Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
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STATUT : i’ll be yours for a thousand lives. (married to sahar ♡)
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: i can't face the dark without you (niels) Jeu 28 Mar 2019 - 15:34
Il savait qu'il détenait entre ses mains un trésor d'une valeur inestimable, parce-qu'Aelya lui avait confié son cœur sans même ciller, même en sachant qu'il avait le don de détruire ce qu'il touchait. Et pourtant, elle lui faisait confiance. Comme lui le faisait avec elle. Il avait envie de voir son âme se lier à la sienne pendant des siècles encore, son corps prêt à vagabonder auprès du sien jusqu'à l'épuisement, jusqu'à ce que la mort ne vienne les séparer. Il aurait eu envie de crier sur les toits du monde qu'Aelya était sienne, parce-qu'il avait l'impression que cette information n'était pas claire dans l'esprit de tous. En réalité, il savait très bien que lorsqu'elle dansait pour ses clients, il n'avait aucunement sa place, que leur relation devait rester secrète pour qu'ils puissent s'imaginer qu'elle n'était qu'à eux le temps de quelques minutes. Niels détestait ça, de devoir la partager, même si ça n'était qu'une illusion. Il comprenait en réalité, que ces hommes en manque d'attention puissent voir en Aelya un échappatoire à leur solitude, parce-qu'en un regard, elle parvenait à illuminer un quotidien morose pour lui donner de la vie et des couleurs. C'était elle son rayon de soleil, elle qui le sauvait des ténèbres destructeurs, sa main accrochée à la sienne lui insufflant cet espoir dont il avait besoin pour garder le cap. Il l'avait attendu en rentrant de son service, réfléchissant à la manière dont ils allaient devoir aborder le sujet, sachant déjà qu'il allait avoir du mal à garder son calme. La jalousie le rendait fou, assombrissant son regard, lui donnant soudainement l'envie d'aller régler ses comptes avec cet inconnu qui se permettait de s'immiscer dans sa vie privée. Il soupira à sa réponse, conscient qu'elle avait raison, qu'il débloquait sûrement à cause de ses ressentiments et de la peur qui s'éprenaient de lui lorsqu'il songeait à une troisième personne. « J'en sais rien Aelya. J'sais pas ce que j'dois penser ni faire quand je vois ce genre de mots. » Avoua-t-il, tirant sur le joint pour se donner une contenance. Il avait entendu qu'elle souhaitait lui rappeler qu'ils vivaient ensemble, qu'ils partageaient toujours ce cocon qui n'appartenait qu'à eux, quand bien même certaines personnes ne semblaient pas le comprendre. Même s'il ne le montrait pas, il se sentit soulagé de sentir son contact qui l'apaisait dans les tourments de sa jalousie, calmant cette tension par le biais de sa peau chaude contre son corps. « C'est pas rien Aelya. Ça commence par ça, ça finit bien pire. J'ai pas envie de savoir que tu sois en danger même si clairement... j'vois bien qu'il a envie de tout sauf de te faire du mal. » Souffla-t-il, faisant référence aux mots qu'il avait pu lire sur cette note accrochée au bouquet. Il retrouva son regard après quelques secondes, peinant encore à faire redescendre la colère. « On peut pas rester les bras croisés bébé, je peux pas accepter ça. » Ses doigts caressaient doucement sa peau, cherchant à son tour à établir le contact parce-qu'il ne pouvait tout simplement pas faire semblant avec elle. « Comment tu vas savoir si c'est lui ? J'veux être avec toi Aelya, je prendrai pas le risque qu'on te fasse du mal. Et... j'fais pas confiance à ton patron non plus, qui te dit qu'il prendra les mesures nécessaires ? » Il avait du mal à croire qu'il puisse refuser l'accès à un client, surtout si ce dernier s'avérait être fidèle, prêt à banquer pour revoir Aelya encore et encore. Il la laissa prendre le joint d'entre ses doigts, baissant un instant les yeux en l'écoutant, fronçant les sourcils à la solution qu'elle envisageait. « Bébé... je t'obligerais jamais à faire ça, tu le sais. J'veux pas interférer dans ton job, je l'ai jamais voulu. J'suis désolé de pas savoir gérer correctement les choses, mais je crois que c'est plus fort que moi. » Admit-il, se mordant légèrement la lèvre, son cœur battant plus vite lorsqu'il put sentir ses lèvres se loger dans son cou, apaisant ses angoisses. Il fit glisser sa main contre sa cuisse qu'il pressa délicatement, tournant légèrement la tête vers elle pour déposer un baiser sur sa tempe. « Si tu pars, qu'est-ce que t'envisages de faire ? » La questionna-t-il, curieux de savoir quelles étaient ses alternatives.
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Sujet: Re: i can't face the dark without you (niels) Jeu 28 Mar 2019 - 21:06
Elle était persuadée que c'était Niels qui l'avait rendu si confiante, si tendre et encore plus sulfureuse qu'elle ne l'était déjà, parce qu'il déclenchait des soubresauts dans son cœur, l'animant de vagues de sentiments qui le submergeaient en tout temps, sans prévenir, apportant des conséquences tantôt bénéfiques, tantôt toxiques quand la jalousie s'en mêlait. Mais elle revenait toujours à ses côtés, comme si sa douceur appelait sa rage à se dissiper, à repartir dans les tréfonds des ténèbres pour laisser l'amour perler dans son regard, pulser dans ses veines pour le couvrir d'attention, d'affection, sans aucune autre limite que la distance qu'ils devaient s'imposer pour se rendre à leur travail respectif. Elle se sentait dépérir dans la distance, se faisant patienter dans l'échange de messages qui donnaient toujours un avant goût dans leur retrouvaille, même si cette fois, elle n'y avait pas eu le droit. Elle était tellement habituée à se fondre dans sa présence même dans l'éloignement, qu'à chaque fois qu'elle ne recevait pas sa tendresse, elle ne pouvait s'empêcher de se poser des questions, la panique n'étant jamais assez loin dans le creux de ses entrailles pour se révéler, animant ses doutes. Et quand elle était rentrée, subissant son froid glacial, elle avait rapidement perçu qu'il avait eu le temps de laisser le poison de la jalousie gangrèner son cœur, la même qu'elle pouvait ressentir relativement souvent dès lors que l'on pouvait vouloir s'accaparer son petit ami. Elle leva les yeux au ciel à sa remarque, soupirant d'exasperation, peinant à croire qu'il s'agissait là de son procès alors qu'elle n'avait rien à se reprocher, elle qui se trouvait irréprochable dans l'exercice de ses fonctions qui lui donnaient du fil à retordre, parce que ce n'était jamais simple de donner du désir aux hommes sans aller trop loin, et pourtant, elle s'y attelait pour ne jamais trahir la confiance que lui portait Niels. Elle l'avait choisi lui, et elle le ferait toute sa vie, parce qu'elle était passionnée par tout ce qu'il était, faisant de l'ombre à toutes les autres âmes qui pouvaient tenter d'attirer son attention. Se posant à ses côtés, tentant de l'apaiser via sa présence quitte à subir son rejet, elle plissa les lèvres à sa remarque qu'elle ne pouvait pas contredire, ses yeux regardant de loin ce bouquet de fleurs posé sur la table.
- Je suis pas en danger mon amour. Sinon, il aurait tenté d'avoir plus depuis longtemps déjà. Je t'assure qu'il s'est jamais rien passé sinon je te l'aurais dit. Puis... Y'a personne qui peut me faire autant de bien que toi, tu le sais bébé, ajouta-t-elle, un léger sourire sur ses lèvres.
Caressant doucement son dos, elle roula des yeux à sa réaction, ne sachant vraiment quoi faire pour qu'ils puissent agir sans avoir de conséquences désastreuses, eux qui avaient l'habitude.
- Pourquoi il prendrait pas de mesures nécessaires ? J'veux dire, il m'apprécie, il voudrait pas que je me sente mal au club, il prend soin de ses employés bébé, c'est pas le gros connard qui pense qu'à l'argent. Et y'a des clients réguliers que je remarque relativement souvent, il fait sûrement partie de ceux-là, réfléchissait-elle.
Elle avait confiance en Jeremy même si elle comprenait que Niels ne pouvait en faire de même vis-à-vis de la jalousie qu'il ressentait aussi pour lui. Prenant le joint entre ses doigts, elle avait elle aussi besoin d'un remontant, inspirant la fumée en essayant de réfléchir à des solutions à ce problème.
- C'est pas ta faute, je te le reproche pas bébé. Je comprends que ça puisse te rendre dingue et je fois faire des compromis moi aussi, c'est toi le plus important pas mon travail, avoua-t-elle tendrement.
Elle détestait l'idée de trouver un autre travail où elle devrait sûrement dire adieu à ces soirées où elle se dépensait physiquement dans une ambiance plutôt festive, Aelya qui avait toujours préféré le monde de la nuit, la danse pour seul réel hobbie. Mais elle savait qu'elle le faisait souffrir, et cette pensée lui était insupportable. Ses lèvres vinrent déposer de douces pressions tout le long de son cou, aimant sentir la chaleur de sa paume contre sa cuisse et ce baiser sur sa peau qui la rassurait sur ses pensées.
- J'en sais strictement rien. Mais je vais bien trouver. C'est pas comme si je retrouverais facilement en plus vu mon casier. Mais faut bien que je tente, lâcha-t-elle, en haussant les épaules.
Elle tira une nouvelle fois sur le joint, gardant la fumée dans ses poumons jusqu'à poser sa main sur sa joue, l'invitant à entrouvrir ses lèvres contre les siennes avant d'en échanger la fumée avec lui, terminant le geste en lui offrant un baiser.
- Je vais le jeter ce truc, j'en veux pas de toute façon, ajouta-t-elle, se redressant vivement pour prendre le bouquet, ouvrant la fenêtre pour le jeter dehors. Voilà, c'est un peu près mon niveau d'indifférence devant son cadeau, admit-elle, amusée.
Elle revint à ses côtés, captant son regard en posant une main sur sa cuisse.
- Y'a que tes fleurs qui auraient le droit à mes soins, lança-t-elle amoureusement.
Levi Wheeler
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Sujet: Re: i can't face the dark without you (niels) Sam 30 Mar 2019 - 17:51
Il ne s'était jamais senti aussi aimé que dans les bras d'Aelya, ceux qui avaient réussi à faire fondre ce mur de glace qui avait longtemps entouré son cœur, probablement plus par protection que par mauvaise expérience. Il n'avait jamais aimé comme il l'aimait elle auparavant, conscient que tout ce qu'il avait connu n'était que du vent à côté de ce qu'il ressentait pour elle, à côté de ces déferlements de sentiments qui le submergeaient sans pause, sans repos et en réalité, il ne demandait que ça, parce-qu'il n'y avait que comme ça qu'il se sentait complet. Il avait un mal fou à ne pas lui donner de l'attention, comme si c'était devenu la chose la plus innée, la plus naturelle qu'il ait à faire, se retrouvant instinctivement contre elle à chaque fois qu'elle passait la porte, ses lèvres se chargeant de lui faire oublier ses tracas de la journée. Mais ce soir, il s'était forcé à ne pas lui offrir toute cette attention, parce-qu'il était tourmenté par sa jalousie, le genre qui le rendait dingue au point de ne plus arriver à remettre en cause ce qu'il pouvait voir. Parce-qu'évidemment que cette histoire n'avait aucun fil conducteur, qu'Aelya n'aurait jamais tenté de le tromper et dans tous les cas, la stratégie ne tenait pas même un peu la route. Mais les sentiments parlaient toujours plus forts lorsqu'il s'agissait de l'élue de son cœur, c'était quelque chose qu'il avait appris à comprendre avec le temps. L'air inquiet, il lui avait fait part de toutes ses pensées toxiques qu'il avait eu le temps de mûrir pendant son absence, détestant la simple idée que cet homme puisse profiter tous les jours de la présence de sa petite-amie derrière son dos. « J'ai pas envie de te savoir tous les jours en présence d'un psychopathe. J'vais vraiment finir par venir te chercher tous les soirs. » Exagéra-t-il, tentant de laisser une ambiance moins lourde revenir entre eux. Il esquissa un faible sourire à ses mots qui le flattaient, se laissant apaiser par les caresses de ses doigts contre son dos. « Je passerais ma vie à te faire du bien si je le pouvais... » Dit-il, le ton joueur, lui adressant un clin d’œil avant que la conversation ne dévie vers le patron d'Aelya, cet homme qu'elle disait de confiance mais que Niels peinait à croire. Il arqua un sourcil en entendant qu'il appréciait Aelya et qu'il était loin d'être le type d'homme qui ne se contentait que du fric qui rentrait dans les caisses de son club. « Si tu le dis... » Ajouta-t-il, se forçant à la croire, peinant à ne pas être accablé par la jalousie lorsqu'il regardait sa petite-amie décrire son portrait. « J'espère juste qu'il fera bien son job. C'est tout ce que je demande. » Lâcha-t-il, haussant les épaules, préférant s'imaginer que le problème serait vite réglé si Aelya en parlait à son boss. Il fut surpris par la proposition qu'elle avait émise, ressentant une pointe de culpabilité l'atteindre au niveau du cœur lorsqu'elle évoquait l'idée de quitter le club pour ne plus avoir à éveiller sa jalousie. « Je te demande pas de choisir Aelya. Si t'as envie de rester, fais-le bébé, je t'en voudrais jamais pour ça. Je prendrai sur moi, j'ferai des efforts tant que ça implique pas que ta sécurité soit en péril. » Ajouta-t-il, lui lançant un regard entendu, avant de l'écouter parler de ce qu'elle prévoyait pour son avenir, sa main toujours posée sur sa cuisse qu'il caressait lentement. « Y'a de la place à l'hôpital mais on risquerait de se faire virer au bout d'une semaine nous connaissant. » S'amusa-t-il, imaginant déjà la façon dont ils bâcleraient leurs obligations juste pour pouvoir se retrouver le temps de quelques minutes, à l'abri des regards indiscrets, incapables de rester trop longtemps sans profiter de l'un et de l'autre. Il tendit la nuque lorsqu'elle l'invita à partager sa bouffée avec lui, aspirant la fumée à la lisière de ses lèvres avant de profiter de son baiser qui réchauffa immédiatement sa peau en manque de la sienne. Ses yeux la suivirent lorsqu'elle se redressa pour attraper le bouquet posé sur la table, lâchant un léger rire en la voyant le balancer à l'extérieur, sans la moindre hésitation. « J'savais pas que les fleurs te plaisaient... J'pensais que t'avais toujours trouvé ça trop romantique. » La taquina-t-il, faisant mine d'être surpris par ses mots. Ses yeux finirent par capter de nouveau les siens, alors qu'il ne put s'empêcher de laisser ses lèvres caresser sa joue, déposant des baisers tendres à la limite de ses lèvres. « Embrasse-moi encore mon amour, tu m'as trop manqué... » Souffla-t-il, le regard éclairé par une lueur amoureuse, avant qu'il ne se penche légèrement vers elle, sa main se logeant sur sa chute de reins pour l'inciter à se coller contre lui.
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Sujet: Re: i can't face the dark without you (niels) Sam 30 Mar 2019 - 20:04
Elle avait toujours tenté de se protéger pour ne pas souffrir, sachant bien que l'attachement menait trop souvent à la douleur, ayant à l'esprit que les relations se terminaient toujours un jour où l'autre et que ça volerait toujours en éclat, laissant son cœur tomber avec fracas sur le sol verglacé de ses espoirs. Quand elle avait rencontré Niels, elle avait eu peur de tomber de haut, lui qui avait directement su se faufiler au travers de ses défenses pour atteindre son âme là où il s'y était logé pour y rester. Ils avaient vécu des déchirures, des coups durs, et pourtant ils se retrouvaient toujours au bout d'un moment par la force de leur amour incandescent qui agissait comme une lumière, afin de les guider dans les ténèbres qui s'évertuaient à les séparer. Son cœur était fermé, n'étant voué qu'à laisser passer les attentions de Niels qui le faisaient battre à tout rompre, implosant sous l'effet de l'amour qu'elle ressentait pour lui. Elle avait toujours peur de le perdre, que son métier ne vienne à fissurer la confiance qu'il lui portait et qu'elle se donnait tant de mal à faire briller, même si elle ne pouvait rien faire pour éviter ses clients de la désirer, qui était la conséquence même de ce qu'on lui demandait de faire. Elle secoua la tête à sa remarque, remarquant qu'il exagérait peut être un peu même s'ils étaient tous les deux bien placés pour savoir que les visages les plus doux n'étaient pas forcément les âmes les plus sages.
- On sait très bien que si tu viens me chercher, ça va virer au drame bébé. Tu pourras jamais me promettre de rester calme, répondit-elle, le défiant du regard alors qu'elle savait qu'elle avait raison. Je rêve que de ça, qu'on passe notre vie à se faire du bien, ajouta-t-elle avec un sourire joueur, laissant ses doigts danser sur son dos.
Il n'y avait pas vraiment de solutions et en même temps, elle n'en voyait qu'une seule : tout arrêter, tout recommencer à zéro encore une fois, parce que même si elle avait confiance en Jeremy, elle savait qu'il ne pourrait pas non plus faire des miracles concernant cet homme qui savait maintenant où elle vivait. Mais Aelya avait tout de même conscience qu'il serait capable de le refuser à l'entrée, lui qui prenait toujours son parti plutôt que celui de ses clients. Elle savait qu'elle avait été maladroite dans la manière d'exprimer la confiance qu'elle avait dans son patron, parce que Niels était jaloux de lui et ne l'avait jamais caché, même si Aelya s'acharnait à lui faire comprendre qu'il n'y avait plus rien. Elle le comprenait parce que sa réaction aurait été la même.
- Mais oui bébé. Je pourrai toujours lui en parler dans son bureau. En tout bien tout honneur, évidemment, ajouta-t-elle, insistant dessus pour éteindre sa jalousie.
Et si ça ne marchait pas, que Niels continuait de s'inquiéter sans cesse, elle devrait bien se faire une raison, penser à une autre option au niveau de sa carrière, chose qu'elle avait laissé entendre par le biais de ses mots, parce que son petit ami passait avant, toujours. Elle fut touchée par l'impact de ses paroles, ce désir qu'il avait qu'elle ne vienne pas à se sacrifier pour lui.
- Je vais réfléchir. Parce que je pourrais jamais te promettre d'être en sécurité. Mais je ferai toujours en sorte de l'être, tu le sais.
A la base, elle n'aurait jamais dû atterrir dans ce club. Même si elle avait fait de belles rencontres, il lui était arrivé pas mal de mésaventures dont beaucoup avait attisé l'inquiétude et la jalousie de Niels et qu'elle prendrait en considération dans sa réflexion. Tirant sur le joint, elle avait lâché un petit rire à sa remarque, s'imaginant bien la tension qui régnerait entre eux s'ils venaient à se voir dans les mêmes locaux.
- Une semaine ? Tu nous surestimes pas mal. Je dirai plus une minute, moi. Ce serait le chaos si je bossais avec toi. C'est tout ce que je voudrais et en même temps, je sais que je serais pas du tout raisonnable et sérieuse si t'es là, admit-elle, joueuse.
Réprimer ses désirs alors qu'ils se croiseraient souvent était quelque chose qui lui semblait impossible à mettre en place. Peut être parce qu'elle ne serait jamais assez motivée pour choisir son professionnalisme à son envie de le retrouver partout et en tout temps. Partageant la fumée du joint avec lui, elle lui offrit un baiser, délaissant la drogue dans le cendrier, avant de jeter le bouquet par la fenêtre, un sourire amusé sur les lèvres, lui montrant son rejet total d'affection quand cela provenait d'un autre que lui pour revenir à ses côtés.
- T'es trop romantique, on est trop romantiques et j'adore ça finalement, lança-t-elle, taquine. Mais c'est vrai que les fleurs... C'est peut être trop traditionnel pour des gens aussi originaux que nous, sourit-elle, espiègle.
Elle ferma les yeux en sentant ses lèvres glisser sur sa joue, jouant avec la proximité de sa bouche, frissonnant à la sensation de sa demande dont le souffle vint caresser sa peau. Ouvrant les yeux pour capter son regard, elle s'était laissée attirer contre lui lorsque ses mains vinrent à la rencontre de ses courbes, ses lèvres dansant en suspension juste au-dessus des siennes l'espace de quelques secondes.
- Tu m'as tellement manqué toi aussi, c'est horrible d'être loin de toi, susurra-t-elle contre ses lèvres.
Elle lui céda, lui donnant un baiser amoureux tandis que sa main vint se loger dans son cou, intensifiant l'échange, se penchant sur lui pour l'inviter à se coucher sur le canapé, sa main venant glisser jusqu'à son torse.
- Arrête de me bouder comme ça. J'aime pas, s'amusa-t-elle, venant mordiller sa lèvre de manière amusée. Je veux pas te perdre mon amour, surtout pas à cause de mon travail... Avoua-t-elle plus sérieusement, ses yeux plantés dans les siens alors que ses doigts vinrent se faufiler sous son t-shirt pour le caresser.
Levi Wheeler
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Sujet: Re: i can't face the dark without you (niels) Dim 31 Mar 2019 - 7:38
Dans ses bras, il ne s'était jamais demandé si c'était une bonne idée que de se montrer aussi vulnérable, comme s'il avait toujours su qu'il ne pourrait de toute façon jamais lutter contre elle, contre cette attirance qui s'était vue grandir de jour en jour sans qu'il ne puisse l'arrêter. Elle était son exception, la seule qui avait réussi à lui faire comprendre que ce n'était sans doute pas une si mauvaise idée que ça que de se donner une chance pour une fois. Il lui avait fait confiance, déposant son cœur entre ses doigts délicats en lui demandant d'y faire attention. Et s'il s'était vu tomber à certaines reprises, Aelya avait toujours su le rattraper, et le réparer, comme elle savait si bien le faire, lui prouvant qu'elle était celle qui était faite pour lui, celle qui pouvait suturer la moindre plaie. Il avait peur de perdre ce qu'ils avaient, peur de la voir s'échapper loin de lui alors que le danger rodait autour d'eux, par le biais de ces autres hommes qui la voulaient autant que lui, le rendant fou de jalousie. Il vouait une haine inconsidérée à toutes ces âmes qui voulaient les faire tomber, s'accaparer la présence d'Aelya sans même se soucier qu'il y avait un homme dans sa vie, prêt à tout pour la garder auprès de lui. Il roula des yeux à sa remarque qu'il lui était impossible de contredire, sachant qu'elle avait pertinemment raison. « En même temps, y'en a jamais aucun qui m'incite à rester calme. J'ai l'impression que le monde est contre nous dans ces moments-là. » Et c'était sans doute la raison pour laquelle il ne pouvait pas rester de marbre lorsqu'il sentait que sa relation était menacée, se voyant obligé de la protéger par tous les moyens. Il frissonna à ses caresses dans son dos, répondant à son sourire joueur qui lui laissait entrevoir les images de cette vie dans laquelle il n'y aurait qu'eux, et où leur seul soucis consisterait en cette envie de se donner du plaisir, encore et encore. Il était touché par sa façon de vouloir arranger sa situation, tentant de prendre sur lui lorsqu'elle évoquait le fait de discuter avec son patron des problèmes qu'elle rencontrait avec le client en question. Il était sans doute encore trop jaloux de cet homme, jaloux de la relation qu'il entretenait avec sa petite-amie même s'il n'y avait plus rien de charnel entre eux. Il capta son regard à ses paroles, serrant la mâchoire en comprenant qu'elle irait le voir dans son bureau, comprenant à travers ses mots que c'était à ce même endroit qu'ils avaient consumé leur attirance mutuelle. « J'espère bien. » Ajouta-t-il, mettant fin à cette discussion qui le mettait mal à l'aise. Et si sa jalousie avait tendance à le rendre dingue, Niels n'avait jamais souhaité qu'Aelya en vienne à rompre sa carrière au club pour lui, juste pour lui éviter des angoisses permanentes, parce-qu'il savait combien elle aimait danser, trouvant dans son activité son principal moment de défoulement. « Je sais bébé et c'est tout ce qui m'importe. » Admit-il, d'un regard tendre, bienveillant, conscient qu'Aelya ne faisait jamais rien pour s'attirer des ennuis. Il lâcha un léger rire à sa remarque, hochant la tête pour lui donner raison, imaginant leur quotidien à travers les couloirs de l'hôpital, rythmé par leur volonté de se chercher encore et encore, jusqu'à se céder et finir l'un contre l'autre. « On serait encore plus crevés au boulot qu'ici, parce-qu'on passerait notre temps à faire l'amour. » S'amusa-t-il, d'un ton joueur. S'il y avait bien une activité dans laquelle ils étaient plus que mauvais, c'était bien celle de se résister, incapables d'être patients lorsqu'ils se devaient d'attendre pour se sauter dessus, leur envie primant toujours sur tout. Il l'avait regardé avec un œil amusé se débarrasser du bouquet en question, la taquinant gentiment sur leur romantisme apparent. « Surtout les roses... ce mec sait vraiment pas comment s'y prendre. » Se moqua-t-il, avec amusement, sous-entendant que lui, il aurait probablement fait dans le moins banal. N'en pouvant plus de retenir son affection, il s'était approché de ses lèvres pour jouer avec la tension environnante, caressant sa peau tendrement avant de lui demander de l'embrasser, presque dans une supplication. Il sentit son cœur battre plus fort à sa réponse, ses yeux valsant entre son regard et ses lèvres qu'il voulait dévorer, soulagé lorsqu'elle s'occupa de le faire, son corps tombant à l'arrière sur le canapé, entraînant Aelya contre lui dans sa chute. « Tu me rends fou, faudrait que je t'aime moins pour éviter de péter des câbles tout le temps... » Souffla-t-il, souriant en la regardant taquiner sa lèvre inférieure, ses mains se glissant sans retenue vers le bas de son dos, s'agrippant à sa chute de reins. « Tu me perdras jamais mon amour. J'ai peur pour toi, ça me fait surréagir. Mais je te laisserais jamais tomber pour ça bébé. » La rassura-t-il, sa peau devenant soudainement hypersensible aux caresses qu'elle effectuait sur son torse. Il passa sa main sous son menton pour accrocher de nouveau ses lèvres, dans un baiser plus patient, plus doux aussi. « Je te partagerai jamais bébé... » Souffla-t-il, sa main venant agilement agripper les bretelles de son haut pour les faire tomber sur ses épaules, le feu du désir commençant à s'embraser dans son organisme. « Tu dois être éreintée de ta soirée, tu veux qu'on aille dormir ? »
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Sujet: Re: i can't face the dark without you (niels) Dim 31 Mar 2019 - 15:29
Aelya avait envie de s'armer contre toutes ces attaques qui provenaient de l'extérieur, qui voulaient abîmer leur relation si fragile, si tourmentée par ses aléas et qui pourtant n'avait de cesse de se régénérer de l'intérieur par le biais de leurs deux coeurs qui s’alliaient pour n'en former qu'un seul. Elle était animée par lui, trouvant la force de se remettre de sa douleur tant qu'elle le retrouvait au bout de leur chemin sinueux, parce qu'elle était faite pour ça, pour lui revenir, comme si c'était écrit, ne pouvant lutter contre la distance qui l'a terrorisait, elle qui avait besoin de son contact pour aller mieux, afin de s'extirper de ce sevrage qui lui était toujours horrible à vivre, faisant palpiter son myocarde arythmique à cause du manque de Niels. Elle n'avait aucune envie de voir leurs fêlures les définir, même si la jalousie laissait souvent des doutes tournoyer dans leurs esprits, permettant à l'atmosphère de s'alourdir dans leur cocon. Elle hocha la tête à sa remarque, plissant les lèvres, feignant un air exaspéré. - Si t'étais pas aussi beau toi aussi. J'aurais moins de problèmes à régler, le complimenta-t-elle en secouant la tête, agacée.
Elle savait que le réel problème était plus de l'ordre de leurs émotions explosives que de leur apparence mutuelle, mais elle n'était définitivement pas prête à changer ce défaut parce que de toute façon, elle ne savait pas fonctionner autrement, désirant laisser cet amour la ronger jusqu'à l'étouffement. Il avait réussi là où tout le monde avait échoué, et si elle savait que jamais personne ne pourrait remplacer l'image de Niels présent dans son coeur et dans sa tête, elle savait aussi qu'il avait besoin d'être rassuré à ce niveau, lui qui était épris d'une vive jalousie quand elle faisait référence à son patron. Elle acquiesça à sa remarque qui mettait un terme à cette tension qui imprégnait leur discussion, ne sachant pas vraiment quoi faire vis-à-vis de sa situation si ce n'était que de tout simplement partir, mais comme elle n'était pas du genre à ériger des plans sur la comète, elle errait à l'aveugle dans les solutions qui s'offraient à elle, sachant que de toute façon elle en parlerait à Niels quand elle aurait une idée qui pourrait les satisfaire tous les deux, et surtout lui qu'elle voulait préserver de son inquiétude, parce qu'il avait déjà trop subit, et elle tenait à lui comme à une perle rare, désirant en prendre soin pour la garder intacte. Elle sourit légèrement à ce qu'il vint ajouter, Aelya tentant toujours de faire passer sa sécurité en premier même si elle ne pourrait jamais agir sur le libre arbitre de chacun, et dont ce client qui semblait la harceler. Elle se voyait avec personne d'autre que Niels, imaginant ce que donnerait un travail qu'ils partageraient ensemble, le sourire aux lèvres, amusée par les images qui se dessinaient dans son esprit et qui était bien loin du professionnalisme qu'on leur demanderait. Elle les aimait pour ça, passionnée par leur propre passion qui ne faisait que de les surprendre sans crier gare, surtout dans les situations où elle n'y avait pas sa place. Elle était amoureuse d'eux, de lui, de son coeur qu'elle tenait entre ses mains et qu'elle avait encore envie de voir s'embraser à son contact. - On est assez prévisibles finalement bébé. J'me vois mal faire correctement mon travail si t'es dans le coin. Je plaindrais vraiment les gens qui sont dans l'urgence de soins, ce serait une catastrophe, j'aurais surement pleins de morts sur la conscience sans même m'en rendre compte, admit-elle dans un sourire en coin, amusée par son cynisme.
S'amusant de cette atmosphère soudainement plus respirable, elle s'était permise de se débarrasser des fleurs qu'elle n'avait jamais eu envie de recevoir, se fichant éperdument des sentiments des autres parce qu'en plus de ça, ils mettaient à mal ceux de Niels, le seul qui comptait vraiment. Elle rit légèrement à sa critique au sujet des intentions de son client, ne pouvant le contredire à ce sujet. - Il me connait pas autant que toi mon amour. Toi t'as même pas eu besoin de tout ça pour me conquérir l'air de rien, affirma-t-elle, joueuse.
Parce qu'il n'avait fallu que de l'effet de son charme et de sa personnalité pour la combler, n'ayant même pas eu à l'esprit l'ombre d'un désir basé sur le romantisme pour aller plus loin avec lui, sa seule personne lui suffisant amplement. Sentant la chaleur de son souffle sur sa peau, elle n'avait pas mis beaucoup de temps avant de céder contre ses lèvres après s'être amusée avec son désir, l'invitant à s'allonger sur le canapé. - Je crois que je pourrai me contenter de tes crises si c'est pour que tu m'aimes de plus en plus... Parce que je veux pas être la seule à t'aimer comme une dingue, avoua-t-elle, malicieusement.
Ses mains vinrent caresser son torse, s'imprégnant de sa présence qu'elle sentait sous ses doigts alors que son corps se collait au sien, appréciant percevoir ses mains qui se posèrent en bas de son dos, l'animant de désir. Elle était rassurée par ses mots, parce qu'elle ne voulait rien faire qui puisse briser leur lien si précieux.
- J'espère mon amour. Parce que si tu me demanderais de choisir entre toi et mon travail, ce serait toi, murmura-t-elle en captant son regard.
C'était évident, et pourtant, elle aimait le lui signifier pour qu'il sache à quel point il représentait son présent et son futur et que ces choses étaient inconcevables sans lui. Elle se laissa attirer contre ses lèvres, caressant les siennes de manière tendre et amoureuse, à l'égard de toute l'affection qu'elle gardait en elle. - T'auras jamais à le faire. On est une équipe bébé, personne pourra jamais s'immiscer entre nous. Du moins pas sans conséquence. Parce que je peux devenir sauvage pour te garder, ajouta-t-elle, son ton se teintant d'amusement.
Son regard s'anima d'une lueur séductrice alors qu'elle vit ses doigts descendre ses bretelles, souriant de manière taquine à sa proposition qui contre balançait ce qu'elle ressentait en cet instant. - T'as vraiment envie d'aller dormir toi ? Demanda-t-elle, lui renvoyant la balle.
Ses lèvres se logèrent dans son cou, grignotant avidement sa peau où son souffle devint de plus en plus saccadé, sa main se positionnant dans son dos pour l'attirer d'autant plus contre son corps qui irradiait contre le sien. - T'as raison, j'suis bien trop crevée finalement, joua-t-elle, ses lèvres venant mordiller son lobe.
Levi Wheeler
MESSAGE : 25016 ICI DEPUIS : 18/06/2018 CRÉDITS : endless love (av), awona (sign), strangehell (icons)
STATUT : i’ll be yours for a thousand lives. (married to sahar ♡)
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: i can't face the dark without you (niels) Dim 31 Mar 2019 - 19:06
Il n'y avait rien d'insurmontable lorsqu'il s'agissait d'Aelya, Niels prêt à se battre corps et âme contre toutes ces âmes qui leur voulaient du mal, n'attendant que de les voir couler. Il était incapable de la laisser partir, son cœur lui criant toujours de la retenir contre lui, comme s'il savait qu'il se dirigeait vers une mort lente et certaine si elle n'était plus là pour lui insuffler de la vie. Il n'avait aucune envie de revivre l'enfer d'une séparation, n'ayant plus aucune force de subir de nouveau ce traumatisme qui lui avait laissé des séquelles, le marquant en profondeur à cause du manque qui était venu l'accabler de jour en jour, voyant sa vie défiler sans qu'il n'ait même l'envie d'en profiter. Leur avenir était incertain, ils le savaient aussi bien l'un que l'autre et pourtant, l'espoir continuait de perdurer, cette flamme si particulière qui animait leur relation continuant de scintiller. « J'peux te dire exactement la même chose. » Souffla-t-il, sur le même ton qu'elle. Ils usaient de mauvaise foi, parce-qu'ils savaient tous les deux pertinemment que c'était surtout leurs émotions qu'ils peinaient à gérer, ne réfléchissant jamais à deux fois avant de se jeter dans la gueule du loup, leur instinct surgissant toujours trop rapidement. Et encore une fois, Niels n'avait pas pu s'empêcher de faire quelques remarques à propos de son patron, conscient qu'elle l'appréciait et que ce sentiment était réciproque de son côté. Il n'avait pourtant aucune raison de s'inquiéter, parce-que leur dernier débordement remontait à des mois, et qu'Aelya lui avait fait comprendre que ça ne se reproduirait plus. Mais Niels ne pouvait pas s'empêcher de se faire des films, surtout parce-qu'il peinait à croire que cet homme ne puisse plus la désirer alors qu'il avait déjà franchi cette limite-là avec elle. Il savait à quel point Aelya pouvait tourmenter les esprits, même au bout d'une seule et unique nuit, il en avait lui-même fait les frais. Coupant court à la conversation, il avait réfléchi à ses mots qui laissaient entendre qu'elle ferait son possible pour le protéger de ses angoisses, quitte à abandonner son métier au club si c'était la seule solution. Et il ne pouvait pas se sentir plus chanceux d'être aussi considéré, comprenant que son avis lui importait toujours autant, touché par les sacrifices qu'elle était prête à faire pour lui. Souhaitant détendre l'ambiance, il avait évoqué le fait de la voir occuper un poste à l'hôpital, conscient que ce n'était pas l'idée la plus brillante du monde parce-qu'ils n'avaient jamais réussi à s'imposer de limites lorsqu'ils se retrouvaient tous les deux. Il lâcha un rire à ses propos, s'imaginant le nombre de patients qui pourraient être délaissés à cause de leur envie urgente de se retrouver en tout temps. « Mais non, j'peux rester sage quand je le veux. Si c'est que ça, je viendrais juste t'embêter pendant tes pauses. » Ajouta-t-il, sur un ton lasse, amusé par leur incapacité de réussir à réprimer leur désir. Satisfait de la voir balancer le bouquet à travers la fenêtre, il esquissa un sourire à ses mots, flatté de savoir qu'il avait réussi à la séduire avec ses propres arguments, sa seule personnalité, sans même devoir jouer un autre rôle avec elle. Et il avait toujours su que c'était spécial, parce-qu'il avait toujours été lui-même lorsqu'elle était dans les parages, incapable de se donner des airs ou de jouer à être un autre. « Dis-moi si ça doit en arriver aux bouquets de fleurs un de ces quatre, je suis prêt à n'importe quoi pour continuer de te conquérir. » Ajouta-t-il, d'un air joueur, peinant à croire qu'ils en arriveraient à ce stade un jour, parce-qu'ils avaient la même façon de fonctionner depuis toujours et que celle-ci avait toujours marché telle quelle. Cédant finalement à son envie de retrouver ses lèvres, il s'était senti défaillir en percevant ses mains contre son torse, en profitant pour l'attirer contre lui alors qu'il s'était vu basculer sur le canapé. « T'inquiète pas, on sera toujours tous les deux dans notre folie... » Souffla-t-il, s'amusant avec la proximité de ses lèvres près des siennes, les frôlant légèrement sans qu'elles ne se donnent réellement. Faisant balader ses doigts sur son corps, il avait senti une douce chaleur s'insinuer en lui, égayant son désir, son regard s'attendrissant à ses mots qui le mettaient au premier plan. « Tu passeras toujours avant tout toi de toute façon. » Répondit-il, détaillant ses lèvres pendant quelques secondes avant de laisser les siennes les rejoindre dans un baiser amoureux, ses mains remontant doucement contre ses flancs. « Et moi j'adore quand t'es sauvage... » Finit-il par murmurer, entre deux baisers, attrapant sa lèvre inférieure avec ses dents, subjugué par son aura séductrice qui l'envoûtait comme au premier jour, son regard ne la quittant pas alors qu'il avait volontairement fait glisser ses bretelles sur ses bras, lui faisant comprendre sans le moindre mot les idées qu'il avait en tête. Et même à travers sa question, Aelya n'eut pas trop de mal à comprendre que le désir tournoyait autour de leurs corps collés l'un contre l'autre, s'amusant à lui renvoyer la question. « J'ai surtout envie de te sentir contre moi dans le lit... » Souffla-t-il, tout près de son oreille, pris en flagrant délit de désir, soupirant un peu plus bruyamment lorsqu'il put percevoir son souffle chaud percuter son cou et ses dents lui laisser quelques marques. Il arqua un sourcil en retrouvant son regard, distinguant son air joueur à travers son geste et ses yeux, se mordant discrètement la lèvre. « Dans ce cas, on ferait mieux d'aller dormir. J'voudrais pas que tu sois trop crevée pour demain. » Ajouta-t-il, faisant semblant d'aller dans son sens alors qu'il crevait d'envie de lui faire l'amour, là tout de suite, se concentrant pour réprimer les premiers signes de son désir. Il se défit de son étreinte après qu'elle se soit redressée, faisant quelques pas pour atteindre la chambre où il se débarrassa de ses vêtements, prenant place dans le lit. « Bonne nuit mon amour. » Il déposa un baiser chaste sur sa joue, se calant de son côté du lit, dos à elle, s'amusant avec cette tension qu'il percevait entre eux.
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Sujet: Re: i can't face the dark without you (niels) Dim 31 Mar 2019 - 21:13
Elle n'attendait rien de son futur, si ce n'était qu'elle puisse se voir continuer à dévaler les jours, les mois et même les années aux côtés de Niels, le seul qu'elle attendait dans la distance, le seul qu'elle viendrait chercher si lui-même se perdait en route, attrapant sa main pour le sortir de n'importe quel piège afin qu'il puisse s'accrocher à son espoir comme Aelya le faisait avec lui. Il y avait toujours des hauts et des bas mais tout ce qui lui importait, c'était de savoir qu'ils se tenaient debout, ensemble, motivés pour perdurer, eux qui faisaient tant d'efforts pour laisser leur jalousie de côté afin de ne pas dynamiter ce lien si essentiel avec la flamme de leurs doutes. Et pourtant, c'était arrivé trop de fois, comme leurs ruptures, et Aelya avait peur d'une énième déchirure, dont surtout celle qu'elle ne pourrait jamais réparer, la dernière, celle qui marquerait la fin de leur histoire pour toujours. Elle sourit légèrement à sa remarque, amusée par leur tendance à toujours rejeter leur responsabilité sur autre chose alors qu'ils connaissaient très bien ce sur quoi ils devaient travailler tous les deux. Aelya ne serait jamais prête à être moins jalouse, plus docile, ça n'était tout simplement elle ni le reflet de l'amour si tempêtueux qu'elle ressentait dans le creux de son cœur agité. Elle ferait tout ce qui était en son pouvoir pour lui montrer que c'était lui, qu'il était partout sur sa peau, qu'elle respirait l'essence de son âme à chacune de ses inspirations et qu'il n'avait aucune crainte à avoir au sujet de Jeremy ou même de tous les autres hommes qui avaient posé leurs mains sur elle parce qu'aucun n'avait réussi à s'accaparer son cœur pour s'enfuir avec, comme Niels l'avait fait, la liant définitivement à lui. Elle n'avait de toute façon aucune envie de sentir son palpitant battre sans que chaque battement ne soit dédié à son petit ami. Réfléchissant à une autre option que le club où elle travaillait, elle se prit d'amusement pour les images qui défilaient dans son esprit où Niels et Aelya travailleraient ensemble, ou du moins, tenteraient de le faire malgré leur désir si impétueux, si impérissable.
- C'est ce que tu dis. Puis oui, en effet, faut que tu le veuilles. Je m'arrangerais toujours pour que tu veuilles jamais rester sérieux quand t'es avec moi bébé. Désolée. C'est plus fort que moi. Mais au moins je suis honnête avec moi-même, je sais que toutes les pauses du monde me suffiront jamais, admit-elle, feignant un air désolé sur le visage en haussant les épaules.
Si c'était quelque chose qu'elle aurait adoré, de succomber à leurs désirs au milieu du danger de se faire repérer, elle savait que c'était aussi la porte ouverte à des problèmes qu'il valait mieux éviter. Revenant à ses côtés après avoir balancé le bouquet, elle avait esquissé un sourire amusé à sa réponse, bien consciente qu'il avait juste besoin d'être lui pour continuer à la conquérir.
- Faut juste que tu continues d'être ce que t'es mon amour. Y'a que comme ça que tu peux me conquérir, ajouta-t-elle, une lueur tendre dans son regard.
Ses lèvres rencontrèrent les siennes après ces longues minutes sans cette douceur qui vint l'envelopper dans sa chaleur alors qu'elle se laissa entraîner contre son torse, là où ses mains se délectèrent de sa présence.
- Ça me va. De toute façon, personne peut nous comprendre mon amour, répondit-elle amoureusement.
Son regard valsait entre ses lèvres et ses yeux, savourant cette délicieuse tension qui agitait son organisme à la sensation de ses mains glissant le long de ses courbes. Elle sourit à sa remarque qui vint faire écho à tout ce qu'elle pouvait penser, parce qu'il était impossible qu'elle puisse un jour faire passer quelqu'un ou quelque chose avant lui, ayant même pris la décision de le choisir à son père. Elle répondit à son baiser, laissant ses mains caresser sa peau sous son haut, souriant contre ses lèvres alors qu'il mordilla la sienne, laissant tous les deux leur attirance mutuelle opérer. Sa peau se chargea de frissons alors qu'il fit tomber les bretelles de son haut sur ses bras, percevant le désir qui miroitait dans ses pupilles, comme un appel au sien. Son cœur loupa un battement à son murmure alors qu'une vague de chaleur s'insurgea dans son corps qui demandait celui de Niels.
- J'ai très envie que tu me réchauffes encore bébé... Souffla-t-elle, animant le jeu en sombrant dans son cou pour attiser son désir.
Croisant son regard joueur, elle mit fin au supplice en se rangeant derrière la solution la plus raisonnable et qui n'était définitivement ce qu'elle avait en tête.
- T'as raison, faut qu'on arrête de s'épuiser comme ça avant de partir au travail. Parce qu'après, j'arrête pas de penser à toi entrain de me faire vibrer... Ajouta-t-elle sur un ton charmeur, usant de mots bien précis pour inscrire des images brûlantes dans son esprit.
Elle se redressa comme si de rien n'était, se rendant dans la chambre où elle se debarassa de son jean et de son débardeur pour se retrouver en sous-vêtements, se prenant au jeu quand il vint déposer un baiser sur sa joue.
- Bonne nuit bébé.
Le regard rivé sur le plafond, elle savait qu'elle ne pouvait pas en rester là, alors, elle fit exprès de détacher son soutien gorge, collant sa poitrine dénudée à son dos afin de le faire tomber au sol, de son côté du lit, comme un prétexte pour qu'il sente sa peau chaude contre la sienne.
- Ça me gênait. J'espère que je t'ai pas réveillé ? Lança-t-elle, se mordant la lèvre inférieure, feignant la gêne.
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Sujet: Re: i can't face the dark without you (niels) Dim 31 Mar 2019 - 23:13
Ils étaient au moins sur la même longueur d'onde, préférant ne pas prévoir ce qu'il pouvait se passer, se contentant de ce qu'ils avaient sur le moment tant qu'ils étaient ensemble et soudés. Niels n'avait besoin de rien de plus pour être heureux, Aelya représentant déjà tout ce dont il avait besoin, tout ce qu'il pouvait désirer, conscient qu'il avait déjà trouvé son trésor en sa personne. Ils avaient vécu le meilleur comme le pire à deux, tombant dans les tréfonds des ténèbres lors de leurs séparations et atteignant le nirvana lorsqu'ils s'étreignaient passionnellement, se réparant à travers la fusion de leurs corps et de leurs âmes, cherchant à se prouver qu'ils pouvaient s'en sortir à chaque aléa de la vie. Et si Niels était convaincu de ses sentiments pour Aelya, il savait pour autant que leur stabilité était relative, surtout lorsqu'il se laissait envahir par toutes ces émotions destructrices, celles qui menaçaient son calme. Il avait toujours peur d'apprendre qu'un homme avait tenté de la séduire lors de son service, dans ce monde où tout paraissait possible, où l'ambiance était propice à cette envie d'assouvir ses fantasmes. Cherchant à se rassurer, il avait écouté attentivement chacun de ses mots, comprenant qu'il n'avait pas à s'inquiéter de son côté, parce-qu'elle ne voyait que lui, comme lui ne voyait qu'elle. C'était sans doute cette réciprocité qui arrivait à le calmer, trouvant dans le creux de ses iris la même lumière qui illuminait les siens, comme une réponse à tout ce qu'il pouvait ressentir pour elle. Un sourire à la lisière des lèvres, la tension maintenant redescendue, il secoua la tête à ses paroles, amusé par leur portée. « C'est dommage parce-qu'il peut s'en passer des choses pendant ces pauses, même si elles sont courtes. » Ajouta-t-il, faisant mine de hausser les épaules alors qu'il jouait avec les sous-entendus, gardant cet air faussement innocent sur le visage. Il savait combien c'était dangereux pour eux de s'aventurer sur ce terrain-là, parce-que dés lors qu'ils étaient partis, il n'y avait plus rien qui puisse les arrêter et très souvent, ils adoraient pousser le vice jusqu'au bout. Son cœur s'était réchauffé à ses mots tendres qui lui confirmaient qu'il n'avait qu'à être lui pour continuer de la séduire, ressentant la même chose à son égard. « Alors je continuerais à être le petit merdeux que je suis. » Souffla-t-il, amusé, tendant la nuque pour déposer un tendre baiser sur ses lèvres, appréciant le contact de ses paumes contre son t-shirt, sa peau frissonnant lorsqu'elle décida de passer la barrière du tissu. Son désir pour elle était inarrêtable, son cœur battant plus vite sous l'effet de cette tension presque palpable entre eux alors qu'ils se regardaient, leurs yeux se cherchant sans qu'ils n'aient besoin de dire quoique ce soit, leur attirance se passant toujours de mots. Allongé sur le canapé, ses mains entourant Aelya, il avait attisé son envie en jouant avec sa peau, lui faisant comprendre à travers ses gestes qu'il aurait aimé lui arracher toutes ces couches de tissus qui obstruaient le passage de ses doigts. Alors que ses lèvres continuaient de chercher les siennes, il sentit son cœur louper un battement à l'écoute de ses mots brûlants, comprenant qu'elle était animée du même désir que lui, le genre irrépressible, qui avait tendance à rendre dingue lorsqu'il n'était pas assouvi. Il laissa son souffle se faire plus bruyant au niveau de son oreille, fermant les yeux alors qu'il profitait du contact de ses lèvres contre son cou. Cherchant à attiser le jeu, ils firent tous les deux semblants de vouloir opter pour la solution raisonnable, son regard accrochant celui de sa petite-amie alors qu'il frissonnait à ses mots qui ne l'aidaient pas à se contrôler. « C'est dangereux finalement, on devrait s'essayer au raisonnable de temps en temps, ça nous ferait pas de mal. » Ajouta-t-il, ne pensant pas un seul mot de ce qu'il avançait. Il la suivit dans la chambre, plongeant sous les draps une fois déshabillé, attendant qu'Aelya ne le rejoigne pour l'embrasser une dernière fois, se rangeant de son côté pour laisser la tension s'imprégner entre les quatre murs de la pièce. Très vite, il la sentit bouger, se mordant la lèvre lorsqu'il comprit ce qu'elle tentait de faire, frémissant au contact de sa poitrine contre son dos. « Non t'inquiète pas, je dormais pas encore. » Souffla-t-il, rentrant dans son jeu, finissant par se retourner pour lui faire face. « T'as pas froid comme ça bébé ? Je pensais que tu voulais que je te réchauffe... » Dit-il, faisant mine de ne pas avoir compris ses mots, l'incitant à se retourner pour pouvoir se coller contre elle, sa main partant à l'aventure de son corps dénudé. Son torse contre son dos, il fit en sorte de ne laisser aucun espace entre leurs deux corps, laissant son désir grandir pour être perceptible par Aelya, son souffle s'aventurant jusqu'à son oreille. Ses doigts vinrent caresser son ventre, effleurant sa poitrine avant de longer son flanc puis sa cuisse. « Ça va mieux ? » Murmura-t-il, près de son oreille, tendant son visage pour déposer un baiser contre sa nuque.
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Sujet: Re: i can't face the dark without you (niels) Lun 1 Avr 2019 - 13:45
Elle l'aimait dans les ténèbres comme dans la lumière, ingurgitant tout l'amour qu'il lui donnait sans compter et qui pulsait dans ses veines assoiffées de sa présence, le coeur explosant sous l'effet de l'affection qu'elle contenait en elle, et qui lui avait au départ semblé complètement abstrait tant il était puissant, inédit et surtout sans limite. Elle n'était vouée qu'à s'envelopper dans son aura si bienfaitrice qui réchauffait toute la glace qui avait entouré son âme tourmentée, trouvant refuge dans celle de Niels afin de s'y sentir vivre. Elle savait qu'ils étaient pareils, à ressentir cette jalousie si nocive dès lors qu'un autre être s'aventurait dans leur espace qu'ils cherchaient à condamner pour se protéger, parce que même si elle tentait de le rassurer, elle savait que ce sentiment n'obéissait à aucune règle, qu'il était instinctif, épidermique et explosif. - S'il se passe trop de choses, je voudrais surement plus de pauses. On pourrait dire que tu t'es gentiment désigné pour me faire le tour du propriétaire. C'est dans ta nature d'être serviable, lança-t-elle d'un air taquin, s'amusant à cette idée.
Elle serait incapable de réprimer ses envies, parce qu'elle faisait tout pour éviter la frustration surtout lorsqu'il s'agissait de Niels. Elle aimait savoir qu'ils pouvaient consumer leur désir là où ils frappaient, sans prévenir, hors de tout de contrôle, n'inscrivant qu'un seul but : celui de se retrouver, de ne faire qu'un, de se compléter dans leurs failles qui se répondaient de manière harmonieuse. Elle sourit en acquiesçant à sa remarque, bien consciente qu'il avait simplement à rester lui-même pour lui plaire, elle qui tombait chaque jour amoureuse de sa personnalité si douce et à la fois agitée, qui avait su obtenir la chose la plus fragile qui soit : son coeur qu'elle lui avait confié sans l'ombre d'un doute, parce qu'il n'y avait que Niels qui était apte à le recevoir et surtout, à le comprendre. - Continue d'être incontrôlable et chiant, c'est ce qui fait ton charme, répondit-elle, joueuse.
Ils se confortaient tous les deux dans ces côtés, Aelya acceptant ses faiblesses comme ses forces, s'inspirant de ses mots gorgés d'espoir pour ne jamais lâcher sa main dans la sienne, avec la ferme intention de braver même l'impossible avec lui, parce que tout devenait possible dans son regard qui était le miroir de tous ses souhaits, là où son amour brillait de milles feux sous l'aube de leur relation si décriée mais que personne ne pourrait jamais réellement appréhender. Parce qu'elle-même peinait à garder à l'intérieur de sa cage thoracique tous les sentiments qui grandissaient et qui l'invitaient à mettre sa vie entre parenthèse si Niels n'était pas présent pour y participer. Sans lui, son monde s'arrêtait de tourner, le temps arrêtait de défiler. Venant se blottir contre lui, sur le canapé, elle laissa ses mains partir à la découverte de cette peau dont elle ne se lassait jamais de caresser, ses lèvres cherchant les siennes avant de leur céder, l'ambiance se teintant d'un désir silencieux et pourtant bien palpable, alors qu'Aelya était venue attiser la passion en logeant des baisers dans son cou, jouant avec sa patience, se retenant de lui sauter dessus alors qu'elle pouvait entendre sa respiration devenir de plus en plus saccadée tout près de son oreille. Retrouvant son regard, elle fit mine de réfléchir à ses mots, un air espiègle inscrit sur ses traits. - J'suis pas sûre qu'on se fera du bien en restant raisonnable, mais j'veux bien tenter l'expérience, ajouta-t-elle, le défiait de manière joueuse.
Elle savait que ce n'était qu'une question de temps avant qu'ils ne s'abandonnent l'un à l'autre, appréciant de laisser la frustration opérer pour mieux le retrouver, lui qui était toujours dans la moindre de ses pensées. Le suivant dans la chambre, elle s'était insérée sous les draps comme si de rien n'était, comme si la passion ne la forçait pas à émettre un contact avec sa peau. Elle n'avait pas tenu une minute avant de s'amuser avec lui, se débarrassant de son sous-vêtements pour simplement se coller à son dos, prenant un air innocent alors qu'elle savait très bien qu'il ne dormait pas encore. Aelya esquissa un léger sourire en coin à sa question, comprenant qu'il allait riposter à ses délicieuses attaques. - Tu peux toujours essayer, répondit-elle, tentant de jouer la carte de l'indifférence alors qu'elle explosait de désir pour lui.
Elle se retourna, faisant mine de reprendre le cours de son sommeil, lorsqu'elle le sentit venir contre elle, son torse irradiant de chaleur contre son dos alors qu'elle pouvait aisément percevoir l'étendue de son désir qui augmentait le sien de surcroît. Elle se mordit violemment la lèvre inférieure, se forçant au calme alors qu'il continua sur sa lancée, laissant ses mains détailler ses courbes dont le contact déclencha une vague de frissons sur sa peau, le coeur battant de manière anarchique à la sensation de son souffle chaud près de son oreille, rendant sa respiration plus superficielle. - Ca va mieux... Mais c'est pas ça encore, le tenta-t-elle de manière joueuse.
Sans lui faire face, ses doigts vinrent s'infiltrer dans les siens, guidant sa paume sur sa cuisse pour faire doucement glisser son bas le long de ses jambes, se retrouvant bien vite nue contre son corps, avant d'attirer sa paume contre sa poitrine, là où son coeur cognait fort pour rejoindre le sien. - Tu te débrouilles plutôt bien tu vois, pour me réchauffer, admit-elle, un sourire aux lèvres.
Sa main toujours dans le creux de la sienne, elle vint loger les doigts de Niels au niveau de sa chute de reins où elle fit exprès de forcer sa cambrure pour jouer avec son désir. - Dis moi que tu veux de moi, et je me retournerai peut-être... Murmura-t-elle d'une voix suave.
Elle aimait voir son désir autrement que par son regard, percevant son urgence juste avec l'aide de son souffle, de sa chaleur, de son corps qui parlait à la place de ses yeux.
Levi Wheeler
MESSAGE : 25016 ICI DEPUIS : 18/06/2018 CRÉDITS : endless love (av), awona (sign), strangehell (icons)
STATUT : i’ll be yours for a thousand lives. (married to sahar ♡)
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: i can't face the dark without you (niels) Lun 1 Avr 2019 - 18:26
Il avait viscéralement besoin d'elle, se voyant incapable d'imaginer une vie loin d'elle, cette simple pensée lui retournant les entrailles. Il avait conscience qu'il ne pouvait plus clamer son indépendance comme il l'avait longtemps fait avant elle, et pourtant, il l'acceptait. Parce-qu'il se rendait bien compte que cette liberté ne l'avait finalement jamais rendu aussi heureux qu'il l'était dans le creux de ses bras, n'ayant finalement pas besoin de parcourir le monde entier pour trouver une raison d'exister. La sienne se trouvait à Bowen, dans cette ville qui avait bouleversé sa vie, où se trouvait la femme qu'il avait choisi d'aimer pour le restant de ses jours. C'était fort, probablement inattendu pour un type qui n'avait jamais connu de sentiments aussi intenses auparavant et pourtant, il savait qu'il n'y avait rien de plus naturel que de l'aimer. Il avait souri à ses mots qui lui laissaient l'occasion d'entrevoir à quoi pourrait correspondre leur quotidien s'ils partageaient le même environnement de travail. Exagérant son hochement de tête, il tenta de feindre l’innocence, un air mi-amusé, mi-sérieux étirant ses traits. « Totalement. C'est sûrement pour ça qu'on m'apprécie au boulot, j'suis toujours serviable. Et puis, tu t'adresses à la bonne personne, je connais tous les recoins de l'hôpital, même ceux à l'abri des regards. » Ajouta-t-il, d'une voix charmeuse, pleine de sous-entendus. C'était la meilleure et la pire idée que de vouloir la tenter sur ce terrain-là, parce-que Niels savait pertinemment de quoi était capable sa petite-amie, toujours partante pour enfreindre les règles avec lui, se foutant royalement du danger qu'ils pouvaient s'attirer. Pour autant, ils avaient en tête que derrière tout ça, c'était le job de Niels qui était en jeu, et celui d'Aelya par la même occasion. Ils savaient par expérience qu'il n'était clairement pas judicieux de mettre à mal le peu d'argent qu'ils gagnaient déjà, conscients qu'ils avaient toujours des idées bien moins intelligentes pour équilibrer la balance. « Compte sur moi. » Finit-il par lui répondre, agrémentant ses paroles d'un léger clin d’œil, son sourire s'agrandissant. Il adorait savoir qu'il avait réussi à la charmer avec ce qu'il était, son passé n'étant jamais intervenu dans le déroulement de leur relation, dénuée de toute superficialité, aussi pure qu'authentique. Il n'avait jamais connu quelque chose d'aussi exaltant avant elle, comme s'il comprenait qu'il pouvait tous les jours être surpris par cette relation qui grandissait au jour le jour, Aelya ne cessant jamais de le rendre raide dingue d'elle. Il l'avait suivi jusque dans la chambre, son désir se faisant de plus en plus urgent, ses mots n'ayant pas arrangé la tempête qui se déroulait dans ses entrailles, menaçant de tout embarquer sur son passage. Dans le lit, sa peau avait frémi au contact de la sienne, alors qu'il comprenait qu'elle débutait les hostilités, ne se gênant pas pour se dénuder et le lui faire comprendre. Incapable de ne pas riposter, il s'était retourné de son côté, lui proposant son aide pour la réchauffer, son torse se collant sans plus attendre à son dos tandis que ses mains s'étaient mises à caresser lentement sa peau brûlante. Son corps lui criait de lui sauter dessus, de lui céder tout de suite parce-qu'il crevait de désir pour elle, chose dont elle devait évidemment s'apercevoir à travers le bas de son corps. Il esquissa un sourire amusé à ses mots, se mordant la lèvre alors qu'il sentit sa main se loger dans la sienne, le guidant jusqu'à l'élastique de son sous-vêtement pour l'aider à le faire glisser le long de ses jambes. « Et maintenant... ? » Souffla-t-il, d'une voix grave, profonde, emplie de désir, suivant le parcours de sa main, peinant à garder le contrôle alors qu'elle était venue se loger sur sa poitrine, percevant les battements rapides de son cœur. « Tu trouves ? Je devrais continuer alors. » Murmura-t-il, venant s'approcher encore un peu plus d'elle, épousant sa cambrure qui le rendait dingue, d'autant plus lorsque ses doigts parvinrent jusqu'à son bas dos, agrémentant son désir. « T'as pas besoin que je te le dise pour le savoir... » Ajouta-t-il, se penchant vers son oreille pour attraper son lobe, s'emparant à son tour sa main pour venir la faire glisser sur ses abdominaux avant de descendre dangereusement jusqu'à son boxer, là où elle pouvait se rendre compte de tout ce qu'elle lui provoquait. Il laissa sa main là où il l'avait placé, se redressant sur un coude pour atteindre son cou qu'il dévora, s'occupant de lui laisser des traces de sa passion tandis que ses doigts vinrent à leur tour tracer une ligne de sa poitrine au bas de son ventre, souhaitant s'amuser avec sa patience. « Mais si t'insistes... J'ai trop envie de toi mon amour, c'est à peine vivable. »
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Sujet: Re: i can't face the dark without you (niels) Lun 1 Avr 2019 - 20:41
Elle avait choisi de rompre son célibat, d'enfermer son cœur volage entre les mains de Niels pour qu'il ne s'envole plus dans d'autres draps, elle qui avait finalement trouvé celui avec qui elle voulait tout partager jusqu'au moindre de ses sourires pour l'éternité. Elle subissait la distance de leur travail avec la pensée de le retrouver, laissant tournoyer dans son esprit les images de leur retrouvaille qui déposait un avant goût sur ses lèvres affamées des siennes, comme tout son être qui cherchait constamment le contact du sien, sa chaleur, sa douceur pour s'envelopper dans le refuge sécuritaire qu'elle n'avait jamais eu auparavant, ses bras qui savaient éteindre la brûlure toxique de ses doutes pour simplement permettre à son affection de primer sur tout le reste. Elle n'avait que ça qui la tenait en vie : lui, en tout et pour tout, et c'était amplement suffisant. Elle avait capté son regard avec une lueur amusée et plus qu'interessée par tout ce qu'il disait, tentant son goût du risque.
- Arrête de me dire des trucs comme ça si tu veux pas que je foute ta carrière en l'air, s'amusa-t-elle. Mais... Tu pourrais peut être m'inviter une fois, dans ces lieux à l'abri des regards, j'aimerai bien les connaître, ça peut toujours servir, ajouta-t-elle, joueuse.
Il n'y avait aucune limite dans l'aboutissement de ses désirs et sûrement pas quand Niels était concerné. C'était sûrement le problème parce que ça leur attirait bien trop d'ennuis, mais elle aimait défier le danger avec lui, sachant pertinemment qu'ils excellaient tous les deux dans ce domaine, se brûlant les ailes dès lors qu'ils s'approchaient tous deux trop près des flammes avant de se régénérer dans une nouvelle étreinte, savourant chacune de leur renaissance à chaque fois que la vie décidait de les séparer physiquement. Mais spirituellement, c'était impossible d'empêcher cette connexion, cette chose intuitive mais bien concrète qui se dessinait entre eux, comme si son cœur était toujours lié au sien d'une manière ou d'une autre parce qu'elle ne serait sans doute jamais guérie de lui. Elle n'en avait aucune envie. Elle préférait mourir de cette maladie amoureuse qui ne portait que son prénom plutôt que d'aller mieux et sombrer dans la lassitude des jours vides de sa présence. Avec trois fois rien, il arrivait à agrémenter la tension passionnelle qui siégeait toujours entre eux, remplissant le creux qui s'était ouvert dès l'instant où elle avait senti son éloignement à cause de sa jalousie, caressant les bordures de son âme qui s'agitait à l'idée de n'être que sienne encore une fois et pour toujours. Dans la volonté de faire durer l'urgence qui bouleversait déjà ses entrailles tout ça pour mieux lui succomber, elle s'était laissée entraîner contre lui après avoir titillé ses pulsions charnelles en jouant avec la proximité de ses courbes, croulant sous la brûlure de ses mains qui dansaient sur sa peau, son souffle venant se réfugier dans son oreille comme un catalyseur au niveau de son rythme cardiaque qui s'emballait. Loin d'avoir dit son dernier mot, elle décida de guider ses doigts au travers de son bas dont elle se débarrassa bien vite, laissant sa main percevoir le bazar qu'il semait dans sa poitrine.
- Ça va un peux mieux là encore mais je crois que tu peux mieux faire... Sourit-elle, amusée.
Elle savait que le meilleur restait encore à venir, lorsque son corps se lierait au sien pour ne faire qu'un. Son cœur augmenta la cadence, alors qu'une violente chaleur s'éprenait de son organisme sous l'effet de son corps contre son dos, là où elle pouvait clairement percevoir l'intensité de son désir qui répondait au sien.
- Je t'interdis de t'arrêter bébé, répondit-elle, amusée, s'imprégnant de toutes les sensations qu'il lui offrait alors qu'elle lui renvoyait les mêmes coups en posant ses mains sur ses formes.
Elle se mordit la lèvre à sa réponse, consciente qu'il avait raison, qu'elle savait déjà qu'il irradiait de désir pour elle, et c'était d'autant plus dur de patienter alors qu'il guida sa paume sur ses abdominaux jusqu'à une lente descente pour atteindre son bas ventre. Elle en profita pour laisser ses mains lui donner des caresses brûlantes, son sang bouillonnant dans ses veines alors qu'il embrassa son cou en même temps que ses doigts s'étaient décidés à parcourir son anatomie. Elle fit volte face à sa remarque, sa jambe venant enlacer son bassin pour coller son corps au plus près du sien, son bassin venant taquiner celui de Niels. Elle approcha lentement son visage, ses lèvres en suspens au dessus des siennes, s'amusant encore une fois de leur patience.
- Alors fais moi l'amour bébé, murmura-t-elle contre ses lèvres avant qu'elles ne viennent emprisonner celles de Niels dans un baiser enflammé.
Ses mains vinrent descendre vers la zone la plus sensible de son anatomie, faisant glisser son dernier sous vêtement pour qu'il se retrouve contre elle pour de bon, peau contre peau, ses lèvres glissant avec ferveur dans son cou pour le mordiller, son souffle se faisant de plus en plus anarchique.
- C'est trop dur de te résister mon amour. J'suis folle de toi, je suis pas faite pour être loin de toi, admit-elle dans son cou entre deux baisers, ses doigts continuant de lui délivrer de l'attention.
Levi Wheeler
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Sujet: Re: i can't face the dark without you (niels) Lun 1 Avr 2019 - 22:08
S'évader dans des bras qui n'étaient pas les siens ne l'intéressait plus, parce-qu'il savait qu'il ne trouverait jamais son bonheur ailleurs, Aelya étant la seule capable de le combler entièrement. Son palpitant battait pour le sien, pour voir son visage s'illuminer à chaque fois qu'il lui rappelait qu'il l'aimait, qu'ils étaient ensemble envers et contre tout, qu'importe ce que pouvaient en penser les autres. Niels était prêt à se battre contre n'importe qui, même l'univers entier si c'était pour les protéger des menaces, souhaitant lui faire comprendre qu'ils en vaudraient toujours la peine, même si les doutes pouvaient mettre à mal cette évidence. Il était voué à la tenter pour le restant de ses jours, ses yeux s'illuminant à la vue des siens qui lui répondaient, teintés par cette lueur joueuse qui leur était bien caractéristique. « Ma carrière comme tu dis, elle est pas très importante à côté de ce que j'ai en tête quand je pense à nous deux dans un espace confiné... » Souffla-t-il, la tentant une nouvelle fois, son regard s'assombrissant de désir. Il répondit à son sourire, se pinçant la lèvre à sa remarque, hochant légèrement la tête. « J'te prends au mot, viens un de ces quatre, j'te ferai visiter tout ça. » Ajouta-t-il, peinant à croire qu'ils puissent rester sages si leur désir mutuel les frappait au moment venu, bien que les lieux ne soient pas vraiment propices à ce genre d'activité. Mais ça, ça n'avait jamais été un problème pour eux, qui se foutaient bien de l'endroit dans lequel ils se liaient l'un à l'autre, capables de créer leur propre univers même dans les pièces les plus froides, refroidissant instantanément chaque atmosphère de leur amour brûlant. C'était sans doute un problème d'un certain point de vue, parce-que Niels se voyait incapable de lui refuser quoique ce soit, et surtout pas lorsqu'il s'agissait de leurs deux corps qui s'entremêlaient, parvenant toujours à se brûler les ailes avec elle. Et probablement qu'il accepterait de se brûler encore et encore, jusqu'à la fin, parce-qu'il s'interdisait de s'imposer des limites avec elle, préférant de loin profiter de chaque seconde qu'on lui offrait pour l'aimer comme un fou. Le désir s'éprenant de lui, il avait cherché à paraître indifférent à ses premières attaques, même si le tumulte qui se déroulait à l'intérieur ne mentait pas. Rapidement, il se retrouva contre elle, son corps se collant au sien avec l'idée de lui faire percevoir tout ce qu'elle lui provoquait, ignorant si elle était au moins consciente de la manière dont elle le rendait dingue. Ses mains posées sur son corps, il avait cherché à éveiller le même désir à l'intérieur de ses entrailles, pour qu'elle ne puisse jamais y échapper, souhaitant la rendre prisonnière de cette passion que seuls eux étaient aptes à comprendre. L'aidant à la dénuder, il avait senti son cœur louper un battement, peut-être deux, son souffle devenant moins régulier. « Je crois aussi... » Souffla-t-il, souhaitant lui montrer qu'il en avait encore sous le pied, prêt à lui donner le tournis s'il le fallait. Il se mordit la lèvre devant l'ordre qu'elle lui donna, souriant à sa remarque alors qu'il avait de nouveau agrémenté le feu, guidant à son tour sa main vers son bas ventre, désirant sentir son envie grandir entre ses doigts. Il lâcha un léger soupir en la laissant prendre les devants, s'occupant alors de retrouver ses courbes qu'il caressait lentement, ses lèvres plongées dans son cou tandis qu'il s'affairait à faire glisser sa main jusqu'à la zone de son désir. Le souffle court, il la laissa se retourner, captant son regard à travers la pénombre de la pièce, croulant sous les mouvements à peine perceptibles de son bassin contre le sien. « J'attends que ça... » Il attrapa ses lèvres en plein vol, se délectant de la chaleur de son souffle contre le sien, se forçant à réprimer le plaisir qu'il ressentait contre ses lèvres. Rapidement nu contre elle, il la laissa prendre le contrôle des choses, ses doigts cherchant à s'entremêler aux siens. « T'as plus à l'être mon amour. J'veux qu'on soit ensemble, pour toujours, et qu'on se prive jamais de faire ce qu'on a envie. » Murmura-t-il, ses mains venant finalement s'agripper à ses hanches pour se mouvoir contre elle, jusqu'à lier leurs corps dans un geste délicat, un long soupir s'échappant de ses lèvres. « Putain bébé. » Ajouta-t-il, incapable de contenir ce flot de plaisir qui se déversa dans ses veines, le propulsant dans un monde où il ne voyait qu'elle. « T'es vraiment parfaite mon amour, c'est affolant. » La complimenta-t-il, se délectant de la vue qu'il avait sur son corps.
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Sujet: Re: i can't face the dark without you (niels) Mar 2 Avr 2019 - 13:10
A chaque fois qu'elle se perdait en chemin, elle savait qu'elle pouvait toujours compter sur la main de Niels pour la ramener dans le sillon de leur relation afin que celle-ci n'ait aucune fin, qu'ils restent ensemble jusqu'à leur dernier souffle, chose qu'Aelya espérait depuis le début, parce qu'elle ne se voyait plus sans Niels dorénavant. Il faisait partie d'elle, comme si son absence suffisait à faire tomber en ruine l'intégralité de sa vie qui ne tenait en vérité que par sa présence, ses lèvres se chargeant de lui insuffler tout ce qui lui avait manqué jusqu'à leur rencontre. C'était simple et en même temps si compliqué de le choisir envers et contre tout, parce qu'elle cassait certains principes, certains liens pour n'accepter que le contact de son petit ami à ses côtés, mais elle ne regrettait jamais, parce que ne pas choisir Niels revenait à un suicide. Elle sourit en coin à sa remarque, s'amusant de ses mots qu'il émettait avec soin, tout ça pour inscrire encore plus de désir dans ses yeux déjà égayés. - Après tout... Je pourrai me perdre dans tous ses couloirs et atterrir dans une pièce vide... Faudra bien que quelqu'un me retrouve. Et me rassure. Parce que je déteste être seule dans un espace confiné, sombre et froid. Peut-être bien que c'est pas si mal que je tombe sur toi quand ça arrivera, parce que tu sais exactement quoi faire pour me réconforter, répondit-elle, justifiant ses idées avec malice. Avec plaisir, et je viendrai surement à l'improviste. Tu sais comme j'aime te faire des surprises, ajouta-t-elle en lui envoyant un clin d'oeil.
Même si c'était mal, même si ça ne se faisait pas de vouloir se tenter dans un lieu comme celui-ci, Aelya n'avait jamais eu tendance à réfléchir à ses actes avant d'agir, bien trop occupée à entendre le bruit de son coeur excité à l'idée de braver les interdits avec Niels, son partenaire de jeu préféré. Partout où il était, elle le suivrait, guidée par les effluves de son parfum qui s'infiltrait dans chacune de ses cellules alors qu'elle était tout contre lui, sur le canapé, lui faisant part de ses envies en logeant ses lèvres dans son cou, comprenant qu'il était aussi attiré par elle malgré son indifférence qui poussa Aelya à rentrer dans son jeu, se positionnant dans le lit comme si elle s'apprêtait à dormir alors que son désir faisait rage dans son organisme, appelant le corps de son petit ami contre le sien. S'emparant de sa main pour qu'il vienne caresser sa peau afin de la débarrasser de son bas, elle frissonna d'envie à ce simple contact qui attisait sa passion. Elle le laissa riposter de manière plus fiévreuse, invitant sa main à découvrir son anatomie qu'elle connaissait par coeur et qui déclenchait des soubresauts dans sa poitrine à la perception de son désir qu'elle caressait avec l'aide de ses doigts afin de l'augmenter, dans le but de le rendre dingue parce qu'Aelya était déjà sous l'emprise de ses pulsions passionnelles qu'il savait trop bien manipuler pour les rendre urgentes, son souffle se faisant de plus en plus bruyant alors que la main de Niels se réfugia entre ses cuisses, agrémentant la chaleur qui se vivifiait dans son organisme. Le coeur au bord des lèvres, elle s'était retournée, n'en pouvant plus de cette attente qui ressemblait à de la torture, collant son corps au sien pour l'inviter à aller plus loin, elle qui avait hâte de ne faire qu'un avec lui. Elle sourit contre ses lèvres, les emprisonnant pour lui délivrer des baisers brûlants, rythmés par son envie qu'elle ne pouvait plus cacher alors que ses mains s'étaient débarrassées de la dernière couche de ses vêtements pour lui offrir des caresses appuyées afin de continuer à le tenter, ses lèvres se logeant dans son cou pour déchainer son plaisir. Nouant ses doigts aux siens, elle hocha la tête à sa réponse, partageant le même avis que son petit-ami, elle qui voulait vivre leur amour sans limite. - Je veux plus jamais me priver de toi, j'veux t'appartenir et plus jamais qu'on se quitte, avoua-t-elle amoureusement.
Leurs bassins se cherchaient dans des mouvements discrets avant que Niels n'y mette fin en s'infiltrant à l'intérieur de son corps, ses jambes venant entourer ses flancs pour ne pas qu'il s'échappe, pour que jamais il ne la quitte, subissant de plein fouet le plaisir qui vint contaminer la totalité de son être. Attrapant ses lèvres pour éteindre ses soupirs, ses doigts vinrent se loger autour de son cou pour intensifier leur échange, souriant, flattée par son compliment quand elle vint détacher ses lèvres des siennes.
- Y'a pas plus attirant que toi mon amour, lança-t-elle, son doigt venant doucement caresser ses lèvres avant de leur succomber une nouvelle fois, ses bras enlaçant son corps plus fermement contre le sien pour le sentir au plus proche d'elle. Bébé... Je t'aime, j'ai trop besoin de toi,souffla-t-elle, déposant un baiser dans le creux de son cou avant de faire glisser ses lèvres le long de sa clavicule, ses doigts s'accrochant à sa peau, ressentant les effets de ses ondulations qui lui arrachaient des soupirs liés au plaisir.
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Sujet: Re: i can't face the dark without you (niels) Mar 2 Avr 2019 - 21:26
Jamais il n'accepterait de la laisser s'égarer, de rester les bras ballants en la regardant partir. Il la retiendrait toujours, parce-qu'il n'était voué qu'à ça, qu'à la ramener auprès de lui, là où était et serait sa place pour toujours. Il osait croire qu'elle avait besoin de lui comme il avait besoin d'elle, de manière viscérale, vitale, comme si leur existence n'avait de sens que lorsqu'ils se retrouvaient tous les deux. Comme elle, Aelya était tout ce qu'il lui restait, sa seule famille, l'amour de sa vie, celle pour qui il était prêt à accepter n'importe quoi, tout ça parce-que l'amour le rendait fou, lui faisant oublier la notion de danger, chose qu'il n'avait en réalité jamais su bien distinguer. Il acquiesça à ses mots, amusé par tout le scénario qu'elle mettait en place pour justifier de manière habile sa volonté de vouloir le retrouver à l'hôpital, comme lui l'avait retrouvé au club. « Ça tient la route. Tout le monde sait que je laisserai jamais une jeune femme en détresse dans les couloirs de l'hôpital, c'est clairement pas mon genre. Je pourrais même passer du temps à te réconforter, c'est pas ce qui me dérange. » Ajouta-t-il, le regard joueur, hochant la tête à ses derniers mots qui venaient réchauffer son âme, l'idée de se retrouver corps à corps avec elle sur son lieu de travail le faisant déjà frémir. L'interdit avait toujours été beaucoup plus amusant lorsqu'il le tentait avec Aelya, eux qui avaient toujours eu les mêmes goûts en matière d'excès, reliés par leur amour du danger. Son désir s'était fait plus insistant dés qu'ils avaient commencé à s'embrasser sur le canapé, cherchant à apaiser la tension qui s'était en réalité décuplée, mais d'une toute autre nature. Il s'était laissé aller contre elle dans les draps, laissant l'occasion à Aelya de guider ses mains sur sa peau, se sentant défaillir lorsqu'elle le poussa à la déshabiller encore plus. Incapable de réprimer cette vague de désir qui l'envahissait, il laissa Aelya s'apercevoir elle-même de la manière dont elle le rendait dingue, son corps portant les stigmates de ce désir irrépressible. Le cœur battant à vive allure, il s'abandonna contre ses lèvres lorsqu'elle se retourna, brisant définitivement les barrières qu'ils avaient voulu s'imposer, l'envie de se retrouver ne pouvant plus être mise en suspens. Son regard brillait, retrouvant le sien lorsqu'elle continua de faire grandir son excitation à travers ses caresses, son souffle venant se percuter contre la peau de son cou pour l'inciter à continuer, jusqu'à ce qu'il ne mette fin à l'attente en se liant à elle. « J'te laisserai plus partir de toute façon. » Murmura-t-il, un léger sourire étirant ses lèvres, laissant son corps buter contre le sien dans un rythme contrôlé. Il plongea de nouveau contre ses lèvres lorsqu'elle l'y invita, ses bras venant l'enlacer pour ne laisser aucun courant d'air s'infiltrer entre leurs deux corps brûlants de désir. Elle caressa son cœur avec ses mots tendres et flatteurs, ravi de savoir qu'ils ressentaient encore cette attirance indestructible l'un pour l'autre, celle qui les liait depuis le début. Ses yeux rencontrèrent de nouveau les siens alors que son doigt s'était mis à caresser ses lèvres, lui adressant des regards amoureux, subjugué par tout ce qu'elle représentait pour lui. « Je t'aime aussi mon amour. » Lui répondit-il, entre deux soupirs, expiant des souffles moins discrets en percevant ses lèvres contre son cou, puis partant à l'aventure vers son torse tandis qu'il s'affaira à augmenter le rythme de ses coups de rein pour l'entendre soupirer pus bruyamment. Il resta contre elle pendant de longues minutes, laissant la magie s'opérer entre eux alors que leur amour explosait, réfugiés dans leur cocon de bien-être, teinté de ce désir immortel. Puis vint finalement l'apogée de leur étreinte, celle qui avait toujours eu le don de le propulser au septième ciel, alors qu'il tentait de retrouver son souffle dans le creux de son cou, la fatigue et le soulagement venant envahir ses membres. Ils finirent quelques instants plus tard par s'endormir l'un contre l'autre après avoir retrouvé leur place respective dans le lit, Niels ne manquant pas de coller son corps au sien comme dans une étreinte protectrice, fermant finalement les yeux après lui avoir rappelé qu'il l'aimait.
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