#116 Would you lie with me and just forget the world ? + 18 (Carter)

Cet instant était beaucoup trop beau pour s’arrêter. Vous étiez en symbiose, comme s’il n’y avait plus de problèmes et que tout était plus simple. Ta main s’était délicatement posée sur la joue de l’avocate, frémissant au contact de ta peau sur la sienne. Tu ne savais pas ce qu’elle pensait de ce moment, mais tu étais bien et tu espérais qu’elle aussi. Peut-être qu’après avoir parlé de vos déboires amoureux, vous aviez besoin d’oublier dans les bras l’un de l’autre. Après quelques secondes de baisers, vous vous étiez arrêté. Le visage proche l’un de l’autre, tu reprenais ta respiration et tu répondais à ta meilleure amie, légèrement perdu dans tes pensées et surtout dans ton corps. Mais tu n’avais pas envie d’arrêter ce moment, et tu lui faisais comprendre. Apparemment elle non plus. Lorsque tu entendais ces mots, tu souris, soulagé que vous vouliez tous les deux la même chose. Vous ne tardiez pas à reprendre les lèvres l’un de l’autre. Il faisait chaud dans la pièce, la chaleur montait. Le désir aussi. C’était bien la première fois que tu ressentais ça pour Jamie. Et qui aurait pu le croire ? Tu attrapas le bassin de la jeune femme et tu la dirigeais vers toi pour qu’elle s’assoit à califourchon sur toi. Une main dans ses cheveux, une main dans le bas de son dos. Tu te séparais d’elle pour reprendre ton souffle un instant, collant ton front contre le sien et tu la regardais dans les yeux. « J’ai envie de toi » dis-tu dans un souffle avant de reprendre possession des lèvres de la belle avocate. C’était instantané, tu avais sorti ça de nul part. T’avais envie d’elle, vraiment. Jamie était posée sur toi, tu continuais à l’embrasser comme si tu attendais son approbation pour aller plus loin. Tu ne voulais pas faire un geste déplacé si elle n’avait pas les mêmes envies que toi.

C’était si naturel d’être dans les bras de Carter. Il n’y avait jamais eu de séduction entre eux, toujours naturels l’un envers l’autre. Elle ne cachait rien à son meilleur ami, et elle pensait que c’était pareil de son côté. Le cœur de l’avocate battait fort, trop fort. Il embrassait si bien Carter, il y avait cette douceur mêlé à cette envie enivrante. Les mains de la blonde se promenaient sur son visage, caressant sa barbe naissante. Elle découvrait Carter d’une autre façon, mais elle était tellement agréable. Ils s’arrêtaient de temps en temps de s’embrasser, se regardant profondément. Pourtant, très rapidement leur lèvre de scellèrent pour continuer ce baiser langoureux. Il ne voulait pas s’arrêter. Elle non plus. Elle lui souriait avant de toucher une nouvelle fois ces lèvres. L’avocate se laissait entraîner par les mains fortes de l’espion. A califourchon sur le lui, elle intensifiait le baiser. Il pouvait Carter découvrir un peu plus le corps de la blonde. Son corps frissonnait sous mes caresses mais elle ne voulait pas se détacher de lui. Reprenant leur souffle ils détachèrent leur lèvre pour une ultime fois. Front contre front, elle avait dû mal à reprendre sa respiration. Il avait envie d’elle. Ces mots sonnèrent dans l’oreille de Jamie comme une douce mélodie. Tout son corps se tendant d’impatience, d’appréhension et de curiosité. Ne faisaient-ils pas une grosse connerie ? Et s’ils regrettaient ce moment d’égarement, qu’adviendra-t-il de leur amitié ? Ces questions ils auraient dû y penser, mais pour l’instant leur esprit était ailleurs. Elle n’avait pas le temps de répondre l’avocate, Carter avait repris possession de ses lèvres. Il restait timide, attendant le consentement de Jamie. Mais elle envie tout autant envie. Ses mains descendaient le long de son cou suivit par sa bouche qui laissait des traînées humide sur son cou. « J’ai envie de toi aussi Carter. » Disait-elle dans un souffle avant de retirer le tee-shirt de son meilleur ami.

Il n’y avait pas vraiment de description à ce que tu ressentais en ce moment. C’était mélangé à du bonheur, de l’extase, du désir mais aussi de l’incompréhension. Pourquoi vous faisiez ça maintenant ? Est-ce que vous étiez tous les deux si détruit par l’amour que vous aviez décider d’échanger intimement maintenant ? Surement. Mais tu trouvais ça naturel. Comme si ça devait être fait depuis des années et que finalement, ça aurait du arriver plus tôt. Ton corps contre le sien, ta bouche contre la sienne, tu n’étais plus vraiment toi-même à ce moment là. Tu avouas quand même à Jamie que sur l’instant, tu avais énormément envie d’elle. Comme si tu lui demandais son autorisation pour aller plus loin. Alors que tu avais accaparé ses lèvres à nouveau, elle se détachait de toi pour te confirmer qu’elle aussi ressentait la même chose que toi, et elle le faisait comprendre dans ses gestes. D’un coup, l’avocate t’enleva ton t-shirt et tu te laissais faire. De ton côté, tu ne tardais pas à faire la même chose pour que la jeune femme se retrouve en soutient-gorge en face de toi. Tes lèvres se baladaient dans son cou, sur sa poitrine pour lui montrer à quel point tu étais rempli de désir à ce moment là. Et puis, tu ne tardais pas à lui ôter le seul vêtement qui couvrait encore sa poitrine. La couvrant de baiser, tu descendais jusqu’à ses seins pour lui donner un peu de plaisir avec tes lèvres. Tu te perdais sur son corps, en sachant très bien où cette soirée allait vous mener mais sans savoir ce qui découlerait de cette soirée. Seriez-vous toujours amis ? Sur l’instant, tu n’en as rien à faire, tu veux juste faire l’amour avec cette femme que tu trouves magnifique autant physiquement que mentalement. Tu t’empressais de la faire basculer sur le canapé pour qu’elle y soit allongée et que toi tu sois au dessus d’elle, commençant à déboutonner son pantalon alors que tu venais juste de remonter ta bouche pour la plaquer contre la sienne.

Il était si beau, là devant toi, les lèvres rougies par ses baisers. Son pouce caressait la joue de l’anglais pendant qu’ils continuaient à échanger ses baisers. A califourchon sur lui, elle pouvait sentir le désir qu’il ressentait pour elle. Les cheveux blonds de Jamie venaient se perdre sur le visage de l’anglais. Il y avait tant de contre-indication à ce baiser. Il y a quelques minutes, Jamie essayait de réconforter son meilleur ami parce que Tahlia venait de partir. Et quelques jours plus tôt, il avait serré dans ses bras Jamie pour apaiser ses peines à cause d’Owen. Sauf que dans ses bras, elle oubliait tout ce qui s’était passé ces derniers jours. Elle oubliait Owen, elle oubliait Tahlia. Qu’est-ce qu’elle avait envie de lui. Yeux dans les yeux ils pouvaient sentir l’âme de l’autre, ils pouvaient lire le désir de l’autre. Pour confirmer son envie, elle relevait son tee-shirt. Carter elle le connaissait. Ils parlaient, se découvraient un peu chaque jour. Mais ce soir, elle découvrait ce corps et la blonde ne put s’empêcher de toucher ses muscles si bien dessinés. A son tour elle se retrouvait à moitié dévêtue. Sa tête penchait en arrière quand Carter commençait à embrasser la naissance de sa poitrine. Ils étaient pas si pressés, comme si comme d’un commun accord, ils voulaient prendre le temps de se découvrir. Ils voulaient marquer ce jour. Délicatement, il lui enleva son soutien-gorge, et Jamie rougissait. Pudique, l’avocate ne s’était jamais imaginée à moitié nue devant Carter. Elle reprit possession de ses lèvres, plus fougueusement. L’anglais portait Jamie avant de l’allonger sur le canapé. Et pendant qu’il déboutonnait son pantalon tout en l’embrassant, l’avocate rapprochait son bassin de celui de son ami. Les choses s’enchaînaient et quelques minutes plus tard, ils étaient nus l’un en face de l’autre. « Carter, s’il te plaît. » Suppliait-elle. Les jambes de la blonde entourèrent les hanches du blonde, l’invitant à franchir la limite de leur amitié.

Vous étiez là, tous les deux, à vous découvrir intimement. C’était bien la première fois que tu découvrais le corps de la belle blonde de cette façon. Et tu touchais délicatement chaque parties de son corps délicatement, d’une simple caresse. C’était si doux, cette intimité. Il n’y avait pas de bestialité, pas d’envie de passer directement à l’action. Il fallait d’abord apprendre à se connaître de cette façon. Sa poitrine nue devant toi, tu la découvrais avec tes lèvres, déposant chaque baisers délicatement. Mais sans plus attendre, quelques minutes plus tard vous vous retrouviez tous les deux nus. Alors que tu étais sur elle, les caresses s’enchaînaient et les baisers étaient de plus en plus intense. Entre deux baisers, tu l’entendais te supplier. Tu n’attendais que le feu vert pour aller plus loin parce que tu ne voulais pas la brusquer. Alors dès que ses jambes t’entouraient, tu sentais que c’était le moment. La première pénétration était lente, et douce, pour commencer. Tu lâchais un râle de plaisir, de soulagement. Et puis les gestes s’enchainèrent plus vite. Les vas et viens étaient plus rapide, tu voulais prendre du plaisir autant que tu lui en donnais. C’était si bon, tu te sentais si bien. Tu te détachais de ses lèvres, regardant alors ses réactions pour voir si elle prenait autant son pieds que toi. Tu passais une main dans ses cheveux, délicatement. Les yeux fermés, tu profitais encore plus de l’instant présent. « Jamie » dis-tu dans un souffle de plaisir. Tu ne voulais pas que cet instant s’arrête, c’était tellement bien. Le temps avait cessé de s’écouler. C’était juste vous deux, nus, entrain de vous donner du plaisir. Tu avais oublié la raison de ta venue, tu avais oublié qu’elle était elle aussi dans un gros chagrin d’amour. Maintenant, tu n’avais que d’yeux pour l’avocate, et surtout pour le moment que vous étiez entrain d’échanger.

Dénudée devant Carter, elle aurait pu ressentir de la gêne l’avocate. Pourtant elle se sentait si bien dans ses bras, à sa place et elle n’arrivait pas à détacher son regard du sien. Il y avec quelque chose d’intense mais également quelque chose d’interdis. Mais le regard exprimait le fond de leur pensée parce qu’entre les baisers et les caresses, il n’y avait que quelques mots qui sortaient. Au-dessus d’elle, Jamie se laissait dominer par son ami qui la regardait avec tendresse. Ses lèvres s’allièrent une nouvelle fois avec les siennes pendant qu’elle découvrait ce nouveau corps. Elle le savait beau, et elle le savait musclé Carter, mais pas à ce point. Ses mains se baladaient sur ses fesses, descendant dangereusement vers son intimité. Carter lui mordillait et léchait ses seins, ce qui remplissait la blonde de plaisir. Elle n’en pouvait plus. Parfois l’avocate avait besoin de longues caresses pour lui donner envie, mais pas ce soir. Elle l’invitait à entrer en elle, l’entourant de ses jambes. Elle le suppliait de les délivrer de cette tension. Il était trop tard pour faire machine arrière. Lentement et doucement il entrait en elle l’anglais, sous leur râle de plaisir. Puis les choses s’enchainaient et à chaque pénétration, leur amitié se fissurait un peu plus. Mais ils s’en foutaient ce soir. Elle ne le laissait pas faire seul l’effort, elle participait activement à l’échange. Se tordant sous le plaisir, elle guidait la main de Carter vers son intimité. Les éléments étaient alignés pour qu’ils se lâchent totalement. Le rythme s’accélérait et Jamie s’agrippait à la bouche de son ami, elle ne contrôlait pas sa passion sur le coup. « C’est trop bon. » Lâchait-elle, calant ses mains dans le dos de l’anglais.

Avec personne d’autre tu n’imaginerai cette situation. Même si tu n’y avais jamais pensé. Faire l’amour avec Jamie ne t’avait jamais traversé l’esprit. Et pourtant, c’était entrain d’arriver. Alors que tu venais d’entrer en elle, vous lâchiez tous les deux un râle de plaisir. C’était bon, et tu voyais qu’elle appréciait aussi. Il n’y avait plus de retour en arrière. Vous n’étiez plus Carter et Jamie à ce moment là, mais deux personnes qui profite de l’instant présent et qui ont besoin de se faire du bien. Ce n’était pas bestial, ni animal, c’était doux, à votre image Et peut-être à l’image de votre amitié. Les vas-et-viens s’enchaînaient de plus en plus vite, tu sentais les mains de l’avocate dans ton dos, serrer ta peau de temps en temps, preuve qu’elle était bien elle aussi. Vos lèvres collées entre elles, vos langues dansant ensemble, tu étais dans un état second. Mais tu appréciais. Tu ne pensais plus au fait que Tahlia était parti, tu pensais juste à te faire plaisir et surtout à faire plaisir à ta partenaire. Lorsqu’elle t’avoua que ce moment était trop bon, tu te mordais les lèvres, étant dans le même état d’esprit qu’elle. Elle te tenait toujours dans le dos, tu décidais de t’assoir sur le canapé pour qu’elle prenne à son tour les choses en main. La ramenant avec toi, toujours en elle, tu posais une main dans le bas de son dos et une main dans ses cheveux. Une fois que tu étais assis, Jamie à califourchon sur toi, tu passais une main délicate sur ses seins, en titillant son téton délicatement. « Oh my god » lâchas-tu dans un énième râle de plaisir. Ça faisait longtemps que tu n’avais pas fais l’amour comme ça, que tu n’avais pas ressenti autant les choses avec une partenaire. C’était bon, tout simplement.

C’était presque une délivrance quand Carter entrait en elle. Tout semblait naturel et la douceur était au rendez-vous. Ils n’avaient pas changé leur comportement depuis ce baiser. Il restait le doux Carter, celui qui passait son temps à réconforter l’avocate. Elle restait Jamie avec ses sourires et ses petites attentions. Ils restaient les mêmes et Carter faisait attention à toutes les réactions de la blonde. Alors que Jamie voulait un peu plus de réactivité parce qu’est-ce qu’elle voulait de lui ce soir. Elle appréciait pourtant les caresses de l’anglais, se tordant entre ses jambes de plaisir. L’avocate partait à la découverte de son dos, y plantant doucement ses ongles pour s’accrocher à lui. L’air était plus dur à manquer entre l’intensité et leur baiser, mais Jamie ne voulait pas quitter ces lèvres. Elle avait peur qu’en arrêtant ils se rendre compte de leur bêtise et pourtant c’était si bon. Avec facilité, Carter remontait Jamie pour qu’elle puisse s’assoir sur elle. Pendant quelques secondes, ils ne bougeait, Carter en elle, se regardant dans les yeux. Elle jetait sa tête en arrière quand il jouait avec ses tétons et l’avocate ondulait des hanches. Ses deux mains venaient encercler la tête de l’anglais pendant qu’elle montait et descendait sur son intimité. Elle n’arrivait plus à parler mais son souffle chatouillait son oreille droit et sa nuque. Ils arrivaient à la limite, en tout cas Jamie sentait l’orgasme prendre de plus en plus de place. Dans un dernier mouvement, Jamie s’exclamait plus fort avant de laisser son corps tomber sur l’anglais en posant sa tête sur son épaule.

Tu ne voudrai que jamais ça s’arrête, pour ne pas parler de la suite, de ce qui allait couler de votre amitié. C’était délicat quand même. Deux meilleurs amis qui prennent du bon temps ensemble, qu’est-ce qu’il se passe après ? Mais là, tu ne pensais à rien. Juste à elle. Elle qui te donnait autant de plaisir, tellement que tu lâchais des sons de plaisir, que ta respiration était saccadée. Tu étais remonté sur le canapé, tu l’avais aidé à remonter aussi pour qu’elle s’assoit sur toi. Et ça avait repris de plus belle. Les yeux dans les yeux au départ, les baisers avaient repris avec fougue et tu étais parti te loger sur sa poitrine. D’abord une de tes mains, délicatement, avant d’arriver lentement avec tes lèvres, pour lui mordiller le téton. Elle avait basculé sa tête en arrière, fermant les yeux au plaisir que ça lui apportait, tu sentais ses mains agripper ta tête, alors que tu t’adonnais à sa poitrine. Mais tu sentais que la fin arrivait. Alors que tu relevais la tête vers elle, tu posais tes mains sur son bassin pour accélérer les vas-et-viens. Non, tu ne voulais pas que ça finisse mais ton corps te disais que tu arrivais à terme. Alors que les derniers gestes étaient plus bruts et rapides, tu la voyais s’exclamer fortement, montrant que la jeune femme avait enfin atteint l’orgasme. Et tu sentais que ça arrivait pour toi quelques secondes plus tard. La jeune femme se laisser tomber de tout son corps sur toi, toujours en elle. Tu la relevais légèrement pour que vous ne soyez plus dans cette position mais tu la laissait retomber sur toi, assise, la tête sur ton épaule. « Whoa » lâchas-tu en essayant de respirer correctement. Mais ton coeur battait encore à la chamade, et tes poumons avaient du mal à s’acclimater. Nu l’un contre l’autre, tu te sentais bien, tu espérais qu’elle ne regrette pas cet instant si magique que vous aviez vécu ensemble.

Les peines des derniers jours disparaissaient à chaque coup de rein de Carter. Il l’avait elle toute entière pour la soirée. Ils se donnaient tant de plaisir et Jamie ne voulait que ce moment ne s’arrête jamais. Qu’est-ce qu’il se passerait après ? Et si ça cassait la complicité qu’ils avaient ? Souvent on lui demandait à Jamie si elle et Carter était ensemble. Elle se tuait à expliquer qu’il était son ami, qu’elle l’aimait tellement mais il n’était que son ami. Peut-être qu’elle se mentait à elle-même au final. Frémissant autant entre ses jambes il y avait plus que de l’amitié. Quand il la portait pour la poser sur ses jambes, Jamie en profitait pour l’observer encore. Il était tellement beau. Elle l’avait toujours trouvé beau mais cette fois-ci, il n’y avait que le physique. Ce soir-là elle découvrait Carter comme un homme séduisant et sexy et non comme son ami. Après ce nouvel échange de regard, leur lèvres se retrouvèrent pour un balais chaleureux. Elle gémissait alors qu’elle sentait les mains de l’anglais ses sur ses seins, pendant qu’elle modifiait un peu sa position pour accentuer la pénétration. Fermant les yeux la langue de Carter venait titiller le bout de ses seins. Elle se retenait à lui pour ne pas tomber et ils reprient les vas-et-viens. Elle sentait quelques gouttes de transpiration glisser le long de son dos. Ses parois vaginales se contractèrent autour de la virilité du brun et Jamie lassait ressortir l’orgasme par sa voix. Carter la suivait quelques secondes plus tard. Une nouvelle fois il la portait pour changer de position. La poitrine de la blonde montait et descendait rapidement essayant de retrouver son souffle. Elle souriait à son whao. « Je n’aurai pas dit mieux. » Elle le sentait le moment arrivé, ce retour à la réalité. Elle relevait sa tête, plongeait son regard dans celui de Carter. Il faudra parler, mais pas ce soir. Alors elle déposait ses lèvres sur les siennes concluant ce moment d’égarement.

Fin !