| | Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l' Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite. |
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| #302 Heavy in the morning [Elijah] | |
| | Auteur | Message |
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Invité | Sujet: #302 Heavy in the morning [Elijah] 6/6/2023, 19:38 | |
| Comment j’pourrais décemment vous décrire la soirée ? Non, je reformule, comment je pourrais vous décrire la soirée, tout court ? Parce que je n’ai que de brèves bribes de souvenirs qui éclatent, douloureusement, comme des bulles dans mon esprit encore bien embué. Bon. J’sens comme des grands coups de marteau sur mon crâne alors que j’essaye vaguement de me concentrer sur le visage moustachu, on ne peut plus en colère, qui me fait face à l’instant. Putain, les moustaches ça m’tord de rire quand je suis déchirée. J’suis réellement obligée de lutter pour ne pas laisser éclater mon hilarité…et aussi pour tenir debout. La porte tangue un peu avec moi mais elle est là, comme une bonne amie infaillible, pour me soutenir.
“Heu…Ouai ?” Que j’articule d’une voix qui porte tous les griefs de la nuits. J’ose jeter un coup d’oeil dans mon dos, juste histoire de m’assurer que j’ai pas un pote ivre mort qui fini sa déchéance sur le canapé. Ha. Bha si. Salut Bishop. Par contre, faudra m’expliquer pourquoi j’ai quatre mortiers posés sur la table de la cuisine. La moustache là, qui est venu me tirer du lit, c’est mon proprio, et quand il vient sonner chez moi, c’est pas pour m’offrir des chocolats. “Mademoiselle Thomas.” J’acquiesce. “ Le voisinage m’a…prévenu que vous aviez…ramené du matériel dangereux chez vous.” Oh pas trop d’mots à la fois. Du matériel dangereux ? “Jore quoi ?” J’articule “Des canons mademoiselle.” Mes yeux, déjà bien vitreux, s’arrondissent. J’ai pas trop la présence d’esprit de me demander qui m’a balancé par contre. A mon avis, on n’a pas dû être très discret en rentrant. “Des canons ?” “Oui, des canons.” Je tords la bouche. “Pas d’canon ici…sauf mon p’tit Bishop mais faut pas trop lui dire, ça lui monte direct au système après.” Ca l’fait pas rire Moustache. Je m’éclaircis la gorge. “Juré, y a pas d’canon mon capitaine.” Il pointe la table dans mon dos. “Et ça ? Hm ? C’est quoi ?” J’me tourne pour voir les mortiers. Ha ouai. J’vois l’embrouille. “Pas des canons ça.” Que je répète en serrant un peu les dents et en reniflant. “Alors qu’est-ce que c’est ?” Je soupire, prenant toujours un peu plus appuie sur la porte. “Des mortiers.” Il me regarde par dessus sa moustache, putain, elle est vraiment énorme. “Et c’est pas des canons ça les mortiers ?” “ Si, c’est carrément des canons.” “HA !” Je porte la main à ma tête. “Vous voyez !” “Hola, du calme M’sieur Morse…heu…alors…le truc c’est qu’un mortier…c’est juste un putain d’tube en carton. Y a rien d’autre. C'est vide, archi vide, vide, vide.” J’me rappelle maintenant pourquoi ils sont là d’ailleurs, ça m’arrache un rire endormi “On voulait faire des sarbacanes géantes.” “Des sarbacanes ?” “Ouai. Géantes.” “Ecoutez mademoiselle Thomas ! Je ne peux pas cautionner que vous mettiez vos voisins en danger !” Moins fort, please. “Danger de quoi ? J’viens d’vous dire que c’est des tubes en carton…” Commence à m’agacer Hercule Poirot là. “De plus Mademoiselle Thomas, il me semble que vous avez quatre mois de retard sur votre loyer ! Si j’ajoute à cela la plainte pour tapage nocturne de la semaine passée, l'ascenceur que vous aviez rempli de ballons de baudruche ET maintenant, la mise en danger volontaire des habitants de cet immeuble, je me vois obligé de vous prévenir que vous risquez l’expulsion !” Alors là. Il a aligné tellement de mots, j’suis complètement soufflée. Je reste interdite, parce que à part “expulsion” j’ai pas trop compris. “Heu…Bishop…t’as compris un truc ?”
lumos maxima @Elijah Bishop So, c'est n'importe quoi |
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Elijah Bishop MESSAGE : 2572 ICI DEPUIS : 10/01/2023 COMPTES : maddie - ramsay - orso - poppy - joan CRÉDITS : @GOLD ANTHEM
STATUT : rejoins-moi au bord des falaises, allonge-toi à côté des braises. et déjà, on se sent à l’aise avec toi sans qu’on le voit le jour est là. (leyla♥) | Sujet: Re: #302 Heavy in the morning [Elijah] 6/6/2023, 20:04 | |
| Putain. J'ai mal au crâne. J'peine à vraiment comprendre où je suis. Surtout que là, c'est la voix d'un mec assez en colère qui me sort de mon sommeil. Un sommeil bien lourd plombé par l'alcool. Bordel, j'me souviens pas de grand chose. Hormis une giga soirée, j'sais pas tellement à quelle heure on est rentré. Et d'ailleurs, j'suis pas chez moi. J'suis échoué sur un canapé, encore habillé et ma tête me fait horriblement mal. Faut vraiment que j'arrête de boire. Mais en fait, ça valait le coup. On a encore fait n'importe quoi avec Hazel, on est rentré bien éméché, avec l'idée brillante de faire des sarbacanes géantes avec des mortiers. Ouais, heureusement finalement que le sommeil de l'ivresse nous ait fauché avant qu'on mette en oeuvre notre plan, parce qu'on aurait pu tout bonnement perdre la vie. Mais on s'est bien marré. Sauf que là, Hazel, elle semble bien dans la merde avec ce mec qui la menace bien. J'soupire. La discussion, j'l'écoute, parce qu'elle est v'la marrante. Toujours allongé sur le canapé, j'me tape un fou rire, quand j'sens le regard du mec sur moi. Ok. J'vais me lever et pas laisser Hazel dans cette panade. J'm'extirpe avec une maladresse du canapé, manquant d'me rétamer. Wahou. En fait, une fois debout, j'me rends compte que j'suis encore un peu bourré. Et généralement, les lendemains d'soirée, ou j'suis encore bourré, c'est qu'on a vraiment fait fort. J'm'approche d'eux, vers la porte d'entrée. J'suis pas très stable sur mes appuis et j'arrive à l'instant où le gars, avec une sacrée moustache commence à menacer Hazel. J'tends la main vers lui, quand Hazel me demande si j'ai compris quelque chose. "Enchanté monsieur, permettez moi d'vous dire que vous avez une moustache formidable." J'lui adresse un sourire poli, comme si j'étais un professionnel. Professionnel de quoi, ça j'le sais pas encore, mais j'vais bien finir par trouver un truc. "J'me présente, Elijah Bishop, je suis représentant en feux d'artifice." J'marque une pause. "Eh oui, aussi fou que cela puisse paraître, ça existe, puisque j'existe. Vous voyez?" J'pense que le gars là, il va finir par vraiment s'énerver. "Nous sommes des professionnels, nous savons exactement ce que nous faisons. Ces mortiers que vous voyez là, nous sommes justement en train de travailler dessus, pour établir les dangers qu'ils pourraient représenter." J'marque encore une pause. "Pas de problème vous voyez?" J'lui souris et avant qu'il ne reprenne la parole, j'lève mon index, comme pour l'empêcher de parler. "Alors, vos p'tites menaces à l'égard de ma cliente, c'est irrecevable." J'sais pas trop où j'vais avec mon air sûr de moi là, surtout que j'ai vraiment l'air d'un mec juste en lendemain de soirée et qui est accessoirement encore bien saoul. "Parce que oui, j'ai une double casquette, figurez-vous. Je suis aussi un puissant avocat en droit d'la propriété, et c'que vous faites là, c'est parfaitement illégal." Ouais là, j'me suis un peu perdu, j'regarde Hazel, j'ai envie d'me marrer, et j'pense que finalement, j'ai pas tellement arranger son cas à la pauvre Hazel. J'pense qu'elle va peut-être regretter de m'avoir impliqué dans cette discussion. Mais dans mon ivresse, j'lui fais un clin d'oeil, pas du tout discret puisque le moustachu est devant nous. Et comme si ils ne pouvaient pas nous entendre, j'lâche à Hazel en chuchotant, toujours très sûr de moi. "T'inquiète Hazel, j'gère la situation." Non clairement, là, je gère rien du tout. Mais dans ma tête, ça sonne vâchement bien c'que je viens de faire.
@Hazel B. Thomas __________________________☽☽ Si c'était si facile, tout le monde le ferait, qui tu serais pour réussir où tous les autres ont échoué? Oublie tes rêves prétentieux, redescend sur terre ou tu n'en reviendras jamais
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| | | Invité | Sujet: Re: #302 Heavy in the morning [Elijah] 19/7/2023, 19:23 | |
| Se mettre dans ce genre de panade, c’est quelque chose que j’fais avec brio. J’pense qu’on peut parler d’une sorte de don, comme si l’a fée d’la bonne grosse loose était venue agiter sa baguette sous mon nez alors qu’j’étais seulement en capacité de faire des bulles avec ma bouche. Bha, j’cherche un peu les ennuis aussi, j’plaide carrément coupable pour le coup de ballons dans l’ascenceur, autre soirée, autre délire…j’me demande même si Elijah n’était pas encore dans l’coup. C’est tout à fait notre type d’humour et j’crois que les habitants de l’immeuble, ainsi que le proprio, ils ne le partagent pas forcément. Bref, là, visiblement, j’ai poussé le bouchon un peu loin, et Moustache s’efforce de me faire comprendre, par delà le nuage éthylique qui m’brouille les neurones, que j’suis dans la merde. J’saisis pas trop la gravité de mon cas sur le coup, parce que j’ai un vilain mal de crâne qui s’installe et qu’j’ai pas les capacités disponibles pour analyser une phrase de plus de trois mots. J’essaye d’avoir un semblant de discussion avec lui, mais c’est difficile, j’veux juste une aspirine et un lit. J’arrive quand même à saisir que l’noeud du problème, il vient des mortiers que j’ai ramené…j’ai un tout p’tit éclat de pâle lucidité qui s’étonne, qui s’dit que ça ne doit pas être des mortiers chargés, qu’j’suis quand même pas aussi conne, même avec trois grammes dans chaque bras. Ca d’mandera vérification. Mais passons, là, j’lutte pour 1- Ne pas m’écrouler, 2- Ne pas partir en fou rire, 3- Savoir c’qui s’passe. La discussion, elle veut rien dire, j’capitule et je finis par demander à Elijah, qui s’gondole dans le canapé, s’il a saisi un truc.
La suite, c’est un naufrage. Eli, il se lève, titube un peu parce qu’il est tout aussi fracassé que moi et vient à notre rencontre, avec autant de vaillance qu’il peut. Toujours appuyée contre la porte, j’le regarde et j’sens que j’vais pas le retenir longtemps mon rire. Le proprio lui, il a levé un sourcil, il doit se demander qui est ce nouveau protagoniste éthylé qui vient s’rajouter à l’histoire. Une moustache formidable. Ok, là il m’a eu. J’passe ma tête de l’autre côté de la porte, emportée par l’hilarité. J’sais pas pourquoi je me cache, parce que j’fais preuve de zéro discrétion en réalité, j’cherche même pas à dissimuler mes hoquets bruyants. Et qu’est-ce qu’il raconte maintenant ? Représentant en feu d’artifice. Je souffle un coup pour calmer la crise, j’essuie mes larmes du dos de la main et j’me redresse avec un visage bien trop sérieux pour quelqu’un qui vient de se taper sa meilleure barre. “Ouai…exactement comme il dit…” Il y connait rien en explosif Eli, si j’lui mettais une fusée entre les mains, il ferait tout sauter…et lui avec mais là, on a c’brave monsieur à convaincre. “ Y a pas plus pro’ qu’nous dans le domaine ! Le danger, il baisse les yeux d’vant nous ouai !” J’tends ma main à mon pote pour qu’il m’en tape cinq. J’sais pas trop à quoi on joue mais notre crédibilité, elle est éclatée au sol. “ On maîtrise la situation.” On maîtrise que dalle, j’arrive présentement pas à maîtriser mon équilibre. Puis ça s’emballe un peu. Sa cliente ? Wooow, il part loin. J’l’observe avec des yeux ronds comme des soucoupes, mais où est-ce qu’il va chercher tout ça ? J’devrais avoir envie de l’étriper mais dans mon ivresse, j’suis admirative de cette créativité spontanée. “ T’assure grave…” que j’glisse, dans ce que je crois être une chuchotement quand il m’affirme qu’il gère la situation. On est bien grave. Par contre, on a souffle Moustache, il pipe plus un seul mot. “C’est réglé du coup ?” J’hausse les épaules en sans plus de cérémonie, j’ferme la porte en rajoutant “Et il arrive l’loyer.” J’l’entends pester dans le couloir mais il doit comprendre que ça sert à rien d’insister.
Y a un p’tit silence puis je m’adosse contre la porte “Avocat en droit d’la propriété !” Que j’finis par m’exclamer en me tordant en deux. J’me laisse glisser jusqu’à ce que mes fesses touchent le sol. “T’es un chef putain ! J’t’en dois une.” Quand j’aurais décuvé, j’me rendrais peut-être compte que j’lui dois rien. Peut-être. “Bon mon Bishop des îles…” je commence en me passant les mains sur le visage. “...qu’est-ce qu’on a encore foutu ?” J’m’y reprend plusieurs fois avant de me relever et j’me dirige vers la table où sont posés les objets du conflit. J’en prends et je le soupèse. “C’est bien c’que j’pensais…” Ca m’étonnait aussi. J’ai prévu le coup figurez-vous, me connaissant un minimum, j’ai sécurisé les stocks d’explosif, j’peux vous assurer que le cadenas qui les scelle, il est pas à ma portée quand j’suis aussi déchirée. “...ils sont vides, y a pas d’charge explosive.”
lumos maxima @Elijah Bishop Pardon pour mon retard chaton Mon rythme va redevenir décent maintenant |
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Elijah Bishop MESSAGE : 2572 ICI DEPUIS : 10/01/2023 COMPTES : maddie - ramsay - orso - poppy - joan CRÉDITS : @GOLD ANTHEM
STATUT : rejoins-moi au bord des falaises, allonge-toi à côté des braises. et déjà, on se sent à l’aise avec toi sans qu’on le voit le jour est là. (leyla♥) | Sujet: Re: #302 Heavy in the morning [Elijah] 26/7/2023, 02:05 | |
| Ce genre de réveil là, celui qui cogne contre les tempes, celui qui fait les yeux lourds et la gorge sèche, c'est les pires. Il y a pas à dire, quand Hazel et moi on fait des soirées, on fait rien à moitié. Et les lendemains, ils sont assez foireux, difficiles. Généralement, on fraque tous les deux, on est des loques, on s'affale sur le canapé et on boit de l'eau. Toute la journée. Mais parfois, comme ce matin, faut gérer des déconvenues, et souvent, alors que l'ivresse est encore bien présente, ça donne des trucs absolument lunaire. J'ai même pas tellement bien compris pourquoi le p'tit moustachu là, il était venu faire du grabuge de si bon matin. Mais j'sens bien qu'Hazel, elle a besoin de moi. Alors j'suis venu à sa rescousse, sans hésiter. Et sans me rendre compte que j'ai juste l'air d'un mec ultra bourré, en lendemain de soirée, dans le genre dégueu, on fait pas mieux. Mais à ce moment là, j'ai juste l'impression de briller, de faire une master-class, j'ai l'impression que je l'enfume le proprio d'Hazel. J'crois surtout qu'il a bien compris qu'il retirera strictement rien de nous, dans ces conditions. Hazel, elle rentre dans mon jeu, mais j'la vois à deux doigts d'éclater de rire. J'pense même que le moustachu a bien capté notre manigance. Hazel continue à corrobrer mes propros et j'lui en tape cinq quand elle assure que le danger baisse les yeux devant nous. J'en rajoute une p'tite couche. "C'est d'ailleurs le slogan de mon affaire : Danger gives up!" On essaye de se rassurer, de s'dire qu'on gère la situation et qu'on va se sortir d'affaire en moins de deux. J'crois surtout que le gars, il décide d'abandonner. Ca ne fera qu'une fois de plus que Hazel est sur le fil avec lui, elle est plus à ça près et bordel, faut le dire, qu'est ce qu'on s'est amusé la veille! Finalement, il fait demi tour, rappelant à l'ordre Hazel qu'elle devait payer le loyer. Et puis il s'en va, on l'entend ronchonner et Hazel ferme la porte, j'dirais même qu'elle l'a un peu claqué, mais ça rajoute de l'intensité au moment. J'regarde Hazel, j'ai un grand sourire aux lèvres. Elle finit par rompre un p'tit silence, en s'esclaffant. "Oh bordel, j'étais en roue libre là." Ouais j'suis un chef, pas sûr que le moustachu ait apprécié ma petite mise en scène mais le principal est là : il est parti. "Mais il est grave ce type en vrai, quel manque de respect de venir tambouriner à cette heure ci!" J'porte un coup d'oeil furtif à ma montre. Bon, ok, il est 10h30, mais quand même, c'est pas une raison! Hazel, j'crois qu'elle prend un peu conscience de la connerie qu'on a fait la vieille. Je hausse les épaules en minaudant un peu à sa question. "J'en sais rien moi, j'me souviens plus de rien!" J'regarde Hazel qui galère à se lever puis qui va inspecter les fameux mortiers. Elle est une experte Hazel alors j'me contente d'me mettre à côté d'elle et de regarder le truc comme si j'y connaissais quelque chose. Ils sont vides. Voilà, y a pas mort d'homme en vrai. J'regarde Hazel, un peu circonspect. "C'est dangereux vraiment, ces machins là? J'veux dire, s'ils avaient pas été vides quoi .." J'me déplace assez difficilement jusqu'à la cuisine d'Hazel et j'sors deux verres que je remplie d'eau. J'en tends un à Hazel. "Tiens, fini l'alcool jusqu'à au moins ... ce soir!" J'me marre à ma propre connerie. De toute façon, elle et moi, on est des sacrés fêtards, on s'arrête jamais. Souvent le matin, on s'promet qu'on recommencera plus et puis généralement, on y retourne, dès la nuit tombée. Incorrigible que l'on est. J'bois mon eau d'une traite et j'pose bruyamment le verre sur le comptoir. J'me frotte un peu le visage, histoire d'me dynamiser un peu. Puis j'me cale contre l'évier, toujours le sourire aux lèvres. "A chaque fois que vous êtes dans mon espace vital en soirée, ça part en vrille. Faut vous remettre en question Hazel Thomas!" Techniquement, ça partait surtout en vrille quand on était tous les deux. De là à savoir qui des deux avait une mauvaise influence, c'était une autre paire de manches.
@Hazel B. Thomas c'est rien mon p'tit chat, j'ai pas été très rapide à répondre non plus __________________________☽☽ Si c'était si facile, tout le monde le ferait, qui tu serais pour réussir où tous les autres ont échoué? Oublie tes rêves prétentieux, redescend sur terre ou tu n'en reviendras jamais
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