i'll rock you till the daylight comes (juliann)

Tu ne parviens pas à cacher ton étonnement quand Nevaeh t’explique que sa surprise pour ton anniversaire est déjà toute prête, dans sa tête. « Ah bon ? » Demandes-tu sans cacher cette curiosité qui t’habite à présent. La jeune femme doit le remarquer puisqu’elle accepte de te donner un indice afin de patienter jusque-là. Six mois, ça fait long. Tu ris en voyant qu’elle met du suspens et davantage encore quand elle te dévoile sa surprise. Tu aurais dû savoir qu’elle ne te dirait rien de plus. Qui plus est, il faut sûrement qu’elle y réfléchisse et elle a encore le temps. Mais dans tous les cas, tu espères que c’est quelque chose que vous pourrez réellement concrétiser puisque ça voudrait dire que d’ici six mois, vous serez toujours en contact. Pour ce qui est du fond de cette relation, vous verrez bien, tu préfères laisser les choses se faire et le temps en décider. « Un chou ? Bon c’est toujours mieux que Monica dans Friends quand elle se met une dinde sur la tête. » Cet épisode est épique et tu as dû le voir une dizaine de fois mais tu ne sais pas si c’est également le cas de Nevaeh ou non. Si pas, il faudra que tu remédies à ça et que vous regardiez les dix saisons de Friends ensemble. « Mais j’suis curieux, pourquoi un chou ? » Ajoutes-tu en riant. C’est bon de rire et d’être dans la découverte. C’est vraiment ce dont tu avais besoin après cette rupture difficile avec Alejandro. Avec Nevaeh tout semble plus simple et léger même si dans le fond, il y a quand même une histoire compliquée qui se cache derrière : Pippa. Mais pour l’instant, vous vous laissez porter par ce rendez-vous sans penser aux conséquences et à l’après. « Ouuuh le cap des trente ans arrive ! » La taquines-tu en apprenant qu’elle fêtera ses trente ans cette année, début décembre. Plus précisément le 2, comme toi à quelques mois d’intervalles. Au moins, pour retenir cette date tu n’auras pas besoin d’utiliser un pense-bête. Tu ne sais pas vraiment comment l’Australienne aborde ce nouveau cap dans son âge mais de ton côté, c’est quelque chose que tu as plutôt bien vécu. Sans doute parce que tu l’as fêté avec Tahlia comme la plupart de tes anniversaires et que vous avez passé ce cap ensemble. Bref, après avoir quittés vos trottinettes, tu suis Nevaeh dans un café que tu ne connaissais pas et que tu découvres même après tant d’années à vivre à Bowen. C’est ce qui rend ce rendez-vous encore plus unique et magique, d’ailleurs. Une fois installé à une table, une tasse entre les mains, tu commences à la peindre en noir, par endroits, pour créer un genre d’ardoise. En fait, c’est carrément de la peinture prévue pour cela alors tu pourras utiliser une craie et y écrire de nouveaux mots à chaque fois. Tu trouves le concept plutôt sympa mais pour ce qui est du rendu, il faudra voir à la fin de ce que ça donne. Attrapant la couleur blanche, tu souris en entendant Nevaeh te questionner sur tes préférences. C’est sans doute un peu difficile à comprendre pour quelqu’un qui n’est attiré que par un genre de personnes mais de ton côté, tu n’as pas envie de devoir faire un choix. Tu te plais aussi bien avec un homme qu’avec une femme et tu te sens chanceux, quelque part, d’avoir deux fois plus de folie et de diversité dans ta vie. Même si tu as déjà été victime de moqueries, d’insultes, vis-à-vis de ton attirance pour les hommes, tu l’as toujours plutôt bien vécu car ta famille a toujours été très ouverte à ce sujet. Enfin, surtout ta mère. Par contre, la journaliste, elle, n’a jamais ressenti la moindre attirance pour une femme. De son côté, elle te fait comprendre qu’elle préfère des hommes dans ton genre et c’en est assez pour réveiller le désir que tu ressens entre tes jambes. Délaissant totalement ton pinceau et ta tasse, tu viens planter tes yeux dans ceux de la brune et vous échangez un regard électrisant qui en dit long sur ce que vous ressentez. « Je vais faire ça… » Murmures-tu en approchant dangereusement ton visage du sien, laissant quelques centimètres à peine vous séparer. Puis, incapable de te contrôler davantage, tu viens embrasser Nevaeh avec douceur et fougue à la fois. Avec douceur parce que tu as envie que ce premier baiser soit unique et qu’elle s’en souvienne. Et avec fougue parce que tu ne contrôles que difficilement le désir que tu éprouves pour elle.

Se projeter six mois plus tard, c'était beau. C'était bien la première fois depuis sa rupture avec Felix qu'elle se le permettait. C'était aussi fou, fou de croire que cette rencontre subite lui donnait envie de croire que six mois plus tard Juliann ferait encore part entière de la vie de la brune. Mais elle avait envie d'y croire parce qu'elle se sentait bien à ses côtés, au risque de se blesser au passage, au risque de le perdre. Elle préférait vivre ces quelques moments d'idylle, peu importe leur durée, que de ne jamais savoir ce que l'avoir dans sa vie lui ferait ressentir et ce même si leur relation ne dépassait pas le stade du flirt. C'était un risque à tenter pour continuer de sourire comme elle le faisait quand il la regardait, quand il entrait dans ses blagues et qu'il ripostait à son tour et qu'il la faisait rire encore plus fort. « Une dinde sur la tête, hein ? », demanda-t-elle en riant à nouveau. « Alors comme ça t'es un fan de friends ? » Nevaeh lui souriait, surprise, agréablement surprise, qu'il cite une de ses séries fétiches. « Tu sais que je regarde l'entièreté des saisons une fois par année, chaque an ? » Et elle le faisait au moment le plus cliché de la série, celui le plus évoqué par les créateurs de friends, le jour de Thanksgiving en s'imaginant manger de la purée de pommes de terre avec assez de grumeaux, à la Monia Geller. Juliann lui demanda ensuite pourquoi elle évoquait un chou. Nevaeh sourit, charmeuse. « Parce que ton cadeau... Ce sera moi.. », lâcha-t-elle, le sourire toujours aussi charmeur, mais les joues rouges alors qu'elle lui avouait qu'elle s'offrirait à lui, tout simplement. Peut-être même dans le plus simple des habits, s'il voulait d'elle de cette façon. Ça, seul le temps ne leur dira. En attendant, ils étaient dans les confidences, le pompier qui se montrait curieux à son tour quant à son anniversaire. Nevaeh lui avoua que cette année, elle aurait trente ans. Tentes années de vie. « Trente ans, quarante ans », dit-elle en haussant les épaules avant de rire. « Tu sais, au fond, c'est un jour comme les autres. » C'était ce qu'elle tentait de se convaincre. Elle avait toujours accordé une importance à ce jour, c'était bien la seule journée qui lui était destinée, où l'attention lui était portée, mais Felix avait tout dérobé en la trahissant ce jour-là. Après ces discussions légères, les deux amants interdits s'étaient installés à leur table du café, tasses en main, peinture prête, confrontation palpable venant du défi que la brune leur avait lancé, avant qu'elle se mette à le questionner comme on le faisait lors de premiers rendez-vous. Elle le questionna d'abord sur ses préférences sexuelles, question qui lui brûlait les lèvres. Elle était intriguée, elle n'avait jamais fréquenté un homme qui était autant attiré par les femmes que par les hommes. Et, secrètement, elle se disait comment ça pourrait être marrant de regarder des films tous les deux et de fantasmer sur le même héros, avant de succomber l'un à l'autre.  Encore plus si le héros lui ressemblait, elle qui venait de lui confier qu'il était son genre d'homme, lui qu'il confirmait qu'elle lui plaisait également suivi de regards intenses. Sinon..., qu'il avait dit, Nevaeh se mordait la lèvre nerveusement, un sourire aux coins des lèvres. C'était tout son corps qui était en alerte, son bas ventre qui s'emballait, alors que juliann s'avançait lentement vers elle, murmurant des mots qu'elle n'avait même pas enregistrés. C'était son regard qui la déconcentrait. Et ses lèvres qui se posèrent sur celles de la journaliste. Elle perdit le contrôle de sa tasse, son pinceau y avait n'importe quoi, détruisant les petits pois qu'elle y avait dessinés. Mais qu'est-ce qu'elle en avait à faire ? Elle lâcha la tasse, le baiser qui s'intensifiait, répondant par la même intensité que lui, posant ses mains contre les joues de Juliann l'instant que leur baiser ne se termine. Et quand elle se sépara de lui, elle garda ses yeux fermés quelques secondes, avant de souffler. « C'est dangereux, ce que tu fais... », murmura-t-elle. « Tu sais pas l'effet que tu me fais... »

« La question c’est plutôt… existe-t-il vraiment quelqu’un sur cette Terre qui n’est pas fan de Friends ? » Demandes-tu en souriant à ton tour. Friends c’est un classique et tu regardes cette série depuis tellement d’années que tu ne pourrais plus les compter. Alors oui, on peut dire que tu es un fan et le mot est faible. « Alors cette année, attends-moi pour continuer la tradition. » Tu ne peux pas t’empêcher d’imaginer des soirées entières, affalés sur le canapé tous les deux, à réciter des phrases de la série que vous connaissez par cœur. C’est peut-être ridicule et sans doute trop tôt pour penser à tout ça mais Nevaeh provoque des choses que tu ne pensais plus possible chez toi. Depuis Alejandro, tu étais persuadé que tu ne parviendrais plus à t’ouvrir complètement mais la brune te prouve tout le contraire. « Je crois bien que je vais décompter les jours jusqu’à mon anniversaire, maintenant. » Dis-tu à moitié taquin, à moitié sérieux. Le corps complètement nu de Nevaeh se dessine progressivement dans ta tête et c’est divin. Mais tu ne doutes pas une seule seconde que le voir en vrai n’aura rien de comparable. Tout comme pouvoir laisser courir tes doigts le long de sa peau. Cette discussion ne fait que raviver cette flamme qui brûle en toi et ce désir dans le bas de ton ventre. C’est difficile de ne pas céder à la tentation avec une femme comme Nevaeh. Mais tu veux faire les choses correctement et surtout, tu as toujours cette petite voix, dans ta tête, qui te rappelle que ce n’est pas correct vis-à-vis de Pippa. « Je suis bien d’accord, ce n’est qu’un nombre après tout. » Affirmes-tu. C’est un cap à passer mais ce n’est que le début d’une longue vie que tu espères parsemée de bonheur pour Nevaeh comme pour toi. Après avoir commencé à peindre vos tasses respectives, vous vous laissez aller à quelques confessions qui ne cessent de vous rapprocher autant mentalement que physiquement parlant. Tu sens une certaine connexion avec l’Australienne que tu n’expliques pas tant votre relation est récente. Mais elle est bien là. Tout comme ce désir qui grandit quand les yeux de la brune plongent dans les tiens. Après quelques secondes, tu cèdes à la tentation et goûtes enfin à ses lèvres pulpeuses et incroyablement douces. Tu fais durer votre baiser jusqu’à ce que vos souffles soient courts et saccadés avant de te détacher des lèvres de Nevaeh à contre cœur. « Si, je le sais… parce que tu me fais le même effet. » Murmures-tu à ton tour avant de venir blottir ta main contre sa joue, ton pouce caressant doucement sa peau. « J’vais avoir beaucoup de mal à me concentrer à nouveau sur ma tasse à présent. Et surtout, à me retenir de ne pas t’embrasser encore et encore… » Et au moment où tu termines cette phrase, ton regard se dirige mécaniquement vers les lèvres de l’Australienne que ton esprit désire autant que ton corps.

« Alors, friends, pour moi c'est sacré hein ! Il faut que tu sois vachement spécial pour avoir une place dans mon rituel », gloussa la brune avant d'ajouter : « T'es chanceux que je t'aime bien, alors ! » Plus ils apprenaient à se découvrir l'un l'autre, plus Nevaeh était agréablement surprise. Et plus il était facile de se projeter, effectivement, six mois dans l'avenir ou de s'imaginer pouvoir tenter de bâtir quelque chose avec Juliann. Du moins, si elle ne pensait pas au nuage Pippa qui brouillait toutes les possibilités que cette histoire mène quelque part. Nevaeh, elle n'avait pas de bol quand il était question des hommes. Elle les choisissait mal, elle se faisait faire du mal, à croire qu'elle était la fautive a force de revivre les mêmes modèles sans cesse. Juliann, certes, elle ne le connaissait pas beaucoup, pas de cette façon, mais il ne semblait pas être l'un des garçons capable de lui faire du mal, il ne lui donnait pas cette impression. Mais, évidement, l'homme parfait ne pouvait pas être sien. Il fallait qu'elle soit attiré, inévitablement, par l'ex de sa meilleure amie histoire de poursuivre sa malchance relationnelle. Ça ne l'empêcha tout de même pas de faire des avances au brun, supposant qu'elle s'offrirait à lui, si tel était son désir. Elle cachait mal à son regard qu'elle, pour sa part, elle envisageait ce genre de rapprochement. Et pas que parce qu'il était beau, mais parce que Juliann avait su la toucher d'une façon dont les mots manquaient pour justifier. Ça ne s'expliquait pas, ça se ressentait, ça lui faisait des chatouillements dans le ventre et lui donnait le tournis, encore plus quand il s'approchait d'elle, encore plus quand il souriait. Et quand il mentionna vouloir faire le décompte jusqu'à son anniversaire, un velours de posa sur le coeur de Nevaeh. Et s'il ressentait la même chose qu'elle ? Elle lui accorda un clin d'œil avant de poursuivre leur route vers le café où ils avaient pour mission de remporter le défi que la journaliste leur avait lancé : celui qui faisait la plus belle tasse. C'était bien partit pour la brune qui s'était appliqué sur sa réalisation, la langue sortie en guise de conséquence à sa concentration. Seulement, elle s'était vite laissé déconcentrer par leurs questions qui divergèrent sur leur attraction mutuelle finalement adressée à haute voix et leur baisser qui lui fit faire complètement n'importe quoi sur sa pièce de céramique. Et qu'est-ce que ça pouvait lui être égal, au fond, parce que la douceur des lèvres de Juliann et le feu qu'il créait dans tout son corps, eux, étaient bien plus intéressants que le résultat final de sa peinture. C'était comme un électrochoc dans tout son corps, elle ressentait presque encore l'électricité statique de leur baiser sur ses lèvres quand ils virent à se séparer, Nevaeh confiant la dangerosité de leurs actions et les effets qu'il avait sur elle. Juliann assurait le savoir, disait ressentir les mêmes, mais Nevaeh en doutait. Ce qu'elle ressentait, c'était fort au point de tirer juliann avec elle jusqu'aux toilettes pour poursuivre leurs baisers, alors qu'elle n'était pas ce genre de filles. Ça lui poussait à avoir des fantasmes éveillés sur bien plus qu'un simple baiser électrisant. C'était peut-être un peu le goût de l'interdit, mais aussi certainement l'effet de leur attraction réelle. Il caressait son visage avec délicatesse, Nevaeh, elle, lui souriait. « Ne résistes pas », souffla-y-elle au moment où leurs lèvres se retrouvèrent à nouveau pour se sceller dans un nouveau baiser enflammé qui créait de nouveaux remous dans le ventre de la brune. Contre ses lèvres, elle murmura : « Tu me donnes des envies, Juliann... Et ça ne me ressemble pas du tout.. » elle désigna sa tasse complètement gâchée par l'intensité de leur baiser, des coulisses de peinture partout sur la céramique. « Ma tasse en est la preuve vivante », gloussa-y-elle en adressant celle du pompier. « Je crois que la faveur te revient, mon cher. T'as une idée de ce que tu veux me demander ? », demanda Nevaeh en approchant à nouveau son visage de celui de Juliann, tentant de sonder son regard.

Un sourire se dessine sur tes lèvres en entendant les paroles de Nevaeh, tu es bien conscient que Friends c'est sacré et ce n'est pas la seule chose pour laquelle tu es totalement lucide. « Oui, je sais que j'ai beaucoup de chance. » Dis-tu sincèrement, avouant à demi-mot que tu es chanceux qu'une femme comme elle s'intéresse à toi. L'Australienne n'est pas le genre de femmes à côté de qui on peut passer sans la regarder. Elle attire le regard et pas seulement par son physique mais également par ce qu'elle transmet rien qu'avec les yeux. A chaque fois que ton regard se perd dans le sien, tu te sens un peu plus vivant. C'est quelque chose qui est difficile à expliquer mais c'est bien réel. Tout comme cette envie irrépressible de l'embrasser, de goûter à ses lèvres et à la douceur de sa peau. Même si vous savez tous les deux que vis-à-vis de Pippa ce n'est pas sain ni correct d'agir de la sorte, c'est plus fort que vous. Vous ne parvenez pas à contenir cette attirance, cette alchimie. Elle est bien trop forte pour que vous la réprimiez alors vous finissez par céder. Tu ne peux pas dire qui a craqué le premier tant vous aviez envie, tous les deux, de vous embrasser. Maintenant que les lèvres de Nevaeh sont blotties contre les tiennes, tu comptes bien en profiter un maximum. Surtout que tu ne sais pas si vous aurez l'occasion de remettre ça car un jour ou l'autre, cette "trahison" envers Pippa finira bien par vous revenir en plein visage. Comme un boomerang. Ne résiste pas. Pour l'heure en tout cas, tu n'as aucune envie de résister. Alors tu te laisses aller une seconde fois contre les lèvres de l'Australienne, l'embrassant avec un peu plus de fougue, un peu plus d'envie, encore, que la première fois. « J'pourrais faire ça pendant des heures. » Murmures-tu quand vos lèvres se séparent. « Ah bon, quel genre d'envies ? » Demandes-tu innocemment même si tu vois très bien où la brune désire en venir. Toi aussi tu as des tas d'images qui te viennent en tête et toutes inclues Nevaeh complètement nue. Tu ris en regardant la tasse de la jeune femme, un peu gâchée par les coups de peinture aléatoires. Au moins, tu as eu la bonne idée de déposer ta tasse et ton pinceau avant de l'embrasser. Sinon, tu es à peu près certain que celle-ci ressemblerait beaucoup à celle de Nevaeh. « Oui. Tu me fais confiance ? » Demandes-tu en tendant la main à la brune. Et une fois que tu as eu son approbation, vous emportez vos tasses après un passage rapide en caisse et sortez du petit café-céramique de Bowen. De là, vous vous arrêtez dans une petite boulangerie où tu achètes quelques douceurs pendant que Nevaeh patiente à l'extérieur. Puis, tu l'emmènes en haut d'une colline pour grignoter ces petites pâtisseries achetées quelques minutes plus tôt. « C'était ça ma faveur, passer quelques minutes de plus à tes côtés. » Dis-tu en t'installant sur l'herbe aux côtés de la brune.

Fin du sujet