what is youre problem ? + perry peach

Tout souriant, derrière le bar Ernesto n'en finissait pas de servir les clients, il adorait certes mais c'était tout de même difficile à gérer, surtout que ce soir ils n'étaient que deux contre... beaucoup de clients. Cependant le jeune italien ne se décourageait pas bien au contraire il était toujours là pour tenter de rester le plus sociable possible et il l'était, surtout avec la gente féminine. Le patron de la boite de nuit, passa derrière le comptoir posa une main sur l'épaule d'Ernesto lui disant de prendre sa pause maintenant il avait vingt minutes. Pour lui prendre une pause signifiait prendre l'air, fumer deux/trois cigarettes et parler aux clientes dehors afin de peut-être en emmener une dans son lit, tout était toujours parfaitement planifié. Lorsqu'il mit enfin le nez dehors le barman lâcha un sourire, puis sortit son paquet de cigarette de son paquet afin de s'en griller une. Il s'adossa sur le mur, scrutant les horizons à la recherche de sa prochaine cible. Il y avait quelques personnes dehors, puis il n'eut pas le temps de se diriger vers elles que son portable sonna, c'était sa colocataire.. « Quoi ? .... Non je finis tard... Je sais pas.. Nan roh... Bon je te laisse je veux profiter de ma pause pfff... Ouais c'est ça... M'en fou mademoiselle Charlie Chapman. » Il lui raccrocha au nez, se rendant pas vraiment compte qu'il avait hurlé ces derniers mots, tant il l'adorait, tant des fois elle l'énervait !  

Ce soir j’avais décidé de sortir à la boite de nuit qui était près de la plage. En général, y’a une bonne ambiance là-bas, c’était assez cool. J’allais vers le bar pour commander un mojito, comme d’habitude. Je commande toujours des mojitos, j’adore ça. Mais bon, faut pas que j’en boive trop sinon je suis vite hs et ça c’est pas cool. Bref, je regarde un peu autour de moi. Il faut que je trouve quelqu’un à draguer. Oui c’est limite vital pour moi. Finalement, je tombe sur le serveur qui est sacrément bien foutu. Mais qu’est-ce qu’il fout, il se casse ? Je le suis jusque dehors. Ok, il va fumer sa clope. J’suis pas trop fan de la cigarette, mais bon en soirée il m’arrive des fois d’en griller une, histoire de. Il est téléphone avec quelqu’un. Et finit limite en gueulant Charlie Chapman. Au putain Charlie ! Genre ma femme ?! Ouais ça m’éclate de penser ça, on est marié mais bon, c’est juste parce que le maire se sentait plus quoi. Je m’approche de lui en mode dragueur qui rode. Je sors une cigarette de ma poche, j’ai toujours un paquet sur moi. « t’as pas du feu s’te plait ? » demandais-je simplement avant d’ajouter. « comme ça tu connais Charlie ? »

Ernesto venait de raccrocher au nez de sa colocataire, cette dernière demandait de ses nouvelles, à croire qu'elle s'en souciait vraiment. Il savait parfaitement que le vrai fond de son appel était qu'elle s'ennuyait et voulait de la compagnie sauf que lui ne restait pas à rien faire. Bon en l’occurrence là si mais bon, il avait droit à un peu de répit quand même. A peine eut-il rangé son téléphone dans sa poche qu'un homme vint à sa rencontre afin de lui demander du feu. Il sortit son briquet de sa poche et le lui tendit dans un petit sourire. Puis quand il rangea le briquet, il fut surpris de la question du jeune homme. Il avait donc écouté sa conversation, mmmh pas très bien ça. Ernesto eut un petit rire et lui répondit « Bien sûr que je la connais, je vis avec elle. Mais tu sais c'est pas très honnête d'écouter la conversation des gens. » Il ria un peu plus, et ajouta tout en crachant la fumée après avoir prit une latte « Et toi, tu la connais aussi visiblement. » Peut-être qu'en disant cette phrase l'homme qui était venu à sa rencontre allé lui dire d'où il la connaissait, le Dolce voulait savoir, la vie de sa très chère colocataire était toujours passionnante pour lui, surtout vue par d'autres personnes.

Il connaît Charlie. Il vit avec elle. Wait ! C’est son copain ?! Nan parce qu’elle m’avait dit qu’elle était célibataire, je vais pas coucher avec les copines des autres, c’est pas mon genre. J’arrive un minimum à me retenir. « c’est ta copine ? » demandais-je un peu soupçonneux. Oui c’est vrai, ce n’est pas bien d’écouter les conversation des autres, mais bon, j’y peux rien, j’suis du genre assez curieux. Je recrachais la fumée qui s’était tapée l’incruste dans mes poumons avant de lui répondre « oui, mais bon, vu comment t’as gueulé, tout Bowen doit avoir entendu. » oui, pour ma défense, il a pas franchement été discret sur ce coup là. Enfin bref, je vais pas me laisser démonter, il est ma proie ce soir. Il me demande ensuite si je la connais. Bon alors, si c’est son copain on va éviter de dire que je suis marié avec, ça passerait sûrement pas très bien, alors on va cacher ce petit détail. « ouais. J’suis le meilleur coup de sa vie. Si des fois tu l’entends gémir la nuit c’est parce qu’elle pense à moi. » mes chevilles vont bien, ok ?! Mais c’est vrai, je suis un bon coup et elle aussi est un bon coup d’ailleurs.

« Naan c'est ma fiancée, on se marie bientôt. » Il marqua une pause d'une fraction de secondes à peine voyant la tête du jeune homme face à lui. « Non je plaisante. Plus sérieusement, c'est ma colocataire. » Il lui fit un petit clin d'oeil, et haussa des épaules, l'air pensif suite aux paroles de blondinet, il ne savait pas quoi lui répondre, surtout que oui Ernesto était conscient qu'il avait crié, hurlé même le nom de sa colocataire. Cependant il lui répondit, de manière neutre, assez gêné tout de même de se rendre compte de son erreur « Ouais t'as pas tord, mais si tu comprendrais pourquoi j'ai gueulé je n'aurais pas tord. » Il passa une main habile dans ses cheveux et demanda à son tour une explication quant au fait que l'homme face à lui connaissait aussi Charlie, par contre sa réponse fut..imprévisible. C'était donc une des conquêtes de Charlie...l'italien arqua un sourcil et dit tentant de prendre le même ton qu'il avait employé « Le meilleur t'es sûr ? Parce que c'est pas ce qu'elle me dit, je la vois encore me dire que je suis sa plus belle rencontre sexuelle. Haha et durant vos ébats, elle ne crierait pas " Ernesto " par hasard ? Car c'est mon prénom tu vois et ça serait pas anodin qu'elle hurle ça tellement elle pense à moi. » Fier de sa réplique, il tapota sur sa cigarette pour faire tomber les cendres et la mit de nouveau à sa bouche, l'air satisfait.

Il a failli me faire flipper en disant qu’il allait bientôt se marier avec. Bon heureusement c’est juste son coloc’. En même temps, pour être honnête, je voyais pas du tout Charlie avoir un copain, ou alors elle est vachement ouverte et pas très fidèle si elle est en couple. Enfin bon, bref. Oui je suis sur que je suis le meilleur coup de Charlie. La dessus y’a pas de doute, en plus j’étais aussi son premier. C’est vrai, il y a quelques années, elle était au Texas, on s’est rencontré là-bas, on a couché ensemble et voilà. Franchement, elle a quand même eu la meilleure première fois de l’univers, elle est tombée sur moi. Elle s’est pas fait n’importe qui non plus. Bon, aussi, à l’époque j’étais peut être pas autant un expert que maintenant, mais quand même, je savais y faire, faut pas me prendre pour n’importe qui. Le mec il pense que c’est lui son meilleur coup, ha ha ! C’est pas possible, c’est moi, on ne peut pas me faire de la concurrence. « nan par contre elle en a parlé après en disant que t’étais loin derrière moi. » c’est moi son meilleur coup, ok ?! Je me rapproche un peu de lui avant de dire « si t’es un si bon coup que ça, prouves-le, couche avec moi ! » au moins j’suis direct, mais bon, ça paye en général, on verra bien.

Ernesto aimait bien faire des blagues, il adorait même et il avait clairement vu à la tête de l'homme qui était venu l'accoster que ça l'avait un peu beaucoup dérangé qu'il puisse être fiancé à Charlie, elle avait des admirateurs la p'tite dame tiens donc. Les deux hommes avaient donc commencé à parler sur les ébats sexuels que Charlie pouvait entretenir avec eux, une sorte de petite guerre pour savoir qui serait le meilleur. Et Ernesto était très fort à ce jeu et le fait que sa colocataire et put dire qu'il était loin derrière l'homme face à lui, il n'y croyait pas un seul mot. Il ria légèrement et lui dit « Mensonge. » Il avait très fortement accentué le mot, pour oui apeuré le blondinet, même s'il savait parfaitement que c'était peine perdue était donné que vu sa tête de bisounours le Dolce ne faisait pas peur du tout aux autres bien au contraire. Là il s'étouffa presque avec sa fumée en vue de la phrase qu'il lui dit, il était gay ? Il écarquilla les yeux, puis se reprit et tenta de prendre un ton vraiment très ironique « Oui bien sûr que je vais coucher avec toi, je te prends derrière le bar. Après je t'emmène dans les toilettes, ensuite on fait ça ici et je t'invite chez moi, tu verras Charlie, on fera une partouze party !! Pfff... » Il écrasa sa cigarette par terre et mit les mains dans ses poches et le coupa net « Avant que tu ne te fasses je ne sais quel film, je plaisantais. »

Le jeune homme ne pensait pas que Perry puisse être un meilleur coup que lui. Mais aucun ne voulait lâcher le morceau, sans doute leur fierté de mâle et leur léger machisme. C’est tout de même un peu gamin de se battre pour savoir qui est un meilleur coup. Mais comme une des devises de Perry est « faites l’amour pas la guerre », il proposa ouvertement à interlocuteur de coucher avec lui pour les départager. Il lui répondit de façon ironique qu’il acceptait de coucher avec lui, puis de faire un plan à trois avec Charlie. Perry ne put s’empêcher de faire un sourire pervers. Il était carrément partant même s’il trouvait ça un peu suspect d’être aussi enthousiaste. Il ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais il fut coupé par l’amant de Charlie qui lui dit qu’il plaisantait. Perry écrasa à son tour sa cigarette avant de dire « merde, j’aurais pas dit non ! » bon il savait que c’était en parti foutu pour lui, mais un Peach n’abandonne jamais. Il décide alors de jouer sa dernière carte. « au fait, j’suis le mari de Charlie, donc je vais devoir te casser les dents pour t’être fait ma femme. » il sait bien faire le mari jaloux, bien qu’il vienne de lui proposer de coucher avec lui il y a trente secondes. Seulement, Perry ne se bat jamais, il est plutôt du genre à fuir quand un grand mec baraqué s’approche de lui. Alors il espère que le jeune homme ne prendra pas cette phrase comme un affront et ne va pas le taper.

Si bien sûr qu'il le pensait, puisque c'était la vérité. Ernesto était le meilleur dans tout ce qu'il entreprenait et ce n'était certainement pas quelqu'un qui allait lui faire une leçon de morale. Et surtout que oui niveau maturité se disputer pour ça c'était pas très glorieux et pourtant il le faisait quand même, question de machisme et de fierté très certainement. Le Dolce fut genre choqué par les avances du jeune homme, surtout qu'on ne proposait pas ça comme ça et puis il ne connaissait même pas son prénom bon ça faisait même pas cinq minutes qu'ils se parlaient mais quand même il y avait des limites. Bon du coup, il répondit ironiquement, il y avait de la moquerie dans l'air aussi d'ailleurs.. Ernesto haussa des épaules et dit « Perso' j'ai jamais tenté le même sexe, et je pense que c'est pas demain la veille que ça va changer. » Au moins il était honnête, mais après mûres réflexions le blondinet se disait que oui, un jour il essayerait. Il sortit de ses pensées entendant que Charlie était la femme de l'homme face à lui. C'était quoi l'embrouille là au juste ? « Casse moi les dents vas-y mais avant je te castre ! Non si je te touche le zoub ça va te plaire.. Alors si tu me casses les dents je te casse toi tout simplement. Le pire c'est que tu crois que je vais croire à un truc pareil.. Si Charlie est ta femme. La mienne c'est Jessica Alba » Oui bon cette femme fut la première qui lui passait par la tête et elle était franchement belle, il se souvenait encore de son rôle dans les quatre fantastiques, la femme invisible... Bref revenons à nous moutons, le barman fusilla du regard l'homme qui venait de le menacer, il ne lui faisait pas du tout peur !

Il n’était pas gay, mais Perry pourrait peut être le convaincre de découvrir de nouvelles choses, il est très convaincant comme type. Quoique là, apparemment ça semblait quand même très mal parti, mais un Peach ne s’avoue jamais vaincu ! et puis aussi, il faut dire qu’il prendrait mal le fait de se prendre un râteau, même par un hétéro. Il faut dire que le petit n’a pas l’habitude qu’on lui dise non, il peut être très insistant s’il n’arrive pas à ses fins. Le jeune homme ne croyait pas que Charlie et Perry soient mariés, il fit d’ailleurs une remarque que Perry trouva légèrement homophobe. Et pour ça, il lui aurait réellement cassé les dents, mais il se retint, ne voulant pas débarquer à l’appart’ et se faire-faire la morale par tout le monde, et donne le mauvais exemple à Penny, sa fille. « bah putain elle est sacrément bien foutue ta femme ! » répondit le jeune homme lorsque son comparse lui dit que s’il était le mari de Charlie, lui c’était celui de Jessica Alba. « enfin, on va divorcer bientôt, normalement. Et si tu m’crois pas t’as qu’à lui demander » ajouta-t-il en lui faisant un clin d’œil.

Ernesto n'était pas gay effectivement, mais d'un autre côté tenter de nouvelles expériences ne le dérangerait peut-être pas plus que ça, mais après il aimait trop les femmes pour être attiré par la gente masculine, à moins qu'il devienne bisexuel auquel cas il n'y aurait aucun problème. A vrai dire il s'était toujours qualifié comme étant hétéro donc bon. Et il fallait qu'il avoue que pour une première relation avec un homme Perry ne serait pas des plus moches. Enfin bref le temps de remettre ses esprits en place et le jeune homme lui répondit « Oui elle est bien foutue, un peu comme la tienne si c'est bien Charlie. » Il haussa des épaules puis soupira longuement, peut-être un peu trop longtemps. « Oui c'est mieux que vous divorciez. Et je lui demanderais ce soir quand je rentrerais, enfin demain puisqu'elle dormira. » Quand il disait ça on pourrait croire qu'il prenait soin de la belle rouquine mais en fait non, il se fichait un peu oui qu'elle dorme ou pas, et peut-être qu'il disait ça pour faire un peu rager l'homme face à lui, dont il ne connaissait pas son nom. Il trouva alors une tactique pour l'avoir « Par contre c'est quoi ton prénom, parce que sans je peux pas vraiment lui parler de ce que tu prétends être pour elle. » Pas très clair le p'tit italien là..

Vu comment le jeune homme parlait de Charlie, Perry se demanda si le type n’était pas un peu plus qu’un coloc’ pour la demoiselle, ou s’ il ne ressentait rien de plus que de l’amitié pour elle. Enfin, il s’en fichait un peu, si elle finissait par avoir un copain, pour Perry cela voudrait juste dire qu’il ne pourrait plus se la faire. Il lui demanda ensuite son prénom, c’est vrai que pour le moment ils n’ont pas encore évoqué ce point. Il s’approcha encore un peu plus de lui ne perdant pas son objectif de vu avant de dire « perry, perry peach, j’fais des vidéos sur youtube, t’en a peut être entendu parler. » dit-il simplement. Il commence à être de plus en plus connu et à avoir pas mal de fan. A Bowen, une bonne partie de la ville a déjà entendu parler de lui, pour autre chose que ses performances sexuelles. « et toi, c’est quoi ton nom ? » demande-t-il ensuite. Oui, il aimerait bien connaître le prénom de ce mystérieux type.

Ernesto arqua un sourcil en voyant l'homme avancer vers lui encore et encore, il voulait le coller ou quoi ? Cela faisait franchement peur au blondinet qu'un mec soit attiré par lui, surtout qu'il avait l'impression lui de passer pour un homosexuel, il n'avait rien contre, simplement il avait peur. Ernesto lui demanda alors a qui il avait à faire, et il ne put contenir son rire face aux dires du jeune homme. Oui parce que le gars se vantait de faire des vidéos you tube, il faisait quoi comme vidéos au juste ? Des vidéos de lui en costumes divers, genre panda, pingouin, éléphant, clown « Non jamais entendu parlé. Tu fais quelles genres de vidéos ? » demanda t-il tentant de reprendre du sérieux. L'air de rien, il recula d'un pas, faisant mine de fouiller ses poches et finis par ressortir une cigarette, et de l'allumer, oui il fumait comme un pompier des fois. « Ernesto Dolce. » Puis après avoir dit son nom il se rendit compte du nom de famille de Perry, Peach comme la princesse dans le jeu Mario, il trouvait ça drôle tiens, mais il ne le releva pas, déjà qu'il s'était un peu moqué de lui quant aux vidéos you tube, il ne voulait pas être encore plus méchant, quoique si ça pouvait le repousser.. Faut dire au moins il passait le temps.

Le jeune homme remarqua mais Perry n’en teint même pas compte. Ils parlaient de ses vidéos, ou plutôt, Perry les avait évoquées. Il était très content de faire ça comme « métier ». Pour le moment ça ne lui rapportait pas énormément, mais il recevait quand même de l’argent. Enfin, ce n’est pas comme-ci c’était un problème pour lui. Ses parents, ou plus exactement parents adoptifs, sont plein aux as, et lui filent tout ce qu’il veut. S’il peut sortir tous les soirs, ne rien faire de ses journées, c’est grâce à la générosité de papa et maman. Bon en échange il doit leur rendre visite au moins trois fois par an. Cela ne peut pas paraître beaucoup, mais quand on sait qu’ils habitent au Texas, ça change tout. En général il y va pour thanksgiving ou noël, à Pacques et puis aux alentours du mois de juillet. Il y reste quelques jours et s’arrange également pour que sa sœur, Poppy, vienne avec lui. Enfin bref. Le type lui demande quel type de vidéos c’est. Comment définir ça ? C’est un peu du n’importe quoi en fait. « un peu de tout, enfin un peu d’humour, de conneries, de trucs bidons, rien de sérieux, tu vois le genre. » l’autre type allumait une autre cigarette en disant son nom. « genre Dolce comme Dolce Gabbana ? » mesdames et mesieurs, votre attention s’il vous plait. Perry Peach vient de sortir une référence qui ne vient ni d’une série pour enfant, ni d’un film culte pour geek. Oui, c’est incroyable, il sait des trucs !

Ernesto se sentait obligé de discuter avec Perry puisque au moins ça lui faisait passer le temps, c'était un acte égoïste de sa part, mais il fallait le comprendre et puis Perry n'était pas d'une aussi mauvaise compagnie que ça, après tout il avait des sujets de conversation et il avait une découverte concernant Charlie qu'il n'hésitera pas à dévoiler. Et là ils parlaient des vidéos que faisait l'homme face à lui et Ernesto ria, hocha de la tête comme un imbécile mais il était trop choupinou quand même et lui répondit « Ouais je vois le genre ! Des trucs que tout le monde peut faire quoi, même les plus dégénérés du slip ! » Sur ce coup là il y était peut-être allé un peu fort, surtout qu'il aurait pu être vexé mais d'un autre côté il ne fallait pas se poser trop de questions avec l'italien. Ernesto ria une fois de plus, il avait l'habitude qu'on relie son nom à la marque Dolce & Gabbana, c'était déjà ça et valait mieux ça que d'un nom comme celui de Perry, d'ailleurs Ernesto allait lui faire remarquer pour la peine ! « Ouais si on veut enfin.. Mais entre nous toi ça serait plus comme " genre la princesse blonde à la robe toujours en détresse a poussé des cris chelous dans le jeu Mario "  Si tu vois de qui je parle ! » Il s'était montré gentil pour une fois..

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