Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Sujet: Messed-up game (feat. Scout. W. Royde) Mer 18 Oct 2017 - 19:31
Contexte:
Maxwell Eklund a écrit:
➳ un peu de fun
pour pimenter la vie de vos persos
@alana canterburry & @scout w. royde, vos deux personnages se retrouvaient dans la même soirée et sans savoir comment ni pourquoi, ils se retrouvent attachés par une menotte l'un a l'autre, malheureusement la clé n'est pas si facile à trouver. Have fun
Messed-up Game
❝ feat. Scout W. Royde. ❞
Alana avait reçu une invitation d’un groupe quelconque du campus universitaire pour une soirée afin de célébrer la nouvelle année scolaire. C’était aujourd’hui, samedi, en fait ce soir à partir de 19h. Elle n’était pas certaine de vouloir y aller, d’abord parce qu’elle avait énormément de lectures à faire pour l’école et pour son travail, mais aussi parce que les soirées du genre, c’est pas trop son truc en général. Elle laissa plutôt ça pour son frère. Dommage qu’il n’aille pas à l’école, il allait manquer une soirée d’enfer. Elle en profita d’ailleurs pour le texter et savoir s’il ne voudrait pas venir avec elle, question qu’elle se sente moins seule. Qui sait, il connaîtrait peut-être certaines personnes et pourrait faire les présentations. Il avait répondu qu’il avait déjà un truc ce soir avec Effy, évidemment, mais qu’il l’encourageait à sortir de sa zone de confort un peu. Qui sait, elle s’amuserait peut-être. Elle lâcha un énorme soupir parce qu’elle savait qu’il avait raison. Elle enfila donc ses jeans et une chemise blanche transparente, tout en laissant ses cheveux détachés. Elle barra la porte de son studio et se rendit à pied à l’adresse indiquée. Ce n’était pas très loin, environ 10 minutes à pied. C’était une fraternité qui avait organisé, donc ça se passait sur le campus. Elle mit son téléphone dans son sac en main et fit son entrée dans la maison.
Il y avait déjà plusieurs personnes et beaucoup d’action. Alana s’enfila deux jello shots question de lui permettre de se dégêner un peu. Elle se fit ensuite offrir un verre de bière qu’elle bu assez rapidement. Elle se sentait maintenant plus à l’aise et parla à quelques personnes, donc certains étudiants qu’elle avait reconnu parce qu’ils avaient les mêmes cours. Elle s’amusait bien ne regrettait pas d’être venue finalement. Enfin, pour l’instant.
Alors qu’elle discutait tranquillement avec une fille, elle remarqua que deux étudiants plus âgés la regardaient beaucoup. À vrai dire, elle ne savait pas s’ils la regardaient elle ou quelqu’un près d’elle, mais elle sentait que leur regard était malveillant. Sans y faire trop attention, elle se concentra sur la conversation qu’elle était en train d’avoir. Puis soudainement, toutes les lumières se fermèrent d’un coup, mais la musique, elle, continuait de jouer. Elle entendit plusieurs cris, des jeunes filles effrayées. Ce n’était donc pas une panne de courant si la musique se faisait encore entendre. Les lumières avaient été fermés de façon volontaire. Il faisait extrêmement sombre, elle avait de la difficulté à voir 5 pouces devant elle. Puis elle sentit quelque chose de froid, de métallique autour de son poignet. Comme une menotte pensa-t-elle. Mais ça ne pouvait pas être ça, c’était impossible. Elle tira sur son poignet et attira vers elle un étudiant. Elle se cogna sur son épaule, toujours ennuyée par le fait qu’elle ne voyait absolument rien. Mais qu’est-ce qui se passe? C’est quoi ça? dit-elle en tirant sur son poignet, comme pour essayer de se débarrasser de l’étreinte. Les lumières s'allumèrent finalement après de longues secondes et elle put finalement analyser la situation. Elle était menottée à un jeune homme qu’elle ne connaissait pas, mais qui semblait avoir son âge. Choquée, elle lui demanda en criant : c’est quoi ce bordel? Détache-moi tout de suite lança-t-elle en essayant de défaire l’objet de métal qui serrait son poignet. Allez sors la clé et détache-moi rajouta-t-elle frustrée.
(c) sweet.lips
Invité
Sujet: Re: Messed-up game (feat. Scout. W. Royde) Dim 29 Oct 2017 - 16:58
Tes cousins et toi ratez rarement une soirée, même s'il s'agit de célébrer la rentrée universitaire et que vous n'êtes pas particulièrement ravis de déjà retourner en cours. Evidemment, vous n'étudieriez pas si cela ne vous plaisait ni ne vous intéressait pas, mais les vacances auraient pu être plus longues. Beaucoup plus longues. Tu regrettes de ne pas être rentré aux Etats-Unis lorsque tu en avais encore le temps, histoire de revoir ton père, et de vous expliquer face à face maintenant que tu te sens à nouveau capable de le regarder dans les yeux. Ce soir, vous répondez justement présents car c'est l'une des dernières soirées à laquelle vous irez sans vous entendre dire par ton oncle et ta tante que ce n'est pas raisonnable. Et, surtout, sans risquer d'avoir la gueule de bois pour assister à vos cours. Le trio fait donc son entrée peu avant vingt heures, et vous balayez la foule du regard afin de repérer de potentielles connaissances tout en vous dirigeant vers le bar histoire d'entamer les festivités. Vous n'échangez que quelques phrases avant de vous séparer, l'un reconnaissant une connaissance, l'autre une ancienne conquête. Tu demeures planté près du bar encore un moment, prenant le temps de finir ton premier verre et commandant une bière avant de te fondre dans la foule, bouteille à la main.
Tu tombes bientôt nez à nez avec une bande d'étudiants fréquentant les mêmes cours que toi, et tu demeures auprès d'eux, discutant de tout si ce n'est la rentrée. Tu ne tardes pas à te voir traîné sur la piste, et te laisses entraîner sans rechigner, te mettant à danser dans l'atmosphère d'excitation générale -l'alcool étant surement. La soif se faisant finalement ressentir, la bande rejoint le bar, et tu les laisses s'y reposer, t'éloignant en portant un troisième verre à tes lèvres. C'est là que les lumières s'éteignent brusquement, plongeant la salle dans l'obscurité tandis que la musique continue de jouer. Elle ne parvient pas à couvrir les quelques cris, de surprise et de peur. Tu lèves les yeux au ciel, décidant de trouver, à tâtons, un interrupteur, mais tu n'en as pas l'occasion. Tu bouscules quelqu'un sans le vouloir, articules de rapides excuses, et sens ton poignet se faire emprisonner. Par qui ? Aucune idée. Et puis, par quoi, car tu sens contre ta peau une fraîcheur comme métallique. Tu veux avancer quand même, mais quelqu'un semble tirer à l'autre bout de ton entrave, et te rentre dedans. Une fois féminine s'élève, posant à haute vois les questions que tu penses tout bas, et les lumières se rallument sur vos poignets menottés. Ton remonte jusqu'au visage de ta compagne d'infortune, dont les traits te sont inconnus. Tu te doutes que toute cette mise en scène ne vise qu'à amuser quelques idiots, et tu es prêt à jouer le jeu -n'ayant de toutes manières pas vraiment le choix- mais la jeune femme a un avis bien moins léger sur la question. Tu hausses un sourcil face aux accusations, comme si tu n'avais que ça à faire de t'attacher à des inconnus. « Mais j'ai rien fait, j'peux pas nous détacher », grognes-tu, agacé. Tu tires sur les menottes, ne parvenant qu'à rapprocher l'inconnue de toi. Dans d'autres circonstances, tu ne serais pas spécialement contre le fait d'être attaché à une jolie fille, mais la petite plaisanterie ne la faisant de toute évidence pas rire, tu doutes que passer la soirée en sa compagnie à la recherche de la clé pouvant vous délivrer soit amusant. « Calme-toi, on est pas en danger de mort non plus, on va la trouver cette clé. » Tu te radoucis, conscient que si tu te la joues toi aussi frustré vous ne vous en sortirez pas de si tôt. « Et puis c'est pas comme si t'étais menottée à un moche », lâches-tu, tout sourire, pour détendre l'atmosphère. « Plus sérieusement, moi c'est Scout. Et on dirait que t'es coincée avec moi jusqu'à ce qu'on trouve qui a fait ça. »