(gisellen) i never gonna let you down

Se couché de soleil était magnifique, mais la femme avec qui tu partageais ce beau septale offert par la nature te plaisait encore plus. A en perdre la tête, même. Pourquoi avait-elle ce pouvoir de séduction qui t'attirait tant et qui te faisait perdre tes moyens ? No sai. Mais elle avait ce truc que qui faisait que tu ne pouvais pas décoller ton regard de ses courbes. Tu voulais passer ta nuit avec elle, et puis même encore d'ailleurs. Pourquoi ? Elle te fascinait. Et puis elle venait du même pays que toi, et ça jouait beaucoup dans cette histoire, il faut avouer. « Cela ne me déranges de côtoyer des femmes plus vieilles que moi » répondis-tu à Gisella avec un petit sourire. Mais pour toi, elle devait avoir le même âge que toi, ou sinon, elle était très bien conservée. Alors lorsqu'elle t'annonça qu'elle avait passé la trentaine, tu étais légèrement choqué, mais cela ne te dérangeait pas comme tu lui avais précisé plus tôt. « Eh bien tu ne les fais pas, crois moi » répondis-tu dans un souffle avant de reposer tes lèvres sur les siennes. Les baisers doux que tu pouvais donner avant c'était transformés en quelque chose de plus passionnel et sauvage. L'alcool, le lieu, beaucoup de choses jouaient en cette faveur. L'italienne accepta alors de te suivre jusqu'à ton appartement, pour continuer de passer la soirée ensemble même si l'on ne va pas se le cacher, tout le monde sait très bien comment cette histoire va se terminer. Vous preniez alors le chemin sur ta belle moto, comme tout à l'heure. Elle avec ton casque, et toi sans. Mais heureusement, tu n'habitais pas très loin de la plage, à même pas 5 minutes de bolide. Une fois à l'intérieur, la jeune femme te plaqua contre la porte d'entrée et commença à jouer en t'embrassant dans ton cou ce qui te fit frissonner. Tu jetas un rapide coup d'oeil pour voir si Anka n'était pas là mais elle semblait être sortie alors tu intensifiais chaque baiser de la belle Sicilienne en passant tes mains sur ses courbes. « Commençons par ma chambre, veux-tu ? » répondis-tu lorsque la jeune femme te demanda de lui faire visiter l'appartement. Tu positionnais tes mains sous ses fesses afin de pouvoir la porter jusqu'à ta chambre où la nuit pouvait commencer. Tu pris soin de fermer la porte une fois que vous étiez à l'intérieur et vous vous écrouliez tous les deux sur le lit. Tes mains se baladèrent le long de son corps pendant que tes lèvres parcoururent chaque des parcelles de son cou.

Ça faisait longtemps que l'Italienne ne s'était pas octroyé ce genre de choses. En fait, il était bien rare qu'elle se laisser aller autant. Toujours mystérieuse avec la gent masculine, séductrice née, elle ne leur donnait pas aussi rapidement les gâteries qu'ils réclamaient. Elle les laissait savourer le moment, rêver à leur prochaine rencontre, saliver devant ce qu'ils ne pouvaient pas atteindre aussi facilement qu'ils l'auraient cru. Elle laissait leur coeur palpiter sous l'imagination de leur tête, feu déclencher sans avoir le droit de l'éteindre. Mais dès leur premier regard, dès leur premier toucher, Gisella avait su que cette rencontre n'avait rien d'habituel. Rien de normal. Allen était différent. En quel sens, elle ne pourrait le dire précisément. Ces choses-là se sentaient. Elles étaient présentes dans l'air, dans les paroles auxquelles il lui laisser boire la vérité et dans ses touchers qui définissaient leurs envies communes.
Arrivés chez lui, les baisers s'étaient intensifiés prenant plus de place et plus de courbe que sur la plage, sans de furtifs regards pour capter les scènes intimes qui semblaient découler de leurs douceurs. De ses mains baladeuses, encouragées par les gestes de la brune, Allen découpait au couteau le corps de l'Italienne. La pression de ses doigts contre sa peau fine et bronzée avait la sensation d'un feu brûlant, menaçant une explosion. Et sans plus attendre, le feu déjà à semi-consommé, ils s'échappèrent vers son repère. Il guida sa belle jusqu'à l'entre de sa chambre, refermant derrière lui la porte, avant de se retrouver face à elle. Leurs lèvres, toujours en manque l'une de l'autre, s'assemblèrent à nouveau alors que leur corps se laissait tomber contre le matelas. À cet instant, le coeur de la belle palpitait fort, très fort, alors que les mains d'Allen parcouraient sa peau et que ses lèvres se frayaient en chemin vers son cou. Elle ferma les yeux laissant un gémissement de plaisir s'échapper de ses lèvres maintenant libre. Ses mains à elle voyageaient contre le dos de l'homme, au travers de ses vêtements. Elle titillait les boutons de sa chemise, en dénouant un au passage l'air un peu joueuse. Lèvres mordillées, elle attendait sa réaction pour accélérer le pas.