god loves chocolate (charlie)

Charlie avait beaucoup parlé dis donc, elle ne parlait pas souvent de ça, bon elle n’avait pas parlé en détail heureusement pour lui, sinon il serait parti littéralement en courant. Il lui dit qu’il espérait que tout allait mieux pour elle et qu’effectivement une vie de débauche n’était pas forcément ce qu’il y a de mieux, de la stabilité c’est ce qui a de plus sure et de plus calme, et elle l’avait bien remarqué ici. En étant à Bowen elle se sentait plus légère et plus libre à vrai dire, libre d’elle-même, même si au fond elle reste toujours la même Charlie toujours un peu perdue dans ce qu’elle peut ressentir. Elle lui demanda si au hasard il avait des questions pour elle, et elle fut impression parce qu’il posa une question original, dans un sens son sourire, elle le regarda et haussa les épaules. « Les gens sont tristes de l’extérieur, moi je le suis de l’intérieur. Mais faut sourire parce que sinon il y a quoi de positif dans la vie sans sourire, et puis même si j’ai eut une vie plutôt misérable jusqu’ici, faut passer outre, et oublier, j’ai fais ça à moitié, y a forcément des trucs qu’on ne peut pas oublier. Et puis sourire c’est communicatif, quand je souris tu le fais aussi. Donc on peut dire que c’est un moyen de rendre les gens un peu plus content » C’était son explication, au fil des années et quelques mois de réflexions presque forcées, elle s’était dit qu’il fallait passer à autre chose, qu’il fallait avancé, même si elle gardé une profonde haine pour ses parents, elle devait arriver à trouver du positif de son négatif. Elle n’avait pas été toujours comme ça c’était que récemment qu’elle souriait autant et puis soyons honnête, un sourire amène aussi de la clientèle. « Mais merci, ton sourire est très beau aussi. » ajouta-elle avec un petit sourire.

Ils commençaient à parler de choses plus ou moins complexe, la thérapie du sourire, un sourire relaxe toujours plus les gens, et cela les mets tout de suite plus en confiance, et ça donnait aussi envie de revenir dans le magasin, c’était sure que cela rendait les gens plus heureux, comme si le moment était spécial. Et puis elle sourit légèrement quand il lui dit que le plus important c’était qu’elle ne sourit pas quand on essayer de la voler. « Non mais de toute façon, celui qui essaie de me voler, je le castre, je sais me défendre. » ajouta-elle. Oui, elle savait le faire et elle savait que si elle devait le faire elle le ferait, elle n’avait pas eu besoin d’utiliser cela pour l’instant, elle n’était pas fan de violence. Il la complimenta sur son sourire et elle fit de même, il la remercia et la belle rousse reprit la parole pour lui demander s’il n’avait pas d’autre question, il lui posa une question à vria dire elle nesavait pas vraiment la réponse, elle souriait pour faire croire qu’elle était heureuse à qui, au monde ou à elle-même, elle se mit à réfléchir quelques instants son regard dans le vide. « je pense à moi-même, je veux dire… j’ai eu une vie plutôt, mouvementé, j’aime ma vie actuellement, mais je sais même pas si je pourrais réellement être heureuse un jour.. Et puis aussi à mes parents, j’avoue que ça me fait un malin plaisir de me dire que je suis totalement mieux sans eux. » C’était surement tout ce qu’elle raconterait sur ses parents, enfin elle ne lui avait pas dit grand-chose, mais c’était déjà beaucoup, en parlant la faisait toujours souffrir malgré toutes les années qui sont passés. Elle regarda le jeune homme avant de lui dire. « Dis donc c’est limite profond tout ça. T’es sur que tu devrais pas faire des études de psycho ? » ajouta-elle toujours avec un petit sourire.

Il semblait surpris que Charlie puisse faire mal à des gens, puisse se défendre et pourtant c’était le cas elle pouvait se défendre quand quelqu’un n’était pas très sympa avec elle, elle le regarda. « Et faut pas croire mais oui je peux aussi me battre si je dois le faire. Je l’ai déjà fait et j’ai pas peur de le refaire une seconde fois. » ajouta-elle encore une fois sure d’elle, elle ferait tout pour se protégé et pour protégé ses amis aussi. Il s’excusa d’avoir amené le sujet, elle haussa les épaules. « c’est pas grave, ne t’inquiète pas. » et elle rajouta un petit sourire, pour qu’il soit sure que ce qu’elle lui dise soit vrai, oui elle s’en fichait au final de ce sujet, elle pouvait en parler un peu tant qu’on ne lui demander pas de tout expliquer, ou de lui raconter des trucs sur ses parents. Elle lui dit qu’avec toute les questions qu’il lui avait posé il aurait mieux fallu qu’il soit en psychologie qu’en journalisme et il lui dit que non il ne pourrait pas écouter la vie des gens h24, ce qui en y réfléchissant était presque ce qu’elle faisait, les gens venaient aussi ici pour lui parler pour trouver de l’attention et de l’écoute. « C’est sure ! » ajouta-elle avec un petit sourire. Il lui posa une question bizarre, est-ce qu’elle aimait les koalas, et instinctivement elle répondit. « Oui, pourquoi ? » oui elle aimait savoir pourquoi on lui poser des questions dans ce genre.