Which part don't you understand in FUCK YOU. - ERLIE.

Une grosse claque, voilà ce qu’elle s’était prise en pleine figure quand une cliente lui appris ce qu’elle avait vu. Ernesto rentrer avec Perry, elle connaissait Perry par cœur et pareil pour Ernesto et il n’y avait pas de doute pour elle, ils avaient couchés ensemble. Charlie ne pouvait pas accepter cela, Ernesto et elle était plus ou moins en couple, oui ils n’avaient pas reparlé de s’ils pouvaient coucher avec d’autre, mais Perry quoi, Ernesto lui avait bien dit qu’il n’était pas bi, mais apparemment il était tombé sur Perry, son ex-mari en plus. Elle était furieuse, elle avait envie de casser des choses, elle garda son calme, et rentra chez elle, il dormait encore, sans faire de bruit, elle commença a ranger ses affaires, il ne se rendit compte de rien, et le soir quand il partit elle fit de même, mais définitivement, elle prit ses cartons et plaça tout dans sa voiture, elle avait laissé un mot dans le salon avec la clé de l’appartement. « Retournes voir mon ex-mari. Et je ne veux plus jamais te revoir. » Oui, elle avait été dure, mais elle trouvait que ce qu’il avait fait c’était de la trahison pure et dure, comme s’il avait fait ça pour se venger de quelques choses, lui avait presque pété un câble quand il avait appris qu’elle été marié, alors elle avait bien le droit de péter un câble à propos de ça. Elle ne comptait pas rester en ville cette semaine, elle partit donc dans sa mini à Sydney, elle conduisit toute la nuit jusqu’au milieu de l’après-midi. Elle commença par voir ses ex collègue, malheureusement la nouvelle de son retour en ville fit vite le tour de la ville, oui elle avait été au centre de beaucoup d’attention quand elle venait ici, en même temps une fille comme Charlie ça ne court pas les rues. Elle se renseigna sur des fêtes, et en trouva une relativement très grosse dans un cadre assez sympa, c’est-à-dire un entrepôt désinfecté, grande surface plein de gens, et pleins d’alcool pour la plupart du temps. Elle retourna dans son vieille appartement, comme quoi elle avait bien fait de ne pas le vendre, elle laissa ses affaires, ses cartons ici. Elle regarda tous ses vêtements, et puis en fin de compte elle avait laissé des tenues très différentes ici, des tenus quelques peu très sexy, elle comptait bien profiter de son malheur pour se défouler, pour faire ce qu’elle veut, et redevenir pour l’espace d’une soirée ou de plus l’ancienne Charlie, la fêtarde, et celle qui aime profiter des gens, et de leurs corps. Alors elle enfila une robe bustier en simili cuir, très courte, des talons très haut, et puis elle se coiffa de façon à faire croire que ses cheveux sont plus courts, et puis elle était prête, elle avait faire un tour au bar avant de partir à la fête. Elle prit deux verres, et ensuite vers minuit elle alla à la fête, son nom était sur la liste, et c’est ainsi qu’elle commença sa petite soirée, on se retourner sur son passage, elle avait la tête haute, malgré son cœur brisé. Alors toute la soirée elle dansa avec des inconnus, de façon très sexy, embrassant certaines personnes, garçons pour la plupart, se faisant offrir des verres, elle était sure qu’elle ne rentrerait pas seule ce soir, et puis elle se dirigea vers le bar. « De l’eau. », le barman lui aussi la matait, et puis la chaleur lui monta au visage, elle vit un garçon de son age, la regardait, elle lui fit un sourire, et ils sortirent tous les deux dehors, elle s’appuya contre le mur, et sorti un paquet de cigarettes, parce que quand elle ne va pas bien elle fume. Le temps de fumer, rien ne se passa, une fois fini, elle se jetta littéralement sur lui, et l’embrassa fougueusement, et puis quelques minutes elle était dans les bras d’un autre garçon, et c’était comme ça tout le reste de la soirée, avant qu’elle frappe sans faire attention quelqu’un. « Désolé. », cette personne se retourna et c’était lui, elle avait la bouche ouverte, il était là pour elle, elle ne voulait pas le voir, non elle ne supporterait pas cela. « Putain ! » et puis elle partit presque en courant dans un endroit calme et sombre où elle ne serait surement pas trouvé. Du moins elle l’espérait.

Bon, beaucoup de blabla pour pas grand chose je l'avoue :arrow:Et tu peux faire largement plus court, je me suis emporter, on fait la même taille que d'habitude après hein.  

Ernesto était à Sidney, dans le seul but de la retrouver. C'était totalement bizarre et étrange depuis qu'elle était partie en lui laissant ce stupide mot qu'il gardait tout de même H24 sur lui, c'était le dernier signe de sa présence. Tout était parfait, vraiment tout et s'il n'avait pas dérapé, s'il n'avait pas fait la pire erreur de sa vie en tombant dans les bras de ce crétin de Peach ayant pour la plupart du temps des délires toujours en rapport avec des jeux vidéos et qui en plus de cela à une soeur tout à fait charmante qu'il se demande bien ce qu'un mec comme lui fait pour ne pas la remarquer. Le pire aussi est également le fait qu'il ne l'ait pas dit à Charlie, s'il l'avait fait tout aurait été plus simple, et elle ne serait pas parti alors qu'ils allaient presque se mettre en couple. Oui ils étaient partis à deux en France pour enterrer le père du jeune homme, et il avait cru que leur relation était officielle, que toutes leurs nuits passées à l'hôtel que leurs déjeuners en tête à tête, que leur petits coups de gueule, que le réconfort quotidien de Charlie envers Ernesto, que les aveux de ce dernier face aux vrais sentiments qu'il avait pour son paternel, bref tout ça ne s'oubliait pas comme ça, sans compter tout ce qu'il s'était passé avant il ne pouvait pas s'arrêter là, et la laissait s'en aller, du coup il avait pris ses affaires pour la rejoindre à Sidney. Il savait qu'elle y était, à Bowen tout ce qui est à savoir on le sait et de bouches à oreilles Ernesto à su qu'elle était là bas, sa Charlie et peut-être la femme de sa vie. Il connaissait quelques personnes à Sidney, puisqu'il savait qu'un ancien ami à lui du temps où il vivait en France tenait un bar dans cette capital de la belle Australie, de ce fait il avait demandé à Arthur (l'ami en question) s'il ne pouvait pas l'embaucher pendant quelques temps, le temps qu'il règle quelques affaires et en ami qui se respecte il avait accepté. Alors le Dolce, était d'entrain à quitter son quotidien, sans rien dire à personne, il avait pris son chien par contre, pas question de le laisser de nouveau seul et puis il savait très bien que Charlie serait d'autant plus contente de revoir la boule de poils, sûrement bien plus que lui-même. Après mûres réflexions, il avait tout de même prévenu son patron qui lui avait seulement donné un tape amical en lui disant qu'il fallait qu'il accomplisse sa destiné, sur le coup il n'avait rien dit mais cette phrase le faisait gentiment rire. Deux jours venaient de passer dans la capital Australienne, et c'était la nuit mais le début du travail pour Ernesto qui était cachait dans l'ombre du bar de façon à ce que l'on ne le voit pas mais que lui au contraire puisse être en mesure de tout voir et la scène qui s'ouvrait devant ses yeux ne lui faisait pas du tout plaisir. La Charlie qu'il avait connu n'était pas celle qu'il avait devant ses yeux et des larmes de regret tombaient de temps à autres sur ses joues alors qu'il constatait le mal qu'il avait put lui faire. Il se sentait con horriblement con, alors qu'il revoyait sa mère quelques semaines auparavant le lendemain de l’enterrement de son père lui dire que cette fille était une fille bien, qu'il fallait qu'il prenne soin d'elle et qu'elle était tout ce qu'il y avait de mieux pour lui. Et la mère du Dolce avait le flair pour ça, elle ne disait pas ça pour le fun, elle le pensait vraiment et de ce fait Ernesto était prêt à tout pour la récupérer. Ayant estimé avoir attendu trop longtemps et surtout après s'être pris une sévère douche froide en la voyant s'amuser avec plus de la trois quarts des mecs du bar il s'approcha d'elle, l'air de rien et elle se heurta à lui. Un mot, un regard, une fuite. Ernesto mit les mains sur son visage et courut en la suivant elle n'allait pas s'échapper comme ça ! Et il a retrouva après cinq bonnes minutes de recherches. Elle était dos à lui « Charlie... S'il te plait... Écoute ce que j'ai à te dire. » Il se racla la gorge et continua prêt à lui faire une belle déclaration « M'excuser ne va servir à rien, pour la douleur que je t'ai fais subir, et me lamenter sur mon sort ne va pas servir à grand chose non plus sachant le mal que je t'ai fait et j'en suis conscient même plus que conscient après les images que je viens de voir. Tu ne t'attendais pas à me voir, tu pensais t'être débarrasser de ton colocataire si emmerdant mais avec qui tu ne pouvais pas t'empêcher de coucher. Et parlons en de ce mot " coucher ", oui je te le dis j'ai couché avec Perry et même si se fut ma première expérience homosexuelle et que je me disais 100% hétéro je ne regrette rien -sauf le mal que ça t'a causé- je suis prêt à vivre toutes les choses que la vie m'offre et celle là en fait parti. Et puis Perry et moi on a couché ensembles avant que je ne me rende compte que je tenais vraiment, pas seulement parce que j'aimais ton petit côté agressif, ou bien celui câlin, ou encore joueuse et aguicheuse non parce que je me suis rendu compte que je t'aimais comme tu étais. Je n'avais plus en envie de ma réputation de petit con qui baise à tout va, de ce barman qui repart avec une fille différente tous les soirs, puisque j'avais trouvé ma fille, celle qui me fallait, toi. Peu importe ce que tu peux penser de moi, tu ne veux plus me voir, d'accord je comprends, mais sache que je serais là pour t'attendre chez nous, et Pépito aussi a besoin de toi, il est resté chez mon pote chez qui je loge. Tu sais Charlie tout le monde fait des erreurs, et j'estime que j'ai le droit d'en faire aussi. Je suis désolé, rien ne pourra réparer ton coeur brisé, je t'aime. » Il déposa une petit boite qui renfermait une magnifique bague de fiançailles et tourna les talons, prêt à laisser celle pour qui son coeur battait puisque c'était ce qu'elle souhaitait.

Il était là, en face d’elle, son cœur s’était arrêté de battre, choqué qu’il soit là, et pour elle en plus. Elle écouta tout ce qu’il avait à dire, mais tout ce qu’il disait ne faisait que retourner le couteau dans la plait. Il lui avait parlé de Perry et sa première expérience homosexuelle, qui apparemment lui avait plu, il lui parla aussi du fait qu’il avait couché avec lui avant de se rendre compte qu’elle était bien plus que sa colocataire, plus qu’une agaçante fille, mais non, il lui fit des compliments et elle ne fit un tout petit sourire, mais rien de bien extraordinaire. Il disait qu’il avait changé, qu’il ne voulait plus être le mec qui rentrait chaque soir avec quelqu’un d’autre, parce qu’il avait quelqu’un d’autre, elle. Mais elle ne savait pas quoi répondre. Elle se releva. « Je ne sais pas Ernesto, Je sais même pas ce qu’est l’amour, je ne sais même pas si je suis capable…. J’ai trop de trucs dans ma tête, et ce que tu as fait, ça m’a fait un déclic à vrai dire, que j’avais d’autres trucs à m’occuper avant de m’occuper de … moi, de mon cœur. Donc j’en sais rien… je suis perdue, et avec ça encore plus. Je tiens beaucoup trop à toi, et ça fait mal, tu vois ça m’a fait mal, terriblement. Et je ne sais pas, j’ai besoin de temps... » Elle soupira, oui elle qui avait était tellement déterminée, elle ne sait plus vraiment quoi faire maintenant, le fait d’apprendre qu’elle avait une petite sœur qui lui ressemble énormément, et puis qui s’appelait comme elle, et puis Ernesto, Ernesto c’était aussi quelques choses de nouveau, qu’elle se soit attaché si vite, et si fortement à lui, oui elle l’apprécie beaucoup, elle voudrait passer du temps avec lui, rien qu’avec lui, mais maintenant avec tout ça elle se demander, peut être que oui une relation amoureuse pourrait aussi lui faire du bien.
« Au moins on a un autre point commun, on a tous les deux eut une notre première fois avec lui. Le truc c'est que tu aurais pu faire ça avec n'importe qui, mais tu as choisi PERRY, et le pire c'est que je suis sure que vous avez du parler de moi. Et c'est pire. » ajouta-elle froidement, oui perry n’avait pas été seulement son mari, par défaut, mais c’était aussi sa première fois, il avait été celui qui l’avait dépucelé.
Elle le regarda, et le vit déposer une boite proche d’elle, et ensuite elle saisit la petite boite, pour ouvrir et voir une bague, elle était magnifique, mais il aurait dû savoir qu’elle n’était pas le genre de fille à se marier, et elle marcha en direction de lui et vint se placer devant lui, elle ouvrit la veste pour placer doucement la boite dans la poche intérieur. « Tu ne me connais pas assez Ernesto…. Tu saurais que je ne veux pas me marier. Boulet.» Oui le petit boulet, comme d’habitude à vrai dire. Mais c’était sure que sur ce point-là qu’il ne la connaissait pas autant. « On sait même pas on est réellement un couple, et tu veux te fiancé, t’es un grand malade quand même. » ajouta-elle avec un petit sourire, mais c’était quand même dure. Elle regarda ailleurs, « pourquoi faut que tout soit compliqué… On dirait que je suis celle qui amène toutes ses merdes, mais j’aimerais juste une vie simple, calme…
Je suis désolé Ernesto, je peux rien te promettre, c’est trop le bordel, si tu savais à quel point je tiens à toi, à tes bras, cette semaine à paris était génial, mais voilà… »

Ernesto était censé faire quoi maintenant qu'il lui avait tout dit, dit tout ce qu'elle pensait d'elle. Il allait partir, c'était ce qu'il voulait faire mais à sa grande surprise elle prit la parole ce qui signifiait que dans un sens elle ne lui en voulait pas tant que ça. « Tu te trompes Charlie, tu sais ce que c'est l'amour parce que ne me dis pas que a un moment donné dans ta vie tu n'as jamais éprouvé de l'amour pour quelqu'un et je ne parle pas forcément de moi simplement je pense que tu as peur de l'amour et peur de souffrir. Et j'ai conscience que je t'ai fait souffrir mais je m'excuse même si c'est impardonnable. » Il fit une petite moue, se rendant vraiment compte du mal qu'il avait pu lui faire. Et cependant il ria à la remarque de la jeune femme bien qu'il n'y ait rien de risible la dedans, son rire se stoppa net quand elle continua sur sa lancée en parlant de Perry « Oui on a parlé de toi ! Tu veux que je te dise comment ça s'est passé ? C'était un samedi soir tu m'avais appelé pour je ne sais plus quelle raison et je t'avais envoyé sur les roses en hurlant ton nom et il est venu me voir m'a fait du rentre-dedans sans aucun scrupule en me disant que vous avez été marié, tu te rends pas compte comment ça m'a foutu mal alors si j'ai finis par céder à ses avances c'était oui par vengeance mais j'étais bourré. » Au moins maintenant elle savait tout, elle savait ce qu'il s'était vraiment passé ce soir là et savait aussi du moins devait savoir qu'à l'époque ils n'étaient pas aussi proches et que pour lui cette histoire n'avait aucune importance. Elle lui rendit la bague, de toute façon il le savait, il savait parfaitement qu'elle allait la lui rendre mais il aurait pensé que ça allait être bien pire. Cependant ayant réponse à tout et ne se démoralisant pas à ça il lui dit « Justement j'aurais pu apprendre à te connaitre davantage. » Elle l'insultait mais il s'en fichait pas mal, ça lui passait au dessus, même sa légère blague il s'en fichait. Par contre sa dernière phrase non, tous les mots lui restaient dans la tête. Il haussa des épaules « Avec des si la vie serait refaite crois moi. On ne choisit pas ce que l'on est, on est ce que l'on doit être. C'est bon je suis venu m'excuser et... » son téléphone sonna dans sa poche, il regarda directement et ne reconnu pas le numéro il décrocha. Elle ne pouvait entendre qu'un mot sur deux « Halo ?... Quoi ?.... Comment t'as eu mon numéro ? Et puis c'est finis tout ça, écoute je ne veux pas. A cause de toi je suis allé en prison je ne veux pas. Salut ! » C'était son ancien chef de bande qui l'avait appelé, celui qui avait bousillé une partie de sa vie, il remit son regard sur Charlie et lui dit malgré son portable qui ne cessait de sonner dans sa poche « Bon désolé Charlie. Sinon je vais rentrer en France pour toujours, ma mère n'aime pas être seul, tu ne me reverras plus jamais, et je changerais aussi de numéro. Je te donne la maison à Bowen. Je t'aime, adieu. » Et cette fois il tourna les talons pour de bon, même si elle l'appelait, même si elle parlait tout lui passait au dessus, il quittait Charlie Chapman pour toujours, c'était ce qu'il avait à faire du moins ce qu'il pensait être le mieux même si ce n'était absolument pas le cas. Il était trop tard pour revenir en arrière.

Elle le laissa parler après tout ce qu’elle avait dit parce qu’au final elle savait très bien qu’il avait raison, elle avait peur pour elle, peur de souffrir mais il avait tord non elle n’avait jmais connu l’amour parce qu’elle a toujours pensée qu’elle ne le méritait pas, c’est tout ce qu’elle pensait, et encore aujourd’hui elle pensait ça. Elle haussa les épaules, c’était sa réponse. Elle lui dit qu’en plus avec Perry ils avaient parlés d’elle, et elle avait raison « Par vengeance ? Mais contre qui ? Contre moi… Parce que Perry a du être bien content, moi pas vraiment. Et être bourré c’est souvent le principal problème. » Ajouta-elle. Oui elle avait eut des expériences sous l’influence de l’alcool mais tout cela restait néanmoins de grosses bêtises dont elle avait pleinement honte. Elle savait tout c’était sure mais elle n’était pas satisfaite de tout cela parce que cela la blesser. Elle lui dit qu’il ne la connaissait pas sinon il n’aurait pas dépensé son argent dans une bague, qu’elle lui rendit doucement, elle n’était pas violente, parce qu’il lui avait dit qu’il l’aimait mais elle n’avait rien répondu. Elle lui dit qu’elle tenait à lui, vraiment mais qu’elle ne savait pas quoi faire à cause de tout cela. Elle essayait de rester calme, et puis il fut couper en pleine parole par son téléphone, elle comprit de quoi il parlait, de drogue mais il avait raccroché ça un bon moment à vrai dire. Il s’excusa une nouvelle fois, avant de dire des mots qui vont la toucher encore plus qu’elle n’aurait plus le penser, il comptait partir en France pour sa mère, il lui dit qu’il lui donnerait leur logement, je t’aime et adieu. Elle le regarda se retourner sans trop savoir quoi dire. « Je m’en fiche du logement, mais malgré tout, je te veux Dolce… Malgré tout ça j’ai beau essayer de te haïr j’y arrive pas » elle se rapproche de lui, elle croise les bras sur sa poitrine. « Tu as raison j’ai peur, peur de souffrir mais peut etre qu’aussi j’ai besoin de toi… Mais ta mère aussi. Mais quand tout ira mieux je serais là, et même si ça va pas tu sais que tu peux m’appeler. Même si je risquerais d’être toujours un peu en colère à propos de ça, je tiens à toi… Beaucoup, trop surement. » Elle regarda par terre et comme à chaque fois quand ils étaient ensembles, le temps s’arrête, plus rien ne comptait juste eux deux.



> désolé pas terrible :s

La vérité faisait souffrir, parfois un peu trop et entre eux les souffrances ne manquaient pas. Effectivement, ils étaient souvent entrain de se disputer et alors qu'ils venaient de se retrouver ils se disaient ce qu'ils pensaient l'un de l'autre et avouaient les torts de l'autre, pour sa part Ernesto c'était celui d'avoir couché avec Perry, elle le savait déjà mais il lui avait expliqué à sa façon afin de l'apaiser un peu, hélas. Le pire était qu'il fut interrompu, et par quelque chose qui revenait, son passé se déterrait et il avait peur qu'il refasse surface entièrement. Lors de l'enterrement de son père quelqu'un avait dû le voir en France, savoir qu'il était sortit de prison et de ce fait quelqu'un le voulait, et pas n'importe quel homme, l'homme qui était la cause de ses trois ans de prison ! Il ne pouvait pas le dire à Charlie, elle serait encore plus inquiète et entre eux cela allait être vraiment terminé, mais en fin de comptes peut-être que c'était mieux pour eux deux, sachant le mal qu'ils pouvaient se faire et la haine qu'éprouvait Charlie maintenant pour lui.. Il ne pouvait plus bouger, elle était juste devant lui cette magnifique rousse qu'il désirait tant. « Mais tu devrais après tout... » lui répondit-il de manière assez froide mais qui prouvait bien qu'il disait exactement le fond de sa pensée sans aucun scrupule. Il recula d'un pas tandis qu'elle s'approchait encore de lui, et ce dernier l'écouta, ayant cette boule dans son ventre qui grandissait au fil des paroles de la belle. Ernesto se racla la gorge et lui répondit « Alors qu'est-ce que je suis censé faire vraiment ? Rester en Australie et te supplier de rentrer avec moi, parce que tu es vraiment celle qui me fait chavirer ? Ou bien faire comme je t'ai dit repartir en France auprès de ma mère, t'oublier et espérer pour que tu fasses la même chose de ton côté pour que d'ici quelques années nous ne soyons que de simples anciens colocataires ? Tout le monde à droit à une seconde chance Charlie tu ne penses pas ? » Il lui effleura tendrement le visage, s'approcha un peu plus d'elle et vint attraper ses lèvres pour lui donner un chaud et doux baiser afin de lui prouver qu'il était plein de sincérité et qu'il voulait plus que tout cette réconciliation car il l'aimait.

HS : désolée du retard