let me take your hand, i'll make it right, i swear to love you all my life. (niels)

Elle ne gérait pas ses absences. Elle les colmatait avec tout ce qu'elle pouvait trouver sous la main, cherchant dans ses propres débris une manière de remplir le vide qu'il laissait quand il claquait la porte. Mais rien ne suffisait. Elle avait toujours un besoin immense de rattraper le temps perdu, de lui montrer que malgré leurs difficultés, ils avaient quelque chose d'essentiel entre leurs mains, quelque chose qui ne pouvait pas se briser aussi facilement. Si elle l'avait amené en Nouvelle Zélande, c'était avant tout pour qu'ils se retrouvent sans l'ombre d'un nuage orageux, mais aussi pour admirer la vision de son regard éclairé qui n'avait de cesse de la subjuguer.

- C'est tout ce que je voulais entendre, répondit-elle tendrement, touchée par ce bonheur qu'elle lisait dans ses yeux quand il la regardait, tous deux s'en allant vers la fête qui battait déjà son plein à leur arrivée avant que tout ne vienne dégénérer, Niels effrondrant sa rage sur l'hôte, Aelya se voyant dans la contrainte d'une nouvelle dispute pour tenter de le raisonner, sans succès. Faudrait déjà que je puisse la laisser faire, et ce sera jamais le cas, bref, laisse tomber Niels, tu veux rien comprendre ce soir, soupira-t-elle, agacée, roulant des yeux avant de le laisser s'échapper, tentant de s'accrocher à un air inexistant sans son amour qu'elle vint retrouver peu de temps après, lessivée par leurs combats qui ne menaient à rien d'autre qu'ouvrir des plaies à peine cicatrisées, Aelya fondant d'amour pour l'homme de sa vie qui s'ouvrait doucement sous son regard tendre. Oui dis-le moi plus souvent... Sourit-elle, amusée, ses lèvres cherchant les siennes dans un baiser baigné d'affection qu'elle approfondit jusqu'à lier ses doigts aux siens, riant légèrement à sa remarque qui dédramatisait leur situation. On s'en sort toujours bien quand on se retrouve comme ça mon ange, lança-t-elle, égayée par son amour qui perlait dans ses yeux et dans le baiser qu'elle lui confia une dernière fois.

Elle entraîna Niels dans son idée, aimant l'attirer avec elle dans l'interdit alors qu'ils perçaient tous les deux discrètement la foule pour s'incruster de nouveau entre les murs de la villa, Aelya poussant la porte avant de voir son acolyte la suivre, ses vêtements tombant au sol avant qu'elle ne vienne se réchauffer contre son amour qu'elle enlaçait contre elle, laissant ses lèvres valser passionnément avec les siennes, son souffle s'echouant entre chaque baiser qui se voulait toujours plus fiévreux, la brune s'accrochant à lui alors qu'il vint doucement l'emprisonner entre son corps et la paroi humide de la piscine, sa respiration devenant soudainement plus anarchique à le sensation de ses doigts entre ses cuisses.

- J'veux que tu craques contre moi... Murmura-t-elle chaudement, ses lèvres parcourant son cou avec ferveur pour le marquer. Je trouve qu'elle est déjà bouillante moi. Ou alors, c'est sûrement l'effet que tu me fais déjà, avança-t-elle, charmeuse, se mordant la lèvre inférieure lorsqu'elle perçut ses doigts entrer en contact avec la peau de son anatomie intime, Aelya rapprochant leurs bassins pour agrémenter leur désir, le sien déjà brûlant. J'ai peut être une petite idée mais pour ça faut que tu me fasses l'amour... Lâcha-t-elle, l'air de rien, consciente que son désir ne ferait qu'augmenter jusqu'à l'accomplissement de leur envie.

Elle soupira profondément en sentant ses lèvres valser sur sa peau froide et pourtant en feu, Aelya renversant sa nuque alors qu'elle sentait le trajet de ses lèvres même lorsqu'il fut sous l'eau, son regard l'admirant fiévreusement lorsqu'il revint à la surface.

- Et si j'ai pas envie que tu te refroidisses ? Lança-t-elle, arquant un sourcil, les traits empreints de défi à sa remarque. Je pense que t'as pas assez chaud encore... Souffla-t-elle, ne lâchant pas son regard alors que ses mains vinrent détacher son haut, puis firent glisser son bas afin de se retrouver nue dans l'eau. Je t'inspire quoi là...? Demanda-t-elle fiévreusement, sa main venant sensuellement s'infiltrer dans son maillot pour taquiner son désir.

Il ne pouvait pas être plus sincère avec elle que lorsqu’il lui disait combien elle le rendait heureux, combien il se sentait bien quand ils étaient ensemble. Il n’aurait d’ailleurs pas pu espérer mieux que de s’envoler avec elle loin de leur quotidien, là où il n’y avait aucun risque que quelqu’un ne vienne entacher ces quelques jours qui leur étaient destinés. Il voulait vivre les plus belles aventures avec son amour, lui montrant que le monde n’était pas si noir que ce qu’on avait voulu lui faire croire. Son regard caressant amoureusement le sien, il avait souri à ses mots qui laissaient entrevoir une certaine satisfaction, lui qui souhaitait chasser tous les doutes de son esprit. Finalement, c’était ses propres doutes qui l’avaient fait vriller pendant le courant de la soirée, Niels ne retenant pas sa rage qu’il avait laissé exploser contre le visage de leur hôte, incapable de réagir autrement après les avoir vu un peu trop sympathiser à ses yeux. « Ouais c’est ça, j’laisse tomber. » Lâcha-t-il une dernière fois avant de se retourner, laissant Aelya retrouver la villa tandis que lui se réfugia dans le van, n’ayant certainement plus le coeur à la fête alors qu’il se voyait arraché à son amour. Pourtant, il décida de s’excuser lorsqu’il la sentit se faufiler dans les draps, conscient que le silence ne mènerait à rien, eux qui avaient ce besoin ineffable de se dire les choses clairement, de se couvrir d’affection pour ne plus ressentir le froid glacial de leur dispute. Il esquissa un sourire amusée à sa réponse, profitant de l’accalmie retrouvée pour l’embrasser avec tout l’amour qu’il puisait au fond de son coeur, sa main venant retrouver la sienne tendrement. « J’peux pas te contredire. » Dit-il, conscient qu’il n’y avait rien de plus important que leur réconciliation, même si cette fois-ci, Niels parvenait à admettre qu’il avait été trop loin dans ses gestes. Il se laissa embrasser une dernière fois avant de suivre Aelya, enjoué à l’idée de s’amuser encore avec elle, même si la mission s’annonçait assez délicate. Discrètement, il suivit ses pas, prenant soin à laisser de la distance entre eux pour ne pas qu’ils se fassent remarquer trop facilement, son sourire s’étirant lorsqu’il la vit accéder à la piscine. Il se débarrassa de ses vêtements pour la rejoindre dans l’eau tiède, venant instinctivement chercher son contact, ses lèvres dérapant contre les siennes dans un baiser bien trop fiévreux, où son souffle se perdait contre le sien. Il n’avait pas résisté à son envie de lui faire savoir qu’il la désirait, la faisant buter contre la paroi de la piscine alors que ses doigts s’étaient frayés un chemin jusqu’à son entrejambe. « Tu sais que c’est super dangereux de me dire ça… » Souffla-t-il, soupirant en sentant les lèvres de la brune le marquer, leurs corps à découvert dévoilant toutes ces traces d’appartenance qu’ils portaient sur eux. « T’as raison, elle est déjà bouillante… » Sourit-il, ses yeux glissant sur cette lèvre qu’elle mordilla lorsqu’il passa sa paume sous le tissu qui la recouvrait, son bassin s’enflammant à la sensation du contact qu’elle créa entre eux. « Ici ? Maintenant ? » Souffla-t-il, s’amusant de cette situation dans laquelle ils risquaient à tout moment d’être surpris, eux qui se plaisaient bien trop à jouer avec le feu. Ses lèvres vinrent embrasser la surface de son corps, Niels retrouvant le regard de sa petite-amie, aussi enflammée que lui. « On dirait bien que tu me laisseras pas m’échapper. » Répondit-il à sa remarque joueuse, arquant un sourcil alors qu’il suivit le trajet de ses mains sur son corps, elle qui le tourmentait en retirant ses vêtements, le regard de Niels ne manquant pas de la contempler. « Tu m’inspires beaucoup trop de choses… » S’amusa-t-il, se collant d’autant plus à elle alors qu’elle agrippa son maillot pour y enfouir ses doigts. « Bébé… » Susurra-t-il, mordillant son lobe. « Putain tu me donnes chaud… » Soupira-t-il, son bras enroulé autour de son dos, l’autre s’accrochant au rebord de la piscine pour presser d’autant plus son corps au sien. « Tu les laisses pas te regarder, hein… » Ajouta-t-il à son oreille, faisant référence à son corps nu qu’il voulait préserver du regard des autres, Niels laissant son bassin se heurter au sien pour la tenter un peu plus.

Elle ne pouvait plus faire sans lui, cette seule idée suffisant à effriter son âme vouée à finir en miettes sans la douceur de celle de Niels. Elle n'était finalement plus que ça, une bombe à retardement qui menaçait d'exploser à la moindre secousse qui représentait son absence, son manque, parce qu'elle n'arrivait plus à rien sans lui, elle qui semblait s'effondrer dans la peine et le remord lorsqu'elle recevait en plein visage les conséquences de leur dispute qui inscrivit des fêlures sur son cœur, lui qui peinait à trouver un rythme adéquate dans les mots qu'ils se disaient, dans les blessures qu'ils ouvraient en ressassant des rancœurs passées, non essentielles à leur relation qui les avait dépassé pour triompher. Elle aurait voulu la raccrocher à son amour, le conduire à entrer à l'intérieur de ses yeux brillants pour qu'il y trouve tout ce qu'il avait besoin de sa voir, son affection qui s'exprimait tout le temps, en tout temps, même quand elle se disputait avec lui. Parce qu'il ne lui serait jamais indifférent, et son éloignement lui brûlait la peau alors qu'elle tentait de se réchauffer les sens à sa manière, remarquant rapidement que cela ne servirait à rien, parce qu'il lui manquait un morceaux vital pour que son être tout entier ne puisse correctement repartir, sortir de ce vide qu'elle sentait à l'intérieur. Elle s'était blottie près de son amour pour y faire renaître leur tendresse, savourant la vision de son corps maculé par sa chaleur, par son parfum qu'elle désirait garder sur sa peau pour l'éternité, Aelya entraînant Niels dans son idée pour qu'ils puissent s'amuser, envoyer valser le monde entier comme ils avaient l'habitude de faire quand ils étaient ensemble. C'était lui et personne d'autre, son sourire lui étant destiné dans une éternité qu'elle recherchait encore, persuadée qu'il n'y avait aucun moyen que la mort elle-même ne puisse les séparer.

Elle prit sa main avant de prendre les devants, s'infiltrant au travers des corps qui s'amusaient encore sous l'effet de l'ambiance et de la musique pour entrer dans une pièce vide et humide, là où se trouvait l'étendue d'eau creusée dans le sol, Aelya se laissant attirer contre son amour, tous deux imprégnés dans la piscine, les murs pour seuls témoins de leur complicité bien souvent menacée mais jamais brisée. Son regard cherchait le sien sous les faibles lumières de la piscine, Aelya cloisonnée entre son corps et le mur dans son dos, son sourire joueur perlant sur son visage à sa remarque.

- Ce qui est encore plus dangereux déjà, c'est de nous laisser rien que tous les deux dans une pièce vide, lança-t-elle, ses lèvres possédant son cou pour le faire rougir, animée par la tension qui régnait entre eux. On peut la réchauffer encore je pense, s'amusa-t-elle malicieusement, bercée par ce sentiment d'interdit qui la survoltait alors qu'elle sentit son cœur s'emballer au contact brûlant de ses doigts au niveau de son bas ventre. Pourquoi pas ? Lança-t-elle, un sourire en coin sur ses lèvres, le regard égayé par ce défi, Aelya sentant son désir bousculer ses entrailles à la brûlure de ses lèvres sur sa peau qui s'embrasait à son contact, invitant l'urgence à exploser dans son corps qui le désirait plus que tout. Jamais de la vie. Pas tant que t'en as pas réellement envie, répondit-elle, amusée, prenant le risque d'enlever ses vêtements pour le provoquer, savourant la lueur inscrite dans son regard qui l'admirait. Alors montre-le moi... Susurra-t-elle, charmeuse, ses doigts venant fiévreusement caresser son anatomie au travers de son bas, soufflant de manière plus profonde en percevant sa respiration près de son oreille, Aelya continuant ses gestes pour le pousser à bout. C'est ce que je veux bébé... Et moi j'te veux toi, admit-elle dans un souffle, son regard planté dans le sien. Je peux me rhabiller si tu préfères, proposa-t-elle, l'air de rien, arrêtant sa douce torture sans lâcher son regard, savourant la proximité de leurs bassins qui se cherchaient, Aelya enroulant ses bras autour de sa nuque pour lui voler un baiser passionné, ses cuisses s'enfermant autour de son corps pour provoquer son désir perceptible.

Il avait passé beaucoup trop de temps loin d’elle, sans repères, sans objectifs, ne trouvant plus sa place dans ce monde qui n’avait aucune saveur sans son amour. Il savait qu’il n’y aurait aucune issue si Aelya venait à le quitter, Niels se rappelant parfaitement de la manière avec laquelle il avait sombré lorsqu’il était parti. Il avait mal de revivre ses souvenirs à chaque fois que le ton montait entre eux deux, Niels peinant à gérer toutes les émotions qui ravivaient sa douleur, lui qui s’était retourné pour ne plus avoir à supporter la peine dans les yeux d’Aelya, son regard continuant à le hanter alors qu’il s’était finalement allongé, refroidi par son manque. L’éloignement le déchirait, ayant raison de lui, ses regrets devenant de plus en plus insistants alors qu’Aelya s’était installée tout près de lui, Niels se sentant apte à lui faire part de ses remords. Il n’y avait qu’elle qui comptait, et c’était tout ce qu’il avait cherché à lui faire comprendre en se rapprochant doucement d’elle, en pressant ses lèvres contre les siennes alors que ses bras s’étaient enroulés autour de son corps pour la rapprocher de lui, désirant sentir sa chaleur se déposer contre sa peau. Après quelques mots doux échangés, il la suivit jusqu’à la villa encore bondée de monde, excité à l’idée de dépasser les limites avec elle, parvenant avec discrétion jusqu’à la piscine. Il se déshabilla après l’avoir vu en faire de même, immergeant son corps dans l’eau pour rejoindre Aelya, cherchant son corps pour l’attirer contre le sien. Niels l’attira dans un coin de la piscine, sa peau brûlant d’envie, sa main venant doucement caresser son anatomie pour la tenter à lui céder, leurs souffles se faisant plus bruyants à mesure que l’atmosphère s’alourdissait de désir. « J’ai tout le temps envie de toi bébé… pièce vide ou pas. » Souffla-t-il, fermant les yeux pour profiter de ses lèvres qui taquinaient son cou, conscient qu’il rougissait sous sa passion, lui qui adorait portait sa marque en tout temps. « Tu crois… ? » S’amusa-t-il, lui volant quelques baisers, prenant conscience qu’ils pouvaient enflammer n’importe quel lieu à eux deux. Le coeur au bord des lèvres, le regard brûlant, il continua de la chercher, sa main s’enfouissant dans son bas avant qu’elle ne décide de tout enlever, le faisant frémir d’impatience. « Y’a aucune raison qui nous retient, t’as raison… » Souffla-t-il, ses lèvres s’emparant de tout son corps, ses yeux luisant d’amour pour tout ce qu’elle était, tout ce qu’elle représentait à ses yeux. « A moins que tu ne décides de me priver de toi à cause de mes bêtises… » Dit-il, l’air taquin, son sourire s’étirant à sa réponse, Niels finissant par secouer la tête de gauche à droite. « J’en ai vraiment pas envie… Garde-moi contre toi mon amour. » Murmura-t-il, ses dents s’emparant de son lobe d’oreille, avant de dessiner une lignée de baisers de son cou jusqu’à sa poitrine, ses mains empoignant sa chute de reins pour continuer à la sentir contre son bassin. « Dis-moi que tu me veux bébé… et j’te fais tout ce que tu veux. » Lâcha-t-il dans un soupir moins discret, sentant le feu s’embraser davantage à chacun de ses gestes, Aelya qui savait toujours comment le rendre dingue, ses yeux se fermant à son murmure. « J’te l’interdis. » Dit-il, presque fermement, prolongeant son baiser qu’il intensifia, se collant contre elle pour laisser leurs anatomies se chercher, jusqu’à entrer en elle, Niels laissant un gémissement lui échapper. « On est insortables tous les deux… mais j’aime trop ça bébé. » Lui confia-t-il à l’oreille, déposant de vifs baisers sur sa mâchoire, son corps ondulant contre son bassin pour lui provoquer le plus de sensations possibles. « T’avais raison, ça me fait du bien à ma main la piscine. » S’amusa-t-il, son regard croisant le sien, sa main blessée venant caresser son corps, s’arrêtant sur sa poitrine. « Elle est encore fonctionnelle… » Dit-il d’un air taquin, enroulant ses bras autour d’elle pour l’étreindre de manière plus passionnelle, son bassin heurtant le sien.

Elle pensait avoir tout vu, avoir tout expérimenté, surtout lorsqu'il s'agissait de mener les choses jusqu'à l'usure de son myocarde défectueux, puis elle avait rencontré la vie dans son regard, dans un battement de cils qui avait fini par transformer son monde tout entier pour le conduire à ne tourner qu'autour du sien. Elle s'était pensée forte, amorphe, au moins assez pour ne pas tomber amoureuse, persuadée que ce genre de choses ne lui étaient pas réservées. Et pourtant. Elle ne se détachait plus de lui, et à chaque fois qu'ils le faisaient, c'était ses cellules qui tombaient en ruine, c'était son visage qui perdait de ses couleurs, habillé par son manque qui la rendait folle, qui la conduisait à rompre la moindre once de fierté pour le retrouver afin de se blottir dans le creux de son étreinte chaleureuse, là où elle reprenait son souffle, celui qui s'épuisait dans l'apnée de sa peine qu'il était le seul à conjurer. Elle l'avait attiré dans les filets de l'interdit après avoir échangé de la tendresse avec son amour, encore sous l'effet de l'alcool, éperdument éprise sous son effet à lui, Aelya laissant Niels coller son corps au sien, dans l'envie qu'ils ne fassent plus qu'un alors qu'ils se cherchaient dans ce jeu de regards où il n'y aurait aucun perdant.

- J'pourrais te dévorer tout le temps bébé... Tu m'attires trop, tout le temps... Murmura-t-elle, en proie à son désir qu'il maniait d'une main de maître en parsemant son anatomie de caresses, Aelya disséminant ses marques d'appartenances sur son cou, son souffle agité se percutant contre sa peau rougie. On a qu'à essayer, mais j'ai tellement de désir pour toi que je pourrais la transformer en sauna cette piscine, s'amusa-t-elle, charmeuse, soupirant de plaisir sous l'effet de ses mains contre son bas ventre, Aelya décidant de tout retirer pour le tenter davantage. Personne peut me retenir de te sauter dessus si j'en ai envie, lança-t-elle, consciente qu'elle était bien trop insatiable quand il s'agissait de son amour pour qui son désir était explosif, sa nuque se renversant en arrière lorsque ses lèvres grignotèrent sa peau. C'est vrai que je pourrais, t'as pas été très sage ce soir... Le taquina-t-elle, les yeux brillants d'envie, valsant entre ses lèvres et ses yeux. Je vais te garder pour toujours contre moi mon cœur, je me sens beaucoup mieux maintenant, avoua-t-elle amoureusement en frémissant à son souffle dans son oreille, faisant référence à leur retrouvaille, expirant longuement son urgence en le voyant posséder ses formes avec ses mains, son corps s'offrant à ses lèvres, sa cage thoracique se soulevant à leur passage. J'te veux bébé, tout de suite... J'en peux plus de t'attendre, susurra-t-elle comme une supplication, sa main s'evertuant à enflammer son désir sous son maillot de bain pour lui transmettre son urgence, son regard s'assombrissant de désir pour lui alors que ses cuisses l'enfermèrent une nouvelle fois contre elle avant de céder contre ses lèvres à sa remarque, y apportant encore plus de passion, sa main se logeant dans ses cheveux pour le prolonger, gémissant contre ses lèvres en le sentant à l'intérieur de son corps. Tant qu'on est tous les deux bébé... Je m'en fou du reste, j'te choisis toi, admit-elle entre deux soupirs, ses mains encerclant sa nuque tandis qu'elle savourait les pressions de ses lèvres contre sa mâchoire, percevant le plaisir irradié dans son bassin, ses yeux s'éclairant de malice à sa remarque et à sa main blessée qui vint se loger sur sa poitrine. Mon corps et moi-même en sommes ravis, s'amusa-t-elle, elle qui était accro à son contact, refermant son étreinte de manière plus prononcée pour le sentir au plus près, son buste caressant le sien. J'adore quand on se réconcilie comme ça, avança-t-elle, joueuse, ses mains caressant son dos pour venir glisser contre son torse, laissant ses lèvres accrocher son cou et sa mâchoire. Tu me rends dingue bébé... J'suis folle de toi... C'est une torture de m'empêcher de crier, tu me fais trop de bien... Ajouta-t-elle, écrasant ses gémissements dans son cou, son corps suivant les ondulations du sien. T'arrêtes pas mon amour à moi... Gemit-elle, retrouvant ses lèvres, entendant l'eau s'agiter autour d'eux.

Il avait l’impression que sa vie ne faisait que de commencer maintenant qu’il avait trouvé sa voie, guidé par l’amour de sa vie qui l’avait sorti de l’ombre, prenant sa main pour lui faire comprendre que la vie en valait la peine. Et il ne l’avait jamais autant ressenti, Niels qui aimait voir son quotidien marqué par sa présence qui lui était vitale, incapable d’imaginer une seule seconde qu’il pourrait de nouveau être seul. Son coeur lui appartenait, demandant sans arrêt à être auprès du sien, afin de pouvoir se caler sur ses battements, comme si Aelya était son seul repère dans ce monde qui n’avait aucun intérêt sans elle. Il s’était rattrapé comme il l’avait pu, jouant de sa seule sincérité pour prouver à Aelya qu’il avait eu tort et qu’il le savait, parce-que rien n’était plus important que l’image qu’elle avait de lui, Niels détestant savoir qu’il la décevait. Il s’était rassuré dans ses bras, parsemant son visage de doux baisers afin d’effacer les mots plus aiguisés qu’il avait pu lui lancer dans la soirée, lui qui avait toujours cette manie de parler trop vite lorsque la colère venait le terrasser. Toujours partant pour être son complice, il la suivit jusqu’à la villa, ressentant l’excitation du risque, lui qui n’était certainement pas le bienvenue dans les lieux. Ils parvinrent ensemble jusqu’à la piscine qui ne s’offrait rien qu’à eux deux, Niels en profitant pour chercher son amour dans des regards sans équivoques, son corps se rapprochant progressivement du sien. « Si tu savais à quel point j’adore quand tu le fais bébé… J’les porte fièrement tes marques. » Souffla-t-il, son cou se tendant pour lui laisser le loisir de le marquer, alors que sa main continuait de lui faire subir une délicieuse torture. Il esquissa un sourire joueur à ses mots, adorant savoir qu’il lui faisait un tel effet, son désir grandissant alors qu’il l’entendait soupirer. « J’suis convaincu qu’on aurait le pouvoir de le faire tous les deux. » Ajouta-t-il, l’air taquin, ses yeux venant se poser sur ses courbes qu’elle venait de dénuder, Niels ressentant l’envie irrépressible de la toucher davantage, désirant prendre possession de ce corps qui le rendait fou depuis le premier soir. « J’ai pas été très sage ouais… mais t’aimes bien les vilains garçons, non ? » Souffla-t-il, la cherchant du regard, ses lèvres venant lentement frôler les siennes, frémissant à ses mots suivants qui expiaient son besoin d’être contre lui, ce même besoin qui le prenait aux tripes à chaque qu’il sentait une distance entre eux. « Moi aussi j’suis bien mieux comme ça mon bébé… J’aime pas quand on se dispute, j’veux pas être loin de toi. » Admit-il, ses mains venant détailler ses courbes avantageuses, glissant de part et d’autre de ses flancs jusqu’à venir soutenir ses cuisses qui entouraient son bassin, sa bouche valsant au rythme de la sienne, dans un baiser enflammé, qu’il ne voulait jamais rompre alors qu’il s’insinua dans son corps d’un coup de rein maîtrisé, le plaisir se diffusant dans ses veines. « Et j’te choisis toi mon amour. Toujours que toi. » Lâcha-t-il dans un gémissement, parsemant son visage de baisers, dévorant sa mâchoire puis son cou qui promettait d’être marqué par ses soins. Il fit glisser sa main jusqu’à sa poitrine, l’air joueur et malicieux à sa réponse avant qu’Aelya ne vienne se coller à lui, renforçant leur contact dans cette étreinte qu’il voulait voir s’éterniser. « C’est les meilleurs dénouements… » Souffla-t-il, tentant de contrôler sa respiration qui s’emballait sous l’effet de l’excitation et du plaisir qui l’enflammaient. Il se mordit les lèvres aux caresses qu’elle laissa sur son torse, à la sensation de ses lèvres contre son cou. « Tu m’excites tellement… J’pourrais te faire l’amour toute la nuit mon amour. » Gémit-il, ses lèvres soupirant tout son plaisir contre son oreille, désirant la voir brûler d’envie alors qu’il continua à approfondir ses va-et-viens. « Jamais de la vie. » Lâcha-t-il, ses deux mains s’accrochant au bord tandis qu’il sentait Aelya s’agripper à lui, lui permettant d’accélérer la cadence de ses mouvements de bassin, Niels scellant un baiser contre ses lèvres pour taire ses gémissements. « J’en peux plus, j’peux pas être discret bébé… » Admit-il, le bruit de l’eau s’intensifiant à mesure qu’ils ondulaient l’un contre l’autre, épris dans la fièvre de cette danse endiablée.

Elle se sentait libre avec lui, touchant du doigt la liberté qu'elle s'était toujours promis dans leur relation, profitant de ce voyage pour resserrer ses filets autour de son âme, Aelya qui était complètement sous son emprise, bercée par toutes leurs promesses qui prenaient forme dans l'air amoureux de leur lien. Elle ne se remettrait jamais de son délicieux poison qu'il avait administré dans son organisme, qu'elle respirait par tous ses pores, se réfugiant dans la douceur de son parfum qu'elle connaissait par coeur, délaissant la rancoeur de leurs mots pour approcher son corps afin de se charger de tout ce dont elle avait besoin et qu'elle puisait dans sa présence. Sa peau appelait la sienne dans l'eau tempérée de la piscine, eux qui déjouaient facilement n'importe quelle règle tout ça pour s'amuser, pour s'aimer sans barrière, parce qu'il y en avait trop eu et qu'Aelya en avait développé une réelle peur, savourant la moindre occasion pour s'imprégner de leur complicité que la vie peinait à accepter, sa peau venant effleurer la sienne dans leur étreinte secrète qui gagnait en chaleur au milieu de ce lieu.

- Je te marquerai toute ma vie mon bébé... J'aime beaucoup trop savoir que t'es qu'à moi. J'ai jamais été comme ça avec personne, avoua-t-elle, consciente qu'elle n'avait jamais été quelqu'un de possessif par le passé, jusqu'à croiser sa perle rare dont elle dévorait sa peau, affamée par son contact, ses doigts sur son anatomie transformant son accalmie en réelle fougue à l'intérieur, Aelya acquiesçant à sa remarque qu'elle ne pouvait contredire. J'en aime surtout un en particulier, le corrigea-t-elle après avoir débarrasser son corps de son maillot de bain, le regard allumé de désir et de malice, Aelya qui voulait le voir exploser contre elle alors que ses lèvres dansaient tout près des siennes. J'me reconnais plus quand t'es pas là mon amour... Admit-elle, s'accrochant à sa nuque pour rapprocher leurs corps, consciente qu'elle avait plus que tout besoin de le sentir au plus près pour rassurer ses cellules en proie à son manque, ses lèvres grignotant fiévreusement les siennes, frissonnant aux caresses de ses mains sur ses courbes avant d'expier un soupir lorsqu'elle sentit sa chaleur en elle. Je t'aime mon coeur. Je t'aime pour toujours, murmura-t-elle contre ses lèvres, savourant le plaisir qui se mêlait au désir dans son corps tourmenté par celui de Niels, tendant la nuque en arrière pour laisser ses lèvres la marquer, elle qui ne pouvait plus se voir sans son amour inscrit sur sa peau, ses respirations se faisant plus bruyantes alors qu'elle croisa son regard joueur lorsque sa main trouva sa place sur sa poitrine. Tout est meilleur quand c'est avec toi que je le fais mon amour, j'suis accro à toi, souffla-t-elle, ses mains encadrant son visage pour l'embrasser, avant de glisser dans son cou, ses ongles accrochant passionnément sa peau pour l'inciter à continuer. J'adore quand on s'épuise comme ça, tu me fais tellement vibrer, j'vais tellement en profiter là pour te faire du bien tout le temps... Avança-t-elle le ton semé par l'envie et l'amour qu'elle avait pour lui, son coeur battant de plus en plus vite sous l'effet de son souffle chaud qu'elle entendait et qui répondait au sien, Aelya s'enroulant autour de son corps lorsqu'il vint se tenir aux rebords de la piscine, accrochant ses lèvres où leurs gémissements s'échouaient. Mon amour... Gémit-elle. Au pire on s'en fou des autres, j'veux juste qu'on profite là, céda-t-elle, ses bras autour de sa nuque la maintenant contre lui, Aelya laissant son front reposer contre le sien, se délectant de leur intimité, la brune se laissant admettre jusqu'au nirvana dans ses bras, bouleversée par son plaisir qui la fit gémir contre ses lèvres, sa main glissant le long de son torse. J'ai adoré mon bébé... Souffla-t-elle, la respiration encore survoltée, ses lèvres venant tendrement l'embrasser avant qu'elle ne tende ses mains jusqu'au rebord pour récupérer son maillot de bain.

Il se rendait compte à quel point il avait besoin de ce voyage, de ces quelques jours loin de tout, de Bowen, de leur quotidien, juste quelques instants pour souffler et profiter d’elle, et d’eux. Il voulait inscrire le goût de l’amour sur ses lèvres, dans chacun des baisers qu’il lui donnait, dans chaque regard qui lui était destiné, Niels envoûté par l’image de son amour qu’il était incapable de ne pas contempler. Il avait dû revenir sur ses mots pour lui montrer qu’il n’avait jamais souhaité la blesser, lui qui s’emportait toujours trop violemment dés que la haine s’insinuait dans ses veines. Retrouvant le chemin de ses lèvres, de son corps qu’il avait serré contre le sien, il répondit présent au défi qu’elle lui proposa, rejoignant la piscine de la villa après avoir traversé la foule, son corps cherchant rapidement le sien dés qu’il posa un pied dans l’eau. Il la voulait, elle et rien qu’elle, la dévorant du regard alors qu’il pouvait sentir son souffle contre son visage, sentant la chaleur l’étreindre doucement. « Ça me dérange pas, tu sais, que tu sois comme ça qu’avec moi. » Murmura-t-il, un léger sourire amusé, lui qui ne pouvait qu’aimer être le seul à profiter d’elle de cette manière, presque comme son exception, celle qu’il voulait être toute sa vie jusqu’à son dernier souffle. Il avait alimenté le brasier en la caressant bien plus intimement, arquant un sourcil à sa réponse malicieuse alors qu’il fit glisser ses yeux sur elle lorsqu’elle se dénuda devant lui, l’incitant à venir se coller à elle, son corps épousant ses courbes. « Reste toujours avec moi bébé… J’me perds sans toi. » Souffla-t-il, laissant ses lèvres rejoindre les siennes au même moment, profitant de cet instant de tendresse pour délivrer leur désir de se lier l’un à l’autre, Niels laissant son bassin rejoindre le sien, l’idée de se savoir contre elle le soulageant. Il enroula ses bras autour de son dos, pour lui permettre de le sentir davantage, ses doigts remontant le long de son échine pour la faire frissonner, ses lèvres cherchant de nouveau les siennes. « Moi aussi mon amour, j’arrêterai jamais de t’aimer. » Lui souffla-t-il, comme une confession qu’il voulait ancrer dans son esprit, jusqu’à son coeur qu’il protégerait comme le plus précieux des trésors, le sien. Il sentait sa peau s’enflammer alors qu’Aelya accompagnait divinement bien son corps, ses mouvements qui devenaient de plus en plus intenses à mesure que les minutes défilaient, que son souffle se perdait contre la peau de son cou qu’il dévorait littéralement, lui laissant des traces rougies par la passion qui l’animait. Il laissa sa main retrouver sa poitrine, connaissant ses points faibles comme elle connaissait les siens, se permettant de toucher son corps qui lui appartenait et qu’il ne céderait jamais à quelqu’un d’autre. « Tu me fais vivre un rêve bébé… J’veux qu’on continue toute notre vie, j’en ai jamais assez de toi. » Lâcha-t-il, entre deux soupirs, peinant à gérer cet afflux de plaisir qui le foudroyait, chaque cellule de son organisme se gorgeant d’un désir incontrôlable. « J’pense à rien d’autre qu’à toi ici mon amour… j’aurais voulu qu’on s’occupe l’un de l’autre tout le temps, sans qu’on ait à aller travailler… » Ajouta-t-il, le regard rêveur, songeant à une vie où ils pourraient s’aimer sans relâche, sans aucune autre obligation professionnelle qui les forcerait à se quitter le temps de quelques heures. Parce-que ça ne paraissait peut-être rien comme ça, mais Niels haïssait au plus point le fait de devoir partir chaque matin sans elle, comme si on lui arrachait une partie de lui dés qu’on le privait de son amour. Il chassa ses propres pensées de son esprit, se concentrant sur elle, sur leurs corps qui s’agitaient dans l’eau, Niels augmentant l’intensité de ses mouvements jusqu’à atteindre l’orgasme, le plaisir parvenant à son paroxysme alors qu’il lâcha un dernier gémissement qu’il éteignit contre ses lèvres, son front tendrement collé au sien. « C’était parfait mon ange… t’es parfaite. » Il frissonna à la douce caresse de sa main sur son torse, la laissant reprendre son maillot de bain, se plaçant derrière elle pour l’aider à le rattacher. « On fait quoi maintenant ? Le trajet inverse ? » S’amusa-t-il, déposant un baiser sur sa nuque, ses mains se logeant tendrement sur son ventre. « A moins qu’on trouve une douche dans la maison assez grande pour nous accueillir tous les deux… »

Elle souriait pour lui, sa raison d'être, le lien qui la maintenait à son bonheur pourtant bancal, Niels qui savait lui apporter une certaine stabilité dans son instabilité depuis qu'il avait apporté un vent de bien être dans sa vie jonchée d'épines, la sécurisant en tenant sa main fermement dans la sienne pour lui éviter de trébucher sur les mêmes travers qui la prenait à la gorge. Elle ne voyait qu'à travers ses yeux, que lui au milieu de ce monde habité par des âmes qui n'auraient jamais sa lumière, jamais sa splendeur, Aelya ne regardant que son amour de cette manière et pour toujours, son corps se laissant attirer par le sien dans l'eau, incapable de résister à son aura qui la bouleversait d'affection, de tendresse, d'admiration pour celui qui avait marqué sa peau au fer rouge.

- T'auras jamais à t'inquiéter à ce sujet, toute mon attention va vers toi, répondit-elle, amusée, savourant cette tension électrique qui régnait entre eux alors qu'elle se dénuda sous ses yeux fiévreux après avoir senti ses doigts brulants entre ses cuisses, captant cette lueur qu'elle voulait absorber pour le restant de ses jours, cette même flamme qui la rendait folle de lui, dépendante de son contact dont elle ne se lasserait jamais. Je resterai jusqu'à la fin avec toi mon bébé, si on doit se perdre c'est ensemble, ajouta-t-elle, dévastée par son propre désir qui s'embrasait sous son toucher, sous l'effet de son corps venu amoureusement s'emboîter au sien, comme deux pièces de puzzle faits pour se compléter, Aelya se complaisant dans la chaleur qu'il immiscait dans son être par le biais de ses ondulations, ses soupirs s'expiant de ses lèvres. T'es magnifique, le complimenta-t-elle, frémissant au contact de ses doigts qui caressaient son dos, ses cuisses s'ouvrant  davantage pour approfondir leur plaisir, Niels lui arrachant des soupirs bruyants en se délectant de sa peau qu'il dévorait, Aelya se mordant la lèvre pour réprimer ses gémissements, ses ongles s'incrustant dans sa peau pour y laisser son empreinte, son cœur s'emballant davantage en percevant la douceur de sa paume sur sa poitrine. Je te laisserai jamais m'oublier... Je pourrais jamais l'accepter mon amour, avoua-t-elle, son regard caressant le sien passionnément alors que son corps recevait un afflux de plaisir mené par celui de Niels. J'aimerai qu'on puisse être que tous les deux tout le temps... J'ai pas hâte de rentrer, je me sens heureuse que quand t'es là, avança-t-elle, attrapant ses lèvres comme elle attraperait sa vie, enlaçant son corps contre le sien de manière ferme pour rendre leur liaison encore plus fusionnelle, ses lèvres se nourrissant de son cou alors que son dos butait contre la paroi, sa poitrine chevauchant son buste au rythme de leur danse passionnée, jusqu'à l'atteinte du nirvana qu'elle vint éteindre contre ses lèvres, dans un baiser tendre. C'est avec toi que je le deviens, tu me rends meilleur mon cœur, admit-elle d'une voix douce, le regard amoureux planté dans le sien, attrapant son maillot pour le remettre, se retournant pour qu'il l'aide, réfléchissant à ses paroles avant de sourire à sa proposition, savourant le contact de ses mains sur son ventre et de son baiser sur sa nuque. On joue encore les infiltrés pour se doucher du coup ? Demanda-t-elle, amusée en faisant volte face. J'aime beaucoup trop m'amuser avec toi mon bébé d'amour, sourit-elle, ses mains poussant son corps sur le rebord pour qu'elle ne vienne s'y asseoir, attirant son amour entre ses cuisses, Aelya venant encadrer son visage. Je te suivrai jusqu'au bout du monde, tu sais, souffla-t-elle contre ses lèvres avant de lui offrir un baiser amoureux, Aelya se redressant suite à cela, remettant rapidement ses vêtements avant de tirer la porte doucement, regardant discrètement dans l'ouverture. Y'a toujours autant de monde, ça devrait encore nous faciliter la tâche, lança-t-elle malicieusement.

Il avait besoin de voir le bonheur briller dans ses iris, savoir qu’il était capable de semer le bien autour de lui, pour la seule personne qu’il souhaitait rendre heureuse. Il n’avait jamais autant été impliqué de sa vie, lui qui souhaitait parvenir à son objectif pour la première fois, pour prouver au monde qu’il en était capable. Aelya représentait sa seule raison de vivre, son amour pour elle étant infini, immortel, persuadé que personne ne viendrait lui arracher ce sentiment qui grandissait  au jour le jour dans le creux de sa poitrine, là où son myocarde s’emballait à chaque fois qu’elle le regardait. C’était plus fort que lui, plus fort que tout, son corps répondant presque instinctivement à tous les signaux que lui envoyait celui d’Aelya, eux qui se connaissaient par coeur, les mots étant presque devenus inutiles entre eux. « Tant mieux… » Souffla-t-il, peinant à rester calme devant le corps totalement nu de son âme-soeur, sous son contact qui le rendait dingue, presque incapable de gérer les effets qu’elle produisait sur son corps gorgé de désir. « On sera jamais l’un sans l’autre, tu me le promets ? Même si on y est obligés… » Murmura-t-il, lui qui ne ferait aucune concession sur son couple, parce-qu’Aelya restait sa priorité, loin devant le monde entier, n’ayant aucun mal à s’imaginer vivre sur une terre désertée de toute population, où il n’y aurait qu’eux. Il s’embrasait devant elle, prenant flamme dans l’eau de la piscine qui semblait se réchauffer sous l’effet de leurs corps qui parvinrent l’un jusqu’à l’autre, se liant dans une promesse de ne jamais se quitter, les soupirs de Niels répondant à ceux d’Aelya. « C’est toi la plus belle… T’es sublime bébé, j’ai trop de chance que tu sois à moi. » Lâcha-t-il, maintenant son étreinte autour d’elle alors qu’il lâcha un gémissement en sentant les cuisses d’Aelya s’écarter un peu plus, laissant plus d’espace à Niels pour se fondre complètement en elle, ses lèvres venant étouffer ses soupirs contre les siennes, ses mains se baladant sur la surface de son corps, caressant sa poitrine qu’il aimait sentir sous ses paumes, percevant les frissons sur sa peau dés qu’il y passait ses doigts. « C’est impossible mon amour, t’es en moi pour toujours… » Murmura-t-il à son oreille, ces mots traduisant toute la place qu’avait prise Aelya dans son coeur, sur sa peau, lui qui partageait cette histoire d’amour profondément pure avec elle, celle qu’il ne désirait jamais voir mourir. « J’ai pas hâte non plus. On se fera d’autres voyages bébé, j’te le promets. Faudra bien que je te présente mes parents un jour. » Ajouta-t-il, un sourire malicieux sur les lèvres, pensant à ce futur voyage dont ils avaient déjà parlé, en Europe, Niels désirant lui faire découvrir le pays qui l’avait vu naître. Il se délecta de l’intensité de son baiser, le rendant encore plus fiévreux par le biais de sa langue qui dansait contre la sienne, Niels rendant plus secs ses coups de rein pour la voir sombrer de plaisir, le même qu’il ressentait à chaque seconde. Il entraîna Aelya jusqu’au sommet de leur étreinte, atteignant le plaisir le plus pur qu’il soit, leurs corps finissant d’onduler l’un contre l’autre. « On devient meilleurs tous les deux… Et en plus, on épargne les suspensions du van. On est vraiment malins nous deux. » S’amusa-t-il, lui volant un dernier baiser avant de l’aider à remettre le haut de son maillot qu’il attacha malgré sa main blessée, embrassant Aelya sur sa nuque avant qu’elle ne se retourne vers lui, Niels feignant la réflexion. « J’suis persuadé que c’est à notre portée. » S’amusa-t-il, défiant son regard, lui lançant un clin d’oeil à sa réflexion avant de la regarder rejoindre le bord, venant entre ses cuisses en approchant son visage du sien. « Ça tombe bien, j’compte le parcourir avec toi le monde. » Répondit-il, se laissant embrasser, secouant la tête en la regardant rompre le baiser. « Encore un bisou. » Ajouta-t-il, en demandant toujours plus venant d’elle, souriant à son comportement faussement innocent. Il sortit à son tour de l’eau, suivant Aelya en écoutant ses remarques. « Passe devant bébé, j’te rejoins à l’étage. » Dit-il, observant ces escaliers qui menaient probablement à d’autres pièces, laissant Aelya prendre les devants, avant de se faufiler à son tour jusqu’aux escaliers, cherchant à être le plus discret possible, le niveau d’alcoolémie élevé de la plupart des invités se présentant comme une aubaine pour eux. Il monta les marches rapidement, excité par le risque qu’ils prenaient, se réfugiant dans la pièce déjà éclairée. « Wow. En fait, y’a tout le monde qui peut prendre une douche là. » Lâcha-t-il, ébahi par la grandeur de la pièce.

Il avait crocheté la serrure de son coeur pour s'y infiltrer, dans le bruit sourd de leurs battements qui s'étaient répondus dès le départ, comme une évidence, Aelya se regardant tomber éperdument amoureuse de son âme qui n'avait maintenant plus de secret pour elle. Elle n'en avait que faire de ce que les autres pensaient d'eux, eux qui n'avaient jamais rien compris à la puissance de leur attachement sans limite, à leur relation qui très souvent valsait dans les ténèbres avant de se voir projeter au-delà des nuages, là où ils étaient en sécurité, dans leur bulle de bonheur qui rejetait le monde entier qui leur apportait très souvent de la douleur, creusant les doutes là où il n'y avait jamais eu. Son corps effleurant celui de Niels dans l'eau qui les ébouillanterait si elle était capable de se charger de leur désir, elle se laissait aller à son envie de lui, sentant la chaleur l'étreindre à l'intérieur.

- Je te promets qu'on nous séparera pas mon amour. Moi sans toi c'est pas concevable, murmura-t-elle dans un regard complice, elle qui s'accrochait à lui avec tout l'espoir qu'on avait pu lui arracher et qu'il avait pourtant disséminé dans chacun de ses baisers, son corps se liant à celui d'Aelya comme la promesse d'une éternité qu'on ne pouvait pas leur voler, et son souffle s'échouait contre le sien sous la vague de plaisir qu'eux seuls pouvaient sentir, comme leur amour indescriptible. Je serais toujours à toi, t'es ma famille maintenant mon bébé. Je pouvais pas rêver mieux que toi dans ma vie, admit-elle amoureusement, le regard embrasé par l'amour qui la consumait dans les ondulations qui ne cessaient de s'intensifier, elle qui s'offrait à lui à chaque fois que l'envie la frappait comme une urgence à assouvir, parce que son amour pour lui n'attendait pas, Aelya sentant les vibrations tumultueuses de son coeur contre la paume de Niels qui pressait doucement sa poitrine, la brune laissant échapper des gémissements qui résonnaient entre les paroi de la piscine. Je compte bien rester en toi pour la vie mon ange, répondit-elle amoureusement, consciente qu'elle ne pouvait plus s'enfuir de la vie de Niels sans échapper à la sienne, parce qu'elles étaient maintenant enchevêtrées l'une dans l'autre. J'ai hâte de découvrir cette partie de toi mon amour... J'suis sure que je tomberai encore amoureuse de toi... Avança-t-elle, sa langue dansant fiévreusement avec la sienne dans des baisers tourmentés par sa respiration qu'elle ne contrôlait plus, se laissant porter progressivement vers le sommet de son désir qu'elle ne pût retenir dans sa trachée, Niels la connaissant par coeur, lui qui n'avait aucun mal à lui faire expier tout ce qu'elle pouvait retenir, le bien être extrême se diffusant en masse dans son corps bouleversé par la tornade que leur étreinte provoqua en elle, en eux. C'est clair qu'on fait des économies là parce que vu notre sauvagerie bébé, ils auraient fini par lâcher, s'amusa-t-elle avant de remettre son maillot de bain, aidé par son amour qui le raccrocha dans son dos. On est trop une fine équipe toi et moi, les complimenta-t-elle fièrement, venant s'asseoir sur le rebord de la piscine où elle ouvrit ses cuisses pour l'emprisonner dans son étreinte. On s'est bien trouvés j'ai l'impression, sourit-elle, admirant son visage de son regard lumineux, ses lèvres s'échouant amoureusement contre les siennes avant qu'elle ne vienne légèrement rire à sa protestation quand elle mit fin à leur baiser, Aelya sombrant de nouveau contre ses lèvres pour approfondir leur échange. Je peux rien te refuser à toi, lâcha-t-elle, joueuse, se redressant pour mettre en oeuvre leur nouvelle idée, acquiesçant à la proposition de Niels avant de passer devant lui, tentant d'user de discrétion bien que l'état des invités leur facilitait leur escapade vers l'étage, Aelya se réfugiant rapidement dans une immense salle de bain éclairée avant de fermer la porte quand Niels entra. Ouais, et nous, on la privatise cette pièce en plus, lança-t-elle en tournant la clef dans la porte pour préserver leur intimité, s'avançant tout près de son amour qu'elle ne lâchait pas du regard, tirant sur les pans de son haut pour le lui retirer, ses lèvres venant déposer quelques baisers sur son torse. Ca m'a trop manqué de tout faire avec toi... Souffla-t-elle, ses doigts venant détacher son jean pour le faire tomber à ses pieds. Déshabille-moi mon amour... Demanda-t-elle, appréciant de voir ses mains sur son corps.

Il aimait savoir qu’il avait réussi à s’infiltrer là où personne n’avait réussi, parvenant à obtenir la confiance d’Aelya qui lui avait permis de sonder son âme, de le laisser prendre soin d’elle. Et il avait vite compris qu’il était fait pour ça, pour elle, se prenant à caresser son être avec la plus grande des douceurs, son amour prenant le dessus sur tout le reste. Elle était tout ce qui comptait à présent, et rien n’aurait jamais plus d’importance que leur couple, Niels désirant toujours les mettre au premier plan. Dans l’eau réchauffée de la piscine, il peinait à gérer son calme, Aelya l’enflammant contre son corps auquel répondait le sien, leurs peaux se frôlant, se cherchant, finissant par se trouver dans cette étreinte passionnée, profondément amoureuse dans laquelle leurs âmes se tournaient autour pour mieux se céder. « Je t’aime mon bébé… C’est nous deux pour toujours. » Souffla-t-il, le mouvement de ses lèvres entraînant les siennes dans des baisers toujours plus tendres et pourtant passionnés, Niels laissant son corps se fondre complètement dans celui de son amour, interceptant son regard empli d’envie. Il esquissa un sourire à ses mots amoureux, parsemant son cou de baisers vifs. « J’ai besoin que de toi mon amour. Toi et notre future famille. » Parce-qu’il imaginait parfaitement en fonder une avec elle, eux qui désiraient donner la vie, toujours attendris par l’idée d’avoir un enfant ensemble. Il continuait à provoquer son corps de la meilleure des façons, cherchant à la faire frémir de plaisir, leurs bassins se répondant parfaitement alors que les mains de Niels s’étaient aventurées sur sa poitrine, sa paume la recouvrant avec envie. « J’te laisserai pas t’échapper. » Souffla-t-il, son souffle heurté par le plaisir et leurs mouvements de plus en plus intenses, Niels perdant toute notion de raison alors que ses sens s’enflammaient. « J’veux que tu saches tout de moi bébé… » Ajouta-t-il, son regard plongeant dans le sien, acceptant d’être sondé par ses yeux qu’il ne voulait voir s’arrêter que sur lui, parce-qu’il était persuadé que personne n’était capable de l’aimer comme lui le faisait tous les jours, et pour toujours. Il l’embrassa longuement après avoir atteint le nirvana avec elle, son coeur battant à tout rompre dans ses côtes, sa peau encore brûlante sous l’effet du plaisir qui s’était propagé dans ses veines. « Il aurait pas tenu la semaine, c’est clair. » S’amusa-t-il, en faisant référence à leur van qu’ils avaient déjà inauguré la veille, s’abandonnant l’un à l’autre sous l’effet de l’amour qui explosait entre eux à tout moment, en tout temps. Il lui lança un clin d’oeil avant de venir entre ses cuisses pour profiter de son baiser, s’aidant de ses bras pour se projeter vers son visage. « On est la meilleure équipe qui soit. » Ajouta-t-il, avant de lui redemander un baiser, amusé par cette légèreté qui régnait entre eux, retrouvant cette complicité qui ne mourrait jamais lorsqu’il s’agissait de se tourner autour. « Me refuse jamais rien. Tu prendrais le risque de me voir bouder. » Joua-t-il, laissant Aelya prendre les devants pour rejoindre une immense pièce éclairée, Niels peinant à y croire, eux qui étaient loin d’être habitués à d’aussi grands espaces. Il laissa Aelya fermer la porte derrière eux et la verrouiller, s’intéressant à son regard malicieux, appréciant de retrouver sa peau alors qu’elle s’avança d’un pas félin vers lui. « Ça nous fait un grand terrain de jeu. » S’amusa-t-il, levant les bras pour l’aider à lui retirer son t-shirt, respirant plus profondément lorsqu’elle déposa des baisers sur son torse nu. « On se privera jamais de ces moments-là bébé… » Souffla-t-il, laissant son jean tomber au sol avant de s’exécuter à sa demande, faisant un pas vers elle pour faire glisser ses doigts autour de sa taille, les faisant remonter sous son haut pour le lui ôter. « Y’a rien de plus magnifique que toi bébé… » Lui confia-t-il, ses yeux parcourant son corps en même temps que ses mains qui s’arrêtèrent sur l’attache de son jean qu’il enleva à son tour. « Retourne toi. » Souffla-t-il, collant son torse à son dos, ses mains faisant glisser les bretelles de son haut de part et d’autre de ses épaules, finissant par le faire tomber au sol. Il déposa des baisers le long de sa colonne vertébrale, parvenant jusqu’à sa chute de reins qu’il déshabilla en tirant sur son bas, ses lèvres caressant le bas de son dos. « Viens bébé. » Il tira sur sa main pour l’emmener sous la douche, l’eau brûlante coulant sur leurs corps.

Aelya l'avait laissé entrer dans son âme, dans son cœur, Niels ayant réussi à mettre de l'ordre dans son chaos qui ne lui avait jamais autant ressemblé que depuis qu'elle se baignait dans les images de leurs souvenirs qu'ils empilaient par milliers, Aelya désirant faire savoir à Niels qu'il comptait comme le monde à ses yeux, par n'importe quelle manière, par le biais de ses attentions, de ses gestes, de ses mots, de son regard qui ne trompait pas quand elle l'admirait, détaillant la moindre parcelle de son visage comme pour l'imprimer dans le creux de ses prunelles qui ne rayonnaient que pour lui.

- J'adore quand tu dis ça... Je nous aime tellement, admit-elle amoureusement, consciente qu'elle n'était plus capable de penser que pour elle, qu'elle l'avait fait passer avant tout le monde dont sa propre personne qui se liait passionnément à la sienne, son corps frémissant d'envie en sentant le sien s'activer contre elle, son urgence de s'approprier sa peau se dévoilant ses iris embrasés, Aelya se délectant de ses baisers dans son cou. Je te donnerai tous les bébés que tu veux mon amour... Souffla-t-elle tendrement, un léger sourire égayant son visage alors qu'elle songeait à la parentalité qui ne leur faisait plus peur, Aelya ayant envie de porter une fois plus le fruit de leur amour, son cœur battant trop fort dans sa poitrine, sa peau se chargeant de frissons à la sensation de son toucher qui la rendait folle. Jamais bébé. Me laisse jamais m'échapper de toi, lança-t-elle d'une voix envieuse, son regard assombrit par son plaisir percutant le sien, Aelya s'imprégnant de la moindre vague qui s'insinuait en elle, la réchauffant par la passion. Je veux être la seule à te connaître par cœur bébé, tu me passionnes, avoua-t-elle, ses lèvres s'entrouvrant pour laisser échapper ses nombreux soupirs qui se muaient en gémissements sous l'effet du plaisir divin de leurs mouvements, du cadre intime qui les rendait encore plus complice, Aelya s'abandonnant dans ses bras pour accueillir le nirvana qui lui coupa le souffle, ses lèvres cherchant les siennes dans des baisers plus patients. Déjà qu'il est pas très résistant, faudra qu'on limite nos câlins pour le bien de notre voyage dans le van, s'amusa-t-elle pour le provoquer, prenant place sur la bordure de la piscine pour l'inviter entre ses jambes, lui offrant quelques pressions amoureuses sur ses lèvres en demande, elle qui était de toute manière addict à ses baisers. Y'a pas meilleur que nous, j'ai pas encore vu et je suis sûre que ça existe pas, lança-t-elle fièrement, appréciant mettre en avant leur fusion et leur complicité si puissante qu'elle anima encore sur ses lèvres, amusée par leur manière de se chercher. Si je prends le risque de te voir bouder c'est seulement pour mieux te remonter le moral après, j'ai de bons arguments paraît-il, avança-t-elle malicieusement, faisant référence à sa volonté de toujours l'attirer dans ses filets alors qu'ils prirent tous les deux la direction de la salle de bain de la villa, plongeant dans son immensité avant qu'elle ne vienne les enfermer pour leur procurer un peu plus d'intimité, les yeux d'Aelya s'illuminant de malice en revenant vers lui qu'elle détaillait dans une lueur séductrice. Et vu qu'on adore jouer, c'est plutôt intéressant pour nous deux, répondit-elle, amusée, retirant son haut avant de grignoter sa peau nue, attirée par son corps. Je compte jamais me priver de toi, nan... Admit-elle d'une voix envieuse, le débarrassant de son bas avant de lui proposer de la dévêtir, son regard s'intéressant à ses gestes dont elle se délectait, levant les bras pour l'aider à lui enlever son haut, frissonnant au passage délicat de ses doigts sur sa peau. Si. Y'a toi, répondit-elle au tac au tac, son regard valsant entre ses lèvres et ses yeux avant de s'exécuter à sa demande, savourant la chaleur de son corps contre son dos, soupirant de bien être à la sensation de ses lèvres le long de son échine, Aelya fermant les yeux, savourant la douceur et la sensualité de ses gestes avec elle jusqu'à ce qu'elle soit entièrement nue.

Elle le suivit sous l'eau brûlante qui coulait en cascade sur leurs corps, ses bras venant s'enrouler autour de son dos pour l'approcher d'elle malgré l'espace qui régnait.

- Je changerai rien à ce qu'on a vécu. Même nos galères. Parce que c'est tout ça qui m'a fait tomber amoureuse de toi. T'es l'homme de ma vie, je sais pas ce que je deviendrais sans toi. T'es tout pour moi. Doute jamais de ça mon bébé, t'es la seule personne que j'aurais toujours dans la peau, ajouta-t-elle, faisant référence à la symbolique de leur tatouage, son regard amoureux se perdant dans le sien.

Ils se créaient une vie à deux, un quotidien qu’il voulait voir éclore encore et encore, parce-qu’il ne s’était jamais senti aussi complet que depuis qu’elle était là, à l’aimer, à lui faire découvrir le vrai sens de la vie. Elle lui avait appris à ne pas se braquer au premier contact humain, Niels qui l’avait laissé intervenir dans sa vie pour y mettre de l’ordre, le sauvant bien trop souvent des ténèbres qui avaient menacé de l’engloutir. Il aimait savoir qu’il avait eu le même impact sur elle, prouvant encore leurs similarités, leurs façons d’entrevoir le monde qui étaient semblables. « J’le dirai tout le temps, parce-que je le pense à chaque seconde bébé. » Souffla-t-il sur le même ton amoureux, lui qui croyait bien plus en eux qu’en n’importe quelle autre chose, persuadé qu’ils avaient encore beaucoup de chemin à parcourir ensemble, leurs mains se faisant la promesse de ne jamais se quitter. Son corps fiévreusement lié au sien, il continuait de danser avec envie contre elle, passionné par son amour, par les mouvements de leurs corps qui se répondaient toujours un peu plus intensément alors qu’il faisait glisser ses lèvres contre sa peau. « J’ai tellement hâte bébé… Je rêve de ça, je rêve que tu me fasses devenir papa. » Murmura-t-il, elle qui savait que le désir de paternité l’avait atteint lorsqu’ils avaient appris pour la grossesse d’Aelya, ce sentiment naissant presque naturellement en lui alors qu’il avait d’abord eu du mal à accepter cette idée. Ses mains parcouraient son corps avec ce même entrain, son regard se fondant au sien, Niels se mordant la lèvre en percevant tout ce bien-être qui affluait dans ses veines. « Jamais mon amour. T’es à moi pour la vie. » Dit-il, possessif, sa bouche frôlant la sienne pour éteindre leurs gémissements qui se faisaient de plus en plus bruyants. « J’adore quand tu dis ça. Tu sais très bien à quel point j’ai envie d’entretenir cette passion en plus… » Sourit-il, avant de plonger son visage dans le cou d’Aelya pour l’emmener jusqu’à l’apogée de leur étreinte, là où le plaisir était tellement puissant qu’il n’y avait aucun retour en arrière possible. Il laissa ses lèvres répondre aux siennes, éteignant les flammes qui les avaient totalement consumé, arquant un sourcil curieux à ses mots. « Non non, on fera marcher l’assurance à chaque fois s’il faut. Mais on fera jamais de concessions sur nos câlins, hors de question. » S’amusa-t-il, faisant mine de prendre un ton ferme, venant contre elle, entre ses cuisses pour profiter des légers baisers qu’elle lui offrit. « On met la barre haute en même temps. » Ajouta-t-il, l’air fier, redemandant encore un baiser de son amour, complètement accro à la douceur de ses lèvres. « T’es vraiment trop maligne toi… Mais j’attends quand même de les voir, tes arguments… » Joua-t-il, l’air intéressé, lui qui adorait la tenter sur ce terrain, conscient qu’elle était plus que convaincante avec lui, Niels ne résistant jamais bien longtemps à ses tentatives de séduction. Il parvint jusqu’à la salle de bain où elle s’était déjà réfugiée après qu’il l’ait laissé le devancer, s’approchant d’elle pour découvrir la pièce, Aelya prenant soin de verrouiller la serrure afin de les protéger. Il se laissa déshabiller par elle, l’aidant à mettre ses vêtements aux sol, son regard se posant sur son visage alors qu’elle déposait des baisers rapides sur son torse, Niels se voyant frémir à sa délicatesse et sa grande sensualité. « T’y es interdite. J’veux que tu joues avec mon corps toute ta vie. » Souffla-t-il malicieux, adorant bien trop la voir caresser sa peau pour s’en passer, lui qui n’était sensible qu’à son toucher, réceptif à ses baisers qui le faisaient toujours fondre. Il la déshabilla à son tour, usant de patience pour faire tomber un à un les bouts de tissus qui la retenaient à lui, son regard heurtant le sien à sa flatterie. « J’trouve que t’es bien plus passionnante. » Renchérit-il, lui faisant savoir qu’elle était tout ce qu’il désirait regarder aujourd’hui, demain, et jusqu’au dernier jour de sa vie. Ses mains prenaient soin de son corps qu’il dénudait, Niels prenant son temps, se revigorant des soupirs de sa petite-amie qu’il entendait s’échapper dans l’air, jusqu’à l’attirer contre lui sous l’eau brûlante, ses bras venant la recouvrir lorsqu’elle se colla à lui. « T’es ma plus belle histoire, j’veux jamais à en réécrire une avec quelqu’un d’autre. J’veux que toi pour toujours, et j’suis sûr qu’on va continuer à écrire de belles pages toi et moi. » Assura-t-il, ses yeux valsant jusqu’à leurs poignets respectifs, observant d’un air attendri les tatouages qu’ils partageaient. « J’peux t’avoir encore plus dans la peau si tu veux, ça te dit un énorme portrait de toi dans mon dos ? » Plaisanta-t-il, pouffant légèrement, ses mains passant du savon sur son propre corps. « Ou alors une alliance à mon doigt, j’pense que ça peut faire l’affaire. » S’amusa-t-il, plein de malice.

C'était lui qui la rendait meilleure, qui avait abolis ses aprioris pour qu'elle puisse le laisser caresser son âme endolorie, accablée par des touchers toxiques qui avaient fini par assécher son espoir, sa peau, son être tout entier qui s'était vu renaître sous l'effet des baisers de Niels. Elle n'en avait jamais assez de lui, et elle savait dans le fond que ce besoin excessif était dangereux. Parce que le jour où il ne serait plus là, il n'y aurait plus rien et elle l'avait déjà bien trop expérimenté pour le revivre encore une fois, Aelya se rendant compte qu'elle sombrait sans son amour. Elle sourit amoureusement à sa remarque qui faisait écho à tout ce qu'elle ressentait pour lui, son corps le lui montrant en fondant harmonieusement dans le sien, ses cuisses s'évertuant à l'enchainer à son être pour qu'il puisse subir son propre plaisir, le sien explosant sous l'effet de ses lèvres qui dansaient sur sa peau.

- Mon amour... Je te promets que tu le seras, je rêve de te voir dans ce rôle, répondit-elle, attendrie par leurs ambitions qui se rejoignaient dans les flammes de leur amour passionné, ses mains se délectant de la douceur de sa peau alors que son esprit se voyait parsemer d'images d'eux, fondant leur propre famille, Aelya tombant amoureuse de ce film qu'elle voulait réaliser pour de vrai un jour. J'suis faite que pour toi mon bébé, ajouta-t-elle, persuadée que sa personne n'avait été créée que pour l'amour de sa vie qui lui arrachaient des soupirs de plus en plus bruyants, son âme s'entremêlant à la sienne dans une symbiose qui faisait palpiter son cœur, pulsant toute son affection dans la profondeur de ses cellules alors que ses lèvres venaient déposer sa possessivité dans son cou. Tu sais trop bien l'entretenir mon amour, tu m'obsèdes à ce stade, avança-t-elle, envieuse, sa main venant se placer dans sa nuque pour l'inciter à la dévorer un peu plus, son corps se tendant sous l'effet de son plaisir qui se déployait jusqu'à son explosion qu'elle laissa échapper dans un gémissement qu'elle ne put retenir, Aelya accueillant ses doux baisers sur ses lèvres avant de rire à sa remarque. Je pourrais pas me passer de nos câlins mon cœur, j'ai besoin de te montrer à quel point j'suis attirée que par toi, à quel point j'aime que toi... Murmura-t-elle tendrement, le regard joueur en songeant à la manière dont ils ne pouvaient pas se passer de l'un et de l'autre, la brune l'invitant entre ses cuisses pour mieux s'imprégner de son contact. Je peux pas te contredire là-dessus, acquiesça-t-elle avant de céder une nouvelle fois contre ses lèvres, ses mains caressant doucement ses joues en prolongeant leur échange. Et toi t'es vraiment trop malin à me tenter comme ça pour te les montrer... Sourit-elle malicieusement, consciente qu'ils faisaient tout pour s'attirer dans leurs filets, ceux d'Aelya ne désirant s'emmêler qu'autour de son amour.

Elle se réfugia discrètement dans la salle de bain en traversant la villa, jouant avec l'homme de ses rêves en laissant ses mains le déposséder de ses vêtements, son regard dévorant son corps qui se dénudait sous ses gestes, Aelya se délectant de ce moment qui leur appartenait.

- T'es mon jeu favoris amour, je jouerai avec toi tout le temps, histoire que t'oublies pas mes talents pour la torture, répondit-elle d'une voix malicieuse, un sourire en coin sur ses lèvres.

Il vint jouer avec elle à son tour, Aelya frissonnant au passage de ses doigts qui retiraient son haut, la brune sombrant pour sa sensualité et sa tendresse qui répondait à la sienne. Elle croisa son regard à son compliment, Aelya se mordant la lèvre avant de venir lui voler un baiser amoureux, le laissant continuer à la dévêtir, la respiration plus profonde au passage de ses lèvres sur sa peau qui se mit à frémir avant qu'elle ne vienne le suivre sous l'eau brûlante, ses yeux pétillant d'amour pour lui.

- Je pense qu'on pourrait en faire un vrai best-seller de notre histoire bébé. Y'aurait toujours des suites, jamais de fin, hein ? J'veux jamais avoir à vivre sans toi, avoua-t-elle d'une voix bercée d'espoir et d'innocence, ses mains caressant ses flancs. Mmh l'idée est pas mal mais je sais pas si ça m'exciterait de faire l'amour avec toi en sachant que t'as ma tête en gros dans le dos, rit-elle, venant savonner son corps. L'alliance... J'aime beaucoup. Un peu trop même... Admit-elle d'un air sérieux et joueur à la fois. C'est le genre de truc qui éloigne les femmes au moins. T'es plus du tout un cœur à prendre, ton cœur est à moi, ajouta-t-elle, possessive, venant amoureusement plaquer son amour contre le mur froid de la douche, l'embrassant passionnément, en laissant ses mains plaquer les siennes contre le mur, avant de se détacher délicatement, venant se rincer sous l'eau. On rejoint notre chez nous mon bébé ? Proposa-t-elle.