Don't be jealous. You're the only one.

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Jim&Ingrid

Notre relation allait très bien. On était de plus en plus ensemble et j'étais plus heureuse que jamais. Ont passait du temps un chez l'autre. On aurait presque dit qu'on habitait ensemble, mais dans deux maisons différente. On était aller voir mes parents hier et j'avais remarquer qu'ils avaient changés. Ils ont accepté Jim comme leurs propre fils et je dois avouer que j'étais heureuse. Ils m'avaient un peu manqué. Ils m'ont annoncer qu'ils retournaient habiter en Allemagne avec mon petit frère et qu'il aura toujours une chambre pour moi et Jim. Ça m'avait ému, car enfin, j'avais l'impression d'avoir des parents normaux. Jim et moi étions entrain de préparer le souper. J'allais faire mes célèbres brochette de porc avec du riz et plein de légume. J'aimais beaucoup cuisiner et c'était un bonus quand je pouvais le faire avec mon beau blond. J'étais en pyjama, je venais de passer la journée en pyjama a regarder des films avec lui. C'était le genre de journée repos que j'aimais bien. Je coupais les légumes pendant que Jim s'occuper du porc. C'était une belle journée hein mon amour?,dis-je en lui faisant des yeux doux.

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Ils étaient en train de passer une bonne journée tous les deux. Sa jalousie naissante s'en serait presque envolée. Il ne faisait pas non plus une obsession de cela. Il aimait Ingrid. Mais il se faisait de drôles de scénarios parfois. Il n'avait jamais ressenti cela pour une femme. Il lui avait dit au début de leur relation qu'il n'était pas jaloux. Elle lui avait dit également qu'il pouvait très bien faire des photos à moitié « de charme » avec d'autres femmes s'il avait ce genre de proposition. Oui mais voila. Par moment, un nom d'un certain homme revenait dans une discussion et cela le faisait doucement grincer des dents. Il ne le connaissait pas. Mais il avait entendu des choses sur cet homme. Qu'il était un parfait dragueur, un parfait coureur de jupons. Il s'était douté qu'Ingrid et lui avait une aventure d'un soir. Et si l'histoire s'était arrêté là, Jim lui ne savait que penser. Au fond de lui, il savait qu'Ingrid ne faisait pas de bêtises. Comment aurait-elle pu ? Mais cela l'énervait qu'elle le mentionne ou qu'elle passe un peu de temps avec lui. Sauf qu'aujourd'hui, il n'avait pas du tout penser à cela. Aujourd'hui ils avaient passé une jolie petite journée en amoureux. Ils en étaient arrivés à faire le repas du soir. Ils aimaient bien cuisiner ensemble. Une fois chez lui, une fois chez Ingrid. Ils vivaient à deux, chez tous les deux. Jim sortait la viande du frigo. Sa belle blonde s'occupait quant à elle des légumes. Ils discutaient tout tranquillement et elle lui demanda si lui avait aussi avait passé une belle journée. Il la regarda en souriant. Belle à croquer dans son pyjama. Il avait un peu fait semblant de la gronder car elle ne s'était pas habillée de la journée. Mais comme elle était tout aussi sexy dans cette tenue, il ne lui en tint pas rigueur. Il s'approcha doucement d'elle. Passa dans son dos et fit un doux baiser dans son cou. Sans gestes brusques car elle maniait un couteau. Il ne voulait pas avoir d'un accident ! Oui … Mon … Amour … Il posa gentiment la main sur la sienne pour qu'elle arrête ce qu'elle était en train de faire. Il la regarda dans les yeux en souriant tendrement. Bisous … Il approcha alors doucement de ses lèvres pour un petit baiser. Et il repartit s'occuper de la cuisine où il mit une casserole d'eau à bouillir pour le riz. Je … Etre … Super … Content … Se … Bien … Se … Passer … Hier … Avec … Tes … Parents … Après cette histoire avec Miles, le défunt ex-petit ami d'Ingrid, il avait des doutes sur la gentillesse, voir même « l'humanité » des parents de sa chérie. Je … Hâte … Te … Présenter … Mes … Parents … La … Semaine … Prochaine … Maintenant … Sa maman les avait invité pour manger. Enfin c'était plutôt Jim qui avait poussé sa mère à faire un repas pour leur présenter Ingrid. Ils allaient l'adorer.

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On était bien, là, entrain de cuisiner. Juste nous deux. Josepha n'était pas là, mais si elle aurait été ici, ça ne m'aurait pas déranger, après tout on était chez elle. Je l'aimais bien et je crois que c'était réciproque. Je l'a trouvais si généreuse. En voyant mes parents hier, je me suis remémorer mon enfance et ça m'a fait penser au fait que j'aimerais recommencer à jouer du violon. C'était le seul instrument de musique que je maîtrisais bien. J'ai aimé revoir mes parents hier, ils ont changés. Je te l'avais dis qu'ils t'aimeraient! Dis-je en souriant. Tu dois venir avec moi visité l'Allemagne un jour. Je te montrerai le château de Linderhof, le Deutsches Museum et plein d'autre endroit. Je te monterai également, où j'ai grandis. Les places où j'aimais aller. Je continuas de couper les carottes. Parfois, ça me manque de vivre là-bas. J'aimais ma vie ici, avec Jim. Je ne regrettes rien. Je lui donnas le bisou qu'il réclamait. J'ai hâte aussi de les rencontrer. Par contre, mercredi soir c'est impossible, j'ai un rendez-vous pour aller me faire masser à la clinique de Woody. Il est tellement hautain,dis-je en riant. Il m'a dit qu'il était le meilleur en ville. Je riais. Il était vraiment idiot Woody. Il était comme un grand frère pour moi. Il me faisait rire. Sinon, les autres jours je suis totalement libre pour être avec toi, dis-je en lui faisant un câlin par l'arrière. Je donnas un petit bisou sur son dos. Je l'aimais donc mon beau blond.

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Je … Voir … Ca … Il fit un léger hochement de tête. Comme on disait parfois : « Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis ». Il préférait clairement avoir une bonne relation avec ses beaux-parents plutôt que pas de relation. Ingrid lui parla alors de l'Allemagne. Ils iraient là-bas tous les deux l'un de ces jours. Si la destination ne plaisait sur le papier pas plus que cela au mannequin, il se doutait que pour Ingrid ce sera un retour aux sources des plus agréables. Oui … On … Y … Aller … Un … Jour … … Je … Envie … Voir … Tes … Endroits … Tu … Préférer … Il ne se doutait pas qu'elle était si nostalgique. Franchement, l'Allemagne était peut-être un beau pays mais comparé à l'Australie ?!? Beaucoup moins de soleil, de plage, d'océan, de surf, et des tas d'autres choses qui le faisait adoré son pays. Mais peut-être y'avait-il des traditions, de la nourriture, une mentalité qui manquait à Ingrid. Ah … Bon ? … Si … Tu … Veux … On … Peut … Apporter … Un … Peu … De … Allemagne … Dans … Notre … Vie ?? Il ne savait pas quoi exactement mais proposait simplement l'idée. Ils se firent alors un petit baiser. Parlèrent des parents Jim. Ce sera un joli moment que de leur présenter Ingrid. Oui mais. La suite de la phrase de sa belle blonde lui jeta un petit frisson. Un petit malaise. Encore ce Woody. Encore un rendez-vous avec lui pour un massage. S'il ne remettait pas en doute les maux de dos d'Ingrid, il n'appréciait pas non plus que ce soit cet homme qui masse sa chérie. Cet homme hautain et vantard à entendre Ingrid. Jim n'eut même pas envie de répondre. Il ne chercha pas à la regarder dans les yeux, préférant détourner le regard. A ruminer dans sa tête sa petite rancœur pour ce Woody. D'accord … Il se contenta de ce mot. Tirant à moitié la gueule. Si ce Woody était plus important qu'une première rencontre avec ses parents ! Mais heureusement elle était libre le reste du temps. Qu'elle lui aurait dit qu'elle voyait à nouveau ce « masseur » trois autres jours de la semaine et il aurait vu rouge. Je … Voir … Avec … Maman … Elle donna à son beau blond un peu de tendresse. Il ne fut pas du tout réceptif. Pire, il en vint à renverser un peu d'eau. Pas un drame pour autant. Et ce renversement était autant du au fait qu'il se stressait tout seul qu'au câlin d'Ingrid. Il fit claquer la langue sur son palais pour exprimer son mécontentement. Ingrid ! … Fais … Attention … Il prit alors les bras de sa belle qu'il écarta de lui et prit un essuie-tout pour absorber l'eau. Il poussa alors un bon gros soupir. Quelle belle journée il avait passé jusque là … Jusqu'à l'énonciation du nom de cet homme …

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J'étais heureuse que Jim soit partant pour qu'on prenne l'avion en direction de l'Allemagne un jour. Je ne savais pas pourquoi mon pays d'origine me manquait à ce point là. L'Australie était beaucoup plus beau, plus chaud, mais mon pays avait un charisme qui faisait que j'avais le blues parfois. Ces temps-ci, j'avais changé. Je m'étais rendu compte que j'avais tellement changer de la personne que j'étais ces dernières années, que je voulais me retrouver. Je t'ai dis que j'ai déjà joué du violon? Ds-je en continuant de couper mes légumes. Ça me manque, je devrais recommencer. Quand je dis à Jim que je m'ennuyais de l'Allemagne, il sembla surpris, mais ça proposition après était très mignonne. Oui! C'est vrai! Je pourrais emprunter le livre de recette typique et une fois par semaine faire un met spécial de là-bas? Dis-je avec le sourire. C'est ce que j'aimais chez Jim. Il avait toujours un moyen de faire revenir mon sourire. J'avais hâte de rencontrer ses parents. Par contre, ça ne devait pas être mercredi, car j'avais rendez-vous avec Woody pour un massage. Je m'étais rapprocher de lui ces temps-ci. Il était rendu comme un frère pour moi. Je mentionna à Jim que ça ne devait pas être mercredi. Parfait! Dis-je heureuse. Je décidas d'aller me coller à Jim par en arrière, comme il aimait. Je lui fis faire un petit dégât et il me gronda. C'est seulement un peu d'eau Jim, panique pas,dis-je en riant. Je comprenais pas pourquoi tout à coup, il était fâché. Hey je trouve que Woody a l'air de caché un truc, mais je sais pas c'est quoi. Je lui ai dis qu'un jour il allait tomber en amour et il m'a dit qu'il aimait sa vie de célibataire, mais il avait pas l'air convaincu, tu vois?

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Ingrid ? Jouer du violon ? C'était la première fois qu'il entendait cela. Ah ? … Non … Tu … Jamais … Me … Dire … Décidément. Quels autres talents cachés possédait-elle encore ? Le violon était un instrument difficile à manier. Jim se demanda si sa belle serait toujours en mesure d'en jouer après tant de temps sans s’entraîner. Même s'il ne savait pas combien de temps exactement. Oh … Oui ! … Tu … Pouvoir … Aller … Ecole … Musique … Pour … Te … Entraîner … Il n'avait jamais été un grand fana de musique mais il ferait l'effort pour écouter jouer sa belle blonde. Peut-être pourrait-il même pousser une petite chansonnette. Même si l'air du violon se suffisait à lui même et qu'il n'y avait pas besoin de voix pour l'accompagner. Ils continuèrent tranquillement à faire la cuisine. A discuter. De tout, de rien. De l'Allemagne. Du fait que son pays lui manquait à son allemande. Alors forcément il proposa d'amener un peu de son pays dans leur quotidien. De quelconque manière que ce soit. Oui … Par … Exemple ! … Ce … Etre … Une … Bonne … Idée ! Comme ils aimaient tous les deux cuisiner ! Et puis Jim était toujours friand de découvrir de nouvelles saveurs. C'était donc décidé ! Et un jour ils partiraient faire un petit voyage dans le pays natal d'Ingrid. Découvrir ou redécouvrir les endroits qu'elle appréciait. Mais d'abord, il fallait rendre visite aux parents de Jim. Ingrid deviendrait alors la première femme qu'il présenterait sérieusement à sa mère et son père. Ils avaient déjà rencontré des petites amies « de passage » de leur fils. Ils acceptaient tant bien que mal son ancien côté dragueur. Même s'ils ont toujours rêvés de voir leur fils se poser avec une femme. L'ambiance devint alors un soupçon plus tendue. Tout ça à cause d'un prénom. Qu'Ingrid n'était pas là du mercredi n'était pas un drame. Le drame était qu'elle devait se rendre chez ce Woody … Alors il fit un peu la gueule. Et pesta gentiment lorsqu'Ingrid lui fit renverser de l'eau. Evidemment ce n'était que de l'eau … Je … Sais … Merci … Il n'était pas des plus agréables. Après si une belle journée passée ensemble, voila qu'il allait la gâcher. Et comme si cela ne suffisait pas, voila qu'elle continuait à parler de lui ! Et ça confirmait ses soupçons ! Cet homme célibataire sans scrupules qui devait même charmer les femmes en couple ! Jim prit alors un air pas très gentil envers cet homme qu'il ne connaissait pas. Peut-être … S'il … Commencer … Arrêter … Tourner … Autour … Femme … Prise … Ce … Etre … Bien … Pour … Lui ! … Et bim ! Il allait en prendre pour son grade ce soir si Ingrid insistait sur ce sujet de discussion. Je … Pas … Savoir … Quel … Plaisir … Il … Avoir … Faire … Ca !

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Jim avait l'air surprit quand je lui appris que j'avais déjà jouée du violon. Et oui, dis-je en souriant. J'étais la meilleure,dis-je sur un air vantard. Je ris toute suite après, pour que Jim remarque que c'était une blague. Tu vas devoir endurer ma musique classique, dis-je avec un clin d'oeil. Je savais que Jim n'aimait pas beaucoup la musique, mais je savais également qu'il allait fais un effort pour moi. Il était comme ça mon beau blond. Quand je lui parlas de mon blues pour l'Allemagne, il avait déjà une idée. Je pensas toute suite au livre de recette traditionnel de ma mère. Je lui soumis l'idée et il avait l'air enchanté. J'étais heureuse. Un jour, on allait aller ensemble en Allemagne. J'étais sûr qu'il allait tomber en amour avec le pays. Même s'il adorait l'Australie. J'avais hâte de rencontrer ses parents et Jim avait l'air d'avoir autant hâte que moi. Quand je parlas de Woody, je remarquas que Jim avait changer de ton, mais je croyais que mon câlin l'avait un peu fâché, puisqu'il avait renverser de l'eau par terre. Je ne comprenais pas pourquoi, tout à coup, il me grondait pour une si petite chose. Je retournas à mes légumes, en levant les yeux au ciel. Monsieur était susceptible tout à coup. Je lui avouas trouver Woody cachotier. Je savais qu'il me cachait un truc, mais je savais pas quoi. Quand Jim me répondit, sur un ton assez haineux, je me retournas en lui faisant des gros yeux. Hey, tu ne le connais même pas. Il fait pas du tout ça. Il est seulement charmeur, c'est dans sa nature. Ne le juge pas, pas devant moi, dis-je en prenant sa défense. Quel mouche l'avait piqué lui tout à coup?

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Ah … Oui ? … Et bien vraiment, sa belle blonde le surprendrait toujours. Elle ? Jouant parfaitement – ou presque – du violon. Il avait hâte de voir ça. D'entendre surtout. Mais elle plaisantait. Alors il fit un petit « non » de la tête signifiant « t'es pas possible ». Lui ne savait jouer d'aucun instrument. Et à vrai dire il n'avait jamais été tenté par faire de la musique. Il n'en écoutait que très rarement. Bien qu'en ce moment il allait voir Isaiah et sa bande de temps en temps pour s'entrainer à la chanson. Le seul moment où il pouvait parler convenablement. Et s'il n'était pas grand fana de musique classique, il écouterait Ingrid avec plaisir. Mais … Pas … Du tout ! Les discussion étaient légères. Tantôt rigolote. Tantôt plutôt sérieuse. Un brin de nostalgie. Et l'idée d'aller faire un petit voyage en Allemagne un de ces quatre. Jusqu'à ce que, patatra, le nom de Woody soit mentionné. Alors que tout se passait si bien. Jim fit alors une petite moue. Répondant à Ingrid moins agréablement qu'il le faisait de manière générale. Et continuant de s'énerver car sa belle insistait sur le sujet. Ne voyait-elle pas que cela énervait son beau blond. Woody, Woody, toujours ce Woody. En plus qu'il était question de massage … Que l'homme était un dragueur qui ne s'attachait à personne. Il devait bien s'en foutre de briser des couples tiens ! Alors oui il se montra dur envers cet homme. Et Ingrid eut alors le culot de le défendre ! Quel toupet. Puisque c'était dans sa nature alors aucun problème !!! Pas de quoi être jaloux du tout !!! Il fallait le laisser draguer sa belle et puis voila !!! Les derniers mots mirent un peu plus le feu aux poudres. Comment ça pas devant elle ? Paardon ?? … Tu … Tu … Tu … Aller … Te … Faire … Masser … Par … Lui … Et … Et … Tout … Et … Tu … Me … Dire … Il … Il … Te … Draguer … Et … Je … Je … Devoir … Rien … Dire ? … Il en perdait un peu ses mots. Lorsqu'il était énervé, il avait un peu plus de mal à parler. Tu … Avoir … Raison … Je … Je … Pas … Le … Le … Connaitre … Et … Ce … Pour … Ca … Je … Pas … Aimer … Ce … Comportement … Et puis, un truc vint bêtement à la tête de Jim. Il … Savoir … Tu … Tu … Etre … Avec … Moi … Au … Moins ? Pour l'instant, il restait encore « relativement calme ». Mais une phrase de travers et les mots pourraient devenir un peu moins sympathiques. En espérant que, l'un comme l'autre, ne diraient pas des choses qu'ils regretteraient par la suite.

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Après avoir pris la décision de me remettre au violon et d'introduire plusieurs aspect de l'Allemagne dans notre vie, Jim changea. Je ne comprenais plus. Il avait changer en deux secondes, comme si un truc l'avais fâché, mais je ne savais pas quoi. Ça ne pouvait pas être le fait que je parlais d'Allemagne, puisqu'il avait l'air autant ravis que moi à l'idée d'aller visiter mon pays. Je ne pouvais pas croire que c'était parce que je parlais de Woody. Me faisait-il pas confiance? Je chassas cette pensée de ma tête. L'épisode de l'eau par terre, était un rien, mais il m'avait grondé comme si j'avais cassé le pot préférer de Josepha. Une partie de moi trouvait sa réaction ridicule et l'autre se sentait mal. Tout ce que je voulais c'était donner un peu d'amour à mon beau blond. Je retournas donc à mes légumes. J'expliquas ma curiosité par rapport à Woody à Jim. Encore une fois, il réagit d'une manière bizarre. Il alla jusqu'à dire que Woody tournait autours des femmes prise, tandis qu'il ne faisais pas du tout ça. Certes, son comportement pouvait porter à confusion, mais quand on le connaissait bien, on savait que c'était que du jeu. J'interdis Jim alors de parler de Woody comme ça devant moi, car je trouvais que ça ne se faisait pas. Il éclata. Attend, un peu!,dis-je en haussant le ton comme il faisait. Je n'ai JAMAIS dis qu'il me draguait. C'est toi dans ta tête qui pense ça! Dis-je fâché qu'il invente des trucs comme ça. Il était donc jaloux de Woody. Je ne comprenais pas, il avait tellement rien à envier de cet homme. Quand il me demanda si Woody savait que je sortais avec lui, je devins rouge de colère QUOI? tu pense que je ne lui aurais pas dis! Tu me fais donc pas confiance? Je marquas une pause et retournas à mes légumes. les coupants un peu plus rapidement et avec rage. Tu crois vraiment que je te trompe Jim? Tu crois vraiment que je te ferais une chose pareille?

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Une si belle soirée s'annonçait mais Jim en avait décidé autrement. Peut-être qu'il était cette fois déterminé à crever l'abcès. A dire à Ingrid qu'il n'appréciait guère qu'elle voit et parle autant de ce Woody. Même s'il en rajoutait beaucoup. Et qu'Ingid jamais le nom de l'homme à tort et à travers. Et doucement il commençait à s'énerver. Restant tout de même poli. Ce type ne lui plaisait pas du tout. S'il le croisait, il aurait d'ailleurs deux mots à lui dire. Bien évidemment Ingrid ne garda pas son calme non plus. Jim fit « non » de la tête. Elle avait bien dit qu'il lui tournait autours non ? Qu'il roulait des mécaniques en prétendant être le meilleur coup que sa belle blonde n'avait jamais eu. Ou … Ou … Peut-être … Ce … Toi … Qui … Pas … V … Voir … Que … Il … Te … Drague … Oui ! Après tout, elle était en couple et elle pensait à son beau blond, elle ne voyait peut-être pas le mal dans le comportement de Woody. Si mal il y avait … Alors oui il demanda si elle lui avait déjà parlé de son beau blond. Ce qui serait probablement encore pire vu qu'il draguerait les femmes en couple ce Woody. La discussion s'envenima. Tourna en engueulade. Lui faisait-il confiance à sa belle ? Bien sûr que oui. Il tenta de reprendre un semblant de calme. Bien que … Ce … Lui … Je … Pas … Faire … Confiance … … Peut-être … Ce … Etre … Un … Jeu … Il … Te … Draguer … Mais … Ce … Pas … Me … Faire … Rire ! … Ce … Pas … Te … Faire … Non … Plus … … Normalement … Il insista un peu trop sur ce dernier mot. Car Ingrid semblait toujours un peu s'amuser de cette situation. Quand on était du « bon côté », celui qui se faisait draguer, on ne pouvait pas trop comprendre ce que ressentait l'autre. Et maintenant, Ingrid posait encore mieux les mots. Croyait-il vraiment qu'elle le trompait ? Si l'idée lui avait à moitié effleurer l'esprit, il savait que non. Qu'elle n'avait jamais rien fait. La jalousie n'en demeurait pas moindre. Ce … Pas … Toi … Je … Je … Pas … Faire … Con-fi-ance … Je … Te … Dire … … Je … Pas … Croire … Tu … Me … Trompe … Mais … Je … Pas … Aimer … Manière … Tu … Parle … De … De … Lui … … Je … Te … Dire … Des … Des … Trucs … Comme … « Oh … Machin … Me … Dire … Je … Etre … Très … Beau … Aujourd’hui » … Moi ? « Ancienne … Conquête … Me … Demander … Lui … Dire … Elle … Etre … La … Plus … Incroyable … Femme … Ah ah ah ah » … ? Hein … ? Il avait peut-être un peu forcé sur l'imitation du rire d'Ingrid. Il ne faisait pas grand-chose pour arranger son cas. Et la dispute pouvait continuer de plus belle.

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Il commençait à me faire pomper. Je devais garder mon calme mais ça me fâche quand on accuse les gens pour des choses qu'il ne font pas. Je crois que je m'en rendrais compte si c'était le cas Jim. Je suis pas tarte! Mais il me prenait pour qui? Est-ce qu'il croyait que je cherchais à me faire draguer, si c'était le cas, par Woody? Même s'il me drague? ça fais quoi? Je vais le virer de bord et ça fini la. Je te gage que tu me fais pas confiance? C'était quoi son problème? Il voulait insinuer quoi par moi non plus. Ça me faisait pas rire. C'était loin de ça. J'allais éclater dans deux secondes s'il continuait comme ça. Il pensait vraiment que je le trompais? Que je serais assez conne pour faire ça? Putain qu'elle mouche l'avait piqué lui? J'AI JAMAIS DIS QU'IL ME DISAIT QUE J'ÉTAIS BELLE? Jim, je comprend pas du tout. Je le regardais sérieusement. Tu me fais vraiment confiance. Wow! J'était insulté. Je poussas un rire sarcastique quand il me mit à sa place. Jim, tu as posé avec la meuf là, je t'ai pas fais une petite crise de jalousie. Même si tu m'avais dis qu'elle te faisais des avances, je m'en fou. je te fais CONFIANCE! Ça l'air d'être un mots que tu ne comprend pas. Ouf, j'y étais aller fort. Je commençais à dire des choses que je pensais pas. Il fallait que je me calme. Quand il osa m'imiter. J'éclatas. C'était un manque de respect. Je vais mettre les points sur les i Jim Matthews. J'ai couché avec Woody et oui, ce fut une nuit géniale! J'ai clairement pris mon pied. MAIS C'ÉTAIT AVANT DE TE RENCONTRER. Et depuis sais tu quoi? JE NE COUCHE AVEC AUCUN AUTRE HOMME À PART TOI, parce que JE NE SENS PAS LE BESOIN D'ALLER COUCHER À GAUCHE ET À DROITE MAINTENANT! Il y a que toi dans ma tête! Tu comble mes pensée. Quand je me réveille je pense à toi et quand je me couche le soir je pense à toi. Je t'aime Jim d'un amour que je pensais plus jamais ressentir de toute ma vie. Tu iras voir Woody et tu lui demanderas comment je parle de toi. Tu lui demanderas de te dire ce que je dis sur toi à lui. Pendant ce temps là, moi je te laisse ici, avec tes légumes. Débrouille toi seul. Je déposas le couteau sur la planche, pris mes choses et partit. Je claquas la porte derrière moi, puis me mis à pleurer. Comment pouvait-il croire ça. Je m'arrêtas en milieu de l'escalier. Je ne pouvais pas partir comme ça. Je l'aimais trop. J'aimais trop mon beau blond pour le laisser comme ça. Je viras de bord. J'ouvris la porte et la claquas une fois de plus. Je me rendis dans la cuisine et regardas Jim les yeux pleins d'eau. Putain que je t'aime, dis-je avant de courir et sauter dans ses bras pour l'embrasser fougueusement.

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Peut-être s'en rendait-elle compte que Woody la draguait mais qu'elle ne faisait rien pour l'en empêcher. Peut-être aimait-elle gentiment cela ? Jim ne savait plus quoi penser de toute cette situation. « Même s'il me drague ». Qu'entendait-elle par là ? Ne voyait-elle pas que cela puisse énerver son beau blond ?? Surtout si ce Woody n'arrêtait âs de le faire sans arrêt ?? Ce … Pas … Toi … Je … Pas … Fai … Faire … Confiance … Je … Je … Te … Dire … Qu'elle était bornée ! Et oui il s'en rappelait. Il ne savait plus exactement comment cela était venu mais il se rappelait qu'elle lui avait dit que Woody l'avait trouvé bien charmante, ou alors il s'était inventé cette phrase tout seul … Et voila qu'elle parlait encore de confiance … Oh … Tu … Rien … Comp … Comprendre … Ce … Que … Je … Dire … Et évidemment, sa belle blonde prit la comparaison avec son métier, le fait qu'il pouvait poser avec une femme dans des tenues légères. Mais les situations étaient totalement différente. Pour Jim, elle essayait là de s'inventer des excuses, essayer de trouver un argument en sa faveur mais cela ne marchait pas. Ce … Rien … A … Voir ! … Je … Pas … Continuer … Voir … Cette … Cette … Femme … Et … Parler … De … De … Elle ! … Je … Je … Me … Rappeler … Même … Plus … Son … Nom ! …Et … Si … Je … Comprendre ! … Ce … Toi … Qui … Pas … ME … Comprendre … Ma … Place ! Et pour qu'elle comprenne un peu mieux, il imita Ingrid. Des mots assez puérils, plutôt blessant surtout. La réaction ne se fit pas attendre. La colère de sa belle explosa un peu plus. « Une nuit géniale où elle avait pris son pied ». Il la regardait droit dans les yeux. Mais depuis qu'ils étaient ensemble tous les deux, il n'y avait eu aucune infidélité, ce qu'il ne remettait pas vraiment en cause. Et alors qu'il s'attendait à encore plus d'engueulade, la voila qui faisait une déclaration d'amour. Jim se taisa et assimila chacun des mots qu'elle prononçait. Sa colère n'en disparaissait pour autant mais oui il était touché. Déçu de lui-même de réagir comme ça. Il allait prendre la parole lorsqu'elle quitta la pièce. Le laissant seul avec sa stupidité. Car à ce moment là, il se sentait vraiment très con. Il avait fait beaucoup de mal à sa belle et ne s'en rendait compte que maintenant. Il resta planté là. Ne sachant que faire. Le message avait été clair, inutile de venir pleurer auprès de sa belle blonde. Il posa les mains sur le plan de travail. Ranger la nourriture, voila ce qu'il allait faire. Tout cela lui avait clairement coupé l'appétit. Il entendit alors la porte s'ouvrir de nouveau et se retourna. Qu'avait-elle encore à dire maintenant ? Les mots d'Ingrid lui emplit le coeur. Il la réceptionna dans ses bras et la serra tout contre lui. Lui rendit toute la fougue dans son baiser. Avant de bécoter son cou passionnément. Pardon … Il avança de deux trois pas et la plaqua contre une armoire. Un bras sous ses fesses pour la maintenir à sa hauteur. Leurs baisers devenant plus sauvages. A peine le temps de dire Je … T'aime … qu'ils s'embrassèrent encore et encore. Il la porta, écarta tout le barda sur le plan de travail d'une main et posa sa belle blonde. Avant de repartir embrasser son cou. Une main passant sous son haut de pyjama et caressant la peau chaude de sa belle. Les disputes n'avaient pas que des mauvais côtés …

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Je venais de quitter la maison de Jim. J'étais fâché et déçu. Je pleurais. Je me suis arrêté deux seconde en plein milieu des marche et j'ai réfléchis. Je ne pouvais pas détruire tout ce que l'on avait bâti ensemble pour un homme qui n'était qu'un ami. J'ai retourner dans la maison et je me suis dirigée vers la cuisine. J'ai regarder Jim dans les yeux et je lui ai dis que je l'aimais. J'ai couru et j'ai sauté dans ses bras. On c'est embrasser, passionnément, fougueusement. Comme c'était bon de sentir ses lèvre sur les miennes. J'arrêtas et le regardas dans les yeux. Je l'aimais aussi. Je l'aimais tellement. Moi aussi, tellement, dis-je avant de reprendre mes baiser. Mes mains se baladaient dans son dos et allait caresser ses cheveux. J'arrachas la chemise qu'il avait sur le dos et alla bécoter son torse tout en remontant vers son cou, puis ses lèvres. Je débarquas du comptoir pour entrainer mon beau blond vers la chambre. J'enlevas mon haut, puis plaqua mon beau blond contre la porte. Je l'embrassait sauvagement et tendrement à la fois. Je caressas ses flancs, puis dirigea mes mains vers ses fesses. Embrasse moi, fais tout ce que tu veux de moi Jim. Je suis à toi.

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La colère avait laissé place à la honte. Il faisait moins le fier maintenant le beau blond. Tout seul dans sa cuisine. Ingrid avait « fuit » la conversation. Ils n'avaient même pas eu le temps de vraiment s'expliquer. Il s'était sans doute un peu moqué d'elle. Chose qu'il n'aurait clairement pas du faire. Mais il était énervé et ne savait plus ce qu'il disait. Il était honteux mais en même temps il avait comme ce sentiment d'avoir raison. Sentiment renforcé par le fait qu'Ingrid était bien vite partie. Pour encore plus vite revenir. Elle passa la porte, les yeux en larmes. Son coeur ne fit qu'un bond dans sa poitrine. Il oublia toute cette pseudo-colère, cette frustration, ces mots malheureux qu'il avait eu à son égard. La belle allemande se jeta dans les bras de son beau blond et après un premier baiser, tout s'accéléra. Des excuses, des baisers, des « je t'aime ». Des mains baladeuses. Encore plus de baiser. Un déferlement de passion, de caresses. D'un geste elle lui arracha son haut et cela le fit vibrer. Il la laissa d'abord lui embrasser le torse avant de cueillir ses lèvres encore et encore. Les lui mordillant doucement. Grognant presque de plaisir alors que ses mains pétrissaient les formes de sa belle. Oui leurs ébats allaient être chauds, très chauds. Elle le repoussa, ôta son pyjama. Jim se laissa faire, son dos venant claquer contre la porte de la chambre. Il l'embrassa comme elle lui demandait. Lui aussi avait envie d'elle. Avait envie de satisfaire toutes ses envies. Il la repoussa sur le lit. Un peu plus farouchement que d'ordinaire. Il enleva son propre pantalon, dévorant du regard sa belle. Avant de lui arracher le sien d'un geste fou. Les sous-vêtements prirent le même chemin et ils se donnèrent l'un à l'autre pour un échange torride. Baisers, caresses, va-et-vient, mordillements, mot doux, mot chauds, gémissements. Elle sur lui ou lui sur elle. Jim répéta plusieurs fois le nom d'Ingrid. A quel point elle était belle. A quel point lui faire l'amour était bon. Lui disant par moment de continuer, d'accélérer le rythme de son bassin. Jusqu'à ce qu'il se retrouve assis, sa belle sur lui. Il remua le bassin et accompagna les coups de reins de sa belle de ses mains. Les accentua même. Il partit bécoter son cou. Plus … Fort … Mon … Coeur … Lui -même voulait intensifier le rythme, voulait entendre leur peau claquer l'une sur l'autre. Il était proche du plaisir après ces minutes complètement folles. Encore … Il posa le front contre le sien, dévorant son regard des yeux, son souffle chaud sur les lèvres de sa belle. Il adorait cette folie, cette passion, cette presque frénésie. Si les engueulades menaient toujours à ce genre d'ébats, il s'engueulerait bien plus souvent avec sa belle blonde …

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❝Don't be jealous. You're the only one.❞
Jim&Ingrid

Ce fut pas long qu'on était réconcilier. Baiser par dessus baiser. Des Je t'aime ici et là. J'arrachas la chemise qu'il avait sur le dos. Après quelques seconde, on se retrouvas les deux, nus. Il n'y avait vraiment pas que du négatif dans les chicanes. Comme à l'habitude c'était très chaud. Il me répétait d'accélérer et de continuer. Ce que je faisais avec plaisir. J'étais proche du plaisir. Je continuas de l'embrasser avec passion, laissant mes mains parcourir son dos et m'agrippant à celui-ci. Oh Jim..continue. Je gémis de plus en plus et ma respiration accéléra. J'étais sur le point d'atteindre la septième ciel. Ce fut entre deux gémissement que je l'atteignis. Je retombas sur Jim en souriant. Je bécotas son cou et ses lèvres. Je t'aime tellement, je veux plus jamais me chicaner avec toi, dis-je encore essoufflé.

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