grid locked on the dusty avenues (libre)

Invité

I believe, I believe you could love me
But you're lost on the road to misery

T’avais un essai pour un bar pas trop loin de Bowen. T’avais chanté I know you de Skylar Grey avec toute ton âme devant un piano. Puis, t’avais réalisé que c’était pas forcément ce que tu voulais de quitter Bowen… Donc, t’avais abruptement cessé de chanter en t’excusant maladroitement et en quittant. Tu voyais les appels manqués sur ton téléphone de la part de la compagnie en question que t’avais charmé d’une façon un peu étrange, il fallait croire. T’avais confié Cali à sa baby-sitter et t’étais partie faire ton essai. Il était 18 heures quand ta voiture commençait à faire des bruits que tu ne connaissais que trop bien. Tu soupirais. « C’est pas sérieux. » que tu te dis. Ta voiture s’arrêtait complètement et tu sortais de celle-ci. Tu ouvrais le capot parce que tu savais que tu ne ferais rien à l’intérieur de celui-ci, mais quelque part, t’espérais avoir une illumination divine.

Tu attrapes tes affaires rapido. Tu te mets à avancer avec tes talons hauts, ta robe bleu nuit longue et vaporeuse. La route vers Bowen risque d’être longue. Trop longue. Tu fais du stop parce que t’as pas espoir de t’en sortir. T’as pas beaucoup de chances, mais tu gardes espoir. L’image de ta fille te garde en vie. T’espères tomber sur quelqu’un de bien, à l’âme charitable. Tu trembles malgré toi. Tu te sens frêle contre le vent qui souffle.

Invité

Saphyr sortait tout juste d'un rendez-vous d'affaire, c'est qu'être patronne demandait pas mal d'investissement autant financier que du temps personnel, puis la jeune femme aimait connaître les personnes avec qui elle travaillait. Elle n'allait pas sortir boire un verre ou faire la fête avec ses fournisseurs comme elle pouvait le faire avec ses employés, mais elle voulait en savoir un peu plus et aussi négocier un peu plus les prix en comprenant qu'elle n'avait pas les tarifs les plus intéressant du marché. En jouant là dessus, menaçant de se rendre à la concurrence et en jouant de son décolleté profond, elle avait réussit à bien négocier et obtenir une ristourne qui n'était pas négligeable. Un léger sourire aux lèvres, elle aurait pu en profiter, aller plus loin en faisant une partie de jambes en l'air avec le dit fournisseur, mais elle voulait bien éviter ce genre de relation un peu dangereuse, elle ne ferait que jouer de son charisme et ses atouts sans aller plus loin. Ne pas trop mélanger le boulot et le plaisir.

Reprenant la route, elle était bien contente d'avoir une légère veste, car si le soleil avait bien tapé durant toute la journée, en ce tout début de soirée le vent commençait à souffler un air légèrement froid. Elle croisa un véhicule à l'arrêt, lui faisant froncer les sourcils en ce demandant si la personne n'était pas en panne, mais en regardant en vitesse à l'intérieur, le véhicule ne semblait pas occupé. Puis elle s'arrêta un peu plus loin à côté d'une femme faisant du stop. Elle baissa la vitre de son véhicule côté passager et se pencha légèrement pour voir le visage de la jeune femme et lui offrir un sourire.

« Salut, la voiture un peu plus loin est à vous ? Vous avez appelé une dépanneuse ? »

N'étant pas tellement sûre qu'il s'agisse bien de la personne ayant abandonné sa voiture, elle pourrait aussi très bien la conduire là où elle voulait. Étant une femme elle-même, elle connaissait les danger de faire du stop, seule, surtout que l'endroit semblait être une zone blanche sur les réseaux téléphoniques et ne parlons même pas d'internet.

Invité

Elle était apparue comme un ange. Tu rayonnais lorsque tu voyais son visage, une femme en plus. Dieu avait exaucé tous tes souhaits. Tu clignotes des yeux un petit moment, retenant de te pincer. Tu hoches la tête positivement concernant la première demande. « C’est bien ma voiture. » Une voiture vintage qui ne valait sans doute plus grand-chose vu la fréquence à laquelle elle te lâchait ainsi. Tu t’expliques ensuite concernant la deuxième. « Non, je vais le faire demain. J’aimerais juste me rendre chez moi. » Avoues-tu honteusement. Avec le contrat que tu venais de plaquer, t'étais pas certaine non plus d'en avoir les moyens. T'allais voir ce que tu pouvais faire en temps et en lieu. Tes mains étaient froides, le bout de ton nez aussi. « Ça et puis y’a pas de réseau ici. » que tu dis avec douceur. T’allais pas lui demander de t’accueillir, mais clairement ton regard faisait suffisamment pitié pour qu’on te le propose assez rapidement.

Invité

Si on pouvait la penser sans cœur, en réalité Saphyr n'avait qu'un langage... crue, sans filtre, mais elle n'était pas du genre à passer son chemin en voyant un auto-stoppeur, homme ou femme, encore plus lorsque c'était une femme à dire vrai, car elle avait bien trop entendus d'histoire qui se finissait mal pour elles. Après avoir demandé si c'était bien la propriétaire de la voiture un peu plus loin, elle eut la confirmation que c'était bien elle et ne semblait pas vraiment plus inquiète que ça qu'on lui vole son véhicule.

« Okay ! »

Elle s'occuperait de la dépanneuse demain, voulant rentrer d'abord chez elle, certainement exténuée. Saphyr ouvrit la portière, en effet après avoir vérifier sur son téléphone il n'y avait aucun réseau. Elle tapota la place à côté d'elle.

« Vient poser tes fesses ici avant de te transformer en reine des neiges, même si on est pas encore en hiver. Je m'appelle Saphyr et promis je suis pas glauque même si je parle un peu trop franchement par moment. T'habite où ? Que je t’amène à bon port ! »

Elle attendit patiemment que la jeune femme entre et lui donne la direction à prendre après avoir bouclé sa ceinture. Heureusement qu'elle avait le chauffage dans son véhicule !

Invité

Si on te volait ton véhicule, Kara, ce serait presque une délivrance. Ouais, une délivrance pour toi parce qu’avec l’argent des assurances, tu pourrais acheter une nouvelle bagnole qui roule plus souvent qu’elle ne tombe en panne. Dieu seul sait pourquoi tu continues à t’acharner sur ce tas de ferrailles qui te cause plus de problèmes qu’il n’en résout. Tu voyais la porte s’ouvrir et tu esquissais un petit sourire en la voyant tapoter sur le siège passager. Tu te mets à rire doucement en entendant la comparaison avec la reine des neiges. En effet, il ne te manquait que la tignasse blonde avant d’avoir l’air d’Elsa. Tu hoches la tête, elle s’appelle Saphyr et tu l’écoutes attentivement avant d’entrer. Tu lui lances un paire d’yeux attendris et tellement de reconnaissance à la fois. « Merci tellement. » Que tu commences par lui dire. « J’ai une enfant de deux ans, crois-moi sur parole si je te dis que tu ne parleras jamais trop avec moi. » Peut-être qu’elle s’offusquerait, mais peut-être pas. Tu le sais toi que les enfants ça parle continuellement. Même quand ils sont silencieux, ils parlent quand même dans leur petite tête d’ange, t’en es persuadée. Tu attaches ta ceinture de sécurité et t’es fin prête pour la route qui te sépare de Bowen. « Je suis à Bowen, dans le Southern District. J’ai une petite maison. » Que tu lui dis avec un sourire. « C’est sur ton chemin? » que tu lui demandes, les yeux pleins d’espoir.

Invité

Elle ne se voyait absolument pas l'abandonner ici, passer à côté d'elle alors que peu de voiture passait vu l'heure et si c'était le cas elle pourrait tomber sur une rencontre malheureuse. On peut dire de Saphyr, mais elle aurait eut du mal à se regarder dans une glace si c'était le cas. Elle lui proposa de s'installer avant de finir complètement glacé et de lui indiquer là où elle aimerait se rendre. Puis s'excusa pour son flot de parole... c'est que la métisse n'avait pas spécialement l'habitude de parler autant, surtout en présence d'une inconnue. Un petit sourie en coin qui finit par un léger rire.

« J'crois comprendre l'allusion, ravis que je te saoule moins qu'un enfant ! Perso, j'en ai pas alors j'peux pas trop te dire. »

La comparaison rester un peu de l'abstrait pour elle, même si elle avait bien vu ce que cela pouvait donner à la secte avec les petits. Si au début elle était toutes gentilles avec, ensuite elle se révéla avoir très peu de patience pour eux. Elle ne leur veut aucun mal et ne leur en ferait jamais ! Mais... c'était pas trop son truc les enfants, pas quand elle n'avait pas vraiment le « lien » avec eux. Saphyr lui lança un petit sourire.

« J'habite sur Bowen aussi, donc t'en fait pas, je t'amène à bon port ! Si tu flippes que je suis une détraqué, tu peux toujours me donner un nom de croisement de rue pour que je te dépose ou je peux t'amener direct chez toi. »

Le Southen District n'était pas vraiment sur sa route, mais ça ne la déranger absolument pas de s'y rendre si cela voulait dire pour la jeune femme de rentrer plus rapidement chez elle.

Invité

Saphyr avait été gentille avec toi, de te prendre comme ça. Puis, en même temps, t’étais pas terrifiante comme fille. Elle aurait pu facilement te casser les dents et t’aurais pu rien dire. T’étais quasiment inoffensive. Enfin, pour presque tout, si on s’en prenait à ta progéniture, tu ne répondais plus de toi-même. Ou si on t’offrait du lait sans être pasteurisé… Une femme dans un centre commercial t’avait offert du lait maternel et t’étais profondément toujours sous le choc que quelqu’un te l’ait offert. Mais ça, c’était dans un autre contexte. En attendant, tu pensais à ta pauvre voiture qui trainait sur la route plus loin, tu soupirais. Ça devait être le transitor, transistor ou un truc du genre. Inutile de dire que tu n’étais pas une as de la mécanique.

« Oh mais tu me saoules pas du tout! » Que tu réponds officiellement en rougissant, tu te mettais les pieds dans les plats, Kara. T’aurais dû y mettre un astérisque en expliquant que t’étais malhabile avec les mots parfois. La femme n’avait pas d’enfant et tu ne la connaissais pas assez pour poser la question si elle en voulait maintenant ou un jour. En même temps, tu ne connaissais pas Saphyr, tu ne connaissais en rien son histoire ou son vécu. Tout ce que tu pouvais dire provenait de ton passé à toi : ce n’était pas la même chose quand c’était les tiens. Tout l’amour débordant pour eux, t’émerveiller devant un sourire ou une petite mimique adorable.

Elle te confirmait qu’elle était aussi à Bowen, tu esquissais un sourire et t’étais rassurée. Tu pouffes de rire alors qu’elle se qualifie de détraquée et tu secoues la tête. « Je ne crois pas, tu es déjà suffisamment gentille de m’avoir récupérée sur le bord de la route. » que tu lui dis. Tu voyais énormément de bonté en elle. « C’est vraiment comme tu veux, je ne veux pas te causer d’ennuis, en fait. » Que tu lui dis. Après, tu te demandes si tu débarques chez Asher ou chez toi directement. Tu te mordilles la lèvre, un peu songeuse. T’allais pas faire long feu chez les septuagénaires, si tu continuais à faire de l’angoisse comme ça. « Sinon, tu fais quoi dans la vie? » que tu demandes pour faire la conversation gentiment.

Invité

Kara semblait confiante sur le fait que sa voiture serait encore là le lendemain matin lorsqu'elle appellerait la dépanneuse, Saphyr un peu moins ! Elle serait peut-être désosser ou un truc dans le genre, mais elle semblait habitué aux aléas de son véhicule. Elle la trouvait sympa de la conduire jusque chez elle... il était hors de question qu'elle la laisse sur la bas côté de la route, remonter tout à pied en espérant que quelqu'un ne la prenne en stop ou qu'elle ne retrouve un signal sur son téléphone pour appeler quelqu'un. Elle s'amusa de savoir qu'elle était moins soulante qu'un enfant, la jeune femme insista sur le fait qu'elle ne l'était pas tout court et elle prenait donc le compliment sans broncher.

Voulant savoir la destination, elle rassura la passagère en lui disant qu'elles habitaient la même ville, même si ce n'était pas le même quartier, elle n'aurait pas à faire un très grand détour. Elle fronça un peu les sourcils en entendant qu'elle ne voulait pas lui causer d'ennui, vu l'environnement dans lequel Saphyr avait évolué elle pensa directement à « problème » mais repensa au mot et se dit qu'elle voulait peut-être dire qu'elle ne voulait pas la déranger ?

« None sense, je te dépose devant chez toi, au moins je suis sûre que tu ne te fera pas kidnapper entre deux comme ça ! »

Puis la question qui tue... même si c'est l'une des plus banale en réalité, mais lorsqu'on a le métier qu'elle a... c'est un peu plus compliqué et surtout qu'il commence à être connu, c'est d'expliquer le concept et pourquoi celui là et pas un autre plus... conventionnel.

« Je suis la patronne du bar Nudie Patootie. Et toi ? »

Elle lui laisserait le plaisir de poser des questions si elle en a envie, mais pour le moment elle répondait tout simplement à sa question.

Invité

Après, ça te donnerait une bonne leçon si ton véhicule n’était pas là. Ce serait sans doute une bénédiction et tu pourrais réclamer aux assurances une certaine somme pour racheter une nouvelle bagnole un peu plus fiable. Entre temps, tu tentais de la complimenter, un peu maladroitement, sans doute.

Bowen n’était pas une grande ville comme New York ou Los Angeles par exemple. Ce n’était pas Sydney ou Londres, non plus. La ville avait son petit air coquet et tu aimais bien. Elle renchérissait en te disant qu’elle te déposerait devant chez toi et tu ne t’y opposais plus. Tu te mettais à rire lorsqu’elle te parlait de kidnapping. « C’est gentil, je l’apprécie. Merci Saphyr. » Que tu lui disais avec un sourire franc et honnête. Tu l’écoutes, le Nudie Patootie, tu affiches une mine songeuse. « C’est pas le bar nudiste de Bowen? » que tu demandes pour être certaine de ce que tu pensais. « Si jamais t’as besoin d’une chanteuse… » Que tu lui dis gentiment sans trop réaliser ce que ça pouvait impliquer. Ni ce qu’Asher allait en penser. T'étais prête à relever le défi. « Tu acceptes la lingerie, dans ton bar? » Que tu lui demandes. T'étais prête à chanter en lingerie, peut-être moins à poil, mais tu te promettais de donner un spectacle d'enfer. « Si tu veux, j'auditionne. »

Invité

Elle y allait certainement fort en parlant de kidnapping, ils étaient à Bowen et non pas dans une ville mal famé, il y avait très peu de chance pour que cela arrive à la jeune femme, Saphyr s'étant elle-même promené en pleine nuit très peu vêtu et il ne lui était rien arrivé. Mais là, il ne s'agissait pas d'elle, mais d'une autre personne qu'elle ne connaissait pas. D'ailleurs il était un peu temps de faire les présentations et en lui indiquant qu'elle avait un bar nudiste, la jeune femme n'eut pas la réaction à laquelle Saphyr se serait attendue, au lieu de sembler choqué, elle lui demanda presque à demi-mot un emploi dans son bar en tant que chanteuse... malheureusement elle fonctionnait surtout par playlist et ne faisait pas vraiment de « live ».

« Alors honnêtement, c'est juste une sono et une playlist qui tourne, je n'ai pas vraiment de scène pour les artistes, juste un coin pour ceux voulant danser et encore... ils le créaient eux-même... par contre j'ai besoin de serveuse... si ça te tente ! Oh et oui, les employés sont en sous-vêtements je sais que c'est pas forcément évident d'être à l'aise même comme ça devant des gens alors en tenue d'Eve ! »

Elle eut un léger rire, imaginant la tête de ses employés si un jour elle leur disait de servir totalement nue... peut-être une idée à retenir pour la blague du 1er avril, mais elle ne ferait pas longtemps la blague car certains pourraient partir ou d'autre la prendre au pied de la lettre.

« A voir si ça t'intéresse et si tu pense pouvoir tenir, t'auras quelques jours d'essai avec une personne pour te former, on va pas te laisser te débrouiller seule comme ça ! Je pourrais même rester avec toi si tu préfères... si je suis plutôt le genre de boss à venir mettre la main à la patte que de rester dans mon bureau. »

Invité

Elle t’expliquait qu’il n’y avait pas réellement de scène et que c’était principalement une playlist qui tournait. Tu hochais la tête, tu comprenais. Elle t’expliquait que les gens dansaient d’eux-mêmes, mais qu’elle recherchait des serveuses et tu souriais alors que tout se passait en sous-vêtements. Tu hochais la tête, intéressée. Elle offrait quelques jours d’essai avec une formatrice. « C’est sympa ce genre de boss. » Que tu commentes avec un sourire. « J’suis partante, je passe quand pour mon premier quart? » que tu lui demandes avec un grand sourire. Après tout, tu ne devais pas être hideuse en sous-vêtements, sinon Asher t’en aurais sans doute fait part. Tu craignais d’ailleurs sa réaction, mais c’était ta vie et t’étais prête à tout pour te trouver un emploi plus stable. Tu voyais bien ta vie comme ça, tu verrais Calista au quotidien, Asher aussi et tes soirées où la petite dormirait, tu travaillerais et une partie de la nuit aussi. Tu te voyais te lever au petit matin pour aider Cali et retourner au lit par la suite. Tu voyais bien cette vie et tu voyais bien Asher s’y greffer facilement.

Invité

Si elle pouvait être exigeante, elle était aussi cool Saphyr, pas le genre de boss à rester dans son coin dans un bureau en se moquant bien du sort de ses employés, elle mettait toujours la main à la patte et elle n'hésitait pas à guider et former les nouveaux avant de les laisser aussi entre les mains d'un employé plus spécialisé -le service en salle, création de cocktail- pour voir vers quoi l'employé pourrait le plus s'épanouir.

Expliquant ce dont elle avait besoin, elle ne savait pas si ça pouvait coller avec les envies de la jeune femme qui se serait plutôt vu au micro qu'avec un plateau, mais elle ne rechigna pas et lui demanda même quand est-ce qu'elle pourrait commencer. Ce qui arracha un sourire à la métisse, Kara semblait savoir ce qu'elle voulait et ça... ça plaisait beaucoup à Saphyr !

« Quand tu veux beauté ! Tu pourras même venir avant les clients pour avoir un petit tour du proprios, bon c'est pas immense et tu vas pas t'y perdre, mais si ça peut te mettre un peu plus à l'aise aussi. »

Heureusement, il n'y avait que très peu de scandale dans le bar, même si on pouvait douter sur la légalité du salon privé, il n'y avait que très peu de situation gênante dans l'établissement. Une personne se comportait mal ? Elle était bien vite invité à gentiment quitter les lieux après avoir présenté des excuses. La jeune femme n'avait donc pas de soucis à se faire de ce côté là... il n'y a qu'à voir sur les journaux, elle n'eut le droit qu'à quelques articles plutôt tourné sur l'ouverture, l'excentricité du lieu et de sa propriétaire, mais rien qui ferait aller quelqu'un à reculons en pensant que c'était un endroit malfamé.

Invité

T’étais rassurée de la savoir aussi impliquée dans son club. T’avais intérêt à apprendre rapidement, mais tu n’étais pas inquiète. Tu t’y plairais et t’allais pouvoir donner un coup de pouce intéressant. Tu commençais quand tu voulais à l’entendre et tu souriais. « Vendredi? » Que tu demandes alors bien gentiment. Peut-être aurait-elle préféré plus tôt, tu n’en savais rien. Elle disait de venir voir avant les clients pour faire un tour du proprio, ça t’arrache un sourire. « Je crois que ça m’aiderait, oui. Je peux passer vendredi en après-midi sans problème. » Que tu lui dis. T’étais un peu stressée, mais t’étais prête. Peu de temps après, vous arriviez à Bowen, tout près de ton quartier. « C’est à droite au stop et c’est la troisième maison sur ta gauche. » Que tu lui dis. « Merci beaucoup Saphyr. » Tu la gratifies d’un grand sourire, reconnaissante.

Invité

Finalement, elle avait fait une bonne action en récupérant cette fille et elle allait très certainement avoir une nouvelle employée ! Le but c'était de la mettre à l'aise, déjà un nouveau boulot c'est pas simple, mais alors avec un concept pareille c'était encore moins évident et elle pouvait tout a fait comprendre les réticences d'une personne postulant chez elle. Elle-même avait eut un léger doute juste avant d'ouvrir, mais depuis elle ne regrette pas !

« Va pour vendredi aprem alors ! C'est un peu impressionnant au début, mais après tu verras, c'est cool et même amusant ! »

Suivant ensuite ses instructions, elle la conduisit donc jusqu'à chez elle et s'arrêta à la dite maison. Lui lançant un sourire, elle eut un petit mouvement de la tête un peu pour dire « de rien ».

« Et voilà, on se dit à vendredi alors ! »

La laissant sortir, elle resta tout de même jusqu'à ce qu'elle disparaisse derrière sa porte d'entrée et prit le chemin de son chez elle.

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