| | Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l' Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite. |
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| trouble, trouble (christopher) | |
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Auteur | Message |
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Invité | Sujet: Re: trouble, trouble (christopher) Sam 24 Fév 2018 - 18:59 | |
| Silence. Christopher laisse son regard la détailler des pieds à la tête, dubitatif. Il la trouve bien naïve, cette jeune femme. Après le court échange qu’ils ont eus, elle a bien du se rendre compte que Christopher n’était pas du genre à laisser quoique ce soit au hasard et à ne pas donner sa confiance aussi facilement. En fait, il n’est pas du genre à la donner tout court. « Et puis quoi encore ? » lui répliqua-t-il en la regardant comme si elle avait quelque chose sur le nez. Christopher la dévisage alors que son regard bleu s’assombrit. D’accord, c’est un connard, il le reconnaît sans problème, mais ressemble-t-il à l’un de ses hommes sans envergure ? Est-ce ça, ce qu’il reflète ? Qu’il fait chanter des femmes pour avoir leur corps ? Pour le coup, il n’est pas seulement vexé, il est furieux. « Je n’ai certainement pas besoin d’en arriver à une telle bassesse pour satisfaire ma vie sexuelle mademoiselle ! » gronda-t-il avec férocité, tant la colère transpercé sa voix. Christopher avait-il l’air d’avoir besoin de recourir à ce genre de stratagèmes et de subterfuges pour avoir des femmes ? Vraiment, ça le dépassait. Cette gamine n’avait donc aucune jugeote et il allait la remettre à sa place, de ce pas. « Vous pensez sérieusement que votre physique vaut la peine que je m’y intéresse ? » tonna-t-il sans se soucier d’être blessant envers elle. Il ne décolère pas pour autant et son regard furieux reste ancré sur elle alors qu’elle proteste sur la durée du deal. « Vous préférez peut-être deux mois ? » répliqua-t-il aussitôt. « Je suis certain que… votre vie est passionnante… » commenta l’homme d’affaire avec sarcasme en appuyant sur le mot passionnant. Après tout, elle avait le temps pour rentrer par effraction chez les gens, non ? Au moins, Christopher veillera à l’occuper suffisamment pour ne pas à ce qu’elle récidive pendant un mois, et avec un peu de chance, ça la calmera pour l’avenir. Si ça, c’est pas de l’altruisme ! Finalement, il lui annonce qu’il la ramène à son domicile. Et pour cause ? Il veut pouvoir voir ses papiers d’identités pour commencer, et en sachant ou elle habite, il pourra venir la chercher si elle essaye de passer à travers. Comme quoi, Christopher n’est pas du genre à faire confiance, même pour un Deal. Il se dirige vers la porte qu’il ouvre et il invite la jeune femme à passer devant avant de fermer la porte de son appartement, cette fois-ci, correctement. « Bien, allons-y alors, nous y réglerons les détails de notre arrangement. » l’informa-t-il en se mettant en route à sa suite. Il l’imaginait bien vivre dans un studio ou bien dans un appartement avec des colocs bizarres, peut-être un peu hippie ! |
| | | Invité | Sujet: Re: trouble, trouble (christopher) Lun 26 Fév 2018 - 22:09 | |
| Qu'est-ce qu'elle en savait si la vie sexuelle de cet homme était active ou non ? Elle avait des doutes face à son caractère, mais peut-être que des femmes aimaient le côté mystérieux qu'il offrait, le côté méchant aussi. Il fallait des goûts pour tout le monde, mais elle se demandait simplement comment il arrivait à draguer la gente féminine s'il n'avait pas l'esprit plus ouvert. Peut-être que c'était sa faute, qu'il n'agissait pas avec les autres comme il agissait avec Anka parce qu'elle s'était incrustée chez-lui. Et c'était compréhensible quelque part. Il finissait par sortir une remarque sur le physique de la jeune femme à laquelle elle répondait d'un froncement de sourcil. Elle ne faisait pas peur, loin de là, elle était choquée, frustrée. Elle ne s'estimait pas aussi belle que les femmes dans la lumière, celles qui avaient le droit à des titres parce que leurs corps résumaient la perfection. Mais personne ne l'avait trouvé horrible à ce point. « Désolée de ne pas être à votre goût. » Elle soufflait, de toute façon, ça aurait plus ressembler à un viol s'il lui avait demandé une faveur sexuelle, ce n'était pas son genre de donner à un homme ce qu'il voulait alors que le cœur n'y était pas. Sauf qu'elle ne pouvait pas lui dire, tout comme elle ne pouvait pas avouer que le reste du charme qu'il restait à cet homme venait de s'envoler. Pour passer au-dessus de frustration, elle venait limiter ses relations avec lui, ça ne durerait qu'une semaine, pas plus. Sauf qu'il augmentait, un mois. Un mois de sa présence. Si elle enlevait sa pseudo-colère, elle ne pouvait pas lui consacrer du temps sur cette période, entre son boulot et ses études, son temps disparaissait. Déjà qu'elle essayait de s'appliquer dans le deuxième pour ressortir avec un diplôme valable dans ce pays. « Un mois, ça marche. » Elle faisait un geste de sa main, pour qu'il n'augmente pas encore la date. Un mois dans sa vie, c'était pas beaucoup après tout. Elle tournait cette phrase dans sa tête et ça sonnait comme son pire cauchemar, ne sachant pas si la tâche allait être difficile ou non. Dans le passé, elle avait toujours été au service des autres, contente d'aider, mais pas dans ce cas-là. « C'est pas parce que j'suis pas avocate que je n'ai pas une vie chargée. » Elle se permettait de faire cette remarque, même si elle ne connaissait pas les conséquences. « En fait, qu'est-ce qui me dit que vous n'allez rien dire à la police ? » Il pouvait se servir d'elle et derrière en parler aux flics, ça l'effrayait un peu de se faire manipuler de la sorte pour qu'elle comprenne que ce qu'elle avait fait était mal.
Il lui demandait de le guider chez-elle, ce à quoi elle répondait par une grimace et l’être colérique qui dormait paisiblement dans sa conscience commençait doucement à se réveiller. Tout ce qu’elle construisait comme mensonge, comme excuse, les choses qu’elle proposait tombait à l’eau. Et maintenant, elle devait guider un type qui voulait la manipuler chez-elle pour des papiers. Elle se grondait elle-même lorsqu’elle passait le pas de la porte, attendant qu’il ferme à clef. Elle voulait pleurer tellement ses nerfs étaient tendus, mais elle se contentait de garder une petite tête, un léger sourire crispé au visage. Elle ne comptait pas lui parler pendant le chemin, elle n’avait rien à lui dire, elle n’était pas sa pote et lui avait autant d’estime pour une feuille morte que pour Anka. Ce duo était terrible, mais il s’avançait dans les rues. « Vous vous appelez comment en fait ? » Pour être certaine qu’elle ne guidait pas un criminel chez-elle, qu’il finirait pas par venir la tuer pendant son sommeil. Les pas s’accumulaient et ils finissaient par tomber devant un grand immeuble. « Voilà ... » Mais elle supposait qu’elle ne devait pas s’arrêter là, alors elle tapait le code pour passer les barrières et lui tenait la porte à de multiples reprises alors que l’envie de le laisser dehors était forte. Elle sortait sa clef de sa poche arrière et ouvrait la porte de son appartement. C’était spacieux et en même temps, elle n’avait pas voulu montrer la fortune qui s’y cachait derrière en ne faisant rien de trop dans la décoration. Il y avait bien ses trucs mignons qui traînaient un peu partout, mais c’était un appartement de jeune, à la base. Pas d’un couple bien rangé. Sur le comptoir à l’entrer, elle prenait son porte-feuille avant d’y sortir sa carte d’étudiante, c’était la plus proche. « Vous l’avez votre preuve maintenant. » |
| | | Invité | Sujet: Re: trouble, trouble (christopher) Mer 28 Fév 2018 - 19:12 | |
| Son regard perçant ne la quittait pas des yeux. Il n’avait aucune confiance en cette jeune femme, et s’il voulait s’amuser un peu avec elle, il n’en restait pas moins prudent. Christopher était bien décidé à garder le contrôle de la situation et a s’assurer d’avoir toutes les cartes en mains pour ça. D’où l’importance de voir ses papiers d’identité et de pouvoir la localiser si jamais elle choisissait de passer outre la sanction qui lui avait imposé. En soi, il se posait en éducateur pour une jeune femme imprudente. Elle avait eu de la chance de ne pas tomber sur un homme dangereux. Mais son impétuosité avait réussi à lui faire oser le ton, ce qui était plutôt rare chez cet homme la plupart du temps imperturbable. « Ne vous excusez pas pour ça! Ce n’est pas de votre faute si la nature ne vous a pas gâtée. » répliqua-t-il imperturbable. Lui qui était si souvent dans le ton de la flatterie et de la galanterie, les remarques acerbes et déplacées qui sortaient de sa bouche en étaient surprenantes. Christopher était bien conscient que ses mots étaient durs, et c’était bien volontaire. S’il paraissait être un homme abject, ça ne le dérangeait pas. Elle l’avait provoquée en sous-entendant qu’il voulait qu’elle lui offre ses charmes en gage de son silence, et ça l’avait vraiment vexé. Alors elle pouvait bien être blessée par ses propos, ça lui en était bien égal, c’était même le but recherché par l’homme d’affaire. Finalement, ils tombèrent d’accord pour un mois. Du moins, la jeune femme avait compris qu’il valait mieux éviter de tenter de négocier avec Christopher puisqu’elle avait cédée rapidement à un mois alors que le blond avait suggéré d’augmenter le temps de travail, l’étalant sur deux mois. Il était en position de force, et il adorait ça. « Parfait. Vous commencez dès demain. » lui indiqua-t-il avant de sortir de l’appartement. La réplique de la jeune femme lui arracha quand même un sourire en coin qui ne présageait pas forcement une remarque agréable à entendre. « Votre vie n’est pas suffisamment chargée si vous avez le temps de vous introduire chez les gens sans y avoir été au préalable invitée. » lui fit-il remarquer avec sarcasme. Et il était vrai qu’elle n’avait aucune preuve qu’il n’irait rien dire à la police, pour autant, il ne s’en formalisa pas, se contentant de sourire, comme s’il avait cette façon agaçante d’avoir réponse à tout. « Vous allez devoir me croire sur parole pour commencer. Mais… J’établirais un contrat que je vous ferais signer demain. » l’informa-t-il pas le moins gêné du monde alors qu’ils marchaient pour se rendre jusqu’à l’immeuble d’Anka ou Lily-Rose, difficile à dire… « Ou se trouve mon intérêt à aller en parler avec la police ? tant que vous respectez le marché. » ajoute-t-il sur un ton un peu plus adouci que jusqu’à maintenant. « - Christopher Winchester. » Se présenta-t-il sans détour. A présent, elle pouvait très bien faire le lien avec la firme nationale qu’il dirigeait. La Winchester Industries employés un quart des ouvriers qualifiés vivant à Bowen et ses alentours et les industries de l’entreprises s’étendaient sur tout le continent Océanien. Même si Christopher n’avait pris les rênes que récemment, l’entreprise avait toujours portée ce nom, créer par la mère de l’homme d’affaire, trente ans plus tôt. Ils arrivèrent à l’immeuble, et Christopher l’observa taper son code, s’assurant qu’elle n’essaierait pas de lui filer entre les doigts. Satisfait qu’elle soit rendue si facilement, il la suivi à l’intérieur, découvrant ainsi son appartement. Il était fonctionnel et plutôt spacieux. Assez bien rangé, bien que la déco qui y régnait n’était pas vraiment à son goût. Et étrangement, pas de colocataire hippie, fumant le calumet de la paix sur le canapé, en vue. Pendant qu’il observait l’environnement elle fouillait dans son sac pour en sortir une carte étudiante qu’il prit à peine le temps de regarder. «Une preuve? ça? C’est facile de contrefaire une carte d’étudiant. » lui dit-il en la lui remettant dans la main. « Une pièce d’identité ou un passeport. » lui dicta-t-il en croisant les bras contre son torse sans la quitter du regard. Il sortit son portable n’oubliant pas qu’il devait lui demander son numéro, histoire de pouvoir la joindre lorsqu’il en aurait besoin. « Quel est votre numéro de portable ? » lui demanda-t-il juste après avoir rejeté sa carte d’étudiante. |
| | | Invité | Sujet: Re: trouble, trouble (christopher) Dim 11 Mar 2018 - 0:11 | |
| Lorsqu'il sortait, sans expression, que ce n'était pas de sa faute si elle était née avec cette tête, elle restait le regarder quelques longues secondes, sans émotion, puis elle finissait par hausser simplement les épaules. Les traits de son visage, sa mâchoire carrée ou ses grands yeux étaient les seules choses qui pouvaient la rapprocher de ses parents biologiques, qui pouvait lui répondre à une question qui lui était venue si souvent ; à quoi ils ressemblaient, eux ? Elle n'en savait rien, elle ne savait pas même s'ils étaient toujours vivants et même si elle avait reçue quelques moqueries sur sa différence lorsqu'elle était jeune, elle s'en foutait bien. Elle avait des complexes comme tout le monde mais n'allait pas cracher sur ceux qui l'avaient mit au monde, ceux qui lui on permit de lui faire voir le monde. Même si les critiques piquaient son coeur, elle faisait avec et restait reconnaissante de ces gens. Elle n'allait pas piquer une crise en criant qu'elle aurait voulu naître différemment, parce que c'était faux. « Demain ? » Pas possible, elle avait un examen à réviser pour la semaine suivante, elle ne pouvait pas se permettre de louper ça en servant un inconnu. « On ne peut pas un autre jour ? » Demandait-elle avec une douce voix, même si intérieurement, elle boudait. Il répliquait, disant qu'elle devait bien avoir du temps libre pour s'introduire chez les gens. Ce n'était pas faux et c'était ça qui la rendait folle. Elle ne pouvait rien répliquer parce qu'il avait réponse à tout. Elle grognait pour elle-même. Rien à faire, elle allait devoir supporter. « D'accord ... » Un contrat. Anka ne pouvait s'empêcher que se servir de quelqu'un était quelque chose d'horrible, que si elle avait tout fait pour rendre son mari joyeux en faisant les choses quotidiennes dans le passé, c'était différent que de le faire pour un inconnu qui serait forcément insatisfait, puisqu'il semblait vide de toute émotion. Elle avait trop peur pour faire n'importe quoi, ne pas obéir et en faire des siennes. C'était pour ça qu'elle se retrouvait dans cet appartement sans doute, parce qu'elle ne voulait pas passer pour une lâche ou une faible. Ça ne lui attirait que des ennuis. Sur le chemin de son immeuble, elle lui demandait son prénom et lorsqu'il le balançait, elle tournait son regard vers lui avant de les retourner vers la route. « Vous n'êtes pas avocat. » Il ne pouvait clairement pas l'être, peut-être qu'il l'avait déjà été dans le passé. Mais maintenant c'était une autre histoire et elle ne savait pas si elle devait être un peu plus intimidée. Mais pour l'instant, c'était presque lui qui voulait mentir le plus. Entre son métier, le fait qu'il veut rajouter des choses contre elle à la police si jamais elle se retournait contre sa proposition. Peut-être qu'il mentait même sur son nom, sauf qu'elle ne connaissait pas la tête du Winchester, l'homme d'affaire. Après avoir pianoté le code sur la grille d'entrée et avoir manié de ses clefs pour la porte d'entrée, elle finissait par prendre sa carte étudiante sur le comptoir à côté de la porte de son appartement. Ça lui semblait suffisant pour ne pas le faire attendre, pour ne pas le faire rentrer dans son monde. « Je n'ai pas que ça à faire ... de la contrefaçon. » Répondait-elle sincèrement avant d'hausser les épaules. Elle savait inventer des morceaux de vie, mais ne savait pas falsifier des papiers, c'était beaucoup trop voyant. La brune finissait par traverser son appartement, toujours avec l'homme de vu pour ne pas qu'il puisse se mettre à chercher ses papiers, tout seul. La carte en main, elle sortait également un post-it et un crayon pour pouvoir écrire ce qu'il souhaitait ; son numéro de portable. Maintenant c'était certain qu'elle ne pouvait plus s'enfuir. « Tenez, vous pouvez m'envoyer un message si vous voulez pour que je vous prouve que c'est bien le mien. » Puisqu'il semblait pointilleux sur tout, elle préférait avoir de l'avance sur lui. Elle se plantait devant lui, son regard fixant le sien pour analyser la moindre émotion. Peut-être le voir déçu du fait qu'elle ne mentait pas, qui sait ? « Voilà ... » Finissait-elle par dire, le suppliant presque de partir dans cette phrase. |
| | | Invité | Sujet: Re: trouble, trouble (christopher) Dim 11 Mar 2018 - 16:10 | |
| La froideur est ce qui caractérise cet homme. Christopher est un homme dur, critique que rien ne semble atteindre. S’il blesse cette jeune femme, ça lui est égal. Après tout, c’est elle qui a provoquée cette situation. Elle tente de négocier, et ça fait sourire l’héritier. Un sourire narquois qui laisse présager qu’une négoce n’est pas à envisager avec lui. « Non. » réponds-t-il stoïque malgré la tentative de la jeune femme de l’amadouer avec une petite voix douce. - Anka a écrit:
- « Vous n'êtes pas avocat. »
Il lui adresse un regard agacé et froid alors qu’ils arrivent en bas de l’immeuble ou elle est censée vivre. « Vraiment ?» fit-il autant agacé. La contrariété le gagnait. Cela faisait six mois qu’il avait quitté le barreau de Canberra pour reprendre Winchester Industries, et son métier lui manquait un peu. Même s’il n’était plus au barreau de Canberra, son diplôme d’avocat était toujours valide. A l’appartement, il doute quand même. Les fausses cartes étudiantes sont monnaies courantes, comme pour les fausses pièces d’identités, surtout dans la tranche d’elle qu’elle fait. « Permettez-moi de remettre votre parole en doute. » lui répliqua-t-il sans ciller alors qu’il prends le numéro de téléphone qu’elle lui tends, inscrit sur un bout de papier. Il sort son portable et compose le numéro. - Anka a écrit:
- « Tenez, vous pouvez m'envoyer un message si vous voulez pour que je vous prouve que c'est bien le mien. »
« J’en avais l’intention. » fit-il en appelant le téléphone d’Anka pour vérifier qu’il s’agissait bel et bien de son numéro. La sonnerie qui retentit dans la pièce le lui confirma. « Parfait. Je vous attends demain à 18h chez moi. » lui indiqua-t-il alors en rangeant son téléphone. « Je suppose que… vous saurez retrouver le chemin facilement. » la nargua-t-il avant de tourner les talons. « Oh et… soyez ponctuelle. » lui ordonna-t-il alors qu’il avait horreur des retardataires. Il prit alors le chemin de la sortie, trouvant finalement que cette soirée sortait un peu de l'ordinaire, pour son plus grand bonheur. |
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