(Alek) Hello darkness my old friend.

C’était un secret pour personne, j’étais d’une timidité maladive. Après Lachlan, j’avais développé une peur des hommes qui frisaient le ridicule. j’avais pourtant pas mal bu ce soir, j’avais même fumé un joint. Mais ma condition d’écossaise ayant grandi avec des parents qui tenaient une distillerie : Il faudrait plus que quelques verres pour me saouler, mais assez pour m’échauder. Cette soirée s’annonçait intéressante. Je le savais trop jeune, je le savais sans doute trop saoul aussi. Peut-être ne se souviendra-t-il pas de moi demain ? Je n’en avais aucune idée, je ne savais pas comment ça fonctionnait. J’étais assez nocive des choses de l’amour, de la séduction. Jacob m’avait façonné pour que je sois fragile et non une femme fatale. Tandis que l’on arrive à l’hôtel, je me fais l’effet d’être une femme aux mœurs légères, ce qui est nouveau pour moi. J’entre dans l’ascenseur pour me mettre contre la paroi avant de l’attirer contre moi. « Les ascenseurs font toujours un drôle d’effet aux gens, susurrai-je d’une voix plus séductrice que je ne l’aurai voulu. » Je m’étonnai moi-même sur le coup. Doucement, je passe ma main dans ses cheveux pour sourire. Sur le coup, je lui laissai complètement les rênes. Je savais que les hommes adoraient mener la danse : alors en piste, jeune homme.

Tu ne savais pas quoi faire, tu étais totalement soul et défoncé. Avoir Ruby comme ça près de toi, te faisait plaisir. Vous vous étiez lâché, un pétard et quelques verres plus tard. Dans l'ascenseur de chez Ruby, vous étiez très proche. Elle t'attira vers elle, en te faisant comprendre que cette proximité lui plaisait beaucoup. Tu posais de part et d'autres tes mains sur ses hanches, très près de ses fesses et tu commençais à l'embrasser de manière très sensuelle. Tu étais dans un état second, tes gestes pouvaient être maladroit, tu pouvais être gauche mais bon tu te disais que la jolie rousse avec qui tu flirtait devait être dans le même état que toi, alors elle ne devrait pas t'en vouloir tant que ça. L'ascenseur s'arrêta, la lumière s'éteigna. Vous vous retrouviez dans le noir, dans une cage d'ascenseur. « Hmmm, c'est encore mieux quand ça se passe comme ça » dis-tu dans un murmure avant d'embrasser la jeune femme dans le cou. Vous étiez donc bloqué dans cet ascenseur, seul, à faire tout et n'importe quoi de vos corps.

Il n'avait pas tort. Tous les deux dans cet ascenseur et dans le noir, grisée par l'alcool et par la drogue, je me laisse faire lorsqu'Alek passe ses lèvres dans mon cou. Puis, le côte écossais décide de reprendre sa place, j'inverse la tendance pour le plaquer contre le mur et l'embrasser à pleine bouche. Dans le noir complet. " fais de moi ce que tu veux, susurrai-je. " Après tout, nous étions jeunes -surtout lui- et libre de faire ce qu'on voulait. J'étais encore novice dans les choses sexuelles mais je savais quand même comment fonctionnait un homme. Bien que ça faisait des années que je n'avais pas pratiqué.

L'ascenseur c'était bloqué. Vous étiez tous les deux chaud comme la braise et tu n'avais qu'une envie c'était de lui sauter dessus. Tu jetas ta veste dans l'ascenseur, te retrouvant habillé d'un simple t-shirt blanc et tu embrassais la jeune femme avec passion. La rousse te plaqua à son tour contre le mur en te disant que tu pouvais faire d'elle ce que tu voulais. Alors tu l'attrapais par les hanches, tu embrassais son cou et tu glissas une main sous sa robe noire qui la rendait si désirable. Tu jouais avec tes sous-vêtements, tes doigts glissaient dans la dentelle et ton coeur accélérait de plus en plus ses battements. Tu étais saoul, tu étais high, mais tu n'en avais rien à faire. Tu voulais juste profiter de cet instant. « Je suis tout à toi ce soir » dis-tu à la belle rousse dans son oreille dans un souffle entre deux baisers sur son cou.

Je sens ses mains remonter le long de ma jambe nue et mon souffle se fait plus court. Dans le noir complet, je peux m'abandonner complètement. Ses lèvres descendent faire mon cou et je ne peux retenir un gémissement tandis que l'une de mes mains se perd dans son pantalon. " Tu sais, susurrai-je en déposant un baiser dans son cou à mon tour, j'ai toujours eu pour fantasme de faire ça dans un ascenseur. " le parfait cliché, le truc de nana quoi. Mes mains en viennent à défaire sa ceinture et la faire tomber au sol. Entre deux baisers, entre deux caresses, je m'abandonnai complètement auprès d'Alek dans cet ascenseur.

Tes mains se baladaient sur son corps, de plus en plus sensuellement, tu attrapais toutes ses parties de corps avec passion. Alors lorsque tu passais tes mains sous sa robe, tu commences à fouiller dans ses sous-vêtements et tu baissas ce dernier pendant que la jeune femme déboutonnait ton pantalon et le faisait tomber au sol. Tes doigts se glissèrent dans ses parties intimes pour commencer à lui donner vraiment et réellement du plaisir. Tu y allais doucement au début, pendant ce temps là, tu embrasser son cou, sa bouche, ses lèvres de manières passionnelle. Ton souffle s'accélérait, ton coeur battait très vite, et tu étais entrain de planer. Toi aussi, c'était ton fantasme de le faire dans un ascenseur alors tu t'en donnais à coeur joie pour lui montrer.

Dans la pénombre, dans cet espace confiné, l'air me devint plus étouffant. Alors que les mains de mon compagnon commençaient à caresser mes cuisses, j'en oubliai ma récente timidité. Je passais une main dans son jean pour commencer à le caresser alors que nos bouches se retrouvaient avec passion. j'ignorai combien de temps nous resterions ainsi, coincés entre deux étages mais je m'en foutais. Je l'attire un peu plus contre moi, ne pouvant laisser échapper quelques soupirs devant ses caresses. Ma peau toute entière était sensibilisée et la sensation était différente sous drogue. Mes lèvres effleurent sa mâchoire alors que j'en venais à baisser ses sous-vêtements. Après tout, nous pouvions commencer dans un ascenseur pour finir dans ma chambre ensuite. Une fois, deux fois, trois fois. nous avions la nuit devant nous.

L'ascenseur semblait ne pas vouloir se rétablir, c'est pourquoi vos corps commençaient à s'entremêler doucement. Tu ne savais pas par où commencer, mais ce que tu savais c'était que tu avais énormément envie d'elle. La drogue, l'alcool, tout ça ne t'aidait pas des masses. La jeune femme commença à te caresser, ton intimité était entre ses mains, et tu lâchais un léger gémissement. Elle baissa tes sous-vêtement et tu t'empressais de faire de même, descendre le tissu qui la recouvrais en dessous de sa robe pour qu'il tombe à terre. Tu étais chaud, comme la braise, ton coeur, ton souffle, tu ne pouvais plus retarder ce moment. Alors tu t'empressas d'attraper une de ses jambes pour la mettre autour de toi et d'entrer en elle. C'était un instant où ton coeur loupa un battement, tu commençais à l'embrasser dans le cou, à reprendre ton souffle entre deux baisers pour ne pas te retrouver à bout de souffle. Des vas et viens, au début léger et délicat pour ne pas la perturber, pour ne pas lui faire mal et surtout pour faire durer le plaisir un peu plus longtemps. La drogue que tu avais prise avant d'aller dans ce bar faisait clairement son effet, tu étais dans un autre monde, tu profitais encore plus de cet instant avec la jolie rousse.