vers CJ qui respirait mais dont les yeux n'étaient toujours pas ouverts. Elle sortit son téléphone et composa le numéro des urgences médicales. |
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