hot - Rollin' eyes back in my head, make my toes curl (April)

Tu ne pouvais pas t’empêcher de sourire. Déjà avec lui tu ne pouvais pas ne pas sourire. Mais il posait ton verre sur la table pour venir poser ses lèvres sur les tiennes. Tu ne t’y attendais pas, enfin si, un peu mais peut-être pas tout de suite. C’était très agréable et t’aurai aimé faire ça avant mais tu n’avais pas eu le courage de le faire. Il avait pris les devants et c’était pas plus mal. Alors comme réponse, tu lui avais rendu son baiser, plus doux, de façon plus délicate. Un sourire sur tes lippes, tu te contentais de l’observer. Le jeune homme t’attirait sur lui pour que tu puisse lui donner un baiser plus intense et plus sensuel. Ce que tu faisiez. Il caressait tes hanches pendant que vous échangiez vos baisers et toi tu passais tes mains dans ses cheveux. Puis, tu venais te détacher de lui, déposant un baiser sur sa joue. « On peut faire comme ça » dis-tu avec un sourire en coin. Tu te remettais sur le canapé et vous continuiez à manger quelques sushis. Tu avais envie de lui re-sauter dessus mais c’est pas plus mal de calmer la cadence et d’en parler en suivant le repas. Ce qu’il faisait d’ailleurs. « On a dit manger d’abord et après on en discute » dis-tu dans un rire entre deux baisers.

April elle a ce truc que tu n’es pas capable d’expliquer
Elle t’attire
Elle te captive
Elle te captive depuis la première seconde
Tu l’embrasses parce que t’en crève d’envie et c’est puissant
Les baisers oscillent entre douceur et passion
Tu proposes de manger, de faire une pause
Car tu te connais archie
Et tu sais surtout une chose t’es pas capable de te retenir mille ans
Tu sais qu’en l’embrassant trop tu vas finir par lui sauter dessus
T’en as déjà fortement envie
Alors une trêve une pause
Elle dure un instant
T’y retourne
Elle te rappelle à l’ordre et tu ris bêtement parce que merde c’est bon
Tu embrasses sa joue puis son cou avant de te reculer à contre coeur
« oui … on mange … oui .. j’ai pas méga faim de sushis d’un coup … »
Tu continues de caresser ses hanches lentement
Tu la regardes avec attention
«  je sais pas ce que tu me fais April … mais j’ai envie de toi c’est violent.»
Tu embrasses son épaule doucement avant de la relâcher parce que tu vas craquer,
Tu te lèves pour vous servir à nouveau en vin
Tu dois impérativement penser à autre chose que ses lèvres.

Il te rendait vraiment tout chose, Archie. Comme si tu ne pouvais pas contrôler ton corps quand tu étais en sa présence. Mais ce soir, tu en avais décidé autrement. Tu voulais voir si tu arrivais à passer un moment sans que tu lui sautes dessus. C’était mal barré… Mais tu avais mis les limites qu’il t’avait donné au départ, vous mangiez et après vous en parlerez. « Hm, t’as plus faim de sushi et j’imagine que t’as pas envie de parler non plus » dis-tu avec un sourire en coin. Il était entrain de te caresser, t’allais pas dire que ça te déplaît, au contraire. Le contact de sa peau contre la tienne ça te faisais du bien et surtout ça te rendait folle. Il embrasse ton épaule et tu fermes les yeux, tentée par l’embrasser par la suite mais non, parce que tu savais comment ça allait finir. Il te servait un verre de vin que tu mettais de suite à tes lèvres comme si ça allait te couper l’envie de grimper sur lui alors que non, ça va plutôt être pire. « Oh tu sais, c’est réciproque » dis-tu en te pinçant les lèvres. « Mais on peut bien rester là tous les deux sans se sauter dessus, non ? » demandas-tu en plantant ton regard dans le sien. Non, tu savais que non…

Elle est hors de ton contrôle April
Avec ses jambes sans fin
Son sourire
Ses yeux de biche.
Et le gout de ses lèvres c’est un crime ce qu’elle te fait à l’intérieur
T’es pendu à ses lèvres
Elle sourit
T’es perdu d’avance en réalité
Elle est hypnotique et tu peux pas lutter
T’oublies tes propres résolutions.
Manger
Parler
Pas lui sauter dessus comme un assoiffé en plein désert.
Merde ressaisis toi archie
C’est ça que tu veux être un maudit cleps en manque cruel d’affection.
Tu te mets à rire à sa réflexion
Tu te recules un peu pour pouvoir mieux respirer
T’as besoin d’air pour oxygéner ton cerveau complètement rempli de pensées peu catholique.
Tu secoues la tête
«  je suis pas certain.. on devrait pouvoir oui mais… je suis pas certain de pouvoir le faire.. »
Parce que ça t’obsède complètement
T’es déjà dans l’après
«  mon esprit te fait déjà l’amour de mille façons en réalité… alors je lutte comme un perdu pour pas t’arracher tes fringues… »
Une honnêteté criante
Tu t’en fiches qu’elle pense que t’es un accro
Tu l’es dans un sens..
Tu recules encore un peu
«  comment était ta journée ? »
Faire diversion
Changer de sujet
Lutter contre tes pensées qui arrivent en cascades
Il faut qu’elle parle
Qu’elle bouge
Tu vas manqué d’air

Il te faisait rire, Archie. Tu voyais bien qu’il n’arrivait pas à se contrôler face à toi et dans un sens, c’était quand même assez flatteur. Alors tu souris, bêtement, le regardant. Toi aussi t’avais envie de lui sauter dessus, qu’il te fasse l’amour pendant des heures et des heures jusqu’à épuisement. Mais là, tu voulais essayer de te contrôler. Et lui aussi, c’est même lui qui avait appliqué des règles avant même de faire quoi que ce soit, et tu voulais voir si tu allais les respecter. « Dans mon esprit, tu me fais l’amour pendant des heures, t’en fais pas » soufflas-tu dans un murmure, en lui faisant un clin d’oeil. T’es vraiment la pire, tu fais tout pour qu’il succombe. Et toi aussi, d’ailleurs. Tu te mordilles la lèvre, parce que tu veux aussi te contrôler et ne pas lui sauter dessus. Alors tu te concentrais sur autre chose, pendant qu’il se reculait pour ne pas te sauter dessus. « Tranquille, j’ai commencé à organiser une nouvelle soirée pour la St Valentin » dis-tu avec un sourire en coin. Tu prenais ton verre pour le porter à tes lèvres. « Et toi, alors, ta journée ? » demandas-tu curieusement.

Il faut te concentrer sur autre chose
Ne pas penser à ton envie de lui faire l’amour
Il faut que tu changes de sujet
Te divertir l’esprit.
Tu regardes April quand elle parle de sa préparation de sa soirée de st Valentin
Tu hoches la tête intéressé
« tu as prévu de nous éblouir pour cette st Valentin ? Je peux avoir un indice en avant première ? »
Tu souris en caressant doucement son épaule
«  please tell me que tu vas te déguiser en cupidon? Une tenue d’ange ça t’irait super bien »
Tu bois une gorgée quand elle te questionne sur ta journée
Tu fais une moue boudeuse
« le traintrain oui quelques courses rien de passionnant jusqu’à ce que tu égaies ma journée … »
Tu te redresses pour aller chercher dans le frigo une part de gâteau au chocolat avec de la crème.
t’espères qu’elle aime le chocolat.
Tu sors la chantilly que tu secoues pour l’apporter avec toi
Tu reviens pour lui tendre une cuillère
Et tu t’installes
« chantilly ? »

Tu savais très bien qu’à un moment ça allait déraper puisque tu mourrais d’envie de goûter à sa peau et de sentir ses lèvres contre ton corps. Mais pour l’instant, tu arrivais encore à te calmer, à ne pas faire de faux pas. Même si les sushis n’avaient plus trop de saveurs après le goût de ses lèvres contre les tiennes. Il te demandait de lui donner des indices pour la soirée de St Valentin que tu avais prévu d’organiser au Adam & Yves cette année. Mais tu ne voulais rien dire. « Je comptais pas mais maintenant que tu le dis, ça peut le faire… » soufflas-tu avec un sourire en coin. « J’allais plutôt porter une robe très moulante et assez courte, rose… » dis-tu avant de reprendre, un peu plus près de son oreille. « Sans sous-vêtements » murmuras-tu. C’était un peu dangereux ce que tu faisais là. Tu savais bien qu’il n’allait pas résister à l’envie. Mais t’en pouvais plus là, toi non plus. « Egayer ta journée, j’adore ces mots » dis-tu en te mordillant la lèvre. Il se levait ensuite pour aller chercher le dessert pendant que toi, tu finissais ton verre de vin. Il arrivait avec un gâteau au chocolat et une canne de chantilly. Quand il t’en proposait, tu avais les yeux brillants, prête à lui en mettre partout et la manger sur lui. « Moi non, mais tu peux la manger sur moi, si tu veux » dis-tu simplement, le regard plein de défi. C’est bon, on s’en fou, tu peux plus patienter et discuter calmement. Alors tu attrapais son visage pour l’embrasser passionnément, fougueusement. T’avais envie de lui, c’est indéniable.

T’avais pas pu attendre plus longtemps. C’était beaucoup trop tentant. Être à côté de lui et ne pas le toucher, quel tragique affaire. Alors t’avais grimpé sur lui, à califourchon. Et tu t’étais emparé de ses lèvres. Il avait passé une main sous ton t-shirt, empoignant ton sein d’une main ferme et tu lâchais un gémissement entre ses lèvres. Sa peau contre la tienne, tout ce que tu aimes. « J’t’en supplie, fais moi l’amour » dis-tu à son oreille avant de poser tes lèvres contre son cou. Rapidement, tu te retrouvais sur le canapé, plus sur lui. Tu déboutonnais ta chemise, tu déboutonnais aussi ton pantalon et il se retrouvais sur toi. Tes mains parcouraient son corps, tu prenais soin de toucher chaque parcelle de sa peau. T’étais en transe, t’avais envie de lui si fort. Et lui aussi visiblement. « J’t’en supplie » redis-tu comme pour lui montrer que t’avais vraiment besoin de ça maintenant. Vous n’auriez pas parlé, vous préfériez vous sauter dessus. C’pas grave, la discussion aura lieu plus tard. Tu lui enlevais son t-shirt, tu te débarrassais de ta chemise. T’avais pas de soutien gorge, donc vous étiez à égalité, torses nus, l’un devant l’autre.

Finalement, t’avais pas su lui résister et tu lui avais sauté dessus, littéralement. Alors, t’avais pris possession de ses lèvres, de son corps, parce que t’en pouvais plus. C’est pas pour rien que tu lui suppliais de te faire l’amour, de te faire du bien. T’en avais besoin, t’avais envie de lui c’était si fort. T’avais jamais ressenti ça pour quelqu’un d’autre. Le besoin était vital. Il attrapait ton sein pour jouer avec et tu soupirais. « Encore, encore » soufflas-tu alors qu’il jouait avec ton téton. Ça te faisait du bien. Tu sentais bien qu’il était serré dans son jean. Et il faisait de la place pour ça. Tu sentais son membre contre ta jambe mais surtout, tu sentais sa main attraper la tienne pour lui faire du bien. Alors tu t’exécutais. Tu te décalais d’un centimètre pour laisser la place à son engin et ta main. Et tu commençais des allers-retours avec cette dernière. Tu le regardais dans les yeux, profiter de l’instant. Puis sa main venait se loger à son tour dans ton intimité. Bordel, que de plaisir. Vous étiez entrain de vous masturber tous les deux, l’un s’occupant de l’autre et ça te faisait tellement du bien de t’abandonner ainsi.

T’avais chaud, t’en pouvais plus. Il te faisait cet effet là Archie, constamment. Cette fois où il avait renverser tes bouteilles de jus de fruits par terre, bordel que tu bénissais ce jour comme une sainte journée. Ce jour-là, il t’avait fait l’amour de façon acharnée, et maintenant que vous aviez appris un minimum à vous connaître plus, il te faisait l’amour d’une façon encore plus passionnée. Chacun à s’affairer à l’autre, vous vous faisiez du bien, les yeux dans ceux de l’autre, à voir à quel point votre plaisir était entrain de grimper. Mais t’en pouvais plus, t’en voulais plus. Tu voulais qu’il soit en toi, tu voulais qu’il te prenne dans tous les sens du terme. Tu voulais de lui. « Baises-moi » dis-tu simplement à son oreille alors que tu avais encore son engin entre les mains. Tu pouvais plus rester comme ça, t’en voulais plus. Alors tu plantais ton regard dans le sien, les yeux dilaté à cause du plaisir qu’il te donnait, des respirations saccadées et le corps transpirant. Tu te frottais à lui, alors qu’il avait son doigt en toi, pour donner encore plus de plaisir. Mais c’était plus, t’avais besoin de plus.

Ce moment ne pouvait pas s’arrêter. Finalement, les discussions seraient pour plus tard tout comme ce gâteau qu’il vous avait servi juste avant que tu lui sautes dessus. Alors l’un devant l’autre, entrain de vous faire plaisir, tu affrontais son regard. Tes pupilles étaient fortement dilatées, montrant que ton désir grimpait en flèche. Mais tu pouvais plus attendre alors tu lui suppliais de te faire l’amour. Il venait te plaquer contre le canapé, remonter tes jambes pour pouvoir une accès plus facile. Et là, d’un coup, il entrait en toi. Tu poussais un énorme gémissement de plaisir, incontrôlable. Il venait te donner des coups de reins de plus en plus intense et tu gémissais encore. « Plus fort » soufflas-tu alors que tu fermais les yeux. T’étais en transe, comme si ton corps sortait de toi pour regarder ce qu’il était entrain de se passer. T’en venais à faire de la souplesse puisqu’il ramenait tes jambes vers ta tête. Heureusement que ton corps était flexible. « Oh, bordel c’est bon » dis-tu entre deux respirations haletantes.