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↳ personnages attendus

Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.

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 ❥ Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer, Pandore.

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MessageSujet: ❥ Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer, Pandore.   ❥ Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer, Pandore. EmptyMar 11 Juin 2013 - 13:23


Pandore & Aléna


▽Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer.
17h30. Putain j'étais à la bourre, comme d'habitude. J'avais l'art d'arriver en retard à chaque fois, bien que je me prépare à l'avance. Aujourd'hui par exemple, alors que j'étais censée partir de chez moi à 17h, et bien il a fallut que je ne trouve pas les clés de l'appartement. Alors évidement je ne pouvais partir, surtout que personne n'était chez moi. Du coup bah, pendant vingt minutes je me trouvais à faire une chasse au trésor dans tout l'appartement, sans compter qu'à cause de ça j'avais mis un bordel pas possible. J'allais encore me faire tuer, au travail et à l'appartement. Ce genre de choses ne pouvaient m'arriver qu'à moi. Heureusement le patron était plutôt cool, mais je pense qu'à force d'user de sa patience il ne s'empêcherait pas de me virer... Sans réfléchir je me mis à courir dans la rue en direction du bar où je travaillais, et tout en balayant la route du regard, à la recherche d'un taxi.

17h55. Ouf, j'avais plus qu'à sortir du taxi, marchait 10 mètres pour arriver au bar, mettre ma tenue, et filer au bar. J'avais même pas le temps de souffler qu'en entrant, le patron me fis la pression. - Wow, pile à l'heure, peut être qu'à force tu finiras par arriver un peu avance . Allez hop hop hop, Aléna pas le temps de papoter, tu as déjà des commandes à servir. Je ne rétorqua pas, il manquait plus qu'en plus de mon retard je fasse la fille insolente. C'était le seul boulot que j'avais trouvé et je ne voulais surtout pas le perdre car c'est grâce à celui ci que je me nourrissais et pouvais me loger. Une fois prête,  je me dirigeais vers le comptoir, salua Anna-Sophia et alla prendre les commandes. Un large sourire sur la face, et l'air d'être la plus agréable des serveuses, je pris notes de plusieurs commandes et commença derrière le bar à m'activer pour faire les cocktails. Seulement voilà, en me rendant le plateau à la main, je fis tomber un verre. Honteuse, le T-shirt mouillée, je me mis alors à nettoyer mes dégâts sous l'oeil attentif du patron tout en ronchonnant dans ma tête. "Voilà ce qui arrive quand on me met trop la pression, bande de couillon !" - Alena, c'est pourtant pas compliqué. Allez tu vas me refaire ça immédiatement. J'espérais vraiment pas que le patron reste ici toute la soirée, sinon il n'allait pas me lâcher d'une semelle. Finalement avec le temps, tout commença à devenir plus calme, enfin il y avait plus de monde vu que c'était plus tard mais moi je me sentais mieux dans mes baskets, et le patron l'avait bien remarqué, car il n'était plus là, à me surveiller de près. Contente de moi, je profitais pour respirer un peu en me faisant un coca, et en allant prendre une pose clope dehors.
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Dernière édition par Aléna M. Wilfried le Jeu 13 Juin 2013 - 11:39, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: ❥ Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer, Pandore.   ❥ Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer, Pandore. EmptyMer 12 Juin 2013 - 10:45

c'est quoi, le hasard ?
(aléna&pandore)
Rapace. Voilà ce qu'elle est. C'est comme ça qu'on l'appelait à Paris. La rapace. Une espèce de buse survolant le ciel avant de se mettre à tournoyer autour de sa nouvelle proie. Et aujourd'hui, c'est ce que Pandore cherche. Un lapin, une musaraigne, n'importe quoi qui pourrait lui faire l'objet d'un article digne de ce nom et digne de sa réputation. La française à la plus assassine. Assassine, c'est bien le mot. Plume qui s'est retournée contre elle il y a de ça à peine quatre ans. Elle ne semble pas avoir retenu la leçon, l'insolente. Mais comment lui en vouloir ? Peut-on cracher sur son gagne-pain ? Dans ce métier de charognards, pas le droit à l'erreur et assurément encore moins à l'échec. Assise là, en face d'un restaurant, elle observe les autres de ses deux petits yeux bleutés. Elle s'est relativement adoucie ces derniers temps, ça fait un moment qu'elle n'a plus publier un article audacieux. Peut-être son histoire avec Emrys calme-t-il ses pulsions de prédateur. Elle plisse les yeux. À quelques mètres de l'autre côté de la rue, une jeune femme – sûrement serveuse – vient de sortir fumer sa clope. Pandore l'observe, inlassablement, comme un corbeau. Non, pas pour être sa prochaine victime. Parce qu'elle lui rappelle étrangement quelqu'un. Prise d'un frisson, la blonde baisse ses yeux qui s'emplissent de larmes en serrant les dents. Elle ne doit pas flancher, pas maintenant, pas après s'être débrouillé si bien pendant tout ce temps. Et puis elle est morte sérieux, oublie cette histoire ! Bien sûr, l'oublier. C'est pour ça d'ailleurs qu'elle se lève, prête à s'en aller.

Et qu'elle se dirige finalement vers le bar-restaurant. C'est plus fort qu'elle, il faut qu'elle vérifie. Elle pousse la porte, le coeur battant. Tout ce qui concerne ses failles vient de là-bas, de Paris. Et tout la rattrape ici, inévitablement. Elle s'avance vers le bar où la serveuse est de dos. Ça ne peut pas être elle. Même au bout de trois ans, elle n'était pas sortie du coma. Puis il y a eu l'incident avec les bandits, la mort de ses parents, et son départ pour Bowen. Au fond, peut-elle en être vraiment sûre ? Elle pourrait juste l'interpeler, mais histoire de se persuader directement que ça n'est pas elle – elle n'y croit pas du tout mais elle a besoin de vérifier – elle lance alors un : « Aléna ... ? » incertain, un peu vacillant, ne sachant pas trop si elle voudrait que ça soit elle ou pas. Elle se souvient des jours et des nuits passées à son chevet. Du regard des médecins qui disaient qu'il n'y avait plus aucun espoir.
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MessageSujet: Re: ❥ Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer, Pandore.   ❥ Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer, Pandore. EmptyJeu 13 Juin 2013 - 12:00


Pandore & Aléna


▽Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer.
Alors que j'écrasais ma clope sur le trottoir avec mon pied, une demoiselle sortie du bar. Je ne fis pas vraiment attention, prête à rentrer et retourner machinalement à mon service, mais la jeune femme m'interpela. « Aléna ... ? » J'arquais un sourcil, et portai le regard vers la femme. Un sentiment d'incompréhension, suivit d'un trouble. Je n'avais jamais vu cette femme, enfin c'est ce que je pensais en premier lieu parce que logiquement c'était la première impression qui m'étais venue. - Comment connaissez vous mon prénom ? finis-je par dire étonné. Je fronçais les sourcils, détaillant le moindre détail de son visage... et mon coeur se serra. C'était impossible, je connaissais ce visage, je le connaissais très bien même. Mon passé refaisait surface, à la normale je l'aurais chassé pour me concentrer sur mon présent, mais là, si je voulais savoir, il fallait que j'y sois confronté. Le silence s'installa entre nous, comme ci toute les deux on était choqué par la découverte qu'on venait de faire. Un souvenir de rire résonna dans ma tête, puis des voix d'enfants dans tous les sens, je n'arrivais pas à saisir ce qu'ils voulaient dire. Concentre toi bordel. Je fermais les yeux un instant, puis une image me frappa. Je me trouvais assise sur le lit de ma voisine, à Paris, j'avais dix ans de moins, et je me trouvais face à une demoiselle - ma voisine -.- On se jure de ne pas se lâcher. Soeur de coeur, pour toujours! . Nous nous serions la main puis nous nous enlacions pour finir en train de rire comme des gamines insouciante. J'ouvris à nouveau les yeux, et je reconnaissais clairement Pandore, à l'époque je l'appelais Pandadoudou pour l'embêter. La femme qui se trouvait face à moins n'avait plus rien de cette petite fille si souriante à l'époque. Elle semblait plus froide, et triste ... Enfin c'est ce que je déduisais après observation. En tout cas elle était très charmante, et je sais pas pourquoi je la voyais déjà avec un homme dans sa vie - oui j'aimais beaucoup me faire des films sur la vie des gens - . Un léger sourire se figea sur mon visage, toujours sans rien dire. Puis finalement de la mélancolie, suivit d'une méfiance qui s'amplifiait de plus en plus.- Qu'est ce que tu fais là ? Était-elle venue me chercher pour me ramener chez moi ? Non, impossible, je n'avais pas vu la jeune fille de puis mes 15 ans, depuis mon coma. À mon réveil je n'avais pas eu de ses nouvelles, alors que la pandore que je connaissais aurait tout fait pour me protéger. Elle était comme les autres, la fille en qui j'avais le plus confiance, m'avait laissé tombé comme tout ces connards. Comme quoi, les gens oublient vite. Mais pas moi. - Désolé je dois reprendre mon service, pandore. dis-je d'un ton sec.

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Dernière édition par Aléna M. Wilfried le Sam 22 Juin 2013 - 12:19, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: ❥ Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer, Pandore.   ❥ Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer, Pandore. EmptySam 22 Juin 2013 - 11:33

« Comment connaissez vous mon prénom ? » Elle aurait préféré qu'elle lui réponde qu'elle se trompait de personne. Qu'elle, elle s'appelait Camille, ou bien Chelsea, ou bien Amanda, mais pas Aléna. Qu'elle lui réponde tout, tout sauf ça. Son regard bleu et perçant comme ceux d'un vautour, Pandore ne parvient pas à détourner son regard d'elle. Elle a grandit. En même temps, la dernière fois qu'elle l'a vue, elle était allongée sur un lit d'hôpital, elle n'avait que quinze ans, et c'est tout. Là, elle a grandit. Plus proche de la femme que de l'enfant, même si Pandore la devine encore un peu fragile. Elle détaille son visage, elle retrouve les traits familiers de cette voisine avec qui elle s'amusait tant. Elle, l'insouciante, l'imprudente, entraînant tout le monde dans ses complots, mais sans jamais échouer. L'époque où elle se pensait encore plus maligne que les autres. L'époque si proche du seul vrai échec qu'elle ait jamais connu, lui retirant toute son enfance, toute son inconscience, en lui laissant pourtant cette insolente dérision et manière d'être contradictoire, provocatrice. Prendre la vie à revers, à contre sens, voilà ce que ça lui avait appris. Toujours avoir un coup d'avance sur les autres pour s'en sortir coûte que coûte. Marcher sur les autres si elle voulait s'élever. Nul regrets. Pas le temps de se sentir coupable, même si depuis des années déjà, c'est une culpabilité sans failles qui la ronge de l'intérieur. « Qu'est ce que tu fais là ? » Qu'en sait-elle ? Même Pandore l'ignore. Elle a vu qu'elle l'avait reconnue. Facile à deviner vu le ton que sa voix a pris. Elle ne détourne pourtant pas le regard, même si elle parait soudain bien moins sûre de son coup. Elle hausse doucement les épaules. « Je vis ici depuis deux ans, déjà. » Quelle chance avaient-elles pour se retrouver ici, à quelques dix milles kilomètres de leur ville natale ? Se mordillant la lèvre, Pandore détourne alors son regard, le laissant traîner sur les allées et venues dans le restaurant. Elle voit bien qu'elle lui en veut. Elle aimerait lui expliquer. Lui raconter ces nuits passées à son chevet, inlassablement, lui raconter la torture lorsque les médecins répétaient « vous savez, elle ne se réveillera jamais ». Lui décrire les longs sanglots qu'elle avait essuyé sur les draps blancs de son lit d'hôpital, alors que l'espoir de revoir son amie vivante disparaissait peu à peu. Et puis quelques jours avant son réveil. Le drame dans la vie de Pandore. La fuite un an plus tard vers l'Australie. Et le refus de penser à la perte de son amie. Car oui, depuis des années, Pandore la croyait morte, définitivement éradiquée. Mais elle est là, devant elle, preuve qu'une fois encore, elle se trompait.

« Désolé je dois reprendre mon service, Pandore. » Pandore fait soudain un pas en avant et pose sa main sur son bras. Elle frémit, consciente qu'elle va se faire jeter. Elle cherche ses mots, puis plante fermement son regard dans celui d'Aléna. « Laisse-moi t'expliquer, s'il te plait ! Est-ce qu'on peut se voir après ? Tu finis à quelle heure ? » demande-t-elle, sans vraiment avoir l'espoir de voir sa demande acceptée. Après-tout, Aléna doit réellement penser qu'elle l'a abandonnée.
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MessageSujet: Re: ❥ Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer, Pandore.   ❥ Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer, Pandore. EmptySam 22 Juin 2013 - 13:02


Pandore & Aléna


▽Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer.
J'essayais d'avaler ma salive tant bien que mal, mais j'avais une boule dans la gorge. Mes doigts devaient trembler à l'heure actuelle, j'étais paniqué à l'idée d'avoir revu cette fille en qui j'avais totalement confiance. Nous étions un peu comme les doigts de la main, inséparables. J'étais presque toujours fourrée chez elle, il n'y avait qu'à faire quelques pas pour que je m'y retrouve, sa présence était rapidement devenue familière, et lorsqu'elle partait en vacances, elle me manquait  horriblement. Si à mes 15 ans, on m'aurait dit qu'à mes dix huit ans, je ne la connaitrais plus, je ne l'aurais jamais cru. Je voulais oublier, oublier ce que nous avions vécu, car tout ceci n'était que du passé, et par la suite elle avait fait comme tout le monde, la chose la plus simple : passer à autre chose et refaire sa vie. Je n'avais été qu'un fantôme pour eux. Je tentais d'effacer l'image de la femme que je venais de voir, tout en me tournant vers le bar pour retourner au travail. Je crois que j'irais demander à mon patron si je pourrais arrêter maintenant, pour rentrer chez moi et filer au fond de mon lit. « Laisse-moi t'expliquer, s'il te plait ! Est-ce qu'on peut se voir après ? Tu finis à quelle heure ? » J'étais à deux doigts d'ouvrir la porte, qu'une main se posa sur mon bras. Ce contact me fit sursauter, mais je ne me retourna pas, restant silencieuse à essayer de respirer. M'expliquer quoi ? Le pourquoi du comment elle m'avait laissé tomber ? J'avais trop entendu ses excuses, ma mère me l'avait tant répété. J'ai dû adopter une fille pour qu'elle comble ton absence. Parce que remplacé les gens et faire une croix dessus c'était plus facile que d'avoir de la peine pour un cas inespéré. - M'expliquer que tu as voulu passé au dessus de cela, que tu souffrais trop alors que tu as préféré te casser comme tout le monde ? dis-je avec beaucoup de mal. Ma voix tremblait et je pouvais m'effondre en sanglot en moins de deux.- J'ai pas besoin que tu m'explique cela, je veux rien savoir, Pandore. Tu as fait ton choix. J'étais censé être morte, enterré au fond d'un trou, tu as fait un croix sur moi. Tu n'aurais pas de mal à en faire le refaire encore une fois. Adieu. Dans le fond, j'aurais aimé me jeter dans ses bras, qu'elle me couvre de bisous et qu'on soit ces deux gamines sur ce lit à pouvoir parler de tout et de rien. J'aurais pu ne pas lui en vouloir, après tout, c'était pas de sa faute cette histoire de coma. Les gens ne pouvaient pas arrêter de vivre juste parce que moi pendant trois ans je l'avais fait. Je voulais croire qu'elle n'avais rien avoir à faire avec tout ces connards, mais rien qu'à voir dans son regard je savais qu'elle n'y avait pas cru, qu'elle avait cessé d'y croire avec le temps. À présent on était sans doute chacune très différentes de ses deux gamines qu'on avait était jadis. Nos chemins c'étaient séparés, et on était pas censé se retrouver.Je pensais qu'elle était là depuis deux ans, qu'elle n'était pas ici pour me ramener chez moi, dans un sens j'étais déçu. Elle avait littéralement fait une croix sur moi. Je m'apprêtais à pousser la porte pour entrer dans ce fameux bar, mais je restais ainsi songeuse, comme ci je m'attendais à ce qu'elle me rattrape une nouvelle fois, qu'elle me dise quelque chose, n'importe quoi. Que je récolte une preuve comme quoi elle se distinguait des autres...

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