Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Sujet: Re: one touch, electric shock, eyes locked (sahar) Sam 14 Oct 2023 - 14:16
tw.
la passion, aussi intense soit-elle, n'épargnait logiquement pas, les malentendus. effectivement, sous couvert de n'en avoir que pour ton amant, tu ne pouvais cependant, légitimer à quelques-uns de ses agissements, même ceux qui visaient essentiellement à te préserver. outre le fait, que les évènements auraient pu s'avérer plus que jamais funestes, demeurait également une question de confiance. effectivement, il fut plutôt déconcertant de constater que levi avait oeuvré seul, sans juger indispensable de t'informer de ses intentions. de ce fait, tu déplorais déjà un manque de communication relativement troublant, te poussant sans attendre à t'interroger quant aux éléments qu'il s'avérait ou non susceptible de te dissimuler, maintenant ou plus tard. qu'en serait-il vraiment, si ton amant, allait dorénavant jusqu'à tenter de te dissimuler ses pires manigances? et si tu avais conscience que tout ne partait pas non plus, d'une mauvaise intention, tu restais quand même, pas mal dubitative. mais aux mots prononcés par ton hôte, tu ne répondis rien, t'contentant d'un regard vague, presque absent. partagée entre agacement, et cette volonté presque insoutenable de faire l'impasse. manifestement, les hostilités, ne s'avéreraient pas une mince affaire, en ce qui le concernait, incapable de lui témoigner de ton mécontentement, plus de quelques minutes d'affiliée. preuve étant, d'ô combien votre histoire n'aurait rien, jamais, de comparable aux précédentes. ainsi vautrée face à l'anglais, t'en égarais complètement de ta superbe, hantée par ce besoin quasi-viscéral, de mettre un terme à cet éloignement qu'il t'eut de lui-même imposé. et le fait était que, même si vous n'étiez pas vraiment sur la même longueur d'onde à l'heure actuelle, tu ne te sentais pas de persister dans cette voie. tu le voulais au plus proche de toi, même si ça signifiait de mettre vos différends de côté. « ouais, même si t'es qu'un con. » répétas-tu aussitôt, d'un ton relativement sarcastique. dieu savait, que tu n'en pensais pas un mot. certes, tu ne pouvais lui retirer le fait qu'il s'avérait particulièrement irréfléchi, pour autant, ça ne ferait jamais de lui un con. « tu pensais peut-être que j'allais me contenter de les regarder? » enchaînas-tu, en usant de rhétorique. en effet, et si tu n'étais pas nécessairement du genre à t'alimenter des masses, n'en restait pas moins que des pâtisseries portées par ton partenaire, chacune d'elles, avaient disparu. dans la foulée, ce dernier vint recouvrer à sa place à côté de te toi, une main positionnée contre ta cuisse. un contact aussi minime soit-il, mais auquel tu ne resteras pas insensible. preuve étant, chacune de tes jambes se superposèrent aux siennes, le haut de ton corps, quant à lui, cédant à l'appel du sien. un rictus feignant sans attendre, la lisière de tes lèvres, plus que jamais satisfaite des confidences, émanant directement de ton amant. « j'voudrai que tu le sois encore plus. du coup, tu pourrais faire un effort. » vins-tu le chercher, d'une mine faussement candide. de là, tu penchas légèrement la tête, notamment pour mieux absorber à ses pulpeuses venues percuter ton front. un geste qui plus est, conséquent et plus que jamais significatif te concernant. « on est quitte, dans ce cas. » sous-entendu, bien qu'à échelle différente, que si lui avait cherché à se dérober de ses agissements, toi, tu avais usé de quelques minutes de retard à ton arrivée. « je m'assurerai de ne pas faire de détour, avant de venir, la prochaine fois. » admis-tu, lèvre pincée, résistant tout juste à la fermeté de son étreinte, au niveau de ta jambe. et ce fut d'ailleurs, au travers d'un aveux aux allures de promesses, que tes pulpeuses percutèrent les siennes, dans une fougue à peine contrôlée. lassée de cette distance imposée les minutes précédentes, tu avais fini par totalement en abandonner ton animosité, pour mieux le retrouver.
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underworld •• this is what happens when you listen to the voices of the underworld. they crawl into your soul and rot you from the inside.
Levi Wheeler
MESSAGE : 25027 ICI DEPUIS : 18/06/2018 CRÉDITS : endless love (av), awona (sign), strangehell (icons)
STATUT : i’ll be yours for a thousand lives. (married to sahar ♡)
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: one touch, electric shock, eyes locked (sahar) Dim 15 Oct 2023 - 1:21
tw : drogue
C’était probablement parce-que leurs âmes étaient aussi étroitement liées que la simple idée de savoir l’autre en danger parvenait à les faire vriller. Il comprenait parfaitement Levi, ce que Sahar tentait désespérément de lui faire réaliser, que sa vie n’était pas un jeu de mises sans importance. Et il parvenait évidemment à imaginer la torture qu’il lui faisait endurer, peinant même à réaliser l’état dans lequel il aurait été si les rôles avaient été inversés, si Sahar avait risqué sa propre existence uniquement pour préserver la sienne. Il le savait au fond, qu’il ne l’aurait jamais accepté, parce-que la simple idée de l’imaginer hors de sécurité le rendait malade. C’était d’ailleurs la raison pour laquelle il n’avait pas fière allure, se contentant d’encaisser les reproches de sa partenaire, sans chercher à envenimer davantage la situation. Parce-qu’il n’avait aucune légitimité à le faire, quand bien même il était désormais trop tard pour regretter ses choix. Tout ce qu’il regrettait, prenait forme dans la manière dont ils semblaient soudainement si proches et si loin à la fois, eux qui avaient pourtant l’habitude de ne jamais se lâcher, de succomber sans attendre à leur passion flamboyante. Il semblait que ce soir, les choses étaient différentes, leurs âmes et leurs corps sur la retenue après ces explications et cette tension palpable qui les obligeaient à revoir leurs instincts naturels. Il plissa un instant les lèvres à la réponse de sa partenaire, conscient qu’il n’était toujours pas très doué lorsqu’il s’agissait de prendre des décisions dans un contexte urgent. « Le con va essayer de se rattraper. » Ajouta-t-il, cherchant à la rassurer sur ses intentions, ayant compris qu’il ne réussirait à rien en marchant seul. « Ça t’aurait pas ressemblé, en effet. » S’amusa-t-il, l’air taquin, apprenant peu à peu à découvrir les goûts de Sahar, et ses envies qu’il prenait soin de toujours satisfaire. Il ne tarda d’ailleurs pas à retrouver sa place à côté d’elle, lui qui avait crevé d’envie de recouvrer à sa chaleur si addictive, à son parfum qu’il voulait être le seul à humer. Et ce fut dans un geste moins hésitant qu’il laissa sa paume recouvrir sa cuisse, mettant définitivement fin à ce qu’il jugeait comme étant une trop longue séparation, appréciant de voir la brune sensible à ses attentions. Il la laissa les rapprocher davantage, en profitant pour déposer un baiser empli d’affection contre son front, indéniablement en manque de son affection. « Quoi ? Tu veux déjà que j’te passe la bague au doigt ? » Lâcha-t-il, les traits marqués d’une malice bien reconnaissable, ses yeux vrillant vers les siens lorsque leurs visages s’éloignèrent de quelques centimètres, qu’il perçut l’écho de sa promesse qui faisait référence à ses mots précédents. Levi hocha la tête faiblement, une lueur reconnaissante éclairant soudainement son regard, qui s’arrêta quelques instants sur ses lèvres qu’il désirait plus que tout retrouver, soulagé de voir son âme-sœur y céder la première. Bouleversé par la fougue admise par son geste, le brun intensifia leur échange, sa main se logeant au niveau de son cou, puis à la base de sa chevelure pour ne pas la laisser lui échapper. « Me quitte pas. Jamais. » Souffla-t-il, l’implorant presque, le temps pour lui de recouvrir de nouveau à ses lèvres, le buste désormais penché vers le sien, jusqu’à ce que sa bouche n’échappe à l’emprise de la sienne, dérapant jusqu’à sa mâchoire pour finalement trouver refuge dans le creux de son cou.
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Sujet: Re: one touch, electric shock, eyes locked (sahar) Dim 15 Oct 2023 - 13:16
tw.
à l'évidence, tu n'aurais pas tenu toute une soirée par-delà cette tension relativement palpable, venue momentanément ternir l'atmosphère, d'ordinaire si idyllique. il existait entre vous, une approche plus que jamais indéniable face aux évènements, même les plus déconcertants. effectivement, ne pas lui témoigner ton désaccord n'était en rien une solution, davantage, parce qu'à ce moment précis, il en résultait essentiellement de la survie de ton amant, néanmoins, lui-même restait assurément le mieux placé, pour savoir que tu n'irais pas au bout de ton caprice. la passion tendant à vous unir, dépassait et de loin, cette animosité, que tu avais pourtant bien tenté de lui communiquer. et dieu savait que tu avais cependant, de bonnes raisons de lui en vouloir, à commencer par cette confiance laissée provisoirement en suspens. le fait était que, tu ne pouvais négliger cette possibilité pour que levi, ait jugé préférable de ne pas t'informer d'un sujet, plus que conséquent. le geste noble, tu ne pouvais le nier, pour autant, le manque de communication, fut pour la première fois, au point mort. mais contre toute attente, tu fis l'impasse, possiblement parce que tu savais au fond, que ses agissements, même dissimulés, ne partaient pas d'une mauvaise intention. de ce fait, tu n'avais de ton côté, pas perdu de temps pour l'inciter à revenir à ta hauteur, recouvrant quasi-immédiatement à cette proximité, qui t'eut tant manqué depuis ton arrivée. le coeur battant à tout rompre, tu en crevais déjà de ce contact pourtant anodin, de sa main, venue naturellement trouver refuge contre ta cuisse. « tout ce que j'veux, c'est que tu me dises les choses, levi. » en effet, tu ne demandais pas davantage qu'un peu d'honnêteté, même si ça ne s'avérerait pas toujours en ta faveur. tout n'était pas bon à dire, ou même à entendre, c'était incontestable, pourtant, tu en avais eu la preuve, il n'existe rien de pire, que de ne pas savoir. tu ne répondis rien à la réplique suivante, émanant tout droit de ton amant, te contentant essentiellement, d'un bref haussement des épaules, et d'une mine faussement accusatrice en guise de réponse. c'était un fait, si tu n'étais pas du genre à t'alimenter des masses, les pâtisseries chocolatées, n'avaient quant à elles, pas fait long feu. et dans la foulée, tu t'empresseras de rapprocher ton corps du sien, cherchant incontestablement à compenser à cet éloignement forcé des minutes précédentes, tandis que tes vaporeuses quant à elles, ne perdirent pas de temps pour plonger dans l'immensité azurée des siennes. « qui sait? par contre, pour le mariage, c'est dans une chapelle à las vegas, avec marilyn monroe et elvis. » t'exclamas-tu, presque trop enthousiaste. sans surprise tu voguais systématiquement à vent contraire, sous couvert que te marier n'avait jamais fait parti de tes plans, et si tel devait être un jour le cas, il n'était pas question de faire dans le conventionnel, à s'tirer une balle. mais à peine venais-tu de renchérir, que tu cédas la première, tes pulpeuses percutant les siennes de plein fouet, en faveur d'un échange à la fois fougueux, et terriblement envieux, vibrant au même instant, sous la pression admise par ton partenaire. « jamais. » glissas-tu chaudement, avant que votre échange ne vienne de lui-même se prolonger aussi immédiatement. une main positionnée au niveau de son visage, tu te surpris à te pincer vivement la lèvre de l'intérieur, lorsque de ta bouche, la sienne dévia jusqu'à ta mâchoire, pour finalement s'égarer dans le creux de ton cou. et par-delà un mouvement relativement traitre, tu renversas légèrement ta tête sur le côté, notamment pour mieux absorber à ses délicatesses. insatiable, tu l'invitas aussitôt à basculer davantage avec et au-dessus de toi, tandis que tu avais fini par t'allonger presque intégralement, sur le canapé. « toi, en revanche, ne m'abandonne pas. ok? » tes doigts dorénavant plaqués contre sa nuque, ce fut manifestement à ton tour de le supplier de ne jamais s'échapper. tu serais prête à te plier à n'importe laquelle de ses exigences, du moment, qu'il ne te lâchait pas.
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Levi Wheeler
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Sujet: Re: one touch, electric shock, eyes locked (sahar) Dim 15 Oct 2023 - 23:19
tw : drogue
Ils n’étaient de toute évidence pas habitués à faire face à une tension aussi lourde entre eux, et tout dans leurs mots, leurs postures, leurs gestuelles, le confirmaient. Levi, il semblait accepter les réprimandes de sa partenaire sans même broncher, conscient qu’il avait mérité de recevoir les flammes de sa colère, autant perceptible dans le ton de sa voix que dans la noirceur de son regard. Il avait merdé, et il n’avait aucune excuse en poche pour tenter de se justifier, si ce n’était qu’il n’aurait jamais risqué la vie de Sahar en la liant au réseau. Il avait voulu assumer ses décisions foireuses jusqu’au bout, considérant que sa favorite n’avait pas à en pâtir, bien que son silence ne l’aurait pas rassuré pour autant. Et finalement, c’était la confiance qu’elle lui portait qui se retrouvait piétinée de toute part, et qu’il aurait dû prendre en compte dés le départ, sans se rendre compte de sa valeur inestimable. Fort heureusement, ils ne semblaient ni l’un ni l’autre capables de résister à leur besoin commun de rompre cette distance qui ne leur paraissait pas juste, ni naturelle, qui ne faisait qu’amplifier le manque viscéral de l’autre. Levi, il ne perdit pas de temps pour la rejoindre, lui qui n’avait attendu que cet instant depuis qu’elle avait franchi le seuil de sa porte, sa main glissant instinctivement sur sa cuisse. « J’referais plus les mêmes erreurs. » Souffla-t-il, conscient que l’honnêteté était un gage de confiance, aux fondations même d’une relation amoureuse, et il regrettait d’avoir pu admettre des doutes là où il n’y en aurait jamais. Parce-qu’elle était son tout, son phare dans la tempête, et qu’il ne survivrait pas une seule seconde si elle venait à rompre leur lien. Il se rendait compte Levi, combien son existence dépendait uniquement de la sienne, qu’il n’y aurait plus jamais rien après elle, pas même une once d’espoir. Ses doigts pressèrent davantage sa cuisse au moment où Sahar se rapprocha encore un peu plus de lui, que leurs regards plongèrent instantanément l’un dans l’autre, avec la promesse silencieuse de ne plus jamais se quitter. « Tout ce que tu voudras. Tant que t’es à moi officiellement. » Ajouta-t-il, un brin joueur, conscient que ce genre de confidence aurait un impact sur ce qu’ils désiraient pour le futur, quand bien même ni l’un ni l’autre ne semblait exprimer le besoin de se lier dans un engagement qui ne paraissait que superflu à côté de la force des sentiments qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre. L’anglais, il lui céda tout entier à l’impact de ses lèvres contre les siennes, y insufflant tout ce qu’il avait dû réprimer pendant cet aparté, l’embrassant fougueusement, sa main longeant sa nuque pour s’enfouir à la base de sa chevelure. « Promets-le. » Murmura-t-il, avant que sa bouche ne dérape le long de sa mâchoire, pour terminer sa course dans le creux de son cou qu’il couvrit de baisers, alternant entre des pressions douces et passionnées. Et finalement, il sentit son corps basculer contre celui de Sahar, qui l’entraîna au plus proche d’elle, retenant son poids comme il le put tout en continuant à l’accabler de baisers. « Jamais de la vie. J’te veux pour toujours, c’est insupportable sans toi. » Avoua-t-il en relevant son visage vers le sien, pour s’accaparer la profondeur de ses iris qui continuaient de faire vibrer son corps et son cœur. « J’suis amoureux de toi. » Finit-il par dire, sans transition, sans même réaliser la portée de ses mots, lui qui avait simplement laissé son cœur exploser en plein vol pour crier sa vérité.
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Sujet: Re: one touch, electric shock, eyes locked (sahar) Mer 18 Oct 2023 - 16:03
tw.
c'était un fait que tu ne pouvais nier, la relation que tu entretenais avec levi, a toujours été particulière, même bien au-delà, de la tournure qu'elle s'était octroyée, plus récemment. souvent portée par le conflit, tu ne fus pas tellement étonnée de constater que l'un d'eux, s'avérait déjà sur le point de ternir à votre idylle, pourtant si prometteuse. faut dire que là-aussi, le prétexte n'avait rien d'anodin, il en résultait essentiellement d'une problématique lancinante à laquelle vous auriez déjà dû mettre un terme depuis des lustres. et ce fut malheureusement au détriment de ton opinion, que l'anglais avait agi, et seul, qui plus est. outre le fait que les conséquences auraient pu se révéler dramatiques, c'était ta confiance qu'il piétinait sans faire de détour. conséquence, tu craignais aujourd'hui, qu'il ait davantage à te dissimuler que prévu. tu restais certes, la moins bien placée pour parler d'honnêteté, néanmoins, tu faisais la promesse de te racheter une conduite auprès du barman. tu ferais de lui une priorité absolue et sans égal, chacune de tes décisions passant systématiquement par le biais de son approbation. tu t'assurerais minutieusement que votre histoire ne s'avère en rien comparable aux précédentes. et si tu ne deviendrais malheureusement jamais une compagne irréprochable, tu tenterais néanmoins, de t'en rapprocher. qu'importe si quelques-uns de tes comportements continueraient de persister, tu ferais en sorte de compenser différemment, dans l'espoir, peut-être, de lui prouver de ta bonne volonté. ce fut certainement à l'image de ce soir, lorsque tu avais tenté de te faire suffisamment compréhensive, malgré la colère silencieuse, qui s'était aussitôt emparée de toi. tu avais notamment usé d'impassibilité, plutôt que de laisser ouvertement éclater ta frustration, n'aspirant finalement qu'à une chose, pallier à cet éloignement relativement forcé. et c'était exactement ce que tu avais fait, en l'incitant à remonter à ta hauteur. en dépit de vos divergences, tu avais volontairement laissé ton corps céder à l'appel du sien, incapable de manifester plus longtemps, la moindre résistance. et à ses mots, ceux qui consistèrent probablement à te rassurer, tu hochas spontanément la tête en guise de réponse, tentant plus que jamais de ne pas abdiquer au contact de sa main, pressant contre ta jambe. « j'te donne pas deux jours, pour demander le divorce. » le défias-tu, une moue particulièrement espiègle pointant à la lisière de tes lèvres. et si tu préférais de loin ironiser au sujet du mariage, dieu savait également, qu'il restait préférable te concernant de ne pas être catégorique. après tout, personne, même pas vous, ne saviez vraiment de quoi vous étiez capable. dans la foulée, tes lèvres percutèrent fougueusement les siennes, avide de combler à toutes les distances, tu vibras également, lorsque sa main trouva refuge au niveau de ton cou, plus que jamais réceptive à l'étreinte la plus infime. j'te le promets, levi. j'me suis jamais sentie autant à ma place que depuis que j'suis avec toi. t'imagines pas à quel point, j'crève d'envie de te consacrer ma vie. » admis-tu, tandis que ton visage parut à peine se crisper au passage de ses pulpeuses venues s'égarer à hauteur de ta mâchoire, puis finalement au creux de ton cou. forcée de constater qu'il t'en faudrait pas beaucoup plus pour vriller totalement, tu entraînas aussitôt levi dans ton élan, tandis que tu basculais presque intégralement sur le canapé. et dieu savait, qu'il fut un supplice pour toi, de ne pas lâcher la rampe, lorsque ce dernier, t'acculas les secondes suivantes de ces mêmes attentions. naissaient également des confidences, face auxquelles tu resteras muette, te contentant essentiellement de plonger ton regard envieux au travers de l'immensité azuré du sien. et puis ton palpitant soudain, parut s'emballer comme rarement, le souffle court. les paroles à l'impact indélébile, continuèrent de raison l'instant d'après, alors même que tes lippes s'approprièrent les siennes, dans un élan ô combien, impatient, tes mains, toutes les deux, trouvant le chemin sur le haut de son dos. « tu trouverais pas ça bizarre, si j'te disais que moi aussi? » soufflas-tu, à l'orée de ses lippes, sous couvert que les circonstances te concernant, n'étaient pas similaires aux siennes. effectivement, il y a peu, t'étais encore avec un autre, même si admettons-le, ça ne changerait rien à ce que tu ressentais actuellement pour levi.
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Levi Wheeler
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Sujet: Re: one touch, electric shock, eyes locked (sahar) Mer 18 Oct 2023 - 22:56
tw : drogue
Il fallait croire qu’eux aussi n’échapperaient pas à leurs lots de conflits, bien que tout laissait présager que leur idylle était faite pour perdurer. Levi, il regrettait simplement d’être à l’origine de ce malentendu qui coûtait cher à la confiance que Sahar lui accordait, comme s’il comprenait qu’il y aurait tout à refaire puisqu’elle remettrait en doute chacun de ses faits et gestes. Alors il avait fait en sorte de ne pas en rajouter davantage, pour ne pas aggraver son cas, peu fier de sa position. Il aurait dû savoir qu’il n’y aurait pas d’issue favorable à cette histoire à laquelle il avait définitivement voulu mettre un terme, surtout depuis que Sahar était officiellement au centre de son existence. Chaque seconde écoulée s’était apparentée à une menace supplémentaire, que de voir le réseau se venger de son silence soudain, lui qui n’aurait pas davantage tenté le diable. Il était impensable d’imaginer qu’il aurait pu poursuivre son chemin sans même prendre en compte la menace qui planait autour de lui, jusqu’à potentiellement atteindre Sahar. Et si aujourd’hui il regrettait profondément d’avoir mis à mal leur relation, il persistait à penser qu’il n’y aurait pas eu d’autre choix viable pour eux. Dieu savait à quel point il mourrait d’envie de mettre fin à cette tension qui s’affairait à les tenir à distance, son corps et son cœur lui criant de la rejoindre, de cesser cette torture intenable. Et il ne put que souffler de soulagement en entendant la demande de sa favorite, qui visait à le rapprocher d’elle, Levi ne s’éternisant pas à l’autre coin de la pièce, avalant les quelques mètres qui les séparaient pour reprendre place sur le canapé. « C’est ce que tu penses. Mais ça me plaît bien l’idée d’être coincé avec toi pour la vie. » Répondit-il, l’air tout aussi espiègle, comme s’il cherchait à lui montrer qu’il était prêt à relever le défi, lui qui était convaincu qu’ils étaient faits pour rester ensemble. A en voir la manière dont le naturel était revenu au galop, leurs peaux rétablissant le contact presque dans un automatisme, jusqu’à ce que leurs lèvres ne finissent par se céder, dans un échange fougueux, à la hauteur du manque qui semblait s’être emparé d’eux. Prêt à ne plus jamais la lâcher, Levi laissa les mots de Sahar s’enfouir en lui et trouver chemin jusque dans les fibres de son myocarde qui battait exclusivement pour elle. « On se séparera jamais, ok ? J’veux plus avoir à faire sans toi. » Souffla-t-il, le cœur relativement lourd à l’idée d’imaginer leurs chemins se séparer. Levi, il ne perdit pas non plus de temps pour lui signifier sa dévotion, sa bouche s’accaparant la sienne avant de lentement déraper jusqu’à son cou, espérant la faire vibrer autant qu’elle le faisait avec lui. Et il ne put que se satisfaire de sa réaction, son corps finissant par surplomber le sien, sans qu’il ne mette fin à la douce torture amorcée dans le creux de son cou. Sans même savoir d’où lui venait ce besoin de le lui dire, Levi se laissa aller à cette confidence plus que profonde, lui révélant sans filtre ce qu’il éprouvait pour elle, sans laisser planer le moindre doute. Et ce fut certainement les secondes les plus longues de son existence, craignant de voir Sahar prendre peur face à ce qu’il lui avait enfin avoué, jusqu’à ce que leurs lèvres ne finissent par se retrouver, dans un énième échange qui semblait sceller leur lien à tout jamais. « C’est vrai ? » Souffla-t-il, ses yeux refusant de se détourner des siens, y lisant cette sincérité qui le bouleversait intégralement. « Tu me fais ressentir des trucs de dingue Sahar. J’arrive plus à m’imaginer sans toi. » Lui confia-t-il, l’une de ses mains partant à l’aventure à l’intérieur de son vêtement, pour retrouver le grain addictif de sa chair.
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Sujet: Re: one touch, electric shock, eyes locked (sahar) Jeu 19 Oct 2023 - 12:26
tw.
le fait était que tu étais déjà, particulièrement dépendante de levi. toi-même, tu percevais la différence par-delà tes manières d'appréhender chacune des situations pourtant anodines, depuis que tu le fréquentais. effectivement, de tes traditionnelles accoutumances, de celles que tu réitérais succinctement en l'absence d'autrui, se voyaient dorénavant soumises à la présence de l'anglais, sans lequel, tu semblais comme totalement, incapable d'agir. c'était de loin, la première fois que tu connaissais un engagement tel à celui-là. de l'effrontée, en permanence à la recherche d'une liberté, trop souvent idéalisée, tu avais tout bonnement vrillé à son exact opposé. au vu des circonstances actuelles, il restait en effet, compliqué d'imaginer que tu avais été un jour, du genre à n'exister que pour toi-même. aujourd'hui, tu ne vivais littéralement que pour l'anglais, rien ne comptait davantage que la satisfaction que tu pourrais ou non, lui apporter. prétendre que tu ne jurais que par lui, s'avérait tout bonnement un euphémisme. les conjonctures parurent plus que jamais extrêmes, et ce, même pour toi. tu ne pensais pas te tromper en affirmant que ce besoin quasi-viscéral d'appartenance, tu ne l'avais pas autrefois connu, auprès d'un autre. un penchant, que tu savais bien spécifique au barman, pour lequel, tu semblais développer une obsession, profondément contre-nature. dieu savait à ce moment précis, que tu t'foutais bien de "ta carrière", tu pourrais bien demeurer serveuse pour le restant de tes jours, que ça t'importait peu, du moment qu'il te restait levi. une éventualité profondément malsaine, mais qui ne détonnait pas des masses, lorsqu'on te connaissait un tant soit peu. « coincé? je suis pas certaine de comment j'suis supposée prendre ça. » dis-tu, faussement offensée, sous couvert que le terme utilisé, te paraissait peut-être un peu intense. comble de l'ironie, pour celle qui partageait pourtant, une vision identique à ce que représentait le mariage, selon ses propres aveux. tu y voyais un aspect relativement définitif, qui t'faisait pas mal flipper. forcée de constater cependant, que la situation paraissait progressivement évoluer, depuis que ton palpitant, s'emballait à l'unique évocation de son nom. « si t'as pas l'intention de foutre le camp d'ici-là, moi j'irai nulle part. » renchéris-tu aussitôt, que tu ne comptais certainement pas t'enfuir. effectivement, c'était pas moins que l'éternité que tu lui promettais, si ce dernier voulait encore de toi, jusqu'à là. et puis dans la foulée, tu l'incitas finalement à te surplomber, tandis que tu te laissas crouler presque entièrement sur le canapé, absorbant avec difficulté, au supplice avec lequel il continua de t'acculer, et qui ne pris fin, que les secondes suivantes. de là, naissait une confidence que tu n'étais pas prête d'oublier, ton palpitant au bord du précipice. et spontanément tes lèvres percutèrent les siennes, en faveur d'un échange plus que jamais évocateur de l'ensemble des sentiments, que tu ressentais à son égard. un mélange de fougue et de passion, qu'il devenait ambitieux, de réfuter. « oui. » vins-tu chuchoter, en réponse à l'interrogation de ton amant, tes vaporeuses plongées dans l'immensité des siennes. fallait-il admettre que t'étais complètement obnubilée par lui, sahar. « j'espère bien que tu t'imagines plus sans moi. j'ai presque vrillé nympho, depuis qu'on est ensemble. » soufflas-tu, usant à peine de sarcasme, que tu ne pouvais nier, ô combien, depuis que vous étiez en couple, tu le désirais à l'infini, peu importe l'endroit, ou le moment. une addiction nouvelle, que tu ne chercherais pas, là non plus, à désavouer. « tu as conscience que t'es ma propriété? que je pourrai me damner pour toi? » et c'était peu dire. il t'appartenait levi, chacune de tes volontés se résumant à entièrement le posséder. mais alors, que l'une de ses mains s'insinua sous ton vêtement, se heurtant ainsi à ton épiderme, les tiennes se crispèrent subtilement sur le haut de son dos, incapable de ne pas réagir à son contact, même le plus insignifiant. « comment tu fais ça? » le questionnas-tu, tes pulpeuses plus tentatrices que jamais, effleurant les siennes, sans pour autant se les approprier. de là, ce fut autour de tes deux mains de se s'immiscer à l'intérieur de son accoutrement, tes paumes débutant des allées et venues le long de son échine, tes doigts quant à eux, redessinant habilement les pourtours de sa colonne vertébrale, s'enfoncèrent, parfois fermement dans sa chair immaculée. par ce geste, tu marquais ton territoire, son appartenance. il était tien levi, et tu faisais tout naturellement en sorte de le lui remémorer.
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Levi Wheeler
MESSAGE : 25027 ICI DEPUIS : 18/06/2018 CRÉDITS : endless love (av), awona (sign), strangehell (icons)
STATUT : i’ll be yours for a thousand lives. (married to sahar ♡)
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: one touch, electric shock, eyes locked (sahar) Sam 21 Oct 2023 - 0:55
tw : drogue
Les choses semblaient en effet bien différentes avec Sahar, leurs deux tempéraments agités paraissant se calmer au contact de l’autre, comme s’ils réussissaient à s’apaiser mutuellement. Et s’il ne parvenait toujours pas à l’expliquer, Levi savait que ce qui le liait à la brune n’avait rien d’anodin, et qu’il se devait de protéger cette relation envers et contre tout, même si sa vie en dépendait. Parce-qu’il savait pertinemment qu’il n’irait nulle part sans elle, lui qui se rendait déjà bien compte que chaque pas en son absence était compromis, comme s’il perdait son orientation, comme s’il ne savait plus fonctionner si elle n’était pas là. Et Sahar, elle n’avait sans doute pas conscience de l’impact qu’elle pouvait avoir sur son existence qu’elle chamboulait à chaque seconde. « Tu comptes pas utiliser les menottes sur moi peut-être ? » La chercha-t-il, une lueur espiègle traversant l’azur de ses iris, puisqu’elle savait aussi bien que lui qu’il était complètement consentant à l’idée de lui appartenir de toutes les façons possibles, même s’il était question d’un engagement plus officiel. Ça dépassait toute raison et pourtant, l’idée de se lier de cette manière à Sahar ne le repoussait absolument pas, lui qui en oubliait toutes les craintes et les doutes qui découlaient de ce genre d’engagement, comme si leur seule alliance parvenait à justifier tout ce qu’il ne s’était jamais autorisé à franchir avec qui que ce soit. « J’ai pas l’intention de te foutre la paix. J’ai même envie de te coller pour toujours. » Souffla-t-il, sans mettre le moindre filtre quant à ses intentions de partager son quotidien jusqu’à son dernier souffle, lui qui était convaincu de ce qu’il désirait avec la serveuse. Leurs corps et leurs âmes en accord, ils basculèrent ensemble sur le canapé, leurs lèvres scellées dans un échange ô combien passionné, reflétant à merveille tout ce qu’ils s’étaient évertués à dissimuler lors des quelques minutes précédentes. Cette fois-ci, ils s’autorisaient à lâcher prise, ne laissant aucun doute s’infiltrer au travers de leur envie de se retrouver pour de bon, la bouche de l’anglais dérapant avec avidité jusque dans le creux de son cou. Et finalement, ce ne fut qu’à l’écho de son aveu que ses yeux vinrent retrouver ceux de son amante, la confrontant à cette sincérité qui ne demandait qu’à être exposée au monde entier. Et jamais il n’aurait cru expérimenter une vague de chaleur comme celle que Sahar lui procura au moment où elle lui confirma la réciprocité de ses sentiments, eux qui semblaient réaliser à quel point ils tenaient entre leurs mains un trésor inestimable. Levi, il se laissa naturellement guider par les lèvres de sa favorite, les embrassant avec fougue, peinant à résister à l’appel de sa chair. « Y’a aucun mal à ça. C’est pas de notre faute si on s’attire comme des aimants. » Se justifia-t-il, la malice traversant son regard, parce-qu’il savait très bien qu’ils ne se refusaient rien, et qu’ils ne le feraient sûrement jamais, priorisant leurs désirs communs. « Comme toi t’es la mienne. T’es tout ce que j’ai. » Répondit-il à la lisère de ses lèvres qu’il cherchait à s’approprier, sans y parvenir, confrontant le regard joueur de sa partenaire alors que sa main disparût dans l’obscurité de son vêtement, la pulpe de ses doigts retraçant les courbes de son flanc jusqu’à ses côtes. « Comment je fais quoi ? » S’amusa-t-il subtilement, effleurant à son tour sa bouche, ses muscles se crispant au moment où il perçut les mains de Sahar s’enfouir sous son haut pour caresser son échine. « Tu me fais tellement du bien. » Murmura-t-il, son corps se redressant légèrement pour permettre à son bassin de se positionner davantage entre ses cuisses, ses doigts continuant leur chemin sur sa peau, se nichant entre le canapé et son dos pour trouver l’attache de son sous-vêtement qu'il dégrafa habilement. « Tu seras plus à l’aise comme ça. » Lâcha-t-il, feignant une innocence à laquelle ni l’un ni l’autre ne se laisseraient duper.
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Sujet: Re: one touch, electric shock, eyes locked (sahar) Sam 21 Oct 2023 - 14:46
tw.
tu mentirais, si tu affirmais avoir déjà vécu quelque chose de comparable, auparavant. en effet, si tu avais connu la passion, rien ne demeurait égal à ce que tu vivais actuellement aux côtés de levi. naissait aussitôt un sentiment de dépendance particulièrement extrême, auquel tu ne chercherais même pas à réfuter. c'était toxique à en crever, plus malsain qu'il ne fut seulement possiblement de l'imaginer, pourtant, tu alimentais volontairement cet aspect de ta personnalité qui consistait à lui être pleinement dépendante. effectivement, tu avais fini par régenter volontairement chaque aspect de ton quotidien, afin de corroborer à la relation que tu entretenais avec l'anglais. plus que jamais, tu chérissais ce sentiment de ne plus être capable de penser par toi-même en sa présence, ou mieux encore, de ne plus être en mesure d'entretenir tes accoutumances de longue date, s'il n'en faisait pas parti. tu n'aspirais qu'à une chose, faire de lui, l'élément central de ton existence, une priorité absolue pour laquelle t'irai tout bonnement jusqu'à te damner. l'objectif étant principalement de lui prouver qu'en son absence, même de courte durée, tu demeurais dans l'incapacité la plus totale d'exister. « disons, que les menottes, c'est beaucoup moins définitif. » renchéris-tu sur le même ton, relativement espiègle que ton hôte. effectivement, tu n'étais d'ordinaire, pas vraiment du genre à sceller de promesses plus ou moins irrémédiables, pourtant, tu n'aurais pas su dire pour quelle raison exactement, l'idée que ce soit le cas le concernant, ne semblait pas te rebuter. à l'inverse, tu pensais qu'il ne s'agissait-là, pas d'une manière plus irrévocable de le posséder. « alors, fais-le. » lâchas-tu spontanément. autant l'admette tout de suite, tu étais considérablement méconnaissable depuis que tu fréquentais levi. habituellement si réticente à l'idée qu'on empiète sur ton territoire, tu n'attendais dorénavant que ça. un comble donc, pour la sauvageonne que tu as toujours prétendu être. et dans la foulée, tu basculas presque entièrement sur le canapé, entraînant sans attendre, ton amant, au travers de trop propre élan. selon toi, il fut temps de pallier à cet éloignement forcé des minutes précédentes, en le ramenant au plus proche de toi. de cette promiscuité recouvrée, naissait également des confidences plus conséquentes, y admettant le plus naturellement du monde, la réciprocité de tes sentiments. de là, tes lèvres percutèrent les siennes en faveur d'une fougue non dissimulée, envieuse à en crever de le faire tien jusqu'à l'infini. « je crois que tu sous-estimes à quel point je te veux, absolument tout le temps, et sans répit. » admis-tu, sans faire de détour, la tentation s'emparant intégralement de toi, incapable de réfuter à ce désir fulgurant qui semblait régner en maître. tu avais envie de lui en continu, peu importe l'endroit, et au détriment du moment opportun. une addiction supplémentaire, d'abord minimisée, devenue plus que jamais l'évidence même. et ce n'était certainement pas les mots prononcés par ton amant, qui parviendrait à apaiser le désir, pressant déjà au creux de tes reins. le regard terriblement joueur, tes lèvres effleurèrent les siennes de près, sans pour autant, pleinement te les accaparer. et au contact de sa main venue habilement s'insinuer à l'intérieur de ton vêtement, tu frissonnas, incapable manifestement de te contrôler. « comment tu fais pour me rendre aussi faible à chaque fois que tu me touches? » et ce fut au tour de tes mains, de s'immiscer sous son vêtement, redessinant avec fermeté et délicatesse, les pourtours de son échine. t'avais parfois du mal à imaginer que la perfection de ces traits, t'étais exclusivement réservée. « et j'ai l'intention de t'en faire, jusqu'à tant que tu voudras de moi. » poursuis-tu, enjôleuse à l'extrême, tes vaporeuses ne se détournant plus de l'immensité azurée des siennes. et un soupir quasi-imperceptible, s'échappa aussitôt d'entre tes lèvres, lorsque ce dernier, vint à se repositionner entre tes jambes, qui se refermèrent légèrement sur son passage. ton dos viendra également se cambrer, de manière notamment à lui faciliter l'accès jusqu'à l'attache de ton sous-vêtement, hochant la tête un peu naïvement aux paroles de ton amant, tandis que tu n'aurais su dire comment, tu venais déjà de te débarrasser du superflu, que tu laissas glisser directement sur le sol. « tu avais raison, c'est mieux ainsi. » vins-tu répliquer, faussement candide, alors même que tu ne perdis pas de temps pour tirer sur les plis de son tissu, que tu t'empresseras également de faire valser dans la pièce. tes mains s'aventurant aussitôt l'une à côté de l'autre, le long de son torse dénudé, se scindèrent finalement en deux chemins bien distincts, mais chacune longeant ses côtes, jusqu'à remonter une nouvelle fois à hauteur de son échine, dans laquelle, se plantèrent plus d'une fois, tes doigts avec fermeté. tes pulpeuses quant à elles, ne perdirent pas de temps non plus pour lui accorder toute l'attention qu'il méritait, lovées d'abord au creux de son cou, que tu parsemas d'attentions plus ou moins appuyées, avant de dévier sur le haut de son épaule, que tu acculas de la même envie. « putain, tu imagines pas à quel point tu m'obsèdes. » et tes mains, persistèrent à effectuer nombre d'allées venues contre son dos, s'aventurant parfois, un peu plus loin que ses reins, avant de remonter jusqu'à sa chevelure, au travers de laquelle, s'égaraient là aussi, tes doigts. chacun de tes gestes, non choisi au hasard, tous visant à lui attester d'ô combien tu étais folle de lui, addicte à en crever. pas une seule parcelle de son épiderme que tu épargnais de ton étreinte. parce que chacun de tes mouvements, devaient demeurer à la hauteur de l'admiration que tu lui vouais, plus encore, après vos confidences des secondes précédentes.
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Sujet: Re: one touch, electric shock, eyes locked (sahar) Sam 21 Oct 2023 - 16:26
tw : drogue
C’était viscéral, épidermique, cette addiction dont il était victime depuis que Sahar et lui avaient décidé de sauter le pas, d’accepter ce lien qui avait pris un tournant bien plus profond qu’ils ne l’auraient imaginé. Il était évident que tout avait vrillé avec une rapidité sans pareille, que leur relation nouvellement amorcée avait semé pas mal de dégâts autour d’eux, et notamment dans l’ancienne relation amoureuse de Sahar. Quand bien même il n’y était pas insensible, Levi ne regrettait pourtant absolument pas la façon dont s’étaient déroulés les évènements, se faisant à l’idée qu’ils n’auraient de toute façon pas pu y échapper. « Pas plus qu’un papier signé. » Répondit-il, du tac au tac, résumant à sa manière ce qu’il pensait du mariage. C’était probablement la première fois qu’il parvenait à envisager un engagement aussi profond avec une âme, conscient que celle de Sahar était la seule que la sienne désirait de cette façon. « C’est prévu. » Murmura-t-il, peu avant qu’il ne bascule sous son élan, se retrouvant pour de vrai, après avoir tous les deux subi cette tension à laquelle ils ne semblaient pas habitués. Et il se rendait compte Levi, à quel point il n’était pas fait pour supporter une quelconque distance avec sa partenaire, le lui prouvant dans sa façon de l’embrasser, comme s’il était question de leur dernier baiser. « T’imagines sûrement pas à quel point c’est réciproque. » Lui souffla-t-il à l’orée de ses lèvres qu’il laissait rougir sous leurs échanges passionnés, sans leur laisser de répit. Incapable de se freiner, ce furent ses mains qui s’engouffrèrent sous son tissu, caressant sa peau à nue, avec l’intime espoir de la faire vibrer. Levi, il voulait que Sahar se sente désirée, en tout temps, qu’il n’y ait pas un seul instant où le doute ne vienne s’insinuer dans son esprit. Sa bouche percevant les effluves brûlantes de la sienne, il continua à la tenter à sa façon, la pulpe de ses doigts se baladant contre son épiderme. « Faut croire que j’suis doué. » S’amusa-t-il, un air faussement provocateur étirant ses traits, elle qui savait tout autant que lui qu’elle possédait le même pouvoir sur lui. « Ne t'arrête jamais. » Finit-il par répondre, dans un souffle, en profitant pour confronter davantage leurs bassins qui se superposèrent l’un à l’autre. Avide de lui montrer ce qu’il avait en tête, il laissa ses mains s’aventurer dans son dos pour s’occuper de l’attache de son sous-vêtement, justifiant son geste avec une innocence relative. « Je trouve aussi. » Répliqua-t-il, laissant le tissu tomber au sol, suivi par son haut qui prit la même direction, le haut de son corps désormais dénudé. A l’affût de son contact, Levi perçut son souffle s’accélérer discrètement, ses paupières se fermant au passage de ses mains qui effleuraient la moindre parcelle de son épiderme chargée de frissons que Sahar pouvait aisément percevoir. Et le plaisir était tel qu’il laissa échapper les prémices d’un soupir de bien-être au moment où les lèvres de sa favorite prirent le relai, en percevant chaque pression. « Embrasse-moi. » L’implora-t-il, son visage revenant à sa hauteur, son bassin débutant des ondulations à peine dissimulées contre le sien alors que sa main remonta le long de son flanc pour venir se poser sur sa poitrine encore couverte de son haut. « J’ai envie de toi. » Et il était convaincu que Sahar n’avait pas besoin de mots pour comprendre combien il la désirait.
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Sujet: Re: one touch, electric shock, eyes locked (sahar) Sam 21 Oct 2023 - 18:40
tw.
si on ne comptait pas, quelques-unes de tes addictions, on pouvait aisément affirmer que ton comportement avait changé du tout au tout. de la sauvageonne relativement effrontée, et carrément réfractaire au moindre engagement, -aussi minime soit-il-, tu avais tout bonnement vrillé à l'amourante transie, et prête à tout pour l'âme que tu chérissais bien au-delà des limites. dorénavant, tu t'apprêtais à lui vouer pas moins que ton éternité, approuvant sans mal à l'idée que ton existence tout entière, se résume uniquement à la sienne, puisqu'au fond, c'était exactement ce à quoi tu aspirais. tu voulais que levi assiège ta vie de toute part, et te fasse littéralement oublier le monde autour. t'aimais à penser que sans lui, tu ne détenais d'aucune potentielle valeur. t'appréciais d'autant plus le fait de ne plus être en mesure de raisonner par toi-même, ou d'agir tel que tu l'eus toujours fait, depuis que tu le fréquentais. de tes accoutumances incessamment réitérées, il s'avérait une partie plus que jamais intégrante, sous couvert, que tu n'agissais plus beaucoup en son absence. tu lui avais fait la promesse d'un dévouement sans égal, et t'allais plus que jamais t'assurer de tenir parole, sahar. loin d'imaginer qui plus est, que tu finirais pas dénicher un sens à ta vie, en te soumettant partiellement ou totalement à l'autre. « tu rigoleras moins, quand il te faudra vraiment le signer. » puis les confidences s'enchaînèrent, le besoin de pallier plus que jamais à l'éloignement forcé des minutes précédentes, tout bonnement, fulgurant. vos rapprochements faussement candides au commencement, s'intensifièrent à mesure des secondes, pour ne laisser place qu'à la tentation, et l'envie pour le moins indéniable, de ne faire plus qu'un, une fois encore. si tu semblais ouvertement ironiser le fait de virer complètement addicte, il n'était pourtant pas insensé de penser que le désir que tu ressentais en discontinu vis-à-vis du barman, n'avait en effet, rien de parfaitement normal. la manière dont ton corps réclamait systématiquement le sien pour qu'enfin il assouvisse l'incendie se propageant incontestablement au creux de tes reins, était une preuve significative de cette addiction nouvelle, que tu persisterais néanmoins, à alimenter, au risque que les conséquences, s'avèrent de moins en moins gérables. « t'es terriblement douée. » admis-tu, enjôleuse au possible, tandis que tu frissonnas de façon incontrôlable, au contact de sa main, venue tout simplement effleurer ta chair, déjà bouillonnante. « c'est promis. » vins-tu souffler sur le même ton, tandis que ton dos se cambra légèrement, afin de laisser l'opportunité à ce dernier, de se faufiler jusqu'à l'attache de ton sous-vêtement, dont tu viendras toi-même te débarrasser, les secondes qui suivirent. mais ce ne fut pas le seul accoutrement qui s'apprêtait à valser dans la pièce, que tu en avais aussitôt fait de même avec le t-shirt de ton amant. tu ne perdis pas de temps pour t'accaparer une partie non négligeable de son torse, tes mains s'aventurant chacune d'elles le long de ses flancs, avant de remonter jusqu'à son échine, dont tu redessinas les les pourtours avec fermeté. tes doigts s'enfoncèrent plus d'une fois dans son épiderme, effectuant nombre d'allées venues, jusqu'à trouver refuge au travers de sa chevelure. mais forcée de constater que tu ne souhaitais lui accorder aucun répit, tes lèvres trouvèrent refuge au creux de son cou, avant de finalement dévier en direction de son épaule, que tu acculas d'attentions similaires. et alors que tu parues l'assiéger d'une envie pour le moins indéniable, l'anglais t'exorta de l'embrasser, ce que tu fis naturellement sans te faire prier. un échange pour le moins déchainé, au travers duquel, tu cherchas par dessus tout à lui communiquer l'euphorie qu'il te prodiguait. et ce fut à ton tour de manquer de vriller complètement, incapable d'affirmer si de ses ondulations, ou de sa main venue se glisser à hauteur de ta poitrine, lequel te fit le plus perdre pied. « j'ai envie de toi aussi, levi. » et autant l'admettre tout de suite, il ignorait sûrement, à quel point. tu en crevais littéralement de lui faire du bien, de lui prouver également de toute l'étendue de tes sentiments à son égard. ce pourquoi, dans un mouvement, tu l'incitas de nouveau à basculer, notamment de manière à recouvrer à vos positions initiales, assis, sauf que cette fois, c'était toi qui allais le surplomber, positionner à califourchon sur ce dernier. ta bouche pressant quasi-immédiatement contre la sienne, tu fis jouer ta langue à celle de l'anglais, tes mains d'abord agencées de part et d'autre de son visage, bifurquèrent plus en détail le long de son buste dénudé. et dans un même temps, ce fut autour de ton bassin, d'amorcer une danse visiblement lancinante, et emplies de sous-entendues, contre le sien. « j'en reviens toujours pas à quel point t'es parfait. » et tu pouvais dans ce cas, t'estimer heureuse qu'il t'appartienne.
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Levi Wheeler
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Sujet: Re: one touch, electric shock, eyes locked (sahar) Dim 22 Oct 2023 - 21:44
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Sujet: Re: one touch, electric shock, eyes locked (sahar) Lun 23 Oct 2023 - 20:02
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Sujet: Re: one touch, electric shock, eyes locked (sahar) Lun 23 Oct 2023 - 22:31
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