Un nouveau bienfaiteur Ft. Christopher

Mia venait de finir sa journée, normalement à cette heure là, elle quitte sa classe, rentre chez elle, ou va se poser dans son petit café habituel pour corriger des contrôles et autres devoirs, mais pas ce soir. La directrice de l'école est venue plus tôt dans la journée lui demander si elle pouvait rester plus tard, pour réceptionner une livraison de matériel informatique et autre qui ont été offert à l'école par un mystérieux bienfaiteur, enfin en tout cas pour Mia, il est mystérieux, la directrice ne lui ayant rien dit de plus.

Elle reste dans sa classe après le départ des élèves à faire quelques rangements en attendant les livreurs et leurs matériels, quand le gardien vient la chercher lui annonçant que la livraison est arrivé.
Elle sort de sa classe et se dirige vers l'entrée où plusieurs personnes portant des cartons l'attendent.

Bonjour. pouvez-vous déposer tout cela dans la salle informatique s'il vous plais ?

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Brooklyn Fidji Gates

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Lorsque Christopher avait décidé d’offrir du matériel informatique à l’école primaire de Bowen, il avait surpris beaucoup de monde. Lui qui ne gardait que de mauvais souvenirs de ses années de scolarité avait fait preuve de charité pour un endroit qu’il avait tellement abhorré enfant.
Mais si tout le monde félicitait le geste de Winchester Industrie, cette donation était pourtant bien calculée. Christopher n’avait rien laissé au hasard. Il avait besoin de main d’œuvre et d’ingénieurs dans la région pour toucher au but son objectif, Agrandir la première usine de Winchester Industrie en ouvrant un second site. Et afin d’attirer les ingénieurs, indispensable à son projet, il fallait une ville qui répondent à leurs attentes, à commencer par soigner l’éducation de leurs enfants. Tout était calculé, et personne n’avait rien vu. Parfait.

Christopher avait donc fait le déplacement jusqu’à l’école ou il avait lui-même étudier lorsqu’il était enfant, afin de superviser la livraison et tenter d’en apprendre plus sur l’état de l’école et de ses besoins. « Oui, faites parvenir ses papiers au plus vite à Canberra. Je me moque de savoir que le courrier ne partira pas avant demain. Prenez votre voiture et allez-y vous-même si nécessaire, mais ces papiers doivent impérativement être à Canberra à la première heure demain ! » Ordonna-t-il inflexible avant de raccrocher.. Lorsqu’il s’agissait de travail, Christopher pouvait être très autoritaire, voir tyrannique, c’était d’ailleurs ce qu’avait bien pu penser sa secrétaire à l’ instant où il avait raccroché. Et pour cause, il venait d’apercevoir une délicieuse créature sortir de l’école. Elle s’adressa au livreur avec une douceur qui frappa Christopher. Exquise.

Vêtu de son costume bleu nuit et sa cravate assorti par-dessus une chemise blanche, il s’avança vers elle d’un pas assuré après avoir rangé son portable. « Madame » dit-il en inclinant très légèrement la tête pour la saluer avec un fin sourire poli et un brin charmeur. « Christopher Winchester » se présente-t-il avec retenue, « La directrice m’a informé de son absence pour la réception de la donation. Je trouvais ça fort regrettable… jusqu’à maintenant. » dit-il en concluant avec un sourire en coin. L’heure n’était pourtant pas à la ‘chasse’ et Christopher en était conscient. Il ne supportait pas ceux qui mélangeaient travail et vie personnelle. « J’aimerai m’entretenir avec vous, si possible. » lui dit-il presque avec douceur alors qu’il était pourtant réputé pour sa froideur exceptionnelle. « C’est au sujet de l’école et de ses besoins, je suppose que vous êtes toute aussi qualifiée pour voir les disfonctionnements et les besoins nécessaires à l’apprentissage des enfants… » ajouta-t-il sans se départir de cette petite douceur. « Mais, je comprendrais si vous avez mieux à faire… » termina Chris avec un sourire énigmatique.
Derrière eux, les livreurs déchargent alors que deux informaticiens de la boîte réquisitionnés sont déjà entrain d’installer les branchements des premiers ordinateurs dans la salle d’informatique. « Toutefois, il y a une dizaine d’ordinateurs qui doivent être installés… ça nous laisse un petit peu de temps devant nous. Qu’en dites-vous ? » conclua Christopher en plongeant son regard azuré dans le sien.

AVENGEDINCHAINS

Mia était venu ce matin avec l'envie de finir tôt et d'aller ce promener, elle n'avait pas trop de retard dans les copies à corriger et donc elle pourrait profiter de sa fin d'après midi, mais voilà la directrice lui avait fait une demande, celle de rester plus tard pour attendre la livraison d'un généreux donateur. Elle attendais dans sa salle de classe, rangeant quelques papiers et autres. elle en avait même retirer ses escarpins, faut dire que c'est pas ce qu'elle préfère, enfin pour les cours ou quand elle sort, mais sinon, quelque chose de plus confortable est mieux pour elle. Mais faut dire que pour aller avec sa robe tailleur crème elle a pas le choix.
Enfin bref, quand le gardien arrive pour lui dire que les livreurs sont arrivés elle remet ses talons et se dirige vers l'entrée de l'école pour les accueillir, en leur demandant si cela est possible de les déposer dans la salle d'informatique. elle regarde les livreurs entrés dans l'école avec les cartons quand elle entend une voix dans son dos et qu'elle se retourne sur un homme qui doit bien faire une tête de plus qu'elle, dans un costume bleu nuit qui déteint sur sa chemise d'un banc immaculé, ses cheveux blond un peu long, sa barbe parfaitement taillée et ses grands yeux bleus, en font un homme totalement charmant, enfin physiquement parlant, mais bon le physique ne fait pas tout.

Bonsoir, Monsieur Winchester. Vous êtes donc notre bienfaiteur. Je vous remercie au nom de tous nos élèves et de mes collègues.

Elle le regarde et lui sourit, elle était totalement sincère, elle imagine déjà les cours qu'elle pourrait donner au plus grand, l'informatique est une part entière d'éducation à présent, et un outil très utile.

Heu oui bien sur. Je ne sais pas si je vous serais très utile et si j'aurais des réponses à vos questions mais oui, j'essaierais.

Elle lui fait signe d'entrée dans l'école et le mène dans la salle des professeurs, elle aurait pu l'emmener dans sa classe mais le distributeur de café est dans la salle des professeurs et puis ça sera plus confortable.

Entré. Désolé c'est la salle la plus confortable qu'on est. cela ira, j'avais rien de prévu pour l'instant. Je peux vous offrir un café ?

elle se dirige vers la machine à café en préparant deux avant de revenir vers lui et de s'asseoir en face de ce monsieur.

alors vous me demandiez si je connais les besoins de l'école ? il y en a des tas, de nouveaux meubles, des besoins de technologie comme des tablettes et tout, de nouveaux livres et autres ... Enfin l'école n'est pas des plus riches, mais pas non plus la plus pauvre. Donc oui il y a des choses à améliorer, mais disons que l'on s'en sort bien quand même et vos ordinateurs vont déjà beaucoup nous aider, je vous remercie encore

Elle le remercie en souriant, elle ne veux pas lui demander trop, elle a été honnête de toute façon tout le monde d'autre prof ou même des parents d'élèves pourrait répondre à ses questions. Mais il a déjà été assez généreux de nous offrir une dizaine d'ordinateur ne soyons pas trop gourmand.

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Brooklyn Fidji Gates

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Elle était mignonne la blonde, elle dégageait quelque chose qui plaisait à l’héritier Winchester, même s’il était incapable d’expliquer quoi. Elle avait cette gentillesse et cette douceur pure quand elle parlait qu’il en était presque paralyser. La franchise n’avait jamais été son fort. Mentir, manipuler c’était ce qu’il faisait le mieux, surtout après des années à Canberra, entourés par des vautours fortunés. Ses plaidoiries n’étaient guère mieux, il en était pleinement conscient. Il était passé maître dans l’interprétation des lois pour pouvoir mieux les contourner.

Sans détourner son regard d’elle, il sourit, et inclina doucement la tête, ravi de marquer des points avec elle sans avoir rien eu à faire de volontaire. Christopher a longtemps travailler son côté énigmatique, un brin mystérieux. C’était nécessaire pour le travail et ça l’a aidé surtout à s’imposer. « Je plaide coupable » reconnu-t-il en levant les mains en l’air, signe de capitulation, en la scrutant du regard avec un sourire en coin. « C’est un plaisir, vous pouvez le croire » dit-il après avoir reconnu qu’il était bien le donateur du matériel. C’était évidemment après tout, sinon, que serait-il venu faire ici ? « Qui d’autre de mieux placé qu’une enseignante pour connaître le besoin de ses élèves ? » lâchais-je en lui emboîtant le pas, « je suis sur que vous serez plus utile que vous ne le pensez. » ajouta-t-il en arrivant près de la porte. Il poussa cette dernière et s’écarta pour laisser passer la jeune femme, galanterie obligeant. Il reconnu les lieux, ces derniers n’ayant pas vraiment changé en vingt ans, mais il n’y accorda pas vraiment d’importance. L’école primaire avait été un enfer pour lui, difficile d’être à l’aise dans cet endroit ou il avait été souvent malmené par ses camarades.

La belle le guida jusqu’à la salle des professeurs, une salle qu’il n’avait jamais vu puisque les élèves y étaient interdit d’accès, sauf s’il devait venir chercher un professeur. Le mobilier était ancien, ça se voyait au premier regard. « C’est ça, la salle des professeurs ? » l’interrogea-t-il stupéfait par le manque de confort flagrant et de modernité. C’était bien loin de son bureau bien confortable, c’était certain. Déjà que les professeurs devaient supporter une bande de mioches pleurnichards à longueur de journée, les quelques minutes de libre ici ne devait guère leur remonter le moral. « C’est… disons… ancien. » dit-il en dosant au mieux ses mots. « Un café ? ce serait parfait madame » lui répondit-il en lui adressant un de ses sourires à tomber. « D’ailleurs, pourrais-je savoir à qui je m’adresse ? » lui demanda-t-il en reportant à nouveau son regard sur elle.

Alors qu’elle amène les cafés, il en profite pour observer la courbe de ses hanches l’air de rien. C’est l’avantage de savoir observer sans se faire prendre, ça permet de gagner des procès en se mettant quelques membres du jury dans la poche, style de rien. A peine assise qu’elle commence à énumérer les quelques améliorations à souhaiter pour l’école. Finalement, elle a une jolie petite liste. « Je vois, serais-ce possible d’aller voir une salle de classe pour constater tout ça ? Je suppose que l’école aurait besoin d’un bon rafraîchissement dans son ensemble. De ce que je vois, dans cette salle, le confort et minimal et si salles de classes sont similaires, il doit être difficile pour les élèves d’étudier dans de bonnes conditions, J’ai l’impression que rien n’a changé en 25 ans. » lui dit-il avant de porter le café chaud à ses lèvres. « Vous enseignez ici depuis longtemps ? » l’interrogea-t-il en gardant son regard azuré ancré dans le sien, savourant ce contact visuel qu’il avait établi avec elle.

AVENGEDINCHAINS

Mia observait le jeune homme, sa prestance, ses attitudes, son assurance, et pas que, ses vêtements aussi. Beaucoup de monde pense qu'il ne faut pas se fier aux apparences mais en général, la première impression est souvent la bonne. Mais avec monsieur Winchester, Mia ne sait pas trop quoi penser. Elle pourrait penser que c'est un riche, arrogant et tout au vu de son costume, de ses attitudes et en même temps sa générosité, son sourire et ses attentions pour l'école, lui font une autre impression plus positive.
elle l'avait escorter jusqu'à la salle des professeurs pour qu'ils puissent discutés tranquillement et qu'elle puisse lui offrir un café, enfin disons un semblant de café. vous savez ce qu'on dit sur le café des flics ben c'est un peu pareil avec le leur, les distributeurs sont pas très bon. Elle trouve ses manières galantes très agréable. Elle étouffe un rire quand il demande si c'est ça la salle des profs.

Et oui, c'est ça. Mais j'aime bien ce côté ancien, rétro. Je trouve que cela donne un côté chaleureux.

Oui la modernité c'est bien, mais elle veut pas non plus que cela finisse dans le genre hôpital, tout blanc, stérile et tout, sans âme quoi. Une école ça doit donner le sourire, ça doit être chaleureux, colorés, c'est avant tout pour les enfants et qu'ils se sentent à l'aise. Elle lui offre la petite tasse de café avant de l'entendre lui demander qui elle est. Elle pince ses lèvres en ce disant intérieurement qu'elle est parfois un peu idiote.

Oh Désolé, j'ai oublié de me présenter. Pardonnez-moi, je suis Mia Thomas, je suis une des institutrices.

Mia se laisse aller dans ses demandes pour changer l'école. Elle a plein d'idée pour améliorer son travail, comme beaucoup de travailleur, mais qui sont parfois pas possible d'être effectuer. Et là, elle a la possibilité de les exposer, mais bon elle ne demande pas pour autant de tout changer, elle répond juste à sa question honnêtement. Elle rougis un peu en ce disant qu'elle en a dit trop.

Heu ... Oui, on peut aller voir ma salle de classe si vous voulez. pour ce qui est de l'état il y a 25 ans, je peux pas vous dire j'étais pas dans cette école mais dans un autre quartier, mais c'est vrai que cela est assez ressemblant.

Elle se relève, prenant sa tasse et lisant sa robe pour qu'elle reprenne sa place.

Et bien je suis ici depuis un peu plus de 5 ans. C'est mon premier poste, et j'avoue que j'aime beaucoup enseigner ici.

Quand elle parle de son travail, elle sait qu'elle souris, elle adore enseigner, tout comme elle adore le rugby ou le tir. elle lui tend la main pour l'inciter à la suivre et le regarde.

Et vous ? pourquoi vous avez envie d'aider une petit école de quartier ? Il y a bien une raison derrière tout cela ? Un homme comme vous, avec toutes ses obligations, doit bien avoir d'autre priorité que notre école.

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Brooklyn Fidji Gates

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Christopher avait compris dés son plus jeune âge a quel point les apparences étaient importantes. Il l’avait compris à ses dépends et que les apparences étaient toujours primordiales si on voulait réussir dans ce monde. Alors oui, il ne laissait rien au hasard, quitte a passer pour un bourge aux yeux des gens plus simple. Quelle importance ? Il devait plaire à ceux qui devait l’aider à gravir les échelons et à rester au pouvoir, le reste était secondaire. Pour autant, il avait noté la simplicité de la jeune femme qui l’avait accueilli. Elle n’en était pas moins ravissantes et pour le coup, ça lui changer des jeunes femmes qu’il avait fréquenter jusqu’ici à Canberra, maniérées et toujours apprêtées à outrance pour frôler une perfection qui n’existait pourtant pas.

Christopher avait donc suivi la jeune femme, non sans observer subtilement la courbe de ses hanches qui lui donnait un beau spectacle à chacun de ses pas. Finalement, pas besoin d’avoir un style vestimentaire distingué pour plaire, cette jeune femme lui avait simplement sauté aux yeux. Elle, ses courbes généreuses et cette douceur et cette gentillesse dont elle avait fait preuve envers les livreurs étaient suffisamment explicites pour affirmer que c’était dans son caractère d’être ainsi. Alors oui, Christopher la trouvait dangereusement à son goût et c’était d’ailleurs bien la première fois qu’il s’intéressait à une femme comme elle.

Lorsqu’elle le fit entrer dans la salle des professeurs, il resta quelques secondes interdit. Les meubles étaient vieillots, abîmés et pas franchement en raccord entre eux, les chaises comme le vieux sofa deux places dans le coin près d’une armoire à fourniture semblaient totalement inconfortable et usés par le temps sans parler de ce distributeur à café qui devait avoir vu passer des générations entières de professeurs. « Chaleureux certes… Mais même dans le neuf on peut trouver quelque chose de chaleureux, ne pensez-vous pas ? » lui dit-il avec un sourire confiant. « Il faut admettre que ces chaises ne sont pas de première jeunesse et… je suis presque sur que vous ne buvez pas beaucoup de café ici… » lui dit-il en la regardant avec intensité plongeant son regard bleu dans celui chocolat de la jeune femme. D’ailleurs, après lui avoir rappelé qu’il ignorait son nom elle se présente alors qu’il l’observe rapidement, trouvant son menton vraiment mignon. « Et bien, je suis ravi de faire votre connaissance… mademoiselle Thomas » dit-il après avoir remarqué qu’elle n’avait aucune alliance à son doigt. Christopher acquiesça d’un signe de tête, prêt à la suivre à nouveau dans les couloirs afin d’avoir à nouveau le loisir d’observer ses courbes se mouvoir. Loin de lui de regretter d’avoir de telles pensées. Il était un homme après tout, et elle était une femme ravissante. Tant qu’il restait correct vis-à-vis d’elle, il ne voyait pas ce qu’il faisait de mal, et puis il y pouvait rien si elle lui plaisait. Il allait falloir qu’il trouve un moyen pour l’inviter à dîner. « Je vous suis » dit-il en se levant à son tour en la laissant passer devant par courtoisie et aussi pour avoir tout le loisir de l’observer à nouveau. « Et qu’est-ce qui vous a motivez à devenir professeur ? » demanda-t-il par curisioté, s’intéressant à elle. Déjà cinq ans qu’elle supportait une bande de morveux, elle avait bien du courage. « Je vous trouve courageuse. Il en faut pour gérer autant d’enfants » sourit-il de son air charismatique, alors qu’il avait cruellement eu envie de dire ‘monstres’ en parlant des gamins. Heureusement qu’il savait se contenir, surtout que les instits étaient réputés pour adorés les gosses à qu’ils enseignaient. Malheureusement, elle finit par s’intéresser au pourquoi de la donation, et Christopher parvient quand même à garder son éternel sourire confiant. « Oh, et bien, j’ai été élève ici alors ça me semble naturel d’aider cet établissement en priorité. Et je n’oublie pas que parmi ses élèves, il y a peut-être mes futurs employés, il est donc normal que je veuille le meilleur pour eux. » dit-il sans se départir de son sourire. « L’éducation est la base de la réussite après tout. » ajoutes-tu « je suppose que vous voulez le meilleur pour vos élèves vous aussi ? Et quoi de mieux que de leur apprendre avec les moyens les plus sophistiqués qui existent ? » l’interrogea-t-il en retournant la question auprès de l’institutrice.

N’était-il pas un bon orateur ? Il ressentait quand même une légère pointe de culpabilité en se rendant compte qu’il n’avait pas été honnête envers elle. Le fait est qu’il se foutait pas mal de ses monstres sur pieds, tout ce qu’il voulait, c’était attirés des ingénieurs et des employés à Bowen en leur promettant une des meilleures éducations possible pour leurs enfants, ce qui était d’ailleurs l’un des sources de critères de recrutement qui marchait le mieux. Mais ça, je ne pouvais décemment pas le dire à la jeune femme si je voulais pouvoir la revoir une nouvelle fois, en dehors de cette école qu’il abhorrait totalement.

Sujet: Re: Un nouveau bienfaiteur Ft. Christopher Mer 3 Jan 2018 - 19:16

Le jeune homme en face d'elle était assez insaisissable, elle avait encore du mal à cerner qui il était vraiment. Mais bon c'est probablement un peu normal, elle ne le connais pas. Mais disons que cela la trouble un peu. il parle de la salle de pause, enfin la salle des prof quoi, et Mia aime bien le coté vieillot.

bon je vous l'accorde, du mobilier plus confortable et neuf serait bien, mais je veux rien demander, l'école n'a pas les finances pour cela, et je ne veux pas non plus vous le demandez, vous êtes déjà très gentil de nous avoir offert des ordinateurs pour notre salle d'informatique, je ne veux pas abusé de votre générosité

Elle sourit à sa réflexion sur le café et elle regarde sa tasse en souriant encore plus, il est vrai qu'il est pas très bon, d'où le fait qu'ici elle prend plus souvent du thé que du café. Elle lui propose d'aller visiter sa classe, elle n'aurait pas oser aller dans la classe d'un de ses collègues. elle s'était lever et l'avait invité à la suivre. Ils discutaient ensemble de tout et de rien, enfin surtout d'elle pour l'instant.

Oh et bien j'étais pas assez douée pour devenir avocate, médecin ou rugbywoman, donc et puis j'aime travailler avec les enfants alors c'était comme si je n'avais pas le choix ...

Elle rit un petit peu avant de se retourner pour le regarder, alors qu'elle l'écoute répondre à sa question. Elle sourit à sa réponse, bon il y a quand même un petit coté égoïste mais elle trouve quand même ça mignon. elle sourit à son discours et étouffe un rire.

J'ai peur après que se soit moi qu'il faudra changer, je ne serais pas assez qualifié pour enseigner avec toute la nouvelle technologie.

Mia ne sait pas encore si elle doit s'inquiéter, elle ne l'espère pas, mais en tout cas, si l'école devient l'école du futur, elle va avoir besoin de formations, et pas qu'une. ils se retrouvent devant la porte de sa classe qu'elle ouvre et elle l'invite à entrer dans sa classe qui est ranger, mais qui a du mobilier vieux en bois, mais utile.

Et voilà ma classe.

Elle le laisse entrer et l'observe, son corps, son visage, afin de voir sa réaction, du moins d'essayer de la lire.

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Il l’observait à la dérobé quand il était sur qu’elle ne la regardait pas, c’était déjà fait une idée précise de la jeune femme qu’elle était. Bien qu’il pouvait se tromper, Christopher avait bien trop d’assurance en lui pour l’admettre. Aussi mignonne qu’elle était, et même si elle dégageait quelque chose qui lui plaisait, il était certain qu’elle était trop douce et qu’elle devait manquer de caractère. Pour autant, il aimait les femmes qui étaient dociles, alors en quoi était-ce un problème cette fois ? Il chassa vite ses pensées de sa tête, ce n’était clairement pas le moment de penser à la séduction maintenant, même s’il en avait une irrésistible envie. Il devait paraître sérieux et irréprochable, comme toujours.

Le bon point lorsque je l’écoutais parler, c’est qu’elle n’avait pas l’air d’être vénale. Si elle n’essayait pas de profiter de son statut de bienfaiteur pour le bien être de ses élèves, peut-être qu’elle n’était pas intéresser par la fortune, ni le luxe et tout ce qui pouvait résultait d’argent. C’était étrange d’ailleurs, les femmes qu’il avait côtoyées le plus souvent étant tellement attachées à leur petit confort et aux apparences, qu’il trouvait ça bizarre que ce ne soit pas le cas pour elle. A moins qu’il ne s’agissait que d’apparences une fois de plus ? Nan, elle semblait trop honnête pour jouer la comédie sur ça. « Vous ne demandez rien mademoiselle Thomas » lui sourit-il énigmatique, « c’est moi qui vous ai demandé une liste exhaustive des besoins de l’école » lui rappela-t-il sans se départir de son sourire en coin qui le caractérisait tant. Il s’avança vers elle, la surplombant du haut de son mètre quatre-vingt dix, tout en souriant, « alors vous n’abusez en rien de ma générosité, soyez sans crainte », souffla-t-il avec charisme, la fixant dans les yeux avec intensité avant de se détourner pour quitter la salle des professeurs à sa suite.

Il avait manqué de dérapé, et il se maudissait pour ça. Il devait reprendre le contrôle de lui-même, parce qu’il s’était un peu trop perdu dans le regard profond de la jeune institutrice et ses lèvres pulpeuses qui n’appelait qu’à être dévorer. Après une bonne baffe mentale, et un reluquement de la silhouette de la blonde au corps délicieusement bien formé, il se concentra sur ses propos, ne voulant pas que la conversation lui échappe, surtout pas. Son trait d’humour le fit sourire, notamment lorsqu’elle mentionna le métier d’avocat. « Contrairement à ce qu’on pourrait croire, le métier d’avocat et plutôt… facile. Il suffit d’avoir une bonne mémoire et de savoir user des lois au bon moment. Question de… timing et d’interprétation. » lui apprit-il en mettant les mains dans les poches de son pantalon, faisant courbé un peu la veste bleu qu’il portait. « Les études ont l’air difficiles, mais c’est surtout… barbant. » admit-il en souriant. Après tout, il avait réussi à aller au bout de ses études d’avocat, il savait de quoi il parlait. Quoique, il avait toujours eu d’étonnantes facilités à mémoriser et à comprendre les choses, ce n’était pas pour rien qu’il avait sauté des classes lors de sa scolarité. « Rugbywoman. J’aimerai voir ça. » rit-il doucement, « mais enseigner est un métier très noble vous savez. Ca requiert beaucoup de capacités qui n’ont rien à envier aux métiers d’avocats ou de médecins, soyez en sur! » lui dit-il avec une douceur étonnante.

Le commentaire de Mia le fit rire. Un petit rire à peine audible, mais un rire quand même. Venant de Christopher, c’est tellement rare que ça à le mérite d’être souligner. « Nous veillerons à ce que ça n’arrive pas dans ce cas. » dit-il amusé en la scrutant du regard, « Et puis, une formation sur les nouveaux outils de travail n’est pas à exclure, il n’y a aucune honte à cela » ajouta-t-il avec calme. Finalement, ils entrèrent dans la salle de classe de la blonde, et la première chose que Christopher remarque, c’est que le mobilier est ancien. Très ancien. Tout lui est tellement familier là-dedans. Un court instant, un éclat de douleur traverse ses yeux alors qu’il se crispe. Mais très vite il chasse ses pensées négatives et entre dans la pièce, gardant les mains dans les poches tout en observant la salle de façon totalement impassible. Ne jamais rien laissé paraître des troubles qui le traverse. L’un des premiers conseils d’avocat que son mentor lui a transmis. Peut-être trop tard, pour une seconde, mais ce n’est pas grave. Peut-être n’a-t-elle rien vu après tout. « Le mobilier est identique à celui que j’ai connu lorsque j'étais élève ici. » admit-il sur un ton neutre, « je suppose que c’est pareil dans toutes les salles de classe ? » lui demanda-t-il en se tournant vers elle. Il nota aussi que les peintures étaient fades, les armoires de rangement du matériel aussi vieux que son père devait l’être, et que le tableau semblait avoir vécu cinquante vies. « Vous n’avez pas de matériel de vidéo-projection en classe ? Vous n’avez pas non plus d’ordinateur dans la salle que vous pouvez utiliser avec un vidéo projecteur pour le travail sous les nouvelles plateformes ? » l’interrogea-t-il en se tournant vers elle. « Et… ne me dites pas qu’il n’y a qu’une petite télé avec un vieux magnétoscope qui se passe de classe en classe lorsqu’il faut étudier un documentaire ? » soufflat-il en redoutant la réponse. Peut-être qu’il n’y avait plus de magnétoscope mais un lecteur DVD à la place, mais rien n’était moins sur. Il en avait déduis que c’était peut-être le cas, en l’absence d’une télé dans cette salle. Lorsqu’il était élève là, une à deux fois par mois, l’institutrice qu’il avait diffusé un documentaire sur une vieille télé, et Christopher se souvenait qu’il fallait d’abord courir après la dite télé sur un meuble à roulette qui se baladait de salle en salle. « Je suis impressionné que vous arrivez à travailler dans de telles conditions » sourit-il en se tournant vers la jeune femme. Et il était sincère. Cette pièce était bien loin du confort dont il était habitué avec son travail.

Sujet: Re: Un nouveau bienfaiteur Ft. Christopher Ven 5 Jan 2018 - 23:45

Mia restait totalement dans son rôle d'institutrice, elle est toujours au travail, et elle doit faire honneur à la directrice qui l'a choisit pour ce rôle aujourd'hui. C'est une partie de sa personnalité, mais pas que, son meilleur ami dirait qu'elle est pas aussi sérieuse dans la vie de tous les jours, enfin pour en être sure faudrait demander son avis à Léo, mais il est pas là. En tout cas, elle sait que dans son métier, elle est calme, gentille, attentionnée, sage, des trait de sa personnalité, heureusement elle n'a pas que cela. Par contre en ce qui concerne Monsieur winchester, elle est pas encore certaine de ce qu'elle pense de lui, enfin pour l'instant, elle le trouve assez sympathique, enfin professionnel, gentil et à l'écoute. Elle avait quand même l'impression d'avoir un peu abusé avec sa liste de choses à améliorer, mais il la rassure en lui disant que ce n'est pas le cas, elle est quand même un peu gênée. Elle se retrouve face à lui, obliger de relever la tête pour le regarder dans les yeux. Elle ne se dérobe pas, mais le trouve assez impressionnant, il doit faire presque une tête de plus qu'elle voir plus. Quand il s'éloigne d'elle, elle reprend son souffle, elle s'était même pas rendu compte qu'elle avait arrêter de respirer. Ils s'étaient dirigés vers sa salle de classe, heureusement elle avait fait un peu de ménage et de rangement en attendant les livreurs. Elle l'écoute alors qu'il parle du métier d'avocat, il a l'air de connaitre le sujet, serait-il avocat de métier ?

Vous devez être avocat, je suppose, vous avez l'air de connaitre le sujet ! Enfin je crois surtout que j'avais pas envie de passer un temps infini sur un banc à écouter des profs qui sont de vrais somnifère.

Voilà à quoi elle pense quand elle enseigne, elle ne veut pas que les enfants qu'elle a dans sa classe s'ennuient. Elle veut leur donner le gouts d'apprendre car il y a des milliers de façon d'apprendre et les plus efficaces sont les plus ludiques en générales. elle sourit quand il dit qu'il aimerait la voir en rugbywoman.

Hum, malheureusement j'ai arrêter il y a déjà quelques années, mais j'adore toujours autant ce sport.

Elle sourit quand il valorise son métier, ce qui n'est pas toujours le cas, elle est souvent considérer comme la personne toujours en vacances, qui lit des bouquins devant les enfants pour leur faire apprendre des trucs et c'est tout, heureusement, c'est pas cela du tout, et tout le monde ne pense pas cela. Elle l'entend rire alors qu'elle lui dit qu'elle ne veut pas être changer aussi.

Je n'ai aucune honte, enfin pas celle là du moins, je suis prof, alors je sais bien qu'on apprend toujours, tout au long de sa vie, et je suis ouverte à cela.

Mia l'observe alors qu'il entre dans la classe et pendant un instant, elle est étonnée par ce qu'elle remarque, comme si il ressentait de la douleur, mais c'est tellement bref, qu'elle a l'impression qu'elle a rêver. Elle l'écoute et sourit.

Vous avez été à l'école ici ? Hum et oui le mobilier est le même partout.

Elle regarde sa classe elle aussi, c'est vrai qu'il y a des choses à changer ou à rafraichir, mais elle n'a jamais fait attention à tous les détails pour autant. Elle sourit quand il parle de vidéo-projection, elle étouffe un rire.

Heu non, on a un combiner DVD-magnéto et aussi un lecteur blueray. Sinon je me sert de mon ordi et on a un retro-projecteur pour ordinateur.

Elle lui sourit en haussant les épaules.

Oh vous savez on s'adapte aux conditions, mais mes élèves n'ont pas l'air de se plaindre de ma façon d'enseigner. Enfin j'espère.

Elle regarde sa salle encore une fois, et sourit. c'est aussi dans ce genre de salle qu'elle avait fait ses études depuis petite, mais pas dans cette école, elle était dans un autre quartier.

Et vous pourquoi vous faites votre métier ? enfin disons pourquoi avoir voulu devenir PDG, à part pour l'argent bien sur ? ce métier doit pas être facile.

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Il s’octroya un nouveau sourire charismatique avant d’acquiescer d’un signe de tête. « J’ai été avocat. » affirma-t-il doucement en baladant sa main droite sur le bureau de l’institutrice. « Jusqu’à ce que je reprenne le flambeau de l’entreprise. » ajouta-t-il en jetant un regard vers une pile de cahier soigneusement empilée dans un coin du bureau. « Bonne déduction mademoiselle Thomas » sourit-il en pivotant légèrement sur lui-même et en tournant la tête vers la jeune femme, en lui adressant son plus beau sourire charmeur. L’entendre parler du charme des études d’avocats, je la dévisageais, amusé par les préjugés qu’elle en avait. « Et bien… La première année… peut-être. Mais ce sont pourtant des études passionnantes loin d’être donner par des professeurs… soporifiques. » affirma-t-il un sourire en coin « Le côté barbant au début pour faire un tri sélectif et ne garder que les meilleurs à la fin. » lui dit-il amusé, lui expliquant la façon dont il voyait la sélection.

Il la dévisagea un instant, impressionné d’apprendre qu’elle avait bien pratiqué ce sport. Pourtant, elle paraissait tellement… féminine et… fragile. Les apparences étaient donc belles et biens trompeuses, à sa grande surprise. Dans sa tête, Christopher l’imaginait déjà en short, courant dans la boue en tenant fermement le ballon, sa poitrine se soulevant à chaque pas qu’elle faisait… Et voilà qu’il repartait dans ses pensées peu catholiques. Ce n’était pas le moment, surtout s’il voulait rester maître de son corps. « Pourquoi ne jouez-vous plus ? » lui demanda-t-il intéressé. Il était d’ailleurs bien plus intéresser par ses capacités physiques et à son endurance qu’à ce qu’elle pouvait lui dire au sujet de ses élèves. Rien de bien étonnant puisque ces chiards avaient tendance à l’insupporter, et il fuyait les gosses comme on pouvait fuir la peste.

« Et bien, vous n’avez donc aucune raison d’être inquiète au sujet d’être dépassé par l’apprentissage sur de nouveaux outils » lui sourit-il avec une lueur taquine dans le regard. « Et je me ferais un plaisir de participer à votre apprentissage si vous souhaitez mon aide » lui glissa-t-il avec un sourire énigmatique. Avec subtilité, il la draguait. Il ne voulait pas paraître comme un de ses lourdauds insistants, mais il lui laissait supposer par quelques petits indices qu’elle lui plaisait. Oh bien sur, il n’allait pas non plus précipiter les choses, il savait que s’il voulait l’avoir dans son lit, il allait devoir se montrer convaincant. Mais il y parviendrait puisqu’il le voulait vraiment. Christopher Winchester obtenait toujours ce qu’il voulait, peut lui importait le temps que ça lui prenait.

Il balaye une nouvelle fois la salle du regard, le visage un peu fermé. « Oui. J’ai été scolarisé ici. Si mes souvenirs sont bons… J’étais assis-là bas » dit-il en montrant la table d’écolier du troisième rang, sur la deuxième rangée. « Vous vous servez de votre ordinateur personnel ? » l’interrogea-t-il intrigué par les moyens qu’elle avait à disposition. « Oui. Enfin… Il ne se plaigne pas parce qu’ils n’ont jamais eu l’occasion de travailler différemment peut-être. Tout comme vous, » supposa-t-il en lui adressant un sourire. « En tout cas, ça m’en apprends beaucoup. Je verrais avec la directrice afin de moderniser l’établissement au plus vite. » affirma-t-il en se dirigeant vers la jeune femme qui se tenait prêt de la porte, à côté de la sortie. « Je crois que vous m’avez suffisamment aider à comprendre les besoins de l’établissement. » lui assura-t-il en lui faisant un sourire séduisant.

Il l’invita à se diriger vers la sortie, affirmant avoir vu ce qu’il avait eu besoin de voir. En réalité il s’en serait bien passer vu les mauvais souvenirs qu’il gardait de cet endroit. Il espérait avoir été suffisamment impassible pour que la jeune femme n’ait rien remarquée du trouble qui l’avait traversé. Il s’arrêta sur le pas de la porte alors qu’elle l’interrogea sur les raisons qui l’avait mené à prendre la direction de l’entreprise familiale. Christopher se figea à son insinuation et darda un regard indéchiffrable sur elle, de toute sa hauteur. « Selon vous, je fais ça pour l’argent ? » souffla-t-il stoïque. « Je suis l’aîné de la famille. Mon frère n’aimant pas les responsabilités et n’ayant aucune idée de comment fonctionne une entreprise et ma sœur était encore qu’une enfant, il m’a fallu endosser le rôle et reprendre la direction de Winchester Industries. Si je ne l’avais pas fait. Les diverses usines que nous avons et les centres de recherches qui les accompagnent auraient pu fermer et des milliers de gens se seraient retrouvés sans emplois dans le pays. Qu’aurais-je du faire selon vous ? » déblatéra-t-il en la scrutant dans les yeux. Ce n’était pas un mensonge. Winchester industries étaient une entreprise qui regroupaient plusieurs secteurs, allant de l’aéronautique à la recherche médicale en passant par les inventions de nouvelles technologies innovantes et l’armement militaire. Elle embauchait des centaines d’ingénieurs dans les différents sites partout dans le pays, et tout autant d’employés pour confectionner à plus grande échelles les nouveautés. La Winchester Industries était connu un peu partout en Australie en raison de son statut important dans l’industrie et le monde de l’emploi. « J’aurai aussi pu rester à Canberra et continuer mon travail d’avocat… Je vous l’accorde… Mais ne pensez-vous pas que ça aurait été égoïste de ma part ? » lui demanda-t-il en esquissant un sourire.

Peut-être que mon monologue sur les responsabilités qu’il avait prises allaient peut-être l’émouvoir, du moins il l’espérait. Pour autant, il avait été un peu piqué au vif quand même vis-à-vis de sa réflexion, même s’il était de mauvaise foi. Il faisait aussi ce boulot pour l’argent, mais surtout et avant tout, pour détenir le pouvoir.

« Y a-t-il quelque chose d’autres à voir qui mériterait une petite modernisation ? » lui demanda-t-il sans quitter son regard des yeux et en lui adressant un sourire en coin.

Sujet: Re: Un nouveau bienfaiteur Ft. Christopher Sam 13 Jan 2018 - 22:28

Elle l'observe et le détail encore quand il annonce avoir été avocat, pas trop difficile comme déduction vu ce qu'il venait de dire. Elle lui sourit essayant de rester de marbre face à son sourire à lui, mais faut avouer qu'il est très agréable physiquement.

Ce n'était pas trop difficile vu ce que vous avez dit.

Elle observe sa main qui caresse son bureau doucement, ca fait bizarre de voir cet homme dans sa salle de classe. C'est comme si il n'était pas à sa place, enfin elle a pas l'habitude quoi, en tout cas, pas un homme de sa qualité. En tout cas, les études pour elle, sont passionnante, elle adore cela, mais les profs, parfois, son d'un soporifique, elle se souvient d'un cours, dans ses études pour devenir prof, le cours avait l'air tellement intéressant et le prof a fini par la faire dormir en classe.

vous avez eu de la chance alors, tous mes cours n'ont pas été donné par des profs animés si on peut dire, et pourtant ils auraient pu être super intéressant.

Elle parle beaucoup d'elle, même un peu trop, elle ne se dévoile jamais comme ca à un inconnu, car bon il reste quand meme un inconnu, ils se connaissent depuis 15 minutes, peut-etre 20. Mais bon lui annoncer qu'elle a pratiqué le rugby, lui montrera quand même qu'elle n'est pas que la petite institutrice qu'il a rencontré. Elle le regarde alors qu'il a l'air d'essayer de l'imaginer jouer, enfin c'est ce qu'elle imagine qu'il imagine.

Et bien, il arrive à un moment où on change, on grandit, et puis je me voyais mal arrivé un matin dans la classe avec un oeil au beurre noir, suite à un match un peu intense, et puis j'avais plus trop le temps de m'entrainer. Mais j'adore toujours ce sport et j'adore aller voir des matchs quand je peux. enfin je crois qu'on s'éloigne du sujet initial.

elle sourit en se rappelant la dernière fois qu'elle a fait une soirée rugby avec les copains, elle doit toujours les booster pour qu'ils soutiennent les Wallabies, enfin surtout face au blacks. Enfin elle l'écoute parler de formation, heureusement elle ne voulait pas quitter son travail, elle préfère apprendre de nouvelle chose pour s'améliorer, enfin quand il propose de l'aider personnellement elle sourit.

Nous verrons cela si j'en ai besoin, mais je garde en mémoire votre proposition.

Elle lui sourit, elle n'a pas dit qu'elle acceptait, ni qu'elle refusait, elle laisse planer sa réponse. Elle a bien comprit qu'elle lui plait, enfin il lui plait aussi, mais pour l'instant elle est pas certaine de pouvoir lui ceder ce qu'il souhaite probablement. Et puis ceder au premier venu n'est pas dans sa nature. elle le regarde alors qu'à son tour, elle lui pose des questions sur lui, et est très étonnée qu'il es été dans cette classe même à la place de Martin, élève un peu trop dynamique, enfin pour Martin, en ce qui concerne Monsieur Winchester, elle ne sait pas quel élève il était. Elle acquiesce quand il parle de son ordinateur, elle a pas trop le choix.

vous avez raison, on s'adapte aux moyens qu'on nous donne. Je vous en pris ne dite pas à la directrice que c'est moi qui vous ai dit tout cela.

Elle ne sait pas trop comment elle pourrait réagir si monsieur Winchester s'occupe de l'école, et elle ne sera peut-être pas forcément contente d'apprendre qu'il veut mettre son nez dans l'établissement. Mia le suivie vers la sortie, alors que les ouvriers avaient apparemment fini de tout installer car ils étaient déjà dehors à attendre. Mia essayait d'en apprendre plus sur l'homme qui était avec elle.

Non je ne pense pas que vous fassiez cela pour l'argent du moins seulement pour cela, je ne voulais pas vous froisser, je voulais juste ... apprendre un peu à vous connaitre, enfin on a beaucoup parler de moi, alors ...

Mia se mordit la lèvre, elle ne voulait pas sous entendre qu'il faisait cela pour de l'argent, elle avait été maladroite dans ses paroles. Elle écoute ses raisons et les comprends bien, elle les trouve même très dignes et responsables.

Je suis désolé encore, et à votre place j'aurais fait la même chose, je pense.

Elle lui sourit et le trouve très généreux, en tout cas pour l'instant il a l'air de quelqu'un de bien, enfin parfois les apparences sont trompeuse et on l'apprend souvent à ses dépends.

Heu ben la cours, mais vous l'avez aperçu déjà et pour le reste, je ne sait pas trop, le réfectoire, les cuisines, la bibliothèque et l'infirmerie, ne sont pas mon domaine, mais j'imagine qu'ils doivent être dans le même état que le reste de l'école. Je ne vais pas vous retenir plus longtemps.

Elle hausse les épaules, elle ne veut pas non plus le retenir trop longtemps il a probablement des choses à faire.

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Brooklyn Fidji Gates

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La belle blonde avait attiré attention, sans pour autant avoir joué la carte de la séduction. Il en fallait beaucoup pour ça. Peut-être parce qu’il la rencontrait dans un cadre un peu plus professionnel qu’un de ces restaurants ou boites de nuits branchés qu’il avait fréquenté. Et puis, elle avait un peu de conversation, ça changer des jeunes femmes qui défilaient dans son lit. Après tout, combien d’entre elles lui avaient demandé quel était son métier alors que quelques minutes plus tôt, il leur annonçait avoir gagné un procès pour un de ses clients fortunés ? Beaucoup trop pour les compter. « Et pourtant, sans vous parler de procès, vous en faites la déduction, c’est tout à votre honneur. » sourit-il amusé. Il n’allait pas lui dire qu’il l’avait comparé à ses anciennes conquêtes dans sa tête, ça aurait été plutôt malvenu de sa part. Lorsqu’elle lui révéla la raison de sa cessation d’activité sportive qu’elle pratiquait autrefois, Christopher la dévisagea. C’était dommage qu’elle renonce à une activité qu’elle affectionnait simplement pour ça. Avec humour, il lui rétorqua « Je ne sais pas si vous avez des fortes têtes dans votre classe, mais vous voir arrivez avec un œil au beurre noir pourrait fortement les dissuader de faire les malins. » plaisanta-t-il doucement avec un sourire en coin. « Mais je comprends votre point de vue, et puis je ne suis pas sur que votre petit ami apprécie de vous voir revenir couverte de bleus après chaque match. » souffla-t-il en regardant la salle de classe d’un air innocent. C’était un moyen comme un autre de savoir si elle était libre ou pas, quoique ce n’était pas ça qui allait le déranger. « Il y a une équipe de rugbywomen à Bowen ? » lui demanda-t-il pour montrer qu’il s’intéressait à elle et au sport qu’elle préférait. Elle suggère de se recentrer sur le sujet initial, et il acquiesça pour ne pas la braquer. Ce n’est pas dans son intérêt d’insister.

Il la rejoint sur le pas de la porte et sort après avoir fait le tour des besoins des salles de classe. L’idéal serait bien évidemment de raser l’endroit et de tout reconstruire, sauf qu’il n’a pas le monopole décisionnel et que le bâtiment ancien à son charme. « Bien » sourit-il amusé en espérant qu’elle use de sa générosité en acceptant son aide et des cours très particuliers. « Ne vous inquiétez pas pour la directrice, elle ne sera pas un problème » lui sourit-il énigmatique. « Et elle ne pourra que vous être reconnaissante de toute façon » ajouta-t-il en dardant son regard sur elle appréciant toujours autant la vue sur cette silhouette voluptueuse. Il se frappa mentalement, désobligeant. Sa réaction l’avait mis mal à l’aise ce qui l’agaçait intérieurement. Il avait pourtant fait un sans faute jusqu’ici, c’était con de se planter après avoir donné une bonne image de lui, supposait-il. « Apprendre à me connaître ? » sourit-il en plantant un regard intense sur elle. « Il n’y a pas grand-chose à dire sur moi, j’en ai bien peur. Mais j’apprécie l’intérêt que vous me portez » affirma-t-il avec douceur, « Peut-être accepterez-vous une discussion moins… professionnelle autour d’un dîner ? Nous aurons tout le loisir d'apprendre à nous connaitre ainsi, » lui proposa-t-il sans détour. Au moins, il était clair, elle lui plaisait et il voulait la voir en dehors de cette rencontre inter-professionnelle. Et puis, un dîner n’engageait à rien, et c’était relativement rare qu’il passe par ce genre de rendez-vous pour arriver à ses fins.

Alors qu’ils avaient quittés la salle de classe et qu’ils marchaient dans le couloir en direction de la sortie, Mia lui dressa une liste exhaustive des possibles nécessités de rénovation que Christopher résuma à : toute l’école. Même si la liste des travaux allaient demander de nombreux frais, il savait son investissement ne tarderait pas à lui rapporter et ça ne lui faisait pas peur de se lancer là-dedans. « Je vous remercie pour le temps que vous m’avez consacré. Je crois que j’ai toutes les informations dont j’ai besoin » souffla-t-il en se postant devant elle avec son regard intense et son sourire indéchiffrable.

Sujet: Re: Un nouveau bienfaiteur Ft. Christopher Mer 17 Jan 2018 - 21:18

Mia sourit et secoue la tête, il a l'air de lui annoncer qu'elle est intelligente alors que c'était pas très compliquer à en déduire, enfin, pour elle en tout cas.

Je vous remercie mais c'était vraiment pas très difficile.

Elle se pose quand même des questions si il la félicite pour un truc si simple alors les personnes qui l'entoure ne doivent pas être très futée, enfin probablement les femmes qui l'entourent. Elle parle de sa passion pour le rugby enfin disons ce qu'elle faisait avant et sa pratique et le pourquoi elle a arrêter. Et elle rit quand il parle de dissuader les petits malins.

Hum vous inquiétez pas, j'ai pas besoin de cela pour les dissuader, et puis j'ai pas trop de forte tête ils ont tout juste 6-7 ans, je gère encore bien cet age. Et pour ce qui est de mon "petit ami", si seulement il y en avait un pour dire quelque chose ! C'est surtout les parents d'élève qui pourraient se poser des questions.

Elle soupir, enfin en tout cas quand elle était jeune cela laissait les mecs en respect, enfin même si avec sa petite bande personne ne l'approchait de trop.

Oh non, pas d'équipe féminine malheureusement, mais quand on est jeune, on peut jouer avec des garçons.

Ils se retrouvèrent devant l'entrée de l'école. Elle ne comprend pas trop ce qu'il veut dire par je m'occupe de la directrice, enfin peut-être qu'ils sont proches ? Bon elle les voient pas ensemble Madame Jenkins a au moins 55 ans, mais qui sait. Elle remarque son regard, celui qu'il pose sur elle. Mais elle l'avait blesser enfin c'est ce qu'elle avait comme impression, et elle s'en voulait, il avait été gentil avec elle, et tout. Elle avait l'impression d'avoir réussit à s'excuser, enfin à s'expliquer surtout. Mais sa proposition d'un diner, la surprend. elle en reste sans voix et ne sait pas quoi répondre. Elle ne répond d'ailleurs pas tout de suite. Elle avait continuer sa conversation comme si de rien n'était, avant de l'entendre la remercier pour le temps qu'elle a passé avec lui. elle se mord la lèvre inférieur, elle lui doit quand même une réponse à sa proposition. Elle hésite parce que bon, mélanger le travail et la vie privée ne fait jamais bon ménage. enfin pour l'instant rien ne parle de vie privée non plus, et puis si elle se lance jamais avec le genre d'homme qu'est Christopher (enfin celui qui montre pour l'instant), elle se lancera jamais avec personne alors ...

J'accepte votre proposition, celui du diner.

Elle lui sourit et se demande vraiment si elle a fait le bon choix, mais il en fallait un donc voilà, l'avenir lui dira si elle a fait le bon choix ou non. Maintenant il sait ou la trouver, à lui d'organiser cela.

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Brooklyn Fidji Gates

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Christopher l’observait, satisfait par la tournure que prenait cette rencontre. Il devait admettre qu’il avait fait peu de rencontre aussi agréable que celle-ci depuis qu’il était revenu en ville, quatre mois auparavant. Ce n’était pas tant que ça étonnant puisqu’il passé le plus clair de son temps à travailler, se mettant à jour sur les dossiers qu’il reprenait un a un pour mieux pouvoir les gérer. Il ne s’octroyait alors, des moments frivoles que rarement depuis. Christopher l’avait subtilement complimenté sur sa vivacité d’esprit, déjà pour la flatter, mais aussi avec un brin de vérité. Jusqu’à présent, les femmes qu’il avait pris l’habitude de côtoyer à Canberra ne s’intéressaient qu’aux apparences et à la luxure pour se soucier du reste, les faisant trop souvent passer pour des écervelées qui s’étonnaient d’être jeté comme des malpropres ensuite. Christopher s’en satisfaisait amplement, lui qui ne voulait pas d’attache. Il n’avait jamais voulu se caser et encore moins fonder une famille et ce n’était d’ailleurs toujours pas d’actualité dans sa tête ! Comme il s’amusait à le penser, ce ne serait jamais d’actualité ! Pourtant, il portait un intérêt pour cette jeune institutrice ce qui le désappointé un peu malgré lui. Christopher n’était pas capable d’expliquer pourquoi. Peut-être était-ce seulement une attirance physique ? C’était certainement ça ! Il fallait juste qu’il arrive à ses fins, voilà tout ! Et ce n’était pas si simple avec une femme ayant un peu d’esprit. Peut-être qu’une fois sa curiosité rassasiée, il passerait à autre chose, comme à son habitude.

Avec subtilité, il parvint à découvrir que l’institutrice était célibataire. Bien que le fait qu’elle eut été en couple, fiancée ou même mariée ne l’aurait pas arrêté quand même, cela lui facilitait grandement la tâche. Un sourire en coin toujours affichait, il la regardait amusé. « Oh, je suis sûr que les parents d’élèves se seraient posés des questions, pour autant je ne penses pas qu’ils seraient venus vous les poser à vous. » plaisanta-t-il le regard rieur. « Là est l’art de l’hypocrisie et de la loi du silence. Voir et se taire en face. » souffla-t-il doucement. « Je vous remercie pour cette visite qui fut très instructive. » lui dit-il alors qu’il arrivait à la sortie. Alors que je suppose avoir été un peu vite en besogne puisqu’elle ne m’a pas répondu pour mon invitation à dîner, je garde un air détendu et confiant et je m’apprête à tourner les talons lorsqu’elle répond à l’affirmative. Je lui adresse un sourire en coin, ravi de cette réponse « Parfait. Que diriez-vous de vendredi soir ? 20h ? » proposa-t-il en lui lançant un regard indéchiffrable, attendant sa réponse avec impatience. Christopher avait proposé cette date puisqu’il s’agissait d’une fin de semaine et que normalement, Mia ne devait pas avoir de cours à donner le lendemain, mais peut-être n’était-ce pas idéal pour elle ?

Mia n'avait pas penser que cette rencontre professionnelle de dernière minute finirait par une invitation à diner non-professionnelle. En ce moment, enfin même depuis qu'elle rompu ses fiançailles, Mia a plutôt une vie sentimentale proche du néant, donc cette rencontre est une surprise pour l'institutrice. Et il faut l'avouer, pour l'instant le jeune PDG lui plait, physiquement mais aussi par son coté altruiste qu'il montre si ce n'est pas simplement pour plaire à la jeune femme. Et puis Mia avait hésité à accepter le rendez-vous, faut avouer que mélangé vie privé et professionnelle ne la tente pas beaucoup, elle ne veut pas avoir de problème dans son métier parce qu'elle l'adore. Elle sourit quand il parle des parents d'élèves, on voit bien qu'il ne connait pas certain parents.

Oh peut-être qu'ils ne seraient pas venus me voir en personne, mais disons que la directrice aurait pu avoir des réflexions et les rumeurs entre parents surtout vous imaginez ? * elle prend une autre voix du genre femme au foyer qui se mêle de tout* Madame Thomas doit être une femme battue vous avez vu son œil ? quel horreur ! Et quel exemple pour les enfants ?!

elle rit rien que de l'imaginer.

Même si je suis certaine d'être la cible de rumeurs, qui ne l'est pas d'ailleurs ?! je préfère quand même ne pas l'être ou du moins faire en sorte de ne pas l'être.

Elle incline un peu la tête à ses remerciements en souriant avant de lui annoncer qu'elle accepte son invitation à diner. Ne ditons pas qu'on a qu'une vie, et puis vu sa vie, laissez passer une chance comme ça serait idiot.

Hum d'accord, je suis libre. je vous donne mon numéro de téléphone pour me donner plus de détails ?

Elle sourit et attend sa réponse, il lui faudra connaitre le lieu de rendez-vous cela lui donnera une idée de la tenue à portée car on porte pas la même chose dans une brasserie que dans un restaurant étoilé, ou autre et puis il pourrait la surprendre en changeant d'idée aussi.

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