i promised to always come home to you (aelya) -hot.

Il l'avait soigné de ses mots affectueux qui s'étaient au fur et à mesure teinter d'amour, lui qui avait inséminé tout un tas de désirs et de rêves là où il n'y en avait jamais eu. Elle avait appris à faire face à cette vague de sentiments qui la faisait délicieusement couler tous les jours, surtout en cet instant où elle s'adonnait à l'interdit avec lui, attirée par la simple idée de se brûler les ailes alors que sa main courait doucement mais surement sous la nappe, décimant sa patience à mesure que le plaisir et l'urgence se faisait une place dans son bassin humide d'envie. La tension était venue frapper leurs êtres lorsque Nick commença à les chercher, tous deux s'en allant rapidement pour ne pas se voir exploser devant les invités. Elle ne pouvait pas se donner en spectacle, pas maintenant qu'elle avait vraiment un but, un job qu'elle aimait, Aelya retrouvant le regard de son mari lorsqu'ils arrivèrent dans la chambre, le sien tentant de l'apaiser.

- J'aime trop quand t'es comme ça. Même si ça rime souvent avec problèmes, pouffa-t-elle cyniquement, ne pouvant s'empêcher de l'admirer pour toute l'énergie et la hargne qu'il admettait pour la protéger des autres. Moi j'ai confiance en toi. En plus on pourrait se voir tout le temps. J'pourrais profiter de mon agent même dans mon lit, s'amusa-t-elle en se mordillant la lèvre, cherchant à lui faire oublier sa colère, Aelya sentant sa peau s'enflammer au contact de ses paumes sur ses courbes. J'ai de la chance d'avoir un mari si attentionné, le complimenta-t-elle, captant son regard empreint de désir, le sien s'éclairant de flammes sous leur étreinte amoureuse, Aelya imprégnant son cou de tendres baisers. Tant mieux, j'veux que ça pour toi mon bébé d'amour que j'aime, répondit-elle amoureusement, avant qu'ils ne soient interrompus par les assauts de son portable qui mis en lumière les menaces incessantes de Nick, son agent lui mettant la pression pour sa séance de dédicace qu'elle ne désirait pas faire le lendemain. J'espère, hocha-t-elle la tête, pensive alors qu'elle était plongée dans ses doutes qui assombrissaient leur moment de détente, Niels venant directement dans son dos dans l'objectif d'effacer sa nervosité, elle qui soupira longuement en sentant les vertus bienfaitrices de ses lèvres qui valsaient doucement dans son cou, de ses mains qui imprégnaient sa peau de son parfum dont elle ne se lasserait jamais. Je comprends pourquoi je t'ai dit oui... Sourit-elle, consciente qu'elle accepterait de l'épouser encore et encore si les occasions se présenteraient, elle qui n'avait de yeux que pour lui, son cœur palpitant à ses mots doux et à ses lèvres qu'il vint lui offrir dans un baiser chargé d'amour. J'adore quand tu t'occupes de moi, avoua-t-elle en se couchant sur le ventre, frémissant de bien-être sous l'effet des pressions de ses mains qui se déposaient sur sa peau, ses lèvres s'alliant à la danse de ses doigts pour lui soutirer des soupirs. Fais le bébé... J'aime trop te sentir... Souffla-t-elle amoureusement contre l'oreiller, lui proposant en suite d'inverser les rôles, Aelya souriant à sa remarque alors qu'il se plaçait sur le ventre. J'aime encore plus te toucher, c'est pas ma faute, s'amusa-t-elle, se plaçant à califourchon sur son dos pour débuter ses massages  pressant doucement ses muscles tout en admirant le dessin de ses muscles qui la rendaient dingue. T'as toujours été mon cobaye à massage toi, sourit-elle, amusée, satisfaite de le voir aussi détendu, ses lèvres venant tendrement s'échouer sur son dos avant qu'il ne se retourne pour emprisonner ses lèvres sur les siennes dans un baiser amoureux, elle qui prolongea l'échange alors qu'il avait emprisonné son visage entre ses mains. Tu m'as mon cœur... Tu m'as tout entière pour toi seul, répondit-elle entre chaque baiser qui la privait de son souffle, souriant contre ses lèvres en sentant ses mains détacher son soutien-gorge. Alors déshabille-moi amour... Comme je vais le faire avec toi... Murmura-t-elle, ses mains glissant sur son torse pour détacher sa ceinture, puis son jean. Tu m'as vraiment trop allumé tout à l'heure bébé. J'ai encore trop chaud, avoua-t-elle en faisant glisser son jean pour le lui enlever, son regard dévorant son corps presque nu. Je sais pas comment j'fais des fois pour me maîtriser. J'ai été sage tout à l'heure. Parce que j'aurais pu faire ça... Lâcha-t-elle en plongeant sensuellement sa main dans son boxer, caressant son bas ventre.

La vie lui avait donné une nouvelle chance en lui faisant croiser le chemin de celle qui était devenue la femme de sa vie, Niels qui savait que le ciel lui avait cédé sa plus belle étoile. Parce-qu’il osait à peine imaginer à quoi aurait ressemblé un quotidien sans Aelya, lui qui aurait probablement côtoyé les enfers plus d’une fois, parce-qu’il n’avait jamais su vivre sans se brûler les ailes. Aujourd’hui, il avait une raison de se lever tous les matins, et elle se résumait au simple prénom de celle qui faisait chavirer son coeur depuis plus de trois ans. C’était aussi pour cela qu’il avait un mal fou à se calmer après l’intervention de Nick, ayant une nouvelle fois l’impression qu’on leur arrachait un moment qui aurait dû n’appartenir qu’à eux. « C’est pas ça qui m’arrête, tu le sais bien. Et Nick le saura aussi dans peu de temps, crois-moi. » Dit-il, sûr de lui, persuadé qu’il ne serait pas toujours aussi conciliant à l’avenir, Niels qui s’était surtout rappelé qu’ils n’étaient pas seuls, que la plupart des gens qui étaient à cette réception étaient potentiellement importants pour la carrière de son amour. « J’te ferais un emploi du temps bien plus léger moi… Du moins, professionnellement parlant… » Joua-t-il avec elle, aimant s’imaginer posséder ce rôle, eux qui savaient parfaitement que Niels aurait été du genre à privilégier le temps qu’ils auraient eu ensemble aux dépens de ses activités professionnelles. « Faut bien que quelqu’un prenne soin de toi mon bébé… » Murmura-t-il, ses mains glissant sur ses courbes alors qu’il soupirait de soulagement à la sensation de ses baisers qui parsemaient son cou. « Putain, t’es tellement parfaite toi… Mon ange, les laisse jamais te changer… » Murmura-t-il, juste avant qu’Aelya ne se décale pour récupérer son portable, comprenant vite que Nick cherchait à la joindre et à la faire changer d’avis pour la séance de dédicaces qu’il lui avait organisée. « T’en fais pas bébé… » Souffla-t-il en parvenant jusqu’à son amour, sentant parfaitement combien elle était perturbée par l’agissement de son agent, Niels s’occupant de la détendre, désirant lui changer les idées, au moins pour ce soir. Il laissa ses mains s’approprier son corps, caresser sa peau dans de lentes caresses, associées à de légères pressions pour détendre ses muscles encre crispés de frustration. « Pour mes talents de masseur ? » S’amusa-t-il pour la taquiner, ses lèvres embrassant doucement son cou avant que Niels n’incite sa femme à s’allonger dans le lit après l’avoir longuement embrassé, décidé à la voir prendre du plaisir et profiter de cette soirée qui n’appartenait qu’à eux. « C’est prévu mon amour à moi… J’veux que tu te sentes bien bébé… » Lâcha-t-il alors que ses doigts valsaient contre son dos, rejoints par sa bouche qui suivait la courbe de son échine jusqu’à la cambrure de ses reins, Niels s’amusant de la proposition de son amour qui souhaitait le toucher à son tour. « Ça va que c’est pas du tout désagréable bébé… » Rit-il avant de s’allonger sur le ventre à son tour, fermant les yeux alors qu’Aelya le détendait avec ses gestes parfaitement maîtrisés, appréciant beaucoup trop sentir ses mains sur sa peau nue. « Un cobaye très chanceux ouais… » La flatta-t-il, Niels profitant encore quelques instants avant de se laisser happer par son envie grandissante de l’embrasser, encore et encore, ses mains encadrant son visage pour échanger un baiser amoureux avec sa femme. « Rien qu’à moi hein ? Pour toujours bébé… Redis-le moi… » Souffla-t-il, ses doigts trouvant l’attache de son sous-vêtement pour lui enlever, dévoilant sa poitrine sous son regard amoureux et plus qu’admiratif de sa beauté. « Et tu crois que j’étais pas excité moi…? J’avais qu’une envie… C’était de te faire l’amour sauvagement sur la table bébé… » Ses mains dérapèrent jusqu’à l’élastique de son bas à ses mots, Niels captant son regard joueur alors qu’Aelya s’occupa de défaire sa ceinture et son jean, le laissant en proie à son désir grandissant et visible derrière le dernier tissu qui recouvrait son corps. Il lâcha un soupir sans équivoque, témoignant du désir qu’il ressentait pour Aelya, elle qui embrasa de nouveau son corps, l’incendie dans son corps repartant de plus belle. « C’est pas grave, tu peux te rattraper là tout de suite nan…? » La chercha-t-il du regard, jetant un oeil vers sa main qui s’agitait dans son boxer pour faire grandir son envie, Niels se mordant la lèvre en ressentant le plaisir le percuter. « T’es trop excitante bébé… Danse sur moi… » La chercha-t-il, sa main se posant sur sa cuisse pour l’inciter à reprendre place à califourchon sur lui, ses paumes remontant lentement vers ses hanches qu’il pressa contre son bassin. « Tu me sens bébé…? Tu sens à quel point j’te veux…? »

Elle avait beaucoup trop conscience que leur temps était compté. Elle regrettait de ne pas pouvoir lui promettre l'éternité, elle qui serait capable de décrocher toutes les étoiles dans le ciel si leur immortalité ne tenait qu'à ce geste. Elle avait toujours peur de manquer de lui, de manquer de temps, celui qui tôt ou tard les priverait de leur présence. Et si elle se devait de rester professionnelle, elle savait également  qu'ils ne pourraient jamais fonctionner dans la distance, eux qui possédaient une relation qui prenait son essence dans la fusion de leurs âmes. Et c'était surement de ça qu'elle avait le plus peur, de se rendre compte que tout pouvait s'effriter dès lors que la frustration, les doutes, et le manque s'installaient pour ravager leur alliance qui se mourrait en silence dans l'éloignement. Elle hocha la tête à sa remarque, bien consciente qu'il était capable de mettre à exécution ses menaces et même si elle n'avait jamais envie de voir son amour se mettre en colère, elle ne pouvait nier que Nick l'aurait bien mérité.

- J'me doute bien que mon emploi du temps se résumerait à : poser pour toi en petites tenues, à te faire des câlins, des bisous, et qu'il se peut même qu'il y ait quelques extras, s'amusa-t-elle malicieusement, adorant s'évader dans ce genre d'images qui la faisaient sourire. J'laisserai personne prendre soin de moi autre que toi mon bébé. Y'a qu'en toi que j'ai confiance pour ça, sourit-elle tendrement, admettant qu'elle n'avait jamais eu confiance en personne, Aelya qui savait pertinemment qu'elle avait tout donné à Niels, son âme, son coeur, son être. Jamais mon amour, j'veux rester celle que t'as épousé même si j'suis très chiante à vivre, sourit-elle, joueuse, ses lèvres dansant dans le creux de son cou, elle qui sentait son coeur s'envoler à la simple odeur de son parfum qui animait tous ses sens, eux qui furent coupés par les vibrations de son portable, Aelya qui comprit tristement que Nick commençait à lui faire du chantage.

Elle acquiesça à la remarque de Niels, peu convaincue finalement qu'il lâcherait l'affaire aussi facilement, parce qu'il n'avait surement jamais dû faire face à un non dans ce milieu qui ne faisait aucun cadeau. Elle laissa son amour s'occuper de la détendre, soufflant à chaque fois qu'il passait ses mains parfaites sur sa peau qui se détendait peu à peu sous ses gestes.

- Y'a un peu de ça ouais, on voit l'expert qui passe sa vie à s'exercer sur sa femme trop tendue, s'amusa-t-elle, ses lèvres s'échouant sur les siennes avant qu'elle ne vienne s'allonger sur le ventre à la proposition de son mari. C'est toujours le cas avec toi, sourit-elle dans l'oreiller, soupirant en sentant ses mains danser dans son dos, frissonnant lorsque ses lèvres glissèrent le long de son échine, la faisant expier des souffles plus profonds tandis que chacun de ses muscles semblaient se détendre. J'espère surtout que c'est pas désagréable pour toi, lança-t-elle, amusée, laissant son amour prendre la même position sur le lit, ses jambes l'encerclant pour permettre à ses mains de presser doucement sa peau. Tu vois j'peux autre aussi douce que sauvage, répondit-elle avec un sourire en coin, continuant ses massages pour le voir lui aussi se détendre, adorant savoir qu'elle lui faisait autant bien que ce qu'il lui donnait avant qu'il ne vienne se retourner pour attraper ses lèvres dans un baiser amoureux qu'elle prolongea, s'envolant dans leur univers qui lui faisait tout oublier autour d'elle. J'suis à toi pour toujours mon bébé. Pour toujours et à jamais, jusqu'à la fin, et même après, promit-elle amoureusement contre ses lèvres, son regard sombrant dans le sien tendrement, lui qui détacha son sous-vêtement peu après. Putain... J'aurais tellement aimé que tu me fasses l'amour là... Quelle perte de temps cette soirée, soupira-t-elle, embrasée par ses mots qui égayèrent ses pensées brûlantes, teintant son regard d'une flamme qui ne s'éteignait jamais pour lui.

Elle accrocha de son regard ses doigts qui tirèrent sur son bas avant de finalement lui retirer son pantalon, regardant l'état de son corps qui portait déjà les prémices de son désir, celui qu'elle adorait voir se développer. Sans attendre, elle plongea sa main dans son boxer, caressant sensuellement son bas ventre qu'elle tendait sous ses gestes.

- J'y compte bien, hocha-t-elle la tête malicieusement alors qu'elle augmentait la cadence de ses caresses, Aelya venant sur Niels à sa demande, attirée par son corps qui rendait sa patience fébrile. Bébé... Gémit-elle lorsqu'il pressa ses hanches pour coller leurs bassins, le sien ressentant la rigidité de son envie. Putain bébé... Oui j'te sens... J'te veux trop... Souffla-t-elle, envieuse, ondulant sur son boxer pour le pousser à bout, soupirant bruyamment à la sensation de son membre qui dansait entre ses cuisses, sa main venant tirer sur son tissu pour libérer son envie avant de se débarrasser de son propre bas. Et moi, tu sens comme j'te veux... ? Demanda-t-elle fiévreusement en empoignant son membre pour le faire buter à l'entrée de son corps inondée par son urgence.

Il aurait aimé l’emmener loin de tout, loin des projecteurs, lui qui comprenait qu’à mesure que sa carrière prenait de l’ampleur, les intérêts envers Aelya ne feraient que grandir, dévoilant ce trésor qu’il aurait préféré cacher aux yeux du monde. Parce-qu’elle était la plus belle âme qu’il lui avait été donné de rencontrer, de découvrir, Niels qui s’émerveillait encore et toujours devant la beauté de son être. Il l’aimait passionnément, viscéralement, lui qui avait un mal fou à gérer ses absences, comprenant exactement ce qu’elle avait ressenti lorsque leurs rôles avaient été inversés. Il avait constamment le mal d’elle, ayant l’impression d’être vide lorsqu’Aelya n’était pas là pour remplir son coeur qui battait au ralenti quand elle n’apparaissait pas dans son champ de vision. Revenant dans la chambre, Niels eut un mal fou à contenir sa frustration, sa mâchoire serrée témoignant encore de la rage qui coulait dans ses veines. Comme à son habitude, Aelya était parvenue à trouver les mots pour le faire oublier l’espace de quelques instants, elle qui le rattrapait pour le guider jusqu’à elle. « C’est à peu près ça ouais… J’vais juste avoir envie de plein d’extras moi… » Murmura-t-il, rentrant dans son jeu alors qu’il adorait laisser ses pensées vagabonder vers ce genre d’images. « Y’a pas intérêt bébé. Et s’ils tentent quoique ce soit, j’leur montrerai que t’es ma propriété privée. » Lâcha-t-il, Niels qui ne serait jamais capable de partager celle à qui il s’était entièrement donné, jusqu’à lui confier les clés de son coeur qu’elle gardait entre ses mains depuis trois ans. « C’est vrai que t’es chiante… Mais putain ce que je t’aime… » Joua-t-il, lui qui ne pouvait qu’assister à ce déferlement d’amour qui bousculait ses entrailles à chaque fois qu’il daignait poser ses yeux sur elle, son coeur vibrant de toutes ces émotions qu’elle lui faisait ressentir. Il s’appropria le corps de son amour, cherchant à la détendre avec ses mains et ses lèvres, lui qui connaissait son corps et ses faiblesses comme sa poche. « On voit surtout l’homme qui est trop accro au corps de sa femme. » La reprit-il, admettant une vision bien plus réaliste de son comportement, Niels qui prenait un plaisir fou à la regarder s’échapper de son quotidien trop strict le temps de quelques minutes qui n’étaient dédiées qu’à eux. Et la voir prendre du plaisir était sans doute le plus beau cadeau qu’on puisse lui faire, ayant de nouveau la confirmation qu’il était capable d’agir en profondeur pour lui faire oublier ses tracas. Il s’amusa de sa manière de vouloir le toucher à son tour, elle qui prit les devants pour le masser, Niels soupirant de soulagement à chaque fois que ses mains effleuraient sa peau. « C’est même beaucoup trop bon bébé… J’suis dingue de tes mains. » Murmura-t-il, les yeux fermés, elle qui était toute aussi douée pour dompter son corps et envoyer valser ses démons qui cherchaient à le crisper. « C’est pour ça que je t’aime… T’es un vrai caméléon toi. » Rit-il, amusé par leur conversation, Niels ne résistant pas bien longtemps avant de se retourner vers elle pour emprisonner ses lèvres, désirant réchauffer les siennes de cet amour immortel qui les liait à tout jamais. « T’es mon paradis mon amour… J’ai arrêté de côtoyer les enfers depuis que j’te connais… » Murmura-t-il en accrochant son regard, le sien luisant du bonheur qu’elle insinuait dans son coeur sans arrêt, finissant par la délester de son haut pour ne laisser aucune barrière entre eux. « On a tout à rattraper… Et j’ai bien envie qu’on le fasse tout de suite… » Souffla-t-il en frôlant ses lèvres, Niels laissant un gémissement s’échapper lorsqu’Aelya tira sur son pantalon pour dévoiler son boxer derrière lequel son envie se dessinait, un long soupir résonnant entre les murs de leur chambre quand sa main s’insinua lentement dans son vêtement. « T’es bien partie en tout cas… » Lâcha-t-il, son regard laissant entendre la satisfaction qu’il ressentait, le plaisir qui le percutait à chacune de ses caresses, Niels peinant à garder son calme, décidant de confronter son amour à son désir grandissant, leurs bassins se superposant l’un à l’autre. « Si tu savais à quel point j’te veux aussi… T’arrêtes pas… » Souffla-t-il, ses mains sur ses hanches guidant ses ondulations, la rigidité de son membre épousant son entrejambe jusqu’à ce qu’Aelya ne décide de le dévoiler entièrement, en faisant de même de son côté. « Han amour… Ouais j’te sens… C’est déjà trop bon… » Gémit-il, ses yeux accrochant la vision de leurs intimités qui s’effleuraient, Niels regardant son amour guider sa peau contre la sienne, ses doigts venant en faire de même, stimulant son plaisir pour la faire vibrer. « Laisse-toi aller mon coeur… » Souffla-t-il, désirant voir son corps se libérer de tout le stress qu’elle avait accumulé pour le gorger de plaisir, sa main accélérant le mouvement entre ses cuisses.

Elle avait le mal de lui dès qu'elle s'envolait de leur cocon, sentant son cœur se remplir de plomb à mesure qu'elle gagnait de la distance pour effectuer sa profession. Si elle aimait ce qu'elle faisait, elle ne pouvait s'empêcher de le vouloir, de s'enliser dans ce mourroir qui creusait sa décadence jusqu'à ce qu'il ne vienne la délivrer par le biais de ses lèvres qui connaissaient le secret de ses rêves. Elle se rendait compte tous les jours à quel point elle était accro à sa peau, elle qui avait dû mal à se raisonner et à rester calme quand Nick se permettait d'émettre des jugements sur son mari qu'il ne connaissait pas, et que personne ne connaîtrait comme elle. Dans le désir de tout oublier dans son regard, elle tenta de lui changer les idées, juste pour l'amener contre elle, là où son cœur battait de manière éternelle pour son être.

-  J'accepterai de faire des heures supp' là pour toi bizarrement... S'amusa-t-elle, consciente qu'elle n'aurait jamais été capable de lui refuser quoique ce soit tellement elle l'aimait, qu'elle le désirait, lui qui bouleversait son monde depuis le départ. Vu le nombre de marques que j'ai tous les jours dans le cou bébé, je pense que ça se voit que j'appartiens à quelqu'un, rit-elle doucement, adorant porter les frasques de sa fougue sur le corps, Aelya qui se sentait démunie et nue sans la douce morsure de ses dents sur sa peau, son délicieux poison qu'elle aimait voir courrir sous sa chair. Me tente pas à être encore plus chiante pour que tu m'aimes encore plus, sourit-elle malicieusement, craquant pour ses mots et leur proximité qui l'embrasait alors qu'il vint doucement masser son corps endolori par le stress, Aelya qui pouvait sans crainte laisser les clefs de son être tout entier tant elle savait que Niels était bien plus apte à prendre soin d'elle et de ses besoins, que sa propre personne. J'veux le voir accro toute ma vie mon homme et je me donne les moyens pour, renchérit-elle entre chaque soupir de bien être qu'il infilitrait dans ses veines, sa peau se laissant délicieusement ronger par la douceur de ses lèvres et de ses mains avant qu'elle ne l'invite à subir le même sort, son regard se délectant de ses courbes qui s'offraient à elle, ses doigts passant dans son dos pour le presser doucement. Mes mains en veulent encore plus... Elle veulent te toucher partout... Souffla-t-elle à son oreille pour réchauffer ses pensées, ses lèvres venant mordiller son cou. J'ai appris du maître en même temps, s'amusa-t-elle, Aelya ne pouvant nier qu'ils étaient très similaires sur bien des aspects, elle qui retrouva son magnifique regard lorsqu'il se retourna, le temps d'une seconde avant qu'elle ne soit happée par ses lèvres qu'elle embrassa patiemment, jusqu'à sentir son souffle se déchaîner. J'veux qu'on s'enferme au paradis tous les deux mon bébé, j'ai besoin que de ça, répondit-elle amoureusement, son cœur loupant un battement devant la beauté de ses mots qui faisaient écho à tout ce qu'elle ressentait pour lui. On va le faire mon amour... Tu vas pas t'en tirer comme ça toi, sourit-elle en coin en tirant sur son bas pour le laisser en boxer, son regard s'assombrissant de désir en le découvrant déjà bien brûlant d'envie, sa main glissant sensuellement dans l'ombre de son vêtement pour le presser passionnément, un soupir s'échappant de ses lèvres après le sien avant qu'elle ne soit attirée à venir sur lui, plaquée sur son bassin devenu rigide par le désir. Mon amour... Putain... Tu m'enflammes, avoua-t-elle en dansant sur son bassin, son anatomie glissant sur la sienne avec une fièvre qu'elle ne pouvait plus réprimer, sa main venant tirer sur son boxer pour amener son envie directement entre ses cuisses dénudées. Tu m'excites, soupira-t-elle alors qu'elle jouait à l'entrée de son corps avec son membre, le faisant buter entre les pans gonflés de son désir immuable. Han... Amour... Gémit-elle alors qu'il approcha sa main de son anatomie pour embraser son plaisir, sa nuque basculant en arrière lorsqu'il accéléra le rythme. C'est trop bon bébé, j'vais exploser... Soupira-t-elle fiévreusement entre deux gémissements, sa main s'occupant d'empoigner son bas ventre pour le caresser passionnément contre son anatomie, ses hanches continuant d'onduler. J'pense qu'à toi, qu'à ton corps que je veux en moi... Lâcha-t-elle dans un long soupir, son bassin brûlant d'envie de le recevoir, Aelya le guidant à l'intérieur de son bassin lentement, s'imprégnant de ses traits qu'elle admirait. Je t'aime tellement... Susurra-t-elle, ses doigts glissant jusqu'à sa bouche dont elle dessina le contour avant de pencher son dos pour l'embrasser fougueusement, sa langue rencontrant la sienne tandis que son bassin menait une danse fiévreuse pour lui soutirer du plaisir. J'veux t'entendre crier mon bébé... Murmura-t-elle contre ses lèvres, le souffle arraché par l'envie.

Il n’y avait pas une minute où il ne pensait pas à elle, comme si chaque seconde de sa vie lui était dédiée, Niels qui avait appris à vivre en ayant l’image de son amour dans sa tête, constamment, comme un doux mirage auquel son esprit s’accrochait pour ne jamais défaillir. Parce-qu’Aelya était sa raison de vivre, l’essence même de son existence, elle qui avait donné du sens à tout ce qu’il était et à tout ce qu’il faisait. C’était aussi pour cela qu’il réagissait au quart de tour lorsque quelqu’un cherchait à lui nuire, Niels qui ne saurait jamais garder son sang froid quand il était question de la femme qu’il aimait éperdument. « J’doute pas du tout du fait que tu seras une acharnée du travail avec moi… » Joua-t-il, usant de sous-entendus pour alourdir la tension entre eux, eux qui se tournaient sans cesse l’un autour de l’autre en attendant de savoir qui craquerait le premier. « Ouais, je sais pas… J’ai pas l’impression que t’en aies tant que ça… » Lâcha-t-il en haussant les épaules, faisant mine de ne pas remarquer le nombre de traces bleutées dessinées sur son cou, lui qui savait parfaitement combien il aimait lui laisser des marques de cette passion dévorante qu’il ne savait jamais contrôler. « T’auras pas besoin de ça… J’suis dingue de toi bébé, ça s’arrête jamais… » Murmura-t-il, s’abandonnant à elle, lui qui désirait s’occuper de cette anxiété qu’il sentait encore omniprésente, s’affairant à masser ses muscles pour les détendre, pour voir son corps se relâcher alors que ses lèvres admettaient davantage de douceur sur sa peau. « C’est difficile de pas tomber dans l’addiction avec toi en même temps… J’sais pas si tu t’es vue bébé, mais t’es juste irréelle en fait… » Lâcha-t-il, soufflé par sa beauté qui lui rappelait sans cesse à quel point il était chanceux d’avoir été l’homme qu’elle avait choisi, parce-qu’il était bien conscient de laisser des dizaines et des dizaines d’envieux derrière lui. Il profita de l’instant quand Aelya le massa à son tour, appréciant de sentir ses doigts épouser le contour de ses muscles qui se relâchaient à chacun de ses gestes. « Te prive pas mon amour… Moi aussi j’ai envie qu’elles me touchent partout… » Lâcha-t-il, se mordant la lèvre lorsqu’il sentit ses dents taquiner son cou, Niels souriant aux mots de sa femme qui vantaient ses talents, parce-qu’ils étaient les mêmes à ce niveau, capable du pire comme du meilleur. Il se retourna pour confronter son regard qui lui manquait déjà, lui qui vibrait à la vision de son corps sur le sien, incapable d’attendre une seconde de plus pour se jeter sur ses lèvres qu’il embrassa avec toute la passion qui sommeillait en lui. « Alors reste avec moi toute ta vie… C’est juste ça mon paradis bébé… » Murmura-t-il, lui faisant comprendre que le reste ne l’intéressait pas, que son bonheur n’était suspendu qu’à sa simple présence dans sa vie. « J’en connais une qui a envie de me punir pour mes bêtises… » Souffla-t-il avec un sourire amusé en voyant son amour lui défaire son jean, lui laissant une vue privilégiée sur son corps et ses réactions physiologiques, celles qu’elle était la seule à provoquer. Il tendit légèrement la tête vers l’arrière lorsqu’elle plongea sa main dans son boxer, Niels soufflant son plaisir avant de l’amener contre lui pour qu’elle puisse comprendre d’elle-même combien elle le rendait fou. Il lâcha un premier gémissement lorsqu’elle débuta ses ondulations contre lui, agrémentant la chaleur de leur échange en les dénudant entièrement, Niels se mordant fermement la lèvre en sentant le plaisir percuter son corps. « Bébé… T’es pas possible toi… » Souffla-t-il, toujours ébahi par la rapidité avec laquelle elle parvenait à l’enflammer, soupirant longuement en la regardant faire glisser son membre entre les pans de son envie, accrochant son regard avant que sa main ne vienne caresser son entrejambe. « Détends-toi amour… Laisse-moi faire… » Lâcha-t-il, la respiration bousculée par la vision de ses traits qui se teintaient de plaisir, faisant écho au sien qu’il expia dans des soupirs de moins en moins discrets, sa femme le caressant de plus en plus sensuellement. « Là c’est toi qui vas me faire exploser… Bébé, viens sur moi… » La supplia-t-il, sa respiration se coupant quelques secondes quand elle l’invita finalement en elle, expiant un long soupir de soulagement en accrochant son regard, la lueur dans ses yeux ne brillant que pour elle. « Je t’aime Aelya… T’es tout ce que j’ai… » Répondit-il, déposant un baiser sur son doigt qui s’amusa à dessiner le contour de ses lèvres, son regard captant le sien avant de se laisser guider vers sa bouche qu’il embrassa avec passion, dans un baiser langoureux qui s’éternisa en même temps qu’ils agitaient leurs bassins dans un rythme fiévreux. « C’est prévu… Vu comme tu me fais du bien là… » Lâcha-t-il entre chaque soupir, Niels qui se voyait percuter de plein fouet par le plaisir, ses mains agrippées à la chute de reins de son amour pour accompagner son corps qui le chevauchait. « Mon amour… J’te veux encore… J’veux que tu jouisses bébé… » Souffla-t-il, ses dents accrochant sa lèvre inférieure, sentant leurs corps se recouvrir d’une légère pellicule de sueur tant ils brûlaient de plaisir. « J’veux qu’on se venge de l’autre con… »

Toutes ses journées s'habillaient de son image qui dansaient dans ses pensées, celles qu'elle protégeait du monde entier parce que ce qu'elle nourrissait envers Niels la regardait. Elle n'avait envie ni besoin de partager ses sentiments avec les autres qui ne comprendraient jamais ce qu'ils nouaient ensemble, sous le couvert de leur intimité qui les rapprochaient dans la chaleur de leur passion. Elle se battrait toute sa vie pour lui, pour eux, pour leur relation qui représentait tout à ses yeux.

- T'as pas idée comme j'vais me donner à fond et comme j'vais aimer bosser là... S'amusa-t-elle malicieusement, consciente que sa motivation se trouverait éternellement dans son regard, contre sa peau qu'elle aimait toucher, là où ses rêves s'échouaient. T'as raison bébé. Il m'en faudrait encore plus... Le chercha-t-elle, amusée par leur manière de se tourner autour, son coeur s'embrasant rien qu'à la pensée de ses lèvres dans le creux de son cou. Tu peux pas savoir comme j'suis folle de toi aussi, avoua-t-elle, le regard brillant d'amour et d'admiration pour tout ce qu'il était, cette âme forte qui portait ses propres fêlures qu'Aelya cherchait constamment à panser, lui qui avait toujours les mots, les gestes pour la détendre alors que son anxiété battait son plein, elle qui tentait de se focaliser uniquement sur ses doux massages et ses lèvres qui traversaient son corps. C'est toi mon amour... J'en finis jamais de tomber amoureuse de toi si tu savais, tu me fais rêver, avoua-t-elle, incapable dès à présent de laisser son regard trainer sur quelqu'un d'autre que lui tant elle était profondément éprise dans ses filets, elle qui sentait ses muscles se détendre un à un sous son effet salvateur qui la faisait frissonner, réchauffant peu à peu son être glacé par le stress.

Elle sourit doucement à sa remarque, songeant au trajet de ses mains qui auraient aimés déraper un peu plus bas tout de suite, Aelya qui n'avait aucun mal à se voir le caresser fiévreusement maintenant qu'ils étaient dans leur intimité. Elle attrapa ses lèvres à la seconde où il se retourna, laissant sa bouche détailler avec amour la sienne, son coeur cognant fort dans sa poitrine tant les sentiments implosaient pour lui, réveillant en elle l'envie de se nourrir de sa peau, de son être tout entier.

- C'est toi mon paradis. J'veux pas vivre si c'est pas avec toi, admit-elle amoureusement. Elle a beaucoup trop envie de te punir de la plus horrible des façons même, sourit-elle en coin.

Elle retira son jean, prenant un malin plaisir à le détailler sous toutes les coutures, lui qui transpirait de désir à travers le seul vêtement qui lui restait et qui animait son regard d'extase. Déterminée à profiter de sa peau, sa main se réfugia dans le creux de son anatomie, détaillant avec soin son envie de caresses toujours plus fiévreuses, ses lèvres expiant en même temps sa fougue qui ne faisait que grimper en flèche, surtout lorsqu'il l'invita sur lui, son bassin se posant sur son membre raidi par la fougue, tous deux atteints de la même maladie. Elle débuta ses ondulations sur son boxer, son visage s'étirant dans le plaisir et l'envie de ne faire qu'un avec lui avant que son intimité dénudée ne vienne se frotter à la raideur de son bas ventre.

- J'peux pas faire autrement mon amour, tu m'attires trop... Expia-t-elle fiévreusement, continuant à basculer sur son membre qu'elle happait au plus proche de son point de le plus sensible, elle qui gémit lorsque sa main se retrouva entre ses cuisses contractées par sa fièvre. Vas-y bébé... Touche-moi... Soupira-t-elle en fermant les yeux, sa lèvre qu'elle mordilla sous l'effet du plaisir qu'il lui administrait tandis que sa main s'agitait avec plus de rapidité autour de son bas ventre. J'ai du mal à me contrôler avec toi... Avoua-t-elle, venant fondre son corps dans le sien, lâchant un soupir équivoque de tout le soulagement qu'elle ressentait pour leur alliance, son regard s'imprégnant de ses traits qui exprimaient la même chose. T'es ma vie, mon coeur, mon âme, tout de moi est à toi... Souffla-t-elle amoureusement, dessinant passionnément les contours de ses lèvres qu'elle dévorait du regard, égayée par son baiser qui vint s'échouer sur son doigt avant qu'elle ne succombe à son appel, sa langue venant fiévreusement danser avec la sienne. Tu me fais tellement du bien toi là... Gémit-elle contre ses lèvres en ondulant plus sauvagement contre son bassin qui se laissa étreindre par ses mains sur ses hanches, ce contact la rendant folle. Fais-moi jouir dix fois cette nuit bébé... Ajouta-t-elle, gémissant en sentant ses dents accrocher sa lèvre, son corps se teintant d'humidité face à l'explosion de plaisir qui la consumait. C'est bien pour ça que j'vais pas me retenir de te faire crier toi... Sourit-elle en coin, s'allongeant sur son corps pour admettre davantage de proximité, son front venant se caler contre le sien, sa main accrochant doucement sa chevelure à la base de sa nuque. Sois encore plus sauvage amour... L'incita-t-elle en mordillant sa mâchoire, cambrant sa chute de reins pour amener son bassin à claquer contre le sien. Prends-moi encore plus fort mon bébé... Le tenta-t-elle passionnément, gémissant de plus en plus bruyamment.

« Et moi j’vais encore plus te motiver… » Joua-t-il, lui adressant un clin d’oeil joueur, eux qui se donnaient toujours à fond dans leur relation, encore plus lorsqu’il s’agissait de s’aimer encore plus fort, ne se mettant jamais de limite dans cet amour qui n’aurait jamais de cesse de grandir. « On est d’accord bébé. » Lâcha-t-il avec un sourire amusé, Niels qui contemplait les marques qu’elle avait dans le cou et qui étaient le reflet de leur passion dévorante, celle qu’ils ne réprimaient jamais. Il l’aimait à n’en plus finir, son être entier lui étant entièrement dévoué, lui qui vibrait à chaque fois qu’elle lui confirmait à quel point elle était amoureuse de lui. « Reste-le toute ta vie amour… » Murmura-t-il, conscient qu’il vivait pour elle, pour leur relation qui était sa plus belle réussite, celle de toute une vie, Niels qui était prêt à tout pour continuer de la voir perdurer. Lorsqu’il regardait Aelya, il se remémorait chaque moment de leur relation, de leurs débuts houleux à leurs moments d’amour, Niels qui ne regrettait rien de ce qu’ils avaient été et de ce qu’ils étaient devenus, conscients que toutes leurs épreuves leur avaient au moins permis de grandir et de prendre conscience de la force de leur lien. « T’es mon rêve à toi toute seule mon bébé d’amour… » Murmura-t-il à son oreille alors qu’il était concentré sur ses gestes pour la détendre, elle qui méritait toutes les attentions du monde, Niels massant doucement sa peau et ses muscles pour lui faire oublier toute la frustration qu’elle avait accumulée. Leurs lèvres se retrouvèrent à la seconde où leurs regards se confrontèrent, comme dans un automatisme, eux qui avaient appris à suivre leurs instincts qui les ramenaient toujours l’un vers l’autre. « J’serai toujours là avec toi. Je crève sans toi mon coeur… » Avoua-t-il, mettant des mots sur le vide qui l’habitait quand ils n’étaient pas ensemble, quand il se voyait livré à lui-même sans pouvoir être maintenu à flot par l’amour de sa vie. « Mince, tu penses que j’vais vraiment trouver ça horrible…? » S’amusa-t-il, faisant mine de garder cette mine innocente, rentrant dans son jeu alors qu’elle le déshabilla, ne pouvant plus lui cacher l’incendie qu’elle avait naître dans son corps maintenant qu’il était vêtu d’un simple boxer. Rapidement, Aelya s’amusa à faire grimper la température, Niels subissant de plein fouet les délicieuses caresses de sa main, expiant son plaisir contre ses lèvres. Sa respiration se bousculait, son coeur tapait de plus en plus vite dans sa cage thoracique, faisant écho au bien qu’elle administrait dans son corps, Niels finissant par la guider sur son bassin pour qu’elle puisse se confronter au sien. Sans lâcher son regard, il se mordit la lèvre en la sentant onduler contre lui, ses mains posées sur sa cambrure pour l’inciter à continuer, un gémissement s’échappant finalement de ses lèvres quand leurs anatomies nues vinrent se frôler. « Putain bébé… C’est trop bon… » Souffla-t-il, venant la caresser à son tour avec sa main qui se réfugia entre ses cuisses, cherchant à l’enflammer comme elle le faisait avec lui, accélérant la cadence à sa remarque, lui qui aimait la voir prendre du plaisir. « T’as pas à le faire… J’veux jamais qu’on se réprime bébé… J’peux pas t’aimer à moitié. » Murmura-t-il, fermant un instant les yeux quand leurs corps ne firent finalement plus qu’un, Niels venant nicher son visage dans son cou pour expier ses premiers soupirs, en profitant pour déposer quelques doux baisers sur sa peau. « Et tout de moi est à toi… Pour la vie mon amour. » Murmura-t-il, le regard profondément inscrit dans le sien, embrassant son doigt qui était venu contre sa bouche, amenant son visage contre le sien lorsqu’elle céda à l’appel de ses lèvres qui juraient que par ses siennes. « Et toi bébé… Tu sais pas à quel point tu le fais aussi… » Souffla-t-il, continuant à la laisser s’agiter sur lui alors qu’il fit perdurer leur baiser langoureux, n’admettant plus aucune distance entre leurs corps, ses mains pressant sa chute de reins pour la rapprocher davantage de lui. « Entendu… T’auras tous les orgasmes que tu veux. » Répondit-il, mordant sa lèvre avant de lui voler un énième baiser, souriant en coin à ses mots qui faisaient écho aux siens, eux qui étaient toujours sur la même longueur d’onde. « J’compte bien me réveiller avec la voix cassée demain. » Renchérit-il, laissant son amour s’allonger sur lui, l’un de ses bras entourant son corps, alors que sa main continua d’accompagner ses ondulations. « T’en veux plus…? » Souffla-t-il contre ses lèvres, gémissant à l’entente de leurs bassins qui claquaient l’un contre l’autre, Niels basculant sur le côté pour se retrouver sur elle, le bassin toujours réfugié entre ses cuisses. « J’vais tout te donner… » Lâcha-t-il à son oreille dont il mordilla le lobe, Niels débutant lentement ses ondulations avant d’accélérer le rythme sans prévenir, lui donnant des coups de rein puissants et rapides, soupirant de plus en plus bruyamment. « Serre-moi contre toi bébé… Dis-moi que tu m’aimes… » Gémit-il dans l’euphorie de leur ébat, continuant de maintenir cette cadence soutenue pour lui soutirer du plaisir.

Elle se demandait tous les jours comment elle ferait sans lui, sans son optimisme et sa force qui la conduisait à espérer davantage, là où avant, il n'y avait eu que du marasme au milieu de son chemin jonché de ronces. Elle s'était nombre de fois écorchée, fait du mal, comme dans la seule volonté de se reconnecter à son existence que la mort avait balafré. Ca n'avait jamais servi à rien parce qu'il lui manquait une pièce essentielle à ses nuits glacées dans lesquelles elle n'avait trouvé aucun repos si ce n'était que de s'ouvrir encore un peu plus dans ses maux, ce silence assourdissant qui déterrait son palpitant de son hibernation pour maintenir ses songes en éveil. Il était arrivé de nulle part Niels, comme une comète qui avait percé son ciel ravagé de cauchemars, comme une étoile qui avait explosé dans sa nuit noire. Et depuis, elle ne l'avait plus quitté, elle qui résidait tout contre son âme qu'elle aimait soigner, s'imaginer que quelque part, elle n'était pas faite pour rester que dans le marbre dans lequel son père avait tenté de la piéger. Elle se retrouvait petit à petit dans la détente alors que son amour passait ses mains sur son corps, accrochant doucement ses muscles flétris par l'acidité de ses pensées, ses lèvres venant doucement happer les siennes dans un baiser amoureux aux teintes passionnées.

- T'auras jamais à être sans moi mon amour. J'suis toujours avec toi, même si j'suis pas à côté, souffla-t-elle tendrement, ses mots faisant écho à son ressenti parce qu'Aelya n'était jamais épanouie lorsque son Niels n'était pas contre sa cage thoracique. J'pense que tu vas tellement trouver ça horrible que tu vas crier avant d'exploser mon bébé. J'ai envie que t'exploses... Avoua-t-elle chaudement, son regard embrasé par l'envie qui la faisait doucement mais surement sombrer pour lui.

D'un geste habile, sa main glissa dans les pans de son vêtement pour s'approprier son désir qu'elle aimait voir se tendre, s'adonnant à son jeu préféré qui était de le regarder s'extasier devant la sensualité de ses gestes qui avaient toujours pour objectif de l'attirer dans ses filets. Survoltée par sa fougue qui se nourrissait de lui, elle s'invita sur son bassin, débutant ses ondulations pour finalement confronter sa peau à la sienne dans un échange bien plus fiévreux, elle qui soupira de plaisir en sentant la rigidité de son envie caresser son anatomie épris dans un ouragan de désir.

- Ton corps bébé... T'es magnifique... Expia-t-elle dans un gémissement, son regard s'imprégnant de ses courbes masculines alors que sa main s'était plaquée entre ses cuisses qui se tendaient de plaisir, ses doigts continuant de s'agiter sensuellement autour de son membre. Je sais pas faire, j'aime trop t'aimer à la folie, avoua-t-elle, liant leurs corps pour ne faire qu'un, frissonnant à la sensation de son souffle qui vint taquiner son cou, sentant son coeur palpiter à ses mots d'amour qui représentait tout à ses yeux qui ne détaillaient que lui pour la vie. Tu me fais perdre mon souffle tellement que je t'aime... Avoua-t-elle entre deux baisers alors qu'elle attrapa ses lèvres dans un échange houleux où leurs langues s'adonnèrent à un ballet merveilleux dans le creux de leur alliance harmonieuse. J'pourrais déjà en avoir un juste en te regardant bébé, admit-elle dans un sourire en coin, gémissant en sentant ses mains rapprocher son bassin du sien. On aura tous les deux plus de voix à la fin, s'amusa-t-elle, aimant s'attendre à ce que la nuit ne les rapproche sans fin, elle qui avait besoin de sa peau sans cesse, au risque de rester sur sa faim. Ouais, j'en veux encore plus... Répondit-elle alors qu'elle s'allongea sur son corps, ressentant sa chaleur et la contraction de ses muscles à chaque vague qui entrait en elle, le claquement de leurs bassins rendant ses gémissements plus bruyants. Donne-moi tout mon bébé, j'veux tout de toi... Lâcha-t-elle lorsqu'il bascula sur elle, ses cuisses s'ouvrant pour lui permettre de s'amuser de leur cadence comme il l'entendait, elle qui sentit sa cage thoracique décoller tant sa respiration en était bouleversée. Je t'aime mon amour, ma vie, mon univers... Je peux aimer que toi... T'es le premier et le dernier, susurra-t-elle à son oreille, le serrant fort contre elle, ses ongles s'incrustant passionnément dans sa peau. Bébé... Bébé... J'te sens trop bien, tu me fais vibrer... Gémit-elle, plaquant son bassin contre le sien, sa voix s'élevant entre les murs à mesure qu'elle atteignait son orgasme, ses bras se détendant de chaque côté pour attraper les draps. Mon amour... Niels... Cria-t-elle de plaisir lorsque l'onde de choc la percuta, agitant ses sens, sa peau frémissant contre la sienne. C'est insupportable tellement que c'est trop bon de faire l'amour avec toi, avoua-t-elle en souriant, accrochant ses lèvres rapidement, sa main venant presser sa chute de reins de manière joueuse.

Il n’y avait rien de viable sans Aelya, Niels qui avait vécu des jours sombres avant qu’elle n’intervienne dans sa vie, redonnant un sens à tout ce qu’il était, à tout ce qu’il faisait, elle qui avait remis dans l’ordre les pièces d’un puzzle abîmé par les désillusions. Elle l’avait sauvé de lui-même, sans même le savoir, lui donnant une chance de s’extirper de ses démons, elle qui lui avait tendu une main salvatrice pour l’éloigner de toute la noirceur qui l’avait trop longtemps entouré. Il avait souhaité avoir le même impact sur elle, incapable de la laisser se perdre dans un monde qui n’était pas le sien, préférant l’emmener dans celui qu’ils avaient commencé à créer ensemble. Et c’était comme ça qu’il était peu à peu tombé amoureux d’elle, se laissant tomber dans ses bras, lui confiant chaque parcelle de son âme, de son coeur, comme s’il avait toujours su qu’elle était la seule à les recevoir. Il se remémorait toute leur histoire à chaque fois qu’il l’embrassait, fier de ce qu’ils étaient devenus, fier de leur lien qu’ils faisaient passer avant tout. « Mais c’est pas pareil bébé… Tu sais pas comment tu me manques quand j’peux pas t’avoir contre moi, quand on dort pas ensemble… » Murmura-t-il, pensant à toutes les insomnies qu’il avait traversé sans elle, lui qui ne savait plus gérer son quotidien sans son amour. « Tu vas me rendre dingue toi, j’le sens… » Souffla-t-il, ressentant déjà une vague de chaleur l’éprendre quand la main de sa femme se nicha dans son boxer pour venir l’enflammer, elle qui savait parfaitement comment dompter son corps avec ses gestes. Il avait bien compris qu’il n’allait pas ressortir indemne de cette soirée, soupirant contre ses lèvres quand Aelya prit place sur son bassin, ses mains guidant le sien pur qu’elle puisse confronter son envie et la ressentir au plus près de son corps. « Et toi mon amour… T’es la femme la plus sublime de l’univers… J’ai de yeux que pour toi. » Lâcha-t-il contre ses lèvres qu’il mordilla doucement, pour la voir s’enflammer encore un peu plus, ses doigts décidant de venir au plus près de son intimité pour lui infliger le même supplice. « Alors continue mon amour. J’veux qu’on s’aime toujours plus fort… » Murmura-t-il, poussant un long soupir lorsque leurs corps ne firent finalement plus qu’un, Niels laissant son souffle s’écraser dans le cou de son amour, en profitant pour lui laisser des marques. « Putain… Je t’aime tellement Aelya… Que toi… » Répondit-il, le coeur au bord des lèvres, lui qui ne savait plus comment exprimer l’amour qui bouillonnait en lui à chaque fois qu’il la regardait, sa langue caressant amoureusement la sienne dans leurs baisers amoureux, Niels continuant d’accompagner les ondulations de sa femme, ses paumes pressant ses hanches pour la faire danser sur lui. « T’as toujours les mots pour me flatter toi hein… » Sourit-il, son coeur battant plus vite à chacune de ses paroles, retrouvant une nouvelle fois le chemin de ses lèvres avant qu’il ne décide de basculer sur elle, comprenant dans le ton de sa voix et dans ses mots qu’elle désirait plus, qu’elle voulait le ressentir encore plus profondément en elle. « T’auras tout bébé… J’veux jouir en toi… » Murmura-t-il contre ses lèvres, positionnant son bassin entre ses cuisses pour reprendre ses coups de rein, menant leur danse charnelle, accélérant soudainement le rythme jusqu’à entendre leurs peaux claquer l’une contre l’autre, témoignant de la force de ses ondulations, Niels gémissant plus fort sous le plaisir intense qui parcourait son échine, son corps se collant à celui d’Aelya. « Han bébé… » Souffla-t-il, fermant les yeux en s’imprégnant de ses mots, de la sensation de ses ongles qui s’enfonçaient dans sa peau, Niels continuant de maintenir la cadence de leur échange, son bras passant sous la cuisse de son amour pour la surélever, lui qui voulait qu’elle puisse le sentir au plus près d’elle. « Oui mon bébé… J’vais venir… » Lâcha-t-il, criant son plaisir qui résonnait dans la pièce, jusqu’à ce qu’il n’explose de passion contre elle, sa peau se parsemant de frissons alors que son corps entier vibrait de bonheur. « Mon coeur… C’était incroyable… » Souffla-t-il, redressant son visage pour retrouver le regard de sa femme, souriant à ses mots qui complimentaient leurs ébats, répondant à son baiser rapide avant de lui adresser un regard joueur. « C’est beaucoup trop bon… J’prends mon pied bébé, tu sais pas comment… » Ajouta-t-il, restant contre elle, leurs corps toujours liés l’un à l’autre. « J’suis bien comme ça, en toi… J’adore ça… » Murmura-t-il, ses mains venant dégager les mèches de son visage, en profitant pour déposer une multitude de baisers sur sa joue, son front, sa mâchoire avant que ses lèvres ne finissent par s’échouer contre les siennes. « T’as peut-être envie de dormir maintenant mon bébé…? » Souffla-t-il, ses mots entrecoupés par ses baisers.

Tout s'était enchainé dans son coeur qui s'était laissé enchainer au sien, s'attachant à ses blessures dans lesquelles les siennes faisaient miroir, leurs personnalités se reflétant dans leurs similitudes qui s'étaient révélées peu à peu. Si elle avait eu le coup de foudre dès le premier regard, elle avait mis du temps à comprendre que ce courant qui avait électrisé ses sens lui avaient redonné la vie à cette soirée, à cette première fois pour ses sentiments qui s'étaient enflammés. Son regard avait été comme une bombe incendiaire pour son âme glacée, Aelya venant tout naturellement tomber dans ses filets qui lacéraient sa raison depuis maintenant trois ans.

- Tu sais pas comme je me sens crever sans toi... Souffla-t-elle à ses mots, désirant lui faire comprendre qu'elle savait ce que son absence lui provoquait, elle qui détestait ce vide qu l'habitait dès qu'ils se séparaient. C'est tout l'objectif de ma vie, te rendre complètement fou, fou de moi... Sourit-elle en coin, son regard traversant son beau visage jusqu'à dévorer ses lèvres de cette lueur qui ne la quittait jamais avec Niels, sa main s'infiltrant dans son boxer pour tenter son désir à se durcir, Aelya qui sentait son envie exploser à mesure que ses caresses portaient leurs effets, réveillant en eux la fougue qui les empoisonnait délicieusement, jusqu'à amener Aelya à se positionner sur son bassin, ses hanches la guidant à l'effleurer avec toujours plus de fièvre pour qu'ils se sentent mutuellement s'embraser sous les frottements de leurs anatomies nues. Tu peux pas savoir comme personne existe depuis que je t'ai vu la première fois... Avoua-t-elle amoureusement contre ses lèvres, ses muscles se contractant au moment où sa main se fraya un chemin entre ses cuisses, habillant sa peau de frissons sous l'effet du plaisir qui l'atteignait profondément. Ce sera pas difficile de t'aimer plus fort toi mon bébé, admit-elle, consciente que plus les minutes défilaient, plus son amour grandissait, bouleversant peu à peu son organisme qui le respirait, qui le voulait.

Elle lia doucement leurs deux corps dans un soupir de soulagement, son bassin dansant sensuellement sur lui, chevauchant son désir pour le pousser toujours plus loin dans son désir, dans son plaisir, elle qui savourait l'éclat de leur alliance harmonieuse. Ses lèvres contre les siennes, elle l'embrassa avec passion, avec tous les sentiments qui implosaient dans sa cage thoracique pour lui, sa peau caressant fiévreusement la sienne alors qu'elle se fondait en lui avec amour.

- En même temps bébé j'dis la vérité, t'es un dieu vivant, sourit-elle amoureusement entre deux baisers, son corps s'allongeant sur le sien pour le ressentir au plus près, elle qui pouvait sentir les teintes de son parfum, sa chaleur se confondant à la sienne dans des gémissements de plus en plus bruyants, jusqu'à ce qu'elle ne le laisse inverser leur position pour lui permettre de mener la danse endiablée de leurs âmes qui se retrouvaient. Oui, viens en moi mon bébé... Souffla-t-elle dans un soupir passionné, son regard assombrit par sa fougue.

Son bassin allant et venant en elle vint la faire expier davantage de soupirs, elle qui ouvrit encore plus ses cuisses pour le guider à l'intérieur de son corps plus sauvagement, ses bras s'enroulant autour de son amour pour qu'il puisse se coller à sa poitrine qui vibrait sous l'effet de ses battements cardiaques. Elle s'envolait dans ses bras, oubliant tout autour d'elle, ne voyant que lui et sa beauté s'imprimer sur sa peau rougie par l'effort. Elle criait de plaisir, sa voix résonnant entre les murs de la chambre alors que son bassin claquait contre le sien, les portant tous les deux vers l'orgasme qui les foudroya, Aelya qui frémissait contre lui, atteinte par cette délicieuse détente qui vint lui couper le souffle.

- C'est toi qui es incroyable mon bébé... T'as le secret pour me faire rêver, ajouta-t-elle amoureusement, attrapant ses lèvres rapidement lorsqu'il releva la tête. Je choisirai toujours nos moments à tous les autres mon amour, j'suis accro à toi, à ton corps, avoua-t-elle, savourant leur liaison toujours effective, la chaleur de sa peau humide contre la sienne la sécurisant. J'aime beaucoup trop aussi bébé, je suis vraiment la plus heureuse du monde quand t'es collé à moi comme ça... Renchérit-elle, souriant en sentant les douces pressions de ses lèvres sur son visage qui vinrent s'échouer après sur ses lèvres. J'vais bien dormir là, grâce à mon homme qui m'a super bien détendu, sourit-elle tendrement, sa main caressant doucement sa joue. Dors contre moi mon bébé... J'veux pas qu'on se sépare, ajouta-t-elle en prenant sa main pour déposer une multitude de baisers sur sa peau. Tu me fais l'amour demain au réveil ? Demanda-t-elle, amusée, ses yeux se fermant doucement sous l'effet de la fatigue.

Il ne regrettait rien, pas même les nombreuses fois où il s’était dangereusement approché de la mort, parce-que ça lui avait permis de prendre conscience de la valeur de sa vie qui était intimement liée à celle de son amour. Niels était ce qu’il était et sûrement qu’il continuerait à prendre des risques inconsidérés si c’était pour sauver la peau de la femme qu’il aimait. Parce-qu’elle passerait toujours avant lui, avant le monde entier, lui qui ne vivait que pour voir ses yeux briller et entendre son coeur palpiter. « J’te laisse pas sans moi mon amour… C’est nous deux ou rien… » Murmura-t-il, prenant conscience qu’il aurait du mal à la voir encore partir, même le temps de quelques jours, lui qui sentait le monde s’écrouler à chacun de ses départs. « On peut dire que tu l’as réussi bébé… J’suis complètement fou de toi… » Lâcha-t-il contre ses lèvres, admettant volontiers qu’il était tombé dans ses filets depuis le premier soir, et qu’il le refaisait à chaque fois qu’ils étaient ensemble, Niels qui tombait éperdument amoureux d’elle dés lors que leurs regards se croisaient. Il vibra à ses mots, à ses caresses qui s’intensifiaient, son intimité se raidissant entre ses doigts délicats, jusqu’à ce qu’elle ne vienne confronter son membre à son entrejambe, le laissant glisser entre les pans de son envie. « Le monde peut bien disparaître bébé… J’le remarquerais même pas tellement que j’vois que toi… » Souffla-t-il, le coeur au bord des lèvres, les siennes lui décrivant tout l’amour qu’il lui portait, conscient que les mots ne seraient jamais assez puissants pour décrire tout ce qu’il pouvait ressentir à son égard. Ils se lièrent l’un à l’autre dans un souffle amoureux, s’abandonnant de la plus belle des façons dans cette étreinte qui n’était qu’une preuve de plus de la force de leur union, Niels plaquant ses lèvres contre les siennes pour lui traduire le bien qu’elle lui provoquait. « Un dieu pour une déesse… C’est plutôt bien tombé, tu trouves pas ? » Joua-t-il, amusé par la balle qu’ils se renvoyaient sans cesse, Niels gardant le corps de son amour contre le sien alors qu’elle s’allongea sur lui, ses paumes parcourant tout son dos, reproduisant le trajet de sa colonne vertébrale avant de presser sa chute de reins sous l’effet du plaisir. Il se retrouva rapidement sur elle, ayant l’envie de l’entendre crier sous ses coups de rein, Niels prenant vite le rythme en main, ses gémissements résonnant à l’unisson avec ceux de sa femme. Alors que son bassin claquait de plus en plus vite contre le sien, il nicha son visage dans le creux de son cou pour étouffer ses cris de plaisir, vibrant à chacun de leurs mouvements alors que son corps entier était pris dans ce délicieux incendie dont ils étaient tous les deux victimes, jusqu’à l’atteinte du nirvana qui les laissa à court de souffle. « Qu’est-ce que je t’aime mon amour… Tu sais pas à quel point tu me fais du bien toi… » Murmura-t-il, la laissant accrocher ses lèvres lorsqu’il releva la tête pour contempler son amour. « J’suis dingue de toi… J’veux qu’on continue à faire l’amour comme ça mon bébé, comme des sauvages… » Souffla-t-il avec un sourire en coin, sa bouche taquinant la sienne, jusqu’à laisser ses dents tirer doucement sur sa lèvre inférieure, lui qui n’avait toujours pas rompu leur étreinte. « Tu m’autorises à rester alors… ? Toute ta vie ? » La chercha-t-il, continuant déteindre les flammes de leur passion en embrassant son visage, le parsemant de baisers amoureux pour chercher à la faire crouler sous tout cet amour qu’il avait à lui offrir. « Oui mon amour, dors… T’as eu une journée compliquée… » Souffla-t-il, abaissant le ton de sa voix pour ne pas agresser ses tympans, lui qui voulait voir Aelya se détendre et s’endormir doucement. « J’suis là mon coeur, j’te quitte pas… » Ajouta-t-il avec un doux regard, cillant en la voyant embrasser sa peau, Niels basculant sur le côté, ramenant Aelya contre son torse, son bras entourant son abdomen après qu’il ait replacé les draps sur leurs deux corps. « Evidemment que j’te fais l’amour demain matin mon ange… J’vais te faire ta fête… » Murmura-t-il, restant collé à elle, sa respiration se calant sur la sienne, calme et sereine, Niels finissant par s’endormir après lui avoir répété qu’il l’aimait comme un fou. Il ne l’avait pas entendu bouger pendant la nuit, endormi profondément, rassuré par la chaleur de sa peau et son doux parfum qu’il sentait tout près de lui, lui qui finit par ouvrir les yeux au petit matin, sa main tâtant le drap à l’aveugle en comprenant qu’Aelya n’était pas à sa place. « Bébé… » Dit-il d’une voix matinale, ouvrant difficilement les yeux pour apercevoir son amour déjà apprêtée, Niels pouffant de rire sans comprendre ce qui était en train de se tramer. « T’es complètement cinglée bébé, déshabille-toi et reviens ici. J’dois te faire l’amour en plus… » La chercha-t-il, taquin.

Elle avait consolidé son monde dans le sien, ses limites s'ouvrant dans les siennes pour grandir dans leurs personnalités, dans leur fonctionnement qui avait évolué au gré de leur relation. Elle n'aurait jamais pensé pouvoir se noyer dans l'amour, celui qui étouffa sa méfiance jusqu'ici abondante sur son être ravagé par le froid.

- Nous deux pour toujours, renchérit-elle amoureusement, le regard animé par cette lueur tendre qui caressait son visage, Aelya qui était toujours affective et attentionnée avec l'amour de sa vie qui voyait une partie de son être que jamais personne ne verrait. Toi aussi t'as réussi ton coup. T'es très doué, ajouta-t-elle, amusée, repensant à tous ses mécanismes qu'il avait progressivement mais surement éteints, ne laissant dans son coeur que cette envie de se blottir davantage contre son être, elle qui s'était faite sienne bien avant de le savoir consciemment, son corps entier ayant répondu à son toucher incomparable pour le choisir pour la vie. Moi aussi mon amour... J'ai mon monde quand t'es là, avoua-t-elle amoureusement, ses doigts s'écartant de son anatomie hypersensibilisée par le désir pour qu'elle ne vienne se poser sur son bas ventre afin de continuer de le pousser à bout, consciente que c'était son envie qui s'embrasait, épousant harmonieusement les contours de son bassin réchauffé par les mouvements avant qu'elle ne laisse son corps fondre dans le sien dans un souffle abîmé par cette attente qui l'avait rendu dingue. On est pas le meilleur duo pour rien. T'es mon partenaire à vie amour, sourit-elle contre ses lèvres qu'elle embrassa fougueusement, son bassin ondulant avec sensualité sur lui, désirant le couvrir de cette attention qu'elle ne possédait que pour Niels.

Elle s'allongea sur lui, gémissant à chaque fois qu'il entrait en elle pour mieux la remplir de sa présence, sa peau vibrant de chaleur contre la sienne tandis que ses hanches rougissaient sous la pression de ses mains qui la guidaient dans ses coups de reins. Elle s'enveloppa dans son étreinte quand il vint se réfugier contre elle, ses cuisses s'enroulant autour de son dos pour le plaquer contre sa poitrine qui se déployait sous l'effet de ses respirations anarchiques, le cadre du lit tapant contre le mur à mesure qu'il augmentait la cadence. Elle se nourrissait de chaque souffle bruyant qu'il laissait dans le creux de son cou, ses doigts s'attachant passionnément à ses cheveux pour le maintenir contre elle, criant de plaisir en percevant les vibrations de sa peau qui claquait contre la sienne, jusqu'à l'atteinte de leur orgasme qu'ils vinrent accueillir mutuellement.

- T'es mon rêve, répondit-elle amoureusement en accrochant ses lèvres. Han oui mon amour... J'veux ta sauvagerie au lit jusqu'à la fin, j'en suis trop addict, sourit-elle en coin alors qu'il tira doucement sa lèvre, son regard le cherchant de manière joueuse. T'as même intérêt oui, affirma-t-elle en se laissant doucement embrasser, adorant subir les pressions amoureuses de ses lèvres sur son visage qui la reposaient au point où ses yeux commençaient doucement à se fermer. Me quitte jamais amour. J'peux pas sans toi, lui rappela-t-elle après avoir embrassé sa main, se blottissant au plus près de lui lorsqu'il se décala sur le côté, Aelya nouant ses doigts avec les siens, posés sur son ventre. J'ai pas encore la voix assez brisée en plus... Faut que tu arranges ça, sourit-elle doucement avant de sombrer dans le sommeil.

Elle avait peut-être dormi deux ou trois heures avant de s'agiter dans les draps, peinant à faire le point sur sa situation professionnelle, elle qui se confrontait à ses songes dans le creux de l'obscurité. Les effets de leur étreinte dissipés par le temps, c'était comme si la vague de doutes revenait la submerger de plus belle, l'invitant même à relire les sms de Nick dans la nuit pour se rappeler de ce qu'elle risquait en le tentant comme ça. Quelques heures plus tard c'était avec le coeur lourd qu'elle s'habilla, laissant Niels se reposer, elle qui se doutait bien de sa réaction qui ne se ferait pas attendre. Si elle avait toujours voulu le choisir lui, elle savait qu'elle le retrouverait le soir-même, ce qui ne serait pas le cas de son travail si elle le perdait. Animée par la peur de perdre son job, elle se força à se donner raison, consciente qu'elle cherchait surtout à annihiler la crainte d'une dispute avec son amour qui se réveilla peu après.

- Mon amour, on aura tout le temps de faire l'amour ce soir. J'pars faire mes dédicaces, admit-elle en évitant son regard, continuant de se préparer dans le miroir. J'peux pas prendre ce risque après tout l'acharnement que j'ai donné pour avoir ces résultats, se justifia-t-elle avant de se retourner. J'vais prendre des vacances après cette semaine mon amour, on profitera que tous les deux, tenta-t-elle de se rattraper, cherchant son regard. S'il te plait m'en veux pas... Tu sais très bien que j'suis ici pour bosser et que je peux pas non plus faire comme je veux tout le temps...

Son univers ne se résumait qu’à son simple prénom, celui qui tournait sans arrêt dans son esprit, lui permettant de rêver toutes les nuits de celle à qui il appartenait. Il l’aimait entendre ses promesses, imaginer que l’éternité pouvait exister pour eux deux, qu’ils seraient ensemble même lorsqu’ils auraient rejoint l’au-delà. « Ah ouais…? T’es sous mon charme bébé ? » S’amusa-t-il, jouant avec la proximité de leurs visages pour caresser ses lèvres, son corps s’enflammant en percevant sa main encercler son anatomie qu’elle caressait, Niels ne lâchant pas son regard alors qu’elle rapprochait leurs corps davantage. « Bébé… J’te veux toi pour la vie… » Souffla-t-il alors qu’elle lia finalement leurs âmes de la plus belle des manières, Niels poussant des gémissements sous l’effet du plaisir que lui procurait Aelya et les frictions de son bassin qui allait et venait contre le sien. Il vivait un rêve à chaque fois qu’ils s’abandonnaient l’un à l’autre de cette manière, Niels peinant à réprimer son plaisir qui se faisait de plus en plus bruyant à mesure qu’Aelya accélérait la cadence, ses mains posées sur sa chute de reins continuant de guider ses ondulations. Alors que la tension devenait insoutenable, Niels bascula sur Aelya, calant son bassin entre ses cuisses pour la guider jusqu’au nirvana avec lui, son corps vibrant sous l’effet de l’orgasme qui le percuta. « Putain bébé… Si tu savais comme tu me fais du bien… » Souffla-t-il, sentant encore le plaisir se propager dans ses membres, ses muscles se relâchant complètement. « J’vais faire de mon mieux pour te combler mon amour. » Sourit-il contre ses lèvres qu’il agrippa avec ses dents, Niels laissant sa bouche glisser sur le visage de son amour, lui offrant de tendres baisers pour l’inciter à sombrer peu à peu dans le sommeil qui l’appelait. « J’suis là mon amour. » Souffla-t-il amoureusement, basculant finalement dans son dos où il passa son bras autour d’elle, la maintenant contre son torse pour continuer de lui transmettre sa chaleur, ses doigts se refermant autour des siens. « Demain matin, première heure. » S’amusa-t-il en chuchotant, finissant par s’endormir à son tour, bercé par le doux son de sa respiration et par sa présence rassurante. Sans même avoir remarqué l’agitation de son amour pendant la nuit, Niels finit par ouvrir les yeux de bon matin, sentant la place d’Aelya vide, refroidie par son absence inhabituelle. Ses yeux se posèrent sur sa silhouette déjà vêtue et apprêtée, lui qui ne comprenait pas pourquoi elle s’était extirpée aussi rapidement des draps, l’incitant à revenir se réchauffer contre lui, sa réponse lui faisant comprendre qu’elle ne reviendrait pas. Il fronça les sourcils, ses mots le sortant définitivement de son demi-sommeil, Niels se redressant légèrement pour s’asseoir dans le lit. « Quoi ? » Lâcha-t-il, peinant à croire qu’elle était sérieuse, cherchant son regard qu’elle fuyait. Il la laissa terminer, son coeur loupant plusieurs battements, lui qui ne comprenait pas ce revirement de situation qui ne faisait aucun sens dans son esprit. « Mais qu’est-ce que tu racontes ? Tu vas quand même pas y aller après tout ce qu’il t’a dit ?! » Lâcha-t-il, peinant à contrôler son ton, lui qui avait l’impression de ne plus reconnaître Aelya dans sa manière d’agir. Il se redressa dans la précipitation pour venir jusqu’à elle, captant son regard pour tenter de la faire changer d’avis, sa main cherchant doucement la sienne. « Bébé… S’il-te-plaît, réfléchis… Il te virera pas, il a aucune raison de le faire. Si t’y vas aujourd’hui, tu le laisses gagner. Tu lui montres qu’il peut faire ce qu’il veut de toi… T’es pas sa marionnette Aelya, et faut qu’il se le mette dans la tête. »

Elle arqua un sourcil amusé à sa question, repensant à son coeur qui avait explosé lors de leur premier échange de regards, elle qui était irrévocablement tomber sous son charme, pour lui tout court. Il ne faisait aucun doute qu'elle avait rayonné cette soirée, Aelya qui était sortie de son existence mortuaire pour goûter à la vie sur ses lèvres.

- Ca se voit pas depuis le temps que je t'ai dans la peau ? Le chercha-t-elle sur le même ton, sa main glissant jusque dans le creux de son anatomie pour l'enflammer, révélant son envie maintenant plus que palpable entre ses doigts qui s'enroulaient autour de lui. J'veux l'entendre toute ma vie ça... Souffla-t-elle amoureusement, la respiration bousculée par son envie qui grondait à l'intérieur de son corps.

Elle s'éprendrait de lui jusqu'à la fin, eux dont leurs peaux étaient entrées en collision pour se fondre dans l'une et l'autre, s'amenant doucement mais surement vers l'explosion de ces frictions délicieuses dans lesquelles Aelya se perdait, s’époumonant dans ses gémissement qui résonnaient dans la pièce. S'abandonnant complètement à lui comme à son habitude, c'était pourtant comme une première fois à chaque fois qu'elle redécouvrait la douceur et la chaleur de son corps, la courbure de ses muscles qui se contractaient contre elle, le faisant entrer dans son univers qui ne s'ouvrait que pour son mari. Ses ongles s'accrochèrent dans son dos lorsqu'il bascula contre elle, l'incitant naturellement à expier davantage de cris qui s'inscrivaient dans son plaisir, celui dont elle vint percuter le sommet quelques minutes plus tard dans ses bras.

-  Et toi bébé... J'pourrais m'enivrer de toi toute la vie. T'es ma seule drogue, avoua-t-elle, encore bouleversée par son plaisir qui courait encore dans ses veines. Tu le fais déjà très bien et tout le temps, affirma-t-elle tendrement, son visage s'illuminant doucement sous ses baisers qui glissaient sur son visage, l'apaisant jusqu'à ce qu'elle ne ferme les yeux. Reste pour toujours mon coeur... Souffla-t-elle entre le sommeil et l'éveil, son dos venant s'imbriquer à la courbure de son torse lorsqu'il se colla à elle.

Elle sourit doucement à sa dernière remarque avant de sombrer dans ses rêves qui la happèrent, elle qui ne trouva finalement pas un repos stable, ses doutes venant s'infiltrer dans ses songes pour la faire douter, inscrire de l'appréhension là où il n'y avait plus eu quand Niels s'était donné à elle. C'était finalement tout ce qu'avait voulu Nick, lui qui avait réussi à la tirer du lit à une heure très matinale pour la guider vers la séance de dédicace qu'elle n'avait pas prévu de faire. Tendue par sa frustration, son coeur accéléra le rythme lorsque Niels se réveilla, ne comprenant pas ce retournement de situation.

- Tu comprends pas ! Lança-t-elle, évitant son regard qui pouvait lui aussi la faire douter de ses choix, de ce qu'elle voulait vraiment et qui se trouvait devant elle à lui demander des comptes.

Son regard vint capter le sien quand il se positionna devant elle, le contact de sa main dans la sienne activant son coeur, jusqu'à ce que ses mots interprétés maladroitement ne lui fasse froncer les sourcils.

- D'accord donc, tu préfères que je t'écoute, que je reste avec toi pour que je sois finalement plus sa marionnette mais la tienne ? Qu'est-ce qui tourne pas rond chez vous deux en fait ? Vous en avez pas marre de vous battre et de me prendre pour un trophée là ? S'énerva-t-elle, lâchant sa main. Lui il a pas compris que j'étais pas sa chose, mais toi non plus. Tu peux pas me faire culpabiliser à chaque fois que je choisis juste de bosser. J'étais pas là pour les vacances de base, et tu le savais. Et tout ce que tu fais depuis le départ c'est de me faire penser que j'fais des erreurs quand je choisis mon boulot à toi. Sauf que ça a toujours été toi, Niels.

Elle passa nerveusement ses mains dans ses cheveux, son regard s'éparpillant partout dans la pièce pour revenir à son mari.

- Tu crois que ça va se terminer comment, si à chaque fois qu'on me demande de faire des trucs, je refuse ? J'vais encore être virée ! Et même si on est plus dans le rouge c'est pas une raison pour le refaire en fait ! On pourra jamais avoir d'enfants si à chaque difficulté professionnelle, on préfère fuir, ajouta-t-elle, le visage crispé par la nervosité.