I just want to kiss you again | Pv Concho

Il était de plus en plus difficile, dans mes gestes et dans mes paroles, de cacher mon envie de retrouver Emilia dans un contexte plus intime. Mes baisers se faisaient plus fiévreux. Il fallait que je me parle, que je me rappelle qu’il y avait plein de gens autour de nous, dont un bon nombre d’enfants. Autrement, je l’aurais dévorée autrement que du regard. Emilia attrapa ma main et m’entraîna vers l’accueil, où on reprit nos propres chaussures pour redonner les vieux souliers de bowling au comptoir. « Je suis venu en voiture. » Soulignais-je, plutôt content de cette décision maintenant que nous avions tous les deux hâte de nous déshabiller. Heureux, aussi, de m’être limité à un seul Pink Panty Dropper Punch. J’étais tout à fait en état de conduire. Je n’étais pas ivre d’alcool, j’étais ivre d’envie. « Viens, je suis pas garé très loin. » Dis-je en la reprenant par la main pour sortir de la salle de quilles. Je déverrouillai les portières de ma voiture à distance afin de signifier à Emilia, du même coup, de laquelle il s’agissait. Je me dirigeai quand même vers la portière du côté passager pour la lui ouvrir et j’allai ensuite m’asseoir derrière le volant. Ma main retrouva directement la cuisse de la blonde, et je me penchai vers elle en même temps que de boucler ma ceinture de sécurité, afin de lui voler un baiser brûlant. « Tu me guides ? » Nous nous étions toujours vu dans des événements, jamais chez l’un ou chez l’autre, alors j’ignorais où elle demeurait dans Bowen. Je démarrai la voiture.

Tu étais rassurée au final qu'il ait pris sa voiture, c'était de bonne augure, vous pourrez aller plus rapidement chez toi. Chaussures de bowlings rendues tu récupères la main de Concho en le regardant en souriant. "Je te suis!" Tu sors alors du lieu où vous vous étiez donné rendez-vous pour vous retrouver ce soir. Tu le laisses donc te guider jusqu'à sa voiture, ne sachant pas à quoi elle pouvait ressembler. Tu vois simplement les phrases clignoter de loin quand il la déverrouille et va donc dans cette direction avec lui. Avant même que tu ne puisses faire quoi que ce soit, Concho fait encore preuve de galanterie à ton égard en ouvrant la portière. "Merci!" Dis-tu alors en lui souriant et en t'installant sur le siège passager et en attrapant la ceinture pour t'attacher. Tu le regardes s'installer à côté de toi et sens sa main sur ta cuisse, à laquelle tu viens lier à nouveau ta main et répondant à son baiser avant de te séparer de ses lèvres en lui souriant. "Je te guides sans aucun soucis!" Tu souris alors en lui indiquant la route jusque chez toi, gardant toujours ta main dans la sienne, un peu comme ci tu avais besoin de ça, comme pour lui faire comprendre que tu n'allais pas t'échapper. Au bout d'une 10 aines de minutes tu lui indiques qu'il pouvait donc se garer sur une des places vides, vous étiez donc proche de chez toi. Tu sors alors de la voiture, et vient récupérer la main de Concho alors que de ta main libre tu viens attraper les clés de ton appartement. Badge que tu passes sur le lecteur devant la porte d'entrée tu montes les quelques marches qui te séparent donc de ton appartement et vient ouvrir la porte après avoir entrer la clé dans la serrure. Tu entres à l'intérieur et attire donc Concho aussi à l'intérieur en souriant et vient refermer la porte alors que tu ne résistes pas plus longtemps à venir l'embrasser. Enfin vous vous retrouvez rien que tous les deux, enfin vous avez de l'intimité, et tu ne comptais pas attendre plus longtemps. "Tu veux peut-être boire quelque chose?" Tu souris alors que tu connais dans le fond la réponse, tes mains viennent doucement caresser sa nuque et glisser doucement vers son torse, commençant à déboutonner sa chemise.

Main sur la cuisse d’Emilia, je démarrai la voiture et pris la route qu’elle m’indiqua. Sa main ne quittait pas la mienne, comme si nous cette connexion était nécessaire pour qu’on sache que ni l’un ni l’autre n’allait laisser l’élan du moment s’estomper. Pourtant, je savais bien que nous n’avions pas besoin de ce contact interrompu. Emilia et moi, ça faisait des mois qu’on se désirait, qu’on se voulait. Ce soir, c’était juste l’évidence. Dix minutes plus tard, tout au plus, je stationnai la voiture sur la rue, au premier emplacement libre que je trouvai. Je sortis de la voiture et rejoignis la blonde devant celle-ci, récupérant sa main. Je la suivis jusqu’à l’étage de son appartement et dès que la porte fut refermée derrière nous, nos lèvres se retrouvèrent. J’étais en train de monter dans mon excitation, pressant un peu son corps contre le mien en l’embrassant, quand elle se détacha un moment, pour me proposer quelque chose à boire. Je souris. « C’est gentil, mais … peut-être après ? Enfin, à moins que toi, tu veuilles boire quelque chose, mais … On a assez attendu, non ? » Que ce soit pour parler du trajet, de la soirée ou des dernières semaines, je jugeais qu’Emilia et moi avions été plutôt patients. Notre temps, on l’avait pris. Là, je brûlais d’envie pour elle. Visiblement, la blonde était sur la même longueur d’ondes que moi, puisqu’elle commença à déboutonner sa chemise. De mon côté, je déboutonnai le bouton de son short blanc ainsi que la fermeture éclair dorée que je glissai vers le bas, tout comme le short en question qui glissa vers le plancher. Mes lèvres, elles, passèrent de sa bouche à son cou. Je l’aidai à retirer ma chemise, la laissant choir au sol du hall d’entrée de son appartement.

Bien sûr que le trajet te semble interminable, tu avais envie d'accélérer un peu les choses avec Concho et tu savais que c'était totalement réciproque. Des semaines à vous chercher, à flirter, et enfin tout semblait s'aligner. Arrivant dans ton appartement, rapidement vos lèvres trouvent leur chemin pour se rencontrer à nouveau, dans la douceur, l'envie. Vos corps se rapprochent avant que tu ne lui demandes s'il souhaitait boire un truc. Pourquoi tu fais ça? t'en sais rien, un simple réflexe au final que tu as avec tes invités mais tu ricanes à sa réflexion et hoche la tête. Il n'avait pas tord. "On a trop attendu même!" Tu viens retrouver ses lèvres alors que tu déboutonne sa chemise pour la lui retirer, t'essaye de ne pas avoir de gestes trop maladroits évitant donc de lui arracher les boutons de sa chemise alors que tu le sens s'affairer vers ton short. Tu le fais alors glisser le long de tes jambes pour le retirer alors que tu sens ses lèvres glisser dans ton cou te décrochant un premier long frisson de plaisir. Sa chemise fini par rejoindre ton short alors que tu passes tes bras autour de sa nuque et tu l'attires avec toi pour rejoindre ta chambre. Bien trop respectueuse de ton coloc, bien qu'il soit absent, pour que tu ne fasses ce genre d'activité en plein milieu du salon. Et tu voulais que vous soyez confortable avec Concho, vous avez eu déjà assez de rencards catastrophique pour vous briser quelque chose. Tu viens le pousser doucement sur le lit pour qu'il s'assoit dessus, prenant peut-être les choses en main et tu viens alors te mettre à califourchon sur lui pour reprendre votre baiser.

Amen to that. On avait bien trop attendu, Emilia et moi, un peu plus encore et ça y est, on tombait dans la friendzone de l’un et de l’autre. À trop attendre j’avais risqué qu’elle rencontre quelqu’un d’autre et que ça se termine avant même que ça ait réellement commencé, entre elle et moi (oh wait, ça, c’est ce qui c’est POUR DE VRAI passé !). Je ne perdis donc pas une seule seconde de plus, et je retirai son short à la blonde tandis qu’elle retirait ma chemise. Ce serait les seuls indices que quelque chose se passait dans la chambre de la jeune femme, si jamais son colocataire rentrait pendant ce temps. Ça traînait là, en plein milieu du logement, tandis que nous nous dirigions vers la chambre d’Emilia. Elle me poussa sur le lit, et je m’y assis sans résister. J’avais envie qu’elle prenne le lead comme elle le faisait. Elle était terriblement sexy avec cette assurance. Elle posa un genou d’un côté, puis l’autre de l’autre côté, à califourchon sur moi. Elle sentirait déjà à quel point elle me faisait de l’effet. J’avais tellement attendu, mon corps aussi, alors forcément que l’excitation ne mettait pas de temps à se montrer. J’avais aussi souvent imaginé ce moment, alors qu’il se concrétise enfin, c’était grisant. Je posai mes mains sous ses fesses, la pressant un peu plus contre moi alors que je l’embrassai langoureusement. Je retirai finalement son haut et tout ce qui me séparait de sa poitrine. La tête à la hauteur de ses seins, mes lèvres trouvèrent rapidement leur chemin jusqu’à ceux-ci, que j’embrassai, ma bouche se refermant contre ses mamelons, passant de l’un à l’autre, fiévreusement.

Enfin cette délivrance, enfin Concho et toi avez réussir à franchir ce pas qui vous a conduis à l'un à l'autre, la réponse à cette attirance, à cette connexion malgré des débuts qui auraient pu être chaotique. Enfin tu sens ses mains sur ton corps, tes lèvres qui cherchent les siennes, la douceur et l'excitation étaient belles et bien présentes. Chez toi, vos corps se trouvent et il y a enfin les barrières qui se brisent, rapidement la direction de ta chambre est prise. T'as envie que le moment soit marqué dans votre esprit, tu ne sais pas de quoi l'avenir est fait mais ce moment avec Concho méritait aucune pression et que vous ne gâchiez pas l'instant. Assis sur ton lit tu viens alors te mettre doucement sur lui, prenant un peu le dessus et reprenant possession de ses lèvres pour l'embrasser. Ta main vient contre sa nuque et tu sens les siennes se poser sur tes fesses et te coller toujours plus à lui. Son excitation était visible, tu étais sensible entre tes cuisses en le sentant réagir de cette manière. Ton haut envoyé valsé, il reprend un peu les devants alors que tu te cambre doucement poussant un peu plus ta poitrine vers sa bouche. Soupirant de plaisir, tu la sens monter encore plus en toi. Tes mains viennent alors découvrir un peu plus son corps et tu caresses doucement son torse alors que tes mains descendent vers sa ceinture et tu viens déboutonner pour simplement l'aider à être plus à l'aise, t'écartant de lui tu te relèves et vient lui retirer alors son short le faisant donc à se retrouver dans la même tenue que toi. Ton regard glisse doucement sur lui. "T'es si beau !" Tu souris en venant de nouveau l'embrasser et reprenant place sur lui venant accompagner délicatement par des petits mouvements de ton bassin.

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La respiration d’Emilia se faisait plus rapide et impatiente, au rythme des passages de ma langue et de mes lèvres sur sa poitrine. Ses mamelons durcissaient au contact de ma salive et je devins encore plus excité de les sentir se dresser dans ma bouche. Mon sexe était à l’étroit dans mes vêtements et cette délivrance nécessaire, Emilia la devina sans tarder. Ses mains descendirent jusqu’à ma ceinture qu’elle défit adroitement, avant de déboutonner mon short et de me retirer tous les vêtements qui me séparaient de la nudité. S’étant relevée pour s’exécuter, je pris le temps de la regarder dans toute la splendeur de son corps nu. La blonde ne se gêna pas nous plus pour laisser ses yeux glisser vers mon membre gorgé d’excitation. Un sourire se dessina sur mes lèvres alors qu’elle me complimentait. Je l’attirai de nouveau vers moi, sans trop de mal puisqu’elle était elle aussi attirée, une force magnétique indéniable entre nous deux. Nos lèvres se retrouvèrent bien vite comme nos corps en feu. Je ne m’arrêtai que quelques secondes, le temps d’aller récupérer un préservatif que j’avais dans mes shorts échoués au sol. Je l’enfilai, entrecoupant ce moment de baisers échangés avec la blonde. Puis, après quelques minutes à avoir repris fiévreusement nos étreintes et nos baisers langoureux, je relevai un peu les fesses d’Emilia, le temps de me glisser en elle complètement, lui arrachant un soupir de plaisir et à moi aussi du même coup. Elle continua ses mouvements de bassin mais cette fois, je poussais profondément mon sexe en elle à chaque vas-et-viens, toujours assis au bout du lit.

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Ce moment que tu attendais avec lui était enfin là, et vos corps nus l'un contre l'autre étaient signe de ce que vous souhaitiez en cet instant. Des semaines d'attente pour enfin une délivrance qui se fait de la manière la plus naturelle. Des baisers échangés, des petites caresses pour vous découvrir encore plus avant enfin de le laisser enfiler un préservatif et revenir sur lui et vous unir. Un long soupire s'échappe de tes lèvres alors en sentant enfin ce moment tant attendu. Ton bassin commence alors à mouvoir presque automatiquement sur lui essayant de profiter de chaque secondes, prendre le temps, ne précipitant pas le moment. Tes lèvres viennent à nouveau glisser contre sa mâchoire en même temps que des petits gémissements s'échappent de ta bouche sous le plaisir que tu prends du moment. Ton plaisir était important en cet instant mais tu voulais aussi surtout que Concho puisse prendre autant de plaisir que toi. C'était bien trop important pour toi et tu le pousses doucement pour l'allonger dans le lit venant continuer de parcourir le haut de son buste et sou cou de tes lèvres, ton bassin n'arrêtant pas de bouger sur lui pour des longs va et vient en toi.

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J'étais déjà accro à Emilia, depuis plusieurs semaines, je pensais souvent à elle, je la voyais dans ma soupe, je m'imaginais ce moment-là précisément. Ce que nous étions en train de composer ne ferait certainement qu'accentuer tout le désir et l'attirance que j'éprouvais envers elle. J'espérais que ce n'était pas qu'une histoire d'une nuit pour elle puisque clairement, j'en voudrais encore et encore, d'Emilia. Après avoir enfilé un préservatif, je ramenai la blonde sur moi et je la pénétrai, m'abandonnant à l'euphorie que cela me procura. La jeune femme commença à se mouvoir sur moi, m'arrachant des gémissements de plaisir, qui s'entremêlaient aux siens avant de retomber dans le silence. Après de trop courtes minutes à s'embrasser langoureusement, quand je n'étais pas en train de me perdre contre ses seins, Emilia me poussa sur le lit pour m'allonger. Elle reprit sa position par-dessus moi ainsi que ses vas-et-viens. Mes mains vinrent se déposer de chaque côté de ses hanches, l'accompagnant dans le mouvement. Mon regard se délectait de la vue qu'elle m'offrait sur son corps nu, ses cheveux retombant sur ses épaules. Elle m'envoûtait. Ma respiration se faisait plus rapide, je sentais déjà l'orgasme arriver au bout de quelques minutes. J'aurais voulu durer toute la nuit, hélas, Emilia me faisait trop tourner la tête pour que je puisse me contenir plus longtemps.

Vos corps nus l'un contre l'autre, unis l'un à l'autre, tu l'avais désiré ce moment, tu l'avais désiré tellement Concho que tu as la sensation actuellement de rêver. Ton corps tout entier réagit au sien donnant le rythme à vos ébats, laissant le son de ton plaisir sortir de ta bouche, montrant, prouvant à Concho ô combien ce moment était des plus agréables. Ta bouche qui cherche la sienne avant que tu ne viennes le pousser doucement pour l'allonger dans ton lit alors que tu laisses tes mains doucement en appuie sur son torse en continuant alors d'onduler ton bassin dessus. Aucune retenue actuellement, bien trop prise par ton plaisir tu bascules un instant la tête sentant de plus en plus ton plaisir monter. Ton rythme accélère autant que ta respiration, ton rythme cardiaque également sous le plaisir que tu prenais avant de finalement réussir à atteindre l'orgasme, ce plaisir ultime. Tu le sens lui aussi ne plus se contrôler et alors que ton corps tremble légèrement dû à cette jouissance avant de retomber doucement sur lui et de venir déposer tes lèvres dans son cou, sans aucun mot, tu ne trouves d'ailleurs pas les mots en cet instant, trop plonger dans ta bulle avec lui.

Je ne pouvais plus me retenir et heureusement, Emilia non plus. C’est lorsque je sentis l’orgasme la secouer que je m’autorisai à lâcher prise également face au plaisir. En quelques secondes, je la rejoignis dans cet abandon total, mon corps vibrant contre le sien. Mes mains s’agrippèrent un peu plus contre la peau de ses hanches alors que je jouissais, rentrant plus profondément encore en elle. Puis, tous mes muscles se relâchèrent. Emilia retomba doucement contre moi, enfouissant son visage dans mon cou, sur lequel elle vint déposer un baiser presque imperceptible puisque ses lèvres demeurèrent dans la position. Je l’entourai de mes bras, fermant les yeux, profitant juste de l’instant présent. Sa chaleur m’enveloppait, sa respiration chatouillait mon cou, et j’aurais voulu que ce moment bascule vers une éternité. Des minutes de paisible silence passèrent, avant que je ne déclare : « Ça valait toute l’attente du monde, finalement. » Je souris, plongeant mon regard dans le sien alors qu’elle relevait le visage vers moi. Je déposai mes lèvres sur les siennes.  

FIN