Tudo por amor + fedetícia

@Fede Luciano" ♡

Elle aime faire la fête, elle aime danser mais Letícia elle aime par-dessus Fede. Leur histoire s'est vite incroyablement emballée et tant mieux car jamais elle n'a été aussi heureuse. Ils venaient de s'échapper de leur nid d'amour pour boire un verre au bar de la plage. La chaleur était encore présente mais moins étouffante durant la soirée. Elle sirotait sa piña colada, le regardant amoureusement. T'as déjà fait un bain de minuit? lui demanda t-elle sur un ton malicieux. Alors qu'elle envisageait leur folle escapade nocture, une jeune femme passa devant eux et sourit à Fede. Letícia vit rouge et la colère monta en elle en une fraction de seconde. Elle ne lui laissa pas le temps de le saluer. C'est qui, elle? s'exclama Letícia avec mépris. Elle lui lança un regard vénéneux et eut l'envie irrésistible de lui arracher sa tête de poupée.

Vu que Leti ne travaillait plus à la boîte, vous aviez plus de temps pour partagez des moments ensemble. Notamment aller boire des verres ensemble, comme ce soir. Vous aviez décidé d’aller faire un tour sur la plage, au bar qu’il y avait là bas. Tu avais travaillé quelques temps ici, avant de poser tes valises au Hendrix. Tu avais pris un verre de rhum, alors que ta chère et tendre avait opté pour un cocktail. Vous étiez tous les deux sur une table non loin du bar. « Je serai ravi d’en prendre un avec toi » dis-tu en faisant un clin d’oeil à la brésilienne. Avant même que la jeune femme ne rétorque, une fille passait par là et te faisait un sourire. Une connaissance, de lorsque tu travaillais au bar de la plage. Ta petite amie l’avait remarqué, ce petit sourire sur le visage de cette jeune femme. « C’est une fille que j’connaissais quand je bossais là » dis-tu alors que la brune commençait à s’énerver. Tu attrapais sa main immédiatement, posée sur la table. « Oh, oh, oh ! Calmes-toi. C’est personne pour moi, d’accord ? » dis-tu en plongeant ton regard dans le sien, qui était déjà rempli de colère.

Assis à une table près du bar, les amoureux planifiaient un bain de minuit. Comme bien souvent, Letí et Fede étaient dans leur bulle. Une bulle qui éclata à l'approche de cette fille qui adressa un grand sourire à Fede. Ce n'était pas un simple sourire, elle voyait bien qu'il y avait quelque chose de plus. La jalousie légendaire de Letícia se réveilla aussitôt et elle ne tarda pas à lui demandait qui elle était. Une fille qu'il connaissait. Sa réponse était bien trop vague à son goût. Elle s'imaginait au pire. Était-ce une ex? Un plan d'un soir? T'as couché avec elle? lui demanda t-elle sans quitter des yeux la jeune femme. La question était stupide et inutile, néanmoins elle tenait à savoir qui elle avait en face d'elle. La pression ne redescendait pas d'autant plus que la jeune femme la regarda à son tour d'un air méprisant. Si Fede ne lui tiendrait pas la main, elle ne se contiendrait pas pour se lever et aller la voir. Comment elle s'appelle? questionna t-elle, les sourcils froncés. Elle venait de rejoindre une amie et lui chuchota quelque chose à son oreille. Cette dernière regarda Letícia et se mit à glousser. Elles se moquaient clairement d'elle. Il lui fallut un incroyable self-control pour garder son calme. Mais la main de Fede sur la sienne l'avait apaisé.

Cette soirée entre vous commençait très bien. Quelques verres, ta petite amie et le bord de mer, que demandez de plus ? Mais ça n’allait pas si bien continuer. Il y a quelques années, avant de travailler au Hendrix, tu avais bossé dans ce bar sur la plage et forcément, tu avais rencontré des gens. Une jeune femme était passé à côté de vous, et elle t’avait souris. Ô grand malheur ! Leticia te demanda immédiatement qui était cette fille. Elle était jalouse, tu le savais, mais toi aussi tu l’étais. Tu l’avais montré en boîte, en faisant éclater une bagarre parce qu’un mec la regardait mal. « Non, j’ai pas couché avec elle. C’était juste une cliente régulière » dis-tu en essayant de capter le regard de la brésilienne. Elle semblait sur au bord de la crise de nerfs, et tu ne pouvais rien dire là dessus parce que tu étais pareil lorsqu’un mec la regardait mal dans la rue. « Je sais même pas comment elle s’appelle ! J’ai parlé avec elle quelque fois quand je bossais là mais c’était y’a des années, amore. Elle m’a pas marqué » dis-tu alors que ta main se posait sur la sienne, sur la table. La blonde avait rejoint son groupe d’amies et elle regardait ta copine en gloussant. C’était sur que ça n’allait pas lui plaire. « Ne fais pas attention à elle, c’est des pimbêches ça se voit à des kilomètres ! » dis-tu pour la rassurer. Même si tu te demandais bien ce qu’elles ont pu dire sur ta partenaire.

Sans plus attendre, Letícia demanda qui était cette fille qui venait de sourire à Fede. Elle lui posa aussi cette question qui aurait pu paraître déplacée, mais elle brûlait d'envie de savoir si il avair couché avec elle ou non. Soulagée d'apprendre qu'il ne s'agissait "que" d'une cliente régulière, elle ne parut pas plus sereine pour autant. En revanche tu l'as bien marqué, elle. lui fit-elle remarquer, visiblement irritée. Il avait posé sa main sur elle, il essayait de la rassurer, avec ses mots toujours aussi justes et de bon sens. Alors elle s'adoucit et tenta de faire abstraction à la jeune femme qui, elle savait, la regardait. Désolé. Je suis énervée. Néanmoins la pression redescendait peu à peu. C'était incroyable ce pouvoir qu'il avait sur elle. En réalité elle n'avait pas de problème pour avoir confiance en lui, elle avait surtout un problème de confiance en elle-même. À ses yeux, il était parfait son Fede. Elle peinait à croire qu'il veuille toujours d'elle. Son regard s'immobilisa un long instant.

C’était vrai, cette fille tu ne la connaissais pas. Tu avais surement du discuter avec elle à certaines soirées où tu bossais là bas, à ce bar de la plage où vous étiez actuellement. Même si avant Leti tu avais connu plusieurs femmes, tu ne lui mentirais jamais là dessus. Et puis de toute façon, il n’y avait qu’elle dans ton coeur dorénavant, et personne d’autre. « Arrête de la regarder, ça n’en vaut pas la peine » dis-tu toujours en essayant de la rassurer. Mais la brésilienne était beaucoup plus jalouse que tu ne l’étais toi, même si tu avais montré lors d’une soirée récemment de quoi tu étais capable. Elle était énervée, tu le savais, tu le voyais. Tu posais une main sur sa joue avant de poser un baiser sur ses lèvres. « J’ai bien vu que tu étais énervée, amore » commenças-tu par dire en souriant. « Mais moi ce soir, je ne vois que toi. Comme tous les autres jours et tous les autres soirs de ma vie. Tu le sais, non ? » dis-tu avec toujours ce sourire niché sur tes lèvres.

La jalousie de Letícia pouvait très vite s'enflammer. D'autant plus qu'elle pouvait parfois se comporter de manière impulsive. Elle regardait sa rivale d'un air furieux et cette dernière ne se cachait pas de prendre du plaisir à cette situation car elle éclatait de rire avec son amie. Letícia tourna immédiatement la tête quand Fede lui demanda d'arrêter. Elle s'adoucit, lui prêtant son entière attention. Il déposa ses lèvres sur les siennes et elle attrapa son baiser pour lui rendre le sien. Comme chaque fois qu'il prenait le temps de la rassurer, Letícia se sentait aussitôt apaisée. T'es un amour, excuse-moi, je pars au quart de tour pour rien. se désola t-elle en attrapant sa main pour l'attirer contre elle. On va danser? De nouveau, elle semblait s'entourer dans leur bulle. Serré l'un contre l'autre, elle le regardait amoureusement.

La brésilienne s’était enflammée très vite. Mais cette fille qui t’avait fait les yeux doux, tu ne la connaissais pas. Du moins pas personnellement. Certes, tu l’avais déjà rencontré lorsque tu travaillais dans ce bar mais c’est tout. Tu t’approchais de ta petite amie, pour lui faire comprendre qu’elle n’avait rien à craindre. « C’est pas grave. La dernière fois que j’ai été jaloux j’ai commencé une bagarre, alors j’ai rien à dire » dis-tu à la jeune femme avec un léger rire. Tu caressais de ta main sa joue délicatement, te plongeant dans ses yeux avant de l’embrasser une seconde fois. « Mais je sais pas danser, Leti » dis-tu en faisant la moue. T’étais un piètre danseur, un peu dommage pour quelqu’un qui sortait avec une femme qui avait le rythme dans la peau. Mais bon, tu suivais le mouvement et tu allais danser avec ta dulcinée. « Je vais te ridiculiser avec mon déhanché tout pourri là » dis-tu en riant légèrement.

Fede avait le don de la rassurer, tout le temps. Letí s'adoucit, se rappelant que lui aussi avait vrillé la dernière fois en boite de nuit. Mais elle ne voulait pas se souvenir de ce terrible moment où elle eut vraiment peur pour lui. Il aurait pu se faire massacré à deux contre un, juste pour défendre son honneur. Alors elle voulut lui changer les idées et l'entraîna jusqu'à la piste de danse. Il se trouvait piètre danseur mais elle, ne trouvait pas. Au contraire elle aimait ressentir son corps épouser le sien parfaitement au rythme du son. Mais non, amor, t'as qu'à me suivre! Elle recula bougeant ses épaules tout naturellement. Un pas à droite, un pas derrière, devant, à gauche. Letícia avait la danse dans le sang, c'était inné chez elle. Depuis toute petite elle gigotait, sur de la musique sertaneja, en passant à la funk carioca et à la samba. À l'aise avec son corps, elle ondulait ses hanches jusqu'à lui et entoura ses mains autour de son cou. Elle se serra davantage à lui, toujours en balançant son bassin. À la volée elle lui prit ses lèvres et l'embrassa avec chaleur. Tout se passait bien jusqu'a ce qu'ils se fassent bousculer, et elle l'aurait juré, volontairement. La fille en question, la même qui avait fait du gringue à Fede venait de lui renverser un verre sur son décolleté. Tu pouvais pas faire attention? Elle se confondit d'excuses, répétant qu'elle était "vraiment" désolée. Après lui avoir lancé un regard furieux elle embrassa furtivement Fede. J'arrive, j'en ai pour 1 minute. Elle tourna les talons d'un pas précipité et une fois qu'elle fut bien éloignée elle ne put entendre ni voir la jeune femme s'approcher de Fede. Tu danses? proposa t-elle d'une voix mielleuse.

Tu n’avais pas envie de voir ailleurs, ni de la quitter pour quelqu’un d’autre. Vous étiez tous les deux dans votre petite bulle d’amour, et ça ne t’étais jamais vraiment arrivé. Tu étais heureux, et rien ne pouvait te faire changer d’avis. La brésilienne s’était levée, pour que vous alliez danser et tu l’avais suivi en grimaçant parce que tu n’étais pas vraiment le roi de la piste. « Oui, chef » dis-tu en riant légèrement. Tu suivais alors les pas de la jeune femme, tu faisais comme tu pouvais mais ta petite amie avait ça dans le sang. Et ça se voyait. Tout le monde vous regardait sur la piste de danse, pendant que tu essayais de suivre la jeune femme. Jusqu’au moment où la fille qui t’avait regardé intensément plus tôt fasse « accidentellement » tomber son verre sur le décolleté de ta petite amie. « Non mais c’est une blague ? » demandas-tu alors que la jeune femme s’excusait pendant un long moment. Leticia t’embrassait brièvement avant de partir vers les toilettes pour essuyer l’excès d’alcool. Puis, lorsque ta petite amie avait disparu de ton champs de vision, la fameuse jeune femme qui était là précédemment venait vers toi pour te proposer de danser. En la regardant, tu riais aux éclats. « Parce que tu crois que ça va marcher comme ça ? » dis-tu en riant. Tu tournais les talons en allant vers les toilettes avant qu’elle ne te retienne par le bras. « Tu comprends pas quand on te dit non ? » demandas-tu à la jeune femme qui venait de t’alpaguer. C’est alors que Leti revenait des toilettes et là, tu savais que la soirée n’allait pas se terminer comme tu le pensais. « On s’en va » dis-tu à la brésilienne, même si tu savais qu’elle n’allait pas partir aussi vite.

La jalousie de Leticia allait être mise à l’épreuve ce soir, elle qui ne supportait pas voir quiconque tourner autour de Fede. Elle serait restée dans leur petite bulle, entrelacés dans leur danse, infiniment. Ce fut la bousculade d’une jeune femme, la même qui faisait les yeux doux à Fede, qui brisa leur moment d’intimité. Agacée, Leti dût se précipiter vers les toilettes pour nettoyer le verre qu’elle avait renversé « par accident » sur son décolleté. Elle se dépêcha de s’asperger d’eau, n’osant croire au pire. Enervée, elle revint sur ses pas et comprit aux traits de son visage que Fede était clairement en train de remballer la demoiselle. Pourtant, elle était bien là, en train d’insister, s’accrochant à son bras. Fede dût lire la colère dans ses yeux car il lui demanda à partir ensemble. Qu’est-ce que t’as ? C’est qui elle? s’exclama la jeune femme en la toisant du regard. Leti avança d’un pas précipité, gesticulant ses mains d’un air menaçant.  Tu sais ce qu’elle te dit « elle » ? Tu vas recevoir ma main sur ta tête tu vas voir ! T’as cru que j’avais pas vu ton numéro ? Fais pas celle qui n’a pas compris ! Il est pris ! Bouge de là, dégage, ou j’vais… Elle haussait de plus en plus le ton pour couvrir les paroles de la jeune femme. Leti imposait / dominait de sa voix, plus fort. Son interlocutrice ne parvenait pas à avoir le dessus alors elle se défendit par la force, la poussant contre Fede. La brésilienne agit aussitôt, se jetant sur la blonde. Elle tira une poignée de ses cheveux tandis que son amie vint à son secours non pas pour les séparer mais pour attaquer Leti en lui donnant un violent coup sur le visage.

C’est sur que cette soirée n’allait pas se terminer comme tu l’avais pensé. Déjà, la fille qui t’avait matté précédemment avait renverser son verre dans le décolleté de ta petite-amie. Elle s’était alors dirigée vers les toilettes pour essuyer l’alcool qui avait sur son t-shirt et elle t’avait laissé seul sur la piste de danse. C’était clairement le plan de la jeune femme, t’avoir pour elle toute seule mais tu n’étais pas de cet avis. Lorsque Leti revint des toilettes, tu lui demandas de partir d’un ton assez ferme. « Et toi, t’es qui ? » demandas-tu, la fureur dans les yeux. T’aimais pas qu’on se mette entre ta copine et toi alors tu devenais rouge de colère. Cette fois, c’était la brésilienne qui devenait folle de rage. Elle haussait le ton et tu la voyais se jeter sur la fille en face. Alor qu’elle était entrain de lui tirer les cheveux, tu l’attrapais par les hanches pour l’éloigner d’elle. « Mia cara… » dis-tu en soufflant. Elle essayait de se débattre mais tu la tenait fermement. « On s’en va, j’t’ai dis » dis-tu à son oreille, doucement et délicatement. « Elle vaut même pas la peine que tu t’énerves » dis-tu toujours à son oreille. Tu essayais de la rassurer mais surtout tu voulais lui montrer que tu n’en avais rien à faire de cette fille mais que tu n’avais d’yeux que pour elle.

La mèche allumée, Letícia s'embrasait de colère face au comportement de la jeune femme qui avait eut le culot de draguer Fede dès qu'elle avait eut le dos tourné. Alors que le ton montait, les gestes s'en suivirent très vite après. Des bras familiers entourèrent Letícia, elle reconnut alors l'étreinte de Fede qui la contenait physiquement et fermement. La jeune inconnue rit aux éclats, se moquant d'elle. Sua cadela, les filles comme toi on devrait leur couper la langue! T'approche plus de mon mec! lui lança-t-elle d'une voix menaçante, alors qu'en retour elle recevait également des injuresck. Tandis que Fede tentait de la calmer, lui demandant même qu'ils quittent les lieux, elle acquiesça et lui prit la main. Elle en tremblait encore de rage. C'est elle, c'est elle, qui a commencé! T'as vu comment elle te regardait depuis tout à l'heure? dit-elle comme pour se justifier de son comportement. Parce qu'au fond elle savait qu'elle avait agit un peu trop impulsivement.

La tempête Letícia était en marche et il n’y avait pas moyen de l’éteindre. Tu la savais jalouse, bien sûr, mais tu ne t’attendais pas à ce qu’elle se jette sur cette inconnue. Certes, elle n’avait pas à faire ça cette fille, de te draguer devant ta copine, mais de là à commencer une bagarre, tu ne t’y attendais pas. Enfin, t’as rien à dire parce que tu avais fais pire la fois d’avant, en te faisant te casser le nez par un mec qui reluquait ta femme. La brésilienne la calmait alors que tu la tenais par les hanches pour ne pas qu’elle lui saute dessus une seconde fois. « Oui je sais, j’ai vu » soufflas-tu en passant une main dans les cheveux de ta brune. Tu déposais tes lèvres sur les siennes avant de reprendre. « Amore, tu sais très bien que je ne regarde que personne que toi, de toute façon » dis-tu avec un léger sourire en coin. Tu voulais tout faire pour la soulager, tout faire pour qu’elle aille mieux et qu’elle se sente en sécurité avec toi. « Je peux même te prouver à quel point je t’aime si on rentre à la maison » dis-tu à son oreille, une pointe de malice dans la voix et le regard.

La jalousie de Letícia enflamma la brésilienne qui ne retint pas de se jeter sur la jeune femme qui avait osé draguer Fede. Sous les jurons et insultes entre les deux femmes, son petit ami l'a pris à part pour l'isoler et la protéger du pire. La colère se lisait sur son visage, n'arrivant toujours pas à croire que cette femme ait tenté de séduire un homme déjà pris. Pas nimporte quel homme. SON homme. Quelle sale gourdasse! Derrière mon dos en plus! s'exclama t-elle en levant les yeux au ciel alors qu'ils prenaient le chemin de la sortie. Fede prit un temps pour la conforter, posant ses lèvres sur les siennes. Elle sourit presque nerveusement, le regard amoureux dans celui de l'italien. Oui je sais, j'en ai de la chance. assura Letí qui posa ses mains autour de son cou. Il avait un don inexplicable pour la rassurer rapidement. Malgré qu'elle soit si jalouse quand on approchait son bien-aimé, elle avait entièrement confiance en lui et leur relation. Pour Letí, Fede était l'homme de sa vie, c'était tellement évident! Il lui susurra des mots qui sous-entendait une proposition coquine. Elle plongea ses yeux dans les siens et se mordit la lèvre. Ah oui comment ça? Le sourire aux lèvres, elle se blottit encore plus contre lui.