my mistake (april)

En arrivant à Bowen Charly a tout de suite pris contact avec l’équipe de rugby locale. Il pratique ce sport depuis qu’il est tout petit et ne se voyait pas arrêter ce sport à cause de son déménagement. Heureusement en Australie il y a du rugby partout, il n’avait donc aucune inquiétude de trouver une équipe à Bowen, même si son effectif est plus modeste que l’équipe dont il faisait parti à Perth. Le jeune homme s’est vite intégré à l’équipe, participant aussi bien aux entraînements qu’aux diverses activités organisées par l’équipe pour renforcer les liens. C’est ainsi qu’ils se sont tous retrouvés au parc afin de pic-niquer, faire un peu plus connaissance, boire quelques bières et bien sûr, échanger quelques passes. Après avoir tous bien mangés, ils se mirent à lancer la balle, histoire de s’amuser un peu, sans contact, histoire qu’il n’y ait pas d’accident après un repas plutôt copieux. Tout se passait bien, jusqu’à ce qu’un des coéquipiers de Charles lui fasse la passe. La passe en question était un peu trop longue mais plutôt que de laisser la balle partie, le jeune homme décida d’essayer de l’attraper malgré tout. Mais il arriva trop tard et trop vite, elle venait de percuter de plein fouet quelqu’un qui passait par là. Le jeune homme qui fonçait à pleine balle et allait emprunter le même chemin que le ballon, s’arrêta comme il put pour ne pas percuter à son tour la personne qui n’avait rien demandée. « Désolé ! Vous allez bien ? » demanda-t-il alors, inquiet de savoir si la pauvre victime n’avait rien.

C’était une belle journée aujourd’hui. T’en voulais à Esras d’avoir oublié ton anniversaire mais t’avais décidé de l’ignorer totalement. Alors, t’avais pris ta journée pour prendre soin de toi. Après avoir passé deux heures chez le coiffeur pour te faire couper les cheveux et refaire ta couleur blonde, tu étais partie faire un tour au jardin botanique. En ce moment, ça allait plutôt bien dans ta vie, t’étais pas trop mal à ce niveau là. Juste que ton mec avait oublié ton anniversaire, c’est tout. Tu étais partie te consoler ailleurs, comme tu le faisais souvent vu que vous étiez un couple ouvert. Alors que tu marchais dans le jardin botanique, tes écouteurs dans les oreilles et tes lunettes de soleil sur le nez, tu voyais quelque chose et quelqu’un arriver vers toi. Et t’as juste eu le temps d’enlever tes lunettes de soleil que tu recevais un ballon de rugby en pleine tête. « Aoutch » dis-tu simplement alors que tu venais de recevoir le projectile en pleine tête. Ça t’avait un peu sonné, t’avais pas vraiment fait attention. Et en plus de ça, ça t’avait fait tombé par terre. Un jeune homme arrivait vers toi, très charmant d’ailleurs et il te demandait si ça allait bien. Assise par terre, tu te frottais un peu la tête. « Ça va, j’suis un peu sonnée par votre ballon et j’ai du certainement perdre quelques neurones » dis-tu avec un petit rire nerveux.

@Charles Verczinsky

Charly espérait vraiment que la jeune femme qui venait de se prendre en pleine tête un ballon de rugby allait bien. Si lui est habitué à recevoir des ballons, des coudes ou des pieds dans la tête, le commun des mortels qui ne pratique pas le rugby n’est pas forcément habitué à ce genre de chocs. Elle était même tombée du choc, heureusement l’herbe est une matière plutôt molle qui absorbe les chocs. En tout cas elle a l’air consciente puisqu’elle bouge et qu’elle lui répond même, une plutôt bonne nouvelle. Elle lui répond qu’elle est seulement un peu sonnée et avec quelques neurones de moins. « Si vous avez juste perdus quelques neurones tout va bien. » lui répond-il, rassurant. « Je peux regarder si tout va bien au niveau de votre tête ? » demande-t-il alors histoire d’être sûr que le choc ne cache pas quelque chose d’autre qu’elle ne sent pas encore. Il n’est pas médecin mais avec le rugby il a quelques connaissances puisqu’il n’est pas rare que lui ou quelqu’un d’autre se blesse pendant les entraînements ou les matchs. Le ballon est un projectile lisse donc il y a peu de chances qu’elle ait quelque chose de pire qu’un gros bleu mais il préfère vérifier, par acquis de conscience. Vu le choc elle ne risque pas un traumatisme crânien ou alors elle a une tête bien fragile, tout ira bien pour elle.

Couper par le jardin botanique, ça t’avait valu une mauvaise mésaventure pour rentrer chez toi. En effet, alors que tu marchais avec tes écouteurs dans les oreilles et tes cheveux fraichement soignés au vent, tu te prenais un ballon de rugby en pleine tête. T’en avais perdu l’équilibre et t’étais tombé sur tes fesses. Un jeune homme arriva vers toi, tout paniqué d’avoir heurté la tête de quelqu’un et il venait à ta rencontre. Il t’aidait à te lever et tu étais un peu sonné. « Oui, j’peux les récupérer facilement, ça va » dis-tu dans un petit rire. Tu savais pas vraiment ce que tu disais, mais bon c’pas bien grave. Tu te frottais un peu la tête à cause du choc. « Oui oui, allez-y mais j’suis sûre que ça va ! » ajoutas-tu en mettant tes cheveux en arrière et derrière tes oreilles. Ça se trouve t’allait avoir quelque chose mais tu pensais seulement à un bon gros bleu sur le front et ça ira. C’est juste que le choc était assez violent sur le coup. « Ça vous arrive souvent d’envoyer des ballons de rugby sur la tête des passants ? C’est comme ça que vous rencontrez des gens ? » demandas-tu avec un léger rire. Ta phrase n’était pas du tout méchante, au contraire. Mais c’était une façon comme une autre de faire des rencontres, même si un tantinet violente. Tu voyais au loin les amis du joueur de rugby entrain de tous l’observer un par un, ça te faisait sourire. « Alors, est-ce que j’vais mourir docteur ? » demandas-tu avec un petit rire alors qu’il avait fini t’observer ton visage.

Il n’était pas question pour Charles de laisser filer la jeune femme sans avoir rapidement vérifié qu’elle n’a rien de grave, à première vue. Il pourrait l’emmener à l’hôpital mais il se dit que ça serait sans doute un peu excessif par rapport à ce qu’il lui est arrivé. Elle l’autorisa à l’ausculter même si elle lui assura que ça allait. Le jeune homme posa alors doucement ses doigts sur le front de la jeune femme pour regarder d’un peu plus près l’impact. Elle lui demanda alors si lancer des ballons dans la tête des gens était une technique pour lui pour rencontrer du monde. Il sourit avant de lui répondre «  Non mais les gars savent pas toujours viser. » Il désigna du menton les quelques hommes qui se trouvaient plus loin, en train de les regarder. « Je pense que vous n’aurez qu’un bleu. » la rassura-t-il. Ok ce n’est pas si grave mais bon un gros bleu au milieu du front ce n’est pas franchement ce qu’il y a de plus esthétique. « Mais je ne suis pas médecin. » ajouta-t-il pour ne pas que son diagnostic donne l’impression d’être une vérité absolue. Il aurait pu si, parmi les études prestigieuses que ses parents voulaient pour lui, il avait choisi la médecine plutôt que le droit. Charly récupéra ensuite le ballon tombé au sol et le renvoya vers ses coéquipiers. « Vous voulez que je vous aide à vous relever ? » demanda-t-il en lui tendant la main.

Encore sur les fesses, tu étais bien sonnée. Mais bon, ça allait passer dans quelques minutes. Un charmant jeune homme était venu à ta rescousse. Enfin, c’est ce que tu pensais. Il était charmant et il venait t’aider. Mais il était aussi responsable de ta chute et de ta future bosse sur le front que tu aurais demain matin. « Il faudrait peut-être leur apprendre alors » dis-tu avec un léger rire, en te front le front. Alors qu’il inspectait ton visage, il te confirmait ce que tu pensais. Demain, ce ne sera qu’un seul bleu qui trônera sur ton front et rien de bien méchant. T’as la tête dure, Wellington. « Je pense la même chose, mais j’suis pas médecin non plus. J’essayerai d’aller en voir un, si ça peut vous rassurer » dis-tu avec un léger sourire. Tu n’irais surement pas, tu disais ça seulement pour le rassurer. Enfin, sauf si ton état empirait mais tu ne craignais rien, c’était seulement un ballon de rugby. Il te proposa de t’aider à te relever et tu hochais la tête positivement. Tu attrapais sa main et il t’aidait à te remettre sur tes deux jambes. « Merci » soufflas-tu en remettant ton sac sur ton épaule. Avec un sourire, tu te présentais à lui. « J’m’appelle April, j’vous dis mon prénom au cas où vous voyez un avis de décès dans le journal de demain » dis-tu en lui faisant un clin d’oeil. C’était bien sûr une blague, mais bon, tu voulais quand même te présenter à lui.

D'ordinaire les coéquipiers de Charly s'en sirtent plutôt bien dans leurs lancers. Il arrive cependant qu'il y ait des ratés. Lorsqu'ils sont sur le terrain, aux entraînements, ce n'est pas trop un problème, il faut juste aller courir pour récupérer la balle mais dans un jardin public avec du monde qui se balade, ça peut s'avérer plus dangereux. Le jeune homme est du genre assez responsable et il ne comptait pas juste s'excuser pour le ballon et repartir, non il veut aussi être sûr que la jeune femme va bien. Éventuellement aussi qu'elle n'ira pas au commissariat pour les dénoncer. De par son ancien métier, il sait bien que parfois les gens portent plainte pour pas grand chose temps que ça peut leur faire gagner de l'argent. « Oui ça me rassurerait. » Même s'il ne pense pas qu'elle ait grand chose, il préférerait qu'un professionnel s'en assure. Il attrapa ensuite la main de la jeune femme pour l'aider à se relever. Elle ne perdit pas l'équilibre ce qui est plutôt bon signe. Celle-ci lui donna son prénom, précisant qu'au moins il saura si elle figure dans les avis de décès. « Je crois que j'aurais préféré vivre dans l'ignorance. » Répondit-il avec un rire avant d'ajouter « Je m'appelle Charly mais j'espère ne pas être dans le journal demain. » Si c'était le cas, la jeune femme n'y serait pas pour rien ce qui ne me rassure pas vraiment. « Si jamais cette première expérience ne vous a pas refroidi, notre équipe féminine recrute. » Dit-il, toujours prêt à recruter.

C’était dangereux maintenant de passer par là. Tu venais de te prendre un beau ballon sur la tête et ça t’avait bien amochée. Heureusement pour toi, tu t’en sortais seulement avec un bleu, certes en plein milieu du front, mais c’était mieux qu’une commotion cérébrale, hein. Le jeune homme qui était venu s’assurer que tu allais bien t’avait aidé à te relever pour que tu sois sur tes deux jambes. Tu l’avais remercié. « J’irai, rien que pour vos beaux yeux alors » dis-tu avec un sourire. Parce que oui, c’est vrai qu’il avait de beaux yeux. Mais faut arrêter d’être toujours dans la drague, Wellington ! Ça se soigne peut être ? Mais c’est pas le sujet, calmes-toi et c’est tout. Tu lui donnais ton prénom pour te présenter à lui et aussi pour faire une petite blague de mauvais goût. Mais cette blague avait marché puisqu’il irait et tu joignais ton rire au sien. « Enchanté, Charly, même si j’aurai préféré vous rencontrer dans d’autre circonstances » dis-tu avec un sourire. Il te parlait ensuite de l’équipe de rugby féminine de Bowen et tu ne pouvais pas t’empêcher de pousser un léger rire. « Oh, j’adore regarder le rugby mais j’suis plutôt talons aiguilles et nail art alors c’est pas trop fait pour moi » dis-tu avec un léger rire. Tu faisais très attention à ton apparence et t’aimais pas trop le sport en général. Le seul que tu pratiquais avant, c’était la danse. Et ça resterai ainsi surement jusqu’à la fin de tes jours.

La jeune femme accepta d’aller voir un médecin, glissant un compliment à Charly au passage. Celui-ci ne releva pas cette tentative de drague, n’étant pas vraiment intéressé par la question. Il n’est pas trop du genre à draguer quelqu’un trente secondes après l’avoir rencontré, ni à s’impliquer seulement le temps d’un instant. Il est plutôt adepte des histoires longues, romantiques, ayant pour but le mariage et la création d’une famille. Ça peut paraître vieux jeu mais c’est ce dont il a envie et la raison pour laquelle il est toujours célibataire aujourd’hui. Enfin ça et le fait qu’il n’a pas tourné la page de son divorce. La jeune femme se présenta et il en fit de même. « Oui moi aussi, j’aurais préféré que ce ballon passe dix centimètres à côté. » lui dit-il avec un sourire. Au moins il n’aurait pas eu à s’inquiéter de son état et elle aurait pu continuer son chemin sans que chemin il ne croise celui de Charly. Ne manquant pas une occasion pour faire de la pub, il tenta de la recruter dans le club mais elle ne semblait pas trop vouloir s’engager dans un sport. « Ah, les deux sont pas incompatibles ! Mais sinon on dit jamais non à quelques encouragements pour nos matchs. » Il ne perd pas le nord. Si elle ne veut pas jouer, elle peut toujours venir voir les matchs de l’équipe de Bowen et les encourager. Les gens sous estiment souvent l’influence du public dans les résultats sportifs alors qu’inconsciemment il joue sur les performances de sportifs et l’arbitrage.

Même si ce ballon t’avait percuté en pleine tête, tu étais bien contente d’avoir fais la rencontre de ce jeune homme charmant. Il t’avait aidé gentiment à te relever de ta chute sans classe et tu te retrouvais rapidement sur tes deux jambes. Mais tu ne perdais pas le nord, tu étais comme ça, toujours entrain de dire une petite phrase d’accroche, un petit mot dragueur. C’était pas le genre de tout le monde mais c’était le tien. « Moi aussi j’aurai préféré » dis-tu avec un léger rire. Non seulement tu n’aurai pas eu de bosse mais tu te serai tapé moins la honte si tu avais esquivé ce ballon de rugby. Le jeune homme se mettait à essayer de te recruter pour l’équipe féminine de rugby, c’était pas vraiment ton truc. Mais par contre, tu adorai le regarder en stade ou même à la télé. « Ça par contre, je veux bien ! J’suis assez douée pour les encouragements, j’étais cheerleader au lycée » dis-tu avec un petit rire. C’est vrai, tu pouvais très bien aller voir l’équipe de Charly et aller les supporter depuis les gradins. Et c’est à ton tour qu’il te venait une idée pour promouvoir ton métier. « Si un jour vous voulez fêter une victoire comme il se doit, je tiens une boîte de nuit en ville » ajoutas-tu à ton tour, pour l’entrainer à venir au Adam & Yves. Toute pub était bonne à faire après tout.

La drague c’est vraiment pas son truc à Charles. Peut-être qu’avant de rencontrer Jamie il était plus enclin à faire de petits sous-entendus et à jouer les charmeurs, mais ça remonte au début de ses études, autant dire une éternité. Il sait que s’il en avait envie il pourrait connaître quelques aventures sans lendemain mais ce n’est pas vraiment dans ses habitudes. Temps qu’il n’aura pas sorti son ex-femme de sa tête, ce qui n’est pas vraiment dans ses projets, il restera fermé à ce genre de propositions. Mais ce n’est pas pour autant qu’il est fermé au reste, il est même plutôt enclin à se faire des amis ou de simples rencontres. A Perth il pouvait compter sur son cercle d’amis soudés mais ici il ne connaît pas énormément de monde, il doit donc un peu se forcer à créer de nouvelles relations. Et April a l’air tout à fait sympathique, même sans ça il aurait sans doute essayé de la recruter. Il aurait sans doute pu faire commercial dans une autre vie. Si elle ne semble pas emballée à l’idée de rejoindre l’équipe, les encouragements semblent être un peu plus son rayon. « Super ! J’ai hâte de vous entendre nous encourager. » répondit-il avec un sourire avant que la blonde ne fasse sa propre promotion. De ce qu’il a compris, l’équipe a plutôt tendance à passer les après-matchs dans un bar et certains plus fêtards vont en boîte. Charly n’est pas trop fan des boîtes et connaît le Adam & Yves seulement de nom, sans jamais y avoir mis les pieds. « J’en parlerai aux gars. Je suis pas trop boîte moi mais qui sait, je pourrais me laisser convaincre. »

T’avais toujours le flirt facile mais ça plaisait pas à tout le monde. Alors forcément que tu avais fais du rentre dedans à Charly. Il était sympa en tout cas, même si pas trop réceptif à la drague. Pas grave, c’était dans ta nature mais ça te touchait pas en général on était pas aussi avenant que toi. « Avec grand plaisir ! J’ramènerai mes pompoms » dis-tu avec un léger rire. Une ancienne cheerleader comme toi, tu avais encore tes pompoms au placard. Mais non, t’allais pas les ramener dans un stade à un match de rugby. Par contre, tu serais pas contre aller voir un match dans les prochains jours. Peut-être que ça ferait plaisir à ton frère, et que ça lui changerai les idées. Le pauvre Sam, tu le voyais tellement meurtri depuis le décès de ta belle-soeur, ça te faisait du mal. Mais le sujet n’est pas là. « J’veux pas vendre mon établissement mais on est vraiment hors du commun » dis-tu avec un petit sourire. Mais tu disais ça toujours, pour totalement vendre ton établissement. « En tout cas, je serai ravis de vous recevoir avec votre équipe » ajoutas-tu rapidement. Tu reprenais ton téléphone qui était dans ta poche et tu regardais l’heure. T’avais rendez-vous avec tes copines avant d’aller travailler à la boite de nuit ce soir. « En tout cas, j’ai été contente de vous rencontrer » dis-tu avec un sourire sincère. « Je dois y aller. Promis, j’irai chez le médecin avant toute chose » ajoutas-tu avec un petit rire.

hj:

Il imaginait la jeune femme débarquer avec ses pompons de pom-pom girl et ça le faisait sourire. Elle se sentirait sans doute bien seule à s’agiter avec derrière elle les gens dans les tribunes près à crier au moindre essai ou à la moindre faute. Tout comme lui, elle essayait de se vendre, enfin sa boîte de nuit. Il se laissera peut être tenter d’y aller mais danser jusqu’au bout de la nuit n’est pas vraiment dans ses habitudes ni ce qu’il affectionne le plus. Il n’est pas très bon danseur en plus. Et puis pour lui les boîtes c’est pour draguer et ce n’est pas vraiment ce qu’il cherche. Charly a bien mis les pieds en boîte de nuit lorsqu’il a commencé ses études mais il a rapidement rencontré Jamie alors il a arrêté d’y aller et maintenant ça ne le tente plus du tout. Sans doute parce qu’il n’a jamais sorti son ex-femme de sa tête ni de son cœur. « Je me renseignerais alors. » dit-il avant que la jeune femme ne lui explique qu’elle doit filer. Ils n’allaient pas discuter toute la journée de toute façon, lui aussi doit retourner jouer, même s’ils ont déjà repris sans lui. « Bonne journée, j’espère que tout ira bien ! » lui répondit-il avec un sourire avant de retourner vers ses partenaires.

hj : oui on peut archiver là je pense