Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Sujet: Re: {Hot} (adreawells) crois-moi ce soir, je suis en feu. Dim 21 Jan 2018 - 14:32
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Sujet: Re: {Hot} (adreawells) crois-moi ce soir, je suis en feu. Lun 22 Jan 2018 - 14:26
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Sujet: Re: {Hot} (adreawells) crois-moi ce soir, je suis en feu. Lun 22 Jan 2018 - 19:08
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Sujet: Re: {Hot} (adreawells) crois-moi ce soir, je suis en feu. Lun 22 Jan 2018 - 20:00
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Sujet: Re: {Hot} (adreawells) crois-moi ce soir, je suis en feu. Lun 22 Jan 2018 - 20:28
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Sujet: Re: {Hot} (adreawells) crois-moi ce soir, je suis en feu. Lun 22 Jan 2018 - 21:08
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Sujet: Re: {Hot} (adreawells) crois-moi ce soir, je suis en feu. Lun 22 Jan 2018 - 21:31
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Sujet: Re: {Hot} (adreawells) crois-moi ce soir, je suis en feu. Lun 22 Jan 2018 - 21:59
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Sujet: Re: {Hot} (adreawells) crois-moi ce soir, je suis en feu. Lun 22 Jan 2018 - 22:28
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Sujet: Re: {Hot} (adreawells) crois-moi ce soir, je suis en feu. Lun 22 Jan 2018 - 23:03
Dernière édition par Ciàran Adreani le Mar 23 Jan 2018 - 0:07, édité 1 fois
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Sujet: Re: {Hot} (adreawells) crois-moi ce soir, je suis en feu. Lun 22 Jan 2018 - 23:25
Ciàran & Rory
crois-moi ce soir, je suis en feu
Je ne suis pas quelqu'un qui s'abandonne à la légère. A vrai dire, j'ai besoin de ne pas donner que mon physique et je savais Ciàran maniaque du contrôle. Il me l'avait laissé sous-entendre. Alors, je laisse quelques minutes après avoir partagée ce moment fabuleux avec lui. Déjà parce que je ne saurais pas comment me comporter après l'acte sexuel et ensuite parce que je voulais qu'il sache l'essentiel de moi. mon emploi du temps (enfin les deux) bien que je ne lui donnerai pas la signification du B (mes battle de danse de rue) et que je tairai certains trucs encore sur moi. mais je ne voulais pas qu'il y ait de malentendus entre nous. Alors je lui tends le dossier pour découvrir légèrement mon poignet et lui montrer les cicatrices des perfusions et opérations que j'avais subies devant ma grossesse. Je soupire lorsqu'il me pose la question avant de hocher tristement la tête. " Abigail, ma grande sœur était atteinte de mucoviscidose. Donc comme c'est monnaie courante chez les riches en Angleterre, les Powells en ont fait un second. J'ai été balloté d'hopital en hopital pendant toute mon enfance. " Je me tais un peu pour réfléchir à ce que j'allais dire. Ce passé qui m'avait mise en colère quelques heures auparavant me rendaient plus tristes maintenant. " Mère me hait. Parce que je ne suis pas parfaite et parce que je n'ai pas pu sauver son ainée chérie. Lorsqu'ils ont découverts l'homosexualité de ma sœur, j'ai pris la faute sur moi. le vilain petit canard. " Ou la princesse transformée en cygne par le mage noir. Ma mère était le mage noir. " Ils m'ont renié, répudiés même et j'ai coupé contact avec eux. Lorsque j'ai revu mère la dernière fois, c'était quand ma sœur est morte. J'allais recevoir l'étoile et j'ai couru à l'hopital délaissant le ballet. " je n'en dirai pas plus sur les conditions d'Abi morte dans mes bras qui me faisaient jurer de vivre ma vie sans me soucier des conséquences. J'avais senti que mon cœur était mort en même temps. Je fouille dans mon sac pour tirer le dossier de l'avocat encore plus lourd. " je suis en procès contre les Powells pour récupérer les effets de ma sœur. Ils me reviennent de droit mais cette salope ne veut rien lâcher. Je suis le bébé médicament qui n'a servi à rien. " ça ne m'atteignait plus vraiment. Après tout, on ne pouvait pas changer son passé. Je l'oubliai en dansant, en dansant encore et encore. Ainsi peut-être comprendrait-il comment je fonctionnai et pourquoi je refusai de m'abandonner. Je devais survivre avec un seul rein et un bout de moelle osseuse en moins mais ce n'était rien. j'avais toujours cette culpabilité de ne pas avoir pu sauver ma sœur. La seule personne qui me comprenait dans ce monde pourri. Je lève le poing en l'air lorsque mon beau brun me signale que la bouffe est en route. " Thanks god, clamai-je en faisant ressortir mon accent anglais, comprends que j'adore ton corps mais j'aime la nourriture encore plus. nous sommes censés suivre le régime strict et gnagnagna. J'en ai rien à foutre. Je mange des hamburgers si je veux. juste pas d'alcool. " Je me place plus près de Ciàran pour poser ma tête sur son épaule et tourner les pages de mon contrat de ballerine où était stipulé que je n'avais pas le droit de boire d'alcool ou de prendre de drogue. " Ah comme si le fait d'avoir des parents complètements cons n'avait pas suffi, j'ai cette merde que je traine. L'endométriose ou la maladie qui t'empêche d'avoir des enfants. " Je laisse tomber ma tête sur les oreillers en croisant les bras sur ma poitrine. Après tout, je faisais trop de sport, ça me pendait au nez. " On désire toujours ce que l'on ne peut pas avoir. " Je colle mes billes dans ma bouche que j'avale avant de soupirer. " Voilà maintenant tu sais tout et t'as un contrôle parfait sur ma vie. Allant de mon emploi du temps jusqu'à mon traitement médical. Là on peut dire que je t'ai entièrement filé le contrôle ou comment t'as dit déjà : je me suis abandonnée à toi. " Je me redresse pour enfouir ma tête dns son cou, caressant son torse dévêtu d'une main nonchalante. " T'inquiètes, je ne demande rien en retour. Comme lorsque je t'ai fait plaisir. C'est une manière de faire en sorte que ce début de relation fonctionne… " car relation, il y avait même si elle demeurait floue dans nos têtes à tous les deux et que je savais qu'il avait un " cœur de pierre ". Je pose sur lui un regard interrogateur. " Maintenant que tu sais que je suis un truc immonde et difforme, tu veux toujours poursuivre ce petit truc jusqu'à la maison ? "
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Sujet: Re: {Hot} (adreawells) crois-moi ce soir, je suis en feu. Mar 23 Jan 2018 - 0:28
Même si de ton côté, tu ne t'ouvrais pas vraiment, Rory n'hésitait pas à le faire pour vous deux. Et tu étais reconnaissant d'un tel comportement. Parce que ça te permettait d'en savoir plus sur elle et de comprendre certains de ses gestes ou ses actes. Comme plus tôt dans la soirée, par exemple. Après quelques explications, tu peux comprendre pourquoi parler de sa famille est plutôt tabou pour Rory. « Je comprends encore plus pourquoi l'étoile est importante à tes yeux. » Dis-tu en ne détachant pas ton regard de celui de la jeune femme. Tu avais vu à quel point il était important pour la ballerine de gravir les échelons. Et tu comprenais cette envie voire même ce besoin d'être la meilleure. Tu le partageais avec elle même si vos métiers étaient largement différents. Mais votre ambition, ça, vous la partagiez. « Tes parents sont des grosses merdes s'ils ne voient pas à quel point leur fille est exceptionnelle... » Tu secoues la tête, ne pouvant pas comprendre comment on peut penser de telles horreurs de son propre enfant. « Je suis désolé pour ta soeur. » Ajoutes-tu sincèrement. Tu sais ce que ça fait de perdre un être cher et tu connais la douleur qui en découle. C'est insurmontable. Peu importe ce qu'on fait ou ce qu'on essaye de faire pour aller de l'avant, ça ne passe jamais vraiment. Et lorsqu'on pense le contraire, la souffrance revient s'abattre de plein fouet avec une puissance bien pire encore qu'auparavant. Tu connaissais tout ça. Alors, tu ne pouvais qu'être compatissant en apprenant la perte de Rory. « Quand connais-tu l'issue du procès ? » Demandes-tu finalement, en fronçant les sourcils. Si la jeune Powells désirait que tu sois là au procès, tu n'hésiterais pas une seconde. Elle n'avait qu'à le demander. Parce que, contre toute attente, tu ressentais une extrême colère envers ses parents que tu te ferais une joie de leur éclater en plein visage. Quelques minutes plus tard, tu annonces l'arrivée de la nourriture à la brune et sa réaction te fait sourire. « Pourtant, tu t'es bien passée de nourriture mais pas de mon corps. » Tu hausses les sourcils, un rictus au coin des lèvres. « Pas d'alcool mais beaucoup de bouffe. » Dis-tu pour conclure. C'est tout ce que tu avais demandé, de toute façon, lors de ton appel à la réception. La nourriture ne devrait plus trop tarder à présent. Lorsque tu détailles le dossier médical de Rory, tu tiques sur un mot et tu n'hésites pas à demander davantage de détails à la concernée. L'endométriose, ça te dit vaguement quelque chose. Alors, lorsque la ballerine te donne davantage d'explications, tu hoches la tête, sourcils toujours froncés. « C'est irrémédiable ? J'veux dire aucune femme atteinte d'endométriose n'a pu avoir d'enfant ? » C'est peut-être con comme question mais c'était un peu comme la stérilité à tes yeux. Certaines femmes étaient dites stériles et pourtant, parvenaient à avoir des enfants. Du coup, tu ne savais pas s'il en était de même pour Rory ou non. « Je voulais surtout un contrôle sur ton corps et ta vie sexuelle. » Dis-tu en arquant un sourcil avant d'ajouter : « Mais je suis content de te découvrir davantage. Ça me permet de comprendre. » Et même si tu n'étais pas prêt à te dévoiler autant, tu décides quand même de t'ouvrir un petit peu. « Tu avais posé une condition sur les hommes mariés et elle est plus moins respectée. Les papiers du divorce signés devraient bientôt me parvenir. » Rory était une des premières au courant. Ton mariage n'était pas un sujet agréable à tes yeux mais à présent, il allait être derrière toi. En quelque sorte, tu te sentais plus libre et ça libérerait certainement Rory de le savoir. « Un truc immonde et difforme qui me donne beaucoup de plaisir. » Corriges-tu la jeune brune en riant légèrement. Elle était loin d'être ce qu'elle disait, Rory. Et toi comme elle vous le saviez. Tu relèves son menton pour qu'elle te regarde et déposes tes lèvres contre les siennes avec tendresse. « Mais oui, je veux toujours de toi même à Bowen. » Tu n'étais pas prêt à tirer un trait sur ce que vous construisiez tous les deux. Même si cette relation ne vous mènerait peut-être nul part, tu étais devenu bien trop accro à chaque parcelle de la peau de la ballerine. A chaque caresse, à chaque baiser. Un tout que ton corps réclamait bien trop souvent.
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Sujet: Re: {Hot} (adreawells) crois-moi ce soir, je suis en feu. Mar 23 Jan 2018 - 19:22
Ciàran & Rory
crois-moi ce soir, je suis en feu
Je sens de nouveau la haine couler dans mes veines lorsque j'en viens à parler de ma famille. Je revoyais le visage de ma salope de mère lorsqu'Abi est morte et toutes les horreurs que nous nous étions échangées. Tu n'es plus ma fille. Mais l'ai-je déjà été ? Mon père a toujours désiré un prénom d'où mon patronyme complet. Rory Charles Powells. Deux prénoms d'homme pour moi. il m'avait elevé dans ce but tandis que l'autre pétasse arriviste voulait me sacrifier pour sauver sa précieuse ainée. Elle la pensait parfaite. Désillusion. Si elle avait su que ma sœur entretenait une relation avec une de ses amies depuis des années et que je lui servais de couverture. Ma sœur n'avait jamais désirée ceci pour moi. " Elle assistait à tous mes ballets, répondis-je d'une voix plus froide que je ne l'aurai voulu, c'est elle qui m'a inscrite à l'étoile. Comme Zoé vient de le faire. Je n'ai pas voulu repasser car j'avais peur. " J'avais peur qu'un nouveau malheur s'abatte sur moi. j'avais été l'une des meilleures danseuses de la troupe de Londres me produisant dans diverses villes. Et pourtant ma sœur était toujours là. mon cœur était vide car je me retrouvais seule sur moi. au départ, je faisais ceci pour qu'elle soit fière de moi, pour voir la lueur de fierté dans son regard. puis la danse était devenue toute ma vie lorsque j'ai intégré la troupe de Sydney. J'ai mis ma vie entre parenthèses pour me consacrer corps et âme dans ce que je faisais. Je continuai de frôler la violence avec les battle illégales ou encore au stand de tir. J'en avais besoin. J'avais besoin de ce pic d'adrénaline que j'avais ressenti lorsque je m'étais battue contre Ciàran. Je savais que je perdrais le combat avant même qu'il n'ait commencé mais j'en avais eu besoin tout comme lui. pour tisser nos liens et en venir à ce moment de partage et d'intimité dans cette chambre. Doucement, je caresse mon nom complet mentionné à plusieurs reprises. Rory Charles Powells. " Mon père voulait un homme. Un digne héritier en bonne santé. Le destin lui a joué un tour assez cruel lorsque je suis venue au monde. Rory Charles Powells. Il avait beau m'enseigner à en devenir un, je suis restée une femme malgré tout. " Je ne tique pas lorsque son langage devient plus familier. Des merdes. Bien que je haïssais mes parents plus que tout, je ne leur avais jamais manqué de respect. Cependant, exceptionnelle. " Je ne suis pas exceptionnelle, Ciàran. Je suis affreusement normale. " Certes, je savais danser. Je savais baiser au vue du plaisir qu'en avait tiré l'italien mais j'étais un être humain d'une simplicité sans faille. J'avais juste cette force, cette hargne en moi qui maintenait en vie. Que je partageai avec lui. " Merci. Ça fait deux ans et j'ai fui l'Angleterre pour venir ici. " Je tique en pensant que nous étions désormais en 2018. " Non pardon trois ans puisque je viens d'avoir vingt-trois ans. Je suis le dernier bébé de mon année. Née le 31 décembre à 23h58. " Nous échangeons un regard lourd de sous-entendus et de douleur. Qui as-tu perdu Ciàran ? Je ne poserai pas la question bien que je lisais ce même sentiment qui nous liait davantage. Je sentis mon être se détendre petit à petit. " La confrontation aura lieu au printemps selon cet abruti que je paye une fortune. Toutes mes économies passent dans ce procès dont je connais l'issue. Je vais le perdre. On ne gagne pas contre les Powells. " Je lève les yeux pour fixer un point inconnu sur le mur tandis que ma main vint trouver celle de Ciàran. Je lie nos mains bien que la mienne tremblait plus que je ne le voudrais. J'allais devoir retourner en Angleterre. Je le savais. " Si d'ici là tu n'en auras pas eu marre de moi, tu voudras bien venir avec moi jusqu'en Angleterre, lui demandai-je d'une toute petite voix timide. " Avec ce moment d'intimité que je trouvais plus intense que le sexe, je me sentais plus liée à lui que les quelques minutes sensuelles que nous avions partagées un peu plus tôt. Je l'interroge du regard. J'y rencontre sa colère. La même que la mienne. mon petit cœur s'emballe malgré moi. Rory, tu es bien trop naïve si tu penses qu'un mec comme lui voudra sortir du cadre du ballet ou même d'une chambre en ta compagnie. notre relation commençait sur des bases physiques et je doutais dans le fond qu'elle les dépasse un beau jour. J'étouffe un rire en secouant la tête lorsqu'il reprend ma comparaison sur son corps avec la nourriture. Évidemment. La nourriture était un besoin essentiel pour la survie de chacun. Ciàran était comme une drogue. Je savais que je ne voulais pas arrêter et que je n'aurai de cesse que de réclamer ses caresses, ses lèvres ou sa proximité. Contrairement à lui. Je me déplace un peu pour lui faire face sans défaire nos doigts pour secouer la tête à la négative. Mon endométriose était compliquée. " C'est possible pour des femmes qui ne dansent pas dix heures par jour et qui ont un bassin aussi étroit que le mien. Tu l'as senti quand tu es entré en moi. Il ne va pas s'élargir sous des coups de rein, mon cœur. Il va rester aussi serrer jusqu'à la fin de ma vie. " Un utérus hostile. Aucune chance d'avoir une descendance. Sans doute était-ce mieux dans le fond ? J'avais peur de reproduire le même schéma que mes parents. De véritables monstres corrompus par l'argent. Voilà pourquoi je vivais simplement. Que je conduisais une épave. Que je n'avais pas un téléphone hors de prix -je n'en ai plus du tout à vrai dire- et que je portais souvent des vêtements semblables à des loques. " Et tu l'as. " je prends sa main que je viens déposer juste au-dessus de mon sein sous l'étoffe soyeuse de l'imposant peignoir de chambre d'hôtel. " T'as mon corps et mon vagin. " Et le romantisme est mort avec ma phrase. Mais je n'en avais strictement rien à foutre. Le romantisme n'est qu'une figure pour se cacher derrière des parades afin d'amadouer des jeunes femmes. je préférai de loin les forces brutes comme Ciàran. " Crois-moi t'as pas fini de me découvrir. Je suis un petit être complexe et plein de mystères. " Je ponctue ma phrase d'un petit clin d'œil aguicheur. Après tout, je me suis moi-même étonnée de ma hardiesse au lit lorsqu'il m'avait donné le contrôle. J'esquisse un sourire victorieux, lumineux lorsqu'il me parle de son divorce. " une condition sur trois, c'est plutôt pas mal. " Pour les deux autres, on verrait plus tard. La monogamie n'était pas à l'ordre du jour. Je m'approche alors de lui pour venir caresser son torse dénudé. " je n'ai pas menti toute à l'heure, murmurai-je du bout des lèvres, lorsque j'en aurai fini avec toi cette nuit, tu pourras plus baiser une autre femme sans que ça te ramène à cette nuit. " Je m'approche un peu plus de lui pour me coller à califourchon sur lui. nos étoffes respectives empêchaient nos sexes d'entrer en contact. J'en viens à caresser du bout des doigts ses avant-bras avant de l'interroger sur ma condition de monstre. J'étais pleine de mini-cicatrices qui tarissaient la perfection dont il m'avait qualifié toute à l'heure. " Et je n'ai pas fini de t'en donner, susurrai-je tandis que mes lèvres glissent doucement le long de sa mâchoire. " Je me redresse pour le regarder. Doucement, je caresse sa joue. Puis, je prends son visage à deux mains pour sceller nos lèvres. Comme si j'étais en manque de son contact. Au départ, mon baiser se fait doux mais lorsque ma langue rencontre la sienne, une chaleur s'empare à nouveau de moi et de mon bas-ventre. Ce n'était pas la même que précédemment. Mes doigts viennent se perdre dans ses cheveux que je tire légèrement tandis que mon corps rencontre le sien. " Il me semble que je te dois encore deux orgasmes pour remettre le compteur à égalité, mon cœur, murmurai-je contre ses lèvres, je ne suis certes plus capable de faire d'efforts physiques tant que je n'aurai pas ma dose de nourriture mais je peux encore en fournir pour… " De deux doigts, je le fais doucement s'allonger pour recouvrir mon corps du sien alors que mes lèvres viennent l'embrasser légèrement. " Toi, soufflai-je avec un petit sourire. " Je le regardai d'un regard brillant alors que ma main allait et venait sur son torse parfait. " Si tu veux bien te laisser faire à nouveau, je peux te montrer jusqu'où je peux aller, moi. "
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Sujet: Re: {Hot} (adreawells) crois-moi ce soir, je suis en feu. Lun 29 Jan 2018 - 17:49
« Au moins, tu as eu la preuve que ça ne servait à rien d’avoir peur, ce soir. » Avec le talent qu’elle possédait, Rory ne devait pas avoir peur de l’échec. En la voyant ce soir, sur scène, tu avais bien vu qu’elle était au-dessus des autres. C’est elle qui rayonnait. Elle qui prenait plus de place et d’ampleur sur scène. Si toi, en simple amateur de ballets tu l’avais remarqué, alors n’importe quel recruteur pouvait le comprendre. Et d’ailleurs, tu ne te trompais pas puisque ça avait été une réussite. Tu fronces les sourcils lorsque la ballerine t’explique les plans de son père quant à la vie de sa fille. Il avait tout prévu mais Rory était bien trop exceptionnelle pour se cantonner à une étiquette, à des cases. Toi, tu refusais d’avoir une étiquette également. Tu refusais d’être enfermé dans une idée toute faite. Tu préférais être un électron libre imprévisible. Et c’est sans doute pour ça, en partie, que tu ne peux pas t’attacher à d’autres personnes. Au fond, tu tiens bien trop à ta liberté. « Et quelle femme. » Réponds-tu avec un rictus au coin des lèvres. Rory t’avait prouvé à plusieurs reprises, ce soir, qu’elle était une vraie femme. Une femme capable d’en faire voir de toutes les couleurs à un homme. Une femme haute en couleurs, tout simplement. Le genre de femmes qui te plaisait, sans aucun doute. Parce que même si tu aimes les femmes dociles, tu aimes également les femmes qui ont du répondant et qui ne te facilitent pas la tâche. Tu secoues la tête en l’entendant dire qu’elle est « affreusement normale ». Rory se sous-estime et ce n’est pas la première fois que tu le remarques. Durant cette soirée, tu as pu comprendre que son assurance cachait un manque de confiance en elle évident. Néanmoins, tu ne réponds pas parce que tu n’es pas doué pour « réconforter » les gens. Tu ne sais jamais quel mot employé et souvent, quand tu t’y risques, ça se retourne contre toi. Alors, tu préfères t’abstenir en te disant que secouer la tête suffira. Par la suite, tu arques un sourcil en entendant que son anniversaire était il y a peu. Tu l’ignorais mais ce n’est pas étonnant, vous vous connaissez à peine. Et en plus, tu n’es vraiment pas doué pour retenir les dates. « Bon anniversaire. » Murmures-tu avant de déposer tes lèvres délicatement contre les siennes. « T’es un vrai bébé en fait. » Ajoutes-tu pour la taquiner sur son âge. C’est clair qu’à côté de toi, elle était plutôt jeune. Tu n’avais jamais réalisé, jusqu’ici, que dix ans vous séparaient. L’âge n’est pas vraiment quelque chose qui te dérange parce que tu vois au-delà. Une femme de ton âge peut-être totalement moins mature qu’une femme de 23 ans, comme Rory. Et inversement, bien sûr. Mais tu ne t’arrêtais pas à ce genre de détails. Ta main vient se blottir contre ce sourire timide que t’offre Rory au moment où elle te demande de l’accompagner, plus tard, pour le procès qu’elle a en cours avec sa famille. Tu trouves ça mignon, en quelque sorte, de la voir si fébrile et vulnérable. C’est plutôt rare, en fait. « Ne pars pas défaitiste. » Dis-tu d’abord avant d’ajouter : « Mais oui, bien sûr que je t’accompagnerai. Tu me feras peut-être même visité comme ça ? » Vous auriez bien un peu de temps libre en dehors des heures passées au tribunal. Et puis, rien ne vous empêchait d’y aller un peu plus tôt. Tu avais déjà visité Londres une fois, par le passé, mais rien de bien transcendant. Tu t’étais rendu là-bas pour le travail du coup tu n’avais pas eu beaucoup de temps pour les visites culturelles. Malheureusement pour toi. Parce qu’au fond, même si tu ne visites pas des masses, tu adores ça. Quelques minutes plus tard, vous abordez la maladie de Rory et tes sourcils se froncent davantage en entendant sa réponse. Tu ne sais même pas si la ballerine désire des enfants mais tu sais que c’est toujours difficile de se voir « ôter » quelque chose qui nous est légitimement dû. Toi, tu n’aurais jamais pensé vouloir d’enfant avant aujourd’hui. Mais maintenant que Gabriel était là, tu ne regrettais pas cette nuit avec Lou-Belle. Certes, c’était une sacrée responsabilité mais c’était avant tout du bonheur. Contre toute attente, Gabriel était le seul capable de te rendre heureux. Ou du moins durant les heures que tu passais à ses côtés. Lorsque Rory attrape ta main pour la poser contre son sein, ça ravive un peu ton désir et tu ne peux t’empêcher d’agripper légèrement sa peau. Tu aimes cette proximité plus que tu ne le devrais. « Chaque parcelle de ton corps. » Murmures-tu finalement avec une certaine intensité dans le regard. Tu ris légèrement en entendant qu’il y a encore des tas de choses que tu dois découvrir sur Rory. Tu n’en doutes pas, vraiment pas. Puis, sans savoir pourquoi, tu t’ouvres un peu plus et expliques à la jeune Powells que ton mariage n’est bientôt plus d’actualité. Une histoire bientôt derrière toi et c’est un soulagement. Même si ce n’était pas très contraignant étant donné que tu n’as vu ta femme qu’une ou deux fois durant presque deux ans de mariage. C’est ça les mariages arrangés. « J’ai hâte de voir si tu as relevé ce défi ou non. » Dis-tu en faisant référence à cette fameuse nuit qui ne devrait plus quitter ton esprit selon les dires de la ballerine. Toi, tu n’es pas prêt à tirer un trait sur les autres femmes de Bowen. Tu n’es pas l’homme d’une seule femme et tu le sais depuis des années. Ce n’est pas quelque chose qui peut marcher pour toi mais Rory semble bien décidée à te prouver le contraire. C’est une femme coriace, ça ne fait pas de doute. Lorsqu’elle vient se mettre à califourchon au-dessus de toi, tu passes une main dans son dos par-dessus le peignoir. L’autre vient se glisser dans ses cheveux alors que vos visages se rapprochent à nouveau. Tu arques un sourcil en entendant qu’elle n’a pas terminé de te donner du plaisir. Tu ne demandes qu’à voir alors tu la laisses faire lorsqu’elle pose à nouveau ses lèvres contre les tiennes et joue avec tes cheveux. Ta langue rencontre la sienne dans un baiser brûlant d’intensité et de désir. Un baiser qui te semble bien trop court lorsque Rory l’interrompt pour reprendre la parole. Tu laisses ton côté dominant pour quelques minutes, obéissant aux gestes de la ballerine. Tu t’allonges sur le dos, déplaçant la couverture sur le côté pour dévoiler à nouveau ton corps entièrement nu. « Je suis bien trop curieux, tu devrais le savoir. » Réponds-tu avec un rictus aux lèvres. Puis, d’un geste assuré, tu attires Rory vers toi pour que son corps vienne recouvrir le tien et que vos lèvres scellent un nouveau baiser éprit de désir.
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Sujet: Re: {Hot} (adreawells) crois-moi ce soir, je suis en feu. Mer 31 Jan 2018 - 20:46
La peur. Elle ne me quittait jamais totalement. Celle d'échouer, celle de montrer ma vulnérabilité devant un homme tel que Ciàran. Pendant des années, j'ai refusé de me donner. Pendant des années après que j'ai cette histoire fumeuse avec mon ex, j'ai refusé d'avoir d'autres relations. C'est long deux ans. Très long. On m'a forcée à me rendre à des rencards, j'ai rencontré des hommes, des femmes mais je n'ai jamais eu cette étincelle. Ou ce monstre de désir qu'il y avait au creux de mes reins comme il l'avait éveillé quelques temps plus tôt. Alors oui, j'ai peur. J'ai peur du rejet, j'ai peur de l'abandon. Je fus rejetée par mon ex, abandonnée par ma sœur. Recueillie par ma cousine et jetée par d'autres. Lors de cette soirée où je suis sortie et ce malgré moi, je suis tombée sur lui. nos lèvres se sont trouvées, nos corps se sont cherchés et j'ai pris peur. Peur de n'être qu'un nom entre des draps. Peur de n'être qu'une odeur. Et je m'ouvre petit à petit à lui. comme une fleur. Comme une rose en train d'éclore, je lui parle de tout ce qui me rongeait le cœur. Du fait que tout le monde me trouvait trop froide mais ma mère avait forgée ce masque. Je souris faiblement lorsqu'il entend parler de Charles. Mon second prénom. " je suis plus femme avec toi que je ne l'ai jamais été avec d'autres personnes, avouai-je. " je ne sais pas si pour lui, ça signifierait quelque chose. j'avais accepté d'être à lui et j'avais conscience que je pourrais tout lui donner comme il pourrait tout me reprendre. Qu'il pourrait me faire monter très haut ou me faire descendre au plus bas. Etre capable de s'abandonner pouvait être une belle preuve de courage comme une preuve de faiblesse. Pour moi, il s'agissait de la première et pour lui de la seconde. " Merci, murmurai-je avant de sourire contre ses lèvres. " J'éclate de rire avant de secouer la tête. " c'est toi qui est vieux. Regarde-moi ça, tu as des cheveux blancs, murmurai-je en passant ma main dans ceux-ci alors que mon sourire s'agrandit, ses petites rides que tu as sur le coin des yeux, mes doigts caressèrent le long de ses fossettes. " Je réponds à son baiser. Je savais que dix ans nous séparaient et que j'étais sans doute jeune. Mais sur le coup, je m'en foutais. Etait-ce la crise de la trentaine que de coucher avec une femme de la vingtaine ? Je me mets contre lui pour lui avouer pour le procès, lui montrant les documents. Je ris un peu en secouant la tête. " Non tu ne comprends pas. Mon père est Lord, un vrai Lord, il a une armée d'avocats et sa pétasse de femme… " Je me mords la lèvre inférieure, sans doute trop fort mais je réfléchis avant de lui proposer de venir avec moi. Encore un geste impulsif mais il était mon porte-bonheur. " Si tu veux. on jouera les touristes entre deux pluies. Et je te montrerai l'endroit où je n'ai jamais été aussi haute pour ensuite tomber bien bas. Mon ancienne compagnie. " J'avais tout plaqué. J'étais partie avec mes valises et je ne m'étais pas retournée. L'Angleterre ne m'avait rien apporté de bon. Et j'avais ce vain espoir que l'Australie m'amènerait plus de choses. Pourquoi pas une étoile ? A califourchon sur Ciàran, mes cuisses dénudées contre son drap, sa main se raffermit sur mon sein et je ferme un instant les yeux. Je me baisse alors pour venir effleurer ses lèvres tandis que mes doigts caressent sa peau. " On dirait bien qu'après l'endorphine, j'ai trouvé une autre passion. Ton corps. " C'est vrai, son corps était devenu une sorte de nécessité pour le mien. Dans cet espace confiné, nous nous adonnions à quelques confidences. Le savoir divorcé me suffit. Je ne lui demanderai jamais de renoncer aux autres femmes mais je voulais marquer sa peau. Je voulais que son esprit m'appartienne à défaut de son corps. Mon sourire s'agrandit alors que j'amène doucement sa main pour déposer mes lèvres au creux de son poignet. " Tu ne le sais pas encore. mais c'est déjà fait, souriais-je. " Je fais alors remonter doucement mes lèvres le long de son bras pour finalement le faire s'allonger après avoir échangée un baiser d'une certaine intensité. Tout mon corps se remit à vibrer en sentant ses lèvres sur ma peau. J'ai alors un petit sourire alors que je me retrouve étendue sur lui. " Nous avons toute la nuit devant nuit, commentai-je. " j'ouvre à mon tour, le peignoir que je jette pour me coucher sur lui, reprenant le chemin de mes baisers, ne me souciant plus de rien, de plus rien mise à part nous deux dans cette superbe bulle.
rp terminé
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Sujet: Re: {Hot} (adreawells) crois-moi ce soir, je suis en feu.
{Hot} (adreawells) crois-moi ce soir, je suis en feu.