Vite vite Eileen.... Non rien tout va bien. [ Zézé et EiEi]

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EiEi And ZéZé

Zéphyr se réveille en sursaut, merde il s'est endormi, il lève les bras au-dessus de lui et étire ses muscles endoloris, c'est ça de s'endormir sur le clavier de son ordinateur, son fauteuil et super confortable, mais pas assez pour y dormir aussi souvent que cela lui arrive. Il se frotte le visage et repousse le fauteuil qui roule qu'un bon mètre et heurte le mur derrière lui, il grogne, comme un homme des cavernes et se lève avec des gestes raides il laisse tomber ses lunettes entre ses doigts et il rejoint la salle de bain ou deux minutes plus tard ou l'entend hurler, l'eau est glacée, voilà il est réveillé, il passe un bas de survet un marcel et reviens devant son ordi en dormant il a ouvert des pages internet il cherche ses lunettes les posent sur son nez et les remonte ensuite sur ses cheveux saisissant son portable il envoie un message à Ei Ei. " Viens vite chez moi c'est grave Zéphyr" oui il ne signe pas avec son surnom, il accepte qu'elle le nomme ainsi mais lui il ne se l'autorise pas, mais il doit avouer que cela le fait bien rire. Le temps qu'elle arrive il se rassied à son Pc et relit ce qu'il a écrit pendant la nuit il soulève plusieurs livres ouverts sur son bureau encombré et ne retrouve pas ses lunettes. Il abandonne quand on frappe à la porte. C'est bien sûr Eileen qui arrive tout essoufflé, elle a couru ?! Comme à son habitude il l'embrasse sur le front, oui Zéphyr fait la bise comme ça. Une habitude de tout petit, sa mère l'embrasser sur le front pour ne pas lui donné ses microbes et elle lui disait que c'était le bisou des personnes qu'on aime, et il aime bien Eileen c'est une fille sympa, jolie et rigolote. Et puis il y a julian!
Bonjour Eileen ! Tu as fais super vite ! Tu veux du café je viens d'en refaire !
Il passe une main dans son dos et la pousse à l'intérieur avant de refermer la porte, elle est resté plantée comme un piquet. Zéphyr ne réalise pas qu'il a mis de l'urgence dans son message et qu'elle est venue très vite et certainement inquiète. Il sort deux tasses du placard, et quelques autres trucs qu'il dispose sur le plan de travail de la petite cuisine, il y a des cartons partout, car il déménage, il va avoir un nouvel appart avec des colocs, c'est une nouvelle expérience il ne sait pas du tout comment cela va se passer. Sucre dans ton café ? Je ne sais jamais.

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Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur tu connais pas... Seule au milieu des loups, tu t'enfonces au bord des précipices. Dans la cité perdue, au travers de la nuit, toi tu vas bien. En travers la douleur et la mélancolie, tout ira bien. Zephyr & Eileen.

Tout deux, on sort on se couche tard, les gens sont tous de vrais trouillards
sous leur parapluie.

Des feuilles, des feuilles, des notes, des révisions. Eileen était déja levée depuis l'aube, il était temps qu'elle révise, ayant prit un retard considérable dans ses études. Elle n'arriver pas encore à s'avouer que malgré ses excellentes notes, la demoiselle n'avait plus envie, ce n'était plus le même engouement qu'avant, avant c'était ses études et rien d'autre, maintenant la brune avait envie de tellement plus, elle avait des choses plus concréte auxquelles s'accrocher, la demoiselle avait envie de vivre au jour, le jour. De s'amuser. Oui la jeune Bennett voulait s'amuser, croquer la vie à pleine dent, de ne pas penser à tout ce qui pourrait la chagriner ou la faire reculer.

Un long soupire blasé s'échappa de ses lévres, retirant ses lunettes et éloigna ses cours d'elle, Eileen n'arrivait pas à se concentrer. Et son téléphone sonna, c'était Zézé, il lui demandait de venir et il précisait en plus que cela était grave, ni une, ni deux, la brune se leva de son canapé, s'habilla à toute vitesse, un short, un petit haut, ses longs cheveux détachés comme d'habitude, peut être qu'il était bléssé ou quelque chose dans le genre. Pressée, après seulement quelques minutes, elle toqua à la porte de son ami, celui ci ne tarda pas à lui ouvrir et la surprise pu se lire sur le visage de la belle, pas de bras en moins, ni rien d'autre d'ailleurs. Un peu stoïque, elle finit par lui rendre son baiser mais sur la joue.

"Mais...Zézé ! Tu m'as fais peur avec ton message ! T'es fou c'est définitif, j'ai cru que c'était genre grave mais vraiment !"

Lorsque le jeune homme la fit entrer, un rire s'échappa de ses lèvres, ce Zézé, il était unique, c'était ça. Eileen ne s'en passerait pour rien au monde. Il était la, tout content, à lui parler de son café comme si de rien n'était. Posant son sac dans l'entrée du jeune homme elle vint prés de lui en faisant mine de réfléchir.

"Un sucre et je veux des gâteaux ! C'est pour le stress que tu m'as mis et comme ça je culpabiliserais pas pour ma ligne !"

Un grand sourire qu'elle lui adressa, lui passant la main dans ses cheveux qu'elle ébouriffa gentiment dans un petit rire, s'éloignant pour aller tranquillement s'affaler sur son canapé, comme si elle était chez elle. En même temps c'était son Zézé, elle n'allait pas faire des manières.

"Bon Zézou ! Il y avait quelque chose de grave ou définitivement pas ?"

(c) Bloody Storm

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Zéphyr T. Baker a écrit:: EiEi And ZéZé

"Mais...Zézé ! Tu m'as fais peur avec ton message ! T'es fou c'est définitif, j'ai cru que c'était genre grave mais vraiment !" Zéphyr ne s’habituera jamais à ce surnom, il a la sensation d'être dans la peau parcheminée de sa grand-tante. Mais il y a de l'affection dans la façon qu'elle a de le prononcé, lui aussi a faite de même avec son surnom tout droit de la cinquième dimension.
Mais c'est grave, à peu près. Ce qui concerne ma folie, je l'assume pleinement, elle me fait vivre.
Rapport direct avec ses bouquins, il faut être plusieurs dans sa tête pour inventer des histoires. Dans la cuisine il lui a proposé un café, lui en avait un grand besoin sa sera son second de la journée et loin d'être le dernier. Il pose un doux regard sur Eileen qu'il affectionne particulièrement, qui plus est elle est venu en quatrième vitesse pensant à quelque chose d'important, cela prouve l'attachement qu'il se porte mutuellement. Cela a un nom " l'amitié "
"Un sucre et je veux des gâteaux ! C'est pour le stress que tu m'as mis et comme ça je culpabiliserais pas pour ma ligne !"
Il laisse tomber dans la mixture noire un sucre et déniche dans le tiroir une cuillère en plastique, il a beaucoup d'assiette et autres ustensiles jetables, plus pratique pour lui qui passe trop de temps devant son clavier.
Je dois avoir de quoi étouffer ton stress poste traumatique.
Il lui sourit en sortant du placard un paquet de mini muffins, un délice, il en mange des quantités industrielles. Il lui en propose un après l'avoir rejoint il en a presque oublié la raison de son appel " d'urgence" A l'aise avec elle il prend place en face d'elle sur un pouf qui a connu des jours meilleurs.
"Bon Zézou ! Il y avait quelque chose de grave ou définitivement pas ?"
Il prend le temps de boire une gorgé de son café avant de lui répondre le plus sérieusement possible.
Je ne sait pas faire les crêpes et j'ai réalisé que j'ai loupé la chandeleur.
Il boit a nouveau pour dissimuler son embarras, sa timidité refais soudain surface.

© RANG

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Tu ignores le vide devant toi, les vertiges et la peur tu connais pas... Seule au milieu des loups, tu t'enfonces au bord des précipices. Dans la cité perdue, au travers de la nuit, toi tu vas bien. En travers la douleur et la mélancolie, tout ira bien. Zephyr & Eileen.

Tout deux, on sort on se couche tard, les gens sont tous de vrais trouillards
sous leur parapluie.

Décidemment, Zéphyr était unique, c'était juste quelque chose qui ne changerait jamais. Il venait en faite de lui avouer qu'il ne savait pas faire les crêpes et qu'il avait réalisé qu'il avait oublié la chandeleur. La jeune femme l'observa un instant en attendant de voir si il comptait rigoler, tout en prenant un muffin, la demoiselle esquissa un sourire. Non il ne rigolait pas, donc toute cette panique et cette pagaille, pour des crêpes. Eileen n'était pas forcément une grande douée en cuisine mais bon, avec un peu de lecture et une recette il ne devrait pas y avoir de soucis.. Enfin en principe. "Donc, c'est vrai que plutôt de m'envoyer un message pleins d'amour en me demandant de venir faire des crêpes avec toi, tu as fais dans le compliqué. Tu devrais écrire un livre sur moi et ma gentillesse tiens !"Un éclat de rire résonna dans la pièce, oui il lui arrivait d'être un peu vantarde, mais rarement. Puis c'était Zézé, il ne le prendrait pas mal bien au contraire. Mangeant tranquillement son muffin tout en l'observant, elle esquissa un nouveau sourire en sa direction, prenant à présent son café ainsi que son téléphone, tapant sur son téléphone, une recette de crêpe quelconque avant de tendre le téléphone au beau brun en face d'elle. "Tiens tes crêpes mon Zézou, mais je te préviens, je suis pas une grande chef de cuisine moi alors tu seras pas aidé.."Un nouveau sourire un peu timide de la part de la brune, à part faire quelques gâteaux comme ça de temps en temps, la demoiselle s'en fichait pas mal, avec son coloc', Louis. Ils faisaient la cuisine, tout les deux, vite fait. Histoire de manger quelque chose sans forcément se casser la tête. Buvant quelques gorgées de café, elle observa, l'ordinateur de Louis et reporta de nouveau son regard ambré sur celui ci. "Et ton bouquin? Tu en es ou ?"

(c) Bloody Storm

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