(+18) cause it's you and me and all of the people with nothing to do, nothing to lose (charliam)

Fallait s'y attendre, il est blessé. Liam ne veut pas le montrer, lui et sa fierté mal placée! Haut et fort, j'estime qu'il n'a pas le droit de me reprocher de fréquenter un autre homme. Surtout pas après avoir appris de la pire façon qu'il soit qu'il allait se marier. Le bon timing, le destin, le hasard, ou que sais-je, a mis Woody sur mon chemin. D'ailleurs Woody et moi étions d'accord pour dire que nous sommes de vrais experts pour gâcher nos relations et c'est pourquoi nous n'avions pas établit quelque chose de sérieux dès le départ. L'attirance était là, le feeling aussi, mais j'avais l'impression d'être la seule à jouer le jeu de séduction. Il est si différent de Liam, qui lui, est plus démonstratif, plus fougueux et doux à la fois, plus impulsif, plus passionel. Mais la différence, et elle est de taille, est que je l'aime lui. Je me sens soudainement la plus chanceuse des femmes parce qu'il m'a dit ces trois petits mots. Je t'aime. Il me l'a dit, à moi. À moi, Charlie! Mon cœur lance des feux d'artifice, par peur ou par joie. Une chaleur agréable m'enveloppe, puis s'évanouit.

Il prétend vouloir partir. Pourtant, entouré de ses bras, il est figé. Prisonnière de son regard magnétique, ses yeux d'un incroyable bleu auraient dû m'alerter. Il m'embrasse avec sa douceur habituelle et d'un coup incontrôlable, comme il sait si bien le faire, il me plaque contre le mur. C'est une des choses que j'aime le plus en lui, en nous. Ce feu brûlant de désir, qui peut se déclencher à la moindre étincelle. Mon excitation est perceptible car je halète, pousse un juron d'étonnement quand Liam détache ses lèvres des miennes. Je ne prends pas le temps de réfléchir davantage et m'abandonne, moi aussi, à sa bouche, étouffée de gémissements saccadés. Dans une ultime prière, je l'implore de rester. Il sourit, je comprends aussitôt qu'il va me faire monter au septième ciel. Avec des gestes précipités il me mordille, m'embrasse et moi je fond tel un glacier au soleil. Ses grandes mains qui me tiennent fermement les hanches puis les fesses me soulèvent jusqu'à la chambre. D'un coup de pied, il ferme la porte. Oh bordel c'est tellement excitant. Il est à moitié nu et je ne résiste pas à toucher ses épaules puis son torse. Hou là! Qu'est-ce qu'il est musclé. Le contact de sa peau m'a tellement manqué, ses lèvres, ses mains, tout. Cet homme me rendra folle. À mon tour je déboutonne mon chemisier mais me ravise très vite pour finalement l'arracher, faisant tomber quelques boutons sur le sol. À présent j'ai la poitrine nue. Le regard flamboyant, je passe ma main sous son pantalon survêt. Est-ce que tu as toujours envie de moi?

Non, il ne lui reproche pas de fréquenter un homme. La fidélité, ce n'était pas son genre. Et s'il ne l'était pas envers Charlie, il ne pouvait pas lui exiger de l'être à son tour. Ce qui le blessait, c'était de réaliser qu'un autre pouvait l'avoir et pas lui. Qu'elle lui échappait. Qu'elle était prête à renoncer à lui parce qu'un autre l'attirait. Seulement, Charlie, c'était la seule pour qui il avait avoué ses réels sentiments. Il le lui avait dit. Un je t'aime caché, suivi d'un plus affirmé. Il l'aimait. Il l'aimait comme il pouvait. Ce n'était sans doute pas comme elle le voulait, mais c'était ce qu'il pouvait lui offrir. Et il le lui livrait avec toute sa vulnérabilité. Il l'aimait. Et il fallait qu'il se résigne à la quitter. Parce qu'elle, elle n'était pas prête à accepter son genre d'amour. Et dans la vie, Liam, il avait appris au travers de toutes ces filles qui s'étaient données pour mission de le changer, qu'on ne pouvait forcer personne à adhérer à sa vision. Et si personne ne pouvait le forcer à être un amoureux traditionnel, elle aussi on ne pouvait lui forcer la main. Malheureusement pour lui.

Seulement, alors qu'il énonçait se retirer, ses jambes ne bougeaient pas. Incapable, il restait là, dans les bras de Charlie. Et osa même l'embrasser. Osa même lui torturer le cou, osa même la soulever du sol pour la guider vers sa chambre, là où toute la subjectivité prenait son sens. La porte se refermait derrière eux par un coup de pied automatique de l'homme et bien rapidement il se retrouva torse nu, offrant son corps à la pâtissière, un sourire narquois aux lèvres. Elle l'imitait, retirant son chemiser. Lorsque la brune tira sur ce dernier et en fit sauter quelques boutons, Liam étouffa un rire de sa voix rauque. « Pressée », demandait-il en arquant un sourcil avant de fondre sur elle pour embrasser sa poitrine désormais nue. Il faisait courir sur les montages de ses seins sa langue, caressant du bout de ses papilles toutes ses terminaisons nerveuses, terminant par ses mamelons dont il raffolait. « Ça m'excite quand tu ne portes pas de soutif », soufflait-il alors que sa langue continuait sa course. Entre deux baisers, il leva un regard sur elle, juste parce qu'elle posait une question rhétorique dont tout le monde connaissait la réponse. Amusé, il arqua un sourcil. « Tu ne le sens pas? » La main de Charlie s'était glissée dans le pantalon de sport de l'homme, là où son érection bien voyante se reposait. « Tu veux l'entendre? », demandait-il à nouveau. Il ferma les yeux, se concentrant sur les caresses de la brune alors qu'il la surplombait toujours, les jambes de chaque côté du corps de son amante. Doucement, il se redressa pour faire glisser son pantalon gris contre ses cuisses et libérer sa verge que Charlie pouvait maintenant prendre plus aisément entre ses mains. « Ouais, comme ça », se plaignait-il de plaisir alors qu'elle reprenait ses caresses. Yeux toujours fermés, Liam entrouvrait la bouche, gémissant de plaisir alors qu'elle le touchait avec sensualité.

Pourquoi faut-il que ça se passe toujours comme ça avec lui? Pour la même raison que je n'arrive pas à me détacher de lui. Notre pulsion me fait oublier qu'il n'y a même pas deux minutes, on se disputait. Immobile dans ses bras, je suis emportée par son baiser de plus en plus ardent. Le rythme de mon cœur danse, saute, me laissant déboussolée / essoufflée pendant un très court instant. Je ne réfléchis pas et répond en lui arrachant un nouveau baiser qui pousse Liam à me soulever du sol. Nous débarquons dans la hâte à ma chambre, où il prend soin de fermer la porte. Je m'empresse aussitôt de déboutonner mon chemisier mais prise par un geste brutal, des boutons s'éclatent sur le parquet. Il en rit, et ce doux son qui m'a tant manqué, me fait glousser moi aussi. Je redeviens très vite grave quand il enfouit son visage sur ma poitrine, nue, faisant des prouesses extraordinaires avec sa langues. Un gémissement m'empêche de répondre et je n'y parviens que lorsqu'il se redresse. Je savais que ça te plairait dis-je, les joues qui se colorent d'un léger rose. Mon regard dévie sur son corps et je sens mon cœur battre encore plus fort. Debout, devant moi, je caresse son entrejambe. Droit, dur, je ne peux qu'être rassurée qu'il a envie de moi. Un sourire amusé se dessine sur mon visage à sa remarque. Bien sûr qu'il a envie de moi et oh bordel que c'est bon de se sentir désirée. Il est tellement beau et le parfum de sa peau m'avait manqué : je continue de plus belle. Plus sûre de moi, je l'entraine sur le lit et grimpe entre ses jambes. Je le déshabille et mes mains parcourent ses jambes. Doucement, je me penche et lui murmure à son oreille. Oui je veux t'entendre. Avec une lenteur infinie, je dépose plusieurs baisers sur son épaule, son torse, ses abdos, puis en dessous de son nombril. Sans le quitter des yeux, je l'entoure de mes lèvres et suce timidement, jouant avec ma langue avec délicatesse. Je feins un râle de plaisir, car son plaisir est le mien. J'enfonce ma bouche, me retire, tournoie ma langue et répète mes mouvements comme une danse.

Évidemment que ça lui plaisait. Et Liam le montrait à Charlie des baisers qu'il assainissait sur sa poitrine désormais nue, offerte à lui. Elle pointait vers le ciel, ses mamelons se dressaient sous sa langue agile alors que la respiration de l'homme se faisait plus forte, plus audible, plus saccadée. Il avait envie d'elle. Et son érection dans son pantalon commençait à être trop étroite, témoignant de cette envie pressante. Envie que la belle partageait elle aussi, l'empressement et la poigne qu'elle avait sur sa virilité en témoignaient l'urgence alors que Liam laissait descendre un peu le vêtement qui nuisait aux mouvements de la pâtissière. Pantalon à demi baissé, il se redressait pour laisser à la brune une vue contre-plongée sur son corps nu qu'elle maitrisait comme si elle était la seule à le posséder. Et rapidement, elle le fit pivoter, le forçant à s'allonger sur son lit. Elle vint surplomber Liam, sourire coquin aux lèvres qui lui donnait cet air sauvage, rebelle et terriblement séduisante. « J'aime quand tu prends les devants », décrétait-il, se laissant faire pour une fois alors qu'il avait pourtant toujours été le meneur de leurs relations intimes, du moins celui qui menait le plus.

Sur lui, Charlie s'amusait à faire descendre le reste du vêtement contre les jambes de Liam jusqu'à lui en dépouiller complètement. Seule sa verge bien dressée l'habillait à présent. Verge qui ne resta pas longtemps solitaire alors que la belle brune, après lui avoir demandé de ne pas retenir son plaisir audible, commença un chemin de baiser sur son corps pour terminer entre ses jambes. Les lèvres délicates de la brune venaient entourer le sexe prêt à exploser de Liam dans une douceur infinie. Il ne se rappelait pas qu'elle l'ait déjà embrassé de la sorte, qu'elle ait déjà osé la fellation. Mais cette nouveauté lui procurait bien des agréments. D'ailleurs, il le laissa entendre d'un gémissement de plaisir bien auditif alors que la langue de Charlie se mettait à tournoyer contre sa verge. Doucement, il guidait des mouvements de son bassin entre les lèvres de son amante pour accentuer le plaisir alors que sa respiration se faisait plus sèche. « C'est bon », murmurait-il entre deux lamentations. « Putain, t'es bonne », ajoutait-il, sans être le plus romantique au monde. Ses grandes mains vinrent se poser dans la chevelure de la jeune femme, non pas pour pousser sur sa tête vulgairement, mais bien pour la caresser, lui faire comprendre qu'il appréciait l'effet qu'elle lui faisait. Et l'effet, il était décuplé. Son membre prenait encore plus d'espace dans la bouche de la brune, se gonflait dangereusement. Il le sentait à risque de se déverser à n'importe quel moment. Liam gémissait plus fortement avant de relever le menton de sa douce. « Pas maintenant », lâcha-t-il en sous-entendant sa jouissance qui était au bord de le faire imploser. Dans un geste vif, il retourna la brune de position, son pénis toujours bien droit qui laissait sous-entendre la suite des choses. D'un geste brutal, il tira sur le bas de la jeune femme, la dépouillant de ses vêtements, sa culotte humide de plaisir y compris. Avec un sourire séducteur aux lèvres, il fit la même descente qu'elle sur son corps, embrassant son ventre, sous son nombril et juste au-dessus de son intimité, la regardant à son tour dans les yeux jusqu'à venir embrasser ses lèvres intimes. Rapidement, il y inséra sa langue, venant chatouiller son clitoris, souhaitant l'entendre geindre de satisfaction.

Ses yeux de plus belles nuances de bleu, font bondir mon cœur. J'aime son sourire si désarmant. J'aime ses gestes brusques et la douceur de ses baisers sur ma poitrine qui fait dresser mes tétons. J'aime sentir grandir son érection entre ma main. Liam me désire, mon Liam, qui m'appartiendra pour une dernière fois dans mes draps. Il sait y faire pour me donner de l'assurance, alors je parcours son corps en le parsemant de doux baisers du creu de son épaule à son entrejambe. Je m'arrête, lève les yeux vers lui quand mes lèvres entourent doucement son membre. D'abord timidement, de toute la délicatesse qui soit, je joue avec ma langue. En prenant appui sur ses cuisses, guidée par ses mouvements, je m'enfonce encore plus profondément. Il gémit et cela me procure un sentiment d'excitation et de puissance. Avec mes vas-et-viens, je resserre la bouche avec un râle de plaisir. Puis ma langue lui caresse le bout de son gland en formant des cercles. Il aime ça, il me trouve bonne. Je me délecte de son plaisir en répétant mes mouvements. Il me caresse les cheveux et cela m'encourage à sucer de plus belle. Son érection me remplit, j'ai envie de continuer car c'est si jouissif de l'entendre gémir. Il pourrait venir là, je le sais. Mais avant ce moment fatidique, il relève mon menton. Je m'arrête en clignant des yeux, l'air innocent.

Un air innocent qui se mêle à un sourire coupable. Docile à sa demande, je me redresse, nous échangeons de position et c'est à mon tour d'être déshabillée. Il m'attire près de lui, nue. Je me sens comme une reine quand il est entre mes jambes. Au contact de sa langue, je me tortille sous lui en poussant un gémissement. Il soutient notre regard, c'est encore plus exitant. Qu'il est sexy. Oh oui là. Sa langue et sa bouche font des merveilles et s'enfonce en moi. Une boule de chaleur enveloppe mon bas ventre. Tête renversée, je geins. Il titille mon clitoris, m'explore. Impitoyable, il continue. Comme un glacier au soleil, je fonds. Je brûle de plaisir et c'en est trop pour moi. Sans retenue, je jouis. Peut-être trop fort, car je plaque ma main sur ma bouche. Dans un gémissement et une ultime prière, je l'implore. S'il-te-plait... Je te veux. J'halète. En moi. D'une main tremblante, je cherche un préservatif dans le tiroir de ma table de chevet. Je suis encore essoufflée quand je déchire l'emballage. Laisse-moi faire. À genoux, je me prépare à dérouler le préservatif jusqu'au bout de sa verge.

Son plaisir était aussi excitant que celui qu'elle lui offrait, voire même plus encore. Liam se délectait de goûter à l'intimité de la brune, de la découvrir et de la redécouvrir de sa langue, de ses lèvres, de ses doigts, de sa verge qui grossissait de plus en plus, comme s'il en était réellement possible. Charlie ondulait sous les baisers intimes de l'Espagnol, témoignant de sa satisfaction. Ses couinements, aussi, en étaient responsables. Liam s'en régalait, augmentant la cadence, appuyant là où elle le lui demandait entre ses gémissements, sans lui répondre par sa voix mais dans un contact visuel qui voulait dire qu'elle serait à sa merci toute la nuit. Les soupires de Charlie s'intensifiaient jusqu'à en devenir des cris qui laissaient entendre à leurs voisins quel plaisir elle consommait. Liam n'en avait strictement rien à faire que les voisins les entendent. Et même, il la trouvait excitante à hurler son plaisir. Alors que sa bouche s'afféraire toujours entre les jambes de la brune, il dégageait la sienne de cette main qu'elle y avait posée pour bloquer le son de son plaisir, augmentant les coups de langue jusqu'à sentir les cuisses de son amante se resserrer contre son visage, jusqu'à sentir toute son intimité de contracter et que son érection féminine éclate dans une jouissance audible qui le fit sourire, mais pas autant que la demande qui suivi cet orgasme. « J'veux être en toi », répéta-t-il en léchant les cuisses de Charlie, remontant sur son corps jusqu'à sa poitrine alors qu'elle s'étirait pour attraper un préservatif. Mais alors que Liam allait tendre la main pour s'occuper de l'emballage la belle pâtissière s'y affairait déjà, déchirant ce dernier, prétextant qu'elle souhaitait qu'il la laisser faire. Liam s'offrit à elle, dégainant sa verge bien droite vers la brune, la laissant y insérer la protection de latex et une fois bien mise, il attrapa Charlie par la taille, l'obligeant à se poser sur lui, insérant son membre en elle. Il la tenait fermement, presque comme s'il avait peur de la perdre.

Au bord de l'explosion, sa langue me fait chavirer. C'en est trop pour moi qui l'implore toute entière. Tremblante, je cherche une protection dans le tiroir de la table de chevet. Il veut de moi. Son érection entre mes mains, je me dis bordel il a envie de moi. Liam! Cet homme et son corps sculpté des dieux. Il m'attrape par les hanches et pendant que nous nous lançons un regard intense, il m'enfonce en lui. Je le sens dur, en moi. La sensation est exquise. Intimidée, je finis par fermer les yeux pour laisser le plaisir m'envahir. Je gémis doucement. Complètement hors de contrôle, à sa merci, ma respiration s'accélère. J'entrouve mes lèvres, échappant un râle de plaisir. C'est bon... Mes mains cherchent son torse, l'implorent, l'adorent. J'ondule lentement, encore et encore. Mon corps /mon cœur s'affolent. Je suis de plus en plus haletante par nos mouvements coordonnés, qui font de nous unis. Oui, nous formons plus qu'un et c'est magique car cette fois quelque chose a changé entre nous. L'amour.

L'envie n'avait pas changé depuis le début de leur relation. Ce qui avait changé, c'est qu'à présent il s'autorisait à dire les mots fatidiques. Je t'aime, ça l'effrayait. Et, pourtant, Charlie en demandait toujours plus. C'était difficile pour Liam de se livrer à ce genre d'amour. Il lui semblait donner toujours un peu plus, tenter de la satisfaire, mais ne jamais y arriver. Il n'y arriverait jamais, au fond. Parce que lui donner ce dont elle attendait, c'était de le dénaturer. Charlie, elle était tombée amoureuse de ce Liam désinvolte et libre. En changeant, il ne serait plus lui-même. Et, par expérience, il savait trop bien que c'était voué à l'échec. Ils devaient, tous les deux, apprendre à composer avec l'autre, comme elle était. Et s'ils n'en étaient pas capable, la fin allait devoir malheureusement sonner.

Charlie n'en semblait pas en mesure. C'était donc leur dernière nuit. À regret, oui. Mais Liam ne pouvait aller contre la volonté de la brune. Alors, il lui donnerait tout. Tout ce dont il pouvait. Pour être au moins certain qu'en pensait à lui, même si une parcelle de douleur pouvait se ressentir, les souvenirs soient quand même beaux. Encore plus quand cela concernait leurs ébats.

Il la voulait, en lui. Et c'est ce qu'il lui dit. Sans retenue, sans gêne. Il lui fit part de ce qu'il attendait d'elle. Et elle s'empara d'une protection qu'elle déroula avec agilité contre sa verge érigée pour elle. Sans pouvoir attendre plus longtemps, Liam attira la belle Charlie sur lui, la pénétrant de toutes sa puissance, guidant des coups de reins sauvages. Il grogna de plaisir et ses gémissements se firent plus intenses alors que la brune répondait avec plaisance.

Violemment, mais avec une certaine douceur, Liam se leva, Charlie dans les bras, la retournant dans le lit pour la forcer à s'allonger. Au dessus d'elle, il s'enfonçait plus loin en elle, plus fort, grognant à nouveau de plaisir. « T'es trop bonne », répéta-t-il, excité. « Carajo! », jurait-il dans son jargon. « J'vais jouir », finit-il par l'avertir. « J'peux plus me retenir. » Sa faute, elle l'avait trop stimulé de sa douce bouche et de sa langue qui courrait contre son sexe.

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