Invité | Sujet: Re: Une routine lassante [Feat. Maddie Ryan] Mer 8 Nov 2017 - 21:03 | |
| Lisandro écoute les paroles de la jeune femme, il est clair qu'il ne faut pas exagérer non plus, tout projet n'est pas forcément réalisable pour tout le monde. En fonction de l'âge, de la vie de famille, il y a énormément de critères à prendre en compte pour pouvoir partir faire un tour du monde par exemple. L'italien se contente alors de simplement hocher la tête suite à son discours, il est d'accord avec elle et ne voit rien à rajouter de plus que ce qui a déjà été dit.
L'ancien sportif évoque les soirées de ses camarades de football et les siennes, l'opposé l'un de l'autre. Tandis que certains draguaient à n'en plus finir, lui foulait le terrain jusqu'à l'heure requise. Il avait toujours été un bosseur dans l'âme et c'est pour cette raison que si aujourd'hui, il devait retrouver quelque chose dans le monde du travail, sa plus grande force sera sans doute sa capacité à donner le meilleur de lui-même pour rendre un travail qu'il jugera partait. Mais pour le moment le thème du travail n'est pas vraiment évoqué, peut-être d'ici quelques mois il pourra trouver un emploi adapté à ... son handicap.
" - Certaines personnes ont besoin de défi et draguer les personnes qui n'y sont pas réceptives leur en fournissent un. Parfois c'est aussi des paris débiles entre amis."
Mais bon, ce n'est pas parce que Lisandro ne fait pas parti de ce type de personnes qu'il va les juger, tant que les deux parties sont consentantes alors il se fiche pas mal de ce qui se passe entre eux.
Quand Lisandro avoue à son interlocutrice qu'il n'a jamais eu l'occasion de voir un coucher de soleil à Bowen, elle semble tomber des nues, et elle lui promet de le traquer jusqu'à chez lui, parole qu'il ne peut s'empêcher de retenir et même de plaisanter. Comment pourrait-elle le retrouver alors qu'elle ne connaît rien de lui ? Pas même le quartier où il vit, ni même son identité complète ? Elle finit par lui dire qu'elle avait des contacts, chose à laquelle le basané se contenta de sourire. Mensonge !
Voyant le moment final approché de plus en plus, il lui demanda un papier et un crayon afin qu'il puisse lui noter son numéro quelque part et si jamais elle le désire, elle pourra alors le contacter lorsqu'elle le désire. Ça vaut aussi dans l'autre sens, même s'il a toujours cette peur de déranger les personnes et de devenir un boulet pour eux. Une nouvelle fois, Maddie profite de ses propos pour se moquer du footballeur. Elle sort son téléphone de son sac et attend qu'il lui dicte les numéros en question. Une fois fait, il lui demanda simplement de l'appeler ou lui envoyer un sms, il n'avait pas son téléphone sur lui à l'instant présent.
Au bout du compte, Maddie finit par se lever afin de pousser le fauteuil de l'ancien sportif, jusqu'à un endroit où le sol est plat. Elle lui demande si ça lui convient, il hoche la tête dans un premier temps.
" - Merci."
Ce merci n'était pas uniquement pour l'avoir mené jusqu'ici, c'était plutôt pour tout ce qu'elle avait fait pour lui même si elle n'en avait pas conscience. Il est clair qu'il n'a aucune envie de la voir partir mais il n'a pas vraiment le choix. Alors il la regarde jusqu'au moment où sa silhouette se fait de plus en plus lointaine jusqu'à disparaitre entièrement. L'italien retourne alors à l'intérieur de l'hôpital la mine dépitée mais une envie certaine de la recroiser "par hasard".
- HRP:
Je pense qu'on peut dire fin sauf si tu veux répondre une dernière fois :3.
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