Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Sujet: Hideshi&Jaeden + Anonymous CIA's agents Club Dim 1 Avr 2018 - 17:05
Anonymous CIA's agents Club
feat Jaeden.
Bon, on ferme. Marshall, t’as vérifié qu’il y avait plus personne ? - Ouais c’est bon. Tu levas un sourcil, intrigué. Tu ne savais pas si tu l’étais davantage par le fait qu’ils avaient probablement involontairement activé le haut parleur, ou par leur vérification a priori ratée. Tu t’apprêtais à appuyer sur le bouton de l’ascenseur lorsque les lumières s’éteignirent. Voilà ce que c’était de se motiver à aller faire quelques courses juste avant l’heure de fermeture. Tu haussas les épaules et appuyas sur le bouton de l’ascenseur, histoire de voir s’il fonctionnait encore. Négatif. Au loin, tu entendis le bruit de la serrure de l’entrée du centre commercial. Oh. Kuso... Quelqu’un arriva en courant derrière toi. Tu te décalas, le laissa à son tour appuyer sur le bouton. Rien ne se passe. Comme dans les jeux Pokémon quand Magicarpe utilise Trempette. Laisse tomber, ils sont partis. On va passer la nuit ensemble, je crois bien. Hé mais, tu l’avais déjà vu. C’était celui qui t’avait ramassé ton porte-feuille il y avait quelques mois. Tu repensas à l’époque où tu avais une mémoire totalement normale et où parfois il fallait presque qu’on te hurle dans les oreilles pour que tu entendes. J’ai un chargeur de portable, des sushis pour 5 et de la bière, on devrait passer une bonne soirée, déclaras-tu avec ton sourire que beaucoup qualifiaient de sourire de psychopathe.
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Sujet: Re: Hideshi&Jaeden + Anonymous CIA's agents Club Mar 8 Mai 2018 - 0:21
Le brun fronçait les sourcils, les yeux pointés sur un haut-parleur. Bien sûr qu’il y avait quelqu’un, il n’était quand même pas le dernier ? Jaeden savait se faire discret la plupart du temps, mais pas au point qu’on l’oublie, il n’était pas non plus invisible avec sa grande taille. Et en même temps, il ne pouvait s’en prendre qu’à lui-même, il n’avait pas été forcé d’aller faire une course de dernière minute. Il aurait pu se contenter de la présence de ses enfants même endormis, mais visiblement, il préférait savoir que de l’alcool coulait dans son sang. À chaque fois qu’il se sentait submerger, il ne pouvait pas faire autrement que de boire et la plupart du temps, il n’y avait plus rien chez-lui. Comme si Siam ou une personne qui tenait un peu trop à sa santé et son mental venait vider ses bouteilles. Il ne voulait pas être vu pour ce qu’il était, il ne voulait pas être un alcoolique aux yeux des gens, alors il était hors de question de se promener dans un magasin d’alcool ou dans un bar parce qu’il voulait rentrer vite. Sauf qu’il en venait à oublier qu’il n’était plus dans sa grande ville des États-Unis et qu’ici, à Bowen, les magasins ne restaient pas ouverts toute la nuit. Le jeune homme reposait ce qu’il avait entre les mains, s’avançant vers l’ascenseur d’un pas pressé ; il n’était peut-être pas trop tard. Il ne remarquait même pas la personne à ses côtés lorsqu’il commençait à appuyer. Normalement il aurait gardé son calme, il n’aurait pas été aussi obstiné, mais il avait l’image de ses enfants seuls chez-lui et il se sentait terriblement sale de les avoir laissé ainsi, comme un père indigne. Jaeden finissait par abandonner après avoir entendu cette voix derrière son dos qui lui disait qu'ils allaient passer la nuit à se porter compagnie. Avant de tourner le dos, il tapotait sur l'écran de son portable pour que Siam passe chez-lui pour Tohann et Lynn, prétextant ne pas pouvoir partir parce qu'il faisait quelque chose d'important. « J'espère qu'on ne se prendra pas sur la gueule si on doit rester une nuit ensemble alors. » Disait-il en riant, se retournant vers son interlocuteur. Il eut une sueur froide en voyant qui il était, mais ne perdait pas son sourire, il forçait pour ne pas faiblir, ne pas passer pour un type qui avait peur alors qu'une de ses préoccupations depuis des mois était de mourir des mains de ce type, persuadé qu'il était surveillé par la CIA. « On a même plus que ça. » Il faisait référence au fait qu'ils étaient enfermés dans un centre commercial, que si jamais il n'y avait plus assez de sushis, ils pouvaient toujours aller en chercher dans les rayons. Mais c'était bien la dernière chose qu'il avait envie de faire ; manger, boire ou encore parler avec ce type. « Puis j'ai plus soif que faim, donc j'ne vais pas te racketter tes trucs. » Il n'avait même pas soif, il voulait simplement boire dans l'espoir d'attendrir ses pensées, que ça arrête de marteler dans son crâne. Il se calait contre le mur, se laissant glisser jusqu'au sol, sans réellement se relâcher complètement, il n'était pas à l'abri d'un mauvais coup de l'autre homme.
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Sujet: Re: Hideshi&Jaeden + Anonymous CIA's agents Club Mer 9 Mai 2018 - 9:39
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feat Jaeden.
Tu ne savais pas trop si tu es content de partager cette nuit avec quelqu’un d’autre, ou si tu aurais préféré être seul. Si tu avais été seul, tu aurais probablement fini par casser un carreau quelque part pour pouvoir sortir, car flemme de rester enfermé. Ils sont quand même pas très fute-fute, ces gens. Tu haussas les épaules. Ouais, ptêtre Ryoku, j’ai pas vraiment d’avis, répondis-tu à voix basse. Tu reposas le regard sur le pas si inconnu. Tant que tu me touches pas et que tu n’hurles pas, il devrait pas y avoir de problèmes. Tu ne savais pas pourquoi tu détestais tant que l’on te touche sans prévenir. Ryoku savait, il avait fait part des raisons à Nemu et à quelques autres alters apparemment désormais dormants. Toi, tu n’en n’avais pas la moindre idée. De toutes façons, entre ça et la manipulation mentale que tu avais subie pendant ton adolescence, il valait mieux que tu sois amnésique de tout ça.
Tu ne répondis rien à ses autres remarques, n’en voyant pas l’utilité. Il se laissa glisser sur le sol, tu pris place face à lui. Tu aimais être pouvoir observer chaque fait et geste des personnes avec qui tu étais, surtout que vous étiez dans le noir. Tu t’assis en tailleur et sortis l’une des barquettes de sushis. California rolls crispy avocat saumon, les meilleurs. Ce n’était tellement pas un repas typique du Japon… Portant un maki à ta bouche avec les baguettes en bois cheap, tu posas ton regard sur l’inconnu. Il avait l’air très… stressé. Détends-toi hein, j’vais pas te buter même si c’est vrai que j’ai l’air bizarre. Tu mangeas le maki qui t’attendait au bout des baguettes avant de reprendre. Tiens, prends ça, dis-tu en lui tendant l’une de tes canettes d’Asahi.
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Sujet: Re: Hideshi&Jaeden + Anonymous CIA's agents Club Mar 15 Mai 2018 - 1:18
Jaeden tournait légèrement la tête, l’entendant murmurer sans pouvoir entendre clairement les mots qu’il disait. S’il voulait s’adresser à lui, c’était mal parti. Ça ne faisait que le rendre méfiant. Il était bien trop épuisé de sa journée pour faire fonctionner son cerveau correctement, commencer à analyser cette personne dans son dos. Ce n’est qu’en se retournant que son sang se glaça. Il venait à penser qu’il aurait préféré être seul dans cette aventure, qu’il ne voulait pas être enfermé avec ce type. Être enfermé avec une personne qui racontait sa vie sans s’arrêter, qui pleurait à n’en plus avoir de voix pendant une nuit entière lui aurait fait ressentir une sensation plus agréable. « Normalement il n’y a aucune raison qui me ferait crier et encore moins te toucher. » Il voulait renvoyer un sourire plutôt amusé, mais préférait quand même s’installer loin de lui, sans que ce soit grillé qu’il redoutait ses mouvements. Il s’asseyait simplement à l’endroit où il avait essayé de s’enfuir, mais ses yeux ne quittaient pas son partenaire qui s’approchait pour finalement se poser face à lui. Échec. Il essayait de faire en sorte que ses émotions ne remontent pas à la surface, qu’il ne laisse rien transparaître sur son visage. Quand il lui disait de se détendre, il soufflait parce qu’il s’était fait repérer, qu’il n’arrivait plus aussi bien à cacher ses émotions. En même temps, il avait l’impression que les battements de son cœur résonnait dans tout le magasin. « Tu te dis bizarre parce que tu as des tatouages … voyants ? » Il n’allait pas lui avouer que ce n’était pas parce qu’il était bizarre qu’il s’inquiétait, mais parce qu’il savait presque ce qu’il avait derrière la tête, qu’il était persuadé qu’il était là pour surveiller. « Et je suis détendu, ne t’inquiète pas pour moi. » Il ne savait pas si ça allait passer comme mensonge, mais c’était la seule chose qu’il s’autorisait de dire. Jaeden n’utiliserait jamais l’excuse des enfants qui attendent dans son appartement de peur que cet homme vienne s’en prendre à eux. Moins il disait, mieux il pouvait se porter. « Merci. » Disait-il en prenant une canette. Il s’était promis de freiner sur l’alcool, surtout que Siam allait arriver chez-lui, s’il venait à rentrer éméché, ça n’allait pas bien de passer. « Tu avais prévu une soirée en groupe ? » Plus il faisait de conversation, moins l’autre aurait l’occasion de lui sauter dessus.
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Sujet: Re: Hideshi&Jaeden + Anonymous CIA's agents Club Mar 15 Mai 2018 - 9:50
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feat Jaeden.
Me toucher inclut me tapoter l’épaule pour attirer mon attention, précisas-tu. Et ça, il y avait davantage de risques que ça arrive que de risques qu’il ne te crie dessus. Ca non plus, tu ne savais pas pourquoi tu ne le supportais pas à ce point. Il paraît que ce genre de choses, dans le cas des personnes avec TDI, était lié aux traumatismes durant l’enfance. Probablement. Tu n’en savais rien.
Tu t’installas face à lui et commenças la première barquette de makis. Un délice. Tes parents faisant partie des classes supérieures, il t’était déjà arrivé d’en manger plusieurs fois au Japon. Tu ne t’en souvenais pas énormément, comme pour tout ce qui concernait ton enfance. C’était très flou. Tu te dis bizarre parce que tu as des tatouages … voyants ? Tu levas les yeux vers lui, tentant de réprimer ton sourire trop carnassier… sans grand succès. Entre autres, répondis-tu. Je suis particulièrement fier de celui-là, continuas-tu en montrant le tatouage de larme au coin externe de ton oeil gauche. Ta manche tomba un peu, laissant voir celui de la montre sans aiguille, au milieu des autres tatouages sur tes mains.
Ceux-là, tu ne savais pas quand est-ce que tu les avais fait. Selon Dane, c’était ton compagnon de cellule qui t’avait tatoué. La larme pour les meurtres. La montre sans aiguille pour la peine à perpétuité. Temps figé. Tu eus une pensée pour la CIA qui t’avais conseillé de la fermer sur la vraie version des faits. Comme si tu en avais quelque chose à faire. Mais c’est surtout car je parle seul et que je suis pas sain d’esprit que je dis ça. Tu continuas ton repas avec les cinq autres californian makis - qui, comme leur nom l’indiquait, étaient plus américains que japonais - puis tendis une canette de bière au presque inconnu. Boire allait sûrement le détendre un peu. Il l’accepta et te remercia avant de reprendre la parole. Absolument pas. Sinon, je n’aurais pas fait mes courses si tard. Enfin, pour toi il n’était pas tard. A Los Angeles les magasins fermaient plus tard. A Tokyo, ils restaient même ouverts toute la nuit. Enfin, que les kombinis.
Tu sortis ton porte-feuille de la poche de ta veste pour prendre tes médicaments. Médicaments qui ne semblaient pas être là. Alors qu’il fallait que tu les prennes tous les jours. Tu le vidas billet par billet, pièce par pièce, carte par carte, le secouas vers le sol. Une dernière pièce tomba. Lève-toi, on part en exploration, déclaras-tu en te levant, laissant ton portefeuille et son contenu au sol. J’ai oublié de remettre mes médocs dans mon portefeuille la dernière fois que je les ai pris hors de chez moi, on va devoir forcer pour rentrer dans leur réserve. Tu auras des makis en remerciement de ton aide, ajoutas-tu.
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Sujet: Re: Hideshi&Jaeden + Anonymous CIA's agents Club Sam 19 Mai 2018 - 14:49
« Je note. » Jaeden voulait déjà éviter tout contact avec lui, ne serait-ce que lui parler l'ennuyait et ce uniquement parce qu'il angoissait de ne plus jamais se réveiller, de ne plus voir ses enfants grandir. Depuis quelques mois mûrissait l'idée qu'il allait se faire tuer dans cette ville qu'il ne pouvait quitter. Fuir ne servait à rien avec ceux qui étaient à ses trousses, ils savaient comment le retrouver et il ne voulait pas être comme un fugitif. Il ne comprenait pas ce qu'il avait fait, ce qu'il avait dit pour laisser croire qu'il allait dévoiler des secrets, dire ce qu'il avait fait ou vu lors de missions. Sur son passé, sa carrière, il était quelqu'un de discret, n'ayant dévoilé à personne son ancien boulot, utilisant simplement ce qui était sa couverture personnelle. Aujourd'hui, soit il continuait de l'utiliser, soit il faisait son mystérieux, changeait de conversation. Le brun regardait les tatouages qu'il présentait, plissant les yeux. Est-ce qu'il était en couverture, que ses tatouages étaient des faux ? C'était la seule manière possible que la CIA l'ait recruté. Ou alors, peut-être qu'ils s'étaient décidés d'engager des prisonniers pour exécuter des gens, histoire qu'il n'y ait pas trop de sang sur les mains des agents, que si cette personne se faisait griller, ils n'auraient qu'à dire qu'il s'était échappé. « Je vois ... » Se contentait-il de dire en fronçant les sourcils. Peut-être que des personnes ne savaient pas la vraie signification de ces tatouages et que ce type pensait qu'il ne savait pas non plus, ou simplement il voulait lui faire peur. Mais depuis la dernière fois, il n'avait pas besoin de ses tatouages pour que Jaeden se sente un peu chamboulé. Pas sain d'esprit. Quoi ? « Ça doit arriver à des gens de parler seul, il ne faut pas se penser pas sain d'esprit pour ça. » Il essayait d'avoir plus d'information indirectement. Et quelque part, ce n'était pas faux ce qu'il disait, des gens parlaient seuls pour se remémorer des choses ou encore râler. « Ok, ok. » Soufflait-il. Il n'avait rien de prévu ensuite, personne ne s'inquiéterait d'où il se trouverait Jaeden prenait une gorgée de sa boisson, regardant ce que cet homme sortait de sa veste, toujours un peu angoissé. Mais ce n'était qu'un porte-feuille qu'il vida de son contenu un par un. Le brun essayait d'en profiter pour voir la fameuse carte qu'il avait vu l'autre fois, pour être certain qu'il n'était pas en pleine paranoïa pour rien. Il finissait par l'ordonner de se lever. « Ça fait quoi si t'as pas tes médocs ? » Il haussait les épaules, pas qu'il ne voulait pas l'aider, il était juste septique. « Ça t'empêche ce que tu dois faire de toute façon ? » C'est-à-dire le tuer. « J'ai clairement la flemme d'aider un type qui va me faire un sale coup dès que je n'aurais plus les yeux sur lui. » Le brun gardait son calme, comme toujours, même si l'angoisse le rongeait, il n'était pas du genre à montrer ses mauvaises émotions si facilement.
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Sujet: Re: Hideshi&Jaeden + Anonymous CIA's agents Club Sam 19 Mai 2018 - 19:43
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feat Jaeden.
Techniquement, je ne parle pas seul. Mais bon, peu importe. C’était bien ça, le problème. Tu espérais qu’il passe rapidement à un autre sujet.Tu n’avais pas envie de t’attarder sur le sujet. Tu n’avais pas spécialement envie de sortir ton cv psychiatrique, c’était un coup à le faire paniquer pour de bon. Quitte à devoir passer de longues heures ensemble, autant que ça se passe dans les meilleures conditions possibles. Problème, tu n’avais pas la moindre idée de comment s’y prendre pour rassurer les gens, qui plus est un total inconnu dont tu ne connaissais pas même le prénom.
Ton premier repas terminé, tu sortis ton porte-feuille, où tu avais toujours un jour de médicaments rangé avec les billets. Vide. Merde. Tu soupiras longuement intérieurement. La soirée allait être plus mouvementée que prévue… toi qui voulait passer la soirée à te déguster avec attention tes makis. Injustice. Ça fait quoi si t'as pas tes médocs ? Tu te retournas. Je pense que tu préfères éviter de le savoir et j’ai pas envie de revivre ça… Tu hésitas entre inventer une maladie physique pour être sûr qu’il t’accompagne ou dire la vérité. Hm. C’était probablement mieux d’être honnête, si tu voulais avoir sa confiance. Je suis schizophrène. Mais je vais rien te faire hein, avec ou sans mes médocs. C’est surtout que ce genre de traitement est important pour ma stabilité. Mais bon. Mais bon, tu préférais quand même pouvoir les prendre. Tu avais déjà blessé plusieurs personnes en délire psychotique mais mieux valait éviter de lui dire que ton psychiatre s’était retrouvé aux urgences après que tu lui ai planté un couteau dans l’abdomen.
Tu allais reprendre la route lorsqu’il reprit à nouveau la parole. Tu te retournas à nouveau, sourcils froncés. Mais qu’est-ce qu’il racontait ? Pardon ? M’empêcher ce que je dois faire ? Je crois que l’alcool ça te va pas. Et pourtant, il en avait bu autant que toi. C’est à dire très peu. Et ce n’était pas une bière à cinq pour cent d’alcool qui allait le rendre ivre. Quoique, peut-être qu’il y avait une autre explication. Oui j’ai déjà tué des gens, je sors de prison, si tu fais partie des rares qui doivent se souvenir de quand l’affaire est passée aux infos aux Etats-Unis et que c'est ça qui te fait flipper. Mais je n’ai absolument aucune envie ou intérêt de te tuer. J'ai mieux à faire, soupiras-tu.
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Sujet: Re: Hideshi&Jaeden + Anonymous CIA's agents Club Mar 22 Mai 2018 - 17:00
Quelque part, il ne voulait pas se montrer plus curieux sur ce sujet, même s’il crevait de savoir qui était cet homme qui était une menace à sa vie. Il ne voulait pas savoir par quelle mentalité il allait possiblement se faire tuer, ça ne ferait que le dégoûter de savoir qu’il risquait de périr sous les balles de n’importe qui, un homme qui ne dictait même pas sa propre conscience. C’était ce qu’il supposait qu’il voulait dire, parce qu’il ne connaissait pas les vraies raisons et qu’il ne voulait pas creuser. Il ne voulait pas ne pas le connaître par peur de s’attacher, non, il n’était pas comme ça Jaeden, il pouvait se révéler être un bon ami, mais il ne s’attachait pas vite pour sa propre protection, il faisait attention aux personnes qui l’entouraient, qu’elles n’aient pas de mauvaises pensées. Il se contentait de passer à autre chose, essayer de ranger ça dans un coin de sa tête. Espérant simplement que quelqu’un viendrait les sortir de cet endroit rapidement avant qu’il finisse par donner son dernier souffle. Quoi que. Peut-être que c’était le mieux à faire, de rester dans cet endroit parce que l’homme ne devait pas être abruti, il devait bien savoir qu’il y avait des caméras de surveillance et ça serait la pire action de l’assassiner face à ça. Sauf si c’était une provocation. L’autre brun était en recherche de quelque chose dans son porte-feuille avant de lâcher qu’il n’avait plus ses médicaments, qu’il fallait trouver une sortie. « Si tu le dis. » Jaeden aimait mieux être prévenu pour ne pas se retrouver avec un homme à l’agonie ou en crise sous les bras. Il n’était pas médecin, loin de là et depuis quelque temps, il réglait les problèmes par la fuite. « Mh. Ok. » Schizophrène. Il connaissait les bases de ce trouble sans vraiment le connaître complètement, comme plusieurs personnes finalement. Mais ne s'inquiétait pas plus, parce qu'il avait toujours été du genre à ne pas fuir ou éviter les personnes avec des problèmes mentaux ou physiques. L'appel de fuite sonnait autrement à ses oreilles et toute la version qu'il s'était fait tout à l'heure s'était effacée. Et s'il avait étudié les lieux pour savoir exactement où les caméras ne filmaient pas ? Il connaissait ce cas mais l'avait complètement oublié. « Merde, remet pas mes questionnements sur l'alcool, c'est inutile comme réflexion. » Il ne criait pas, il était simplement blasé qu'on puisse lui dire que ses paroles ne sortaient qu'à cause de l'alcool. Jaeden ne cherchait pas à dire ce qu'il avait en tête parce qu'il pensait que cet homme savait parfaitement de quoi il voulait parler. Il finissait par dire qu'il avait tué des gens, qu'il sortait de prison, mais sa tête ne lui revenait pas, sans doute parce qu'il devait être plus occupé à être en dehors des États-Unis à cette époque et qu'il avait eu mieux à faire. « C'est une couverture, c'est ça ? » Même si tout ce qu'il disait avait l'air sincère, c'était la seule chose qui pouvait lui expliquer sa carte. « C'est quoi ton rapport à la CIA ? Me dit pas que tu n'as aucun rapport avec elle parce que j'ai bien vu ta carte. » Il n'avait pas checké son nom, il avait simplement retenu son visage, peut-être bien qu'il l'avait volé. Qui sait ? « Pourquoi ils auraient ressorti un type qui doit purger une peine à perpétuité pour autre chose que pour tuer ? » Et qui en plus avait un problème mental ? Il ne comprenait pas. Il avait juste l'impression que c'était les dernières paroles qu'il prononçait, même s'il faisait de son mieux pour ne pas crier pour respecter ce qu'il lui avait dit tout à l'heure ; ne pas le toucher, ne pas crier.
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Sujet: Re: Hideshi&Jaeden + Anonymous CIA's agents Club Lun 28 Mai 2018 - 15:29
Anonymous CIA's agents Club
feat Jaeden.
L’inconnu ne s’attarda pas davantage, que ce soit sur tes “monologues” ou ta schizophrénie. Merveilleux. Flemme de le rassurer. Tu avais assez donné comme ça avec le gosse qui avait failli t’envoyer à garde à vue. En plus, vu qu’à l’époque tu n’avais plus d’ordonnance à cause de la conne de psychiatre, tu n’avais même pas pu boire la canette de coca qu’il t’avait généreusement proposée, convaincu qu’elle avait été empoisonnée sur ordre de la CIA. Mais après tout, vu que tu étais lié à la CIA, peut-être que ce genre de délire typique de la schizophrénie n’en n’était en réalité pas. Il faudra que tu penses à demander au père du con s’il savait si la CIA avait ou non le projet de t’empoisonner, tiens.
Tu lui jetas un rapide regard hautain lorsqu’il sembla commencer à s’énerver après que tu aies parler d’alcool. Un ancien alcoolique ? Ou peut-être pas ancien, d’ailleurs. Ce n’était que la vérité, le fait que l’alcool fasse délirer. Et comme on dit, il n’y a que la vérité qui blesse, paraît-il. Tu tenteras plus tard de lui faire boire tout le pack de bière, pour voir si à un moment il dira non. Au moins, il n’avait pas crié. Bien. Tu n’avais pas envie que quelqu’un vienne à nouveau te voler ton corps. Pourquoi ? tu n’aimes pas mon magnifique chat ?! Tu levas les yeux au ciel en entendant la voix indignée de Nemu. Tu allais lui répondre, mais l’inconnu reprit à nouveau la parole. Quoi ? C’était quoi encore, ce délire, là ? Quelle couverture ? De quoi il parlait ?
C'est quoi ton rapport à la CIA ? Me dit pas que tu n'as aucun rapport avec elle parce que j'ai bien vu ta carte. Pourquoi ils auraient ressorti un type qui doit purger une peine à perpétuité pour autre chose que pour tuer ? Tu levas les yeux au ciel pour la deuxième fois de la soirée, cette fois avec un long soupir lassé. C’était donc ça. Juste un type parano. Putain, décidément tu n’avais pas de chance. Tu tombais toujours sur des trouillards à chaque fois qu’il t’arrivait un imprévu. Je suis amnésique donc je pourrai pas te donner les détails, mais en résumé, ils m’ont volé mon adolescence, ma nationalité et forcé à les rejoindre. Paraît que les psychopathes c’est bien pour résoudre des enquêtes car ils ont rien à foutre des lois et sont prêts à tout pour réussir, mais moi je les emmerde. Tu trouvais que c’était un assez bon résumé. Pourquoi tu crois que c’est toi que je devrais tuer si c’était pour ça qu’ils l’avaient fait ? Déjà que quand ils me demandent de faire ce pour quoi je suis payé, la plupart du temps je leur lève joyeusement mon majeur, alors tuer quelqu’un dont j’ai rien à faire… ils peuvent toujours aller se faire foutre. Autre chose à faire, genre, au hasard, la fac.
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Sujet: Re: Hideshi&Jaeden + Anonymous CIA's agents Club Lun 4 Juin 2018 - 23:47
Jaeden en était certain de ce qu’il affirmait, que cet homme n’était pas à Bowen au hasard, qu’il n’aurait pas pu choisir cette ville s’il n’avait pas d’arrière pensée derrière. C’était tellement perdu de tout, il y avait tellement mieux à voir en Australie. Même s’il tenait à sa ville natale, elle n’était sûrement pas la plus belle qu’il avait pu contempler dans ce pays, il aurait toujours une attache particulière, mais il n’était revenu uniquement pour être plus proche de sa famille après sa rupture, prétextant que ça lui permettrait de passer plus de temps avec eux bien qu’il ne voyait que son père pour lui donner ses enfants quand ça lui arrangeait et sa sœur, c’était plutôt aléatoire. Il craquait, lui disant que ça ne servait à rien de jouer avec lui, c’était bien quelque chose qu’il détestait, bien qu’avec certaines personnes il ne se privait pas de jouer. Ça avait été son métier, il connaissait un peu comment ça fonctionnait et peut-être que le déménageur serait tombé dans le panneau s’il n’avait pas vu sa carte. Quelque part, Jaeden aurait préféré rester dans l’ignorance, ne pas se soucier chaque jour de si c’était le dernier. Le brun restait calme pour ne pas aller contre lui, attendant sa réponse. Un schizophrène amnésique ? C’était la meilleure et ça devait bien être une excuse pour ne pas parler. Il essayait de déceler une faille lorsqu’il parlait, pour lui donner tort. L’inconnu ne comptait pas le tuer, il ne savait pas s’il devait douter ou être soulagé, sûrement un peu des deux. « J’vais pas savoir te dire si c’est ‘bien’ pour résoudre des enquêtes, mais tu devrais faire attention à ce que tu dis sur eux. » Ça pouvait rapidement le guider vers la fin, ses paroles. Jaeden faisait attention à tout ce qu’il disait à son psychologue spécialisé et il n’avait jamais évoqué ça à une personne qu’il ne connaissait pas avant aujourd’hui. Et encore, il n'avait pas dit qu'il en avait fait parti, il n'avait évoqué la carte. « Donc ils laissent un type condamné à vie se balader dans les rues en sachant qu'il ne fera rien ? T'as bien dealé tes vacances. » Quelque chose n'allait pas, il refusait d'y croire. « Pourquoi Bowen ? » Ses médicaments pouvaient patienter encore un peu.
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Sujet: Re: Hideshi&Jaeden + Anonymous CIA's agents Club Mer 6 Juin 2018 - 23:55
Anonymous CIA's agents Club
feat Jaeden.
Tu ricanas à son conseil. T’es schizo aussi pour penser qu’ils m’écoutent H24 ? A croire qu’il connaissait mieux que toi la CIA. Qui sait, c’était peut-être le cas. Dans tous les cas, une chose était sûre. Tu n’avais aucunement l’intention de le tuer. Il commençait à être chiant, mais tu restais blasé face à lui. Il en faudrait encore beaucoup pour qu’il éveille une étincelle de pulsion meurtrière chez toi. A l’inverse, la rage commençait à monter, à force de parler de la CIA. De toutes façons, ils me tueront pas. S’ils m’ont fait sortir c’est qu’ils ont besoin de moi. Et puis ils contrôlent beaucoup trop ma vie pour que le simple fait que je donne mon avis menace ma vie..., ajoutas-tu en désignant ton bracelet électronique. Tu étais sûr que tu avais aussi une puce électronique qui traînait quelque part sous ta peau pour te contrôler à distance. Parfois, tes alters ne réussissaient pas à tout expliquer.
Je viens de le dire. Ils ont sûrement besoin de moi, ces connards. Mais ils auront juste droit à mon majeur. M’enfin, j’dis ça mais je sais qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent de moi. J’suis juste... Un robot ? Un esclave ? Un cobaye ? Le résultat d’expérimentations ayant détruit ton cerveau. Peu importe, soupiras-tu. Pourquoi Bowen ? Qu’est-ce que j’en sais. Sûrement car c’est loin de Los Angeles et surtout, bien paumé. J’aurais dû m’barrer faire mes études au Japon, mais schizophrénie. Et à cause de ça, tu t’étais retrouvé entre les mains de scientifiques tarés sous les ordres de la CIA, continuant des expérimentations censés être terminées depuis les années soixante-dix.
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Sujet: Re: Hideshi&Jaeden + Anonymous CIA's agents Club Ven 22 Juin 2018 - 23:58
Lorsqu'il l'écoutait, ses idées se mélangeaient, peut-être qu'il avait jugé trop vite, qu'il n'était pas là pour le tuer mais uniquement pour le surveiller. Parler d'une manière trop relâchée de la CIA et voir ses réactions, voir ce qu'il pouvait dire dessus. Mais il ne comptait pas se lâcher, il ne comptait pas dire qu'il avait compté dans les infiltrés de cette agence. Les années ne le rendaient pas moins silencieux, jamais il ne comptait dire un mot sur son ancien métier, ce qu'il avait été mené à faire, ce pour quoi il avait enquêté. Et ce n'était pas parce qu'il était parti de lui-même qu'il fallait être suspicieux. De toute façon, il ne pouvait plus faire grand-chose à l'époque, dès qu'il forçait de trop, il se mettait à boiter légèrement, mais c'était déjà bien trop pour être réactif en cas de problème. C'était une des seules choses qu'il regrettait de cette altercation foireuse quelques années auparavant lors de sa dernière mission. Il roulait des yeux, lorsqu'il parlait de schizophrénie pour le caractériser, se demandant par ailleurs si ce n'était ceux qui étaient atteints d'handicap qui se plaignaient le plus qu'ils étaient utilisés à tort. Lui ça ne semblait pas le déranger. Peut-être parce que la réponse était obvious, tellement qu'il ne prenait pas la peine de répondre. Il fronçait des sourcils, dire et faire c'était différent et lorsqu'il ne finissait pas, ça le laissait perplexe. Il s'estimait comme quoi, lui ? « Et pour l'instant ils t'ont demandé de ne rien faire ? » Il s'en fichait bien des autres, il voulait juste savoir s'il devait tuer quelqu'un et essayer d'être rassuré sur le fait que sa vie n'était pas en danger. Ça phrase confirmait que c'était eux qui l'avait envoyé sur place, qu'il ne l'avait pas fait de son plein gré. Alors même s’il le confirmait des centaines de fois qu’il ne comptait pas le tuer, il restait sur ses réserves. Son argument tenait quand même, c’était loin, même si ce n’était pas le point le plus éloigné, qu’il aurait mieux fait d’aterrir au milieu de l’Europe pour bien faire. « Des études au Japon ou ailleurs, y’a pas grandes différences. » Le système scolaire était différent, il pouvait l’accorder. Mais il avait entendu dire plusieurs choses sur les étudiants japonais qui étaient surmenés, alors pourquoi vouloir faire ses études là-bas ? Peut-être bien qu’il était japonais et que c’était uniquement pour ça, il voulait retourner dans son pays. D’ailleurs, pourquoi lui plutôt qu’un autre ? Qu’est-ce qu’il avait de si particulier comparé aux autres schizophrènes ? Il ne posait pas la question parce qu’il ne voulait pas repartir dans un débat ou l’énerver, se levant juste. « Allons chercher une sortie. » Il commençait à prendre le pas pour un autre côté du centre commercial.
Tu soupiras, ne cherchant même pas à montrer ton agacement. Fais-moi plaisir. Ferme ta gueule, lâchas-tu. Il commençait sérieusement à te taper sur le système, avec sa parano à deux balles. S’il continuait, tu allais avoir envie de le pousser par-dessus la balustrade pour le faire taire. Ca faisait longtemps que tu avais vu le sang de quelqu’un d’autre que toi… ça te manquait presque. La dernière fois, c’était celui de Keith. Tu espérais qu’il était bel et bien mort et enterré, depuis tout ce temps. Mais en même temps, tu trouvais ça étrange que son père n’ait pas porté plainte contre toi, ayant été témoin du meurtre de son fils. Tu ne comprenais pas. C’était pour ça que tu croyais qu’il était toujours vivant dans un coin de la ville, prêt à te sauter dessus au moment où tu t’y attendras le moins. Pourtant, à chaque fois que tu voyais Russell, tu voyais la douleur dans ses yeux, dans les traits de son visage.
Ton compagnon d’infortune reprit la parole, ne te laissant qu’à peine profiter du silence que tu avais réussi à lui imposer. Je m’en fous de leur système scolaire, c’est ma ville natale qui m’intéresse. Tu ne savais même plus depuis combien de temps tu n’avais pas parlé japonais à quelqu’un d’autre que toi - ou qu’à l’un de tes alters. A son langage corporel, tu voyais que ses pensées filaient à toute allure. Tu soupiras longuement. Allons chercher une sortie. Tu le regardas faire, sourcil haussé. Euh, non. Tu commenças à le suivre, silencieux, tentant de faire oublier ta présence. Une fois que tu eus l’impression qu’il pensait t’avoir semé, tu repris la parole. Tu comptes casser une vitre et déclencher les alarmes ?, commenças-tu avant d’avaler l’un des sushis au thon. Hm. J’ai connu meilleur, déclaras-tu en haussant les épaules.
Le métis étouffait un rire lorsqu’il lui demandait de fermer sa gueule. L’homme rajoutait plusieurs éléments à sa liste des raisons de pourquoi il était détestable. Et Jaeden même s’il redoutait de se faire planter une balle dans le crâne, oubliait sa peur pour laisser une entière place à l’agacement. Il ne voulait pas passer sa nuit entière à tourner en rond dans ce magasin en attendant qu’un garde daigne faire acte de présence. Seul le silence pouvait l’aider à se concentrer, alors quelque part, ça l’arrangeait plus lui que l’autre. Le tatoué venait à parler de sa vie s’il n’avait pas atterrit dans les services de la CIA, ce à quoi il ne pouvait pas réellement répondre autre-chose qu’un haussement d’épaule. Il avait été habitué à se demander comment sa vie aurait été si sa femme ne l’avait pas trompée, s’il n’alimentait pas sa haine envers elle, détruisant plusieurs années d’amour pour une nuit d’égard. Il s’était demandé dans quel pays il serait, s’il n’avait pas été contraint de quitter son activité d’agent. Mais Jaeden savait bien qu’il ne pouvait pas faire sa vie sur des hypothèses, qu’il fallait attendre là où ça le mènerait. Il n’aurait pas de vie avec sa femme et il était arrivé à Bowen. C’était les seules réponses aux questions. « Je vois. » L’inconnu était arrivé à quel âge aux États-Unis ? Et quand est-ce que c’était la dernière fois qu’il avait vu son village natale ? Sûrement que plus personne là-bas ne devait le connaître et vu le métier qu’il était forcé de faire, il n’allait pas spécialement être bien vu. Mais chacun avait ses enfants, Jaeden n’allait rien redire dessus. Le déménageur se levait avant de lancer qu’ils pouvaient maintenant chercher quelque chose. Il ne s’attendait pas spécialement à être suivi, la présence de l’autre le dérangeait même. Ils n’allaient pas être rapide s’ils ne se dispersaient pas. Tant pis. Il soufflait, roulant des yeux avant d’envisager plusieurs options de sorties. « Et moi j'ai connu mieux comme partenaire. Puis ils ne sont pas assez con pour ne pas mettre des vitres anti-effractions. » De plus, ils étaient bien trop hauts pour descendre sereinement. Il ne doutait pas de ses propres capacités en escalade, mais plutôt en celles de 'l'autre'. « Tu peux pas aller chercher quelque chose pour nous aider ? Je ne vais pas sortir sans toi, tu sais. » L'avoir dans son dos ne le rassurait pas non plus pour une question de sécurité, il ne pouvait pas savoir ce qu'il s'y tramait. Finalement, il se débrouillait pour être seul quelques instants, assez pour se décider de la meilleure manière de sortir. Parce qu'il n'était plus d'humeur à chercher des manières compliquées, qu'il n'était pas assez con pour faire griller son ancien statut. Une minute suffisait, quelques secondes avant d'entendre un bruit aigu envahir l'entièreté de la salle. La sonnerie de sécurité. Le brun ne perdait pas plus de temps pour retrouver son acolyte. « La police devrait arriver dans quelques minutes. » C'est comme ça qu'ils allaient s'en sortir. « J'ai rien à me reprocher, toi de même. C'est juste pour attirer l'attention et qu'ils nous sortent d'ici. » Disait-il calmement, las de la situation. Le bruit n'était que très peu supportable à côté du silence si satisfaisant, mais c'était l'unique moyen.
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