#77 Interview ! Je le lui dois bien. "Feat Emrys"

Adriel installé à son piano passer le temps en jouant, il adore la musique, dernièrement il sait même mis à la battery, heureusement l’appartement est vide et en dessous c'est une vieille dame, il va la prévenir et tous mimis elle retire les écouteurs de ses oreilles et plus tard et à chaque fois elle lui apporte des gâteaux qui sont drôlement bons ! Mais ici c'est piano, même s'il aurait bien frappé sur les caisses. Il retire ses doigts des notes on a sonné a la porte, un coup d'oeil a la pendule lui dit qu'en effet il est temps d’arrêter. Il ouvre la porte et trouve sont coéquipiers de sauvetage ! Un journaliste qui comme trop n'a pas hésité à venir aider plutôt que de prendre des stupides note ! Il lui serre la main chaleureusement et l'invite à entrer et pousse la porte qui claque, oui c'est une mauvaise Mani de ne pas savoir fermer des portes !

Salut... Tu n'a pas eu trop de mal a trouvé ?!

Oui il le tutoie d'ailleurs il la fait immédiatement lors de l'accident, dans de telles situations on n'est pas là à regardait la politesse, il faut agir et Emrsy avait été parfait il peut se reconvertir s'il le veut ! Il baissa aussi le sont des enceintes qui jouer un air de traviolta qu'ils jouer au piano! Il n’écoute pas que de la musique classique, il écoute de tout en fait ! Mais le classique l'aide à se détendre à clamer la fureur en lui. il va chercher une bière et la lui donne lui à opter pour un jus de fruit ne touchant plus à l'alcool.

Tu sais je risque de ne pas être très à l'aise Bref fait vite les pizzas ne devraient pas tarder...en plus j'ai faim !

Quelques notes de pianos lui étaient perceptibles, mais il n’en était pas certain, puis plus rien. Et quelques secondes plus tard, il a en face de lui le grand gaillard qui sauve de nombreuses vies chaque jour. D’un côté, Emrys aurait aimé savoir en faire autant et il l’admirait pour ça. Il lui serra chaleureusement la main en le saluant avant d’entrer dans l’antre, le petit cocon du médecin en parcourant rapidement la salle du regard. « Oh non, ca va. J’ai un GPS intégré là-dedans, tu vois ? » fit-il en tapotant doucement sa tempe du doigt en souriant malicieusement. Il se perdait souvent le garçon, mais était jusque maintenant extrêmement chanceux et finissait toujours par retrouver son chemin ? Pour ce soir, il avait de la veine pour avoir trouvé directement on chemin. « En plus d’être médecin, tu es musicien ? » il sourit, impressionné, en attrapant la bière qu’il lui tendait en le remerciant d’un signe de tête, ne remarquant pas tout de suite qu’il s’était contenter d’un jus de fruit. Certain n’aurait pas trouver le temps de mêlés autant d’activité, et il en serait presque jaloux s’il ne l’admirait pas autant. Il disait qu’il ne risquait de ne pas être à l’aise, cec dont il doutait sérieusement. « Après tout ce que tu as vécu, crois-moi, cette interview est une broutille ! » fit-il sur un ton légèrement sarcastique. Il s’approcha du canapé pour y déposer son sac et sa veste. « Okay, je fais vite… et puis moi aussi ca me donne faim. » Parce que oui, l’odeur des pizzas au four …. L’appel de l’estomac n’allait pas tarder si ce n’était pas déjà fait. Il sortit son dictaphone, et un calepin et s’installa sur le canapé en reglant l’appareil. La toute première question se ferait simple. « Très bien, on va commencer doucement pour pas que tu sois paumé dès le début, ce serait dommage. » fit-il en souriant avant de se reprendre, un peu plus sérieux « alors Adriel, tu es médecin à l’hôpital de Bowen. Est- ce que je peux savoir depuis combien de temps ? » ca lui faisait bizarre de donner cette interview en tutoyant la personne interrogée et dans une ambiance cosy et détendue. Si seulement ca pouvait toujours se passer ainsi !

Et moi alors Mais c'est rien, prends ton temps, on n'est pas pressé (a) Pascaaaaaal

Il voit bien qu’il est nerveux à jouer avec son pull, et il s’en amuse un peu. Même si son petit côté machiavélique lui dit de le faire mariner, il n’oserait pas le faire à ce bon médecin, héros de Bowen. Qui plus est, musicien ! Allez savoir le bon nombre de demoiselles qui devaient être actuellement sous le charme de cet homme ! Il hocha la tête, admiratif et pensif, préparant dans un coin de sa tête les questions qu’il allait poser. Mais il avait beau être ici pour le travail, l’heure tardive et les pizzas dans le four lui rappelaient également qu’il avait faim… très faim maintenant. Il décapsula la bière sans pour autant y toucher de suite. Préférant attendre que le jeune brun s’installe en face de lui pour commencer son interrogatoire. Il prit note de ce qu’il lui exposait, chirurgien avec expérience. Il le suivait du regard se diriger vers la cuisine, sortir les pizzas du four ce qui embaumait encore plus la pièce de la bonne odeur de la pâte cuite. Il serra discrètement les dents pour ne pas se laisser distraire et lorsqu’Adriel vint se réinstaller, il poursuivait alors. « Ah ouais, donc tu as pas mal d’expérience dans ce domaine alors. Et qu’est ce qui t’a poussé à t’orienter vers la médecine, et plus particulièrement la chirurgie ? » Une vocation peut-être. Le jeune étudiant savait qu’il n’aurait pas eu la patience de faire d’aussi longue étude, mais qui sait, si la médecine l’avait un tant soit plus passionné qu’une vie d’aventure. Dans une autre vie peut-être.

« Ah ouais, donc tu as pas mal d’expérience dans ce domaine alors. Et qu’est ce qui t’a poussé à t’orienter vers la médecine, et plus particulièrement la chirurgie ? »
Adriel écoute la nouvelle question du journaliste, la question qui en partie il redouter, il est hors de question que son histoire enfin la partie obscure n’apparaisse dans un journal, se raviverait trop de souffrance a sa famille. Il se frotte le dessous du nez avec l'index un tic qu'il a depuis ... hum le manque qui survient quelques heures après une prise d'un rail de coque. il cesse donc brutalement.

La médecine demande énormément d'expérience, on ne confit pas une vie à n'importe qui ! C'est long et justifié et le jour ou j'aurais mon statut officiel de chirurgien je serais fier et j'aurais une trouille bleue !

Il prend une seconde pour boire de son jus de fruit, il ne supporte plus une goutte d'alcool enfin il dit cela a tout le monde, mais c'est tout le contraire.

C'est une vocation...après quelques passages difficiles dans la vie la médecine ma attiré comme le miel pour les abeilles, désoler la comparaison est nul. J'aime mon métier, aider et sauver des vies et une lourde responsabilité mais elle en vaut les sacrifices que ce métier impose.

Enfin aujourd'hui il espère concilier son métier et sa vie personnelle celle qu'il vit avec Nicky qui prend une place de plus en plus importante et cela pour son plus grand plaisir. Adriel sourit et se lève en tapant dans ses mains, ça se voit qu'il a faim le pauvre ce dit-il en allant chercher le tout à la cuisine pour tout disposer sur la table devant eux, pas d'argenterie, il a tout même sorti des assiettes et fourchettes couteaux si besoin. Il ne peut s’empêcher de se demander lui même comment Emrys en est venu a être journaliste, une passion ?! Adriel est curieux de nature mais il n'ose pas souvent l'exprimé.

Emrys est loin de se douter qu’un lourd passé se traine derrière Adriel. Aussi, comme tout le monde, il a tout l’air d’un jeune homme normal, à qui la vie réussit. Pourtant il le sent nerveux mais il met tout sur le dos de l’interview et de la nervosité de la première fois.

La médecine demande énormément d'expérience, on ne confit pas une vie à n'importe qui ! C'est long et justifié et le jour ou j'aurais mon statut officiel de chirurgien je serais fier et j'aurais une trouille bleue !

Notant sa réponse en hochant la tête, satisfait d’une telle réponse, il n’en était que plus admiratif du jeune médecin. Il le regarda boire sa boisson, et Emrys en profita pour en faire de même, constatant seulement maintenant qu’il tenait une bouteille de bière et que son hôte non. Il ne tenait pas à faire de conclusion hâtive, mais c’était un petit détail qui lui restait dans le coin de la tête.

C'est une vocation...après quelques passages difficiles dans la vie la médecine ma attiré comme le miel pour les abeilles, désoler la comparaison est nul. J'aime mon métier, aider et sauver des vies et une lourde responsabilité mais elle en vaut les sacrifices que ce métier impose.

Après avoir fini de crayonner son calepin, il fronça doucement les sourcils avant de poser sa prochaine question. Contrairement à Adriel, Emrys était curieux et plutôt très spontané. Il lui arrivait de réfléchir à ce qu’il faisait, mais pas toujours, comme c’était le cas maintenant.
« Tu ne supportes pas l’alcool ? » Ce n’était pas vraiment la formulation exacte de sa question, mais il s’en rapprochait. Conscient de peut-être parler de quelque chose d’indiscret, il retourna son calepin sur son genou comme pour lui indiquer que rien de ce qu’il pourrait dire sur le sujet ne serait noté dans son carnet.
« T’es pas obligé de me répondre. » prévint-il avant de vraiment mettre mal à l’aise par soit son indiscrétion, soit sa bêtise d’avoir mis le doigt sur ce qui n’était pas.

Parfaitement détendu, comme quoi tout arrive, Adriel ses même amusé de le voir griffonné a toute vitesse sur son calepin, il eut envie de voir qu'il utilise de la sténo ou une écriture illisible comme les médecins. Lui-même à tendance a écrire très vite et ça ressemble plus à rien. Les parts de pizza encore fumante dans les assiettes Adriel ont bu une gorgée de son verre, il l'a reposé et ses tourné vers Emrys, ou sa question le plonge en une seconde dans la panique la plus accrue et cela se voit, alcoolique un jour alcoolique toujours. Adriel ne dit rien alors que le jeune journaliste lui précise qu'il n'est pas obligé de répondre, mais le fait qu'il retourne son calepin. C'est aussi une façon de l'inciter. Il se passe une main sur la bouche, sa gorge d'un coup ses asséchés, réflexes idiots, on en parle ça lui manque.

Si je supporte...Je supporte trop


Il eut un sourire crispé et il se tord les mains, il cessa immédiatement, voilà ce qui le fait paniqué en entrant dans un bloc, alors il fait le vide, comme le spy qu'il voyait il imagine un lieu qu'il a créé de toutes pièces et qui l'apaise, ces conneries de toubib comme certains disent, bne ça marche.

Je parle rarement de cette période de ma vie. Je suis devenue très secret, peut-être la crainte d'être jugé et de voir qu'ils ont raison.


Et surtout de ne plus être crédible dans son métier, sa passion ( après Nicky^^) et une vocation... Adriel, aller savoir pourquoi avait la sensation qu'il pouvait parler sans crainte, pourtant sa conscience lui dit méfiance, c'est un journaliste, s'il flaire le scoop, le scandale il le publiera. Alors écoutant un tantinet sa conscience, même s'il cédera s'il insiste il change de sujet.

a mon tour puis-je jouer le journaliste et te demandé d'ou te viens cette envie d’être journaliste ?!