(+) return of past - anton

« Il arrive que l'on retrouve ce que l'on a perdu »

Déjà trois mois que nous étions arrivé à Bowen, au revoir le Massachusetts, je voulais retrouvé ma terre natale australienne, partager des moments avec ma fille dans ce pays qui avait été très longtemps le miens. Trouvé ce poste de médecin à l'hôpital de Bowen avait été une réelle chance pour moi qui venait de terminer enfin mes études. Alors que les jours avaient défilé à une vitesse folle, je m'étais rendue compte que rien en valait mieux que l'endroit d'où l'on vient. Hope découvrait ce pays alors qu'elle prenait plaisir à regarder les Kangourous et les Koalas, elle était plutôt heureuse d'être là même si je me rends bien compte je l'avais obligé à tout quitté pour me suivre à Bowen. Par chance j'avais une fille compréhensive et très intelligente, j'en étais si fière au risque de me répéter à présent que toutes les deux nous étions acclimaté de nouveau à la chaleur étouffante nous pouvions enfin profité de toutes les merveilles de cette charmante ville. Alors que j'avais laissé Hope avec sa marraine pour des tendres retrouvailles j'avais décidé de prendre un peu le soleil car ma peau avait blanchie dans les murs de Harvard, donc me voici sur la plage de Bowen. Alors que depuis une heure au moins je prenais le soleil ma peau ruisselait de perle d'eau et je ressentais le besoin de me rafraîchir, je quittais donc ma serviette pour allé au bar de la plage histoire de me commander un bon cocktail rafraîchissant. Je restais assise au comptoir à attendre mon verre lorsque je vis un visage qui me semblait familier, bien sûr il avait pris de l'âge mais ça le rendait encore plus beaux ; alors dans un mouvement j'allais à sa rencontre et lui sautais au coup. Oh mon dieu, Anton mon chéri ce que je suis heureuse de te voir ! Je restais dans ces bras telle une petite fille tout heureuse de retrouvé son doudou mais ce qu'il m'avait manqué il était mon meilleur ami, même bien plus que cela.

« Il arrive que l'on retrouve ce que l'on a perdu »

Je n'es jamais réellement su si on m'oublierait dans cette ville qui était la mienne, les choses changent, les années passent mais souvent les gens sont oublié alors qu'elles ont vécu longtemps au milieu de toutes ses personnes qui sont encore là aujourd'hui. Quitté Bowen m'avait déchiré le cœur puisque je m'y sentais bien et que tout ce qui s'y trouvait avait fait partie de moi, par ses souvenirs. Des amitiés s'étaient fait et défaite pendant des années, on sait ce que l'on laisse mais rarement ce que l'on va retrouver. Le plus dure avait été d'apprendre que ma meilleure amie Mélanie, avait rencontré une autre fille et qu'elles étaient devenues meilleures amies, j'avais eu l'impression d'être abandonné et trahie malgré qu'elle est toujours eu des attentions envers moi. J'étais jalouse de savoir que tous ce qui avait été à moi pendant seize ans allé être repris par des inconnus, revenir me permettait d'enfin reprendre mes marques et retrouver tous ce qui m'étaient familier. Alors me retrouver sur cette plage aujourd'hui me donnait envie de profiter de l'instant présent , pour moi chaque moment était important et il était temps de savourer ce qui était à notre porter. Je me trouvais au bar de la plage et alors que je réfléchissais à tout ça je ne pensais pas qu'il me serait donner de tomber face à face avec Anton, mon dieu alors qu'il était peut être l'une des personnes les plus importante pour moi, je lui sautais dans les bras. Je le sentais une minute sans réaction sans doute se posait il des questions sur ma présence ici, c'est vraie que depuis que j'étais allé le voire nous avions décidé de garder le contact par des lettres mais je n'avais pas eu le temps de l'informer que je rentrais au pays. Tout s'était précipiter avec ce travail à l'hôpital de Bowen, mais il était heureux lorsque je sentais ses bras autours de ma taille, je déposais un baiser sur sa joue et le regardais dans les yeux. « Shérazade ! Mais qu'est-ce que tu fais là, tu ne m'as jamais dis que tu revenais.. Je suis si content de te voir ! » Je souriais à nouveau et ne bougeais pas de ses bras. Tout est allé très vite, j'ai eu un poste à Bowen alors j'ai sauter sur l'occasion de rentré à la maison ; alors SURPRISE ! J'avais le cœur qui battaient à toute allure d'avoir Anton face à moi, j'étais tellement heureuse, y a tellement de chose que je regrettais d'avoir manqué avec lui, il y avait beaucoup de chose qui se bousculait dans ma tête à cette instant.

« Il arrive que l'on retrouve ce que l'on a perdu »

« C'est une sacré surprise ! Donc Hope est là aussi ? Elle est chez tes parents ? » Mes parents, mince c'est vraie que je n'avais jamais rien dit à leur sujet de peur qu'Anton ne quitte tout pour me rejoindre, j'avais besoin de faire mon deuil et d'apprendre à vivre sans mes parents et puis avec le temps je n'en ais jamais parlé peut être parce que je ne supportais pas l'idée qu'ils soient mort et que je n'es pas été là pour savourer les derniers moments qu'ils nous restaient à vivre. Alors je ravalais ma salive et me séparais doucement des bras de mon ami, je le regardais et ne savait pas quoi dire, comment pouvais-je accepter de sortir ces quelques mots. Je prenais une grande respiration. Enfaite Hope est avec Melanie, elle passe l'après midi ensemble ! Je baissais la tête, je devais avoir le courage de dire à Anton que mes parents étaient décédé il y a maintenant six ans, je sentais mes yeux s'humidifié mais je me reprenais rapidement. Mes parents sont décédé Anton, il y a maintenant six ans.. Je ne te l'es jamais dit parce que je savais que tu aurais quitté la France et je ne voulais pas que tu fasses ça pour moi. Je me sentais mal de le lui avoir caché mais étant fille unique, il avait fallu que j'organise toutes les funéraille et par la suite je suis vite rentré à Harvard pour pouvoir passé à autre chose. Je pensais à Hope qui ne pourrais jamais connaître ses grand parents mais elle avait un merveilleux parrain et qui aurait pu être un formidable père pour elle. Parfois je me dis que si je voulais un beau-père pour ma fille, quelqu'un qui l'adopterait et l'aimerait comme elle le mérite ça serait bien Anton.

« Il arrive que l'on retrouve ce que l'on a perdu »

Alors voilà la nouvelle était tombé, il était au courant a présent de ce qui était arrivé à mes parents, reprendre les cours par la suite avait été un moyen de m'occuper l'esprit mais c'est vraie que partir deux mois à Paris m'avait fait du bien là c'était un échappatoire pour moi. J'avais jamais partager mon chagrin je l'avais gardé en moi en essayant d'en faire une force pendant toutes ses années mais le sujet était sensible et je me trouvais à fleur de peau dans ses moments là. Je craignais énormément la réaction d'Anton peut être ne me pardonnerait-il pas de le lui avoir caché si longtemps ? « Oh.. Shérazade.. Je suis tellement désolé.. » Mais le contraire fut le cas il me rapprocha de lui et me serra contre lui, un contact que je fus heureuse de sentir, j'entourais mes bras autours de sa taille et posais ma tête sur son épaule, sa présence me semblait être un secours dont j'avais si longtemps manqué à trop être forte j'en perdais parfois l'idée que j'étais qu'un être humain et que j'avais des faiblesses. Comment avais-je pu me passer de ses bras si longtemps alors qu'il m'avait énormément manqué j'étais réellement surprise de voire combien j'avais besoin de lui. Anton s'en rendre compte cet été là m'avait aidé a traversé cette épreuve car en ignorant ce qu'était arrivé il avait réagis normalement, ne me prenant pas en pitié et j'avais aimé être avec lui, sentir son contact et sa tendresse, l'aimé m'avait semblé moins effrayant, simple et d'une immense sincérité. Ne t'en fais pas j'ai appris à vivre avec cette douleur, promet moi que tu ne seras jamais plus, loin de moi ! J'ai besoin de toi. C'était un avoeux que je n'avais jamais osé faire à qui que ce soit moi qui voulait toujours me sortir de tout sans aide, j'avais une fierté mais cette fois ci retrouvé Anton souleva mon cœur et me boulversa mais que créait-il encore en moi ? Est ce que j'étais encore éprise de lui ?

« Il arrive que l'on retrouve ce que l'on a perdu »

Je sais que c'était égoïste de ma part de demander à Anton de me promettre une telle chose mais il était essentiel pour moi de savoir qu'il serait à mes côtés , il était tellement important pour moi, je ne savais jamais comment je réagirais si un jour j'apprenais qu'il avait une petite amie parce que pour moi la relation que j'entretenais avec lui était vraiment spéciale, nous pouvions à certain moment être vraiment très proche et nous étions complice, il y a des gens auquel ont tient et avec qui on à une relation fusionnelle. Je sais que j'étais une personne très possessive, je n'aimais pas partager des personnes qui était essentiel pour moi et ma jalousie n'arrangeait rien j'avais peut être les deux défauts les moins facile à vivre. Souvent je me demandais ce qui se serait passé si nous n'avions pas vécu si loin l'un de l'autre moi qui est longtemps cru qu'il m'avait oublier lorsque Anton à quitter Bowen j'ai eu la réelle sensation qu'il ne voulait plus jamais me revoir, j'avais sept ans mais pourtant je ne savais pas ce que je pouvais lui avoir fait. J'avais été vraiment heureuse de recevoir sa première lettre et toutes celle qui avait suivie. « Je suis là maintenant ! On ne va plus se quitter, je te le promets ! » Savourant cette étreinte une nouvelle fois, je le regardais et j'étais satisfaite qu'il soit revenu dans sa ville natale lui aussi puisque c'est ici qu'était née d'autre amitié et ce qui suivie. Merci beaucoup ! Alors qu'est ce que ça te fais de revenir chez toi ?. Demandais-je tout en le conduisant vers le bar ou mon cocktail m'était servie, j'en demandais un deuxième tout en souriant à Anton.

« Il arrive que l'on retrouve ce que l'on a perdu »

« Ca fait du bien, je dois l'avouer. Et toi ? » Moi ce que je pouvais ressentir en revenant chez moi la où tout avait commencer, cette ville ou se réfugiais mes plus beaux souvenirs d'enfance entouré de mes parents qui avaient toujours tout fait pour moi. J'avais la sensation d'être enfin à ma place de savoir où était les réponses à mes questions. Hope découvrait elle aussi à s'acclimaté étant une américaine elle découvrait tout de ce nouveau pays. Pourtant j'étais ravie de voir à quel point elle s'y plaisait et s'y adaptait à une vitesse fulgurante,n elle s'était déjà fait quelques amis à l'école et elle apprenait à découvrir des personne qui m'avait connu moi avant mon départ.Peu de gens de cette ville savait que j'avais un enfant et donc souvent la petite Hope était dévisager. Et bien je dois dire que je me sens enfin chez moi, ça fait du bien. Depuis l'enterrement de mes parents je n'avais jamais osé revenir. Dis-je tout en regardant le barman donner son verre à Anton, je prenais mon verre et attendit que mon ami en face de même. A nos retrouvailles, ainsi qu'à notre retiour chez nous. Je sourie et trinquais en apportant par la suite mes lèvres à mon verre. Je voulais que ma vie prenne un nouveau sens et cette ville pouvait m'y aider.