Like the ceiling can’t hold us ▲ nolàn

Tu soupirais, grelotant dans ta chambre. Ta mère était partie sans allumer le chauffage et tu ne savais pas comment on faisait. Voilà ce qui se passait quand tu quittais ton appartement pendant trois jours. Tu revenais, la température était gelée et tu n'avais aucune idée de comment fonctionne un radiateur. Fuck. Tu n'allais pas rester là, tu te les caillait avec ton short et ton Tshirt. T’avais qu'a pas être conne non plus. Tu passais la tête par la fenêtre, te demandant ce que tu pourrais bien faire pendant cette journée ensoleillée. Bingo, un sourire malin et moqueur t'apparut à l'esprit, et tu sus à l'instant ce que tu devais faire. Aller le faire chier tout de suite, c'était impératif. Tu pris le temps de te maquiller et d'attraper un sac, avant de filer en courant avec d'oublier de fermer ton appartement. Tu y retournais en courant, râlant contre ta bêtise et ta maladresse. Quelques minutes plus tard, tu arrivais devant chez lui. Tu ressentais un pincement au coeur dès que tu voyais 'étais de chez lui. Mais bous ne rouliez pas sur l'or tous les deux. Tu lui avais proposé un bon nombre de fois de venir squatter chez toi, le temps de trouver mieux mais il refusait catégoriquement. Tu grimpais les escaliers pourris, tes talons faisait voler les poussière à chaque pas, avant de toquer vigoureusement à la porte. Oui, il y avait une sonnette, mais tu préférais là méthode à l'ancienne. Il ouvrit la porte, et tu lui sortis une des tes tirades habituelles sans sens. «Tu sais Nolan , les voyelle,s on a A E I O U, mais pourquoi Y , j'ai jamais compris.» Un sourire illumona ton visage tu étais contente de le voir.

Comme à son habitude, il avait l'air de sortir du lit. En même temps il devait sortir du lit. Tu jetais un coup d’œil, inquiète, au plafond, c'était pire que si le voisin du dessus avait décidé de vider sa baignoire par terre, sur un coup de tête. Son appart est pourri ça ce voit et pourtant ça n'a pas l'air de lui déplaire tan que ça. « Bien je sais pas figure toi que j'ai jamais compris à quoi ça servait." Le temps que la porte se referme, des morceaux de mur tombèrent au sol, laissant une trace suspecte sur le carrelage. Tu rougis en lui faisant la bise, avant de t'assoir à coté de lui en rigolant. «Comment ça mon vieux ? Tu joue au mort depuis deux semaines, comme la mouche au coin du mur là." Tu hochais la tête pour désigner le truc noir qui se tenait (ou plutôt qui gisait sur le rebord de la fenêtre. Le temps que tu te rendes compte de ce que tu avais dis, tu sursautais.« Ah une mouche morte bordel! phobie des petites bestioles, quand tu nous tiens. Tu t mis à rire, consciente des âneries que tu débitais à chaque minutes.« Bon j'e jure qu'il faut faire quelque chose pour chez toi, ça devient intenable. t'es sur que tu veux pas venir squatter chez moi ? ou appeler c'est du propre. Comment tu vas au fait." Et bam, une série de questions, il allait devoir y répondre, c'était ton devoir de veiller sur lui tout de même. Tu souris, tes doigts pianotant légèrement sur le matelas.