your true colors shining through - pv. jackson.

Les dessins complimentés furent rapidement relayés au second plan de votre attention, à Lys et toi. Vous aviez soudainement d’autres surfaces à contempler, d’autres traits à dessiner du bout de vos doigts. La jeune femme déposa son carnet de croquis sur la table basse après s’être cambrée, te donnant une pleine vue ses sa poitrine dont les mamelons pointaient vers toi, invitants. Pour être plus confortable, Lys se replaça sur le canapé, et tout en la laissant s’exécuter, tu ne la libéras toutefois pas de tes baisers et de tes caresses. Ceux-ci se firent un peu plus osés, d’ailleurs, alors que tes lèvres avaient poursuivi leur trajectoire jusqu’à son ventre, que tu embrassais après avoir légèrement relevé son t-shirt. Puis, tes baisers arrivèrent à la barrière de son short, et tu relevas un regard de désir vers Lys alors que tes mains entreprenaient d’en défaire les attaches. Vous aviez répété ces moments intimes à maintes reprises depuis vos retrouvailles et pourtant, à chaque fois, c’était comme si vous vous redécouvriez tout en vous connaissant par cœur. Un exquis mélange. Tu baissas les shorts de Lys, te relevant à genoux sur le canapé pour le lui retirer complètement en même temps que sa petite culotte, alors qu’elle n’avait qu’à t’aider de ses jambes allongées pour que tu la libères de ces tissus. Tu les laissas tomber à côté, au sol, avant de replonger entre les jambes de Lys, laissant ta bouche et ta langue explorer l’intimité de ton amante.

Depuis son emménagement, Jackson avait multiplié ses passages chez moi. Nous nous entendions à la perfection, que ce soit sur le plan spirituel, amicale ou sexuel. Nous nous comprenions, cherchions les mêmes choses, les mêmes sensations. Il avait appris à interpréter les appels de mon corps, comme j’avais appris à lire les signaux que le siens m’envoyait. Si j’adorais discuter avec l’acrobate, si j’étais capable de le faire des heures durant, le silence entre nous était tout aussi bon que de long discours. Un regard suffisait souvent à ce que nous nous comprenions. Seul Azriel me connaissait aussi bien et c’en était troublant. Je tombai sur son regard, plein de désir, tandis que ses baisers avaient migré au niveau de mon ventre. Il me perça, prit possession de moi, bien avant que sa bouche, après que Jackson m’eut déshabillée, ne plonge entre mes cuisses. Malgré tout, quand sa langue commença son exploration, je fermai les yeux et poussai un long soupir à peine audible. Mes dents pincèrent ma lèvre inférieure au moment où ma tête se renversa sur l’accoudoir du canapé. Une vague de plaisir m’envahit, me submergea. Je passai une main sur mon sein, l’agrippe à travers le coton de mon t-shirt, l’autre fourragea la chevelure de mon amant.
— Jackson…, soufflai-je doucement.

Tu adorais entendre Lys murmurer ton nom, son ton de voix traduisant tout le plaisir que tu lui apportais. Tu raffolais de voir sa main toucher son sein, parce que ça te faisait bander de la voir participer à sa propre excitation. Il n’y avait rien de plus beau qu’une femme qui se touche, qui connaît son corps, qui n’a ni peur ni honte de se donner du plaisir. Et comme vous étiez tous les deux en train de lui en offrir, la respiration de Lys se faisait intense, et tu sentais ses jambes trembler entre tes mains qui les gardaient ouvertes. T’aurais pu les relâcher, cependant. Tu savais fort bien que Lys ne chercherait par aucun moyen à refermer cet espace dans lequel tu lui procurais autant de bien. C’était flippant de constater à quel point elle et toi, vous planiez sur le même nuage. Le jour où on t’enlèverait ce côté physique avec Lys, puisqu’il arriverait tôt ou tard qu’une autre personne s’immisce entre vous deux, tu ne savais pas comment tu réagirais. Certes, il vous resterait les conversations, les silences qui disent tout, les échanges de regards, mais il serait faux de croire que vous pourriez faire un trait sur l’aspect sexuel de votre relation sans éprouver un certain manque. Tu préférais toutefois ne pas y songer pour le moment. Toi, tu n’étais pas sur le point de t’engager sérieusement avec qui que ce soit et elle, avec ce qu’elle t’avait révélé de sa relation avec Azriel, ne semblait pas non plus pouvoir évoluer vers autre chose. En ce moment toutefois, ces pensées-là étaient bien loin de te tracasser. Tu n’avais de focus que sur le désir grimpant en toi, parce qu’il suffisait de sentir que Lys était sur le point de jouir pour que ton excitation soit à son comble. Son bassin qui s’élevait, sa tête qui se projetait un peu plus encore vers l’arrière, sa respiration plus courte, toutes ces réactions t’indiquaient que tu étais tout près du but. Tu redoublas d’ardeur.

Le plaisir. C’était comme si chacun des cellules de mon corps n’étaient capable que de se focaliser sur ça. Comme si rien d’autre n’était vraiment important. Je ne maitrisais plus mes gémissements, même en me mordant la lèvre, c’était impossible. Instinctivement, je relevai le bassin comme pour me rapprocher un peu plus de la bouche de mon amant. C’était bon...Mon ventre se contractait tandis que la langue de Jackson sur mon clitoris en érection achevait de me rendre folle. Je redressai la tête pour le voir à l’œuvre et cela m’excita davantage. Me relevant sur un coude, je caressai sa tête, passant une main dans son cou, laissant mon regard trainer sur les muscles de son dos que le mouvement rendait fascinant. J’adorais sentir ses mains sur mes cuisses, ses long doigts délicat, ses paumes chaudes. Une nouvelle vague, plus intense que les autres, me fit fermer les yeux et tendre le cou en arrière. Un cri passa la barrière de mes lèvres et je ne fus plus capable de me taire. Je retombai sur le canapé, cambrant simplement le dos. J’ondulai légèrement sous l’effet du plaisir intense que Jackson me procurait. Mes deux mains agrippèrent le bord du canapé et s’y accrochèrent alors que tout mon corps se tendait. La jouissance me faucha, faisant trembler tous mes membres. Quand je revins sur la terre ferme, ma respiration était encore rapide et saccadée. Jackson avait le menton posé sur mon vendre et il me regardait. Quand il esquissa un sourire, je m’autorisai un petit rire. J’avais complètement ébouriffé ses cheveux, mais, Dieu, qu’il était beau ainsi.
— Tu m’as faite grimper si haut que j’ai cru que je ne pourrais jamais redescendre…
Mon rire s’accentua alors que je passai une main dans la chevelure en bataille de mon amant, pour tenter de le recoiffer un peu. Je lissai ses sourcils avec tendresse, caressai sa joue puis reposai la tête sur l’accoudoir du canapé pour observer mon plafond en silence. Les effets du plaisir se dissipèrent doucement, très lentement. Je profitai de ce moment en dehors du temps encore un instant, avant qu’un sourire coquin ne vienne barrer mon visage.
— Tu bandes, Jacks ? demandai-je avec une pointe de malice dans la voix.

Tu sentis le corps de Lys se tendre, ses jambes s’allongeant et sa tête s’étirant vers l’arrière. Ses muscles tremblaient contre tes mains toujours posées sur ses cuisses. Tu sentis sa main quitter tes cheveux alors que tu devinais que ses doigts se refermaient contre le bord du canapé, pour y broyer son plaisir qu’elle n’arrivait plus à contenir. Tu relevas un sourire satisfait vers elle après que son corps se soit détendu. Ses yeux étaient encore fermés et toi, tu posas ton menton sur le bas de son ventre, contemplant l’orgasme se dissiper. Le regard de Lys se posa finalement sur toi et elle eut un léger rire. Tu ne savais pas si elle riait de bonheur ou si elle riait de ta gueule, toi qui avais probablement les cheveux en pagaille à cause d’elle. « Faut bien qu’tu redescendes à chaque fois, si j’veux continuer de pouvoir te faire monter. » Relevas-tu. T’aimais tellement ressentir et entendre l’ascension de Lys vers la jouissance. Elle avait cette manière libérée d’accueillir l’orgasme sans gêne et sans tabou. Elle était magnifique quand elle atteignait ce niveau d’excitation sexuelle. Encore plus quand c’était toi qui l’y portais. Tu fermas momentanément les paupières quand Lys brossa tes sourcils du bout de ses doigts, sans perdre ton sourire. Tu rouvris les yeux lorsque ton amante te demanda si tu bandais. Tu souris, amusé, excité. « Le coussin du canapé, lui, ne se pose plus la question … » Tu te relevas légèrement, te hissant un peu plus sur Lys, pour qu’elle sente ton membre en érection contre son mont de Vénus.

Avec un amant comme Jackson, les montagnes russes étaient assurées. Il savait exactement comment me faire monter, puis redescendre pour que je remonte à nouveau, plus haut encore que la première fois. C’était comme s’il avait trouvé l’emplacement d’un bouton magique et je n’allais clairement pas m’en plaindre. J’appréciai ce moment hors du temps, sachant parfaitement quelle allait être la suite du programme, mais rien ne servait d’aller trop vite. Jackson et moi avions du temps devant nous, puis nous commencions à nous connaître l’un l’autre. Sa remarque à propos du cousin de mon canapé me fit rire, rire qui se changea en un petit cri de surprise lorsque Jackson se redressa et que son érection se colla à ma sexe nu. Je ris de plus belle et planta un regard enfièvré dans celui de mon amant.
— Effectivement, articulai-je entre deux éclats de rire, il n’y a pas de doute à avoir.
Je me penchai pour l’embrasser, me redressant sur les coudes puis relevant le buste, obligeant Jackson à reculer. Je vins m’asseoir sur ses genoux, plantai mes iris dans les siens puis fis descendre ma main droite entre nous pour déboucler sa ceinture. Je libérai son sexe en un tour de main, tandis que ma bouche partait dans son cou. Mes doigts glissèrent sur son érection alors que mes lèvres, elles, capturait le lobe de son oreille que je suçotai doucement. J’adorais le sentir dans ma main, si puissant. Cela m’excitait au plus haut point. Je soupirai, impatiente qu'il m'emplisse.

Tu ris à ton tour quand Lys te confirma qu’il n’y avait pas de doute à avoir. Elle n’avait que très rarement de doutes à avoir, d’ailleurs. T’étais complètement subjugué par la beauté de cette femme à chaque fois que tu la voyais, et il ne suffisait que d’un léger écart de conduite de ton esprit pour que ton corps tout entier s’excite. Que ce soit dans des lieux publics ou non, d’ailleurs. Heureusement, c’était le plus souvent entre les murs de cet appartement que vous vous adonniez à ces délicieuses pensées intrusives. Lys se releva alors sur ses coudes, se hissant vers l’avant et te forçant du même coup à reculer légèrement. Elle vint s’asseoir sur toi, plongeant son regard d’envie dans le tien qui s’enflamma encore plus alors que Lys entreprenait de déboucler ta ceinture. Tu basculas la tête vers l’arrière pour lui offrir toute la surface de ton cou pour y déposer ses baisers. Tu gémis de plaisir en sentant la main de l’artiste se refermer autour de ton membre. Tu la laissas faire quelques vas-et-viens qui durcirent plus encore ton sexe. Devenant à ton tour impatient, tu te relevas légèrement le temps de baisser ton pantalon au moins jusqu’à tes genoux, avant de pénétrer Lys en la rassoyant sur toi. Un autre gémissement de plaisir s’échappa d’entre tes lèvres, tes mains se posant sur les hanches de la jeune femme pour l’accompagner dans les ondulations de son corps sur le tien. Elles étaient bien loin, dorénavant, les questions qui l’aideraient à faire ton portrait. Vous aviez rapidement préféré cet autre moyen de vous (re)découvrir.

Il me suffisait de poser les yeux sur Jackson, de croiser son regard, ou de capter son sourire mutin pour qu’une envie de lui ne grimpe aussitôt en moi. C’était systématique. Mon désir pour l’acrobate brûlait, à tel point qu’il m’était parfois impossible de retenir mes pulsions. À ce niveau là, d’ailleurs, nous étions sur la même longueur d’ondes. J’aimais par dessus tout lui procurer du plaisir, le sentir durcir dans ma paume avait quelque chose d’extrêmement grisant Le gémissement qui s’échappa de ses lèvres me fit sourire dans sa nuque.. Jackson aussi, de son côté savait accorder une attention particulière à mes sensations. L’échange, entre nous, n’avait jamais rien d’égoïste, c’était même tout le contraire. Au bout d’un moment, Jackson prit les devants, baissant son pantalon pour se donner plus d’aisance et me pénétra dans un second gémissement qui se mêla tout à coup au mien. Je laissai mon regard trainer dans le sien, lui témoignant toute la tendresse que j’éprouvais alors pour lui. Je l’embrassai au moment où nos bassins commencèrent leur danse. Lente d’abord, puis rapidement plus soutenue. Le rythme s’accélérait en même temps que nos respirations qui se mêlaient frénétiquement. J’avais soif de lui, soif de son corps, de son sexe. Alors que ses mains me ramenaient constamment à son bassin, j’appuyai les miennes sur le canapé pour intensifier le mouvement. Ces ondulations, toutes plus appuyées à chaque fois, m’arrachèrent plusieurs cris que je ne cherchai même pas à taire. Le plaisir se faisait plus intense, brut, presque violent. À l’oreille de Jackson, je murmurai que c’était bon, putain, et qu’il me rendait folle. J’enlaçai étroitement mon amant, passant mes bras autour de son cou et glissant mon nez dans ses cheveux, ne diminuant pas le rythme pour autant.

Tes jambes se fatiguaient de plus en plus, de te propulser dans ce mouvement dans une position peu habituelle, Lys assise sur toi. Tes mouvements se faisaient donc parfois inégaux, saccadés, tu perdais un peu le rythme en raison de l’effort mais Lys était là pour rattraper tes faiblesses physiques, reprenant le flambeau quand tu ne parvenais plus à maintenir la cadence. Vous aviez toujours fonctionné ainsi, parfois l’un donnait et l’autre recevait et d’autres fois vous meniez cette danse à deux sans avoir à vous communiquer les pas. Alors que l’excitation montait toujours plus, tu redoublas d’ardeur et arracha des cris à Lys, qui vint ensuite te murmurer à l’oreille à quel point c’était bon. Un sourire s’élargit sur ton visage, alors que t’avais les yeux fermés, les sourcils légèrement froncés en raison de l’orgasme qui approchait à grande vitesse. Lorsque Lys passa ses bras autour de ton cou et se serra un peu plus contre toi, tu sentis ton corps s’enflammer. Ta respiration devint haletante, difficile, et tu poussas plusieurs gémissements de plaisir alors que tu éjaculais en elle, pressant ses fesses contre toi, tremblant en profondeur en elle et contre elle. Tu enfouis ton visage dans son cou, laissant juste assez d’espace pour que ta bouche reprenne son souffle. Tu continuas à bouger en Lys et tes doigts vinrent se joindre au jeu pour qu’elle te rejoigne dans cette exquise délivrance.

Je sens Jackson sur le point de venir et cela fait grimper en flèche mon excitation. J’avais tellement envie qu’il jouisse en moi, qu’il me donne tout, je voulais le recevoir, le sentir emplir. Je mords la peau de son épaule, gémis, pousse un cri qui s’étouffe sur sa chair. Il vient soudainement et je l’enfonce d’un mouvement de bassin au plus profond de moi, ses mains me maintiennent contre lui. Ses cris se réverbèrent en moi, me procurant un plaisir doux, je m’abandonne à lui, tandis qu’il savoure sa jouissance. J’accueille sa tête au creux de mon cou et caresser sa joue avec tendresse et, un instant plus tard, je me mets à couiner quand ses doigts viennent stimuler mon clitoris. Je viens à mon tour, presque aussitôt, allongeant un gémissement sonore. Je ferme les yeux, et passa mes deux mains dans les cheveux de mon amant. Je le garde un peu contre moi, reprenant doucement mon souffle, toujours pressé contre lui. Je caresse ses épaules et son dos avec douceur, puis me détache en lui faisait relever la tête pour venir l’embrasser chaudement.

C’était ce que tu voulais, l’entendre et la sentir jouir, ressentir les pulsions de son vagin contre ton membre toujours en elle. Il ne fallut pas plus de quelques secondes pour que Lys réponde à ton souhait en te donnant exactement ce que tu désirais. Tu souris en l’entendant jouir et, une fois que son corps se mit en mode reprise de contrôle, tu laissas ta main quitter son entre-jambe pour qu’elle vienne à nouveau épouse la hanche de la brunette. Tu demeuras un moment dans cette position, appréciant les caresses de Lys dans ton dos et sur tes épaules, jusqu’à ce qu’elle se détache juste assez pour que vos visages se retrouvent en face-à-face, et qu’elle vienne t’embrasser. Tu la pressas un peu plus contre toi en échangeant ce baiser avec elle. « J’n’en aurai jamais assez de toi. » Déclaras-tu avec un sourire, ton regard brillant plongé dans le sien. Tu te voyais peut-être terminer tes jours avec un homme plus qu’une femme, mais avec Lys c’était différent. T’aurais pu rester avec elle, dans cette relation si simple, pour toujours. Mais tu savais fort bien que l’un ou l’autre risquait un jour de tourner la page sur votre histoire et cette idée-là était actuellement trop triste pour que tu t’y attardes. « Il faudrait pas que je tarde, moi … J’ai dis à Bessie et Juliette que je rentrerais dîner avec elles. » Avouas-tu en voyant l’heure sur ton téléphone posé sur la table basse.

Je quittai ses lèvres pour retrouver son regard tendre et enveloppant. Jackson avoua tout haut ce que mes pensées étaient en train de formuler tout bas. Je souris, caressant son visage de mon pouce, son sourcil, le haut de sa pommette. J’aimais le grain de sa peau, ses iris bruns qui savaient me garder dans une bulle de douceur rien qu’en se posant sur moi. Je hochai la tête et déposai un dernier baiser contre sa bouche.
— Moi non plus, confessai-je.
Il le savait, je n’avais pas besoin de le lui dire évidemment, mais Jackson faisait partie des piliers de ma vie. Il était de ceux sans lesquels je ne m’imaginais pas vivre. Son entrée récente dans ma vie n’y changeait rien. J’éprouvais une immense gratitude d’avoir pu vivre ce jour, deux ans plus tôt, presque trois, où ma route avait croisé la sienne totalement par hasard, en Europe. J’étais si loin de chez moi alors, et j’avais trouvé en Jackson un refuge, un sentiment d’être à la maison. C’était ça Jackson pour moi. Un cocon. Une chrysalide de velours dans laquelle je me lovai avec volupté. Quand il annonça qu’il devait partir, je fis mine de faire la moue.
— Et moi qui avais prévu de nous faire réchauffer une pizza…
Je partis d’un petite rire franc, embrassant sa joue puis le libérai en fin de compte. Le laissant se rhabiller tandis que je partais, de mon côté, à la recherche de mes vêtements.

rp fini