Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
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STATUT : i’ll be yours for a thousand lives. (married to sahar ♡)
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: your hand in mine, we walk the miles (aelya) Mar 2 Juil 2019 - 19:43
Il avait perçu la vulnérabilité d’Aelya au moment même où elle lui avait permis de la toucher, comprenant qu’ils étaient atteints des mêmes maux, des mêmes peurs qui avaient laissé ces plaies béantes en eux, ces blessures qu’ils avaient tenté de refermer comme ils l’avaient pu. Et pourtant, il ne l’avait jamais jugé pour ça, ayant pour la première fois l’impression qu’il pourrait prendre soin de quelqu’un, qu’il serait apte à lui apporter un peu de lumière si elle lui en laissait au moins l’opportunité. Finalement, il avait accepté de s’ouvrir à elle, comme elle l’avait fait, avec une peur palpable parce-que ça n’était pas dans ses habitudes de se confier de la sorte. Mais très rapidement, il avait compris qu’Aelya ne lui ferait jamais de mal intentionnellement, son regard s’étant toujours posé sur le sien avec une bienveillance qui n’avait aucun égal, comprenant alors qu’ils étaient liés de manière irréversible. Elle avait raison, elle le maintenait en vie et c’était un fait qu’il ne cachait plus, lui qui était prêt à tout pour la garder le plus longtemps possible à ses côtés, là où ils se protégeraient mutuellement. Il esquissa un sourire à ses mots qu’il ne pourrait d’ailleurs jamais contredire, retrouvant son regard qui répondait malicieusement au sien. « On peut dire ça, ouais. » S’amusa-t-il à son tour, gardant cet air d’amoureux transi alors qu’il posait ses yeux sur elle, elle qui ne manquait jamais de le fasciner. Il se mordit légèrement la lèvre, reportant ses yeux sur l’ordinateur. « Heureusement que t’es là toi. » Parce-qu’il n’en serait sûrement pas là où il était sans elle, sans son soutien indéfectible, lui qui avait toujours eu du mal à retrouver cette confiance qu’on avait cherché à piétiner après sa sortie de prison. Pourtant, il restait convaincu que leur rencontre n’était pas seulement liée au hasard, se prenant à croire que le destin avait cherché à les réunir, afin qu’ils puissent tous les deux se donner une chance. Il esquissa un sourire amusé à sa réponse qui laissait penser qu’elle se serait éprise de son être dans tous les univers possibles et imaginables, cette simple pensée parvenant à lui plaire. « T’aurais réussi sans trop de problème. J’veux dire… regarde-toi. Quel mec tomberait pas amoureux de toi ? » Sans doute que ce fait lui posait parfois certains problèmes, lui qui ne parvenait jamais à contrôler sa jalousie lorsqu’il s’agissait d’Aelya, parce-qu’il refuserait toujours de partager son plus beau trésor. Elle était à lui, et il l’aimait le rappeler en inscrivant sa marque sur elle, simplement pour détourner toutes ces âmes de sa pépite à lui, celle qui attisait bien trop de convoitise. Il la protégerait encore plus maintenant qu’elle portait leur fille, celle qui deviendrait l’être le plus cher à ses yeux avec la femme de sa vie. Leur cocon serait leur refuge à tous les trois, et il n’avait désormais plus que ça en tête, souhaitant assumer son rôle de père du mieux qu’il le pouvait, cela commençant par trouver leur futur chez-eux. Il fit mine de réfléchir à ses mots, laissant un rictus s’inscrire sur ses lèvres alors que des images toutes aussi brûlantes les unes que les autres défilaient dans son esprit. « Les grands moyens hein ? Tu pourrais peut-être m’en dire plus, j’crois que ça m’intéresse. » Lança-t-il, répondant à son air joueur avec malice, ses yeux plantés dans les siens. Il était persuadé qu’il ne pourrait jamais en avoir assez d’Aelya, lui qui la réclamait à chaque instant, comme une drogue dont le sevrage était impossible. Il avait hâte de les voir à l’oeuvre avec leur fille, sachant déjà qu’ils devraient courir partout pour gérer le tempérament de leur enfant. « Ouais, on se retiendra de lui dire. Elle pourrait trop en jouer. » Ajouta-t-il, un brin s’amusement se lisant dans le ton de sa voix. Il rêvait d’offrir la meilleure éducation à sa fille, lui qui avait été élevé dans les règles, ses parents ayant toujours mis un point d’honneur à ce qu’il ne manque jamais de rien. Il savait qu’Aelya et lui seraient de bons parents, parce-qu’ils mettraient toujours leur fille au premier plan et feraient en sorte d’être le plus juste dans leur façon de faire. Sentant leur enfant bouger dans le ventre de sa petite-amie, il ne put s’empêcher de laisser son émotion transparaître à travers le baiser qu’il déposa sur son ventre, celui qui reflétait son envie de voir ce bout d’eux voir le jour afin qu’il puisse l’aimer avec tout ce qu’il avait. Il se mit à frémir au passage de sa main dans ses cheveux, se redressant suite à ce moment empreint d’intensité et de tendresse. « Y’a des trucs qui sont plus forts que moi on dirait. » Pouffa-t-il, faisant référence à ses envies plutôt originales qui lui prenaient depuis qu’elle était enceinte de leur enfant. Il sourit en la voyant venir contre lui, appréciant cette proximité qui le faisait toujours frémir. Il lui lança un regard charmeur à ses mots brûlants, ses yeux déviant sur cette lèvre qu’elle mordillait, ressentant déjà cette envie ravageuse de se retrouver contre elle. « J’aime trop t’entendre dire ça… Et ouais, à ta place j’ferais attention aussi, ça serait triste que tu puisses plus sentir mes mains sur toi. » Joua-t-il, feignant l’innocence alors qu’elle savait autant que lui qu’il essayait de la tenter. Ses lèvres vinrent attraper les siennes avec ferveur, son corps se collant au sien pour permettre à ses mains de glisser sur ses courbes, les laissant palper sa chute de reins, agrémentant son sourire. « Promis. » Souffla-t-il, s’éloignant finalement d’elle pour rejoindre la cuisine, où il sortit du frigo les ingrédients qu’il lui faudrait pour concocter leur repas. S’affairant à la tâche, il adressa un regard joueur à Aelya, satisfait de sa réponse qui le flattait, surtout lorsqu’on savait combien il la désirait. « Y’a tant de travail que ça ? » Lâcha-t-il en pouffant de rire, continuant de se concentrer sur ses préparations. « J’passerais ma vie à te faire fantasmer bébé… » Murmura-t-il en la sentant venir derrière lui, contractant ses muscles abdominaux au contact de ses doigts qui glissaient sur sa peau, fermant un instant les yeux sous le désir qui s’enflammait en lui. « Bébé… » Souffla-t-il, tendant la nuque pour sentir son visage près du sien. « J’vais vraiment finir par me trancher un doigt si tu continues comme ça… » S’amusa-t-il, reportant son attention sur le couteau qu’il avait entre les doigts. « J’aime bien cuisiner pour toi… puis au moins j’ai la conscience tranquille comme ça. » La taquina-t-il, commençant à dresser leurs assiettes, se tournant face à Aelya, son propre dos collé au plan de travail. « Installe-toi dans le canapé, je m’occupe de tout. »
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Sujet: Re: your hand in mine, we walk the miles (aelya) Mar 2 Juil 2019 - 23:15
Dès qu'elle avait goûté pour la première à ses lèvres, c'était son cœur qui s'était enfui de sa poitrine pour s'envoler vers le sien, comprenant sans un mot de plus qu'il y avait quelque chose de vraie et de palpable dans l'air, où leurs souffles s'étaient melés dans le secret de l'alliance de leurs deux corps qu'ils avaient appris à découvrir jusqu'à toucher leurs âmes en peine, egayées par la passion qui n'avait fait que de les rapprocher pour les rendre inséparables. Elle aimait le savoir à elle, Aelya qui depuis le début s'était bien rendue compte des effets dévastateurs que la jalousie impliquait, ce feu qui dévorait ses entrailles à chaque fois qu'elle l'imaginait ailleurs, se demandant ce qu'il faisait, avec qui il était, parce qu'elle ne voulait le voir que dans ses bras, contre elle pour le restant de ses jours. Elle sourit en coin à sa remarque, son regard s'illuminant au contact du sien alors qu'elle pensait à tout ce qu'il lui apportait dans son quotidien chaque jour, son visage qu'elle adorait peindre sur les murs de son esprit pour qu'il n'en sorte jamais, qu'elle puisse en tout temps le percevoir tout près d'elle même quand il était loin.
- Si j'suis encore là, c'est grâce à toi. Tu sais même pas comme ta seule présence suffit à me garder en vie. Tu m'as sauvé de toutes les manières possibles, admit-elle amoureusement.
Elle était persuadée qu'une seule vie ne suffirait jamais pour lui rendre toute la reconnaissance qui défilait dans son cœur, lui qui de par son ombre bienveillante colmatait toutes les brèches de son âme, même les plus profondes, lui qui déployait sa protection tout autour d'elle pour la préserver de tout, qui de par la seule lueur de son regard savait éteindre toutes les peines qui assomaient son myocarde, le plongeant dans une forme de coma qui l'avait trop souvent privé de sentiments, chose qu'elle n'expérimentait plus depuis qu'il était là, à la faire vivre. Elle l'aurait sans doute aimé dans n'importe quelle situation, parce qu'elle savait qu'il n'y en aurait jamais deux comme lui et qu'elle n'était faite que pour son être dans laquelle elle aimait se fondre, trouvant en lui le partenaire idéal pour voir perler les étoiles d'un avenir plus beau, moins morose et surtout moins solitaire, sa main étant vouée à rattraper la sienne dès qu'on l'arrachait à Niels, sa moitié dont elle ne savait pas se séparer. Et elle ne voulait jamais savoir le faire. Elle ne put s'empêcher de sourire à sa remarque, flattée par son compliment qui résonnait toujours trop intensément dans son être quand cela provenait de lui.
- J'ai bien réussi mon coup alors... Tous les autres peuvent bien faire ce qu'ils veulent avec leurs sentiments, moi je voudrais toujours que toi, et je passerais ma vie à te faire tomber amoureux de moi. Rien que toi.
Il était son héroïne, son amour pulsant dans ses veines pour contaminer la moindre de ces cellules qui ne se développaient que sous l'effet de sa présence, les effluves de son parfum qui étaient la seule odeur qu'elle voulait porter sur elle jusqu'à l'overdose, le cœur explosant d'affection pour l'homme de sa vie. Les yeux sur l'écran, elle les avait rapidement détourné pour s'intéresser à lui, à cette aura qui s'était soudainement réchauffée entre eux, ses yeux captant les siens d'un air félin, hypnotisée par la beauté de ses traits qui la bouleverserait toujours autant. Son visage s'approcha légèrement du sien, laissant ses lèvres doucement effleurer les siennes de manière joueuse.
- Je crois que je serais capable de tout pour que tu m'échappes plus bébé. Je peux clairement être dangereuse. Je pourrai déjà m'occuper de ta peau que je marquerais partout pour que tu me reviennes, après t'avoir séquestré dans notre chambre, évidemment, lâcha-t-elle malicieusement avant de faire glisser ses lèvres et son souffle chaud le long de sa mâchoire avant de venir doucement mordiller son cou pour appuyer ses paroles. Je pourrai t'épuiser jusqu'à ce que tu cries mon prénom comme moi j'adore crier le tien... Le tenta-t-elle d'une voix brûlante pour attiser son désir, son souffle remontant lentement vers son oreille.
Elle adorait jouer avec son envie qu'elle pouvait percevoir à travers son regard, animant le sien de surcroît. Elle sourit quand elle vint imaginer leur nouveau rôle de parents responsables, casquettes qu'ils auraient dû mal à garder si leur fille prenait connaissance de l'appétit pour la débauche de ses géniteurs.
- Si elle tient de nous, elle va clairement en jouer, elle va sûrement passer maître dans la manipulation, plaisanta-t-elle.
Parce qu'elle était consciente qu'ils n'avaient aucun mal tous les deux pour arriver à leurs fins, usant de leur charme et de leur charisme pour s'attirer leurs faveurs, leur fille pouvant aisément arborer ce trait de caractère. Les légers coups que lui avaient envoyés leur fille l'avait fait réagir, déclenchant un tumulte sans nom dans son myocarde qui battait de façon anarchique, l'appelant à alerter Niels pour qu'il puisse percevoir son enfant, attendrie par ce moment d'une infinie douceur alors qu'elle savoura le baiser qu'il déposa sur son ventre. Sa main logée dans ses cheveux, elle secoua la tête à sa remarque, feignant l'exaspération.
- Tu sais pas ce que tu loupes. Mais bon, tant que j'suis toujours irrésistible pour toi, et que tu continues de m'aimer quand même malgré mes goûts bizarres, je peux vivre avec ce désaccord entre nos goûts alimentaires, s'amusa-t-elle.
Elle rompit le peu de distance qu'il y avait entre eux, son regard parcourant son être qu'elle voulait toujours sentir contre elle, le regard faisant le trajet entre ses yeux et ses lèvres à sa réponse qui égaya son désir de plus belle.
- Ce serait pas supportable. J'ai besoin de tes mains sur mon corps pour me réchauffer. Et tu sais à quel point y'a que toi qui peut me faire fondre, ajouta-t-elle d'une voix joueuse et séductrice.
Elle le laissa accrocher ses lèvres dans un baiser passionné, ses bras s'enroulant autour de sa nuque pour approfondir l'échange, soupirant sous l'effet du désir au contact de ses mains qui prenaient possession de ses courbes féminines. Elle lui vola un baiser vif après sa réponse, le laissant rejoindre la cuisine où elle vint le rattraper quelques instants plus tard.
- Y'à énormément de travail bébé, je pense pas que tu mesures l'étendue de ton sex appeal. T'as qu'à voir comme je suis vite tombée dans tes bras pour le comprendre, admit-elle, amusée.
Elle enroula ses bras autour de lui à sa réponse, caressant son torse au travers de son haut pour commencer avant de glisser dessous, la pulpe de ses doigts captant les courbes de ses muscles contractés, le cœur s'activant sous l'effet de ce simple contact. Lorsqu'il tendit la nuque vers son visage, en proie aux mêmes émotions qu'Aelya, elle tendit la sienne pour venir déposer un baiser furtif sur sa joue.
- J'aime quand même de savoir que je te fais autant d'effets mon amour... Souffla-t-elle, charmeuse.
Elle l'écouta en le laissant se retourner, comprenant qu'il valait mieux pour sa concentration qu'elle n'aille l'attendre plus loin, réveillant en elle ce goût de trépasser les limites.
- Tu vois que j'suis dangereuse quelque part, ajouta-t-elle, faisant référence à ses mots plus tôt d'un air malicieux. Mais j'ai trop envie que tu vives encore assez pour qu'on continue à se faire du bien alors... Ouais, je vais t'attendre, ajouta-t-elle, collant son corps contre le sien en lui décrochant un baiser, sa main glissant sur son torse jusqu'à volontairement effleurer son bas ventre, gardant un air faussement innocent avant de lui lancer un dernier regard joueur, rejoignant le salon en l'attendant sur le canapé.
Elle le vit arriver quelques plus tard, un sourire s'esquissant sur ses lèvres.
- Merci mon amour. Tu gagnes des points auprès de ta fille. D'ailleurs on pourrait lui chercher un prénom ? Un truc qui nous représente nous deux. Pas un prénom trop commun, c'est pas nous ça, s'amusa-t-elle.
Levi Wheeler
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Sujet: Re: your hand in mine, we walk the miles (aelya) Mer 3 Juil 2019 - 2:20
Il était devenu accro à Aelya dés leur première nuit, comme un drogué deviendrait accro dés sa première dose, percevant cette aura différente chez elle, ce charme qui la définissait et dont il avait bien trop vite été fasciné. Il se rappelait de chaque geste, de chaque baiser, de ses draps qui s’étaient défaits sous le poids de la passion, de leurs corps qui se cherchaient dans la pénombre de la nuit et qui avaient fini par s’abandonner l’un à l’autre, sans imaginer un instant la destinée qui les attendrait. Il l’avait accepté dans sa vie avec une rapidité et une facilité qui lui étaient peu habituelles, se rendant compte qu’il n’avait pas eu d’autre choix, lui qui s’était accroché à elle comme à une bouée de sauvetage. Et pourtant, il n’avait jamais souhaité qu’elle ne soit que ça, Niels ayant toujours désiré lui montrer qu’elle lui apportait bien plus qu’il ne l’aurait jamais espéré, elle qui lui avait fait découvrir le concept abstrait de l’amour sans même s’en rendre compte. Il l’écouta avec attention, son coeur répondant à ses mots d’une valeur inestimable qu’elle lui soufflait, ceux qui lui faisaient savoir qu’ils s’étaient l’un et l’autre trouvés pour se sauver des tréfonds des ténèbres. « Et j’le ferai toute ma vie. T’es ma plus belle réussite. » Répondit-il, ses yeux émerveillés par les traits de son visage qu’il adorait contempler à chaque fois qu’il en avait l’occasion, lui qui peinait parfois à réaliser qu’elle était entièrement à lui. Il la protègerait envers et contre tout, prêt à lui donner sa vie si c’était pour la voir respirer encore longtemps. Il n’avait jamais ressenti ça avant elle, ce besoin nécessaire de se donner corps et âme pour une personne, sans doute trop égoïste avant de rencontrer l’âme qui avait fini par bouleverser son existence. Il l’aimait au point de ne plus savoir quoi faire de sa propre vie si on venait à lui arracher la seule personne qui importait réellement, conscient qu’il se perdrait, qu’il replongerait dans ses démons les plus sombres pour errer telle une âme vide, une âme qui n’aurait plus d’objectif. Niels ne pouvait rien craindre tant que sa main restait accrochée à la sienne, eux qui formaient cette équipe inégalable, que rien ne pouvait arrêter. Il se prit à sourire à ses paroles suivantes qui berçaient avec tendresse son myocarde, l’affolant de plus belle à chaque fois qu’elle lui délivrait autant d’amour. « Je laisserais personne t’aimer comme moi je le fais bébé. T’es mon amour à moi, j’ferais en sorte de rester le seul et l’unique. » Ajouta-t-il, s’intéressant à ses lèvres qu’il adorait posséder, ses sens se décuplant rien qu’à la vue de son corps tout près du sien, à sa chaleur qu’il percevait même à distance. Il aurait sans doute fallu être aveugle pour ne pas comprendre que Niels était fou amoureux d’Aelya, son langage corporel criant à cette addiction dont il était atteint vis-à-vis d’elle. Le regard faussement innocent, il la laissa se rapprocher de lui, savourant le contact fragile de ses lèvres contre les siennes alors qu’il se raisonnait pour ne pas lui céder immédiatement. Il se mordit la lèvre le plus discrètement possible lorsqu’il l’entendit évoquer tout ce qu’elle avait en tête, les images naissant dans sa tête à mesure qu’elle agrémentait ses scénarios de passion. « Ça fait un bon moment qu’on les a pas utilisé les menottes d’ailleurs… C’est qu’une idée comme ça, mais tu pourrais être sûre que je prenne pas la fuite si j’étais attaché. » Souffla-t-il, retenant un soupir en sentant ses lèvres glisser sur sa mâchoire puis dans son cou avec lequel elle s’amusa plus longuement. « T’as envie de nous voir déranger les voisins… ? » S’amusa-t-il, elle qui évoquait les cris qu’ils pourraient émettre en se donnant l’un à l’autre dans une étreinte survoltée. Il peinerait toujours à garder son sang-froid lorsqu’elle le tentait de cette manière, son regard percutant le sien avec cette lueur d’envie. Il lâcha un léger rire à la remarque d’Aelya concernant leur fille et ses futures capacités, ne doutant pas un seul instant du fait qu’elle serait aussi rusée qu’eux et qu’elle ne manquerait certainement pas de culot, à l’image de ses parents. « Putain bébé… on va créer un vrai tyran. » Dit-il, feignant d’être exaspéré avant de rire de nouveau, attendri par l’instant qui suivit, leur fille se faisant sentir pour la première fois dans le ventre d’Aelya, Niels sautant sur l’occasion pour partager ce moment unique avec elle. Ses mains encore posées de part et d’autre de son bassin, il leva les yeux vers Aelya, captant son regard joueur. « On peut pas s’entendre partout. Mais c’est pas grave, ça nous donne des raisons de régler nos problèmes dans le lit. » Ajouta-t-il de manière parfaitement malicieuse, regardant Aelya venir contre lui alors que son regard ne lâchait plus ses lèvres. « Et tu sais que je me lasserais jamais de te réchauffer. » Il l’embrassa suite à ça, ne se gênant pas pour la toucher, ses mains glissant sur son jean pour palper ses courbes qui le rendaient dingues, jusqu’à ce qu’il ne finisse par rejoindre la cuisine, suivi peu de temps après par sa petite-amie. Il arqua un sourcil curieux à ses mots, levant les yeux vers elle. « J’trouve que ça a mis du temps moi… J’te voulais à la seconde où je t’ai vu moi. » La taquina-t-il, la laissant venir dans son dos pour l’enlacer, son corps entier se contractant à l’effet qu’elle lui faisait, l’obligeant à expier des souffles plus profonds lorsqu’elle passa la barrière de son t-shirt. Son visage contre le sien, il apprécia le doux baiser qu’elle déposa sur sa joue, se forçant à se concentrer sur le repas qu’il était censé lui préparer. « Parce-que t’en doutais encore… ? » Dit-il, se retournant vers elle, son envie de lui sauter dessus grandissant en lui, tentant de lui faire comprendre qu’il devait finir ce qu’il avait commencé. « Beaucoup trop dangereuse. Mais j’adore ça. » Dit-il, malicieux. « A tout de suite mon coeur. » Il répondit à son baiser, secouant la tête avec un air amusé lorsqu’il la vit faire glisser ses doigts de son torse jusqu’à son bas ventre, elle qui ne loupait jamais une occasion de le rendre dingue. Il suivit sa silhouette avec un regard brûlant lorsqu’elle quitta la cuisine, avant qu’il ne la retrouve dans le salon avec leurs deux assiettes dressées, en déposant une sur les genoux d’Aelya. « Hmm ouais, faudra bien qu’on s’y mette de toute façon. » Ajouta-t-il, hochant la tête avant de prendre une première bouchée de son burger. « Ça met la pression ce genre de truc. T’y avais déjà réfléchi ? » Demanda-t-il, curieux de savoir si elle avait déjà songé à des prénoms de son côté. « Nos deux prénoms sont déjà pas communs, et j’ai toujours aimé ça. J’veux qu’elle se sente unique. » Admit-il, se penchant vers la table basse pour servir de l’eau à Aelya, se servant à son tour un verre qu’il amena entre ses lèvres. « Putain bébé, je compatis… » Lâcha-t-il, en reposant son verre, eux qui avaient toujours préféré l’alcool.
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Sujet: Re: your hand in mine, we walk the miles (aelya) Mer 3 Juil 2019 - 13:00
Elle avait rapidement comprit que sa survie dépendait de la sienne, qu'elle devenait incapable de s'occuper d'elle lorsqu'il n'était pas là, parce qu'il avait fini par la rendre complètement dépendante de lui, de son toucher et de ses mots qui avaient une importance capitale pour elle qui s'abreuvait de tout ce qu'il pouvait lui administrer comme émotions. Dans ses bras, elle était vivante, chacun de ses battements lui étant destinés pour qu'il comprenne qu'elle ne pouvait pas avancer sans lui, cela lui semblerait inconcevable. Il s'était fait une place à l'intérieur pour y rester, Niels qui était en rien de temps devenu son tout, son passé, son présent et son futur et surtout maintenant, le père de son enfant pour lequel elle vouait déjà une profonde admiration, un amour qui n'avait aucune frontière et qui rejoignait celui qu'elle possédait pour l'homme de sa vie. Elle sourit tendrement à sa remarque, les yeux amoureux, baignés d'affection pour lui qui était le seul à pouvoir recevoir ce genre de regard. Elle n'avait rien vu venir, tombant dans ses bras pour ne plus jamais vouloir s'en échapper, elle qui avait trouvé le refuge le plus sécurisant dans le creux de son étreinte. Sans doute qu'il fallait un temps d'adaptation pour son entourage qui ne l'avait jamais vu aussi attachée et aussi tendre avec quelqu'un, Aelya qui avait l'habitude de ne jamais divulguer ses vulnérabilités, celles qui explosaient quand elle était avec Niels, parce qu'avec lui, elle était elle-même. - J'ai vraiment jamais envie que quelqu'un te remplace un jour. Parce que ce sera impossible. Je pourrai plus aimer bébé. C'est toi ou personne, c'est nous ou rien, ajouta-t-elle, attendrie par ses mots.
Ses paroles sonnaient comme une promesse d'éternité, son regard plongé dans le sien, scellant ce pacte tacite qui la liait à lui jusqu'à la fin, parce qu'elle était persuadée qu'elle avait trouvé son âme soeur au milieu de ces sept milliards d'individus, et elle était consciente de la chance qu'elle avait eu en croisant sa route au bon moment, quand la sienne était parsemée d'embûches. Elle avait joué avec la proximité de ses lèvres mêlées à la brûlure de ses mots qui lui susurraient des choses pour attiser son envie de la retrouver, captant cette tension qui était toujours présente quand elle était avec lui, son souffle faisant un trajet de sa mâchoire à son cou de manière sensuelle. Elle sourit légèrement contre sa peau à sa remarque, son visage se teintant d'une lueur joueuse.
- T'adores être attaché toi à ce que je comprends... Et ça tombe bien parce que moi j'ai aucune envie de te laisser trop en liberté, souffla-t-elle malicieusement, mordillant son cou. Y'a rien qui me gêne bébé quand c'est pour nous que je le fais tu sais, je pourrais clairement continuer à déranger le monde entier juste pour continuer d'exister avec toi, admit-elle à son oreille après s'éloigner pour le regarder de manière complice.
Parce qu'elle se fichait de savoir qu'ils étaient insupportables, d'ailleurs quelque part, ça l'amusait de voir à quel point ils pouvaient embêter les autres juste parce qu'ils s'aimaient un peu trop, juste parce qu'ils se voulaient tout le temps l'un contre l'autre, usant de leur insouciance comme si rien n'existait quand ils étaient ensemble, et c'était exactement comment elle se percevait avec Niels. Elle s'amusa des visions qu'elle se faisait de sa fille qui ne pouvait qu'avoir un tempérament enflammé à l'image de ses parents, acquiesçant en souriant à la remarque de Niels qu'elle ne pouvait contredire. - Un vrai petit monstre, mais ce sera le notre et je l'aimerai trop, admit-elle, amusée et attendrie.
Ils seront tous les trois, perdus dans leur bulle qui ne regardait qu'eux, se prenant à penser que pour une fois, elle aura cette réelle sensation de créer un environnement familial comme celui qui lui avait manqué, même si à eux deux, ils représentaient déjà la seule famille qui lui restait. Bouleversée par la présence de sa fille qui se faisait percevoir à l'intérieur de son ventre, elle ne pouvait qu'avoir encore plus envie de la rencontrer, celle qui était maintenant la chair de leur chair, feignant l'exaspération alors que Niels la taquinait sur sa nouvelle manière de s'alimenter. - Ca donnerait même presque envie d'avoir des désaccords vu la manière dont tu le dis... Répondit-elle, un air joueur sur le visage.
Elle vint se blottir contre lui, captant son regard qui détaillait ses lèvres au même moment alors qu'elle avait une grande envie de prendre possession des siennes, son désir s'animant sous l'effet de ses mots avant qu'elle ne lui succombe dans un baiser passionné qui transmettait le tumulte dont elle était victime en cet instant, appréciant de sentir ses paumes habillée sa chute de reins, le sang bouillonnant d'envie de percevoir ses mains sur sa peau nue. Elle le laissa rejoindre la cuisine pour qu'il puisse mettre en pratique son initiative visant à cuisiner pour elle, ce genre d'attentions qui faisaient qu'elle était dingue de lui parce qu'il essayait toujours de prendre soin d'elle. Le suivant pour se placer dans son dos, elle sourit à sa réponse qui lui évoqua le souvenir de leur rencontre, le moment où elle avait su qu'elle ne sortirait jamais indemne de ses filets. - Tu m'as eu à l'instant même où je t'ai regardé bébé, ajouta-t-elle, déployant ses bras autour de son corps pour coller son buste à son dos.
Si le coup de foudre existait alors Aelya était persuadée qu'il portait son prénom, parce qu'elle avait été tout naturellement happée dans la profondeur de ses iris dans lesquels elle vivait à présent. Elle ne pouvait pas s'empêcher de toucher sa peau qu'elle palpait sous la pulpe de ses doigts alors qu'ils s'infiltrèrent sous son haut, appréciant la chaleur et la douceur qui résultait de son contact. Après lui avoir donné un baiser sur la joue, elle émit un léger rire à sa question taquine, haussant les épaules pour feindre l'incertitude. - On sait jamais. Si ça se trouve un jour tu vas te réveiller et tu vas plus aimer ce que tu vois, lança-t-elle en plissant les lèvres, concernée.
Elle confronta son regard lorsqu'il se retourna, le sien s'animant d'une lueur brulante alors que son corps se colla une nouvelle fois contre celui de Niels. - A tout à l'heure bébé. Me laisse pas me refroidir trop vite, s'amusa-t-elle suite à ses mots, dévorant ses lèvres au passage en laissant ses mains s'attarder sur son corps comme pour lui donner un avant goût de ce qui l'attendait de manière joueuse.
Elle se plaça sur le canapé, suivit quelques minutes plus tard par Niels qui avait les mains chargées de deux assiettes, prenant la sienne pour la guider sur ses genoux. Elle hocha la tête à sa réponse, consciente qu'il ne restait que quelques mois avant la naissance de leur fille qui n'avait pas encore de prénom. - Nan, justement je voulais qu'on y réfléchisse ensemble bébé. C'est plus sympa de bosser sur son prénom à deux, avança-t-elle en souriant.
Elle commença à manger, sachant pertinemment que de toute façon, elle ne se plaindrait jamais de ce qu'il pouvait lui préparer et qui était bien trop souvent meilleur que ce qu'elle pouvait concevoir. - Elle est unique mon amour. J'veux pas d'un truc bateau non plus, on est d'accords sur ce point au moins, rigola-t-elle.
Aelya le regarda lui servir un verre d'eau, le remerciant d'un sourire, avant de pouffer de rire à sa réaction.
- T'as remarqué à quel point c'est fade l'eau ? Je comprends pourquoi j'ai pas trop l'habitude d'en boire, grimaça-t-elle avant de porter son verre à ses lèvres. Vivement que j'accouche. Ca me va pas d'être trop sage. Je me reconnais plus, ajouta-t-elle, amusée. Ca va que tu cuisines bien, sinon je serais au bout de ma vie, exagéra-t-elle en le complimentant.
Elle continua à manger, s'arrêtant le temps de quelques secondes pour regarder Niels. - Je crois qu'elle est assez fan de ta nourriture mon coeur. Elle s'est calmée, admit-elle tendrement amusée. J'suis entrain de réfléchir à nos deux prénoms là. Tu trouves ça jolie, Nielya ? Lança-t-elle, pensive.
Levi Wheeler
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STATUT : i’ll be yours for a thousand lives. (married to sahar ♡)
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: your hand in mine, we walk the miles (aelya) Jeu 4 Juil 2019 - 2:21
Ils étaient devenus dépendants l’un de l’autre à mesure que le temps défilait, sans se rendre forcément compte qu’ils ne pourraient plus changer le cours des choses, eux qui n’avaient jamais été habitués à ça, à vivre autrement que par eux-mêmes. Il fallait croire que tout avait changé depuis qu’Aelya avait débarqué dans sa vie, qu’elle était venue la bouleverser en lui apportant de la lumière. Il ne s’était jamais senti aussi vivant que depuis qu’il avait appris à aimer, lui qui n’aurait certainement pas misé sur ce genre de destin alors qu’il prenait aujourd’hui conscience qu’il n’aurait jamais pu être plus épanoui qu’il l’était actuellement. Elle était son tout, sa vie entière, et son unique but était de continuer de se frayer un chemin jusqu’à son coeur pour pouvoir l’entendre battre toute sa vie. La naissance de leur fille allait certainement bouleverser leur quotidien, et pourtant, il avait cette intime conviction que ça serait la plus belle chose qu’il aurait accompli, lui qui n’avait jamais songé un jour à l’idée de devenir père et qui se rendait à présent compte qu’il pourrait parfaitement tenir ce rôle lui aussi. Il avait besoin de se prouver et de prouver à Aelya qu’il était capable de porter leur famille et de la protéger, quitte à y laisser sa propre peau. Attendri par les mots qu’elle prononça, il esquissa un tendre sourire, son regard toujours ancré au sien alors que sa main vint lentement chercher la sienne, l’amenant jusqu’à ses lèvres pour y déposer un baiser amoureux et protecteur. « Ça sera nous. Pour toujours. » Souffla-t-il, d’une voix adoucie par ce moment privilégié, son coeur battant toujours aussi fort à travers sa poitrine alors qu’Aelya s’était considérablement approchée de lui, tentant ses lèvres avec les siennes. Il profita d’ailleurs de son contact addictif en fermant les paupières, sentant un déferlement de désir le traverser alors qu’elle fit glisser sa bouche au niveau de sa mâchoire puis de son cou, elle qui s’amusait toujours à le tourmenter avec ses mots brûlants et toujours bien trouvés. Il pouffa de rire à sa remarque concernant son penchant pour les attaches, son regard retrouvant malicieusement le sien. « Tu m’y as fait goûter une fois… j’crois que j’ai un peu trop aimé… » S’amusa-t-il, un brin charmeur, se remémorant les fois précédentes où ils avaient pimenté leurs ébats de la sorte. « J’aime trop t’entendre crier mon prénom bébé… Alors ouais, je continuerai de te faire du bien autant que possible. » Souffla-t-il à son oreille, eux qui n’avaient jamais songé à la tranquillité des autres, notamment de leurs voisins lorsqu’ils s’agissaient de se retrouver dans des étreintes passionnées. C’était sûrement le cadet de ses soucis, de savoir qu’ils étaient loin d’être discrets, lui qui adorait entendre Aelya prendre du plaisir quand ils défaisaient les draps ensemble, avec la même passion, dans une harmonie parfaite. Il avait les images de leur future vie de famille qui défilaient dans sa tête, remplissant son esprit de toutes ces visions dont il apprenait à présent à s’imprégner. Il se mit à sourire à la remarque d’Aelya, son regard s’attendrissant aux traits de leur fille qu’il se prenait à imaginer. « Elle va être parfaite. » Ajouta-t-il, avec cet air de gamin rêveur, ayant hâte de pouvoir rencontrer ce petit être, cette partie de lui qu’il avait fondé avec la femme de sa vie, son âme-sœur. Il laissa ses doigts glisser avec admiration sur son ventre dans lequel il percevait les mouvements encore discrets de leur fille, son regard percutant celui d’Aelya aux taquineries qu’il émit au sujet de ses goûts alimentaires. « On arrive toujours à trouver un terrain d’entente nous deux... » Murmura-t-il, se redressant face à elle pour faire glisser ses paumes sur son corps qu’il désirait toujours autant, ses lèvres répondant aux siennes avec la même ardeur, réveillant ses envies les plus intimes alors qu’il sentait la chaleur de son corps contre le sien. Il décida de rejoindre la cuisine avant de se laisser dévorer par son désir, appréciant la compagnie d’Aelya qui n’avait semble-t-il clairement pas fini de s’amuser avec lui, lui qui voyait bien qu’elle prenait un malin plaisir à le tourmenter en le touchant. « J’voyais que toi à travers la foule. Et c’est toujours le cas aujourd’hui. » Ajouta-t-il, frissonnant à ses gestes délicats sur sa peau qui se réchauffait à mesure que les minutes défilaient, Aelya semblant parfaitement savoir ce qu’elle faisait. Il tendit la nuque pour sentir ses lèvres effleurer son visage, peinant à imaginer qu’il finirait en un seul et unique morceau si sa petite-amie continuait de faire grimper la température. « Ça arrivera jamais. T’es la femme la plus sexy que je connaisse, et j’arrive toujours pas à croire que tu sois à moi. » Souffla-t-il, charmeur, se retournant finalement face à elle, son regard cherchant le sien alors qu’il la laissa l’embrasser chaudement, son corps réagissant à la caresse qu’elle finit par lui laisser sur le torse jusqu’à l’entrejambe, soutenant son regard avec amusement jusqu’à ce qu’elle ne quitte son champ de vision. « C’est pas mon style. J’te rejoins mon amour. » Il s’empressa de finir leurs repas, retrouvant Aelya quelques instants plus tard pour lui tendre son assiette, s’installant à ses côtés pour commencer à manger. Il dévia les yeux vers elle lorsqu’elle se mit à évoquer l’idée de trouver un prénom pour leur fille. « Et faut pas qu’elle nous en veuille toute notre vie aussi. » Dit-il avec amusement, conscient qu’un prénom se portait une vie entière, et qu’ils avaient tous les deux besoin d’y réfléchir mûrement. Il s’amusa de sa remarque après qu’il lui ait servi de l’eau, exagérant sa grimace après avoir bu sa gorgée. « J’arrive pas à croire que tu carbures à ça depuis autant de temps... » La taquina-t-il, son sourire s’agrandissant à son compliment vis-à-vis de ses plats. « J’te trouve vachement sexy moi, même en étant aussi sage... Ça t’irait presque bien. » Souffla-t-il, avant de pouffer de rire, imaginant bien qu’Aelya commençait à se lasser de ce mode de vie très sage. « J’espère que vous aurez les mêmes goûts... histoire que j’ai pas à vous cuisiner un buffet pour vous satisfaire toutes les deux. » Il reporta son attention sur elle, son cœur se mettant à battre plus fort à l’idée du prénom qu’elle lui proposa. Il resta un moment silencieux, se répétant ce prénom dans sa tête, avant d’esquisser un sourire. « C’est vraiment... beau. » Souffla-t-il, imaginant immédiatement pouvoir appeler leur fille de la sorte. « Nielya. Ça sonne vraiment bien. » Ajouta-t-il, charmé, finissant son plat avant de se pencher vers Aelya, sa main se réfugiant sur son ventre. « J’aime beaucoup ce prénom mon amour, ça pourrait pas mieux nous représenter... » Ajouta-t-il, comprenant alors qu’il venait d’avoir un coup de cœur pour son idée, bien que leurs recherches les amèneraient encore à imaginer d’autres manières d’appeler leur plus beau trésor.
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Sujet: Re: your hand in mine, we walk the miles (aelya)